ntre le culte des faits. L’Académie française a mis au concours cette
question
: « De la nécessité de concilier dans l’histoire
ve habituelles, elle a indiqué d’avance et imposé sa solution avec la
question
. Le philosophe le plus original de notre temps, l
viner. — Mon cher lecteur, j’ai fini ma tâche. Il y a aujourd’hui une
question
pendante, la question de la critique littéraire.
eur, j’ai fini ma tâche. Il y a aujourd’hui une question pendante, la
question
de la critique littéraire. Un autre l’eût d’abord
bonne foi qui pense que la science humaine peut résoudre au moins la
question
de la critique littéraire, qui confesse sa propre
ruse au lion, la force au renard, ni la grâce au paysan du Danube. La
question
du goût est la plus délicate des trois questions
paysan du Danube. La question du goût est la plus délicate des trois
questions
particulières qui composent la question générale
t la plus délicate des trois questions particulières qui composent la
question
générale de la critique littéraire. Le goût a cec
tolérance de l’esprit historique. Et les théories ! voilà encore une
question
. Il ne s’agit pas de savoir si les conseils prati
pportait de l’indépendance, plus que de l’indépendance même, dans les
questions
religieuses ; mais il y a bien loin de là à en fa
bien intentionnés, mais qui mêlent la politique à la littérature, les
questions
sociales aux questions artistiques, qui exigent d
qui mêlent la politique à la littérature, les questions sociales aux
questions
artistiques, qui exigent d’un auteur qu’il ait un
. Je passe tout de suite à la différence capitale, au fond même de la
question
. On nous dit : si Arnolphe est berné par Agnès et
n’y a pas moyen de s’entendre ? C’est une tout autre pièce ; c’est la
question
d’éducation qu’on fait intervenir et qui dominera
emier par une sauvage, le second par une civilisée. L’éducation et la
question
d’éducation n’ont rien à voir là-dedans. Admetton
e de l’École des femmes. Est-il acceptable, je vous le demande, si la
question
d’éducation avait été mise en jeu, que personne n
le gros travail de l’époque ? Est-ce qu’on pourrait y apercevoir une
question
d’éducation, telle que nous l’entendons aujourd’h
et qui occuperont des situations privilégiées. Une seule fois il est
question
des autres, et dans quelle proportion ? Une femme
seront venus, lorsqu’ils auront remué toutes les idées et toutes les
questions
, qu’on parlera d’éducation comme nous le faisons
s savantes, est des plus nettes, des plus vives et des plus dures. La
question
d’éducation y est dépassée de beaucoup. C’est la
oposent expressément pour but de répondre à l’éternelle et redoutable
question
: Comment faut-il élever les filles pour en faire
rne pas à la pure érudition. Il introduit discrètement et finement la
question
d’art dans l’étude des faits, et sans manquer jam
rature et du goût. I. La comédie du Tartuffe donne lieu à trois
questions
intéressantes : La comédie a-t-elle le droit de s
cument si intéressant dans l’histoire de l’esprit humain. La première
question
est celle dans laquelle se retranchaient, au temp
haient, au temps de Molière, ceux qui ne voulaient pas entrer dans la
question
de fond, et dans la question plus délicate encore
ceux qui ne voulaient pas entrer dans la question de fond, et dans la
question
plus délicate encore de tendances et d’intentions
sur le domaine spirituel, sur les droits de l’Église ? On le voit, la
question
du Tartuffe n’est au fond qu’un de ces cas de con
glise se réservait le droit de juger les souverains et de décider les
questions
mêmes de droit civil, non pas en tant qu’intérêts
ge de défendre la vraie religion ; mais le monde répondait que, toute
question
de piété mise à part, la famille, les intérêts et
s auraient un côté commun avec les intérêts religieux. C’est donc une
question
qui relève d’une sorte de tribunal idéal des conf
en serait pas moins obligatoire pour tous les hommes. »On voit que la
question
de l’hypocrisie posée par le Tartuffe s’applique
igion dans la sienne. Tartuffe devait-il être joué ou non ? C’est une
question
de police. Mais Tartuffe devait-il être fait ? C’
une question de police. Mais Tartuffe devait-il être fait ? C’est une
question
d’art. Ici, la conscience de Molière était souver
. Nous avons voulu, en nous plaçant à notre point de vue, discuter la
question
du Tartuffe comme une question de casuistique mor
çant à notre point de vue, discuter la question du Tartuffe comme une
question
de casuistique morale, et nous croyons, à ce poin
sais s’il y aurait quelque chose à ajouter. Mais peut-être est-ce une
question
de psychologie et de morale, autant que de goût,
te justification. Il reste encore, à propos de Tartuffe, une dernière
question
: c’est celle des sentiments personnels de Molièr
ns touché incidemment dans les pages précédentes ; mais comme la même
question
se reproduira au sujet de Don Juan, nous l’ajourn
its qui servent à dessiner son caractère d’impie et d’athée. La vraie
question
se déplace et se réduit à celle-ci : Molière deva
rain interdit, que tout appartient à la comédie et à l’art, et que la
question
n’est que dans l’exécution. Il ne s’agit donc pas
t que Molière a voulu faire une comédie et non un drame. Une dernière
question
qui se présente à nous et qui concerne à la fois
s ne sont-elles pas l’œuvre d’un précurseur de Bayle et de Voltaire ?
Question
délicate, difficile à résoudre et qui ne ne sera
pour lui en cagotisme et en hypocrisie ; qu’en un mot, sur toutes ces
questions
, il était placé au point de vue mondain et latitu
cher. Est-ce sa faute ou la faute de ceux qui rient de lui ? Voilà la
question
. Après tout, qu’y a-t-il de risible à dire aux ho
fier, elle ne modifierait pas le sens général de la comédie. La seule
question
importante est de savoir si Arnolphe est un perso
uvegardé ; mais que devient le sens de la pièce ? N’est-ce pas là une
question
impertinente ? M. Provost, pour ne laisser aucun
nouveauté en sacrifiant le bon sens ? Pour le personnage d’Orgon, la
question
est toute différente. Ici la méprise se transmet
rouvées par le bon sens, ce n’est là pour le plus grand nombre qu’une
question
sans importance. Le théâtre est un lieu de plaisi
ns dépit sa femme oublier l’éducation de ses enfants pour traiter les
questions
du beau langage et suivre le cours des planètes.
ssaierai pas de convertir les indifférents. Pour sentir la valeur des
questions
littéraires, il faut être doué d’une faculté part
te sur les mœurs et sur l’opinion, et lorsqu’il s’agit de Molière, la
question
s’élève. Il n’est donc pas inutile de signaler le
dû à leurs longs services, cet argument ne changera pas l’état de la
question
. S’il y en a parmi eux qui se trompent depuis tre
’un Œdipe. Une clairvoyance ordinaire suffît pour résoudre toutes les
questions
qui peuvent se présenter. Toutes les traditions i
eu, & le défend avec le plus grand zele. Je pense qu’il est assez
question
de lui dans cette scene. Scene II. Dorine peint
ît. Du moment où la toile se leve, jusqu’à l’arrivée du héros, il est
question
de lui dans toutes les scenes, si l’on excepte la
les bras de Tartufe. Tartufe seul a donné lieu à la scene. Il n’a été
question
que de lui dans le commencement de la scene, &
ici. Pour le coup, je m’en vais. Ah ! ma foi, la voici. Il n’est pas
question
du Glorieux dans ce bout de scene : comme elle n’
son pere malade, & veut envoyer chercher le Médecin. Il n’est pas
question
du Comte. Scene VIII. Lisette & Valere s’ent
e cela, on parle du Comte de Tufiere ; mais il ne sera pas long-temps
question
de lui. Scene V. Le timide Philinte vient ennuye
e pour terminée. Enfin, j’ai discuté à nouveau dans ces articles deux
questions
sur lesquelles on n’est pas près de s’accorder :
l faille mettre l’intelligence des œuvres du grand poète comique, les
questions
que soulèvent certaines de ses créations telles q
e parvenue a s’accorder à leur endroit, qu’il faille mettre de telles
questions
fort au-dessus de celles qui se rattachent a l’hi
il faut le reconnaître, du moins des recherches personnelles sur les
questions
accessoires encore controversées, des points de v
e pas convaincre tout le monde. Mais que ceux qui s’intéressent à ces
questions
lisent ou relisent l’article de M. Larroumet : ou
de la femme de Molière une sœur de Madeleine compliquent justement la
question
qu’on semble croire qu’ils ont décidée6. Je puis
ans cette histoire de la famille de Molière qu’on croit si connue. La
question
, comme on va le voir, ne touche pas seulement à l
uteur du Cid est inhumé, cette invitation souleva une fois de plus la
question
de savoir quel est le sentiment de l’Église à l’é
éciale en matière d’histoire ecclésiastique, M. A. Gazier, examina la
question
dans la Revue critique d’histoire et de littératu
84, sous ce titre : La sépulture ecclésiastique donnée à Molière. La
question
du lieu où fut inhumé le grand poète et de l’auth
en parfaite harmonie, et si du Tillet n’avait rien écrit de plus, la
question
pourrait être tenue pour vidée, et l’on se demand
es comédiens ne sont pas excommuniés et ne l’ont jamais été. Reste la
question
de la sépulture ecclésiastique et des difficultés
’opinion de M. de Trallage sur son compte. Passant tout de suite à la
question
des sentiments et des agissements de l’Église à l
es, et dont il importe de tenir grand compte, car elles placent cette
question
. sous son vrai jour. Je me suis expliqué là-dessu
té du prince, ne faisait point loi pour le clergé : il y avait là une
question
controversée qui relevait de l’appréciation du. p
e à qui les comédiens de la troupe du roi demandaient les sacrements.
