/ 136
1 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
s le tribut que les deux littératures méridionales lui ont apporté. L’ étude des rapports de Molière avec le théâtre italien é
di pietra. Cette pièce rentrait nécessairement dans le cadre de cette étude  : elle est trop essentielle et trop caractéristiq
rceau excepté, on ne trouvera nulle part qu’il y ait double emploi. L’ étude de la comédie italienne antérieurement à Molière
de Des Boulmiers en 1769, les Annales d’Antoine d’Origny en 1788, les études de Cailhava d’Estandoux, faites précisément au mê
x textes et aux documents originaux, m’a permis d’apporter dans cette étude quelques éléments nouveaux, que le lecteur qui a
2 (1735) Moliere (Supplément au Grand Dictionnaire historique) « MOLIERE, (Jean-Baptiste Poquelin) poëte comique, etc. » p. 82
pissier chez le roi. 2°. On dit qu’il fut destiné par ses parents à l’ étude du droit ; mais on le dit contre toutes preuves :
le roi ; mais son aversion pour sa profession, et son penchant pour l’ étude l’engagèrent à solliciter son grand-père qui le m
à Paris, sa passion pour la comédie qui l’avait déterminé à faire ses études , se réveilla, et il résolut de la satisfaire en d
3 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
ires. Noble triomphe d’une noble pensée ! Cet élysée que l’auteur des études voulait placer dans une île de la Seine, près du
t pas de connaître ses ouvrages, il faut connaître sa vie. Sans cette étude préliminaire, on ne saura jamais comment le fils
d philosophe, car la philosophie ne se concentre pas seulement dans l’ étude des notions abstraites de la pensée, elle compren
d’hommes également illustres par la vertu et par le génie, après une étude consciencieuse de la vie et des ouvrages de Moliè
cœur plein de droiture, Nul préjugé d’abord n’a faussé sa nature, À l’ étude en naissant n’étant point asservi, C’est son prop
é Il apprend à goûter la sévère beauté ; Il parle, dans ce monde où l’ étude l’exile, La langue de Platon et celle de Virgile 
enchaînent pas !… À son ardente inquiétude Que dompta si longtemps l’ étude , Il faut enfin un élément ; À cette âme, où l’ins
rtels vous les avez gravés ; L’art ne fut pas pour vous cette stérile étude Qui peuple d’un rhéteur la froide solitude ; L’ar
re suffisamment honoré la mémoire, est né à Paris, qu’il y a fait ses études , qu’il y a passé presque toute sa vie, qu’il y a
judication ; il en sera traité avec des entrepreneurs connus. 1. Etudes de la Nature, I. 3, 215. 2. Département des Deux
tausier avait inspiré à Molière le caractère du Misanthrope, mais une étude plus approfondie de notre grand poète dramatique
4 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
llis avec l’indulgence qu’ils veulent bien d’ordinaire accorder à mes études historiques. Celui qui traite des autographes de
conduit et comme contraint à y revenir par le retentissement de deux études récentes, où elles sont traitées avec talent et o
lui plaît d’en convenir : il l’a prouvé en d’excellentes pages de ses Études critiques sur la littérature française. Qu’il fai
e pour bien comprendre ces derniers, il n’est pas mal d’en éclairer l’ étude par la connaissance des circonstances où ils se s
le jeune écrivain que je nommais tout à l’heure, dans sa remarquable étude sur la femme de Molière. Parlant des soupçons qui
publie, dans le Bulletin et dans les Mémoires de cette’ société, des études telles que celle qui concerne le Jeu de Paume des
raisons de ce jugement, raisons qu’il reproduit aujourd’hui dans son étude sur la maison des Pocquelins. Comme elles sont fo
iné par Molière ? « On devine un peu, ajoute M. Vitu dans sa récente étude sur la maison des Pocquelins, étude où il appuie
u, ajoute M. Vitu dans sa récente étude sur la maison des Pocquelins, étude où il appuie à nouveau sur les clauses du contrat
e son culte. IX. L’excommunication des comédiens. Au sujet des études qui précèdent, M. Ch.-L. Livet a adressé au Temps
r dans le Temps une nouvelle série de ses savantes et consciencieuses études critiques. Ses recherches sont, cette fois encore
sions littéraires, il conteste les conclusions auxquelles mes propres études m’avaient conduit, et notamment une thèse que j’a
veillants dans lesquels il veut bien parler de moi et de mes modestes études . Je lui demande la permission de répondre brièvem
mière jaillirait sans doute de la comparaison, en même temps que de l’ étude rai-sonnée de l’origine et des caractères de ces
s : le Misanthrope, Tartuffe et les Femmes savantes.   Au sujet de l’ étude qui précède, M. Étienne Charavay a adressé au Tem
s signatures de Molière conservées dans nos bibliothèques ou dans les études des notaires. C’est, à mon avis, l’unique moyen d
ettrés. Étienne CHARAVAY. Le projet formulé par M. Loiseleur dans l’ étude qui précède, et auquel M. Charavay a donné son as
e tous les travers sociaux ? M. Scherer, comme on a pu le voir dans l’ étude qui ouvre cet opuscule, juge le caractère d’Alces
rdre de Louis XIV. Or, savez-vous quelle est la donnée de sa curieuse étude  ? Cette vigoureuse satire de l’hypocrisie, le Tar
ssements. Joignez à cela les éditions de ses œuvres, les innombrables études dont il a été l’objet, et voyez quelle splendide
s du ler décembre 1884. 2. On peut consulter sur ce point la savante étude de M. Maurice Reynaud, Les Médecins au temps de M
13 décembre 1877 ; Molière en, nos des 9 et 12 août 1880. Toutes les études contenues dans le présent opuscule ont également
