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1 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
ur du lit funèbre, on voyait, dispersés, Des livres, des papiers, des travaux commencés, Et sur les murs pendaient, parmi de vi
cru trouver Ce pur délassement que l’on aime à rêver Après les grands travaux  ; Oasis bien-aimée Où l’âme se retire et repose c
ssein19. Déjà le marbre est prêt ; vis-à-vis la demeure Témoin de ses travaux et de sa dernière heure, Du haut du monument il p
x libéral ; L’avocat tout gonflé de sa creuse faconde ; L’utopiste en travail de refaire le monde ; Le souple ambitieux au pouv
lpture des statues, à 33,000 Pour le soete en marbre, à 2,000  Pour travaux divers, honoraires de l’architecte et dépenses im
0 f. déjà disponibles, rend possible de commencer, dès à présent, les travaux  ; Considérant, en ce qui touche le mode d’exécuti
es travaux ; Considérant, en ce qui touche le mode d’exécution de ces travaux , qu’ils ne sont pas de nature à être soumis à une
e préfet à faire toutes les diligences nécessaires pour commencer les travaux le plus têt possible. 6° Ces travaux ne seront pa
s nécessaires pour commencer les travaux le plus têt possible. 6° Ces travaux ne seront pas soumis à l’adjudication ; il en ser
2 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
tre attribués aux circonstances qui maîtrisaient et précipitaient son travail . L’attachante simplicité du drame français a remp
e L’École des pères, a fait sur la Comédie de La Princesse d’Élide un travail qui a obtenu l’approbation des gens de goût. Il a
qu’en plus d’un endroit on pût attribuer au maître lui-même l’heureux travail de l’élève. Avertissement du commentateur [Le
esque d’administration que je ne veux pas discuter ici. Historien des travaux de Molière, je rapporte un fait ; et critique, j’
sur le style de Thomas Corneille : Molière est l’unique objet de mon travail  ; et de simples accessoires ne doivent pas être t
3 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
s on est de gens à se parler, plus s’entendre est chose difficile, au travail de chacun oui succéder le travail de tous pour se
s’entendre est chose difficile, au travail de chacun oui succéder le travail de tous pour se faire un langage commun. Il en fu
re de la langue dans les académies des précieuses. Je passe au second travail dont j’ai parlé : celui de la société choisie, c’
4 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
, et des corrections assez nombreuses, ont été le fruit de ce nouveau travail . Il est difficile de juger Molière. Son esprit es
originales publiées du vivant de l’auteur, et c’est le résultat de ce travail que nous donnons aujourd’hui au public. Nous en d
se de la nôtre, en la relisant toutefois sur les éditions originales, travail qui nous a donné deux cent soixante et une correc
us avons hardiment abordé le Dictionnaire de la langue de Molière. Ce travail est difficile, il sera long ; toutefois nous espé
er de tous les hommes de goût qui avant moi s’étaient occupés du même travail . Ce double examen, en me forçant à d’immenses rec
ariorum. S’il m’était permis d’établir ici les règles de ce genre de travail , je dirais qu’un variorum ne doit pas, comme on a
cèdent en se copiant, par impuissance ou par paresse ; compléter leur travail après l’avoir rectifié : telle est la mission que
rques à quinze feuillets de texte, si un goût exercé n’a présidé à ce travail , on en recueillera peu de gloire ; le public ne t
établir ici les règles que je m’efforçais de suivre alors, et dont le travail que je public aujourd’hui me fait sentir de nouve
d’être imposante : voilà beaucoup de noms illustres, et cependant les travaux sont loin d’être complets. Les remarques de Volta
tre, c’est d’observer rigoureusement cette règle dans le cours de mon travail . Cette promesse, je l’espère, me fera trouver grâ
nir que les Mémoires sur la vie de Molière sont exempts d’erreurs. Le travail que je présente au public montre assez ce qu’il f
ne peut avoir de pareille23. » J’ai emprunté une grande partie de ce travail à l’estimable ouvrage des frères Parfait, heureux
e prince par les spectacles que je lui donne ; je le rebuterai par un travail sérieux et mal conduit. Et pensez-vous d’ailleurs
de Molière ; mais celui-ci remarqua qu’il avait pris presque tout son travail dans la Thébaïde de Rotrou64. On lui fit entendre
remerciement qu’il en fit au roi. Ce bienfait assura Molière dans son travail  ; il crut après cela qu’il pouvait penser favorab
dissensions domestiques, fit son possible pour se renfermer dans son travail et dans ses amis, sans se mettre en peine de la c
pour vivre dans une mollesse philosophique, dont son domestique, son travail et sa troupe, l’empêchaient de jouir. Il y avait
re au lait pour se raccommoder, et pour être en état de continuer son travail . Il observa ce régime presque le reste de ses jou
ais étonné que vous m’eussiez si mal observé. Je venais arrêter votre travail , car je ne crois pas que vous eussiez passé outre
ites cela, je vous en prie ; je vous verrai souvent pour suivre votre travail . Adieu, monsieur de Molière, songez à notre pièce
sauraient mieux faire, ou des libertins qui veulent se soustraire au travail . D’ailleurs, c’est enfoncer le poignard dans le c
t vrai, dans la recherche que j’en ai faite ; au contraire, l’âge, le travail , et le caractère de ces messieurs, étaient si dif
u sieur de La Grange, comédien, qui, connaissant tout le mérite de ce travail , le conserva avec grand soin jusqu’à sa mort. La
Cet auteur avait traduit presque tout Lucrèce, et il aurait achevé ce travail , sans un malheur qui arriva à son ouvrage. Un de
omnies des ennemis de sa gloire et de son génie ; interrompu dans ses travaux par des infirmités qui augmentèrent jusqu’à sa mo
t art demande tous les dons de la nature, une grande intelligence, un travail assidu, une mémoire imperturbable, et surtout cet
sidéré comme non avenu un commentaire qui lui a déjà coûté dix ans de travail . Profitant donc de l’autorisation qu’il a bien vo
ition des œuvres de ce poète (1823). J’ignore ce qu’il pensait de son travail  ; mais un beau jour il se prit à le refaire, ou,
is venir peut-être trop souvent, je crains de vous distraire de votre travail  ; ainsi je ne vous enverrai plus chercher, mais j
ême que ce grand poète n’avait employé qu’une quinzaine de jours à ce travail . Quinault se chargea de tout ce qui devait être c
5 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
, est l’espèce de succès dont a joui, jusqu’à présent, celui de Bret, travail insuffisant et superficiel, où les erreurs abonde
propos d’y joindre un commentaire grammatical. On peut croire que ce travail lui a semblé véritablement superflu, puisqu’il ne
tique pour qui les ouvrages de Molière ont été un objet d’étude et de travail . Voltaire était d’un avis tout contraire à celui
appliqué aux comédies de Molière. On pourrait déjà le conclure de son travail sur Corneille ; mais il a laissé un témoignage pl
de vers de la comédie du Misanthrope. En donnant cet échantillon d’un travail qu’il ne devait pas exécuter lui-même, Voltaire n
«  Rien n’est plus propre, disait-il, à guider un étranger, et un tel travail ne sera pas inutile à nos compatriotes 2. » Les i
sibles. C’est là que réside, en effet, toute l’utilité d’un semblable travail . À quoi servirait-il de remarquer que Molière a p
