s le tribut que les deux littératures méridionales lui ont apporté. L’
étude
des rapports de Molière avec le théâtre italien é
di pietra. Cette pièce rentrait nécessairement dans le cadre de cette
étude
: elle est trop essentielle et trop caractéristiq
rceau excepté, on ne trouvera nulle part qu’il y ait double emploi. L’
étude
de la comédie italienne antérieurement à Molière
de Des Boulmiers en 1769, les Annales d’Antoine d’Origny en 1788, les
études
de Cailhava d’Estandoux, faites précisément au mê
x textes et aux documents originaux, m’a permis d’apporter dans cette
étude
quelques éléments nouveaux, que le lecteur qui a
pissier chez le roi. 2°. On dit qu’il fut destiné par ses parents à l’
étude
du droit ; mais on le dit contre toutes preuves :
le roi ; mais son aversion pour sa profession, et son penchant pour l’
étude
l’engagèrent à solliciter son grand-père qui le m
à Paris, sa passion pour la comédie qui l’avait déterminé à faire ses
études
, se réveilla, et il résolut de la satisfaire en d
ires. Noble triomphe d’une noble pensée ! Cet élysée que l’auteur des
études
voulait placer dans une île de la Seine, près du
t pas de connaître ses ouvrages, il faut connaître sa vie. Sans cette
étude
préliminaire, on ne saura jamais comment le fils
d philosophe, car la philosophie ne se concentre pas seulement dans l’
étude
des notions abstraites de la pensée, elle compren
d’hommes également illustres par la vertu et par le génie, après une
étude
consciencieuse de la vie et des ouvrages de Moliè
cœur plein de droiture, Nul préjugé d’abord n’a faussé sa nature, À l’
étude
en naissant n’étant point asservi, C’est son prop
é Il apprend à goûter la sévère beauté ; Il parle, dans ce monde où l’
étude
l’exile, La langue de Platon et celle de Virgile
enchaînent pas !… À son ardente inquiétude Que dompta si longtemps l’
étude
, Il faut enfin un élément ; À cette âme, où l’ins
rtels vous les avez gravés ; L’art ne fut pas pour vous cette stérile
étude
Qui peuple d’un rhéteur la froide solitude ; L’ar
re suffisamment honoré la mémoire, est né à Paris, qu’il y a fait ses
études
, qu’il y a passé presque toute sa vie, qu’il y a
judication ; il en sera traité avec des entrepreneurs connus. 1.
Etudes
de la Nature, I. 3, 215. 2. Département des Deux
tausier avait inspiré à Molière le caractère du Misanthrope, mais une
étude
plus approfondie de notre grand poète dramatique
llis avec l’indulgence qu’ils veulent bien d’ordinaire accorder à mes
études
historiques. Celui qui traite des autographes de
conduit et comme contraint à y revenir par le retentissement de deux
études
récentes, où elles sont traitées avec talent et o
lui plaît d’en convenir : il l’a prouvé en d’excellentes pages de ses
Études
critiques sur la littérature française. Qu’il fai
e pour bien comprendre ces derniers, il n’est pas mal d’en éclairer l’
étude
par la connaissance des circonstances où ils se s
le jeune écrivain que je nommais tout à l’heure, dans sa remarquable
étude
sur la femme de Molière. Parlant des soupçons qui
publie, dans le Bulletin et dans les Mémoires de cette’ société, des
études
telles que celle qui concerne le Jeu de Paume des
raisons de ce jugement, raisons qu’il reproduit aujourd’hui dans son
étude
sur la maison des Pocquelins. Comme elles sont fo
iné par Molière ? « On devine un peu, ajoute M. Vitu dans sa récente
étude
sur la maison des Pocquelins, étude où il appuie
u, ajoute M. Vitu dans sa récente étude sur la maison des Pocquelins,
étude
où il appuie à nouveau sur les clauses du contrat
e son culte. IX. L’excommunication des comédiens. Au sujet des
études
qui précèdent, M. Ch.-L. Livet a adressé au Temps
r dans le Temps une nouvelle série de ses savantes et consciencieuses
études
critiques. Ses recherches sont, cette fois encore
sions littéraires, il conteste les conclusions auxquelles mes propres
études
m’avaient conduit, et notamment une thèse que j’a
veillants dans lesquels il veut bien parler de moi et de mes modestes
études
. Je lui demande la permission de répondre brièvem
mière jaillirait sans doute de la comparaison, en même temps que de l’
étude
rai-sonnée de l’origine et des caractères de ces
s : le Misanthrope, Tartuffe et les Femmes savantes. Au sujet de l’
étude
qui précède, M. Étienne Charavay a adressé au Tem
s signatures de Molière conservées dans nos bibliothèques ou dans les
études
des notaires. C’est, à mon avis, l’unique moyen d
ettrés. Étienne CHARAVAY. Le projet formulé par M. Loiseleur dans l’
étude
qui précède, et auquel M. Charavay a donné son as
e tous les travers sociaux ? M. Scherer, comme on a pu le voir dans l’
étude
qui ouvre cet opuscule, juge le caractère d’Alces
rdre de Louis XIV. Or, savez-vous quelle est la donnée de sa curieuse
étude
? Cette vigoureuse satire de l’hypocrisie, le Tar
ssements. Joignez à cela les éditions de ses œuvres, les innombrables
études
dont il a été l’objet, et voyez quelle splendide
s du ler décembre 1884. 2. On peut consulter sur ce point la savante
étude
de M. Maurice Reynaud, Les Médecins au temps de M
13 décembre 1877 ; Molière en, nos des 9 et 12 août 1880. Toutes les
études
contenues dans le présent opuscule ont également
us haut. 10. Les points obscurs de la vie de Molière, p. 302. 11.
Études
critiques, p. 189. 12. Mémoires de la Société d
sprit avait perdu de son importance, la mode avait amené le goût de l’
étude
et des sciences. Les femmes les plus considérable
faire un meilleur usage que de s’instruire, s’étaient appliquées à l’
étude
du grec et du latin, à la métaphysique de Descart
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie Doit être son
étude
et sa philosophie. Les Femmes savantes, ai-je d
ar le poète dans une condition qui ne laisse point de loisir pour les
études
scientifiques, ce qui était absolument contraire
; Il leur fallut un comédien Qui mit à les polir sa gloire et son
étude
; Mais Molière à ta gloire il ne manquerait rien,
is de leur ingratitude. 229. Bouhours, Dominique (1628–1702). Ses
études
terminées au collège de Clermont, il entra dans l
comme une vue d’ensemble sur toutes celles que nous connaissons. Les
études
historiques reçurent dès la fin du dix-huitième s
amatique des récits dans L’École des femmes, est le seul morceau de l’
Étude
du Chevalier, où j’aie vu« la spirituelle Uranie
on a la tête meublée d’idées générales de cette force, on a fini ses
études
; on a du jugement, du goût ; on est absolument i
us ferons toujours ainsi. Mais quand nous sommes dans notre cabinet d’
étude
, quand nous faisons un livre, quand nous pensons
il de Glocester écrasé par le talon de Cornouailles367. Il y a dans l’
Étude
du Chevalier une chose que je n’ai pas très bien
nce allemande si capable de s’identifier, à force de pénétration et d’
étude
, avec la manière de sentir et de penser des siècl
-même. Je me permettrai de citer enfin le Chevalier écrivant dans son
Étude
: Les caractères spéciaux de chaque grand poète e
couvrir la cause naturelle d’où procèdent les prodiges apparents, les
études
calmes d’un Bernardin de Saint-Pierre en 1789, le
a biographie nous aura rendu témoins des veilles qu’il consacrait à l’
étude
passionnée de la littérature espagnole, et nous a
l’Esthétique de Hegel, et m’assis à mon bureau. J’avais commencé une
étude
sur Molière ; j’essayai de la continuer ; mais je
s sans doute à l’heure qu’il est dans la suite de voire Réponse à mon
Étude
, et déjà transparents dans voire Critique du goût
sentiments d’émulation, et je proposerais sans cesse à nos artistes l’
étude
des grands modèles. En étudiant Phidias, nos scul
ls pourront donner à Pradier des successeurs et des vainqueurs. Par l’
étude
de l’antiquité, nos enfants ne deviendront pas de
ssé où nous ne pouvons rien changer, expliquons tout : c’est la seule
étude
digue du philosophe. Il n’était pas écrit au livr
vec intérêt une biographie de Mozart, et je pensai, en continuant mon
étude
sur Molière, que les admirateurs de ce grand poèt
paux caractères du temps où Molière écrivait. Leur connaissance, leur
étude
va nous faire faire un pas de plus dans l’intelli
es femmes les plus considérables de ce temps s’étaient appliquées à l’
étude
du grec et du latin, à la métaphysique de Descart
la critique pédantesque. Mais la lumière n’est pas complète encore. L’
étude
du dix-septième siècle, déjà plus intéressante, p
hez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses
études
, espérant que par l’autorité que son maître avait
hez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses
Études
, espérant que par l’autorité que ce Maître avait
énérales. Quand, arrivé au terme de cette délicate et intéressante
étude
, on désire.mettre en ordre toutes les idées qui s
ire une meilleure. II a tout sondé dans l’homme et tout apprécié. Ses
études
ont été si profondes, que nous sommes souvent éto
tement moral et de corriger les hommes de leurs ridicules828. Après l’
étude
qu’on vient de faire, on peut être étonné d’enten
r de présenter nettement les considérations naturelles qu’inspire une
étude
morale de Molière. Il est d’abord évident que,
que nous citons ici : De Cailhava, De l’Art de la Comédie, 1772 ;
Étude
sur Molière, 1802. Auger, Œuvres de Molière, 1
ilosophie dans le théâtre de Molière1 La première partie de notre
étude
nous a d’abord montré que Molière n’avait attaqué
e résoudre la question que nous avons posée au début de cette seconde
étude
. Or, en vue toujours de notre sujet, nous pouvons
ennemi déclaré de Descartes. Dans le doute donc où nous conduit notre
étude
, voyons si, plus heureux d’un autre côté, nous ne
comprendre une raison, Et nous aimons bien mieux, nous antres gens d’
étude
, Une comparaison qu’une similitude (46), je dira
a été digne de son maître. Nous voici arrivé au terme de cette double
étude
. Elle nous a conduit à un résultat double aussi :
main, Gassendi) — M. Damiron avait conclu sa longue et consciencieuse
étude
par ces mots : « En tout Gassendi est sensualiste
discussion à ce sujet, du moins pour justifier les affirmations de l’
étude
qui précède. 1. Voir la Revue chrétienne du 5
ours honoré de sa bienveillance et de sa protection. Le succès de ses
études
fut tel qu’on pouvait l’attendre d’un génie aussi
par l’invincible penchant qu’il se sentait pour la Comédie. Toute son
étude
et son application ne furent que pour le Théâtre.
