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1 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
ntre le culte des faits. L’Académie française a mis au concours cette question  : « De la nécessité de concilier dans l’histoire
ve habituelles, elle a indiqué d’avance et imposé sa solution avec la question . Le philosophe le plus original de notre temps, l
viner. — Mon cher lecteur, j’ai fini ma tâche. Il y a aujourd’hui une question pendante, la question de la critique littéraire.
eur, j’ai fini ma tâche. Il y a aujourd’hui une question pendante, la question de la critique littéraire. Un autre l’eût d’abord
bonne foi qui pense que la science humaine peut résoudre au moins la question de la critique littéraire, qui confesse sa propre
ruse au lion, la force au renard, ni la grâce au paysan du Danube. La question du goût est la plus délicate des trois questions
paysan du Danube. La question du goût est la plus délicate des trois questions particulières qui composent la question générale
t la plus délicate des trois questions particulières qui composent la question générale de la critique littéraire. Le goût a cec
tolérance de l’esprit historique. Et les théories ! voilà encore une question . Il ne s’agit pas de savoir si les conseils prati
2 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
pportait de l’indépendance, plus que de l’indépendance même, dans les questions religieuses ; mais il y a bien loin de là à en fa
bien intentionnés, mais qui mêlent la politique à la littérature, les questions sociales aux questions artistiques, qui exigent d
qui mêlent la politique à la littérature, les questions sociales aux questions artistiques, qui exigent d’un auteur qu’il ait un
. Je passe tout de suite à la différence capitale, au fond même de la question . On nous dit : si Arnolphe est berné par Agnès et
n’y a pas moyen de s’entendre ? C’est une tout autre pièce ; c’est la question d’éducation qu’on fait intervenir et qui dominera
emier par une sauvage, le second par une civilisée. L’éducation et la question d’éducation n’ont rien à voir là-dedans. Admetton
e de l’École des femmes. Est-il acceptable, je vous le demande, si la question d’éducation avait été mise en jeu, que personne n
le gros travail de l’époque ? Est-ce qu’on pourrait y apercevoir une question d’éducation, telle que nous l’entendons aujourd’h
et qui occuperont des situations privilégiées. Une seule fois il est question des autres, et dans quelle proportion ? Une femme
seront venus, lorsqu’ils auront remué toutes les idées et toutes les questions , qu’on parlera d’éducation comme nous le faisons
s savantes, est des plus nettes, des plus vives et des plus dures. La question d’éducation y est dépassée de beaucoup. C’est la
oposent expressément pour but de répondre à l’éternelle et redoutable question  : Comment faut-il élever les filles pour en faire
3 (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362
rne pas à la pure érudition. Il introduit discrètement et finement la question d’art dans l’étude des faits, et sans manquer jam
rature et du goût. I. La comédie du Tartuffe donne lieu à trois questions intéressantes : La comédie a-t-elle le droit de s
cument si intéressant dans l’histoire de l’esprit humain. La première question est celle dans laquelle se retranchaient, au temp
haient, au temps de Molière, ceux qui ne voulaient pas entrer dans la question de fond, et dans la question plus délicate encore
ceux qui ne voulaient pas entrer dans la question de fond, et dans la question plus délicate encore de tendances et d’intentions
sur le domaine spirituel, sur les droits de l’Église ? On le voit, la question du Tartuffe n’est au fond qu’un de ces cas de con
glise se réservait le droit de juger les souverains et de décider les questions mêmes de droit civil, non pas en tant qu’intérêts
ge de défendre la vraie religion ; mais le monde répondait que, toute question de piété mise à part, la famille, les intérêts et
s auraient un côté commun avec les intérêts religieux. C’est donc une question qui relève d’une sorte de tribunal idéal des conf
en serait pas moins obligatoire pour tous les hommes. »On voit que la question de l’hypocrisie posée par le Tartuffe s’applique
igion dans la sienne. Tartuffe devait-il être joué ou non ? C’est une question de police. Mais Tartuffe devait-il être fait ? C’
une question de police. Mais Tartuffe devait-il être fait ? C’est une question d’art. Ici, la conscience de Molière était souver
. Nous avons voulu, en nous plaçant à notre point de vue, discuter la question du Tartuffe comme une question de casuistique mor
çant à notre point de vue, discuter la question du Tartuffe comme une question de casuistique morale, et nous croyons, à ce poin
sais s’il y aurait quelque chose à ajouter. Mais peut-être est-ce une question de psychologie et de morale, autant que de goût,
te justification. Il reste encore, à propos de Tartuffe, une dernière question  : c’est celle des sentiments personnels de Molièr
ns touché incidemment dans les pages précédentes ; mais comme la même question se reproduira au sujet de Don Juan, nous l’ajourn
its qui servent à dessiner son caractère d’impie et d’athée. La vraie question se déplace et se réduit à celle-ci : Molière deva
rain interdit, que tout appartient à la comédie et à l’art, et que la question n’est que dans l’exécution. Il ne s’agit donc pas
t que Molière a voulu faire une comédie et non un drame. Une dernière question qui se présente à nous et qui concerne à la fois
s ne sont-elles pas l’œuvre d’un précurseur de Bayle et de Voltaire ? Question délicate, difficile à résoudre et qui ne ne sera
pour lui en cagotisme et en hypocrisie ; qu’en un mot, sur toutes ces questions , il était placé au point de vue mondain et latitu
cher. Est-ce sa faute ou la faute de ceux qui rient de lui ? Voilà la question . Après tout, qu’y a-t-il de risible à dire aux ho
4 (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914
fier, elle ne modifierait pas le sens général de la comédie. La seule question importante est de savoir si Arnolphe est un perso
uvegardé ; mais que devient le sens de la pièce ? N’est-ce pas là une question impertinente ? M. Provost, pour ne laisser aucun
nouveauté en sacrifiant le bon sens ? Pour le personnage d’Orgon, la question est toute différente. Ici la méprise se transmet
rouvées par le bon sens, ce n’est là pour le plus grand nombre qu’une question sans importance. Le théâtre est un lieu de plaisi
ns dépit sa femme oublier l’éducation de ses enfants pour traiter les questions du beau langage et suivre le cours des planètes.