premières pièces de Molière, le sont beaucoup moins dans le reste du travail , et cette différence a deux causes : le style de
inement satisfaites, si l’on accorde que j’ai réussi dans un genre de travail qu’un préjugé ridicule s’efforce de ravaler encor
la meule aux gages d’un meunier. Les opérations du négoce et les durs travaux de l’indigence sont peu favorables à l’observatio
urées ; et cela, sans doute, parce que la précipitation forcée de son travail ne lui permettait pas alors de la dégager de ces
t dire ce que fût devenu son génie, si, entièrement renfermé dans les travaux d’une industrie purement matérielle, il fût arriv
de goût pour cette existence errante et agitée, mêlée de loisir et de travail , de plaisir et de peine, d’abondance et de détres
s à retirer sa pièce. Ayant consacré toutes les autres parties de mon travail tant à l’appréciation littéraire des comédies de
férentes, ne furent jamais liés d’amitié ; mais, livrés tous deux aux travaux du théâtre, ils ne purent demeurer étrangers l’un
, alors chargé du département de la librairie, donna la préférence au travail d’un nommé La Serre, dont le nom n’était pas de b
s à me fournir tous les renseignements qui pouvaient m’aider dans mon travail . Je lui dois, entre autres documents précieux, la
, de traduire en entier le poème de Lucrèce. Il sacrifia, dit-on, son travail par un scrupule de religion ; et, si l’Invocation
quelques exemples pouvaient l’y autoriser, critiquer indécemment mon travail , tandis qu’il en profitait pour le sien. Loin de
vres de ce grand poète. La veuve de Molière lui avait confié, pour ce travail , tous les manuscrits de son mari : on ne sait ce
is venir peut-être trop souvent, je crains de vous distraire de votre travail  : ainsi je ne vous renverrai plus chercher ; mais
6
ns des Beffara, des Taschereau, des Eudore Soulié, des Jal, après les travaux considérables de MM. Paul Lacroix, Ed. Thierry, F
’est toute une armée, qui n’avait pas son Moniteur officiel) dont les travaux restent ou incomplets faute de matériaux suffisan
s et de celles qui perpétuent sa gloire et son nom : que d’importants travaux n’ont point encore passé la frontière ! Centralis
t ouvertes, et que ce n’a pu être qu’à une époque postérieure que les travaux de consolidation de cette vieille maison ont dû n
us allez jusqu’à m’accuser de scepticisme parce que j’ai intitulé mon travail  : Molière est-il venu à Albi ? Croyez, Monsieur,
e Paris, ni le nº 42, comme l’a supposé M. Édouard Fournier. Le petit travail que je vous envoie sur la maison natale de Molièr
la Maison des Cinges depuis le seizième siècle jusqu’à nos jours. Le travail analogue, qu’avait esquissé Beffara d’après les n
s Montmartre et du Petit-Carreau. C’est alors qu’un topographe fit un travail d’un immense intérêt, qu’il publia il y a environ
us que douteux qu’il en puisse rester la moindre parcelle, et tout le travail de fouilles que l’on pourrait faire dans ce sens
opographe Parisien, la date du Journal des baigneurs qui a publié son travail , voilà ce que celui qui écrit ces lignes ne se ra
M. René Delorme en a donné la description complète dans son excellent travail intitulé Le Musée de la Comédie-Française, p. 57
de connaître d’autres pays que l’Italie et d’étudier les méthodes de travail d’autres peintres de talent, comme aussi les mœur
fut connu qu’à partir de l’édit de 1666 qui autorisa l’ouverture des travaux . Cette date de 1666 est parfaitement concordante
, qui nous montre Vario établi à Paris en 1671 après l’achèvement des travaux de décoration que lui avait confiés Riquet. Mais
ère, par Houdon, buste qui a été placé dans bon nombre de cabinets de travail en Allemagne. Si j’ai bonne souvenance, Lindau a
lèbre publiciste au service du feu prince de Metternich, disait de ce travail  : « C’est merveille d’être tellement Molière et t
7 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
re, attentivement les alentours. Mais, après avoir terminé ce premier travail , je voulus franchir les limites où il m’avait con
ment au même point de vue que le mien, constituent toute une série de travaux d’histoire et de critique littéraire, qui témoign
8 (1856) Les reprises au Théâtre-Français : l’Amphitryon, de Molière (Revue des deux mondes) pp. 456-
attribuer à tous ses ouvrages la même importance. Menant de front les travaux littéraires et la profession de comédien, obligé
e personnelle intervient malgré lui, souvent même à son insu, dans le travail de son imagination ; il veut rire, il veut égayer
9 (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382
turbulence, leurs vers anacréontiques, que par leur sagesse ou leurs travaux philosophiques ; ils ont eu plus de souci de mett
de Gassendi. En traduisant Lucrèce, Molière faisait suite aux grands travaux de son maître sur la philosophie d’Épicure. Un au
tion : «Il avait traduit presque tout Lucrèce, et il aurait achevé ce travail , sans un malheur qui arriva à son ouvrage. Un de
10 (1818) Épître à Molière pp. 6-18
euvent encore, en lisant notre histoire, Nous pardonner trente ans de travaux et de gloire, Et se bercent toujours de regrets s
de caché, Fier d’être utile un jour, à l’étude attaché, Mûrit dans le travail et sa jeune éloquence, Et son besoin de gloire, e
ont que provisoires : d’ailleurs, la multiplicité et l’importance des travaux d’un ministre ne le condamnent pas à l’examen des
11 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203
surprenant que, moins ingénieux & moins fécond, il ait appellé le travail & l’esprit à son secours, pour combattre le g
es D’avoir en leurs maris leurs mains ensanglantées ; Et souffrant un travail qui ne sauroit finir, Semblent incessamment aller
œil même qui les voit prend sa part de leur peine. L’eau, que ce vain travail tourmente tant de fois, Semble accuser des Dieux
Pourquoi souffré-je tant, moi qui suis innocente ? Ce bruit & ce travail charment tant les esprits, Qu’on perd tout souven
12 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
rage, m’a fait soupçonner qu’une plume accoutumée depuis longtemps au travail , aurait voulu à mes dépens, procurer quelque peti
qu’un ramassis des différents sentiments que l’on a répandus sur mon travail  ; si tout était parti de son génie, il y aurait p
ur Molière ? Mais je lui déclare que Baron n’a pas plus de part à mon travail que plusieurs autres personnes dignes de foi, qui
is venir peut-être trop souvent, je crains de vous distraire de votre travail  ; ainsi je ne vous enverrai plus chercher, parce
de mon Ouvrage, que puisque le Public a daigné souffrir et agréer mon travail , qu’il prendra ma défense : Non que je présume ab
13 (1692) Œuvres diverses [extraits] pp. 14-260
Rare et fameux Esprit, dont la fertile veine Ignore en écrivant le travail et la peine ; Pour qui tient Apollon tous ses tré
ur vertueuse De Phèdre malgré soi perfide, incestueuse, D’un si noble travail justement étonné, Ne bénira d’abord le siècle for
14 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351
ssent stériles ; on découvre, grâce à elles, qu’ils ont eu aussi leur travail et leur fécondité. Elles apprennent encore à ne p
autre Molière viendra peut-être, qui, dominant de son regard ce vaste travail inégal et confus qui se fait aujourd’hui, en sauv