e, sans que son travail le détournât de l’extrême application, et des
études
particulières qu’il faisait sur tous les grands r
ru que Dorante, c’était vous ; nous l’avons cru jusqu’à la fin de son
Étude
; et voilà que Lysidas dans sa Réponse (quels per
e, c’est que tout phénomène à sa cause ; sa méthode est sûre, c’est l’
étude
des faits ; ses instruments sont éprouvés : c’est
ère et la plus commode à première vue, celle qui nécessite le moins d’
études
préalables. Mais on s’apercevra que, si la matièr
ossible de l’empêcher de se faire Comédien. À peine eut-il achevé ses
Études
, où il réussit parfaitement, qu’il se joignit ave
hez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses
Études
, espérant que par l’autorité que ce Maître avait
t bientôt une aversion invincible pour sa profession. Son goût pour l’
étude
se développa, il pressa son grand père d’obtenir
nier ayant démêlé de bonne heure le génie de Pocquelin, l’associa aux
études
de Chapelle* et de Bernier*. Le jeune Pocquelin f
s Paris, sa passion pour la comédie qui l’avait déterminé à faire ses
études
, se réveilla avec force. Le théâtre qui commençai
r héréditaire, où une grande fortune donnait de longs loisirs, où des
études
suivies étaient le plus sûr moyen d’éviter les en
ait seule assurer des jouissances à l’âge mûr et à la vieillesse, les
études
de la marquise de Rambouillet étaient éminemment
illet étaient éminemment raisonnables. Je demande si la nature de ces
études
n’était pas noble, élevée, de celles qui se prête
roi ; mais son aversion pour sa profession, & son penchant pour l’
étude
l’engagerent à solliciter son grand-pere qui le m
à Paris, sa passion pour la comédie qui l’avoit déterminé à faire ses
études
, se réveilla, & il résolut de la satisfaire e
ues qui datent de trente ans. Les comédiens invoquent au besoin leurs
études
spéciales : ils connaissent Molière mieux que per
ur aux élèves, du chef d’emploi aux débutants. M. Provost, malgré ses
études
, malgré son zèle, malgré le bon sens dont il a do
n sans importance. Le théâtre est un lieu de plaisir et non un lieu d’
étude
. Et comment s’amuser, si avant de rire on a besoi
emmes savantes. Je crois bien faire en circonscrivant le champ de mes
études
dans des limites plus étroites. Si le lecteur en
philosophie, la société, et l’intelligence enrichie par cette triple
étude
connaît trop bien ses forces pour abdiquer sa lib
e jeune Pocquelin étoit né avec de si heureuses dispositions pour les
études
, qu’en cinq années de tems il fit non seulement s
çons duquel il sçut profiter. Quand le jeune Pocquelin eut achevé ses
études
, il fut obligé, à cause de l’âge avancé & du
Il leur fallut un Comedien, Qui mît à les polir son art & son
étude
. Mais, Moliere, à ta gloire il ne manqueroit ri
e. Le mouvement, c’est là, comme nous l’avons dit en commençant cette
étude
, ce que le théâtre italien enseignait, communiqua
rver quelque petite part à ceux qui ont préparé et semé le champ. Les
études
comme celle que nous terminons ont l’avantage de
oucient beaucoup moins de relire Don Juan ou L’Avare, que de courir d’
étude
en étude de notaire, pour y chercher, au bas d’un
eaucoup moins de relire Don Juan ou L’Avare, que de courir d’étude en
étude
de notaire, pour y chercher, au bas d’un contrat
s, méconnaître singulièrement les distances. Une tradition ajoute aux
études
du collège de Clermont les leçons de Gassendi. Es
u collège fit-il son droit ou sa théologie ? On n’a de ses prétendues
études
théologiques d’autre témoignage qu’un mot, un seu
la main du XVIIe siècle puisse passer pour une autorité. Quant à ses
études
de droit, Molière les termina-t-il ? Prit-il son
-il ? Prit-il son titre d’avocat ? Rien ne le prouve. Aussi bien, ces
études
de droit, qu’il faudrait faire tomber vers 1642,
n cinq sols. » II. Le Théâtre comique de 1650 à 1658. Dans une
étude
un peu complète il y aurait lieu de parler de l’o
rte pas de délicatesse ; que Marivaux a profité de toutes les fines «
études
» de femmes qu’a faites Racine dans ses tragédies
nque de grâce et de délicatesse, mais il a la profondeur. 1. Une
étude
de Molière qui voudrait être absolument complète
; il fait partie des savants dont l’esprit est fixé sans cesse sur l’
étude
de la nature. Lorsque de tels penseurs sont guidé
aire de la psychologie sans le savoir, c’est n’avoir pour guide que l’
étude
des faits, sans être imbu des doctrines systémati
oint de départ est l’observation des faits psychiques, c’est-à-dire l’
étude
des pensées énoncées et des actes accomplis par l
nouvelles. Mais en est-il beaucoup, parmi ceux qui se sont livrés à l’
étude
du cœur humain, qui aient, je ne dis pas dépassé,
œuvres. La marche qui m’a paru la plus naturelle à suivre dans cette
étude
consiste à montrer ces effets dans ses principale
début, mais seulement au fur et à mesure que l’on avancera dans cette
étude
, qu’il sera permis d’apercevoir la constance de c
lière a signalé ce fait dans les Femmes savantes. Armande, livrée à l’
étude
de la philosophie, connaît les sages conseils que
médiocre et n’a jamais eu de succès. On doit la considérer comme une
étude
psychologique sur les passions, et, comme telle,
rds de leurs crimes. DON JUAN La comédie de Don Juan mérite une
étude
sérieuse de la part du psychologue, car elle renf
is rencontré de débauché pareil à Don Juan. Quiconque s’est livré à l’
étude
des monstruosités morales, loin de partager cette
sser aucune science, ainsi qu’on l’a toujours pensé, le criminel, à l’
étude
duquel Molière vient de nous initier, appartient
ur être méditées dans le silence du cabinet. C’est seulement par leur
étude
réfléchie qu’il est possible d’en apprécier toute
représentent si bien les qualités aimables de la femme. D’après cette
étude
, on ne saurait disconvenir que la psychologie ne
e la psychologie ne doive renfermer une branche spéciale réservée à l’
étude
des instincts du cœur, des sentiments et des pass
ec des reprises et des déformations, jusqu’au début du XIXe siècle. L’
étude
de ces anecdotes est nécessaire, car elles nourri
amment, et on lui accorda avec peine, la permission d’aller faire ses
études
au Collège de Clermont. Il remplit cette carrière
e étroite liaison avec Chapelle*, Bernier* et Cyrano*. Chapelle*, aux
études
de qui l’on avait associé Bernier*, avait pour Pr
e le mettre aux mains avec l’Usurier. Le Notaire. …… Il sort de mon
étude
; Parlez-lui Ergaste. Quoi ! C’est-là celui
amment, et on lui accorda avec peine, la permission d’aller faire ses
études
au Collège de Clermont. Il remplit cette carrière
e étroite liaison avec Chapelle*, Bernier* et Cyrano*. Chapelle*, aux
études
de qui l’on avait associé Bernier*, avait pour Pr
Il leur fallait un Comédien Qui mit, à les polir, son art et son
étude
; Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait rie
teyn où il prononça ses vœux et fut ordonné prêtre. Il poursuivit ses
études
au collège Montaigu à Paris. Devenu précepteur, i
474 – Ferrare 1533) : poète dramatique italien. Il fait à Ferrare des
études
juridiques et humanistes tout en fréquentant les
da en 1625. Mais il abandonna bientôt sa charge pour se consacrer à l’
étude
. Esprit d’une curiosité universelle, il fut reçu
comédies sont des imitations de Molière, dans le petit monnayage des
études
de caractère (L’Ingrat, l’Irrésolu, le Médisant),
onne famille bordelaise appartenant à la noblesse de robe, il fit ses
études
au collège de Navarre, avant de revenir à Bordeau
du respect dans le langage des hautes classes, en avaient nécessité l’
étude
, en avaient amené le discernement et le tact, et
maîtresse : Je ne fais des vers qu’en rêvant, mais je vous aime avec
étude
et de tout mon sens. Enfin, on citait comme locut
des préservatifs contre la fausse et stérile hardiesse, et toute une
étude
d’imagination et le goût à faire pour l’avenir, s
vait donné pour me conduire, et tant de leçons de mes maîtres, tant d’
études
acharnées, tant de découvertes que j’avais faites
nt trois drapeaux, trois guidons qui nous mèneront dans cette suite d’
études
dont elles ont été, tantôt le couronnement et tan
lus assez d’originaux, qui soient dignes de son application et de son
étude
. À présent il a besoin de la ville : il a besoin
t fatigué, il se rejetait avec délices dans l’antiquité, objet de ses
études
, et dans la vieille farce française qui devait lu
nir la plume du critique, il y aura toujours beaucoup à glaner dans l’
étude
et dans la contemplation de l’œuvre des maîtres.