ssaierai pas de convertir les indifférents. Pour sentir la valeur des questions littéraires, il faut être doué d’une faculté part
te sur les mœurs et sur l’opinion, et lorsqu’il s’agit de Molière, la question s’élève. Il n’est donc pas inutile de signaler le
dû à leurs longs services, cet argument ne changera pas l’état de la question . S’il y en a parmi eux qui se trompent depuis tre
’un Œdipe. Une clairvoyance ordinaire suffît pour résoudre toutes les questions qui peuvent se présenter. Toutes les traditions i
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447
eu, & le défend avec le plus grand zele. Je pense qu’il est assez question de lui dans cette scene. Scene II. Dorine peint
ît. Du moment où la toile se leve, jusqu’à l’arrivée du héros, il est question de lui dans toutes les scenes, si l’on excepte la
les bras de Tartufe. Tartufe seul a donné lieu à la scene. Il n’a été question que de lui dans le commencement de la scene, &
ici. Pour le coup, je m’en vais. Ah ! ma foi, la voici. Il n’est pas question du Glorieux dans ce bout de scene : comme elle n’
son pere malade, & veut envoyer chercher le Médecin. Il n’est pas question du Comte. Scene VIII. Lisette & Valere s’ent
e cela, on parle du Comte de Tufiere ; mais il ne sera pas long-temps question de lui. Scene V. Le timide Philinte vient ennuye
6 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
e pour terminée. Enfin, j’ai discuté à nouveau dans ces articles deux questions sur lesquelles on n’est pas près de s’accorder :
l faille mettre l’intelligence des œuvres du grand poète comique, les questions que soulèvent certaines de ses créations telles q
e parvenue a s’accorder à leur endroit, qu’il faille mettre de telles questions fort au-dessus de celles qui se rattachent a l’hi
il faut le reconnaître, du moins des recherches personnelles sur les questions accessoires encore controversées, des points de v
e pas convaincre tout le monde. Mais que ceux qui s’intéressent à ces questions lisent ou relisent l’article de M. Larroumet : ou
de la femme de Molière une sœur de Madeleine compliquent justement la question qu’on semble croire qu’ils ont décidée6. Je puis
ans cette histoire de la famille de Molière qu’on croit si connue. La question , comme on va le voir, ne touche pas seulement à l
uteur du Cid est inhumé, cette invitation souleva une fois de plus la question de savoir quel est le sentiment de l’Église à l’é
éciale en matière d’histoire ecclésiastique, M. A. Gazier, examina la question dans la Revue critique d’histoire et de littératu
84, sous ce titre : La sépulture ecclésiastique donnée à Molière. La question du lieu où fut inhumé le grand poète et de l’auth
en parfaite harmonie, et si du Tillet n’avait rien écrit de plus, la question pourrait être tenue pour vidée, et l’on se demand
es comédiens ne sont pas excommuniés et ne l’ont jamais été. Reste la question de la sépulture ecclésiastique et des difficultés
’opinion de M. de Trallage sur son compte. Passant tout de suite à la question des sentiments et des agissements de l’Église à l
es, et dont il importe de tenir grand compte, car elles placent cette question . sous son vrai jour. Je me suis expliqué là-dessu
té du prince, ne faisait point loi pour le clergé : il y avait là une question controversée qui relevait de l’appréciation du. p
e à qui les comédiens de la troupe du roi demandaient les sacrements. Question d’appréciation aussi, celle qui consistait à déci
lanir. On pourrait même faire le public juge en dernier ressort de la question et de la solution donnée par les experts, en expo
et l’autre : 1° J’ai examiné à Montpellier, en 1877, la quittance en question . Elle m’a paru, en tant que pièce, parfaitement a
tiens à remercier publiquement M. Jules Loiseleur d’avoir soulevé la question des autographes de Molière. Si, comme je l’espère
écaire de la ville d’Orléans, a appelé l’attention des lettrés sur la question si controversée de l’écriture de Molière : il a m
sait même pas ce mot de symbolisme ; M. de la Pommeraye généralise la question  : il en signale dans Béatrix, dans Don Quichotte,
Alceste envisagée surtout au point de vue historique, de reprendre la question à un point de vue exclusivement littéraire : il n
tats acquis qu’à discuter des problèmes et à pénétrer dans le vif des questions . L’auteur m’a, en maints endroits, fait l’honneur
et des conjectures ingénieuses sur Le Dépit amoureux et sur nombre de questions relatives à Molière. Il ne paraît pas du reste le
èce ni au caractère du Misanthrope : l’énigme porte uniquement sur la question de savoir si certains originaux ont posé devant l
7 (1922) La popularité de Molière (La Grande Revue)
propose pas des problèmes rares, exceptionnels ; elle lui soumet des questions qui intéressent sa vie quotidienne et elle lui of
Que l’on regarde la manière dont il a étudié, à maintes reprises, la question si délicate et si complexe du mariage : qu’on la
qu’en ont faites nos dramaturges contemporains. Pour lui toute celte question se résume en deux points : la loi de nature et la
rre : la pièce espagnole, d’où le sujet est originaire, examinait une question religieuse qui, pour différents motifs, semble av
a littérature dramatique, avait donné une réponse affirmative à cette question . Pour la première fois, la seule, peut-être, le m
8 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
profonde. Le haut talent de mes amis et confrères et la gravité de la question méritaient mieux, je le crois sincèrement mais ch
de prendre les devants si elle veut : au sein des ménages, c’est une question d’activité. — Et c’est là la nouvelle Ecole des
ière lui-même, Molière ressuscité, serait encore Molière. — C’est une question . Il trouverait tous les sujets primordiaux mis en
t gêner la liberté de ma discussion. Non. J’aime mieux répondre à une question que je crois lire sur beaucoup de lèvres : vous a
up d’œil par-dessus nos frontières et voir que la maladie dont il est question entre nous depuis le commencement de cet entretie
un homme, dans les pays à divorce, c’est d’avoir divorcé !... Sur ces questions terribles, c’est l’enfant que je voudrais surtout
ns prétendre pourtant que toutes les dames anglaises aient le goût en question , Dieu merci ! Eh bien ! pour l’autre mot, le mot
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
dans une petite affaire qui m’est arrivée. Grapignant. De quoi est-il question  ? Le Voleur. Je marchois sur le grand chemin, qua
iques & plus moraux : mais j’aime mieux aller au fait dont il est question dans cet article, & prouver que l’Auteur qui
uvert à une bonne table, & nous ne ferons pas une comédie. Il est question de peindre les vices de la finance moderne pour c
eur ? Il me le paroîtra sans doute. Mais aux autres ? C’est une autre question  ». M. Diderot ne semble-t-il pas avouer par-là q
à-dessus en parlant du genre larmoyant. Ce n’est point de quoi il est question présentement. Je veux faire remarquer que M. Dide
10 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
l’esprit. La première, la seconde et la troisième (5) » Et de quelles questions cette logique-là s’occupe ? On ne m’en croirait p
ond même que l’école de médecine, et non moins au courant qu’elle des questions à la mode : Voulez-vous savoir, en effet, « si la
Trouver à laquelle appartint Molière, ce sera achever de résoudre la question que nous avons posée au début de cette seconde ét
vons vu encore qu’un côté, et, j’ose dire, le moins intéressant de la question qui nous occupe. Si même on me permet une compara
agma de Gassendi (50). Nous pouvons donc maintenant aborder la grande question  : N’y a-t-il pas un rapport intime entre la moral
de quelques critiques. Au fond, il est vrai, il s’agit surtout d’une question de mots ; mais sous les mots nous retrouvons les
(60). Voilà bien, ce me semble, la dernière réponse à notre dernière question . — Mais à peine trouvée, je la vois tout à coup g
certitude de la médecine… et naturellement il arrive à traiter cette question , savoir si l’intervention du médecin est ou n’est
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Du Choix du Titre. » pp. 94-102
un homme qu’elle abhorre, met le couple amoureux au désespoir. Il est question de briser des nœuds mal assortis, pour en former
aut essentiel dans la piece, comme nous le remarquerons quand il sera question de l’art de traiter les caracteres ; & l’Aute
en fait de choisir ce titre. Dans l’Impromptu de Versailles, il n’est question que d’une répétition de comédie, qui pouvoit se f
12 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [74, p. 108-114] »
comment il avait appris la déclamation. Après avoir satisfait à cette question et à plusieurs autres qui lui furent faites, Moli
de plaisanter sur une affaire aussi sérieuse que celle-ci, où il est question de l’honneur et de l’établissement de monsieur. A
13 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
et qu’il lui dit gravement : « Monsieur, c’est une grande et subtile question entre les docteurs, de savoir si les femmes sont
que signifiait la satire qu’il venait de lancer. On a discuté sur la question de savoir si, en écrivant Les Précieuses, il avai
ources. Rien de plus animé que cette simple conversation sur quelques questions littéraires, qui suffît à Molière pour dessiner a
ère la même méthode qu’avec Corneille et Racine : avant d’aborder les questions générales, nous étudierons quelques-unes de ses p
ndamnée par les circonstances. Mais par quelles circonstances ? Grave question , que je tenais à poser et à laquelle, je l’avoue,
plus agréable, ou bien serait-ce peut-être à Ninon de Lenclos ? Grave question , que nous aborderons en son lieu, lorsque nous ét