15 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
le mouvement des idées et les variations de la critique, avec tout ce travail qui se fait autour d’un grand homme, la différenc
uns, et ils nous le disent, pour conserver plus de liberté dans leurs travaux , y ont renoncé ; et les autres, ils nous le disen
u pays. Ils n’en ont pas l’ambition et ils n’en ont pas le regret. Le travail littéraire, l’œuvre d’art, que ce soit une modest
ue l’éducation entre pour beaucoup dans les préoccupations et le gros travail de l’époque ? Est-ce qu’on pourrait y apercevoir
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
mâle qui caractérisent les grands hommes & qui sont le fruit d’un travail assidu ou d’une longue expérience, n’offrent du m
is protester que je cede au desir d’aider mes jeunes rivaux dans leur travail , de leur épargner les peines que j’ai prises, &am
nivre de plaisir en songeant que je pourrai soulager, aider dans leur travail , des rivaux d’autant plus intéressants pour moi,
17 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
e Prince par les spectacles que je lui donne ; je le rebuterai par un travail sérieux, et mal conduit. Et pensez-vous d’ailleur
de Molière ; mais celui-ci remarqua qu’il avait pris presque tout son travail dans la Thébaïde de Rotrou. On lui fit entendre q
remerciement qu’il en fit au Roi. Ce bienfait assura Molière dans son travail  ; il crut après cela qu’il pouvait penser favorab
dissensions domestiques, fit son possible pour se renfermer dans son travail et dans ses amis, sans se mettre en peine de la c
pour vivre dans une mollesse Philosophique, dont son domestique, son travail , et sa Troupe l’empêchaient de jouir. Il y avait
re au lait pour se raccommoder, et pour être en état de continuer son travail . Il observa ce régime presque le reste de ses jou
ais étonné que vous m’eussiez si mal observé. Je venais arrêter votre travail  ; car je ne crois pas que vous eussiez passé outr
aites cela, je vous en prie, je vous verrai souvent pour suivre votre travail . À Dieu, Monsieur de Molière, songez à notre pièc
sauraient mieux faire, ou des Libertins, qui veulent se soustraire au travail . D’ailleurs, c’est enfoncer le poignard dans le c
ût vrai, dans la recherche que j’en ai faite ; Au contraire l’âge, le travail , et le caractère de ces Messieurs étaient si diff
au sieur de la Grange Comédien, qui connaissant tout le mérite de ce travail , le conserva avec grand soin jusqu’à sa mort. La
et Auteur avait traduit presque tout Lucrèce ; et il aurait achevé ce travail , sans un malheur qui arriva à son ouvrage. Un de
18 (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125
Nature, mais encore parce qu’elles ont été cultivées et polies par le travail et l’industrie particuliere du poète. M. Despréau
. ................... Que sa fertile veine Ignore en écrivant le travail et la peine ; Qu’Apollon tient pour lui tous se
19 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
uatre écrits du temps qui concernent les personnes ainsi qualifiées : travail fastidieux à l’excès, mais qui atteignait au but
la légèreté et la délicatesse imaginables. Ces mots qui naissaient du travail de la pensée et du mouvement de la conversation,
t. Que disait-on, que faisait-on dans ce fameux cercle ? On mêlait un travail manuel aux conversations ; on composait des habit
torise une distraction quand on ne vent point répondre. L’habitude du travail en famille, la réunion de la mère de famille et d
réunion de la mère de famille et de ses filles autour d’une taille de travail est le seul moyen d’enseigner les usages du monde
20 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135
rtations par lesquelles je tâche de réunir les diverses parties de ce travail que je voudrais rendre utiles aux écrivains à ven
onne rhétorique serait bien au-dessus d’une grammaire, et de tous les travaux bornés à perfectionner une langue. Celui qui entr
ersailles, dans le palais du roi, en présence du roi ! — Il se mit au travail tout de suite, et il appela à son aide tous les c
; mais il leur renvoie tous ces éloges qu’il n’a pas cherchés par son travail et par ses veilles ; il porte plus haut ses proje
21 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
e Prince par les spectacles que je lui donne ; je le rebuterai par un travail serieux, & mal conduit. Et pensez-vous d’aill
de Moliere ; mais celui-ci remarqua qu’il avoit pris presque tout son travail dans la Thebaide de Rotrou. On lui fit entendre q
remerciment qu’il en fit au Roi. Ce bienfait assura Moliere dans son travail  ; il crut après cela qu’il pouvoit penser favorab
dissentions domestiques, fit son possible pour se renfermer dans son travail & dans ses amis, sans se mettre en peine de l
pour vivre dans une mollesse Philosophique, dont son domestique, son travail , & sa Troupe l’empêchoient de joüir. Il y avo
au lait pour se racommoder, & pour être en état de continuer son travail . Il observa ce regime presque le reste de ses jou
ois étonné que vous m’eussiez si mal observé. Je venois arrêter vôtre travail  ; car je ne crois pas que vous eussiez passé outr
aites cela, je vous en prie, je vous verrai souvent pour suivre vôtre travail . A Dieu, Monsieur de Moliere, songez à nôtre Piec
sauroient mieux faire, ou des libertins, qui veulent se soustraire au travail . D’ailleurs, c’est enfoncer le poignard dans le c
ût vrai, dans la recherche que j’en ai faite. Au contraire, l’âge, le travail , & le caractere de ces Messieurs étoient si d
ême que ce grand homme n’avoit emploié qu’une quinzaine de jours à ce travail . Mr. Quinaut se chargea de tout ce qui devoit êtr
au Sieur de la Grange Comedien, qui connoissant tout le merite de ce travail , le conserva avec grand soin jusqu’à sa mort. La
Auteur avoit traduit presque tout Lucrece : & il auroit achevé ce travail , sans un malheur qui arriva à son ouvrage. Un de
22 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
ec des idées et des méthodes différentes, exprime son opinion sur les travaux des hommes de génie qui les ont précédées. C’est
Il y a quelques années, mon ami M. Alfred Mayrargues, auteur d’un travail estimé sur Rabelais, voulut bien m’aider à complé
traite. Une place s’offrait à la Bibliothèque royale. Méon50 dont les travaux intéressants sur la littérature française du moye
je crois qu’il serait bien difficile de remplacer M. Méon, chargé du travail du catalogue, si ce n’est par l’un des deux auxil
jouissait d’une grande considération que lui donnaient d’ailleurs ses travaux personnels, signait la lettre suivante que je sou
ntéressez si vivement, et que recommandent aussi très puissamment les travaux littéraires de M. Beyle. Je m’y emploierai avec p
savoir. » B : « Est plus puissante. »   J’allais faire paraître ce travail lorsque l’on m’a communiqué le volume de M. Jean
ain. Mes occupations d’Auditeur ont si souvent interrompu ce genre de travail que je n’en ai plus l’habitude ; il faut que l’en
que l’ennui que m’inspirent la société et les livres me jette dans le travail . Cela posé. Quel est le but de Molière dans Georg
pour me payer si bien ; et ce qu’est, au prix de cela, une journée de travail , oü je ne gagne que dix sous ! Trait de vérité q
en] ce voyage, si je me fusse avisé le 15 septembre, que bonheur sans travail est impossible. Je ne suis pas comme Archimède.)