us haut. 10. Les points obscurs de la vie de Molière, p. 302. 11. Études critiques, p. 189. 12. Mémoires de la Société d
5 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
sprit avait perdu de son importance, la mode avait amené le goût de l’ étude et des sciences. Les femmes les plus considérable
faire un meilleur usage que de s’instruire, s’étaient appliquées à l’ étude du grec et du latin, à la métaphysique de Descart
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie Doit être son étude et sa philosophie. Les Femmes savantes, ai-je d
ar le poète dans une condition qui ne laisse point de loisir pour les études scientifiques, ce qui était absolument contraire
6 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [52, p. 86] »
 ;   Il leur fallut un comédien Qui mit à les polir sa gloire et son étude  ; Mais Molière à ta gloire il ne manquerait rien,
is de leur ingratitude. 229. Bouhours, Dominique (1628–1702). Ses études terminées au collège de Clermont, il entra dans l
7 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
comme une vue d’ensemble sur toutes celles que nous connaissons. Les études historiques reçurent dès la fin du dix-huitième s
amatique des récits dans L’École des femmes, est le seul morceau de l’ Étude du Chevalier, où j’aie vu« la spirituelle Uranie 
on a la tête meublée d’idées générales de cette force, on a fini ses études  ; on a du jugement, du goût ; on est absolument i
us ferons toujours ainsi. Mais quand nous sommes dans notre cabinet d’ étude , quand nous faisons un livre, quand nous pensons
il de Glocester écrasé par le talon de Cornouailles367. Il y a dans l’ Étude du Chevalier une chose que je n’ai pas très bien
nce allemande si capable de s’identifier, à force de pénétration et d’ étude , avec la manière de sentir et de penser des siècl
-même. Je me permettrai de citer enfin le Chevalier écrivant dans son Étude  : Les caractères spéciaux de chaque grand poète e
couvrir la cause naturelle d’où procèdent les prodiges apparents, les études calmes d’un Bernardin de Saint-Pierre en 1789, le
a biographie nous aura rendu témoins des veilles qu’il consacrait à l’ étude passionnée de la littérature espagnole, et nous a
l’Esthétique de Hegel, et m’assis à mon bureau. J’avais commencé une étude sur Molière ; j’essayai de la continuer ; mais je
s sans doute à l’heure qu’il est dans la suite de voire Réponse à mon Étude , et déjà transparents dans voire Critique du goût
sentiments d’émulation, et je proposerais sans cesse à nos artistes l’ étude des grands modèles. En étudiant Phidias, nos scul
ls pourront donner à Pradier des successeurs et des vainqueurs. Par l’ étude de l’antiquité, nos enfants ne deviendront pas de
ssé où nous ne pouvons rien changer, expliquons tout : c’est la seule étude digue du philosophe. Il n’était pas écrit au livr
vec intérêt une biographie de Mozart, et je pensai, en continuant mon étude sur Molière, que les admirateurs de ce grand poèt
paux caractères du temps où Molière écrivait. Leur connaissance, leur étude va nous faire faire un pas de plus dans l’intelli
es femmes les plus considérables de ce temps s’étaient appliquées à l’ étude du grec et du latin, à la métaphysique de Descart
la critique pédantesque. Mais la lumière n’est pas complète encore. L’ étude du dix-septième siècle, déjà plus intéressante, p
8 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [17, p. 47-48] »
hez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses études , espérant que par l’autorité que son maître avait
hez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses Études , espérant que par l’autorité que ce Maître avait
9 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265
énérales. Quand, arrivé au terme de cette délicate et intéressante étude , on désire.mettre en ordre toutes les idées qui s
ire une meilleure. II a tout sondé dans l’homme et tout apprécié. Ses études ont été si profondes, que nous sommes souvent éto
tement moral et de corriger les hommes de leurs ridicules828. Après l’ étude qu’on vient de faire, on peut être étonné d’enten
r de présenter nettement les considérations naturelles qu’inspire une étude morale de Molière.   Il est d’abord évident que,
que nous citons ici :   De Cailhava, De l’Art de la Comédie, 1772 ; Étude sur Molière, 1802.   Auger, Œuvres de Molière, 1
10 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
ilosophie dans le théâtre de Molière1 La première partie de notre étude nous a d’abord montré que Molière n’avait attaqué
e résoudre la question que nous avons posée au début de cette seconde étude . Or, en vue toujours de notre sujet, nous pouvons
ennemi déclaré de Descartes. Dans le doute donc où nous conduit notre étude , voyons si, plus heureux d’un autre côté, nous ne
comprendre une raison, Et nous aimons bien mieux, nous antres gens d’ étude , Une comparaison qu’une similitude (46), je dira
a été digne de son maître. Nous voici arrivé au terme de cette double étude . Elle nous a conduit à un résultat double aussi :
main, Gassendi) — M. Damiron avait conclu sa longue et consciencieuse étude par ces mots : « En tout Gassendi est sensualiste
discussion à ce sujet, du moins pour justifier les affirmations de l’ étude qui précède. 1. Voir la Revue chrétienne du 5
11 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
ours honoré de sa bienveillance et de sa protection. Le succès de ses études fut tel qu’on pouvait l’attendre d’un génie aussi
par l’invincible penchant qu’il se sentait pour la Comédie. Toute son étude et son application ne furent que pour le Théâtre.