incipe et le commencement du travail même de vos contemporains. Cette
étude
est pour le critique un de ses premiers devoirs,
çon aux beaux esprits de son temps ; en second lieu, cette profitable
étude
aura ceci d’utile et de bienséant que, faute d’un
ouvez le ramener aux belles choses, aux contemplations sérieuses, à l’
étude
et à l’admiration des modèles. En vain il hésite,
on, et même à la condition expresse que vous serez nouveau dans votre
étude
sur les œuvres antiques, et que vous n’irez pas r
rovisation du premier venu, vous en seriez avare quand il s’agit de l’
étude
et de la contemplation d’une œuvre-maîtresse des
elle n’en sait rien. Toujours est-il que l’esprit, l’intelligence, l’
étude
des modèles, ne suffisent pas à faire un comédien
, c’est l’a b c et l’Évangile du comédien ! Il a été élevé dans cette
étude
et dans ce respect ! Chacun de ces rôles est trac
t, parce que tu auras fait, dans quelque collège borgne, de médiocres
études
et marmotté quelques vers de Virgile, serais-tu d
t un auteur dramatique, digne de tout notre intérêt et de toute notre
étude
. Si vous lisez les critiques du temps et surtout
té pour le feuilleton un texte inépuisable et le sujet d’une profonde
étude
. Le feuilleton devait tenir à cette gloire, elle
Je ne suis pas un érudit ; on le sait de reste, sans doute, et les
études
que je hasarde ne révèlent, je le confesse, aucun
t reste obscur encore. On ne saurait donc s’étonner si, dans la brève
étude
qui suit, moi qui n’ai pas l’honneur d’être un de
te aveu, m’ont valu d’assez vives critiques. Je réponds que, dans mon
étude
de ces deux chefs-d’œuvre, je marchais sur le ter
ait être encore un… Ah ! ah ! se récrient déjà tous ceux qui dans mes
études
sur Alceste et sur Arnolphe m’ont pris pour M. Jo
ssait pas alors. Molière puisait en pleine pâte et ne bornait pas son
étude
à l’homme, à l’individu. Et Tartuffe est légion,
athée, comme Tétait son maître Lucrèce, le cher objet pourtant de ses
études
. Je crois très volontiers au contraire qu’il rend
nous entretenir : Uranie, le Marquis et Galopin. Monsieur Lysidas.
Étude
nouvelle par Dorante. Chapitre premier. — Critiqu
thrope aussi nous paraît imparfait, non à la représentation, mais à l’
étude
. Il a deux ou trois vers, quelques-uns disent qua
théâtre, voilà la seule chose intéressante, vivante, réelle dans les
études
de la critique303 ; quant aux caractères généraux
e qu’il pense avec beaucoup plus de profondeur. Monsieur Lysidas.
Étude
nouvelle par Dorante (suite et fin). Chapitre II.
doute, elle se demande si elle a suffisamment cultivé son goût par l’
étude
et la comparaison des beautés de l’espèce dont il
t. Elle pardonne à l’auteur d’Alceste d’avoir sacrifié l’intrigue à l’
étude
profonde des caractères : elle excuse Caldéron d’
elles des principaux peuples de l’Europe, avait fait de ses cours une
étude
comparée des littératures diverses, l’expression
à leur entrée dans la carrière littéraire, est de faire avec eux une
étude
sérieuse de ce que l’on nommait naguère la littér
lui au moment de tirer les conséquences de son récit. Vinet part de l’
étude
du caractère de Racine pour signaler le contraste
oile de la sainteté dans Josabeth et dans Abner. La profondeur de ses
études
sur le vice et sur la passion se retrouvent dans
de se croire plus adroits. Mettons donc tout notre soin, toute notre
étude
à chercher un sujet vrai & fécond par lui-mêm
is, dévoré du desir d’apprendre, il obtint la permission de faire ses
études
au College de Clermont, où il remplit cette carri
ux fois. La révision du commentaire nous conduisait naturellement à l’
étude
des différentes éditions de l’auteur, et c’est là
énie. Frappé de ces idées, je commençai, il y a plusieurs années, une
étude
approfondie de cet auteur ; mais je ne tardai pas
nre, de celles qu’on ne saurait résoudre si l’on ne s’est livré à une
étude
spéciale de la langue de Molière, des mœurs du te
, à mesure que les mœurs changent ou que les traditions s’effacent, l’
étude
des meilleurs auteurs devient plus difficile ; il
de détail ; mais tout ce qui a rapport à l’ensemble des pièces et à l’
étude
de l’art trouvera sa place dans le commentaire. H
e génie ! Et combien peu de critiques se sont doutés que c’est dans l’
étude
approfondie du cœur humain qu’il faut chercher l’
indigne de notre attention, a pu faire naître une pensée sublime. Une
étude
plus importante encore, c’est de chercher les pas
e jeune Pocquelin était né avec de si heureuses dispositions pour les
études
, qu’en cinq années de temps il fit non-seulement
n père avait envoyé à Paris, sur sa propre conduite, pour achever ses
études
, qu’il avait assez mal commencées en Gascogne, se
insinuant, aussi vif, aussi gascon que Cyrano ? Il fut donc reçu aux
études
et aux conversations que Gassendi conduisait avec
de reprendre mon bien où je le trouve32. Quand Molière eut achevé ses
études
, il fut obligé, à cause du grand âge de son père3
perdre le goût qu’il avait pris dès sa jeunesse pour la comédie ; ses
études
n’avaient même servi qu’à l’y entretenir35. C’éta
ment que la plupart de ceux qui représentent aujourd’hui, destitués d’
étude
qui les soutienne dans la connaissance des princi
i savent ménager le plaisir ; et ces messieurs excellaient dans cette
étude
: mais le vin eut bientôt réveillé Chapelle, et l
’a toujours été, ajoutait-il, le caractère de Molière ; j’ai fait mes
études
avec lui, et un jour qu’il apporta des vers à son
s obligé de dire que Molière fit son droit avec un de ses camarades d’
étude
; que, dans le temps qu’il se fit recevoir avocat
lt, qui fut aussi condisciple de Molière sous Gassendi. Ces premières
études
de philosophie inspirèrent sans doute à Hesnault
du ministre, et de la faiblesse du maître. Ce furent-là ses premières
études
du cœur humain. 35. Il y a ici une lacune de plu
seul mot… » Cet exemple suffît pour appuyer ce que dit Mezzetin de l’
étude
que Molière avait faite du jeu de ce grand acteur
its de Scaramouche ? » (Préface des Œuvres de Palaprat, page 40.) Les
études
de Molière sur le jeu de Scaramouche lui ont été
mplaisances détestables d’un paganisme inconscient. Dans une dernière
étude
nous, verrons comment la Compagnie du Saint-Sacre
uois au Canada. » Voyez une pièce de 1644, analysée par le P. Chérot (
Études
, 5 mai 1900). 4. Ces factums sont faciles à trou
l’Anticléricalisme. Paris, 1906. — Cf. pour les détails qui suivent,