rtante. D’ailleurs il faut pour le bonheur d’une femme qu’elle ait un travail sérieux pour servir d’ombre aux plaisirs, sans qu
ent à l’obligeance de M. Casimir Stryienski dont on connaît les beaux travaux sur Stendhal ; l’exemplaire de Vauvenargues fait
23 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64
es passions excessives, à se rendre meilleur de toutes façons, par le travail , par la science, par la charité, par les manières
futiles, en conversations malignes, en satisfactions vaniteuses, sans travail ni but160 ! Toute la galerie de portraits des Fâc
aleur de l’observation. Si Gassendi a consacré tant d’érudition et de travail à reconstruire et à réfuter la philosophie d’Épic
24 (1811) Discours de réception à l’Académie française (7 novembre 1811)
é l’édition complète de ses œuvres ; on y reconnaît un esprit fin, un travail facile, une aimable négligence. On voit que l’aut
d un hommage légitime à son prince. Et si, malgré tant d’efforts, tes travaux étaient méconnus ; si, malgré tant de génie, tes
25 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
la prétention d’être parvenu depuis quelque temps déjà à l’âge et aux travaux solides de la raison et de l’expérience, et d’avo
1. J’ai découvert des perles dans son énorme fumier342. Mais c’est un travail aussi ingrat que bizarre de rechercher curieuseme
e confiance. La méthode d’une science est le fruit lent et naturel du travail des siècles. Elle ne sort pas tout d’un coup de l
et de chaque grand théâtre sont la seule chose intéressante dans les travaux de la critique. Réponse de Lysidas au Chevali
phénomène a sa cause. Nous verrons Goethe, dans son vaste cabinet de travail qui ressemble à un petit musée, entouré de statué
éface : « Ce livre est autant le résultat que la source de mes autres travaux  ; il est leur parent en ligne ascendante non moin
prit porté à la méditation philosophique. Je venais d’achever un long travail , la lecture suivie des cinq volumes de l’Esthétiq
oin sombre du misanthrope, il tâchait de s’échapper à lui-même par le travail , la lecture, par son goût pour la philosophie et
26 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [74, p. 108-114] »
ieux faire, ou des jeunes gens déréglés, qui veulent se soustraire au travail . D’ailleurs c’est enfoncer le poignard dans le cœ
27 (1788) Molière (Dictionnaire encyclopédique) « article » pp. 588-589
i vivement la comédie, devait trop affaiblir l’impression. À force de travaux et d’efforts dignes de Démosthénes, l’excella dan
28 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
t une soixantaine de pieces. Si quelqu’un se sent porté à ce genre de travail , je l’invite à choisir parmi celles qui restent,
t-elle ? qu’est-ce qui l’affligeoit ? Ce n’étoit plus le besoin : son travail & mes attentions pourvoyoient à tout... Menac
29 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
e Prince par les Spectacles que je lui donne, je le rebuterois par un travail serieux & mal conduit : & pensez-vous d’a
e & sublime esprit, dont la fertile veine Ignore en écrivant le travail & la peine, Pour qui tient Apollon tous ses
30 (1882) M. Eugène Sauzay et Molière (Revue des deux mondes) pp. 207-209
uteurs et la pratique du meilleur monde ont formés de longue main aux travaux de ce genre. M. Sauzay nous raconte d’abord les o
31 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
sauraient mieux faire, ou des libertins qui veulent se soustraire au travail  : c’est enfoncer le poignard dans le cœur de vos
urs et de ses amis, qui étaient fréquentes, l’interrompaient dans son travail , pourquoi cet Auteur ne nous a-t-il pas donné ce
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
lle, & l’ouvre pour en tirer de nouvelles hardes. Au milieu de ce travail , Drink & Robert entrent en se disputant : c’e
omime, on a de la peine à la deviner à la lecture ; par conséquent le travail du Public doit être bien plus pénible aux représe
33 (1821) Scène ajoutée au Boulevard Bonne-Nouvelle, pour l’anniversaire de la naissance de Molière pp. -
r, Ne blâmez point notre reconnaissance » S’illustrant dans tous les travaux , De tous les arts, la patrie est la mère. La Fran
34 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
onte et du temps qui s’en va, — la France était en doute, et en grand travail  ; elle ne savait plus où étaient ses hommes, où é
ts, de mendiants, de dames d’honneur ! Le Times, c’est la montagne en travail  ; elle mugit, elle rugit, elle se démène, elle n’
estin de Pierre, me paraissent deux années d’une lutte terrible, d’un travail acharné, d’une audace accomplie ; pour supporter
sacrifié même l’esprit de Molière : jugez donc ! Il faut le dire, ce travail de Thomas Corneille est d’une habileté déplorable
et les villageois. Proudhon. Mes amis ! mes amis ! rudes enfants du travail , jusqu’à ce jour c’est à peine si votre maître vo
re d’un grand secours. Le Chœur. Nous allons ! nous allons ! Mais le travail et l’âge retardent nos pas, et d’ailleurs, pour q
t je vous répète que je viens changer votre misère en opulence, votre travail en repos, votre pain dur en noces et festins. Le
et ces tonneaux de vin ? La pauvreté passe son chemin en compagnie du travail , dédaignant les sycophantes qui ne croient ni à l
les sycophantes qui ne croient ni à la pauvreté, ni à son camarade le travail  ; le pauvre d’Aristophane aurait honte de s’engra
35 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
ion assidue de la nature, qu’il ait dédaigné jamais de s’éclairer des travaux et des expériences de ceux qui l’avaient précédé
eul avec ses misères ! Retiré à Auteuil, ou caché dans son cabinet de travail à Paris, que faisait-il ? il pleurait le grand di
se servit, pour exciter le rire, de sa propre figure amaigrie par les travaux , les chagrins et la maladie. Deux magiciens comm
cinq mois plus tard. Molière fut tout ce temps incommodé : l’excès du travail et le départ de Baron en avaient été cause. Celui
II. Molière, ne pouvant jouer sa pièce, se remit tranquillement au travail  : il reprit l’étude des anciens, et donna au mois
urs au milieu des applaudissements, surtout sa passion concentrée, un travail incessant de plus en plus rapide et intense, ne p
de sa femme, il devenait plus tendre pour ses amis et plus assidu au travail . En effet, outre qu’il produisait plus que jamais
c’est qu’il ne pouvait plus rester chez lui quand il n’y était pas au travail . Sa femme, à mesure qu’il avait grandi en réputat
36 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre premier. Préliminaires » pp. 1-8
solidité, la supériorité qui les rend immortels. Mais il a profité du travail accompli avant lui ; il n’a eu qu’à le compléter,
37 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX & dernier. Des causes de la décadence du Théâtre, & des moyens de le faire refleurir. » pp. 480-499
peine, & que les autres, après avoir consumé leur santé dans des travaux inutiles, traînent une vieillesse prématurée. Que
es, qui conservent leurs noms à la postérité, qui, pour prix de leurs travaux , ne demandent qu’à partager avec eux les honneurs
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. De l’Art de prévenir les Critiques. » pp. 309-313
le sera toujours. 43. L’Abbé Brueys, Auteur Comique, associa à son travail Palaprat. Ils firent en commun le Grondeur. Ils t
39 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
l’essai ne durera pas trop longtemps. Lorsque j’ai commencé ce grand travail de révision sur moi-même, au premier abord il me
es les plus calmes et les plus régulières. Ces habitudes loyales d’un travail plein de conscience et de zèle, la critique les i
n directeur du Théâtre-Français. À lui seul, Molière accomplissait le travail de ces sept hommes, et il l’a accompli, toute sa
avoir les chefs-d’œuvre qui ont été le principe et le commencement du travail même de vos contemporains. Cette étude est pour l
ait quelque chose à dire qui soit nouveau, à propos de l’œuvre et du travail des siècles passés. Et quand je dis nouveau, je n
iquant, de mon mieux, comment l’unité se peut rencontrer même dans un travail de vingt-cinq ans) j’arrive au commencement de la
l point la rage le devait prendre, ce misanthrope, obligé de vivre du travail de ses mains, comparé à cet heureux Misanthrope d
x comprendre. Autant elle jouait le rôle d’Elmire dans Tartuffe, avec travail , avec tremblement, avec une contrainte admirablem