e, sans que son travail le détournât de l’extrême application, et des études particulières qu’il faisait sur tous les grands r
12 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370
ru que Dorante, c’était vous ; nous l’avons cru jusqu’à la fin de son Étude  ; et voilà que Lysidas dans sa Réponse (quels per
e, c’est que tout phénomène à sa cause ; sa méthode est sûre, c’est l’ étude des faits ; ses instruments sont éprouvés : c’est
ère et la plus commode à première vue, celle qui nécessite le moins d’ études préalables. Mais on s’apercevra que, si la matièr
13 (1696) Molière (Les Hommes illustres) « JEAN-BAPTISTE POQUELIN. DE MOLIERE. » pp. 79-80
ossible de l’empêcher de se faire Comédien. À peine eut-il achevé ses Études , où il réussit parfaitement, qu’il se joignit ave
hez qui il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses Études , espérant que par l’autorité que ce Maître avait
14 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
t bientôt une aversion invincible pour sa profession. Son goût pour l’ étude se développa, il pressa son grand père d’obtenir
nier ayant démêlé de bonne heure le génie de Pocquelin, l’associa aux études de Chapelle* et de Bernier*. Le jeune Pocquelin f
s Paris, sa passion pour la comédie qui l’avait déterminé à faire ses études , se réveilla avec force. Le théâtre qui commençai
15 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
r héréditaire, où une grande fortune donnait de longs loisirs, où des études suivies étaient le plus sûr moyen d’éviter les en
ait seule assurer des jouissances à l’âge mûr et à la vieillesse, les études de la marquise de Rambouillet étaient éminemment
illet étaient éminemment raisonnables. Je demande si la nature de ces études n’était pas noble, élevée, de celles qui se prête
16 (1759) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1759) [graphies originales] « article » pp. 604-605
roi ; mais son aversion pour sa profession, & son penchant pour l’ étude l’engagerent à solliciter son grand-pere qui le m
à Paris, sa passion pour la comédie qui l’avoit déterminé à faire ses études , se réveilla, & il résolut de la satisfaire e
17 (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914
ues qui datent de trente ans. Les comédiens invoquent au besoin leurs études spéciales : ils connaissent Molière mieux que per
ur aux élèves, du chef d’emploi aux débutants. M. Provost, malgré ses études , malgré son zèle, malgré le bon sens dont il a do
n sans importance. Le théâtre est un lieu de plaisir et non un lieu d’ étude . Et comment s’amuser, si avant de rire on a besoi
emmes savantes. Je crois bien faire en circonscrivant le champ de mes études dans des limites plus étroites. Si le lecteur en
philosophie, la société, et l’intelligence enrichie par cette triple étude connaît trop bien ses forces pour abdiquer sa lib
18 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
e jeune Pocquelin étoit né avec de si heureuses dispositions pour les études , qu’en cinq années de tems il fit non seulement s
çons duquel il sçut profiter. Quand le jeune Pocquelin eut achevé ses études , il fut obligé, à cause de l’âge avancé & du
  Il leur fallut un Comedien, Qui mît à les polir son art & son étude . Mais, Moliere, à ta gloire il ne manqueroit ri
19 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351
e. Le mouvement, c’est là, comme nous l’avons dit en commençant cette étude , ce que le théâtre italien enseignait, communiqua
rver quelque petite part à ceux qui ont préparé et semé le champ. Les études comme celle que nous terminons ont l’avantage de
20 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
oucient beaucoup moins de relire Don Juan ou L’Avare, que de courir d’ étude en étude de notaire, pour y chercher, au bas d’un
eaucoup moins de relire Don Juan ou L’Avare, que de courir d’étude en étude de notaire, pour y chercher, au bas d’un contrat
s, méconnaître singulièrement les distances. Une tradition ajoute aux études du collège de Clermont les leçons de Gassendi. Es
u collège fit-il son droit ou sa théologie ? On n’a de ses prétendues études théologiques d’autre témoignage qu’un mot, un seu
la main du XVIIe siècle puisse passer pour une autorité. Quant à ses études de droit, Molière les termina-t-il ? Prit-il son
-il ? Prit-il son titre d’avocat ? Rien ne le prouve. Aussi bien, ces études de droit, qu’il faudrait faire tomber vers 1642,
n cinq sols. » II. Le Théâtre comique de 1650 à 1658. Dans une étude un peu complète il y aurait lieu de parler de l’o
rte pas de délicatesse ; que Marivaux a profité de toutes les fines «  études  » de femmes qu’a faites Racine dans ses tragédies