Études
sur la Société dite des Libertins, dans les Œuvre
M. Allier sur la compagnie de Marseille, cité ci-dessus. Cf. dans les
Etudes
du a octobre 1909 un article du P. Brucker sur ce
la Philosophie de Molière dans la Revue du 1er août 1890 ou dans les
Études
critiques, 4e série; Gazier, ouvr. cité, p. 17 ;
aphie moliéresque de M. Paul Lacroix, ni aux récentes et remarquables
études
de MM. Despois, Faguet, Brunetière, etc. Qu’il me
ressée, sans indifférence. J’exposerai dans les deux parties de cette
étude
: 1º Comment, en admettant qu’on trouve à la base
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son
étude
et sa philosophie… Dirons-nous cependant que Mol
la passion choquante De se rendre savante afin d’être savante… De son
étude
enfin je veux qu’elle se cache Et qu’elle ait du
e jeune Pocquelin était né avec de si heureuses dispositions pour les
études
, qu’en cinq années de temps il fit non seulement
on père avait envoyé à Paris sur sa propre conduite, pour achever ses
études
, qu’il avait assez mal commencées en Gascogne, se
insinuant, aussi vif, aussi gascon que Cyrano ? Il fut donc reçu aux
études
et aux conversations que Gassendi conduisait avec
, de reprendre mon bien où je le trouve. Quand Molière eut achevé ses
études
, il fut obligé, à cause du grand âge de son père,
perdre le goût qu’il avait pris dès sa jeunesse pour la Comédie : ses
études
n’avaient même servi qu’à l’y entretenir. C’était
ment que la plupart de ceux qui représentent aujourd’hui, destitués d’
étude
qui les soutienne dans la connaissance des princi
i savent ménager le plaisir ; et ces Messieurs excellaient dans cette
étude
. Mais le vin eut bientôt réveillé Chapelle, et le
’a toujours été, ajoutait-il, le caractère de Molière : J’ai fait mes
études
avec lui ; et un jour qu’il apporta des vers à so
s obligé de dire que Molière fit son Droit avec un de ses camarades d’
Étude
; que dans le temps qu’il se fit recevoir Avocat
11 Mr de Molière, sa naissance : 5 — Sa profession : 5, 15, 312 — Ses
études
: 9, 10, 11 — Son nom : 5, 16 — Il se fait Comédi
quelle on sent la véhémence d’un avocat qui plaide sa propre cause. L’
étude
qui va suivre prouvera que ces erreurs ou ces par
entions manifestées par la conduite et le jeu des caractères. II.
Étude
littéraire Analyse sommaire du Misanthrope.
t elle est si fière. Se faire une cour d’admirateurs, voilà toute son
étude
; et il faut vraiment qu’Alceste ait un bandeau s
couvrent ces traits de caractère individuel ; et, pour conclure cette
étude
, citons ce jugement de M. Nisard : « Quoique les
l lieu de ne point les regretter : car, en lui imposant un surcroît d’
étude
prudente et profonde, elles ne furent pas étrangè
elève. Après tout, n’a-t-il pas, lui aussi, son droit divin ? II.
Étude
littéraire L’hypocrisie et les religions for
tres de la scène ne cesseront pas de puiser l’inspiration147. II.
Étude
littéraire La comédie de caractères. Leçon u
ie dont l’exemple pût être offert comme le cas le plus digne de notre
étude
. Le nom seul de son personnage nous en avertit d’
rissotin ? Cotin a fini ses jours, Trissotin vivra toujours. II.
Étude
littéraire Comédie de mœurs. L’action. Analy
estions qu’on fait Elle sache ignorer les choses qu’elle sait. De son
étude
enfin je veux qu’elle se cache, Et qu’elle ait du
ruite, sensée, doucement sérieuse, qui entre dans les goûts, dans les
études
d’un mari, d’un frère ou d’un père, qui, sans qui
elles suivent la mode ; c’est un caprice de vanité ; elles traitent l’
étude
comme une parure. 160. Le privilège du Roy est d
logique par une action dont toutes les ressources sont empruntées à l’
étude
de la vie réelle. La folle du logis ne s’y permet
Molière
Études
générales Influence de Molière sur le monde
ier siècle. Vous trouverez quelques traits de cette histoire dans une
étude
fort bien faite qu’un de nos professeurs, M. Legr
ie privée, n’a le droit d’ignorer ni les travaux de M. Despois ni les
études
de M. Loiseleur. Il s’en tient obstinément à la b
te observation sur laquelle il revient souvent dans ses merveilleuses
études
psychologiques. Seulement, dans le train de la vi
r ces exemples ; je me borne à vous ouvrir ce sujet de réflexion et d’
études
. Vous y trouverez, je l’espère, quelque agrément,
our. Molière, à vrai dire, n’a donc point dans cette comédie fait une
étude
du fâcheux, ni même des fâcheux. Il n’a eu d’autr
et écarté de la scène, y reprendra la place qui est due à ses longues
études
, à sa connaissance approfondie du répertoire et à
raison qu’elle était à la mode, et il y a collé tant bien que mal une
étude
de grand seigneur athée, qui eût à coup sûr mérit
d seigneur athée, qui eût à coup sûr mérité un plus beau cadre. Cette
étude
en elle-même est superbe, et si voulez en sentir
u’à la Bourse et dans le boudoir de sa maîtresse ; mais là se borne l’
étude
qu’il en fait. Aussi ne sommes-nous point familie
il s’est fait la main pour écrire l’Amphitryon, en profitant de cette
étude
et de cette préparation. C’est à cela qu’il doit
ieu à prendre, on ne peut l’attraper et s’y tenir qu’après de longues
études
, soutenues d’un goût exquis ; et tout cela ne ser
point qu’un cœur bien amoureux Sur cent petits égards s’attache avec
étude
, Et se fait une inquiétude De la
ste plus qu’à m’aller jeter dans la rivière. » Got est un comédien d’
étude
, un comédien profond, qui va d’un mouvement recti
C’est que Tartuffe est, en même temps qu’une comédie de mœurs et une
étude
de caractère, un drame de situation. Je défie qui
jours des sujets d’observations nouvelles, et qu’après deux siècles d’
études
critiques, il se rencontre encore des points que
utorité d’aspect, de voix et de jeu. 28 septembre 1885. [B] L’
étude
que j’ai faite, dans mon dernier feuilleton, du r
vois qu’autour de moi on fait semblant d’être très passionné pour les
études
grecques ; le grec c’est affaire aux hellénistes
uffe, par exemple, et Alceste, et Célimène. Coquelin nous a écrit une
étude
sur Tartuffe et nous a dit comment il fallait le
erait incapable de jouer Célimène, un rôle qui exige vingt-cinq ans d’
étude
et de planches. Et de même aussi, par convention,
tent pas que Delaunay n’a abordé qu’en tremblant, et après de longues
études
, persévéramment poursuivies, ce personnage qui n’
e. Au moins avait-il le bon esprit de ne pas croire qu’il mettait une
étude
de caractère dans la façon d’aller aux cabinets.