vent le fond d’une âme. Au moyen d’une conversation familière sur une question de littérature, Molière a réussi, dans La Critiqu
e que soit l’entretien, il s’anime, il se concentre, il va serrant la question de plus près; puis, dans chaque personnage, il ex
est vrai que, dès la première scène, Le Misanthrope fait songer à une question morale, qui reparaît un peu partout; mais c’est l
oblesse. Au reste, le rôle de Philinte est le seul qui puisse être en question un instant. Alceste est aussi un grand raisonneur
stion fatale : Qu’est-ce que l’homme ? Seulement Hamlet donne à cette question redoutable une étrange portée; il embrasse l’univ
t par celles que dans sa vie intime avait faites Molière lui-même. La question morale qui naît du développement de l’action a de
s préoccupé les écrivains français : c’est, nous l’avons dit déjà, la question de savoir ce que vaut en fait la vertu des hommes
eur de famille et c’est de mariage qu’il s’agit. Dans la réalité, les questions de mariage sont parfois fort épineuses; mais dans
de l’humanité; ou, si elle le fait encore, c’est en s’attaquant à des questions plus immédiatement pratiques, qui offrent plus de
pas toujours été parfait, en quoi fut-il manqué ? Voilà de nombreuses questions , auxquelles nous chercherons à répondre en partie
consacré au comique une étude à part, et ils ont rencontré sur cette question des idées ingénieuses et profondes. Mais de tous
et à la touche plus hardie. C’est Molière en main qu’il faut juger la question . Alceste et Hamlet sont deux créations presque ég
d’achèvement; si, dis-je, on tient compte de tous ces éléments de la question beaucoup trop oubliés, on hésitera, on se refuser
ns d’un pas trop rapide, et dont il nous a paru utile de détacher une question spéciale pour l’examiner à part. Nous voulons vou
onne tout au diable de bon cœur. Dans L’École des femmes s’agite une question du même genre. Il s’agit de savoir s’il faut rete
au venu. Heureusement pour elle que le hasard la sert assez bien. Les questions qui se posent dans ces deux pièces ne manquent as
ns-nous d’élargir le cadre outre mesure. Rentrons promptement dans la question spéciale qui doit nous occuper. Le XVIIe siècle d
e parlent de la manière la plus explicite et la plus piquante sur les questions nombreuses qui concernent l’éducation de la femme
t-il bon à toute femme d’étudier avec plus de soin une branche ou une question spéciales. Comme elles sont facilement disposées
evé. En abordant dans L’École des maris et dans L’École des Femmes la question de la liberté qu’il convient de laisser aux jeune
de l’homme, qui doit l’associer à sa destinée. Par là il rabaisse la question . Arnolphe déclare que c’est pour n’être point sot
roulent d’un bout à l’autre sur cette seule idée. Or accorder dans la question dont il s’agit la première place à des considérat
maîtresse, — non sa compagne. Les conséquences d’une erreur dans une question pareille sont innombrables. Nous aurions beaucoup
lévation. L’œuvre de Molière s’en distingue-t-elle avec avantage ? La question n’est pas de celles auxquelles on peut répondre d
us encore, s’élève au-dessus de cette région moyenne où s’agitent les questions de convenance, et qui est la plus mâle expression
on lui a intenté. Que cela suffise ou non, c’est un des éléments delà question , et l’un des plus importants. Le Tartuffe n’a pas
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222
conversation soit coupée, qu’ils s’interrompent mutuellement par des questions & des répliques précipitées ? Ils s’en garder
les situations qui veulent qu’un interlocuteur réponde prestement aux questions qu’on lui fait, ou à celles qui exigent au contra
ontraire à voir les efforts que fait le neveu pour éluder la fâcheuse question de l’oncle. ACTE II. Scene VI. Géronte. Me paro
d’exemples qui trouveront mieux leur place dans l’article où il sera question du juste embonpoint des pieces, des scenes, du di
15 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
us grand de tous les auteurs et acteurs comiques, on ne parlait de la question générale des spectacles ; car enfin, si le specta
ssi. N’ayant en vue que la morale, on ne prétend point examiner cette question par le côté de l’histoire ni par celui de la crit
édiens, il est nécessaire de remarquer quelle n’a jamais vu là ni une question de dogme ni une question de morale proprement dit
de remarquer quelle n’a jamais vu là ni une question de dogme ni une question de morale proprement dite, mais simplement une qu
dogme ni une question de morale proprement dite, mais simplement une question de discipline, qui par là même n’a point un carac
16 (1882) M. Eugène Sauzay et Molière (Revue des deux mondes) pp. 207-209
odique, et non plus d’ensemble, que le nouveau commentateur étudie la question  ; Le Sicilien, ou l’Amour peintre sert de texte n
urd’hui l’opéra-comique. Ainsi envisagé, Le Sicilien nous ramène à la question musicale, et l’on se demande avec l’auteur de l’E
17 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
e composer bien plus facilement l’idée totale de la comédie. Toute la question est de savoir si nos notions idéales dépassent en
secte. Mais je conseillerais au troisième logicien de ne pas tenir la question pour vidée, et puisque le chant du rossignol nous
, beaucoup d’esprit, et le sens commun est faillible. Pour décider la question entre ces deux autorités, il faudrait que j’eusse
lorsqu’il jette à Agnès, dans un transport d’amour et de rage, cette question d’un comique si sublime : Pourquoi ne m’aimer pa
arla définir ! Je voudrais que Socrate l’entendit. Avec deux ou trois question sans malice, il l’aurait bientôt mise en contradi
ope et Les Plaideurs, son admiration est si banale, qu’à cette simple question  : Laquelle préférez-vous ? elle hésite, et déclar
euves du nouveau monde, les buveurs échauffés agitaient en tumulte la question de savoir si le Tennessee se jette dans l’Ohio ou
est-ce l’Esthétique de Hegel que Galopin ira chercher pour décider la question  ? Il n’y a point d’idée du comique. Il n’y a poin
nne foi.   Dans un dialogue célèbre de Platon, Socrate examine cette question  : Si la rhétorique est un art ou une science. Au
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468
pas sur lui ; si enfin la scene est un seul moment sans qu’il y soit question de lui. Dans la Métromanie, ouvrage qui immortali
es mots sont synonymes, me répondra-t-on. Point du tout. Il n’est pas question de décider ici si nous avons de vrais synonymes d
ere, & je vais prouver que j’ai fait un bon choix. Comme il n’est question dans ce Chapitre que de l’action de la piece, dep
it, Harpagon a toujours été sur la scene, ou bien il y a toujours été question de lui. Dans tout ce qu’il a fait, dans tout ce q
19 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
ur son Avocat, & celui-ci lui conseille de faire bée à toutes les questions . Le marchand est bien surpris lorsqu’il voit à l’
rts de la clavelée : Patelin lui ordonne de répondre bée à toutes les questions qu’on lui fera. Acte III. Bartholin Juge donne a
s » ? Doucement, ce n’est pas sans dessein que j’ai fait une pareille question  ; on pourra bientôt juger par cet exemple de la d
les muets ? Je n’en ai jamais vu rire. Frontin. Ah ! voici une belle question  ! Et comment veux-tu qu’ils rient, nigaud ? Ils r
le muet ; & ce dernier est toujours tenté de parler lorsqu’il est question de manger ou de boire. Son maître lui montre à co
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
u savant avec lequel il vient d’avoir une dispute très vive. Il étoit question de décider si la matiere passe avant la forme. Ar
linge, & feindre des douleurs graduées : mais du moment qu’il est question de la matiere, il ne peut que devenir fastidieux.
erniere, Arlequin l’a renouvellé. Il ne manque pas de faire les mêmes questions à celui qui l’interroge ; il le prend ensuite par
21 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208
equin lui jure un secret à toute épreuve. “Mais si l’on te donnait la question  ? — Rien ne saurait m’ébranler. — C’est ce que no
voir.” Alors, prenant le ton du barigel, le maître feint de donner la question à son valet, qui s’empresse de tout avouer. Don J
a tête de Don Juan, qui le jette au loin, et qui lui fait beaucoup de questions sur la jeune veuve dont il est fort tenté. Le gou
22 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
C’est ce dernier parti que j’avais adopté. J’eus donc à m’occuper des questions de sources et d’origine, et je m’attachai notamme
tte étude quelques éléments nouveaux, que le lecteur qui a étudié ces questions saura facilement reconnaître. En terminant, j’adr
23 (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382
ipatétisme intolérant appelant la persécution à son aide, ce sont les questions oiseuses, les distinctions subtiles de la scolast
, les universaux, les figures Barbara, Celarent, etc. dont il est ici question , n’ont évidemment aucun rapport avec la philosoph
ontre Descartes.Mais on voit que dans toute cette discussion il n’est question que de physique, et que le passage de Grimarest s
24 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVIII » pp. 198-205
ce sont des in décences pires que les plus ridicules affectations. La question est de savoir si un vieillard pourra réussir à s’
e, veut savoir les particularités de leurs entretiens. Après quelques questions générales, il en vient aux détails. Arnolphe. N
25 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
ccusé d’un crime qu’il n’a pas commis. Le Roi se doute que la Dame en question est Isabelle : il promet au Duc de l’excuser aupr
tre monde & des convives de pierre. On fait à la Statue plusieurs questions sur l’autre monde. On lui demande si le pays est