nque de grâce et de délicatesse, mais il a la profondeur. 1. Une étude de Molière qui voudrait être absolument complète
21 (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136
 ; il fait partie des savants dont l’esprit est fixé sans cesse sur l’ étude de la nature. Lorsque de tels penseurs sont guidé
aire de la psychologie sans le savoir, c’est n’avoir pour guide que l’ étude des faits, sans être imbu des doctrines systémati
oint de départ est l’observation des faits psychiques, c’est-à-dire l’ étude des pensées énoncées et des actes accomplis par l
nouvelles. Mais en est-il beaucoup, parmi ceux qui se sont livrés à l’ étude du cœur humain, qui aient, je ne dis pas dépassé,
œuvres. La marche qui m’a paru la plus naturelle à suivre dans cette étude consiste à montrer ces effets dans ses principale
début, mais seulement au fur et à mesure que l’on avancera dans cette étude , qu’il sera permis d’apercevoir la constance de c
lière a signalé ce fait dans les Femmes savantes. Armande, livrée à l’ étude de la philosophie, connaît les sages conseils que
médiocre et n’a jamais eu de succès. On doit la considérer comme une étude psychologique sur les passions, et, comme telle,
rds de leurs crimes. DON JUAN La comédie de Don Juan mérite une étude sérieuse de la part du psychologue, car elle renf
is rencontré de débauché pareil à Don Juan. Quiconque s’est livré à l’ étude des monstruosités morales, loin de partager cette
sser aucune science, ainsi qu’on l’a toujours pensé, le criminel, à l’ étude duquel Molière vient de nous initier, appartient
ur être méditées dans le silence du cabinet. C’est seulement par leur étude réfléchie qu’il est possible d’en apprécier toute
représentent si bien les qualités aimables de la femme. D’après cette étude , on ne saurait disconvenir que la psychologie ne
e la psychologie ne doive renfermer une branche spéciale réservée à l’ étude des instincts du cœur, des sentiments et des pass
22 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
ec des reprises et des déformations, jusqu’au début du XIXe siècle. L’ étude de ces anecdotes est nécessaire, car elles nourri
amment, et on lui accorda avec peine, la permission d’aller faire ses études au Collège de Clermont. Il remplit cette carrière
e étroite liaison avec Chapelle*, Bernier* et Cyrano*. Chapelle*, aux études de qui l’on avait associé Bernier*, avait pour Pr
e le mettre aux mains avec l’Usurier. Le Notaire. …… Il sort de mon étude  ; Parlez-lui Ergaste.      Quoi ! C’est-là celui
amment, et on lui accorda avec peine, la permission d’aller faire ses études au Collège de Clermont. Il remplit cette carrière
e étroite liaison avec Chapelle*, Bernier* et Cyrano*. Chapelle*, aux études de qui l’on avait associé Bernier*, avait pour Pr
     Il leur fallait un Comédien Qui mit, à les polir, son art et son étude  ; Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait rie
teyn où il prononça ses vœux et fut ordonné prêtre. Il poursuivit ses études au collège Montaigu à Paris. Devenu précepteur, i
474 – Ferrare 1533) : poète dramatique italien. Il fait à Ferrare des études juridiques et humanistes tout en fréquentant les
da en 1625. Mais il abandonna bientôt sa charge pour se consacrer à l’ étude . Esprit d’une curiosité universelle, il fut reçu
comédies sont des imitations de Molière, dans le petit monnayage des études de caractère (L’Ingrat, l’Irrésolu, le Médisant),
onne famille bordelaise appartenant à la noblesse de robe, il fit ses études au collège de Navarre, avant de revenir à Bordeau
23 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
du respect dans le langage des hautes classes, en avaient nécessité l’ étude , en avaient amené le discernement et le tact, et
maîtresse : Je ne fais des vers qu’en rêvant, mais je vous aime avec étude et de tout mon sens. Enfin, on citait comme locut
24 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « epigraph »
des préservatifs contre la fausse et stérile hardiesse, et toute une étude d’imagination et le goût à faire pour l’avenir, s
25 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
vait donné pour me conduire, et tant de leçons de mes maîtres, tant d’ études acharnées, tant de découvertes que j’avais faites
nt trois drapeaux, trois guidons qui nous mèneront dans cette suite d’ études dont elles ont été, tantôt le couronnement et tan
lus assez d’originaux, qui soient dignes de son application et de son étude . À présent il a besoin de la ville : il a besoin
t fatigué, il se rejetait avec délices dans l’antiquité, objet de ses études , et dans la vieille farce française qui devait lu
nir la plume du critique, il y aura toujours beaucoup à glaner dans l’ étude et dans la contemplation de l’œuvre des maîtres.