euil et s’envoler aux cabinets, de longues réflexions et de patientes
études
, dont vous n’êtes peut-être pas capables, sans co
la mode du temps, coupé en cinq actes et écrit en vers. Il n’y a là d’
étude
ni dépassions, ni de caractère, ni de milieu soci
est composé de journalistes, d’étudiants, d’hommes qui ont fait leurs
études
, de femmes qui en sont frottées ; quelle joie pou
e le prix fût-il décerné, que ce fut dans les revues des avalanches d’
études
publiées l’une après l’autre par des concurrents
création des rôles par les Italiens de 1730. Pour ma part, une longue
étude
de Marivaux m’a prouvé que lazzis et jeux de scèn
devrait toujours faire, à ce qu’il me paraît, quand on entreprend une
étude
de ce genre. Effaçons de notre mémoire tout ce qu
ier, qui a mis en tête de l’édition Laplace et Sanchez une excellente
étude
sur Marivaux, constate qu’elle eut en son temps q
estion. J’y reviendrai un de ces jours, car je fais à cette heure une
étude
particulière de Marivaux. Mais tout ce que je pré
tel homme, elle rassemble dans une courte phrase quatre-vingts ans d’
études
sur ce sujet, qui a préoccupé tout le dix-huitièm
in. Quel dommage que la Comédie-Française ne puisse donner ce sujet d’
étude
aux amateurs que le mardi et le jeudi, où il n’y
ptés avec empressement et reconnaissance, ravis de ce nouveau champ d’
études
qui leur était ouvert. Si j’insiste sur ce point,
sset, c’est précisément d’avoir été lui-même un provincial dans cette
étude
de la province, qui devait aboutir au triomphe de
r l’invincible penchant qu’il se sentoit pour la Comédie b, toute son
étude
& son application ne furent que pour le theat
vertir sa femme. La jalousie reveilla dans son ame la tendresse que l’
étude
avoit assoupie ; il courut aussi tôt faire de gra
hez qui il l’avoit mis en pension pendant les premieres années de ses
études
– – – – – ; mais bien loin que le maître lui pers
s adorent le grec ; la plus grande partie de leur vie se passe dans l’
étude
de l’antiquité. Ils restent complètement éloignés
a plus naturelle de toutes les pièces de Molière. Il ne s’y trouve ni
étude
de mœurs ni tableau d’une époque. On pouvait croi
ois contre la séquestration et contre la science, au moins contre les
études
compliquées, qui sont à la mode aujourd’hui. Sa f
I C’est une
étude
pleine d’intérêt que de rechercher le côté réel e
nature, »c’est la nature même. Ibid. p. 92) 25. G. Guizot, Ménandre,
étude
hist. et litt sur la comédie, etc. 26. Voir Auge
: ce sont miroirs publics, etc., etc. »(Scène VII.) 30. E. Geruzez,
Études
littéraires, 7e édit., p. 208. 31. Taschereau, o
par l’invincible penchant qu’il se sentoit pour la Comedie, toute son
étude
& son application ne furent que pour le theat
vertir sa femme. La jalousie reveilla dans son ame la tendresse que l’
étude
avoit assoupie ; il courut aussi-tôt faire de gra
ent, & on lui accorda avec peine, la permission d’aller faire ses
études
au collége de Clermont. Il remplit cette carriére
e étroite liaison avec Chapelle, Bernier, & Cyrano. Chapelle, aux
études
de qui l’on avoit associé Bernier, avoit pour pré
à Paris, cette passion pour le théatre, qui l’avoit porté à faire ses
études
, se réveilla plus vivement que jamais. S’il est v
era ce génie vaste, dont la fécondité cultivée & enrichie par une
étude
continuelle de la nature, a enfanté tant de chef-
s obligé de dire que Moliere fit son droit avec un de ses camarades d’
études
; que dans le tems qu’il se fit recevoir avocat,
à cette noble entreprise littéraire sans trop sortir du cadre de nos
études
habituelles, nous avons essayé de rechercher dans
appeler la philosophie de Molière. Avant de nous circonscrire dans l’
étude
philosophique que nous entreprenons, disons cepen
elle a été une récidive et une réplique. La notice sur Don Juan est l’
étude
approfondie et complète des diverses éditions de
e. Enfin, dans la notice du Misanthrope on trouvera non seulement une
étude
historique, mais un modèle excellent de critique
ritique littéraire, dont nous profiterons largement dans notre propre
étude
. Au reste, on doit s’attendre que M. Paul Mesnard
ition. Il introduit discrètement et finement la question d’art dans l’
étude
des faits, et sans manquer jamais aux devoirs str
rais donc tenter ce contrôle et ce rapprochement comme conclusion des
études
biographiques sur Molière que l’on a pu lire ici2
dérés comme documens ; deux seulement ont paru au second dignes d’une
étude
détaillée. Ces deux toiles élues se trouvent, l’u
us de nobles traits. Je me suis constamment applique, au cours de ces
études
, à tenir compte d’un élément d’appréciation trop
compte d’un élément d’appréciation trop négligé d’ordinaire dans les
études
sur Molière, la chronologie. Nulle part il n’est
bert la cause de son ami, « mauvais courtisan, » qui donnait plus à l’
étude
qu’à a la visite, » et n’aimait pas à « fatiguer
on d’Auteuil, pour autant, etc. J’ai déjà montré, dans une précédente
étude
, avec quelle générosité il secourut son père beso
imable dans la société ; mais l’amour du plaisir le détourna de toute
étude
. Ce fut lui qui, étant invité à un grand repas pa
au college de Clermont à Paris sous les Jesuites, il fut destiné à l’
étude
du droit, qu’il quitta bientôt, pour suivre le pe
e jeune Pocquelin étoit né avec de si heureuses dispositions pour les
études
, qu’en cinq années de temps il fit non seulement
on pere avoit envoyé à Paris sur sa propre conduite, pour achever ses
études
, qu’il avoit assez mal commencées en Gascogne, se
insinuant, aussi vif, aussi gascon que Cyrano ? Il fut donc reçu aux
études
& aux conversations que Gassendi conduisoit a
, de reprendre mon bien où je le trouve. Quand Moliere eut achevé ses
études
, il fut obligé, à cause du grand âge de son pere,
perdre le goût qu’il avoit pris dès sa jeunesse pour la Comedie ; ses
études
n’avoient même servi qu’à l’y entretenir. C’étoit
hez qui il l’avoit mis en pension pendant les premieres années de ses
Etudes
, esperant que par l’autorité que ce maître avoit
la famille de Moliere, qu’il fit son Droit avec un de ses Camarades d’
étude
; que dans le temps qu’il se fit recevoir Avocat,
t à la divertir. La jalousie reveilla dans son ame la tendresse que l’
étude
y avoit assoupie. Il courut aussi tôt faire de gr
avent ménager le plaisir ; & ces Messieurs excelloient dans cette
étude
. Mais le vin eut bien-tôt-réveillé Chapelle, &
’a toûjours été, ajoûtoit-il, le caractere de Moliere : J’ai fait mes
études
avec lui ; & un jour qu’il apporta des vers à
idelle est susceptible, elle a mis les Dames & les personnes sans
étude
en état de comparer la copie avec l’original, &am
Scene de l’Étude. ARLEQUIN en Procureur, nommé GRAPIGNANT, dans son
Etude
, dictant à ses Clercs. Grapignant. Et pour faire
le chapeau ? Grapignant, l’empêchant & le repoussant hors de son
Etude
. Allez-vous-en, dis-je. Le Chapelier. Mais, le ch
emmes. Emilie, jeune veuve, se livre toute entiere à son goût pour l’
étude
, ne s’occupe plus que de livres, de conversations
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son
étude
& sa philosophie. Nos peres sur ce point étoi
contemplateur, comme on l’appela bientôt. Une grande application a l’
étude
et des dons naturels remarquables le rendaient pr
rtout pour les progrès de son talent. S’il est un genre pour lequel l’
étude
des hommes réunis dans un vaste centre d’activité
e des principes qui le dirigèrent. Il est des poètes sur lesquels une
étude
analogue à celle que nous allons tenter ne serait
avité qu’on ne goûta jamais. Le bonheur de vous plaire est ma suprême
étude
, Et mon cœur de vos vœux fait sa béatitude; Mais
rès près pour savoir si elle est, oui ou non, de bon aloi. Ce genre d’
études
morales était devenu particulièrement à la mode a
OTIN. La sottise, dans l’un, se fait voir toute pure. CLITANDRE. Et l’
étude
, dans l’autre, ajoute à la nature. Ce n’est pas
. Mais, en général, l’esprit français, en passant par le laminoir des
études
classiques, et par l’éducation que donne la vie é
, sont au nombre des meilleurs. Chrysale, par exemple, mériterait une
étude
attentive. Il ne dit pas un mot qui ne le trahiss
ité de la science du beau, ils ont en général consacré au comique une
étude
à part, et ils ont rencontré sur cette question d
i-ci est peut-être le plus compliqué, le plus délicat et celui dont l’
étude
a encore le plus de progrès à faire. Le beau et l
éritable figure de ce Protée ? Je n’entreprendrai pas de le dire. Une
étude
de ce genre nous jetterait dans des discussions f
nt sous son aile; elle les suit du regard, elle les dirige dans leurs
études
préliminaires, études toutes générales aussi, et
les suit du regard, elle les dirige dans leurs études préliminaires,
études
toutes générales aussi, et auxquelles elle ne peu