la plus grande partie des Auteurs qui ont traité le sujet dont il est question , aient fait mettre le valet de Don Juan à table a
ve, fait mettre son valet à table pour lui faire plus commodément des questions , & pour l’engager à lui être favorable. Arleq
sposition de scene, mais tous se ressemblent par le fond. 29. Il est question ici des gens de goût, & non de la populace, q
26 (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266
ous. On est accoutumé, sur cette terre du refuge, à procéder en toute question avec liberté. II y existe des partis, mais qui ne
rons-nous les moyens d’élever la vie au niveau du cœur ? Telle est la question que pose l’orateur, et vraiment il en vaut la pei
l’orateur, et vraiment il en vaut la peine. N’est-ce pas là la grande question qui revient tous les jours et sous toutes les for
En abordant, dans L’ Ecole des maris et dans L ’Ecole des femmes , la question de la liberté qu’il convient de laisser aux jeune
roulent d’un bout à l’autre sur cette seule idée. Or accorder dans la question dont il s’agit la première place à des considérat
27 (1910) Rousseau contre Molière
Rousseau contre Molière J’examinerai cette question dans l’ordre suivant : jugement de Rousseau sur l
eau. Cet ordre ropalique, je veux dire qui élargit progressivement la question , n’est peut-être pas le meilleur. Après délibérat
il y en ait un et qu’on s’y tienne. Je n’ai pas du tout traité ici la question de Rousseau ennemi du théâtre. Cette question gén
s du tout traité ici la question de Rousseau ennemi du théâtre. Cette question générale, je la traite à part dans un volume inti
solument comme sur une autre. — Mais vous êtes trop intéressé dans la question . — Assurément, et si je ne suis sensible qu’aux i
e nous appartienne pas. Il me semble qu’en traitant les caractères en question sur cette idée, chacun des deux eût été plus vrai
, d’où il suit qu’il ne peut pas, qu’il ne doit pas se tromper sur la question de savoir avec qui est Molière dans le Misanthrop
la lui est permis surtout dans une pièce qui ne soulève aucune grande question , et I’on trouverait assez ridicule qu’il y eût un
ivement à ce que le public doit croire, dans les pièces où une grande question est posée, en somme dans les pièces à thèse (Clit
’y a que des vicieux et où l’auteur n’a pas l’air de se soucier de la question de la vertu et du vice. Or Rousseau veut une pièc
 : Flagitium adspiciens, et conscius, intabescat. Or ce qui rend la question difficile et très probablement insoluble, c’est q
obtus et le moins averti sent qu’il est en présence d’une très grande question et que, tout en riant, il n’est pas mal à propos
s Femmes savantes, et cette raison est très bonne : c’est que, sur la question des Femmes savantes, Rousseau est exactement de l
e ne pas pousser assez loin dans le sens de sa doctrine. Ceci est une question d’une certaine importance, dont nous nous occuper
is qu’il dît nettement ce que Molière veut que le public croie sur la question qui est soulevée. Le public a besoin de ce person
de la parabase. Surtout quand, comme Molière, on traite, souvent, de questions très complexes, très délicates et très graves, il
icateur soit scandaleux dans un homme de lettres. »   Généralisant la question , nous dirons : la vérité sur les vices de l’human
rogrès très sensible, un grand pas du côté du théâtre qui s’occupe de questions graves et qui fait réfléchir. Dès ses débuts à Pa
r s’en prévaloir. L’amour du beau — c’est du beau moral qu’il est ici question — est un sentiment aussi naturel au cœur humain q
joute une note qui est celle-ci : « C’est du beau moral qu’il est ici question . Quoi qu’en disent les philosophes, cet amour est
distinctions et observer des nuances ; car Molière a varié sur cette question  ; et c’est pourquoi nous n’en viendrons aux Femme
Maris est en contradiction flagrante avec les Femmes savantes sur la question de l’éducation des femmes, elle est en contradict
mes, elle est en contradiction avec tout le théâtre de Molière sur la question du vieillard amoureux. Elle présente un vieillard
, il avait eues ou accueillies. Toujours est-il que relativement à la question féminine, parce que postrema homines meminere, c’
me un peu Arnolphe et Sganarelle.   Or, Jean-Jacques Rousseau, sur la question féministe, est d’accord avec Molière jusqu’à être
nséquence, quelle éducation lui donnera- t-on ? Pour répondre à cette question , il n’y a qu’à se demander pourquoi la femme est
te-puissance : « Les diverses manières d’envisager et de résoudre ces questions font que, donnant dans les excès contraires, les
gnès sachant un peu de musique. Rousseau, en dernière analyse, sur la question des femmes, pense exactement comme le Molière de
si généreux, si libéral, si émancipateur, si élevé, est-il sur cette question dans le même état d’esprit que le bourgeois des b
iable et irréconciliable avec Molière, se trouve en définitive sur la question féminine très sensiblement d’accord avec lui, à t
ue suivre son imagination ; ceci n’a absolument aucun rapport avec la question posée. Si je voulais me divertir, je dirais même
28 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
de ses travaux. En 1848, Bazin emploie pour la première fois à cette question d’histoire littéraire, cette méthode ingénieuse,
offrait de leur témoigner leur hostilité. Mais il ne saurait pas être question de Tartufe, ni de la cabale, encore moins d’une e
ar conséquent il incline les faits dans le sens de sa thèse. C’est la question de l’éducation des femmes qu’il pose dans l’Ecole
l’éducation des femmes qu’il pose dans l’Ecole des Femmes ; c’est la question de leur instruction qu’il pose dans les Femmes sa
. Mais enfin puisque Molière nous oblige à réfléchir sur de certaines questions , nous voulons savoir quels sont précisément ces q
e certaines questions, nous voulons savoir quels sont précisément ces questions . Puisqu’il les a posées, nous devons savoir comme
e venait, dans l’Ecole des Femmes, de toucher obliquement à la grande question qui divisait alors les esprits. Ils reconnurent d
portant, et mérite un examen approfondi. Il faut bien qu’il y ait des questions de principes engagées dans le procès qu’on fait a
u dialogue y perdrait ? Ces remarques laites, abordons directement la question en étudiant successivement la langue, la versific
29 (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366
ion sur cette circonstance, dire qu’au moins Molière fit l’annonce en question le lendemain de la défense, devant un public qui
rouver exposé aux plus violents effets de leur ressentiment : mais la question n’est pas si simple ; et, à moins qu’on ne veuill
olière n’attaquait pas l’attaquèrent-ils lui-même ? Je suppose que la question est faite de bonne foi, et j’y vais répondre de m
dieu qui l’a représenté. Alcmène, à chaque réponse qu’elle fiait aux questions d’Amphitryon, lui enfonce un poignard dans le cœu
u’elle a si bien traité. Cléanthis, à chaque réponse qu’elle fait aux questions de Sosie, le ravit d’aise, et n’entend rien à cet
30 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165
er l’une sans l’autre, pour nous transformer en anges ou en bêtes. La question du mariage n’est point à discuter dans une sociét
fier à l’intérêt555, et le bien n’est pas considérable, lorsqu’il est question d’épouser une honnête personne556. » XIII. Mais
pour les points indiqués plus loin au chapitre IX. D’ailleurs, sur la question de Bossuet, voir plus loin, chap. XII. 497. Les
31 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
cette année 1660, à Caen, deux libelles qui portaient brusquement la question devant le public : un Mémoire pour faire connaist
ffait depuis le moyen âge la gaité des robins. La même année il était question , dans l’Assemblée générale du Clergé de France, d
doute, pour aucun des personnages dont ils nous apprennent qu’il fut question , rien de ce que nous savons de ces personnages ne
Sainte-Marie. »De même à Dijon, à Grenoble46. Quand, en 1657, il fut question de fonder à Borne une Compagnie du Saint-Sacremen
ulièrement Impressions de théâtre, 4e série, p. 45-47. 41. Sur cette question , Brunetière, que la psychologie de Molière et la
adou de Rouen et grand-vicaire de l’archevêque. Il est plusieurs fois question de la Compagnie dans les si intéressans Mémoires
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. M. DE SAINT-FOIX. » pp. 288-296
ent il ne s’agit pas de faire une piece à un gentilhomme, il est bien question d’une autre scene : nous sommes amoureuses de vou
31. J’ai lu la même histoire différemment tournée ; il n’y est point question de Cléopatre : la brune & la blonde disent à
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215
illées les dépenses qu’elle a faites en galanteries : il est sur-tout question d’une culbute avec un mousquetaire. Les sueurs mo
hangé, jouent un personnage qui n’est pas le leur : mais il n’est pas question dans cet article de cette espece de comédie, parc
34 (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-
nde, forte, peuplée, et qui se nomme Penn ! Laissons maintenant cette question plastique qui a bien aussi son côté moral, pour d
tte avec laquelle on ait fustigé jusqu’ici. Il y aurait bien d’autres questions à soulever ; je les laisse, non pas à de plus con
35 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
es dans de petits problèmes, éveiller la curiosité du lecteur sur les questions de critique générale, et lui inspirer, avec le go
qui, dans ce siècle où chaque chose est mise en question, examine la question de la critique littéraire : 1º le moment dogmatiq
36 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
u pourtant des partisans estimables8, ne suffit-il pas de poser cette question  : Par où est-ce que la comédie frappe les vices ?