Question
d’appréciation aussi, celle qui consistait à déci
lanir. On pourrait même faire le public juge en dernier ressort de la
question
et de la solution donnée par les experts, en expo
et l’autre : 1° J’ai examiné à Montpellier, en 1877, la quittance en
question
. Elle m’a paru, en tant que pièce, parfaitement a
tiens à remercier publiquement M. Jules Loiseleur d’avoir soulevé la
question
des autographes de Molière. Si, comme je l’espère
écaire de la ville d’Orléans, a appelé l’attention des lettrés sur la
question
si controversée de l’écriture de Molière : il a m
sait même pas ce mot de symbolisme ; M. de la Pommeraye généralise la
question
: il en signale dans Béatrix, dans Don Quichotte,
Alceste envisagée surtout au point de vue historique, de reprendre la
question
à un point de vue exclusivement littéraire : il n
tats acquis qu’à discuter des problèmes et à pénétrer dans le vif des
questions
. L’auteur m’a, en maints endroits, fait l’honneur
et des conjectures ingénieuses sur Le Dépit amoureux et sur nombre de
questions
relatives à Molière. Il ne paraît pas du reste le
èce ni au caractère du Misanthrope : l’énigme porte uniquement sur la
question
de savoir si certains originaux ont posé devant l
propose pas des problèmes rares, exceptionnels ; elle lui soumet des
questions
qui intéressent sa vie quotidienne et elle lui of
Que l’on regarde la manière dont il a étudié, à maintes reprises, la
question
si délicate et si complexe du mariage : qu’on la
qu’en ont faites nos dramaturges contemporains. Pour lui toute celte
question
se résume en deux points : la loi de nature et la
rre : la pièce espagnole, d’où le sujet est originaire, examinait une
question
religieuse qui, pour différents motifs, semble av
a littérature dramatique, avait donné une réponse affirmative à cette
question
. Pour la première fois, la seule, peut-être, le m
profonde. Le haut talent de mes amis et confrères et la gravité de la
question
méritaient mieux, je le crois sincèrement mais ch
de prendre les devants si elle veut : au sein des ménages, c’est une
question
d’activité. — Et c’est là la nouvelle Ecole des
ière lui-même, Molière ressuscité, serait encore Molière. — C’est une
question
. Il trouverait tous les sujets primordiaux mis en
t gêner la liberté de ma discussion. Non. J’aime mieux répondre à une
question
que je crois lire sur beaucoup de lèvres : vous a
up d’œil par-dessus nos frontières et voir que la maladie dont il est
question
entre nous depuis le commencement de cet entretie
un homme, dans les pays à divorce, c’est d’avoir divorcé !... Sur ces
questions
terribles, c’est l’enfant que je voudrais surtout
ns prétendre pourtant que toutes les dames anglaises aient le goût en
question
, Dieu merci ! Eh bien ! pour l’autre mot, le mot
dans une petite affaire qui m’est arrivée. Grapignant. De quoi est-il
question
? Le Voleur. Je marchois sur le grand chemin, qua
iques & plus moraux : mais j’aime mieux aller au fait dont il est
question
dans cet article, & prouver que l’Auteur qui
uvert à une bonne table, & nous ne ferons pas une comédie. Il est
question
de peindre les vices de la finance moderne pour c
eur ? Il me le paroîtra sans doute. Mais aux autres ? C’est une autre
question
». M. Diderot ne semble-t-il pas avouer par-là q
à-dessus en parlant du genre larmoyant. Ce n’est point de quoi il est
question
présentement. Je veux faire remarquer que M. Dide
l’esprit. La première, la seconde et la troisième (5) » Et de quelles
questions
cette logique-là s’occupe ? On ne m’en croirait p
ond même que l’école de médecine, et non moins au courant qu’elle des
questions
à la mode : Voulez-vous savoir, en effet, « si la
Trouver à laquelle appartint Molière, ce sera achever de résoudre la
question
que nous avons posée au début de cette seconde ét
vons vu encore qu’un côté, et, j’ose dire, le moins intéressant de la
question
qui nous occupe. Si même on me permet une compara
agma de Gassendi (50). Nous pouvons donc maintenant aborder la grande
question
: N’y a-t-il pas un rapport intime entre la moral
de quelques critiques. Au fond, il est vrai, il s’agit surtout d’une
question
de mots ; mais sous les mots nous retrouvons les
(60). Voilà bien, ce me semble, la dernière réponse à notre dernière
question
. — Mais à peine trouvée, je la vois tout à coup g
certitude de la médecine… et naturellement il arrive à traiter cette
question
, savoir si l’intervention du médecin est ou n’est
un homme qu’elle abhorre, met le couple amoureux au désespoir. Il est
question
de briser des nœuds mal assortis, pour en former
aut essentiel dans la piece, comme nous le remarquerons quand il sera
question
de l’art de traiter les caracteres ; & l’Aute
en fait de choisir ce titre. Dans l’Impromptu de Versailles, il n’est
question
que d’une répétition de comédie, qui pouvoit se f
comment il avait appris la déclamation. Après avoir satisfait à cette
question
et à plusieurs autres qui lui furent faites, Moli
de plaisanter sur une affaire aussi sérieuse que celle-ci, où il est
question
de l’honneur et de l’établissement de monsieur. A
et qu’il lui dit gravement : « Monsieur, c’est une grande et subtile
question
entre les docteurs, de savoir si les femmes sont
que signifiait la satire qu’il venait de lancer. On a discuté sur la
question
de savoir si, en écrivant Les Précieuses, il avai
ources. Rien de plus animé que cette simple conversation sur quelques
questions
littéraires, qui suffît à Molière pour dessiner a
ère la même méthode qu’avec Corneille et Racine : avant d’aborder les
questions
générales, nous étudierons quelques-unes de ses p
ndamnée par les circonstances. Mais par quelles circonstances ? Grave
question
, que je tenais à poser et à laquelle, je l’avoue,
plus agréable, ou bien serait-ce peut-être à Ninon de Lenclos ? Grave
question
, que nous aborderons en son lieu, lorsque nous ét
vent le fond d’une âme. Au moyen d’une conversation familière sur une
question
de littérature, Molière a réussi, dans La Critiqu
e que soit l’entretien, il s’anime, il se concentre, il va serrant la
question
de plus près; puis, dans chaque personnage, il ex
est vrai que, dès la première scène, Le Misanthrope fait songer à une
question
morale, qui reparaît un peu partout; mais c’est l
oblesse. Au reste, le rôle de Philinte est le seul qui puisse être en
question
un instant. Alceste est aussi un grand raisonneur
stion fatale : Qu’est-ce que l’homme ? Seulement Hamlet donne à cette
question
redoutable une étrange portée; il embrasse l’univ
t par celles que dans sa vie intime avait faites Molière lui-même. La
question
morale qui naît du développement de l’action a de
s préoccupé les écrivains français : c’est, nous l’avons dit déjà, la
question
de savoir ce que vaut en fait la vertu des hommes
eur de famille et c’est de mariage qu’il s’agit. Dans la réalité, les
questions
de mariage sont parfois fort épineuses; mais dans
de l’humanité; ou, si elle le fait encore, c’est en s’attaquant à des
questions
plus immédiatement pratiques, qui offrent plus de
pas toujours été parfait, en quoi fut-il manqué ? Voilà de nombreuses
questions
, auxquelles nous chercherons à répondre en partie
consacré au comique une étude à part, et ils ont rencontré sur cette
question
des idées ingénieuses et profondes. Mais de tous
et à la touche plus hardie. C’est Molière en main qu’il faut juger la
question
. Alceste et Hamlet sont deux créations presque ég
d’achèvement; si, dis-je, on tient compte de tous ces éléments de la
question
beaucoup trop oubliés, on hésitera, on se refuser
ns d’un pas trop rapide, et dont il nous a paru utile de détacher une
question
spéciale pour l’examiner à part. Nous voulons vou
onne tout au diable de bon cœur. Dans L’École des femmes s’agite une
question
du même genre. Il s’agit de savoir s’il faut rete
au venu. Heureusement pour elle que le hasard la sert assez bien. Les
questions
qui se posent dans ces deux pièces ne manquent as
ns-nous d’élargir le cadre outre mesure. Rentrons promptement dans la
question