incipe et le commencement du travail même de vos contemporains. Cette étude est pour le critique un de ses premiers devoirs,
çon aux beaux esprits de son temps ; en second lieu, cette profitable étude aura ceci d’utile et de bienséant que, faute d’un
ouvez le ramener aux belles choses, aux contemplations sérieuses, à l’ étude et à l’admiration des modèles. En vain il hésite,
on, et même à la condition expresse que vous serez nouveau dans votre étude sur les œuvres antiques, et que vous n’irez pas r
rovisation du premier venu, vous en seriez avare quand il s’agit de l’ étude et de la contemplation d’une œuvre-maîtresse des
elle n’en sait rien. Toujours est-il que l’esprit, l’intelligence, l’ étude des modèles, ne suffisent pas à faire un comédien
, c’est l’a b c et l’Évangile du comédien ! Il a été élevé dans cette étude et dans ce respect ! Chacun de ces rôles est trac
t, parce que tu auras fait, dans quelque collège borgne, de médiocres études et marmotté quelques vers de Virgile, serais-tu d
t un auteur dramatique, digne de tout notre intérêt et de toute notre étude . Si vous lisez les critiques du temps et surtout
té pour le feuilleton un texte inépuisable et le sujet d’une profonde étude . Le feuilleton devait tenir à cette gloire, elle
26 (1884) Tartuffe pp. 2-78
Je ne suis pas un érudit ; on le sait de reste, sans doute, et les études que je hasarde ne révèlent, je le confesse, aucun
t reste obscur encore. On ne saurait donc s’étonner si, dans la brève étude qui suit, moi qui n’ai pas l’honneur d’être un de
te aveu, m’ont valu d’assez vives critiques. Je réponds que, dans mon étude de ces deux chefs-d’œuvre, je marchais sur le ter
ait être encore un… Ah ! ah ! se récrient déjà tous ceux qui dans mes études sur Alceste et sur Arnolphe m’ont pris pour M. Jo
ssait pas alors. Molière puisait en pleine pâte et ne bornait pas son étude à l’homme, à l’individu. Et Tartuffe est légion,
athée, comme Tétait son maître Lucrèce, le cher objet pourtant de ses études . Je crois très volontiers au contraire qu’il rend
27 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250
nous entretenir : Uranie, le Marquis et Galopin. Monsieur Lysidas. Étude nouvelle par Dorante. Chapitre premier. — Critiqu
thrope aussi nous paraît imparfait, non à la représentation, mais à l’ étude . Il a deux ou trois vers, quelques-uns disent qua
théâtre, voilà la seule chose intéressante, vivante, réelle dans les études de la critique303 ; quant aux caractères généraux
e qu’il pense avec beaucoup plus de profondeur. Monsieur Lysidas. Étude nouvelle par Dorante (suite et fin). Chapitre II.
doute, elle se demande si elle a suffisamment cultivé son goût par l’ étude et la comparaison des beautés de l’espèce dont il
t. Elle pardonne à l’auteur d’Alceste d’avoir sacrifié l’intrigue à l’ étude profonde des caractères : elle excuse Caldéron d’
28 (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266
elles des principaux peuples de l’Europe, avait fait de ses cours une étude comparée des littératures diverses, l’expression
à leur entrée dans la carrière littéraire, est de faire avec eux une étude sérieuse de ce que l’on nommait naguère la littér
lui au moment de tirer les conséquences de son récit. Vinet part de l’ étude du caractère de Racine pour signaler le contraste
oile de la sainteté dans Josabeth et dans Abner. La profondeur de ses études sur le vice et sur la passion se retrouvent dans
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
de se croire plus adroits. Mettons donc tout notre soin, toute notre étude à chercher un sujet vrai & fécond par lui-mêm
is, dévoré du desir d’apprendre, il obtint la permission de faire ses études au College de Clermont, où il remplit cette carri
30 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
ux fois. La révision du commentaire nous conduisait naturellement à l’ étude des différentes éditions de l’auteur, et c’est là
énie. Frappé de ces idées, je commençai, il y a plusieurs années, une étude approfondie de cet auteur ; mais je ne tardai pas
nre, de celles qu’on ne saurait résoudre si l’on ne s’est livré à une étude spéciale de la langue de Molière, des mœurs du te
, à mesure que les mœurs changent ou que les traditions s’effacent, l’ étude des meilleurs auteurs devient plus difficile ; il
de détail ; mais tout ce qui a rapport à l’ensemble des pièces et à l’ étude de l’art trouvera sa place dans le commentaire. H
e génie ! Et combien peu de critiques se sont doutés que c’est dans l’ étude approfondie du cœur humain qu’il faut chercher l’