œuvres. S’il avait d’autres idées que celles qui y percent, c’est une question obscure d’abord, puisque pour l’éclairer on est r
que (Les Femmes savantes, act. III, sc. II). — Voir plus loin, sur la question de Gassendi, chap. XI. 29. C’est Boileau qui dan
37 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
érité de ce qu’on lui dit, veut s’en assurer en faisant à l’autre des questions auxquelles lui seul peut répondre. Il lui demande
ersonne. Réponds. Mercure répond en effet très juste à cette derniere question . Sosie se tâte pour savoir s’il veille, s’il est
trouvé le témoin qu’il cherchoit. Il revient pour faire de nouvelles questions à sa femme. Il veut entrer chez lui. Mercure, du
tes sens, rentre bien dans ton ame, Et réponds mot pour mot à chaque question . Sosie.  Mais, de peur d’incongruité,  Dites-moi,
38 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « À M. Vacherot » p. 1
préparais mes examens de licence. Vous m’avez communiqué le goût des questions de critique générale, et, ce qui est plus, beauco
39 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [35, p. 64] »
pelle, revenant d’Auteuil à Paris par la rivière, disputaient sur une question philosophique ; un religieux, assis à côté d’eux,
40 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
toutes les éditions. Les développemens nouveaux ne commencent qu’à la question posée par le second docteur : SECUNDUS DOCTOR. P
US. Bene, bene, bene, bene respondere, etc., etc. QUARTUS DOCTOR. La question de notre quatrième docteur est celle du second de
41 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [9, p. 41] »
manda une de ses heures perdues pour lui faire la lecture. L’homme en question se trouva si honoré de ce compliment, que, toutes
42 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [55, p. 89] »
ux buste de ce comique, fait par Houdon233, y fut placé. Quand il fut question d’y mettre une inscription, quelqu’un proposa d’é
43 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
consiste, d’une part, non pas seulement à poser en fait ce qui est en question , mais à affirmer le contraire de ce qui est certa
, demande Rousseau, de la dupe ou du fripon ? Je laisse de côté cette question , que Rousseau n’a pas proposée sérieusement ; mai
toujours un esclave dirige l’intrigue, il est presque toujours aussi question des amours d’un jeune homme libre pour une jeune
me que celle de L’Étourdi se passe à Messine, de même aussi qu’il est question de Naples dans le dénouement de L’Avare. Naples e
44 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203
ement parceque le premier est plus châtié, plus élégant. Il n’est pas question de faire voir ici que le génie doit l’emporter su
emporter sur l’esprit de détail. Malheur à ceux qui balancent. Il est question de prouver que ce même Térence, si poli, si reche
s êtes gentilhomme. Cléonte. Monsieur, la plupart des gens, sur cette question , n’hésitent pas beaucoup : on tranche le mot aisé
45 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64
monuments les plus glorieux de l’esprit humain, ce n’est point ici la question  : le Misanthrope est une composition essentiellem
monde, qui veut que tous S’occupent de lui, et qui tranche toutes lés questions avec une suffisance burlesque176 ; ni la politess
te alors. (Le Malade imaginaire, act. III, sc. III). — Voir sur cette question , qui vaut un livre à elle seule, M. Raynaud, les
46 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
nt six pieces à caractere, nous ne les analyserons que lorsqu’il sera question du choix & de la distinction des caracteres.
moral ; mais nous réserverons cette matiere pour le volume où il sera question du genre des pieces. Occupons-nous présentement d
47 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
quelle les personnages doivent être occupés à répondre prestement aux questions qu’ils se font mutuellement ». Les monologues, d
ne casse est bonne 37, de même les bons monologues sont bons : il est question de les bien faire. 33. Boileau, Satyre du repa
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432
l y a, à la vérité, comme nous l’avons remarqué, un couplet où il est question de Sophie léguée à Eraste ; mais ce n’est qu’en p
st de prendre tous les matins du thé à l’angloise, & il n’est pas question du legs. Scene IV. L’Olive porte une lettre de
49
doit s’habiller en gentilhomme ? Rappelons-nous, pour trancher cette question , qu’Orgon, s’il appartient à la bourgeoisie, a du
ait précéder sa traduction d’une préface, dans laquelle, reprenant la question qui a divisé MM. Veuillot et de Lapommeraye, il t
adversaires de Pascal. Mais ce n’est pas le moment de discuter cette question . Elle a été abordée d’ailleurs pour le public hol
ues mois seulement après le décès du Collectionneur. Le Reliquaire en question fut, à cette vente, acheté par le Comte de Pourta
se faire pardonner de lui avoir détruit l’escalier de Corneille. Une question m’a préoccupé dans cette visite au passé. En quel
et l’autre étaient occupées d’ailleurs par un débit de vins. Et cette question nous venait à tous deux : Où Molière a-t-il vécu 
é prendre gîte à l’autre bout de la rue, qui est longue. Mais — autre question à résoudre — quel est maintenant celui des deux c
principale du Louvre, et non de la colonnade, dont il ne pouvait être question , puisque les plans de Perrault ne furent adoptés
e tout au moins, que dans le premier plan de la pièce, il n’était pas question d’enlever Marianne à Valère, et que, par suite, l
rrespondances, de mémoires, de romans du temps pourraient élucider la question . Cependant, à part les lignes de Somaize citées p
Comtesse d’Escarbagnas ?) semble en avance d’un siècle, car il y est question de ces lecteurs acharnés de la Gazette de Holland
année se rapportent ces deux affiches ? M. Ch. Nuitter répond à cette question de la manière suivante : « La mention placée au
tre bourrue du 31 janvier en couplets qui se terminent tous par cette question  : « l’eusses-tu cru ». Quelques jours plus tard,
loin de Lustucru et de Pulcinella acconciatore di teste di donne. Une question se pose à ce sujet : Les Italiens ont-ils copié n
te adresse ou félicitation ! N’est-il pas regrettable qu’une mesquine question d’amour propre se soit mise au-dessus de la grand
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Des Actes. » pp. 274-288
as la peine de les compter. Se peut-il qu’on ait rempli des livres de questions & de préceptes aussi minutieux ! Pour se pass
ses défauts. L’application est aisée. J’ai encore entendu faire cette question  : Comment peut-on connoître qu’un acte est fini ?
51 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
pour cet objet. Tel est le point de vue sous lequel j’envisage cette question , à laquelle j’ai été entraîné à consacrer plus de
a composé pour ce même ouvrage ; mais il n’a sans doute qu’ajourné la question  ; il pourra s’en occuper dans son édition des Œuv
52 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192
4. Et après elles viennent des bergers héroïques qui vident ainsi la question  : Usez mieux, ô beautés fières, Du pouvoir de to
faire rire : Molière sa¬vait faire rire autrement. 610. Voir, sur la question de Bossuet, plus loin, chap. XII. Voir aussi p. 1
Amants magnifiques, plus loin, p. 186, note 2. Voir d’ailleurs sur la question de Bossuet, plus loin, chap. XII. 624. La Princ
53 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
e son héroïque volonté, après des fatigues inouïes, résolut la grande question géographique du siècle, par la découverte de Temb
de dépenses qui en résultera : auquel cas il est nécessaire que cette question de la matière à employer soit réservée pour être
En ce qui est relatif à la dépense : Considérant qu’étant réservée la question de la matière à employer pour l’œuvre du statuair
ns de sa gloire qui ne brille sur sa ville natale ; Que lorsqu’il est question de lui ériger un monument digne de cette gloire,
54 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
Il en vint, naturellement, à examiner pour son compte l’embarrassante question que soulève le Panurge de Rabelais et que lui-mêm
tour d’Armande. Quelle que pût être la conduite de celle-ci, — grosse question qu’il faudra bien aborder, — les adorateurs afflu
eur de Sganarelle et du Misanthrope ? Il est difficile de trancher la question . A part deux ou trois allusions, on n’a contre Ar
njecture. Je ne crois pas qu’il y ait, dans l’histoire littéraire, de question qui montre davantage les dangers de l’à-peu-près
uvent que déclamer. Consultons d’abord le principal intéressé dans la question , Molière lui-même. S’il a plusieurs fois emprunté
est en train de faire à George Dandin. En arrivant au Misanthrope, la question se précise. On veut qu’Alceste soit tout Molière
55 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
au théâtre, sous le nom de madame d’Ennebaut. C’est d’elle qu’il est question dans le sonnet sur Phèdre : Une grosse Aricie, a
récriminations trop faciles, qui d’ailleurs ne décideraient point la question , je me bornerai à dire qu’il ne fut point l’agres
ogne ; cette arrivée d’un marquis ridicule qui assomme Molière de ses questions , et les actrices de ses fadeurs ; enfin, cette di
inal de Sganarelle. Trouillogan, philosophe pyrrhonien, répondant aux questions de Panurge avec cette horreur de l’affirmation, q
il perdu ? Les faits ne répondent que trop clairement à cette seconde question . 1. Le comte du Broussin, pour faire sa cour
56 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
ret, mourut peu après ; et jusqu’à présent Lelio, qui est la fille en question , passe pour un garçon. Celle-ci, qui avance en âg
ur, lui demande pardon et avoue qu’il vient de mentir. Ramené par les questions de Flaminio, il fait le détail de tout ce qui se
ement. Flaminio, à qui Testa a raconté le duel à outrance dont il est question , entre joyeusement dans la plaisanterie. Fabio es
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
uisque le cuisinier la fait cesser tout de suite, en disant qu’il est question d’un cochon de lait. Moliere sentoit tout le pri
suite naître une autre. Continuons la scene. Harpagon. Il n’est pas question de cela, & voilà Monsieur à qui il faut parle
58 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « [Introduction] » pp. 1-4
sorties qu’elles font un ensemble détestable. Convenons qu’il ne sera question ici que de la belle nature, telle que l’a imité M
59 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
, & tout s’enchaîne cependant si bien dans la comédie dont il est question , que tout paroît avoir été imaginé pour elle. C’e
ifico veut devenir son beau-pere, quand il voit tout-à-coup qu’il est question de faire épouser Eléonora par le Docteur.   La po
fils. Sortons. Je veux aller querir la justice, & faire donner la question à toute ma maison, à servantes, à valets, à fils,
. . Je te défie d’attendrir, du côté de l’argent, l’homme dont il est question . Il est Turc là-dessus, mais d’une turquerie à dé
60 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
vite ; et le bonhomme, qui est de lignée gauloise, entame derechef la question du matin, celle inépuisable du cocquaige ; et il
ière. C’est que, comme le Tartufe, elle est toujours en situation. La question femmes en France est toujours brûlante ; et tant
été plus d’une fois surprise des gros rires de cet homme à certaines questions qu’elle lui faisait et comme celle des enfants, v
ée dans l’École des Maris. Il n’a fait que l’élargir, et d’une simple question de discipline et de gouvernement intérieur, il a
le question de discipline et de gouvernement intérieur, il a fait une question d’éducation. Comment faut-il élever les femmes ?