spéciale qui doit nous occuper. Le XVIIe siècle d
e parlent de la manière la plus explicite et la plus piquante sur les
questions
nombreuses qui concernent l’éducation de la femme
t-il bon à toute femme d’étudier avec plus de soin une branche ou une
question
spéciales. Comme elles sont facilement disposées
evé. En abordant dans L’École des maris et dans L’École des Femmes la
question
de la liberté qu’il convient de laisser aux jeune
de l’homme, qui doit l’associer à sa destinée. Par là il rabaisse la
question
. Arnolphe déclare que c’est pour n’être point sot
roulent d’un bout à l’autre sur cette seule idée. Or accorder dans la
question
dont il s’agit la première place à des considérat
maîtresse, — non sa compagne. Les conséquences d’une erreur dans une
question
pareille sont innombrables. Nous aurions beaucoup
lévation. L’œuvre de Molière s’en distingue-t-elle avec avantage ? La
question
n’est pas de celles auxquelles on peut répondre d
us encore, s’élève au-dessus de cette région moyenne où s’agitent les
questions
de convenance, et qui est la plus mâle expression
on lui a intenté. Que cela suffise ou non, c’est un des éléments delà
question
, et l’un des plus importants. Le Tartuffe n’a pas
conversation soit coupée, qu’ils s’interrompent mutuellement par des
questions
& des répliques précipitées ? Ils s’en garder
les situations qui veulent qu’un interlocuteur réponde prestement aux
questions
qu’on lui fait, ou à celles qui exigent au contra
ontraire à voir les efforts que fait le neveu pour éluder la fâcheuse
question
de l’oncle. ACTE II. Scene VI. Géronte. Me paro
d’exemples qui trouveront mieux leur place dans l’article où il sera
question
du juste embonpoint des pieces, des scenes, du di
us grand de tous les auteurs et acteurs comiques, on ne parlait de la
question
générale des spectacles ; car enfin, si le specta
ssi. N’ayant en vue que la morale, on ne prétend point examiner cette
question
par le côté de l’histoire ni par celui de la crit
édiens, il est nécessaire de remarquer quelle n’a jamais vu là ni une
question
de dogme ni une question de morale proprement dit
de remarquer quelle n’a jamais vu là ni une question de dogme ni une
question
de morale proprement dite, mais simplement une qu
dogme ni une question de morale proprement dite, mais simplement une
question
de discipline, qui par là même n’a point un carac
odique, et non plus d’ensemble, que le nouveau commentateur étudie la
question
; Le Sicilien, ou l’Amour peintre sert de texte n
urd’hui l’opéra-comique. Ainsi envisagé, Le Sicilien nous ramène à la
question
musicale, et l’on se demande avec l’auteur de l’E
e composer bien plus facilement l’idée totale de la comédie. Toute la
question
est de savoir si nos notions idéales dépassent en
secte. Mais je conseillerais au troisième logicien de ne pas tenir la
question
pour vidée, et puisque le chant du rossignol nous
, beaucoup d’esprit, et le sens commun est faillible. Pour décider la
question
entre ces deux autorités, il faudrait que j’eusse
lorsqu’il jette à Agnès, dans un transport d’amour et de rage, cette
question
d’un comique si sublime : Pourquoi ne m’aimer pa
arla définir ! Je voudrais que Socrate l’entendit. Avec deux ou trois
question
sans malice, il l’aurait bientôt mise en contradi
ope et Les Plaideurs, son admiration est si banale, qu’à cette simple
question
: Laquelle préférez-vous ? elle hésite, et déclar
euves du nouveau monde, les buveurs échauffés agitaient en tumulte la
question
de savoir si le Tennessee se jette dans l’Ohio ou
est-ce l’Esthétique de Hegel que Galopin ira chercher pour décider la
question
? Il n’y a point d’idée du comique. Il n’y a poin
nne foi. Dans un dialogue célèbre de Platon, Socrate examine cette
question
: Si la rhétorique est un art ou une science. Au
pas sur lui ; si enfin la scene est un seul moment sans qu’il y soit
question
de lui. Dans la Métromanie, ouvrage qui immortali
es mots sont synonymes, me répondra-t-on. Point du tout. Il n’est pas
question
de décider ici si nous avons de vrais synonymes d
ere, & je vais prouver que j’ai fait un bon choix. Comme il n’est
question
dans ce Chapitre que de l’action de la piece, dep
it, Harpagon a toujours été sur la scene, ou bien il y a toujours été
question
de lui. Dans tout ce qu’il a fait, dans tout ce q
ur son Avocat, & celui-ci lui conseille de faire bée à toutes les
questions
. Le marchand est bien surpris lorsqu’il voit à l’
rts de la clavelée : Patelin lui ordonne de répondre bée à toutes les
questions
qu’on lui fera. Acte III. Bartholin Juge donne a
s » ? Doucement, ce n’est pas sans dessein que j’ai fait une pareille
question
; on pourra bientôt juger par cet exemple de la d
les muets ? Je n’en ai jamais vu rire. Frontin. Ah ! voici une belle
question
! Et comment veux-tu qu’ils rient, nigaud ? Ils r
le muet ; & ce dernier est toujours tenté de parler lorsqu’il est
question
de manger ou de boire. Son maître lui montre à co
u savant avec lequel il vient d’avoir une dispute très vive. Il étoit
question
de décider si la matiere passe avant la forme. Ar
linge, & feindre des douleurs graduées : mais du moment qu’il est
question
de la matiere, il ne peut que devenir fastidieux.
erniere, Arlequin l’a renouvellé. Il ne manque pas de faire les mêmes
questions
à celui qui l’interroge ; il le prend ensuite par
equin lui jure un secret à toute épreuve. “Mais si l’on te donnait la
question
? — Rien ne saurait m’ébranler. — C’est ce que no
voir.” Alors, prenant le ton du barigel, le maître feint de donner la
question
à son valet, qui s’empresse de tout avouer. Don J
a tête de Don Juan, qui le jette au loin, et qui lui fait beaucoup de
questions
sur la jeune veuve dont il est fort tenté. Le gou
C’est ce dernier parti que j’avais adopté. J’eus donc à m’occuper des
questions
de sources et d’origine, et je m’attachai notamme
tte étude quelques éléments nouveaux, que le lecteur qui a étudié ces
questions
saura facilement reconnaître. En terminant, j’adr
ipatétisme intolérant appelant la persécution à son aide, ce sont les
questions
oiseuses, les distinctions subtiles de la scolast
, les universaux, les figures Barbara, Celarent, etc. dont il est ici
question
, n’ont évidemment aucun rapport avec la philosoph
ontre Descartes.Mais on voit que dans toute cette discussion il n’est
question
que de physique, et que le passage de Grimarest s
ce sont des in décences pires que les plus ridicules affectations. La
question
est de savoir si un vieillard pourra réussir à s’
e, veut savoir les particularités de leurs entretiens. Après quelques
questions
générales, il en vient aux détails. Arnolphe. N
ccusé d’un crime qu’il n’a pas commis. Le Roi se doute que la Dame en
question
est Isabelle : il promet au Duc de l’excuser aupr
tre monde & des convives de pierre. On fait à la Statue plusieurs
questions
sur l’autre monde. On lui demande si le pays est
la plus grande partie des Auteurs qui ont traité le sujet dont il est
question
, aient fait mettre le valet de Don Juan à table a
ve, fait mettre son valet à table pour lui faire plus commodément des
questions
, & pour l’engager à lui être favorable. Arleq
sposition de scene, mais tous se ressemblent par le fond. 29. Il est
question
ici des gens de goût, & non de la populace, q
ous. On est accoutumé, sur cette terre du refuge, à procéder en toute
question
avec liberté. II y existe des partis, mais qui ne
rons-nous les moyens d’élever la vie au niveau du cœur ? Telle est la
question
que pose l’orateur, et vraiment il en vaut la pei
l’orateur, et vraiment il en vaut la peine. N’est-ce pas là la grande
question
qui revient tous les jours et sous toutes les for
En abordant, dans L’ Ecole des maris et dans L ’Ecole des femmes , la
question
de la liberté qu’il convient de laisser aux jeune
roulent d’un bout à l’autre sur cette seule idée. Or accorder dans la
question
dont il s’agit la première place à des considérat
Rousseau contre Molière J’examinerai cette
question
dans l’ordre suivant : jugement de Rousseau sur l