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son
étude
et sa philosophie. On ferait tort à Molière en l
quel il peut exercer aussi une action morale puissante. Cette seconde
étude
ne serait pas facile, peut-être même serait-elle
. L’ame seule peut concevoir l’ame. Il n’est point de secret, point d’
étude
, point de supplément qui puissent masquer les déf
cette idée si fausse, que les heureuses dispositions tiennent lieu d’
étude
. Le génie même ne peut en dispenser. Lui seul fer
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec.économie Doit être son
étude
et sa philosophie580. » XXVIII. Mais surtout ell
e jeu581. » XXIX. Elle doit « fuir d’être coquette : », « Loin les
études
d’œillades582 ! » « Les honnêtes femmes ont des
ut se faire gentilhomme et au gentilhomme qui la persiffle. Toute son
étude
est de faire aller sa maison et de marier sa fill
e, une époque infectée de bel esprit, du soin, de l’application, de l’
étude
; car ce n’est pas sans peine, dit La Bruyère, qu
tions qu’on fait, Elle sache ignorer les choses qu’elle sait ; De son
étude
enfin il veut qu’elle se cache Et qu’elle ait du
uses déceptions. Je vous demande pardon, Messieurs, de terminer cette
étude
par des paroles si austères, quand je ne devrais
ppé à un critique pour qui les ouvrages de Molière ont été un objet d’
étude
et de travail. Voltaire était d’un avis tout cont
que moi, et consultant chacun sur ce qui appartenait au genre de ses
études
. Je saisis l’occasion de solliciter ici, pour la
bles à l’observation comique : aussi Plaute paraît-il avoir négligé l’
étude
de l’homme et de la société, et avoir appliqué pr
placèrent successivement dans les situations les plus favorables à l’
étude
des mœurs. Presque aucune portion de la société n
stination. Molière le comprit aussitôt ; et, de ce moment, toutes ses
études
eurent pour objet l’homme et la société. Le but d
ère, réunissant à tous les trésors du génie toutes les richesses de l’
étude
, est devenu, pour ses nombreux successeurs, comme
à son fils pour précepteur le célèbre Gassendi23, et pour compagnon d’
études
un enfant pauvre, Bernier24, que devaient rendre
ussi plus formée, avait, en cinq années, fourni toute la carrière des
études
, depuis les premières humanités jusqu’à la philos
s d’inaction, ou du moins d’obscurité, ne dut pas être perdu pour ses
études
comiques. Il avait vu les dernières cruautés d’un
e n’ai qu’à étudier le monde45. » Ce n’est pourtant pas encore dans l’
étude
du monde qu’il puisa le Cocu imaginaire y représe
er à rien. Molière, dans la société, était sur le terrain même de ses
études
: quand sa langue était muette, son œil n’en étai
re marchand de laine du comté de Warwick, n’ayant fait presque aucune
étude
, longtemps réduit à garder des chevaux à la porte
ittéraire à Vienne, je ne saurais mieux faire que de reproduire ici l’
étude
spéciale qu’avait consacrée à Molière, en manière
cité, de curiosités théâtrales, Le Monde dramatique, une intéressante
étude
de M. Em. de Géricourt sur une représentation du
ent parfois de la bouche du génie. Ce sont ces séjours en province, l’
étude
qu’il faisait des mœurs, des traditions, des cara
’on aime, et c’est pourquoi les recherches des érudits, les patientes
études
des amoureux de Molière ne pourront, même si elle
r chaque comédien. » Cette munificence, dit M. Étienne Arago dans une
étude
excellente sur Molière22, semblerait assurément t
. Tartuffe est moins intéressant peut-être que Le Misanthrope pour l’
étude
de la personnalité même de Molière, mais il est b
un philosophe convaincu dont toute la vie fut vouée aux lettres, à l’
étude
et à la recherche de la justice. Là, c’est un dép
dire à présent ? — une biographie suivie de Molière, mais une suite d’
études
assez curieuses, croyons-nous, et faites d’après
er à ce portrait de nous rendre le comédien et non l’homme ; dans une
étude
spéciale et fort étudiée de M. Henri Lavoix sur l
iration personnelle pour un tel génie. Je sais trop ce que valent les
études
, définitives sur certains points, des Taschereau,
s de demain. Je tiens d’ailleurs à le répéter en achevant ces rapides
études
sur un des hommes que notre pays doit le plus adm
Il leur fallut un comédien Qui mit à les polir son art et son
étude
. Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait rien
er, remontât à Molière. [1880-04] Édouard THIERRY. (Extrait d’une
Étude
inédite sur Le Théâtre de Molière.) Tome II,
nier avait prodigieusement lu, noté, recueilli, retenu. Ses premières
études
sur Molière remontent à 1852 : il publia dans L’I
âtre. Et l’on sait que leur nombre est considérable dans ce pays où l’
étude
des langues étrangères, notamment du français, es
« Les Ennemis de Molière », dont cette Revue a parlé récemment10, une
étude
non moins intéressante et non moins solide sur Ta
iste (1er avril 1880), Édouard Thierry a publié une très intéressante
étude
: Molière et Tartuffe dans la préface des Plaideu
atif des gravures qui ornent les diverses éditions de Molière, et à l’
étude
qui s’y peut faire des décors, des accessoires, d
ctères. Ce que je voudrais rechercher aujourd’hui, dans la mesure des
études
auxquelles peut faire accueil votre publication s
roniquement leurs mauvais vers. Si complète que je désire faire cette
étude
, [je perdrais mon temps à rappeler les épigrammes
’il faut faire le brouhaha ? » Ceci rentre encore dans le cadre de l’
étude
que j’indiquais au début de cet article sous l’in
ntre les annonces et la première représentation ? Il me semble qu’une
étude
attentive des circonstances qui ont précédé l’app
rien à se reprocher vis-à-vis de La Thébaïde. Il en avait dirigé les
études
avec un intérêt tout particulier, il en avait con
ges qui confirmeraient l’attribution que nous avons établie après une
étude
minutieuse du style et de l’esprit de la pièce, o
Une page d’album Un soir que l’auteur de ces
études
, moins âgé de quelques années, se trouvait seul a
herons principalement de faire voir comment, à l’aide d’une constante
étude
de lui-même et des autres, il a trouvé enfin la v
ntés à Lucrèce ; c’est une traduction exquise, qui date des premières
études
de Molière, et qu’il a voulu placer là. Molière n
qui en est chargée. Il faut, pour le rendre exactement, une profonde
étude
de physionomie. Elmire, en effet, est souvent mue
rs ils se donnent, Et ce n’est que par-là qu’ils se perfectionnent. L’
étude
et la visite ont leurs talents à part. Qui se don
Phormion de Térence. Il ne se serait pas donné la peine de faire une
étude
pareille, et d’offrir en quelque sorte un tableau
médecins, on doit du respect aux connaissances que l’expérience et l’
étude
ont acquises, et qui permettent d’alléger les sou
é en Angleterre de l’ordre delà Jarretière. Le jeune Dancourt fit ses
études
à Paris, au collège des Jésuites, sous le père La
sous une enveloppe grossière. Il affectionnait particulièrement cette
étude
dans laquelle il réussissait si bien ; mais les g
ne lacune de trois années, trois années, sans doute, d’isolement et d’
études
, durant lesquelles, suivant les mieux informés, l
i se joue sur la terre entre les hommes ; mais c’est moins dans cette
étude
qu’il s’instruisit que par une longue et douloure
la pièce et excita les cris, c’est que ce n’était plus seulement une
étude
profonde du cœur humain, mais une protestation co
vant jouer sa pièce, se remit tranquillement au travail : il reprit l’
étude
des anciens, et donna au mois de janvier 1668, Am
eurs, il se trouva tout naturellement porté sur cette pente, dans son
étude
du cœur humain ? Mais quel admirable moment il ch
s ils se donnent, Et ce n’est que par là qu’ils se perfectionnent ; L’
étude
et la visite ont leurs talents à part ; Qui se do
es, tendres, sincères (comme Henriette) ? Qu’ont-elles à demander à l’
étude
, elles à qui la nature a tout donné ? Pourquoi su
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son
étude
et sa philosophie. Qu’ajouterais-je à ces parole
littérature comique. C’est le but que nous nous proposons dans cette
étude
; mais, pour l’atteindre, nous serons obligé de f
stions qu’on fait Elle sache ignorer les choses qu’elle sait : De son
étude
enfin je veux qu’elle se cache, Et qu’elle ait du
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son
étude
et sa philosophie. Ces modestes vertus, la graci
flot de laquelle il savait tirer ses types ? Pouvait-il se livrer à l’
étude
approfondie du cœur humain sans être guidé par de
prétendre aller plus loin, ni deviner en lui un autre lui-même. Cette
étude
n’est point facile ; car Molière était un habile
arbitrage, jamais ne consentir d’arrêt définitif : c’est la perte des
études
. Au reste, qu’on ne vous voie que rarement aux au
nt les incidents et la procédure qu’une affaire blanchisse dans votre
étude
avant que d’être jugée. GRAPIGNAN. Ah ! diable !