r en vue leur bonheur à elles-mêmes, ou simplement notre plaisir ? La question posée ainsi devient terriblement plus claire. Si,
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVI. De l’opposition des Caracteres. » pp. 398-416
acte, est en opposition avec presque tous les acteurs, lorsqu’il est question d’obtenir le consentement de Lisimon & de Gér
pas. Dans la piece dont nous venons de parler, il n’est seulement pas question de lui durant les trois quarts de l’ouvrage, &
62 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
n & le Barbier arrivent. Le dernier impatiente Almanzor par mille questions , se souvient qu’il n’a pas ses rasoirs sur lui ;
’estime qui toujours devroit nous animer... Théophraste. Il n’est pas question , Messieurs, de s’estimer : Nous nous connoissons
63 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
t, pour l’hiver prochain, Psyché tout entière. De Racine il n’est pas question dans cette campagne : c’est qu’il est moins en fa
on ranger dans cette catégorie les Fâcheux et Psyché ? Voilà toute la question . Les personnages des Fâcheux, jetés dans les inte
64 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297
plaindre ou à se louer du roi ou de madame de Montespan. La première question que madame Scarron avait donnée à résoudre à Gobe
lle pouvait, sans scrupule, se charger de l’éducation proposée. Cette question , elle l’avait résolue d’avance, et elle était dét
65 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. Des Tableaux. » pp. 422-425
ux de mes juges la fin de la scene qui précede le tableau dont il est question . ACTE IV. Scene VI. Mélite. Quelle obstination !
66 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. » pp. 290-293
t, déclare ses feux, apprend qu’il est payé de retour : il n’est plus question que d’enlever l’objet de sa tendresse. Comment fa
67 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XX » pp. 215-219
de Grignan mourut, laissant deux enfants, dont il est plusieurs fois question dans les lettres de Sévigné. Cette mort acheva ce
68 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. Des Caracteres généraux. » pp. 263-267
ls assez ignorants pour leur donner ce titre de bonne foi ? Voilà une question à décider. Il ne s’ensuit pas de ce que j’ai dit,
69 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
nous ne pouvons apprécier, puisqu’elle n’existe plus, et examinons la question en elle-même, telle qu’elle s’offre à nous, d’apr
e se rendre savante afin d’être savante ; Et j’aime que souvent, aux questions qu’on fait, Elle sache ignorer les choses qu’elle
e du Malade imaginaire, sous le rapport de l’impression, présente une question à la fois littéraire et bibliographique, qui n’es
père et fils dans Le Malade imaginaire, pourraient encore laisser la question indécise à l’égard de Molière, puisque tous les t
ire principalement dirigée contre Boileau, satire dont il est partout question , mais dont nulle part on ne cite rien, pas même l
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
pieces, les deux Marquis ont avec leur intendant une scene où il est question de signer un écrit où l’on parle beaucoup de créa
de tirer parti de ses charmes pour écarter la misere. Il n’y est pas question des cent mille écus. Le reste de l’acte se passe
71 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
s femmes ne s’offensent jamais d’un tendre aveu, surtout quand il est question de mariage. La critique paroît fondée ; & ave
. Vous avez la plus belle santé !... La Comtesse, à part. Il est bien question de ma santé. (haut.) C’est l’air de la campagne..
nt à intriguer la piece ; nous en parlerons dans le volume où il sera question des genres. 8. Nous examinerons ailleurs si De
72 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
gie, actives à ce point que du jour au lendemain elles ont abordé les questions les plus ardues ; correctes à ce point qu’il sera
our lui. Ce terrible vagabondage ne s’arrête qu’à l’abîme. L’homme en question n’a peur de rien et de personne. Il insulte même
ble abri de sa raison à laquelle il a bien soin de ne pas adresser de question impertinente. — Voilà la question ! De cette diff
l a bien soin de ne pas adresser de question impertinente. — Voilà la question  ! De cette différence entre les deux héros l’expl
attentive et charmée à ce dialogue solennel où sont débattues tant de questions importantes. On accueillait avec enthousiasme ces
te. D’art et de goût, de vérité et même de décence, il en est à peine question . Tous les patois, et tous les baragouins, et tout
entiments et les passions se tiennent. — Mettez une insolence dans la question que fait un de vos personnages, à coup sûr l’autr
trop réjouissant. En effet, le maître et le valet se disputent sur la question  : Être ou n’être pas ! C’est-à-dire que Don Juan,
s derniers retranchements par une raison inflexible et lumineuse. Ces questions souveraines de la conscience, ce débat d’une âme
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. Des Pieces à caractere. » pp. 253-258
parcequ’elles sont moins parfaites que les nôtres. Encore est-ce une question à décider, si parmi les comédies qu’on joue &
74 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
De se rendre savante afin d’être savante ; Et j’aime que souvent aux questions qu’on fait Elle sache ignorer les choses qu’elle
l’âge a sevré leurs désirs. Avec quelle fine ironie elle répond aux questions d’Orgon, qui, à son retour de la campagne, et au
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122
M. de Voltaire, une Dissertation ingénieuse & profonde sur cette question  : savoir, s’il est permis de faire des comédies a
La franchise & la sincérité sont si rares, sur-tout quand il est question de se juger soi-même ! Moliere, l’Auteur le moin
76 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE V. L’Éducation des Femmes. » pp. 83-102
De se rendre savante afin d’être savante ; Et j’aime que souvent, aux questions qu’on fait, Elle sache ignorer les choses qu’elle
age forcé, sc. IV. 323. L’École des Maris, act. II, sc. IX 324. La question du luxe des femmes est traitée implicitement dans
77 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
la chose, que de Visé parle ainsi. [*]. [Note marginale] Réponse aux questions d’un provincial, tome premier, ch. 29, p. 245-250
harangues de l’Académie. a. « [*]M. Bayle agite une assez plaisante question dans ses Lettres, ou Questions au provincial (il
« [*]M. Bayle agite une assez plaisante question dans ses Lettres, ou Questions au provincial (il fallait dire : Réponse aux ques
es Lettres, ou Questions au provincial (il fallait dire : Réponse aux questions d’un provincial). Il suppose que M. Despréaux eût
78 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
arrivé à ne savoir pas au juste ce qu’ils étaient ; mais que d’autres questions sur lesquelles les idées reçues sont battues en b
. Vous pensez sans doute, Messieurs, et je crois, comme vous, que ces questions sont passablement oiseuses ; car toute question q
comme vous, que ces questions sont passablement oiseuses ; car toute question qui ne peut se résoudre que par des hypothèses es
79 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