indigne de notre attention, a pu faire naître une pensée sublime. Une étude plus importante encore, c’est de chercher les pas
e jeune Pocquelin était né avec de si heureuses dispositions pour les études , qu’en cinq années de temps il fit non-seulement
n père avait envoyé à Paris, sur sa propre conduite, pour achever ses études , qu’il avait assez mal commencées en Gascogne, se
insinuant, aussi vif, aussi gascon que Cyrano ? Il fut donc reçu aux études et aux conversations que Gassendi conduisait avec
de reprendre mon bien où je le trouve32. Quand Molière eut achevé ses études , il fut obligé, à cause du grand âge de son père3
perdre le goût qu’il avait pris dès sa jeunesse pour la comédie ; ses études n’avaient même servi qu’à l’y entretenir35. C’éta
ment que la plupart de ceux qui représentent aujourd’hui, destitués d’ étude qui les soutienne dans la connaissance des princi
i savent ménager le plaisir ; et ces messieurs excellaient dans cette étude  : mais le vin eut bientôt réveillé Chapelle, et l
’a toujours été, ajoutait-il, le caractère de Molière ; j’ai fait mes études avec lui, et un jour qu’il apporta des vers à son
s obligé de dire que Molière fit son droit avec un de ses camarades d’ étude  ; que, dans le temps qu’il se fit recevoir avocat
lt, qui fut aussi condisciple de Molière sous Gassendi. Ces premières études de philosophie inspirèrent sans doute à Hesnault
du ministre, et de la faiblesse du maître. Ce furent-là ses premières études du cœur humain. 35. Il y a ici une lacune de plu
seul mot… » Cet exemple suffît pour appuyer ce que dit Mezzetin de l’ étude que Molière avait faite du jeu de ce grand acteur
its de Scaramouche ? » (Préface des Œuvres de Palaprat, page 40.) Les études de Molière sur le jeu de Scaramouche lui ont été
31 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
mplaisances détestables d’un paganisme inconscient. Dans une dernière étude nous, verrons comment la Compagnie du Saint-Sacre
uois au Canada. » Voyez une pièce de 1644, analysée par le P. Chérot ( Études , 5 mai 1900). 4. Ces factums sont faciles à trou
l’Anticléricalisme. Paris, 1906. — Cf. pour les détails qui suivent, Études sur la Société dite des Libertins, dans les Œuvre
M. Allier sur la compagnie de Marseille, cité ci-dessus. Cf. dans les Etudes du a octobre 1909 un article du P. Brucker sur ce
la Philosophie de Molière dans la Revue du 1er août 1890 ou dans les Études critiques, 4e série; Gazier, ouvr. cité, p. 17 ;
32 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
aphie moliéresque de M. Paul Lacroix, ni aux récentes et remarquables études de MM. Despois, Faguet, Brunetière, etc. Qu’il me
ressée, sans indifférence. J’exposerai dans les deux parties de cette étude  : 1º Comment, en admettant qu’on trouve à la base
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie… Dirons-nous cependant que Mol
la passion choquante De se rendre savante afin d’être savante… De son étude enfin je veux qu’elle se cache Et qu’elle ait du
33 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
e jeune Pocquelin était né avec de si heureuses dispositions pour les études , qu’en cinq années de temps il fit non seulement
on père avait envoyé à Paris sur sa propre conduite, pour achever ses études , qu’il avait assez mal commencées en Gascogne, se
insinuant, aussi vif, aussi gascon que Cyrano ? Il fut donc reçu aux études et aux conversations que Gassendi conduisait avec
, de reprendre mon bien où je le trouve. Quand Molière eut achevé ses études , il fut obligé, à cause du grand âge de son père,
perdre le goût qu’il avait pris dès sa jeunesse pour la Comédie : ses études n’avaient même servi qu’à l’y entretenir. C’était
ment que la plupart de ceux qui représentent aujourd’hui, destitués d’ étude qui les soutienne dans la connaissance des princi
i savent ménager le plaisir ; et ces Messieurs excellaient dans cette étude . Mais le vin eut bientôt réveillé Chapelle, et le
’a toujours été, ajoutait-il, le caractère de Molière : J’ai fait mes études avec lui ; et un jour qu’il apporta des vers à so
s obligé de dire que Molière fit son Droit avec un de ses camarades d’ Étude  ; que dans le temps qu’il se fit recevoir Avocat
11 Mr de Molière, sa naissance : 5 — Sa profession : 5, 15, 312 — Ses études  : 9, 10, 11 — Son nom : 5, 16 — Il se fait Comédi
34 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
quelle on sent la véhémence d’un avocat qui plaide sa propre cause. L’ étude qui va suivre prouvera que ces erreurs ou ces par
entions manifestées par la conduite et le jeu des caractères. II. Étude littéraire Analyse sommaire du Misanthrope.