s choses-ci ne s’obtiennent qu’à force de zèle et de probité, dans un travail acharné de chaque jour. Encore une fois, lisez le
ammaire, la rhétorique, la poétique et l’histoire ou Mémoires sur les travaux de l’Académie Française, à M. Dacier, secrétaire
40 (1812) Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartuffe pp. 4-32
le théâtre français a sur tous les autres. Mais ayant de publier mon travail , j’ai cru devoir soumettre au public et aux criti
s scrupuleusement tout ce que j’ai fait, et je tâcherai de rendre mon travail plus parfait et plus digne de son approbation. Da
41 (1843) Épître à Molière, qui a obtenu, au jugement de l’Académie française, une médaille d’or, dans le concours de la poésie de 1843 pp. 4-15
beau s’il vient d’une belle âme. Travaillez, dût l’envie insulter vos travaux . Le génie est en proie à de lâches rivaux ; Tant
42 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
les traits marqués rendent la peinture plus facile & diminuent le travail du peintre, Moliere ne pouvoit par conséquent se
43 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
e temps et les documents fournis par les contemporains de Molière. Ce travail , entrepris pour une satisfaction toute personnell
ent inutile aux autres si nous avons réussi à vulgariser les louables travaux de chercheurs qui s’adressent trop exclusivement
qu’il est, M. Lauser est bien Allemand, et, sur ce point encore, son travail nous intéresse tout particulièrement. N’est-il po
onie et de souffrance. Un écrivain, dont on fera bien de consulter le travail , que nous venons de relire avec profit, M. E. Bur
’il dépensait sans ostentation, toutefois. Où se trouvait sa table de travail s’appuie un secrétaire, tout à fait moderne, orné
tudierait avec fièvre les lignes a demi illisibles ? Qu’est devenu ce travail dont nous parlions tout à l’heure, cette traducti
s silencieux, dans son logis meublé richement d’objets dus à son seul travail . M. Eudore Soulié, dans son livre absolument éton
ournier, des Thierry, des P. Lacroix, des A. Jal, pour attribuer à ce travail autre chose qu’une valeur de critique particulièr
s Incompatibles a été réimprimé aussi à la suite du curieux et savant travail de M. Lacroix sur la Jeunesse de Molière (Bruxell
écrivains, entreprise par la librairie Hachette. Il faut attendre ce travail de M. Despois pour avoir, en beaucoup de points,
44
ici que du moliériste, et le plus éloquent éloge sera la liste de ses travaux . Curieux infatigable et chercheur patient, Édouar
urs plus ou moins l’original. M. Thym est tellement convaincu que son travail n’a pas toujours évité cet écueil, que, pour comp
mettrions pas la moindre transaction. Or, jugé d’après ces règles, le travail de M. Thym nous paraît une œuvre fort réussie et
 : « Nº 646. — Cuivre doré., — Un Reliquaire de forme hexagone et de travail gothique, flanqué à ses angles de six tourillons
oignait encore à tout cela, une activité prodigieuse, une ténacité au travail extraordinaire, et, — ce qui ne gâte rien, — une
és, que la mort vient d’enlever en plein labeur, au milieu de savants travaux , brutalement interrompus. Voici la réponse de l’a
nté son prédécesseur — aucune mention de Perrault — fit suspendre les travaux et en confia la direction au cavalier Bernin, app
emarquer dans ma première note. Je regrette de donner sur ce sujet un travail que l’éloignement où je suis de Paris, sans autre
ements de Madame et de sa petite Cour l’encouragèrent à reprendre son travail , puisque nous verrons bientôt l’ouvrage représent
e 2 000 livres sur l’hôtel de ville41. Il a publié quelques cartes et travaux d’histoire et de géographie. Sa fille (c’est-à-di
45 (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352
t de l’oisiveté. Alors, pleinement éveillé et riche des fruits de ce travail qui avait été pour lui un plaisir, il écrivait, n
 : Rien ne suffit aux gens qui nous viennent de Rome : La terre et le travail de l’homme Font pour les assouvir des efforts sup
46 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
quelquefois donner lieu. Depuis nos éditions précédentes, beaucoup de travaux ont été continués ou entrepris sur la vie de Moli
heurs ont autant trouvé que lui sur Molière. Il semble même, et notre travail nouveau, qui doit à l’obligeance de M. Paul Lacro
être le premier à en convenir. C’est ainsi qu’au début d’un très long travail intitulé : Comment Molière fit Tartuffe, il fait
il est presque impossible de suffire simultanément aux exigences d’un travail de critique et d’érudition, d’aperçus d’histoire
ntaires de l’instruction, il lui fit prendre part exclusivement à ses travaux jusqu’en 1637, époque à laquelle il obtint pour l
sauraient mieux faire, ou des libertins qui veulent se soustraire au travail . D’ailleurs, c’est enfoncer le poignard dans le c
e prince par les spectacles que je lui donne ; je le rebuterai par un travail sérieux et mal conduit. Et pensez-vous d’ailleurs
Rare et sublime esprit, dont la fertile veine Ignore en écrivant le travail et la peine. Craignant cependant de manquer de t
e j’aurai faites. » Une mort prématurée empêcha Molière d’exécuter ce travail , qui certes eût pu servir de poétique à la comédi
ge, Il a fait coup sur coup voyage, Et le bon droit représenté De son travail persécuté. Mais de cette plainte susdite N’ayant
ecueillir les seuls renseignements qui nous aient été transmis sur ce travail , renseignements inaperçus jusqu’ici. L’abbé de Ma
n mari, insensible aux contrariétés et aux peines sans nombre que ses travaux et ses ennemis lui suscitaient, mademoiselle Moli
és qu’il la faut imiter. Notre auteur, qui « ignorait en écrivant le travail et la peine », ne voulait point prendre celle de
s venir peut-être trop souvent ; je crains de vous distraire de votre travail . Ainsi, je ne vous enverrai plus chercher ; mais
ux atteignit, au grand étonnement de ce singulier jury, le nombre des travaux d’Hercule. Déjà les assistants, persuadés de l’in
olière. » Que la paresse ne l’a-t-elle empêché de le profaner de son travail  ! Une telle absurdité soulèverait notre indignati
honneur consistait à ne pas abandonner plus de cent personnes que ses travaux faisaient vivre, et qui seraient tombées dans la
ours. C’est dans la force de son talent qu’il fut enlevé à ces nobles travaux qui firent la gloire de son nom et la consolation
de ce qui restej ». Si l’on ne savait qu’il « ignorait en écrivant le travail et la peine », on pourrait en songeant à sa trop
Bazin, Paris, 1851, p. 82. 7. Œuvres complètes de Molière, avec un travail de critique et d’érudition, aperçus et histoire l
a au prince ; et que l’année d’après, donnant la seconde partie de ce travail sous le titre de Recueil des qualités et armes, a
alors ce que, dans notre langage moderne, nous appelons la liberté du travail . «  Le 6 de ce mois, dit la Gazette du 13 novemb
47 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
es Parfaict, paraissait à peine. Le Mercure ne s’est pas imposé grand travail  : il a colligé, sans lien ni suite, des extraits
Mercure, en se bornant à transposer certains passages. Ce minutieux travail de comparaison nous a permis de recueillir dans l
lui-même, il lui dit21 : Que sa fertile veine Ignore en écrivant le travail et la peine ; Qu’Apollon tient pour lui tous ses
dégoûts qu’il eut de ce côté-là le portèrent à se renfermer dans son travail et dans ses amis. Chapelle étoit son ami, comme o
48 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
u Dieu caché de susciter une main assez forte pour les jeter bas. Mon travail parut dans l’Univers, et il eut le fruit que je p
travaillés avec beaucoup d’art par Molière lui-même. Dans mon premier travail , je m’étais contenté (le nommer Bourdaloue ; dans
ient de quitter du moins le théâtre et de réserver ses forces pour le travail de cabinet ; mais il se faisait un « point d’honn
logie. Dans le fait, Caffaro n’était pas véritablement l’auteur de ce travail  ; mais il s’accusa d’avoir autrefois composé en l
pardon de celle longue citation, ni de celles que je ferai encore. Ce travail est le récit d’un combat dont l’enjeu est d’âmes
ce n’est pas pour l’outrager, la pensée « humanitaire » d’avancer le travail que les sectaires d’aujourd’hui, éclectiques, com
ple, ajoute M. de la Gournerie, qui a fait un excellent et trop court travail sur le sujet qui nous occupe. Un élégant sermon !