été dupe : car sa sottise a ménagé des excuses à l’ingratitude, et la question d’argent est seule en cause dans les malheurs mér
Le travers d’Alceste. Passion malheureuse. Contradictions À cette question la réponse ne saurait être douteuse, et nous ne d
bien que la façon dont se dénoue le débat littéraire qui devient une question d’honneur portée devant la chambre des maréchaux8
e et de ses placets qui se taisent sur cet auguste suffrage. À cette question s’en rattache une autre. On peut, en effet, se de
n profane, lui un comédien, en juge des consciences, c’est-à-dire des questions qui relèvent du Pouvoir spirituel. Tout en désapp
igués contre l’auteur du Tartuffe. Or, cette fois, le stimulant d’une question religieuse n’existant plus, les partisans de l’ét
tée morale, et si Molière ne l’a point affaiblie ou compromise. Cette question qui semble étrange, il faut bien la poser, puisqu
De se rendre savante, afin d’être savante ; Et j’aime que souvent aux questions qu’on fait Elle sache ignorer les choses qu’elle
ux, et imposer un devoir. Peut-être donc Molière n’a-t-il pas jugé la question d’assez haut. L’instruction qu’il permet lui semb
es rapprochements. La plupart des comédies italiennes dont il est ici question furent des impromptus, dont les canevas mobiles n
80 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
s exigèrent donc, non seulement que l’on supprimât les deux scènes en question , mais encore qu’on retranchât ou qu’on adoucit un
sse même les premiers fondements de la religion naturelle ? C’est une question de morale publique et presque d’administration qu
81 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
ulevards. On est donc forcé, pour corroborer la page de l’Évangile en question , de prendre ça et là, dans Molière, dans le Bourg
ient pas plus sensé. A-t-il raison maintenant contre ses juges ?-r La question , là, devient plus sérieuse. Examinons. — D’abord,
uez qu’elle serait bien puissante en faveur de ma thèse ! Si dans une question de théâtre, car enfin il s’agit ici de théâtre, n
st pas un traité de Misanthropie, mais une comédie ; si donc, sur une question de théâtre, tous les acteurs sont d’accord, eux q
82 (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293
a folie des faiseurs de projets. La dispute des deux femmes sur cette question si souvent agitée, s’il faut qu’un véritable aman
ntre ce que pouvaient devenir, sous la plume d’un grand écrivain, ces questions de l’ancienne cour d’amour, qui étaient si ridicu
a morale d’Alceste que le sonnet d’Oronte soit bon ou mauvais ? Cette question nous ramène à la fameuse scène du sonnet : jugeon
e l’esprit? Faut-il lui répondre : Non ? Eh bien ! c’est justement la question que fait tout homme qui vient vous lire ses vers 
vers autant de naturel qu’il pourrait y en avoir en prose a résolu la question , puisque, sans rien ôter à la vérité, il a donné
rivant dans sa maison, répond à tout ce qu’on lui dit par cette seule question  : Et Tartufe? et s’apitoie sur lui de plus en plu
83 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
de reste si pleine de séduction ? Si j’en excepte le petit morceau en question , le Chevalier a beaucoup loué son Uranie, et n’a
le Chevalier de n’avoir point réfléchi à cette obscure et périlleuse question du laid. Il est dangereux de prononcer ce mot ; i
avec soin le choc des idées, et ne laisse paraître sur aucune grande question le fond de sa pensée. Toute sa réponse fut de m’i
ndre une cinquième, en attendant les autres. À dîner, il ne fut point question des problèmes qui nous avaient occupés, mais bien
onne, sans y penser, avec un ait naturel. Dans un pays où la première question que l’on fait sur un homme d’État, sur un grand c
tion succédant à l’esprit et la pédanterie à la science ; le goût des questions et l’ardeur des querelles religieuses, l’impiété
84 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
eraient les rivaux des rois. Pour en revenir à la comédie dont il est question , Molière s’est inspiré des peines racontées par l
interroge, après beaucoup d’autres, le pyrrhonien Trouillogan sur la question du mariage. Cette pièce fut représentée pour la p
d’être compliqué d’une certaine cassette dont il n’a été que fort peu question , et qui donne matière à Tartufe d’accuser Orgon p
l’honneur des dames romaines, il faut ajouter qu’il est beaucoup plus question de courtisanes que de femmes mariées dans les œuv
ant cette pièce ainsi que celle des Fourberies de Scapin dont il sera question tout à l’heure, n’offre pas une morale aussi bien
le de ce temps-là. On a beaucoup débattu, dans ces derniers temps, la question de savoir si le sentiment populaire était resté,
un autre côté, à son confesseur, toutes les fois qu’il touchait cette question des legs et des dons pieux: parlez-moi latin, mon
revient souvent sur ce défaut. Dans la Femme d’intrigues, agitant une question renouvelée dernièrement par un spirituel écrivain
85
où le jeune Poquelin a connu le vieux poète Goudouly ? Pour nous, la question n’est pas douteuse. La présence de Molière à Toul
t l’été de 1658. Quant au séjour de 1643, comment n’en a-t-il pas été question plus tôt ? On se l’explique difficilement, lorsqu
on à cet égard, et vous passez outre. Je conviens avec vous que cette question est loin d’offrir les mêmes apparences de certitu
ls à leur charge ? Les documents ci-dessous répondent en partie à ces questions . Voici, en effet, ce qu’on lit dans les comptes d
utre, que les bagages de la troupe sont assez considérables qu’il est question de 68 quintaux ce qui semble indiquer un matériel
tifier ses contemporains et même ceux qui doivent leur succéder. — La question était et reste encore pendante : — 1º Était-il po
fagots ; mais en vénérer une fausse devient tout à fait humiliant. La question à élucider est donc celle-ci : l’os attribué par
ulé un intervalle de 131 ans. Désireux d’élucider jusqu’au bout la question de la rue de la Tonnellerie, et alléchés par l’ex
86 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
rappés. Ergaste obtient un rendez-vous d’Orphise qu’il aime ; il est question de le lui faire manquer, en lui suscitant des imp
87 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Scenes. » pp. 223-249
presse en effet Célimene de faire un choix ; mais il n’est nullement question , dans cette scene, des deux Marquis. Je demande b
très bien les beautés inestimables de cette piece ; & s’il étoit question d’en faire l’éloge, je saurois peut-être dire ave
88 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
e Scolie, et enfin l’île Notre-Dame, dite la place de Délos. Il n’est question dans aucune de nos chroniques, du quartier du Lou
ui, des sciences ou de la poésie, est due la prééminence. On agile la question de savoir si l’histoire doit être préférée aux ro
ontre ce système, dans lequel elle ne trouve que de la barbarie. Les questions sur la langue sont innombrables ; elles viennent
89 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
nda une de ses heures perdues, pour lui faire une lecture. L’homme en question se trouva si honoré de ce compliment, que, toutes
oir l’ordre qui nous a mis tous à deux doigts de notre perte ; il est question présentement de voir ce que nous avons à faire ».