t elle est si fière. Se faire une cour d’admirateurs, voilà toute son étude  ; et il faut vraiment qu’Alceste ait un bandeau s
couvrent ces traits de caractère individuel ; et, pour conclure cette étude , citons ce jugement de M. Nisard : « Quoique les
l lieu de ne point les regretter : car, en lui imposant un surcroît d’ étude prudente et profonde, elles ne furent pas étrangè
elève. Après tout, n’a-t-il pas, lui aussi, son droit divin ? II. Étude littéraire L’hypocrisie et les religions for
tres de la scène ne cesseront pas de puiser l’inspiration147. II. Étude littéraire La comédie de caractères. Leçon u
ie dont l’exemple pût être offert comme le cas le plus digne de notre étude . Le nom seul de son personnage nous en avertit d’
rissotin ? Cotin a fini ses jours, Trissotin vivra toujours. II. Étude littéraire Comédie de mœurs. L’action. Analy
estions qu’on fait Elle sache ignorer les choses qu’elle sait. De son étude enfin je veux qu’elle se cache, Et qu’elle ait du
ruite, sensée, doucement sérieuse, qui entre dans les goûts, dans les études d’un mari, d’un frère ou d’un père, qui, sans qui
elles suivent la mode ; c’est un caprice de vanité ; elles traitent l’ étude comme une parure. 160. Le privilège du Roy est d
logique par une action dont toutes les ressources sont empruntées à l’ étude de la vie réelle. La folle du logis ne s’y permet
35 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
Molière Études générales Influence de Molière sur le monde
ier siècle. Vous trouverez quelques traits de cette histoire dans une étude fort bien faite qu’un de nos professeurs, M. Legr
ie privée, n’a le droit d’ignorer ni les travaux de M. Despois ni les études de M. Loiseleur. Il s’en tient obstinément à la b
te observation sur laquelle il revient souvent dans ses merveilleuses études psychologiques. Seulement, dans le train de la vi
r ces exemples ; je me borne à vous ouvrir ce sujet de réflexion et d’ études . Vous y trouverez, je l’espère, quelque agrément,
our. Molière, à vrai dire, n’a donc point dans cette comédie fait une étude du fâcheux, ni même des fâcheux. Il n’a eu d’autr
et écarté de la scène, y reprendra la place qui est due à ses longues études , à sa connaissance approfondie du répertoire et à
raison qu’elle était à la mode, et il y a collé tant bien que mal une étude de grand seigneur athée, qui eût à coup sûr mérit
d seigneur athée, qui eût à coup sûr mérité un plus beau cadre. Cette étude en elle-même est superbe, et si voulez en sentir
u’à la Bourse et dans le boudoir de sa maîtresse ; mais là se borne l’ étude qu’il en fait. Aussi ne sommes-nous point familie
il s’est fait la main pour écrire l’Amphitryon, en profitant de cette étude et de cette préparation. C’est à cela qu’il doit
ieu à prendre, on ne peut l’attraper et s’y tenir qu’après de longues études , soutenues d’un goût exquis ; et tout cela ne ser
point qu’un cœur bien amoureux Sur cent petits égards s’attache avec étude ,         Et se fait une inquiétude         De la
ste plus qu’à m’aller jeter dans la rivière. » Got est un comédien d’ étude , un comédien profond, qui va d’un mouvement recti
C’est que Tartuffe est, en même temps qu’une comédie de mœurs et une étude de caractère, un drame de situation. Je défie qui
jours des sujets d’observations nouvelles, et qu’après deux siècles d’ études critiques, il se rencontre encore des points que
utorité d’aspect, de voix et de jeu. 28 septembre 1885. [B] L’ étude que j’ai faite, dans mon dernier feuilleton, du r
vois qu’autour de moi on fait semblant d’être très passionné pour les études grecques ; le grec c’est affaire aux hellénistes 
uffe, par exemple, et Alceste, et Célimène. Coquelin nous a écrit une étude sur Tartuffe et nous a dit comment il fallait le
erait incapable de jouer Célimène, un rôle qui exige vingt-cinq ans d’ étude et de planches. Et de même aussi, par convention,
tent pas que Delaunay n’a abordé qu’en tremblant, et après de longues études , persévéramment poursuivies, ce personnage qui n’
e. Au moins avait-il le bon esprit de ne pas croire qu’il mettait une étude de caractère dans la façon d’aller aux cabinets.