eau. Cet ordre ropalique, je veux dire qui élargit progressivement la
question
, n’est peut-être pas le meilleur. Après délibérat
il y en ait un et qu’on s’y tienne. Je n’ai pas du tout traité ici la
question
de Rousseau ennemi du théâtre. Cette question gén
s du tout traité ici la question de Rousseau ennemi du théâtre. Cette
question
générale, je la traite à part dans un volume inti
solument comme sur une autre. — Mais vous êtes trop intéressé dans la
question
. — Assurément, et si je ne suis sensible qu’aux i
e nous appartienne pas. Il me semble qu’en traitant les caractères en
question
sur cette idée, chacun des deux eût été plus vrai
, d’où il suit qu’il ne peut pas, qu’il ne doit pas se tromper sur la
question
de savoir avec qui est Molière dans le Misanthrop
la lui est permis surtout dans une pièce qui ne soulève aucune grande
question
, et I’on trouverait assez ridicule qu’il y eût un
ivement à ce que le public doit croire, dans les pièces où une grande
question
est posée, en somme dans les pièces à thèse (Clit
’y a que des vicieux et où l’auteur n’a pas l’air de se soucier de la
question
de la vertu et du vice. Or Rousseau veut une pièc
: Flagitium adspiciens, et conscius, intabescat. Or ce qui rend la
question
difficile et très probablement insoluble, c’est q
obtus et le moins averti sent qu’il est en présence d’une très grande
question
et que, tout en riant, il n’est pas mal à propos
s Femmes savantes, et cette raison est très bonne : c’est que, sur la
question
des Femmes savantes, Rousseau est exactement de l
e ne pas pousser assez loin dans le sens de sa doctrine. Ceci est une
question
d’une certaine importance, dont nous nous occuper
is qu’il dît nettement ce que Molière veut que le public croie sur la
question
qui est soulevée. Le public a besoin de ce person
de la parabase. Surtout quand, comme Molière, on traite, souvent, de
questions
très complexes, très délicates et très graves, il
icateur soit scandaleux dans un homme de lettres. » Généralisant la
question
, nous dirons : la vérité sur les vices de l’human
rogrès très sensible, un grand pas du côté du théâtre qui s’occupe de
questions
graves et qui fait réfléchir. Dès ses débuts à Pa
r s’en prévaloir. L’amour du beau — c’est du beau moral qu’il est ici
question
— est un sentiment aussi naturel au cœur humain q
joute une note qui est celle-ci : « C’est du beau moral qu’il est ici
question
. Quoi qu’en disent les philosophes, cet amour est
distinctions et observer des nuances ; car Molière a varié sur cette
question
; et c’est pourquoi nous n’en viendrons aux Femme
Maris est en contradiction flagrante avec les Femmes savantes sur la
question
de l’éducation des femmes, elle est en contradict
mes, elle est en contradiction avec tout le théâtre de Molière sur la
question
du vieillard amoureux. Elle présente un vieillard
, il avait eues ou accueillies. Toujours est-il que relativement à la
question
féminine, parce que postrema homines meminere, c’
me un peu Arnolphe et Sganarelle. Or, Jean-Jacques Rousseau, sur la
question
féministe, est d’accord avec Molière jusqu’à être
nséquence, quelle éducation lui donnera- t-on ? Pour répondre à cette
question
, il n’y a qu’à se demander pourquoi la femme est
te-puissance : « Les diverses manières d’envisager et de résoudre ces
questions
font que, donnant dans les excès contraires, les
gnès sachant un peu de musique. Rousseau, en dernière analyse, sur la
question
des femmes, pense exactement comme le Molière de
si généreux, si libéral, si émancipateur, si élevé, est-il sur cette
question
dans le même état d’esprit que le bourgeois des b
iable et irréconciliable avec Molière, se trouve en définitive sur la
question
féminine très sensiblement d’accord avec lui, à t
ue suivre son imagination ; ceci n’a absolument aucun rapport avec la
question
posée. Si je voulais me divertir, je dirais même
de ses travaux. En 1848, Bazin emploie pour la première fois à cette
question
d’histoire littéraire, cette méthode ingénieuse,
offrait de leur témoigner leur hostilité. Mais il ne saurait pas être
question
de Tartufe, ni de la cabale, encore moins d’une e
ar conséquent il incline les faits dans le sens de sa thèse. C’est la
question
de l’éducation des femmes qu’il pose dans l’Ecole
l’éducation des femmes qu’il pose dans l’Ecole des Femmes ; c’est la
question
de leur instruction qu’il pose dans les Femmes sa
. Mais enfin puisque Molière nous oblige à réfléchir sur de certaines
questions
, nous voulons savoir quels sont précisément ces q
e certaines questions, nous voulons savoir quels sont précisément ces
questions
. Puisqu’il les a posées, nous devons savoir comme
e venait, dans l’Ecole des Femmes, de toucher obliquement à la grande
question
qui divisait alors les esprits. Ils reconnurent d
portant, et mérite un examen approfondi. Il faut bien qu’il y ait des
questions
de principes engagées dans le procès qu’on fait a
u dialogue y perdrait ? Ces remarques laites, abordons directement la
question
en étudiant successivement la langue, la versific
ion sur cette circonstance, dire qu’au moins Molière fit l’annonce en
question
le lendemain de la défense, devant un public qui
rouver exposé aux plus violents effets de leur ressentiment : mais la
question
n’est pas si simple ; et, à moins qu’on ne veuill
olière n’attaquait pas l’attaquèrent-ils lui-même ? Je suppose que la
question
est faite de bonne foi, et j’y vais répondre de m
dieu qui l’a représenté. Alcmène, à chaque réponse qu’elle fiait aux
questions
d’Amphitryon, lui enfonce un poignard dans le cœu
u’elle a si bien traité. Cléanthis, à chaque réponse qu’elle fait aux
questions
de Sosie, le ravit d’aise, et n’entend rien à cet
er l’une sans l’autre, pour nous transformer en anges ou en bêtes. La
question
du mariage n’est point à discuter dans une sociét
fier à l’intérêt555, et le bien n’est pas considérable, lorsqu’il est
question
d’épouser une honnête personne556. » XIII. Mais
pour les points indiqués plus loin au chapitre IX. D’ailleurs, sur la
question
de Bossuet, voir plus loin, chap. XII. 497. Les
cette année 1660, à Caen, deux libelles qui portaient brusquement la
question
devant le public : un Mémoire pour faire connaist
ffait depuis le moyen âge la gaité des robins. La même année il était
question
, dans l’Assemblée générale du Clergé de France, d
doute, pour aucun des personnages dont ils nous apprennent qu’il fut
question
, rien de ce que nous savons de ces personnages ne
Sainte-Marie. »De même à Dijon, à Grenoble46. Quand, en 1657, il fut
question
de fonder à Borne une Compagnie du Saint-Sacremen
ulièrement Impressions de théâtre, 4e série, p. 45-47. 41. Sur cette
question
, Brunetière, que la psychologie de Molière et la
adou de Rouen et grand-vicaire de l’archevêque. Il est plusieurs fois
question
de la Compagnie dans les si intéressans Mémoires
ent il ne s’agit pas de faire une piece à un gentilhomme, il est bien
question
d’une autre scene : nous sommes amoureuses de vou
31. J’ai lu la même histoire différemment tournée ; il n’y est point
question
de Cléopatre : la brune & la blonde disent à
illées les dépenses qu’elle a faites en galanteries : il est sur-tout
question
d’une culbute avec un mousquetaire. Les sueurs mo
hangé, jouent un personnage qui n’est pas le leur : mais il n’est pas
question
dans cet article de cette espece de comédie, parc
nde, forte, peuplée, et qui se nomme Penn ! Laissons maintenant cette
question
plastique qui a bien aussi son côté moral, pour d
tte avec laquelle on ait fustigé jusqu’ici. Il y aurait bien d’autres
questions
à soulever ; je les laisse, non pas à de plus con
es dans de petits problèmes, éveiller la curiosité du lecteur sur les
questions
de critique générale, et lui inspirer, avec le go
qui, dans ce siècle où chaque chose est mise en question, examine la
question
de la critique littéraire : 1º le moment dogmatiq
u pourtant des partisans estimables8, ne suffit-il pas de poser cette
question
: Par où est-ce que la comédie frappe les vices ?