la France perdit Molière, on ne vit pas, dit M. de Voltaire dans ses Questions sur l’encyclopédie, une seule Pièce supportable,
en proverbe, assassiner, c’est le plus sûr. M. de Voltaire, dans ses Questions sur l’Encyclopédie, prétend que « Molière a risqu
mile de M. Rousseau ; c’est une infidélité de la part de l’Auteur des Questions sur l’Encyclopédie ; le mot d’assassinat, si révo
très-gros intérêt. Ergaste accepte la proposition ; et il n’est plus question que de le mettre aux mains avec l’Usurier. Le N
Scherer p. 1134.) 139. C’est Mademoiselle Beauchateau* dont il est question ici et non Mademoiselle du Château. 140. Prévil
90 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
t qui est presque toute neuve. Je ne vous cacherai point qu’une autre question se présentera à la suite : Comment se fait-il que
des sensations concomitantes. Mais je ne tiens pas à élargir ainsi la question . Je m’enferme dans celle qu’a soulevée au théâtre
naturellement il en est scandalisé. A-t-il tort ? A-t-il raison ? La question est oiseuse à débattre, puisque nous n’y pouvons
de ce coup bizarre de piquet que lui explique Alcippe. Car toutes les questions de jeu passionnaient les hommes de la cour. Moliè
un point de casuistique amoureuse et qui lui demandent de trancher la question . Ces femmes sont des fâcheuses, puisqu’elles l’ar
agénaires. Cette loi de nature, Arnolphe n’en a tenu aucun compte. La question d’amour n’est pas entrée dans ses calculs. Chose
ours dans le secret de leurs œuvres, et fort souvent ils touchent des questions qu’ils ne prétendaient pas résoudre, dont ils ne
s L’École des femmes, est sorti, par l’effort lent de la critique, la question bien autrement générale de l’éducation des filles
urd’hui, en voyant jouer L’École des femmes, de ne pas songer à cette question philosophique et même à quelques autres. Mais je
-même dans Amphitryon ? M. Anatole de Montaiglon a réponse à ces deux questions  : Pour la première, il rappelle l’amitié de Moliè
mme d’un si grand goût et d’une éducation si raffinée. Non, c’est une question de fait que je discute avec lui. Il prétend que l
s pas, les motifs de mon isolement. Weiss m’avouera bien que, sur une question de fait, celui-là est plus compétent qui l’a plus
ncore ? et à force de le tourner et de le retourner, de le presser de questions , Dumas finit par découvrir le pot aux roses. — Eh
je persiste à croire que Molière n’en est pas coupable. Je soumets la question à mes collègues de l’Université. S’il s’en trouva
vieille. Elle ne le sera jamais. Tout cela, bien entendu, sans aucune question de personnalité. Recevez, mon cher Sarcey, les me
re (car Le Malade imaginaire, quoi qu’en dise Coquelin, n’est pas une question de cabinets) je dirai à notre ami que Saint-Léon
s la disposition d’esprit où se trouvent les douze cents personnes en question , au moment même où il leur parle. Eh bien ! moi,
s disons dans l’argot de coulisse, à la cantonade ; il est sans cesse question de lui, mais il ne paraît pas. Ce n’est qu’au der
n temps, il les a portés au théâtre et il en a usé. Il était beaucoup question autour de lui de l’égalité des hommes, il s’en es
mour et du hasard, je m’étais engagé à examiner avec nos lecteurs une question de doctrine théâtrale, qui ne laisse pas d’avoir
elle vraie ? Ce n’est pas mon dessein pour le moment de traiter cette question . J’y reviendrai un de ces jours, car je fais à ce
it du pour et du contre. Voltaire si l’on s’en souvient, examinant la question à sa manière, avait, dans la Vision de Babouc, mo
affaire ; l’un et l’autre se disputent sur un point qui n’est pas en question . Qu’il y ait la disjonctive et ou la copulative o
rs de héros ? Il faudra que nous revenions ensemble un jour sur cette question .
91 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
ircumfusa repente Scindit se nubes. J’ai donc voulu, puisqu’il était question de la comédie et de ses alentours dans les chapit
de comédiens ? Essayons de répondre à l’une et à l’autre de ces deux questions . Les Marionnettes et les comédiens. — De la cri
c a créé le rôle du grand Frédéric dans Les Deux Pages ? Ô les belles questions à se faire, par Dieu ! Et que voilà bien de charm
ission, il l’avait tout simplement acceptée. Aussi, jamais la dame en question n’était traitée que selon ses mérites. Pour celle
eux, c’est justement ce qui les fait vivre. Mais ce n’est pas ici la question . La question est que Mégani est revenu dans son p
ustement ce qui les fait vivre. Mais ce n’est pas ici la question. La question est que Mégani est revenu dans son pays plus remp
té l’atmosphère conjugale. — Mais encore une fois, ce n’est pas là la question . La question est, qu’une fois comédienne et quand
re conjugale. — Mais encore une fois, ce n’est pas là la question. La question est, qu’une fois comédienne et quand elle a bien
lait être bientôt la ville de Boccace, à l’instant même où il n’était question que du fol amour du comte de Roussillon pour la f
e la langue française. « C’est une réponse qui convient à toutes les questions . Par exemple, vous me demandez : — Ohé ! l’ami, ê
on Dieu, Monsieur ! « Le Ô mon Dieu, Monsieur ! convient à toutes les questions , tout autant qu’une pièce de huit sous à un procu
ristophane n’a rien à voir, et sa comédie n’a que faire. Il n’est pas question de cet homme et de son œuvre dans le Phédon. — Da
ses suffiraient à une charretée d’obscénités et de licences, c’est la question encore débattue des femmes auteures, magistrales
ébattue des femmes auteures, magistrales et députées. Que dis-je ? la question du club des femmes résolue en 1818 par madame Nib
de leurs ridicules, de tous les travers que Molière a poursuivis ? La question est compliquée, et pourtant elle n’est pas d’une
armant ! portrait de mon amie ! Alors survient à coup sûr la femme en question  ; elle arrive sur la pointe du pied, le corps pen
92 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
able, ou de peur de lui faire du tort. Je n’ai garde de decider cette question . Mais quand Marcel auroit omis ce fait pour ne pa
ngent dans le desordre lorsqu’un remords va l’en retirer. †C’est une question souvent agitée dans les conversations, savoir si
ir l’ordre, qui nous a mis tous à deux doigts de nôtre perte ; il est question presentement de voir ce que nous avons à faire. H
anda une de ses heures perduës pour lui faire une lecture. L’homme en question se trouva si fort honoré de ce compliment, que to
endre par un troisiéme hom ! hom ! obligeant, qui sembloit décider la question en sa faveur. Chapelle s’échauffe, & criant d
de plaisanter sur une affaire aussi serieuse que celle-ci, où il est question de l’honneur & de l’établissement de Monsieur
e & qu’il meritoit en effet. Mais dans l’Art Poëtique où il étoit question de proposer des Modelles, & de marquer en mêm
rofession du defunt & non point de ses mœurs, dont il n’étoit pas question . Le jour qu’on le porta en terre il s’amassa une
93 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
mplaire de M. de Spoelberch Principe général très propre à décider la question entre Molière et Shakespeare10. Pour peindre un
s autres ouvrages légués par Stendhal ; je n’ai pas osé aborder cette question qui me paraît très délicate. Je serais heureux d’
épond trop au long. Il dogmatise mal à propos. C’est comme si à cette question simple : quel tems fait-il ce matin ? je répondai
it arrêté court, un instant, par un argument jaculatoire d’Orgon, une question , etc. Cette scène dans L… est bonne, mais bien mo
e comique de celle qu’il présentera par la suite, en nous ôtant cette question que nous nous ferions. Que va faire G. Dandin apr
Lubin … Pourquoi il ne fait jour la nuit. Clitandre C’est une grande question , et qui est difficile. Tu es curieux, Lubin. Pei
pointement de cette prétention. Clitandre Et j’aime que souvent, aux questions qu’on fait, Elle sache ignorer les choses qu’elle
nt mieux que ceux de Cimabue. Hier, au théâtre, je me suis fait cette question  : quelle est la plus forte passion des femmes ? i
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
i n’est pas accoutumé, ni à de pareilles épithetes, ni à de pareilles questions , lui dit qu’il est de la suite du Roi, & qu’i
coquin, de menteur : Henri cache son cordon bleu, répond à toutes les questions du paysan, avec cette bonhommie qui lui gagna tou
95 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240
ne société et’ parmi des amis illustres, qui discutaient vivement les questions religieuses ; protégé par un roi qui s’occupait d
le, et qui ne prouve rien. Mais la note est plus grave : « Une petite question indiscrète ; ceCléante fait-il encore ses Pâques 
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. De la liaison des Scenes. » pp. 250-260
se trouveront tout naturellement enchassées dans l’article où il sera question des épisodes. Je veux me répéter le moins qu’il m
97 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
opinion commune est que Moliere doit entiérement la piece dont il est question au canevas italien ou au Médecin volant de Boursa
98 (1769) Idées sur Molière pp. 57-67
ssion que son génie ne puisse ennoblir, que cette opinion tient à des questions délicates, que les grands talents et les bonnes m
99 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIX » pp. 319-329
ne de ses lettres ; mais je me garde bien de m’en vanter, de peur des questions infinies que cela attire. Le rendez-vous du beau
100 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
cas est grave ; il crache, allons, décidément cet homme est fou ! La question des aliénés qui nous préoccupe si fort à cette he
ue personne les fît connaître ? » Depuis que Beffara adressait cette question au public, bien des années se sont passées et les
gération, sans doute, dans cette façon de raisonner et de traiter les questions littéraires, mais il y a pourtant aussi une grand
ce qu’il a beaucoup aimé Molière. V. Molière comédien C’est une question curieuse et intéressante à résoudre que celle de
nte à résoudre que celle de savoir si Molière fut un bon comédien. La question est à peine faite, d’ailleurs, qu’elle se trouve
évu de la morale, n’avait pas rougi dans un livre publié par lui, Les Questions d’amour, de poser des questions et de formuler de
      Que d’envoyer quérir l’Auteur. Dans une autre épitaphe, il est question de         L’inutilité du savoir De ceux qui fon
manqué de forces pour le surmonter. » 48. On retrouve là, dans les questions incessantes d’Élomire : Lazarille, ai-je pas le t
les prétendus empoisonnements supposés contre le dit Guichard. Il est question là, non seulement de Lulli, mais de la femme de M
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