ver ce péché que nous dérobons et qui dort dans le fond du cœur. » Ce travail de la grâce se fait dans le cœur des rois comme d
er ; elle n’aurait qu’à jouir tranquillement du fruit de ses glorieux travaux . Mais tout cela, Sire, est encore trop peu pour v
ourdaloue est vaincu, je le sais bien ; à mesure que j’avance dans ce travail , je le sens davantage, Bourdaloue est vaincu, Bos
e). On le voit : évidemment, l’éloquent Bourdaloue, occupé des saints travaux d’un ministère dans lequel il eut souvent l’éloqu
é avec lui ; et enfin, la licence que l’éditeur a prise de joindre ce travail à la comédie imprimée, fait assez voir que Molièr
49 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
e, un bavard, un paresseux, — un jeune homme ! — qui se moque bien du travail dépensé autour du poirier, mais qui veut les poir
n’est pas une parvenue! Elle n’est pas non plus impromptue; elle est travail , elle est effort, comme presque toutes les belles
50 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
acrées à la peinture des mœurs et du cœur humain, qui n’aient subi ce travail d’investigation, cette analyse, parfois quelque p
et la peinture de cette société elle-même a été subordonnée, dans le travail du poëte, à une conception plus grande, plus vast
51 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Du Choix du Titre. » pp. 94-102
ntation, & font dire ensuite au spectateur malin : La montagne en travail enfante une souris. Mon dessein est, dans ce Cha
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
ndis qu’il sera à la charrue, sa femme, qui n’est point accoutumée au travail , ne s’amuse avec des amants, il imagine un expédi
53 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
ans doute le soin qu’il avait eu de le prendre pour auxiliaire de son travail . Quoi qu’il en soit, la scène du chasseur fut fai
chevée à temps, s’il n’avait recours à quelqu’un pour l’aider dans le travail de la versification. Chapelle, dont la plume étai
54 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
éclamer contre ses rivales l’une après l’autre, & à détailler les travaux qu’elle prépare au fils d’Alcmene. Elle auroit dû
bourreaux ; Et je regretterois une heure de sa vie, Qui d’un nouveau travail ne seroit pas suivie, &c. J’ai vu des person
55 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
e la comédie française, et nous donnerons ensuite un court exposé des travaux de ses successeurs. Les productions de Molière so
rieux, Le Philosophe marié et même dans L’Irrésolu, ce que peuvent le travail et la constance du zèle. D’autres pièces de lui,
omantique. Dans la sphère de la véritable littérature dramatique, les travaux d’un écrivain tel que Lemercier, méritent sans do
56 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
s sur la comédie, et, accessoirement, la comédie sur les mœurs. » Le travail que l’on va lire, conçu d’après ce plan, était de
u s’ils en ont dévié. Pour mettre le plus d’ordre possible dans notre travail , nous diviserons en périodes le long espace de te
les plus hasardeuses. Un triste spectacle alors s’offre aux yeux; les travaux , les occupations honnêtes, sont négligés ou aband
yen de la constater était, comme nous l’avons dit dans l’exposé de ce travail , de tracer les esquisses des époques distinctes q
et la gloire. Peut-être nous reprochera-t-on, après la lecture de ce travail , de ne nous être pas assez renfermé dans la quest
son des moyens d’exécution de l’élève. Enfin, mon cher Eugène, si mon travail , tout imparfait qu’il soit, pouvait vous être de
dien, de cultiver avec soin son organe, de lui faire acquérir, par un travail persévérant, les qualités dont il peut être dépou
57 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLII. De l’art d’épuiser un Sujet, un Caractere. » pp. 493-503
sa vie ? Point du tout. C’est un homme amoureux du plaisir, Ennemi du travail , toujours plein de loisir ; Méprisant ses égaux,
58 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
du Roi, soit par la nécessité des affaires de la Troupe, sans que son travail le détournât de l’extrême application, et des étu
59 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
bien fait, et feront bien dorénavant, de tenir plus de compte de son travail . Charles Magnin. 1. Cette informe contrefaçon
60 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
s moins celui-ci qu’elle n’importunait l’autre. Il est évident par le travail de cette comédie qu’elle n’a été ni inspirée par
61 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
une science, tout le monde peut sans art et sans génie, faire avec du travail un bon livre, intéressant et utile, dans le systè
62 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
ses pérégrinations à travers la province ont fait l’objet de tant de travaux qu’il faut bien en connaître au moins les plus co
ait un état civil à Molière, aux compagnons de ses épreuves et de ses travaux . En 1848, Bazin emploie pour la première fois à c
lieu », du « moment ». Parmi les autres que nous pourrions citer, les travaux de J. Loiseleur (1877) et de L. Moland (1885) nou
rivains ont l’instinct du style. En 1680, en grande partie à cause du travail accompli et des exemples donnés par les grands éc
63 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
sauraient mieux faire, ou des libertins qui veulent se soustraire au travail . D’ailleurs, c’est enfoncer le poignard dans le c
Louis XIV leur ouvrit celle de la gloire. Ce fut là ce qui donna aux travaux des écrivains du XVIIe siècle un caractère sérieu
ntraires à celles auxquelles, par la nature de leur génie ou de leurs travaux , ils sont ordinairement soumis. S’ils sont vraime
e dont les vers sont payés par de bons bénéfices, et dont le génie en travail Méditant un sonnet, médite un évêché ; lui qui
Shakespeare est le fils du moyen âge, l’héritier légitime de tout le travail d’imagination né des grandes luttes de cette époq
Comme elles sont facilement disposées à se contenter à bon marché, un travail suivi sur un point quelconque ne peut que rendre
plein qu’elle lui tend avec un gai sourire est une récompense pour le travail du matin, un encouragement pour le travail du soi
est une récompense pour le travail du matin, un encouragement pour le travail du soir. Modeste et pieux office ! Que celle qui
s respectables, si l’indécision du roi, ne furent pas l’occasion d’un travail intérieur énergique et salutaire ? Qui sait si Le
i, il reste quelque chose du vieil homme; dans celui-là se prépare le travail de la repentance. Ils sont frères; parfois ils so
64 (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331
x par la conformité d’humeur et de goût, et qui mirent en commun leur travail et leur talent, sans que cette association délica
eur temps, des moissons d’artichauts Du jardinier actif secondent les travaux , Et que de champignons une couche voisine Ne fai
65 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
, mere commune des humains, ô Terre ! ne te rends point rebelle à mes travaux  ; ne ferme point ton sein à mes besoins : je n’y
66 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
our être intéressant, il faudroit revenir sur tous mes chapitres : ce travail seroit ennuyeux, & encore plus inutile. Un pe
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
magination n’a-t-il pas fallu pour épargner au spectateur la peine du travail dans une intrigue très vive, pour lui procurer le
68 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327
is que mon maître pourroit devenir un grand prédicateur. Antoine. Son travail lui laisse-t-il assez de loisir pour lire de pare
69 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
que, à la vue de ses compagnons qui n’avaient plus pour vivre que son travail et ses souffrances, il n’hésite pas ; une dernièr
Seulement il souffrait de son amour. Et la conclusion de notre second travail ne fait que confirmer la conclusion du premier.