œuvres. S’il avait d’autres idées que celles qui y percent, c’est une
question
obscure d’abord, puisque pour l’éclairer on est r
que (Les Femmes savantes, act. III, sc. II). — Voir plus loin, sur la
question
de Gassendi, chap. XI. 29. C’est Boileau qui dan
érité de ce qu’on lui dit, veut s’en assurer en faisant à l’autre des
questions
auxquelles lui seul peut répondre. Il lui demande
ersonne. Réponds. Mercure répond en effet très juste à cette derniere
question
. Sosie se tâte pour savoir s’il veille, s’il est
trouvé le témoin qu’il cherchoit. Il revient pour faire de nouvelles
questions
à sa femme. Il veut entrer chez lui. Mercure, du
tes sens, rentre bien dans ton ame, Et réponds mot pour mot à chaque
question
. Sosie. Mais, de peur d’incongruité, Dites-moi,
préparais mes examens de licence. Vous m’avez communiqué le goût des
questions
de critique générale, et, ce qui est plus, beauco
pelle, revenant d’Auteuil à Paris par la rivière, disputaient sur une
question
philosophique ; un religieux, assis à côté d’eux,
toutes les éditions. Les développemens nouveaux ne commencent qu’à la
question
posée par le second docteur : SECUNDUS DOCTOR. P
US. Bene, bene, bene, bene respondere, etc., etc. QUARTUS DOCTOR. La
question
de notre quatrième docteur est celle du second de
manda une de ses heures perdues pour lui faire la lecture. L’homme en
question
se trouva si honoré de ce compliment, que, toutes
ux buste de ce comique, fait par Houdon233, y fut placé. Quand il fut
question
d’y mettre une inscription, quelqu’un proposa d’é
consiste, d’une part, non pas seulement à poser en fait ce qui est en
question
, mais à affirmer le contraire de ce qui est certa
, demande Rousseau, de la dupe ou du fripon ? Je laisse de côté cette
question
, que Rousseau n’a pas proposée sérieusement ; mai
toujours un esclave dirige l’intrigue, il est presque toujours aussi
question
des amours d’un jeune homme libre pour une jeune
me que celle de L’Étourdi se passe à Messine, de même aussi qu’il est
question
de Naples dans le dénouement de L’Avare. Naples e
ement parceque le premier est plus châtié, plus élégant. Il n’est pas
question
de faire voir ici que le génie doit l’emporter su
emporter sur l’esprit de détail. Malheur à ceux qui balancent. Il est
question
de prouver que ce même Térence, si poli, si reche
s êtes gentilhomme. Cléonte. Monsieur, la plupart des gens, sur cette
question
, n’hésitent pas beaucoup : on tranche le mot aisé
monuments les plus glorieux de l’esprit humain, ce n’est point ici la
question
: le Misanthrope est une composition essentiellem
monde, qui veut que tous S’occupent de lui, et qui tranche toutes lés
questions
avec une suffisance burlesque176 ; ni la politess
te alors. (Le Malade imaginaire, act. III, sc. III). — Voir sur cette
question
, qui vaut un livre à elle seule, M. Raynaud, les
nt six pieces à caractere, nous ne les analyserons que lorsqu’il sera
question
du choix & de la distinction des caracteres.
moral ; mais nous réserverons cette matiere pour le volume où il sera
question
du genre des pieces. Occupons-nous présentement d
quelle les personnages doivent être occupés à répondre prestement aux
questions
qu’ils se font mutuellement ». Les monologues, d
ne casse est bonne 37, de même les bons monologues sont bons : il est
question
de les bien faire. 33. Boileau, Satyre du repa
l y a, à la vérité, comme nous l’avons remarqué, un couplet où il est
question
de Sophie léguée à Eraste ; mais ce n’est qu’en p
st de prendre tous les matins du thé à l’angloise, & il n’est pas
question
du legs. Scene IV. L’Olive porte une lettre de
doit s’habiller en gentilhomme ? Rappelons-nous, pour trancher cette
question
, qu’Orgon, s’il appartient à la bourgeoisie, a du
ait précéder sa traduction d’une préface, dans laquelle, reprenant la
question
qui a divisé MM. Veuillot et de Lapommeraye, il t
adversaires de Pascal. Mais ce n’est pas le moment de discuter cette
question
. Elle a été abordée d’ailleurs pour le public hol
ues mois seulement après le décès du Collectionneur. Le Reliquaire en
question
fut, à cette vente, acheté par le Comte de Pourta
se faire pardonner de lui avoir détruit l’escalier de Corneille. Une
question
m’a préoccupé dans cette visite au passé. En quel
et l’autre étaient occupées d’ailleurs par un débit de vins. Et cette
question
nous venait à tous deux : Où Molière a-t-il vécu
é prendre gîte à l’autre bout de la rue, qui est longue. Mais — autre
question
à résoudre — quel est maintenant celui des deux c
principale du Louvre, et non de la colonnade, dont il ne pouvait être
question
, puisque les plans de Perrault ne furent adoptés
e tout au moins, que dans le premier plan de la pièce, il n’était pas
question
d’enlever Marianne à Valère, et que, par suite, l
rrespondances, de mémoires, de romans du temps pourraient élucider la
question
. Cependant, à part les lignes de Somaize citées p
Comtesse d’Escarbagnas ?) semble en avance d’un siècle, car il y est
question
de ces lecteurs acharnés de la Gazette de Holland
année se rapportent ces deux affiches ? M. Ch. Nuitter répond à cette
question
de la manière suivante : « La mention placée au
tre bourrue du 31 janvier en couplets qui se terminent tous par cette
question
: « l’eusses-tu cru ». Quelques jours plus tard,
loin de Lustucru et de Pulcinella acconciatore di teste di donne. Une
question
se pose à ce sujet : Les Italiens ont-ils copié n
te adresse ou félicitation ! N’est-il pas regrettable qu’une mesquine
question
d’amour propre se soit mise au-dessus de la grand
as la peine de les compter. Se peut-il qu’on ait rempli des livres de
questions
& de préceptes aussi minutieux ! Pour se pass
ses défauts. L’application est aisée. J’ai encore entendu faire cette
question
: Comment peut-on connoître qu’un acte est fini ?
pour cet objet. Tel est le point de vue sous lequel j’envisage cette
question
, à laquelle j’ai été entraîné à consacrer plus de
a composé pour ce même ouvrage ; mais il n’a sans doute qu’ajourné la
question
; il pourra s’en occuper dans son édition des Œuv
4. Et après elles viennent des bergers héroïques qui vident ainsi la
question
: Usez mieux, ô beautés fières, Du pouvoir de to
faire rire : Molière sa¬vait faire rire autrement. 610. Voir, sur la
question
de Bossuet, plus loin, chap. XII. Voir aussi p. 1
Amants magnifiques, plus loin, p. 186, note 2. Voir d’ailleurs sur la
question
de Bossuet, plus loin, chap. XII. 624. La Princ
e son héroïque volonté, après des fatigues inouïes, résolut la grande
question
géographique du siècle, par la découverte de Temb
de dépenses qui en résultera : auquel cas il est nécessaire que cette
question
de la matière à employer soit réservée pour être
En ce qui est relatif à la dépense : Considérant qu’étant réservée la
question
de la matière à employer pour l’œuvre du statuair
ns de sa gloire qui ne brille sur sa ville natale ; Que lorsqu’il est
question
de lui ériger un monument digne de cette gloire,
Il en vint, naturellement, à examiner pour son compte l’embarrassante
question
que soulève le Panurge de Rabelais et que lui-mêm
tour d’Armande. Quelle que pût être la conduite de celle-ci, — grosse
question
qu’il faudra bien aborder, — les adorateurs afflu
eur de Sganarelle et du Misanthrope ? Il est difficile de trancher la
question
. A part deux ou trois allusions, on n’a contre Ar
njecture. Je ne crois pas qu’il y ait, dans l’histoire littéraire, de
question
qui montre davantage les dangers de l’à-peu-près
uvent que déclamer. Consultons d’abord le principal intéressé dans la
question
, Molière lui-même. S’il a plusieurs fois emprunté
est en train de faire à George Dandin. En arrivant au Misanthrope, la
question
se précise. On veut qu’Alceste soit tout Molière
au théâtre, sous le nom de madame d’Ennebaut. C’est d’elle qu’il est
question
dans le sonnet sur Phèdre : Une grosse Aricie, a
récriminations trop faciles, qui d’ailleurs ne décideraient point la
question
, je me bornerai à dire qu’il ne fut point l’agres
ogne ; cette arrivée d’un marquis ridicule qui assomme Molière de ses
questions
, et les actrices de ses fadeurs ; enfin, cette di
inal de Sganarelle. Trouillogan, philosophe pyrrhonien, répondant aux
questions
de Panurge avec cette horreur de l’affirmation, q
il perdu ? Les faits ne répondent que trop clairement à cette seconde
question
. 1. Le comte du Broussin, pour faire sa cour
ret, mourut peu après ; et jusqu’à présent Lelio, qui est la fille en
question
, passe pour un garçon. Celle-ci, qui avance en âg
ur, lui demande pardon et avoue qu’il vient de mentir. Ramené par les
questions
de Flaminio, il fait le détail de tout ce qui se
ement. Flaminio, à qui Testa a raconté le duel à outrance dont il est
question
, entre joyeusement dans la plaisanterie. Fabio es
uisque le cuisinier la fait cesser tout de suite, en disant qu’il est
question
d’un cochon de lait. Moliere sentoit tout le pri
suite naître une autre. Continuons la scene. Harpagon. Il n’est pas
question
de cela, & voilà Monsieur à qui il faut parle
sorties qu’elles font un ensemble détestable. Convenons qu’il ne sera
question
ici que de la belle nature, telle que l’a imité M
, & tout s’enchaîne cependant si bien dans la comédie dont il est
question
, que tout paroît avoir été imaginé pour elle. C’e
ifico veut devenir son beau-pere, quand il voit tout-à-coup qu’il est
question
de faire épouser Eléonora par le Docteur. La po
fils. Sortons. Je veux aller querir la justice, & faire donner la
question
à toute ma maison, à servantes, à valets, à fils,
. . Je te défie d’attendrir, du côté de l’argent, l’homme dont il est
question
. Il est Turc là-dessus, mais d’une turquerie à dé
vite ; et le bonhomme, qui est de lignée gauloise, entame derechef la
question
du matin, celle inépuisable du cocquaige ; et il
ière. C’est que, comme le Tartufe, elle est toujours en situation. La
question
femmes en France est toujours brûlante ; et tant
été plus d’une fois surprise des gros rires de cet homme à certaines
questions
qu’elle lui faisait et comme celle des enfants, v
ée dans l’École des Maris. Il n’a fait que l’élargir, et d’une simple
question
de discipline et de gouvernement intérieur, il a
le question de discipline et de gouvernement intérieur, il a fait une
question
d’éducation. Comment faut-il élever les femmes ?