t bientôt une aversion invincible pour sa profession. Son goût pour l’
étude
se développa ; il pressa son grand-père d’obtenir
sendi ayant démêlé de bonne heure le génie de Poquelin, l’associa aux
études
de Chapelle et de Bernier. Jamais plus illustre m
Paris. Sa passion pour la comédie, qui l’avait déterminé à faire ses
études
, se réveilla avec force. Le théâtre commençait à
ance. Il leur fallut un comédien Qui mît à les polir sa gloire et son
étude
; Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait rie
e popularité qui m’ont porté à le choisir pour sujet de nos premières
études
. J’y étais encouragé par les sages avis d’un chef
ais avant Molière : c’est la préface naturelle et nécessaire de notre
étude
. Une scène que vous avez tous lue, et qui compte
emprunté à la comédie italienne. Nous pourrons, Messieurs, dans notre
étude
sur Molière, trouver l’occasion de revenir en pas
ire écouter, de se faire étudier, de se faire admirer. L’attention, l’
étude
, l’admiration sont réservées pour une seule perso
amment, et on lui accorda avec peine, la permission d’aller faire ses
études
au collège de Clermont. « Il remplit cette carriè
une étroite liaison avec Chapelle, Bernier et Cyrano. « Chapelle, aux
études
de qui l’on avait associé Bernier, avait pour pré
à Paris, cette passion pour le théâtre qui l’avait porté à faire ses
études
se réveilla plus vivement que jamais. S’il est vr
pe, sans que son travail le détournât de l’extrême application et des
études
particulières qu’il faisait sur tous les grands r
Il leur fallait un comédien, Qui mit à les polir, son art et son
étude
; Mais Molière à ta gloire il ne manquerait rien,
mirera ce génie vaste dont la fécondité, cultivée et enrichie par une
étude
continuelle de la nature, a enfanté tant de chefs
ait L’Avare devait être le plus grand génie de son siècle ; par cette
étude
, je fus bientôt confirmé dans la haute idée que j
s obligé de dire que Molière fit son droit avec un de ses camarades d’
étude
, que dans le temps qu’il se fit recevoir avocat,
; Il leur fallut un Comédien Qui mit à les polir sa gloire & son
étude
. Mais, Moliere, à ta gloire il ne manqueroit rien
la Fronde qui servirent de modèle à la multitude ; viendra ensuite l’
étude
de la société d’élite ; et enfin celle des précie
vidité sordide et de sa funeste charlatanerie, lui imposait de saines
études
et un désintéressement sans lequel cette professi
et qu’une main pieuse réunit aujourd’hui. Appelé par une conformité d’
études
, aussi par les souvenirs d’une longue confraterni
s, qui est un vrai propos de casuiste. Il est temps d’en revenir aux
Études
d’Édouard Fournier, écrites de 1858 à 1878 ; la b
ière au Théâtre-Français, sont autant de chapitres qui préservent ces
études
d’ensemble contre toute apparence de pédantisme o
temps dans la mémoire de ? lettrés. Auguste VITU. Première partie.
Études
sur la vie de Molière I - Le dossier de Moli
désormais inutile, pour son titre d’avocat, pris à Orléans, pour ses
études
sur les bancs de Sorbonne, des sommes dont chaque
ue tout cela sent de bien près l’Église. Ce n’est pas tout, quand ses
études
chez les révérends pères sont finies, où le jeune
s doit alors apprendre. Tallemant des Réaux, parlant de ces dernières
études
de Molière, ne fait mention que « des bancs de So
rtant où il doit aller. Pendant que le père Poquelin lui imposait des
études
de religion et de prêtrise, le grand-père Louis C
ans doute est-ce par là qu’il plut au petit prince de Conti, dont les
études
s’achevaient alors au même collège, et qui lui fu
arade. Ainsi, quand le père Poquelin pouvait croire son fils tout aux
études
qui menaient à l’Église, celui-ci était tout aux
tons qu’elle a de rôles différents. » Molière fit, à ses dépens, une
étude
complète de tous les tons divers de cette sirène,
moment que dans ses ennuis même il y avait pour son art une source d’
études
et d’observations. Ses premières pièces sont remp
isolé. Il fallait qu’il vît le monde et qu’il fît de ses travers une
étude
assidue. Or, il en était réellement ainsi, et qua
il faut vous dire qu’il faillit lui-même entrer dans les Ordres. Des
études
chez les Jésuites étaient, pour cela, un achemine
côté-là, la réconciliation n’était pas sincère. Deuxième Partie.
Études
sur les ouvrages de Molière Introduction - L
t du rire populaire, qui lui rendaient si précieux, dans sa chambre d’
étude
, les applaudissements de la bonne Laforest, comme
mais fait éprouver d’aussi douces émotions. Quels caractères ! quelle
étude
du cœur humain ! quelle franche gaieté ! quel com
e sont, en effet, des personnages, non pas de nature, mais d’art et d’
étude
, pour ainsi dire ; leur ridicule n’est pas nature
gnès. J’étais curieux de savoir comment Martin, qui n’a pas abusé des
études
, car, de soldat qu’il était, il s’est fait comédi
ait, mais il peut l’être, et il le sera, s’il veut bien continuer ses
études
, que je sais sérieuses, et s’il consent, ce dont
ctère qu’il a voulu nettement donner à son Alceste se trouve dans les
études
qu’il fit avant d’écrire sa comédie, dans les lec
e rôle de Tartuffe, pour lequel il se préparait depuis longtemps. Son
étude
, qui a été certainement très sérieuse, n’est pas
lequel il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses
études
, espérant que, par l’autorité que ce maître avait
», étaient le grand point de l’éducation bourgeoise. Molière, que ses
études
au collège de Clermont firent monter plus haut, n
ava et Jouy, qui en dirent quelques mots, les premiers, l’un dans ses
Études
sur Molière, l’autre dans L’Ermite en province ;
différente, quelques-uns des faits et des détails qu’on a vus dans l’
étude
qui précède, renferme beaucoup plus de particular
Rochefoucauld-Liancourt a donne cette lettre en entier dans son livre
Etudes
littéraires et morales de Racine, 2e partie, p. 1
s obstacles à sa représentation. » 144. La première partie de cette
étude
, sur la comédie de l’Etourdi, fut présentée au pu
e Molière, p. 20 et suiv. (Note de l’Éditeur.) 160. Voyez, dans les
Études
sur tes Œuvres de Molière, Le.Misanthrope, chap.
difficile & le plus rare, en ce qu’il suppose dans son auteur une
étude
consommée des mœurs de son siecle, un discernemen
usage dans la société, foible ressource des esprits sans talent, sans
étude
, & sans goût ; ni ce comique obscene, qui n’e
ant inutilement, mille autres découvertes utiles. Indépendamment de l’
étude
refléchie des mœurs du grand monde, sans laquelle
t le mérite. Né avec un beau génie, guidé par ses observations, par l’
étude
des anciens, & par leur maniere de mettre en
es impressions habituelles que Poquelin reçut pendant le cours de ses
études
, et qui, sans nul doute, favorisèrent le développ
e vingt ans, il se mit à continuer, sur les hommes et la société, des
études
qu’il ne pouvait plus faire dans les livres. Et q
courir les villes de province. On exigeait alors des comédiens plus d’
études
et de connaissances que l’on n’en réclame aujourd
te galère ? La bonhomie de M. Jourdain, ses bizarres prétentions, ses
études
tardives pour devenir homme de qualité, le gros b
’Art poétique, chant III, v. 359-428 Que la Nature donc soit votre
étude
unique, Auteurs, qui prétendez aux honneurs du Co
die d’Aristophane n’est pas une dissertation morale dialoguée, ni une
étude
de psychologie, ni le roman dramatique d’une intr
s de la Bruyère, ou que Le Siècle de Louis XIV de Voltaire. C’est une
étude
de psychologie et d’histoire ; ce n’est pas l’œuv
caractère est une chose éminemment instructive. On y trouve de fortes
études
psychologiques et des sentences bonnes à noter da
e grouper toutes les figures avec art, afin de pouvoir concentrer son
étude
sur la ressemblance de chacune d’elles avec son m
’on y trouvera soutenues forment un ensemble de vues sur Molière, une
étude
de son génie et de son théâtre assez particulière
met en plus vive et plus pleine lumière3. Et même ce qui, dans cette
étude
si fièrement originale et personnelle, pourra sem
rire. Les hardies et paradoxales nouveautés d’opinion que, dans cette
étude
, se permet le critique doublé d’un moraliste, ne
famille de bonne bourgeoisie parisienne, il avait fait d’excellentes
études
au collège de Clermont, il semblait n’avoir devan
’après leurs caractères généraux ; ce sera la troisième partie de ces
études
, puis, il faut essayer d’apprécier le rôle histor
le de moraliste, de moraliste influent ; ce sera le complément de ces
études
sur Molière. Nous avons vu que son grand procédé,
Mesdames, Messieurs, Un homme de génie peut avoir trois procédés d’
étude
du monde, d’observation et de reproduction ; il p
e pas pour cela les réserves que j’ai faites au commencement de cette
étude
, et çà et là depuis, et que l’on m’a reprochées,