70 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
me de caractères, chaque année une comédie ! Eh ! je vous prie, si ce travail eût été fait, des mille nuances de la vie humaine
aillé, et enfin elle a cédé à la force, à la fatigue incessante de ce travail de tous les jours. —  Je suis vaincu du temps , d
emier rang, dans la première œuvre de M. Victor Hugo, dans le premier travail de M. Alexandre Dumas ! On la voyait, aujourd’hui
71 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
telligence de son drame. En voilà assez, je pense, pour expliquer les travaux que les moliéristes continuent d’accomplir sur l’
surtout aux gens du monde, auxquels suffisent des résumés élégants de travaux originaux habilement rapprochés et combinés. J’y
en deux fois à son père les dix mille livres que devaient coûter les travaux , et pour lesquelles ce dernier constitua une rent
ux mois seulement après le second, c’est-à-dire au moment même où les travaux qui avaient motivé l’emprunt arrivaient à leur te
ce moment13, qu’est due cette hypothèse. Il l’a émise dans un curieux travail publié par le Moliériste de juin 1884, sous ce ti
72 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
t d’esprits distingués en France et que son œuvre ne fût l’objet d’un travail suivi et considérable. Le commencement du siècle
ur avertir la postérité du dégoût et de l’horreur qu’il avait pour un travail que lui imposaient les circonstances et la soif d
paraît que quelque sans-culotte s’était livré sur Le Misanthrope à un travail plus étendu et plus singulier. C’est J. Janin qui
reproduira plus jamais pour le jeu de ces pièces immortelles. » Les travaux sur l’auteur comique se multiplièrent. En 1802, C
olume, dans lequel nous avons cherché à recueillir et résumer tout le travail antérieur de l’érudition et de la critique. CH
sseur d’écriture, mais celui d’écrivain public ou d’homme faisant des travaux d’écriture. Georges Pinel était marié, car pour l
tayers, Michault, charpentier, et Duplessis, menuisier, à activer les travaux de la salle de Paris, afin qu’elle soit prête à l
renvoyé à messieurs du bureau des comptes pour avoir tel égard à son travail qu’ils le jugeront à propos. » L’assemblée de l’
u facile à vérifier, les fragments de Ménandre : il s’assimila par un travail merveilleusement attentif le théâtre de Plaute et
omplit par conséquent, pendant ces années d apprentissage, un violent travail sur lui-même ; il avait vaincu les plus grands ob
plaisante, la joie bien légitime du triomphe. Comment, après tant de travaux et de luttes, n’aurait-il pas ressenti une satisf
fêtes de Vaux. Depuis longtemps déjà Colbert, penché sur sa table de  travail , découvrait les rapines, les fraudes, les combina
ement de celle-ci à Paris. Nous avions conjecturé, dans notre premier travail sur Molière, que ce nom de Menou pouvait être un
i posé, voulut l’avoir pour gendre. Molière, dans la vie infernale de travail et d’affaires qu’il menait à la fois, ne disputai
isses de son théâtre. Il se montrait, lui et toute sa troupe, dans le  travail des répétitions, sans noms d’emprunt, chacun dans
ns son rôle de directeur et d’auteur ; il nous y révèle sa méthode de travail , sa pratique de la scène, sa théorie de l’art de
xpérience personnelle du poète dut exciter et entretenir. De nombreux travaux d’érudition sur l’état de la médecine au XVIIe si
Molière affectionna ce séjour d’Auteuil. Au moindre relâche dans ses travaux , il y courait, il y goûtait la tranquillité et le
aimé, et pour le bien de la troupe, qui n’était soutenue que par ses  travaux , qu’il tâcha toute sa vie de leur en donner des m
: Rare et sublime esprit dont la fertile veine Ignore en écrivant le travail et la peine ; Pour qui tient Apollon tous ses tré
t art demande tous les dons de la nature, une grande intelligence, un travail assidu, une mémoire imperturbable, et surtout ce
73 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
’y faire vivre en paix avec la raison et la science. En dehors de ses travaux d’éditeur, théâtres du Moyen Âge et de la Renaiss
t théâtre moderne, Édouard Fournier a marqué sa prédilection pour les travaux historiques par des publications considérables, o
à recommencer. Édouard Fournier se le tint pour dit. Il suspendit son travail entrepris sur les anciens vestiges. Armé de la pa
, grâce à Beffara, à Eudore Soulié et à Jal. On peut entrevoir que ce travail nécessaire, lorsqu’il s’accomplira, ne laissera r
plus haut dans son cabinet, tâchait de s’échapper à lui-même, par le travail , la lecture, ou la conversation de ses amis. Il n
les y entraîne. Quand on résume leur vie, on voit qu’il n’y est rien, travaux , épreuves, malheur surtout, car ce sont là les gr
 : Il a fait coup sur coup voyage, Et le bon droit représenté De son travail persécuté… Cette fois, Louis XIV, qui avait été
théâtre resté sans pièce nouvelle et privé d’un succès, il se mit au travail avec un courage qu’il ne s’était pas trouvé depui
’une façon toute particulière, à mesure que je me suis avancé dans le travail que je donne ici. Ce tableau, peint sur bois, pro
jalousie, qui, pour lui, le doubla toujours, et, de l’autre, par son travail d’esprit, ses anciennes pièces à jouer, sa pièce
ière en voulait au surintendant, pour tant d’exigence et pour tant de travail . Deux vers seulement cachaient une malice, une am
our les génies de cette trempe forte et féconde, en mener de front le travail avec l’élaboration de plusieurs autres comédies.
t le Misanthrope, le temps d’être parfait. Le temps, cette monnaie du travail , qui, suivant qu’on le dépense ou l’économise, fa
ien tant que la perfection par le soin, la caresse d’une œuvre par le travail , il s’était hasardé dans une affaire moins périll
avait donné, pour le prompt achèvement de la pièce, des facilités de travail que ne lui eût pas permises l’alexandrin. Le succ
retrouver les débris, comme nous l’essaierons ailleurs, dans un grand travail depuis longtemps préparé, la joie de la découvert
, en effet, promis de faire vite. Il tint parole avec une rapidité de travail , qui étonne, quand on examine l’œuvre en elle-mêm
trouverait à en rabattre, pour peu qu’il voulût faire sur ce point le travail que n’a pas fait, il faut bien le dire, ce pauvre
qui serait faite avec des fragments des siennes, il proposa, pour ce travail , Arthaud, son secrétaire, qui lui semblait des pl
ait été faite par le P. Hercule, ce qui faisait dire : « C’est un des travaux d’Hercule. » Idem, édit. in-8, t. VI, p. 259 ; ma
74 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
tribuoit au chagrin de son mauvais menage, & plus encore au grand travail qu’il faisoit. Un jour qu’il devoit joüer le Mala
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Méprises, des Equivoques & de ce qu’on appelle quiproquo au Théâtre. » pp. 474-489
icter, sans aller chercher des détours qui font partager au public le travail de l’Auteur, & détruisent son plaisir & l
76 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447
sans être solitaire, Et toujours occupé sans avoir rien à faire. D’un travail sérieux veux-je me délasser, Les Muses aussi-tôt
77 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79
riquent des paniers. Lui, pour tenir sa famille en gaieté et aider au travail de la nuit, chante en s’accompagnant de la cornem
78 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
, âme candide, ambition modeste. Toute sa journée se passait dans les travaux ou dans l’oisiveté de sa profession ; le soir ven
telligent et plein de zèle, mais sans grâce et sans goût, poussant le travail jusqu’à la grimace, et se permettant le vers à la
, ou courage, ou talent, n’usez pas votre tête et votre cœur dans les travaux de la science, gardez-vous de remporter des batai
le jugement, la finesse ; il obtiendra plus tard, de l’étude et d’un travail assidu, l’usage du monde, l’expérience du théâtre
ais plus loin que cette ligne où son imagination s’est arrêtée en son travail  ; — telle qu’on la voit le premier jour, telle el
e se passionne, elle accomplit quelque intime opération, semblable au travail du poète ; elle obéit à l’impulsion surnaturelle,