r en vue leur bonheur à elles-mêmes, ou simplement notre plaisir ? La
question
posée ainsi devient terriblement plus claire. Si,
acte, est en opposition avec presque tous les acteurs, lorsqu’il est
question
d’obtenir le consentement de Lisimon & de Gér
pas. Dans la piece dont nous venons de parler, il n’est seulement pas
question
de lui durant les trois quarts de l’ouvrage, &
n & le Barbier arrivent. Le dernier impatiente Almanzor par mille
questions
, se souvient qu’il n’a pas ses rasoirs sur lui ;
’estime qui toujours devroit nous animer... Théophraste. Il n’est pas
question
, Messieurs, de s’estimer : Nous nous connoissons
t, pour l’hiver prochain, Psyché tout entière. De Racine il n’est pas
question
dans cette campagne : c’est qu’il est moins en fa
on ranger dans cette catégorie les Fâcheux et Psyché ? Voilà toute la
question
. Les personnages des Fâcheux, jetés dans les inte
plaindre ou à se louer du roi ou de madame de Montespan. La première
question
que madame Scarron avait donnée à résoudre à Gobe
lle pouvait, sans scrupule, se charger de l’éducation proposée. Cette
question
, elle l’avait résolue d’avance, et elle était dét
ux de mes juges la fin de la scene qui précede le tableau dont il est
question
. ACTE IV. Scene VI. Mélite. Quelle obstination !
t, déclare ses feux, apprend qu’il est payé de retour : il n’est plus
question
que d’enlever l’objet de sa tendresse. Comment fa
de Grignan mourut, laissant deux enfants, dont il est plusieurs fois
question
dans les lettres de Sévigné. Cette mort acheva ce
ls assez ignorants pour leur donner ce titre de bonne foi ? Voilà une
question
à décider. Il ne s’ensuit pas de ce que j’ai dit,
nous ne pouvons apprécier, puisqu’elle n’existe plus, et examinons la
question
en elle-même, telle qu’elle s’offre à nous, d’apr
e se rendre savante afin d’être savante ; Et j’aime que souvent, aux
questions
qu’on fait, Elle sache ignorer les choses qu’elle
e du Malade imaginaire, sous le rapport de l’impression, présente une
question
à la fois littéraire et bibliographique, qui n’es
père et fils dans Le Malade imaginaire, pourraient encore laisser la
question
indécise à l’égard de Molière, puisque tous les t
ire principalement dirigée contre Boileau, satire dont il est partout
question
, mais dont nulle part on ne cite rien, pas même l
pieces, les deux Marquis ont avec leur intendant une scene où il est
question
de signer un écrit où l’on parle beaucoup de créa
de tirer parti de ses charmes pour écarter la misere. Il n’y est pas
question
des cent mille écus. Le reste de l’acte se passe
s femmes ne s’offensent jamais d’un tendre aveu, surtout quand il est
question
de mariage. La critique paroît fondée ; & ave
. Vous avez la plus belle santé !... La Comtesse, à part. Il est bien
question
de ma santé. (haut.) C’est l’air de la campagne..
nt à intriguer la piece ; nous en parlerons dans le volume où il sera
question
des genres. 8. Nous examinerons ailleurs si De
gie, actives à ce point que du jour au lendemain elles ont abordé les
questions
les plus ardues ; correctes à ce point qu’il sera
our lui. Ce terrible vagabondage ne s’arrête qu’à l’abîme. L’homme en
question
n’a peur de rien et de personne. Il insulte même
ble abri de sa raison à laquelle il a bien soin de ne pas adresser de
question
impertinente. — Voilà la question ! De cette diff
l a bien soin de ne pas adresser de question impertinente. — Voilà la
question
! De cette différence entre les deux héros l’expl
attentive et charmée à ce dialogue solennel où sont débattues tant de
questions
importantes. On accueillait avec enthousiasme ces
te. D’art et de goût, de vérité et même de décence, il en est à peine
question
. Tous les patois, et tous les baragouins, et tout
entiments et les passions se tiennent. — Mettez une insolence dans la
question
que fait un de vos personnages, à coup sûr l’autr
trop réjouissant. En effet, le maître et le valet se disputent sur la
question
: Être ou n’être pas ! C’est-à-dire que Don Juan,
s derniers retranchements par une raison inflexible et lumineuse. Ces
questions
souveraines de la conscience, ce débat d’une âme
parcequ’elles sont moins parfaites que les nôtres. Encore est-ce une
question
à décider, si parmi les comédies qu’on joue &
De se rendre savante afin d’être savante ; Et j’aime que souvent aux
questions
qu’on fait Elle sache ignorer les choses qu’elle
l’âge a sevré leurs désirs. Avec quelle fine ironie elle répond aux
questions
d’Orgon, qui, à son retour de la campagne, et au
M. de Voltaire, une Dissertation ingénieuse & profonde sur cette
question
: savoir, s’il est permis de faire des comédies a
La franchise & la sincérité sont si rares, sur-tout quand il est
question
de se juger soi-même ! Moliere, l’Auteur le moin
De se rendre savante afin d’être savante ; Et j’aime que souvent, aux
questions
qu’on fait, Elle sache ignorer les choses qu’elle
age forcé, sc. IV. 323. L’École des Maris, act. II, sc. IX 324. La
question
du luxe des femmes est traitée implicitement dans
la chose, que de Visé parle ainsi. [*]. [Note marginale] Réponse aux
questions
d’un provincial, tome premier, ch. 29, p. 245-250
harangues de l’Académie. a. « [*]M. Bayle agite une assez plaisante
question
dans ses Lettres, ou Questions au provincial (il
« [*]M. Bayle agite une assez plaisante question dans ses Lettres, ou
Questions
au provincial (il fallait dire : Réponse aux ques
es Lettres, ou Questions au provincial (il fallait dire : Réponse aux
questions
d’un provincial). Il suppose que M. Despréaux eût
arrivé à ne savoir pas au juste ce qu’ils étaient ; mais que d’autres
questions
sur lesquelles les idées reçues sont battues en b
. Vous pensez sans doute, Messieurs, et je crois, comme vous, que ces
questions
sont passablement oiseuses ; car toute question q
comme vous, que ces questions sont passablement oiseuses ; car toute
question
qui ne peut se résoudre que par des hypothèses es
été dupe : car sa sottise a ménagé des excuses à l’ingratitude, et la
question
d’argent est seule en cause dans les malheurs mér
Le travers d’Alceste. Passion malheureuse. Contradictions À cette
question
la réponse ne saurait être douteuse, et nous ne d
bien que la façon dont se dénoue le débat littéraire qui devient une
question
d’honneur portée devant la chambre des maréchaux8