chacun. La Révolution française, que nous trouverons au terme de ces
études
, a produit, on ne saurait le nier, quelques résul
, qu’on pourrait intituler : « De la prédominance, chez Molière, de l’
étude
morale et dramatique des caractères sur l’inventi
ce. Il leur fallut un Comédien Qui mît à les polir son art et son
étude
. Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait ri
bien, certaines aptitudes particulières que je pourrais avoir pour l’
étude
de la vie et de l’œuvre de Molière en Languedoc7
peinte dans tous les siens, j’ai dû faire de son théâtre surtout une
étude
particulière, et c’est en l’approfondissant que j
ont fort curieux ; mais ils ne sont pas compris dans le plan de notre
étude
. Non seulement la critique littéraire comporte d’
epuis qu’un écrivain illustre, mêlant l’histoire et la biographie à l’
étude
des grandes œuvres de la pensée, a ouvert à la cr
raît le plus érudit de notre littérature, en est le plus original : l’
étude
de l’antiquité, à laquelle il s’est voué, n’est p
poirs et délires, afin de les avoir tout prêts à l’occasion, et leurs
études
sont en rapport avec les mœurs et les habitudes d
oi. Evidemment un homme comme Molière doit être à lui-même un champ d’
études
, un document humain très riche et très complet, c
e à M. de La Pommeraye Ici, Mesdames et Messieurs, se terminait cette
étude
. La première lecture que j’en ai faite a suscité
éorie de M. Coquelin est celle de tous les acteurs qui ont publié des
études
sur le caractère d’Alceste ; les littérateurs son
e de la nation. Jeune, il a été saisi par l’inspiration : « toute son
étude
et son application ne furent que pour le théâtre
littéraire, ne songea qu’assez tard à raviver sa veine comique par l’
étude
de Molière. Moratin, le fils du poète tragique, c
sur l’auteur comique se multiplièrent. En 1802, Cailhava publiait ses
études
sur Molière. Plus tard, Népomucène Lemercier démo
ne adoption de ce grand génie comique par la nation. Aujourd’hui, les
études
sur Molière sont suivies en Allemagne avec un zèl
ns, la France endolorie attesta qu’elle n’oubliait pas son poète. Les
études
sur Molière ont repris depuis lors avec une ardeu
un aperçu, à vol d’oiseau, des variations du goût et des progrès des
études
en ce qui concerne Molière, sa vie et ses œuvres,
aussi aux beautés de la nature, dont l’homme est l’unique et profonde
étude
, et qui possèdent dans la langue, le style et la
t ses camarades La Grange et Vinot, qui ajoutent : « Le succès de ses
études
fut tel qu’on pouvait l’attendre d’un génie aussi
autre, à Jean-Baptiste Poquelin Molière. On dit que c’est pendant ces
études
de philosophie que Hesnaut et Jean-Baptiste Poque
Poquelin ait été reçu avocat. Bornons-nous à constater qu’il fit ses
études
de droit ; c’est à ces études qu’on a attribué l’
Bornons-nous à constater qu’il fit ses études de droit ; c’est à ces
études
qu’on a attribué l’exactitude avec laquelle Moliè
ation que Molière eut, dès ses humanités, pour le poète Térence, et l’
étude
assidue qu’il en fit. Il n’est pas sans intérêt d
Cinna. Sans doute Le Menteur fut pour lui un sujet d’admiration et d’
étude
, mais quand il composa Le Misanthrope, la comédie
saisit quelque occasion de rappeler au prince le lieu commun de leurs
études
. S’il l’osa, il y mit sans doute beaucoup de tact
ière se forma, se perfectionna comme acteur avec non moins de zèle, d’
étude
et de volonté, qu’il n’en mit à préparer l’auteur
ledit contrat et en faveur d’icelui, dont quittance. Fait et passé ès
études
, le vingt-quatre juin mil six cent soixante-deux,
nier. Ne dirait-on pas que les contractants passèrent tout droit de l’
étude
du notaire à Saint-Germain-l’Auxerrois, alors que
ires ; mais la fin principale à quoi tendait son exercice et tout son
étude
était de savoir et connaître les façons et manièr
, moins de deux mois après George Dandin, L’Avare, grande et profonde
étude
morale d’un vice qui a presque toujours échappé p
sance. Il leur fallait un comédien Qui mît à les polir son art et son
étude
; Mais, Molière, à ta gloire il ne manqueront rie
e pour elle. M. Édouard Thierry, qui est un esprit judicieux dans son
étude
sur La Grange, s’exprime ainsi : «Mlle Molière eu
document VIII. 12. Le Moliériste, 1e année, p. 17. 13. Brunetière,
Études
critiques, p. 106. 14. Journal de Toulouse, 6 m
ition de Saint-Marc Girardin et Louis Moland, tome VII, p. 408. 87.
Études
sur la vie et les œuvres de Molière, 1885, p. 19.
Molière, il nous peint aussi son époque, mais c’est un autre genre d’
étude
qu’il faut faire avec lui. Il ne s’est point mêlé
lâche présentement pour se vendre. D’un autre côté, Cléon, livré à l’
étude
de son art, n’a ni le temps ni l’envie de s’enrôl
ronte que son neveu n’est plus dissipateur, qu’il passe les nuits à l’
étude
. Il entend les convives de Cléon, on lui persuade
e les ouvrages de Plaute et de Térence sont-ils d’excellents sujets d’
étude
pour les historiens ; on y retrouve une foule d’u
jamais vu d’autre femme que sa mere, lorsqu’il partit pour faire ses
études
à Padoue. Il y trouva toutes les femmes bien infé
re compté Que les autres la trouvent laide. Maxime III. Loin ces
études
d’œillades, Ces eaux, ces blancs, ces pommades,
appendice au texte qu’on lira plus loin : Molière, ayant quitté ses
études
, fut avocat ; quelque tems après, il s’amusa avec
sance. Il leur fallut un comédien. Qui mît à les polir son art et son
étude
; Mais, Moliere, à ta gloire il ne manqueroit rie
de Soulas, son second fils, père du supliant, après avoir achevé ses
études
à Bâle en Suisse, vint en France au commencement
arquables, la comédie dégénère. La Chaussée et Marivaux, négligeant l’
étude
des mœurs, s’ouvrent des voies nouvelles: l’un cr
nte vérité que tant d’auteurs se sont fourvoyés, qu’ils ont négligé l’
étude
des mœurs et se sont jetés dans la comédie romane
tous ces titres, nous le répétons, que Molière doit être la constante
étude
des jeunes auteurs. Il a porté l’art de la comédi
ter les grandes et nombreuses difficultés de l’art. Janvier 1848.
Études
sur les rôles du Misanthrope et du Tartuffe.
avité qu’on ne goûta jamais. Le bonheur de vous plaire est ma suprême
étude
, Et mon cœur de vos vœux fait sa béatitude ; Mai
importantes. C’est que, en effet, malgré ses profondes et constantes
études
, toujours quelque trait, quelque nuance, quelque
inspirée et pénétrée par la philosophie contemporaine. Séparez donc l’
étude
des lettres de celle de la philosophie et de son
’il languira d’ennuis, d’inquiétude A démentir sa peine il mettra son
étude
: Feignant d’être content. . . . . . . . . . . .
eure à celle dont nous venons de parler ; il faut pour cela faire une
étude
particuliere de l’homme ; bien réfléchir sur le v
mérite naissant, loin du monde caché, Fier d’être utile un jour, à l’
étude
attaché, Mûrit dans le travail et sa jeune éloque
au succès d’une entreprise si hardie ; il avait fait de son temps une
étude
assez profonde pour juger qu’il est des obstacles
la conduite de ses affaires que dans celle de ses ouvrages, de cette
étude
approfondie qu’il avait faite des hommes et du mo
lus hardi et le plus vrai, le plus triste et le plus sublime, c’est l’
étude
la plus profonde qu’un homme ait jamais faite sur
ces d’informations ; fondre à nouveau et vulgariser les instruments d’
étude
qui sont pour la plupart très rares ou fort coûte
prochaine livraison) Quelques-uns de nos lecteurs ayant pris cette
étude
de notre éminent collaborateur pour la réimpressi
sa brillante pratique du mélodrame, a derrière lui un fond de bonnes
études
. Il sait Tartuffe comme on le sait au Théâtre-fra
re, hâtivement exécutée, tirée à petit nombre et consacrée plutôt aux
études
des Comédiens, au service du théâtre, que livrée
it de nouveau interrompre sa Chronique théâtrale pour se livrer à ces
études
sur Molière, comme il en a publié quelques-unes d
point qu’un cœur bien amoureux Sur cent petits égards s’attache avec
étude
, Et se fait une inquiétude De la maniere d’être
essemblent, par où ils diffèrent : on improvise pour soi deux petites
études
de mœurs, et on les compare. On jouit aussi par l
en sont les défaillances. Jusqu’ici la littérature s’est attachée à l’
étude
des accidents, sans regarder le fonds commun qui
n, au charme victorieux qui domine la foule enivrée. Mais toute cette
étude
du cœur humain, si profonde, si philosophique mêm
stions qu’on fait, Elle sache ignorer les choses qu’elle sait. De son
étude
enfin je veux qu’elle se cache, Et qu’elle ait du
rudes, qui, se souciant fort peu de bien vivre, ne mettent toute leur
étude
qu’à cacher leurs désordres : il y tonne enfin co
êmes beautés peuvent éclore & se développer sous leurs doigts : l’
étude
de la nature, l’habitude de la copier, sont les s
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