s désastres ! Que de jeunesses, perverties par la folie et le zèle du travail , en proie à l’ambition qui tue, ont dû à ce galan
tait la victime de l’étude ou des passions, la victime du génie et du travail  ; celui-là était le bienvenu qui succombait sous
es écrivains par métier, des amoureux et des amoureuses condamnés aux travaux forcés de la poésie et du drame ! Ah ! natures pe
i d’une impatiente ardeur de vengeance, il le renvoyait, calmé, à son travail innocent de chaque jour ! D’un poème épique, il a
omédie du poète français et la comédie du poète latin ; au bout de ce travail , qui est des plus faciles, il est évident, pour t
79 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
la fresque du Val-de-Grâce, Molière, non content de célébrer ce grand travail avec l’enthousiasme que l’on sait, plaida courage
a fille, ou seul et rêvant. Peu à peu, en effet, son existence et ses travaux avaient accumulé en lui une immense lassitude don
sauraient mieux faire, ou des libertins qui veulent se soustraire au travail . » Il lui remontrait donc que, monter sur le théâ
80 (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136
ce. Tel est le point de vue sous lequel Molière sera envisagé dans ce travail . Enfin, il est un troisième ordre de moralistes q
entions? L’honneur, ô Mascarille ! est une belle chose ; à tes nobles travaux ne fais aucune pause, et, quoi qu’un maître ait f
état par des procédés humains et surtout par une longue habitude d’un travail professionnel obligatoire qui leur permettra de v
d’elle dans des localités où la nécessité les obligera à se livrer au travail pour subvenir à leurs besoins, à changer par cons
tant celles qui président à la raison et à la folie, je terminerai ce travail en les formulant : 1° Quand l’activité intellectu
81 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVI. De l’opposition des Caracteres. » pp. 398-416
Rare & fameux esprit, dont la fertile veine Ignore en écrivant le travail & la peine ; Pour qui tient Apollon tous ses
82 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
vres de la vanité, tous ces mensonges des yeux et des lèvres, tout ce travail perfide pour conquérir des amants qu’on n’aime pa
83 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
de froideur témoignée plus tard par le roi à madame Scarron. 72. Ce travail n’a pas été de petite difficulté. Nous avons deux
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
Muse historique du Dimanche 20 Août 1661. Aujourd’hui mes soins, mes travaux N’iront qu’à discourir de Vaux. . . . . . . . Mer
85 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
de l’honneur, ennemis du repos, Achetent la richesse au prix de leurs travaux  : Le fourbe bien plus vîte arrive à la fortune38.
86 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
ginal, était loin de condamner absolument, et sur tous les points, le travail du traducteur. Quelques-unes de ces personnes pré
87 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
ure partie de cet auditoire, et que vous ne venez pas chercher ici un travail , mais un noble divertissement. Je n’espère pas m
siennes dans cette intime société. Accoutumez-la à l’application, au travail domestique, aux détails du ménage, afin qu’elle s
88 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138
se tua. Un jour Tchao-tun sortit pour aller animer les laboureurs au travail , il trouva sous un mûrier un homme à demi mort de
89 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421
durée, à des palmes immortelles qu’il faudroit mériter par de grands travaux  ! Chacun a son goût : ou peut-être connoissez-vou
90 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
peintre s’accommode à son impatience, La traite à sa manière, et d’un travail soudain Saisisse le moment qu’elle donne à sa mai
répondit-il. Il y a là cinquante pauvres ouvriers qui n’ont que leur travail pour vivre. Je me reprocherais d’avoir négligé de
té qui lui parle le langage de la franchise, et lui enseigne de mâles travaux . Cependant Mercure le décide à suivre le conseil
du moins le droit d’affirmer, non sans vraisemblance, que le plan du travail était désormais arrêté dans l’esprit du poète, et
osodie étaient un jeu n’aurait pas reculé devant les contraintes d’un travail qu’il eût estimé nécessaire. Mais il jugea plutôt
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273
pertinent & de plus ridicule que d’amasser du bien avec de grands travaux , & élever une fille avec beaucoup de soin &am
92 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
re le donna en prose en 1665. Ses camarades qui l’avoient engagé à ce travail , furent punis d’un si mauvais choix, par la médio
la société d’une femme aimable, comme un délassement nécessaire à ses travaux  ; ce ne fut pour lui qu’une source de chagrins. L
93 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
ys. Le grand tragique n’observait guère. L’histoire, la réflexion, le travail solitaire du génie, peuvent révéler au poète les
e rire que l’esprit ; mais encore faut-il qu’il ne lui en coûte aucun travail , et que ce ne soit pas par des vérités dans lesqu
94 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE X. Du Père, de la Famille, de l’Etat. » pp. 193-216
n trouve dans Molière la louange du prince sans cesse rapportée à ses travaux , non à sa personne ; l’affirmation de ses devoirs
95 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
onnête tapissier, marié à une excellente femme, et nourrissant de son travail une nombreuse famille, il eût, il est vrai, donné
parlant de Molière et de sa vie privée, n’a le droit d’ignorer ni les travaux de M. Despois ni les études de M. Loiseleur. Il s
subsistait dans sa seconde version quelques vestiges épars du premier travail . M. Anatole de Montaiglon vient de mettre à néant
ié qui évidemment avant lui revenait de l’Académie. Ce sont les seuls travaux que j’aie lus ; mais il y en a eu beaucoup d’autr
Qu’importe la peine et le soin de l’artiste si l’on ne sent plus le travail  ? Pourquoi lui savoir mauvais gré de s’être donné
s. Rien, il est vrai, ne sentait l’effort chez Mlle Mars. Mais que de travail et de complications dans cette coquetterie raviss
ttendus. Il n’y a plus moyen aujourd’hui de ne pas tenir compte de ce travail d’un siècle. On ne peut plus jouer naïf ; il faut
ent, en style de théâtre, une vérité, qui était déjà, grâce à un lent travail du siècle, un lieu commun de politique ou de mora
 : c’est que, dans tout chef-d’œuvre, s’il y a la part du génie et du travail , il y a aussi une part, et très considérable, qui
écidé cette reprise, et les artistes qu’il a choisis pour exécuter ce travail , se soient abusés un instant sur le résultat fina
royais que c’était mieux ! » C’est une maigre récompense pour tant de travail . Mais nos jeunes acteurs en ont, par bonheur, une
r ordre ; c’est le sentiment qu’ils ont du profit qu’ils tirent de ce travail pour eux-mêmes. Je ne cesserai de le répéter : on
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80
a Terre Entretient quelquefois commerce avec les Cieux. Mercure.   Ce travail me lasse & m’ennuie,  Lorsque je vois tant de
97 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144
V et suiv.), en 1661, un an avant le mariage de Molière. Il y a là le travail d’un artiste qui se reprend, se corrige et se per
98 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192
lle : Les rigueurs des parents, la contrainte cruelle, L’absence, les travaux , la fortune rebelle Ne font que redoubler une am
99 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
ir véritables ; quand, révolté de voir des femmes qui abandonnent les travaux de leur sexe pour manier le télescope et l’astrol
me il est dit en tête du prologue, pour délasser le roi de ses nobles travaux . Mais, du moins, Molière, voulant célébrer le re
100 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
es goûts à son mari ; revenu de bien des choses, souffrant, écrasé de travail et de soucis, Molière aspirait à la vie de famill
n vers libres la Mélicerte de Molière, et c’est dans la préface de ce travail bien inutile qu’il s’exprimait de cette façon. De
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