e et de ses placets qui se taisent sur cet auguste suffrage. À cette
question
s’en rattache une autre. On peut, en effet, se de
n profane, lui un comédien, en juge des consciences, c’est-à-dire des
questions
qui relèvent du Pouvoir spirituel. Tout en désapp
igués contre l’auteur du Tartuffe. Or, cette fois, le stimulant d’une
question
religieuse n’existant plus, les partisans de l’ét
tée morale, et si Molière ne l’a point affaiblie ou compromise. Cette
question
qui semble étrange, il faut bien la poser, puisqu
De se rendre savante, afin d’être savante ; Et j’aime que souvent aux
questions
qu’on fait Elle sache ignorer les choses qu’elle
ux, et imposer un devoir. Peut-être donc Molière n’a-t-il pas jugé la
question
d’assez haut. L’instruction qu’il permet lui semb
es rapprochements. La plupart des comédies italiennes dont il est ici
question
furent des impromptus, dont les canevas mobiles n
s exigèrent donc, non seulement que l’on supprimât les deux scènes en
question
, mais encore qu’on retranchât ou qu’on adoucit un
sse même les premiers fondements de la religion naturelle ? C’est une
question
de morale publique et presque d’administration qu
ulevards. On est donc forcé, pour corroborer la page de l’Évangile en
question
, de prendre ça et là, dans Molière, dans le Bourg
ient pas plus sensé. A-t-il raison maintenant contre ses juges ?-r La
question
, là, devient plus sérieuse. Examinons. — D’abord,
uez qu’elle serait bien puissante en faveur de ma thèse ! Si dans une
question
de théâtre, car enfin il s’agit ici de théâtre, n
st pas un traité de Misanthropie, mais une comédie ; si donc, sur une
question
de théâtre, tous les acteurs sont d’accord, eux q
a folie des faiseurs de projets. La dispute des deux femmes sur cette
question
si souvent agitée, s’il faut qu’un véritable aman
ntre ce que pouvaient devenir, sous la plume d’un grand écrivain, ces
questions
de l’ancienne cour d’amour, qui étaient si ridicu
a morale d’Alceste que le sonnet d’Oronte soit bon ou mauvais ? Cette
question
nous ramène à la fameuse scène du sonnet : jugeon
e l’esprit? Faut-il lui répondre : Non ? Eh bien ! c’est justement la
question
que fait tout homme qui vient vous lire ses vers
vers autant de naturel qu’il pourrait y en avoir en prose a résolu la
question
, puisque, sans rien ôter à la vérité, il a donné
rivant dans sa maison, répond à tout ce qu’on lui dit par cette seule
question
: Et Tartufe? et s’apitoie sur lui de plus en plu
de reste si pleine de séduction ? Si j’en excepte le petit morceau en
question
, le Chevalier a beaucoup loué son Uranie, et n’a
le Chevalier de n’avoir point réfléchi à cette obscure et périlleuse
question
du laid. Il est dangereux de prononcer ce mot ; i
avec soin le choc des idées, et ne laisse paraître sur aucune grande
question
le fond de sa pensée. Toute sa réponse fut de m’i
ndre une cinquième, en attendant les autres. À dîner, il ne fut point
question
des problèmes qui nous avaient occupés, mais bien
onne, sans y penser, avec un ait naturel. Dans un pays où la première
question
que l’on fait sur un homme d’État, sur un grand c
tion succédant à l’esprit et la pédanterie à la science ; le goût des
questions
et l’ardeur des querelles religieuses, l’impiété
eraient les rivaux des rois. Pour en revenir à la comédie dont il est
question
, Molière s’est inspiré des peines racontées par l
interroge, après beaucoup d’autres, le pyrrhonien Trouillogan sur la
question
du mariage. Cette pièce fut représentée pour la p
d’être compliqué d’une certaine cassette dont il n’a été que fort peu
question
, et qui donne matière à Tartufe d’accuser Orgon p
l’honneur des dames romaines, il faut ajouter qu’il est beaucoup plus
question
de courtisanes que de femmes mariées dans les œuv
ant cette pièce ainsi que celle des Fourberies de Scapin dont il sera
question
tout à l’heure, n’offre pas une morale aussi bien
le de ce temps-là. On a beaucoup débattu, dans ces derniers temps, la
question
de savoir si le sentiment populaire était resté,
un autre côté, à son confesseur, toutes les fois qu’il touchait cette
question
des legs et des dons pieux: parlez-moi latin, mon
revient souvent sur ce défaut. Dans la Femme d’intrigues, agitant une
question
renouvelée dernièrement par un spirituel écrivain
où le jeune Poquelin a connu le vieux poète Goudouly ? Pour nous, la
question
n’est pas douteuse. La présence de Molière à Toul
t l’été de 1658. Quant au séjour de 1643, comment n’en a-t-il pas été
question
plus tôt ? On se l’explique difficilement, lorsqu
on à cet égard, et vous passez outre. Je conviens avec vous que cette
question
est loin d’offrir les mêmes apparences de certitu
ls à leur charge ? Les documents ci-dessous répondent en partie à ces
questions
. Voici, en effet, ce qu’on lit dans les comptes d
utre, que les bagages de la troupe sont assez considérables qu’il est
question
de 68 quintaux ce qui semble indiquer un matériel
tifier ses contemporains et même ceux qui doivent leur succéder. — La
question
était et reste encore pendante : — 1º Était-il po
fagots ; mais en vénérer une fausse devient tout à fait humiliant. La
question
à élucider est donc celle-ci : l’os attribué par
ulé un intervalle de 131 ans. Désireux d’élucider jusqu’au bout la
question
de la rue de la Tonnellerie, et alléchés par l’ex
rappés. Ergaste obtient un rendez-vous d’Orphise qu’il aime ; il est
question
de le lui faire manquer, en lui suscitant des imp
presse en effet Célimene de faire un choix ; mais il n’est nullement
question
, dans cette scene, des deux Marquis. Je demande b
très bien les beautés inestimables de cette piece ; & s’il étoit
question
d’en faire l’éloge, je saurois peut-être dire ave
e Scolie, et enfin l’île Notre-Dame, dite la place de Délos. Il n’est
question
dans aucune de nos chroniques, du quartier du Lou
ui, des sciences ou de la poésie, est due la prééminence. On agile la
question
de savoir si l’histoire doit être préférée aux ro
ontre ce système, dans lequel elle ne trouve que de la barbarie. Les
questions
sur la langue sont innombrables ; elles viennent
nda une de ses heures perdues, pour lui faire une lecture. L’homme en
question
se trouva si honoré de ce compliment, que, toutes
oir l’ordre qui nous a mis tous à deux doigts de notre perte ; il est
question
présentement de voir ce que nous avons à faire ».
la France perdit Molière, on ne vit pas, dit M. de Voltaire dans ses
Questions
sur l’encyclopédie, une seule Pièce supportable,
en proverbe, assassiner, c’est le plus sûr. M. de Voltaire, dans ses
Questions
sur l’Encyclopédie, prétend que « Molière a risqu
mile de M. Rousseau ; c’est une infidélité de la part de l’Auteur des
Questions
sur l’Encyclopédie ; le mot d’assassinat, si révo
très-gros intérêt. Ergaste accepte la proposition ; et il n’est plus
question
que de le mettre aux mains avec l’Usurier. Le N
Scherer p. 1134.) 139. C’est Mademoiselle Beauchateau* dont il est
question
ici et non Mademoiselle du Château. 140. Prévil
t qui est presque toute neuve. Je ne vous cacherai point qu’une autre
question
se présentera à la suite : Comment se fait-il que
des sensations concomitantes. Mais je ne tiens pas à élargir ainsi la
question
. Je m’enferme dans celle qu’a soulevée au théâtre
naturellement il en est scandalisé. A-t-il tort ? A-t-il raison ? La
question
est oiseuse à débattre, puisque nous n’y pouvons
de ce coup bizarre de piquet que lui explique Alcippe. Car toutes les
questions
de jeu passionnaient les hommes de la cour. Moliè
un point de casuistique amoureuse et qui lui demandent de trancher la
question
. Ces femmes sont des fâcheuses, puisqu’elles l’ar
agénaires. Cette loi de nature, Arnolphe n’en a tenu aucun compte. La
question
d’amour n’est pas entrée dans ses calculs. Chose
ours dans le secret de leurs œuvres, et fort souvent ils touchent des
questions
qu’ils ne prétendaient pas résoudre, dont ils ne
s L’École des femmes, est sorti, par l’effort lent de la critique, la
question
bien autrement générale de l’éducation des filles
urd’hui, en voyant jouer L’École des femmes, de ne pas songer à cette
question
philosophique et même à quelques autres. Mais je
-même dans Amphitryon ? M. Anatole de Montaiglon a réponse à ces deux
questions
: Pour la première, il rappelle l’amitié de Moliè
mme d’un si grand goût et d’une éducation si raffinée. Non, c’est une
question
de fait que je discute avec lui. Il prétend que l
s pas, les motifs de mon isolement. Weiss m’avouera bien que, sur une
question
de fait, celui-là est plus compétent qui l’a plus
ncore ? et à force de le tourner et de le retourner, de le presser de
questions
, Dumas finit par découvrir le pot aux roses. — Eh
je persiste à croire que Molière n’en est pas coupable. Je soumets la
question
à mes collègues de l’Université. S’il s’en trouva
vieille. Elle ne le sera jamais. Tout cela, bien entendu, sans aucune
question
de personnalité. Recevez, mon cher Sarcey, les me
re (car Le Malade imaginaire, quoi qu’en dise Coquelin, n’est pas une
question
de cabinets) je dirai à notre ami que Saint-Léon
s la disposition d’esprit où se trouvent les douze cents personnes en
question
, au moment même où il leur parle. Eh bien ! moi,
s disons dans l’argot de coulisse, à la cantonade ; il est sans cesse
question
de lui, mais il ne paraît pas. Ce n’est qu’au der
n temps, il les a portés au théâtre et il en a usé. Il était beaucoup
question
autour de lui de l’égalité des hommes, il s’en es
mour et du hasard, je m’étais engagé à examiner avec nos lecteurs une
question
de doctrine théâtrale, qui ne laisse pas d’avoir
elle vraie ? Ce n’est pas mon dessein pour le moment de traiter cette
question
. J’y reviendrai un de ces jours, car je fais à ce
it du pour et du contre. Voltaire si l’on s’en souvient, examinant la
question
à sa manière, avait, dans la Vision de Babouc, mo
affaire ; l’un et l’autre se disputent sur un point qui n’est pas en
question
. Qu’il y ait la disjonctive et ou la copulative o
rs de héros ? Il faudra que nous revenions ensemble un jour sur cette
question
.
ircumfusa repente Scindit se nubes. J’ai donc voulu, puisqu’il était
question
de la comédie et de ses alentours dans les chapit
de comédiens ? Essayons de répondre à l’une et à l’autre de ces deux
questions
. Les Marionnettes et les comédiens. — De la cri
c a créé le rôle du grand Frédéric dans Les Deux Pages ? Ô les belles
questions
à se faire, par Dieu ! Et que voilà bien de charm
ission, il l’avait tout simplement acceptée. Aussi, jamais la dame en
question
n’était traitée que selon ses mérites. Pour celle
eux, c’est justement ce qui les fait vivre. Mais ce n’est pas ici la
question
. La question est que Mégani est revenu dans son p
ustement ce qui les fait vivre. Mais ce n’est pas ici la question. La
question
est que Mégani est revenu dans son pays plus remp
té l’atmosphère conjugale. — Mais encore une fois, ce n’est pas là la
question
. La question est, qu’une fois comédienne et quand
re conjugale. — Mais encore une fois, ce n’est pas là la question. La
question
est, qu’une fois comédienne et quand elle a bien
lait être bientôt la ville de Boccace, à l’instant même où il n’était
question
que du fol amour du comte de Roussillon pour la f
e la langue française. « C’est une réponse qui convient à toutes les
questions
. Par exemple, vous me demandez : — Ohé ! l’ami, ê
on Dieu, Monsieur ! « Le Ô mon Dieu, Monsieur ! convient à toutes les
questions
, tout autant qu’une pièce de huit sous à un procu
ristophane n’a rien à voir, et sa comédie n’a que faire. Il n’est pas
question
de cet homme et de son œuvre dans le Phédon. — Da
ses suffiraient à une charretée d’obscénités et de licences, c’est la
question
encore débattue des femmes auteures, magistrales
ébattue des femmes auteures, magistrales et députées. Que dis-je ? la
question
du club des femmes résolue en 1818 par madame Nib
de leurs ridicules, de tous les travers que Molière a poursuivis ? La
question
est compliquée, et pourtant elle n’est pas d’une
armant ! portrait de mon amie ! Alors survient à coup sûr la femme en
question
; elle arrive sur la pointe du pied, le corps pen
able, ou de peur de lui faire du tort. Je n’ai garde de decider cette
question
. Mais quand Marcel auroit omis ce fait pour ne pa
ngent dans le desordre lorsqu’un remords va l’en retirer. †C’est une
question
souvent agitée dans les conversations, savoir si
ir l’ordre, qui nous a mis tous à deux doigts de nôtre perte ; il est
question
presentement de voir ce que nous avons à faire. H
anda une de ses heures perduës pour lui faire une lecture. L’homme en
question
se trouva si fort honoré de ce compliment, que to
endre par un troisiéme hom ! hom ! obligeant, qui sembloit décider la
question
en sa faveur. Chapelle s’échauffe, & criant d
de plaisanter sur une affaire aussi serieuse que celle-ci, où il est
question
de l’honneur & de l’établissement de Monsieur
e & qu’il meritoit en effet. Mais dans l’Art Poëtique où il étoit
question
de proposer des Modelles, & de marquer en mêm
rofession du defunt & non point de ses mœurs, dont il n’étoit pas
question
. Le jour qu’on le porta en terre il s’amassa une
mplaire de M. de Spoelberch Principe général très propre à décider la
question
entre Molière et Shakespeare10. Pour peindre un
s autres ouvrages légués par Stendhal ; je n’ai pas osé aborder cette
question
qui me paraît très délicate. Je serais heureux d’
épond trop au long. Il dogmatise mal à propos. C’est comme si à cette
question
simple : quel tems fait-il ce matin ? je répondai
it arrêté court, un instant, par un argument jaculatoire d’Orgon, une
question
, etc. Cette scène dans L… est bonne, mais bien mo
e comique de celle qu’il présentera par la suite, en nous ôtant cette
question
que nous nous ferions. Que va faire G. Dandin apr
Lubin … Pourquoi il ne fait jour la nuit. Clitandre C’est une grande
question
, et qui est difficile. Tu es curieux, Lubin. Pei
pointement de cette prétention. Clitandre Et j’aime que souvent, aux
questions
qu’on fait, Elle sache ignorer les choses qu’elle
nt mieux que ceux de Cimabue. Hier, au théâtre, je me suis fait cette
question
: quelle est la plus forte passion des femmes ? i
i n’est pas accoutumé, ni à de pareilles épithetes, ni à de pareilles
questions
, lui dit qu’il est de la suite du Roi, & qu’i
coquin, de menteur : Henri cache son cordon bleu, répond à toutes les
questions
du paysan, avec cette bonhommie qui lui gagna tou
ne société et’ parmi des amis illustres, qui discutaient vivement les
questions
religieuses ; protégé par un roi qui s’occupait d
le, et qui ne prouve rien. Mais la note est plus grave : « Une petite
question
indiscrète ; ceCléante fait-il encore ses Pâques
se trouveront tout naturellement enchassées dans l’article où il sera
question
des épisodes. Je veux me répéter le moins qu’il m
opinion commune est que Moliere doit entiérement la piece dont il est
question
au canevas italien ou au Médecin volant de Boursa
ssion que son génie ne puisse ennoblir, que cette opinion tient à des
questions
délicates, que les grands talents et les bonnes m
ne de ses lettres ; mais je me garde bien de m’en vanter, de peur des
questions
infinies que cela attire. Le rendez-vous du beau
cas est grave ; il crache, allons, décidément cet homme est fou ! La
question
des aliénés qui nous préoccupe si fort à cette he
ue personne les fît connaître ? » Depuis que Beffara adressait cette
question
au public, bien des années se sont passées et les
gération, sans doute, dans cette façon de raisonner et de traiter les
questions
littéraires, mais il y a pourtant aussi une grand
ce qu’il a beaucoup aimé Molière. V. Molière comédien C’est une
question
curieuse et intéressante à résoudre que celle de
nte à résoudre que celle de savoir si Molière fut un bon comédien. La
question
est à peine faite, d’ailleurs, qu’elle se trouve
évu de la morale, n’avait pas rougi dans un livre publié par lui, Les
Questions
d’amour, de poser des questions et de formuler de
Que d’envoyer quérir l’Auteur. Dans une autre épitaphe, il est
question
de L’inutilité du savoir De ceux qui fon
manqué de forces pour le surmonter. » 48. On retrouve là, dans les
questions
incessantes d’Élomire : Lazarille, ai-je pas le t
les prétendus empoisonnements supposés contre le dit Guichard. Il est
question
là, non seulement de Lulli, mais de la femme de M
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