euil et s’envoler aux cabinets, de longues réflexions et de patientes études , dont vous n’êtes peut-être pas capables, sans co
la mode du temps, coupé en cinq actes et écrit en vers. Il n’y a là d’ étude ni dépassions, ni de caractère, ni de milieu soci
est composé de journalistes, d’étudiants, d’hommes qui ont fait leurs études , de femmes qui en sont frottées ; quelle joie pou
e le prix fût-il décerné, que ce fut dans les revues des avalanches d’ études publiées l’une après l’autre par des concurrents
création des rôles par les Italiens de 1730. Pour ma part, une longue étude de Marivaux m’a prouvé que lazzis et jeux de scèn
devrait toujours faire, à ce qu’il me paraît, quand on entreprend une étude de ce genre. Effaçons de notre mémoire tout ce qu
ier, qui a mis en tête de l’édition Laplace et Sanchez une excellente étude sur Marivaux, constate qu’elle eut en son temps q
estion. J’y reviendrai un de ces jours, car je fais à cette heure une étude particulière de Marivaux. Mais tout ce que je pré
tel homme, elle rassemble dans une courte phrase quatre-vingts ans d’ études sur ce sujet, qui a préoccupé tout le dix-huitièm
in. Quel dommage que la Comédie-Française ne puisse donner ce sujet d’ étude aux amateurs que le mardi et le jeudi, où il n’y
ptés avec empressement et reconnaissance, ravis de ce nouveau champ d’ études qui leur était ouvert. Si j’insiste sur ce point,
sset, c’est précisément d’avoir été lui-même un provincial dans cette étude de la province, qui devait aboutir au triomphe de
36 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
r l’invincible penchant qu’il se sentoit pour la Comédie b, toute son étude & son application ne furent que pour le theat
vertir sa femme. La jalousie reveilla dans son ame la tendresse que l’ étude avoit assoupie ; il courut aussi tôt faire de gra
hez qui il l’avoit mis en pension pendant les premieres années de ses études – – – – – ; mais bien loin que le maître lui pers
37 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
s adorent le grec ; la plus grande partie de leur vie se passe dans l’ étude de l’antiquité. Ils restent complètement éloignés
a plus naturelle de toutes les pièces de Molière. Il ne s’y trouve ni étude de mœurs ni tableau d’une époque. On pouvait croi
ois contre la séquestration et contre la science, au moins contre les études compliquées, qui sont à la mode aujourd’hui. Sa f
38 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
I C’est une étude pleine d’intérêt que de rechercher le côté réel e
nature, »c’est la nature même. Ibid. p. 92) 25. G. Guizot, Ménandre, étude hist. et litt sur la comédie, etc. 26. Voir Auge
 : ce sont miroirs publics, etc., etc. »(Scène VII.) 30. E. Geruzez, Études littéraires, 7e édit., p. 208. 31. Taschereau, o
39 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
par l’invincible penchant qu’il se sentoit pour la Comedie, toute son étude & son application ne furent que pour le theat
vertir sa femme. La jalousie reveilla dans son ame la tendresse que l’ étude avoit assoupie ; il courut aussi-tôt faire de gra
40 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
ent, & on lui accorda avec peine, la permission d’aller faire ses études au collége de Clermont. Il remplit cette carriére
e étroite liaison avec Chapelle, Bernier, & Cyrano. Chapelle, aux études de qui l’on avoit associé Bernier, avoit pour pré
à Paris, cette passion pour le théatre, qui l’avoit porté à faire ses études , se réveilla plus vivement que jamais. S’il est v
era ce génie vaste, dont la fécondité cultivée & enrichie par une étude continuelle de la nature, a enfanté tant de chef-
s obligé de dire que Moliere fit son droit avec un de ses camarades d’ études  ; que dans le tems qu’il se fit recevoir avocat,
41 (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362
à cette noble entreprise littéraire sans trop sortir du cadre de nos études habituelles, nous avons essayé de rechercher dans
appeler la philosophie de Molière. Avant de nous circonscrire dans l’ étude philosophique que nous entreprenons, disons cepen
elle a été une récidive et une réplique. La notice sur Don Juan est l’ étude approfondie et complète des diverses éditions de
e. Enfin, dans la notice du Misanthrope on trouvera non seulement une étude historique, mais un modèle excellent de critique
ritique littéraire, dont nous profiterons largement dans notre propre étude . Au reste, on doit s’attendre que M. Paul Mesnard
ition. Il introduit discrètement et finement la question d’art dans l’ étude des faits, et sans manquer jamais aux devoirs str
42 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
rais donc tenter ce contrôle et ce rapprochement comme conclusion des études biographiques sur Molière que l’on a pu lire ici2
dérés comme documens ; deux seulement ont paru au second dignes d’une étude détaillée. Ces deux toiles élues se trouvent, l’u
us de nobles traits. Je me suis constamment applique, au cours de ces études , à tenir compte d’un élément d’appréciation trop
compte d’un élément d’appréciation trop négligé d’ordinaire dans les études sur Molière, la chronologie. Nulle part il n’est
bert la cause de son ami, « mauvais courtisan, » qui donnait plus à l’ étude qu’à a la visite, » et n’aimait pas à « fatiguer
on d’Auteuil, pour autant, etc. J’ai déjà montré, dans une précédente étude , avec quelle générosité il secourut son père beso
43 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [76, p. 115-117] »
imable dans la société ; mais l’amour du plaisir le détourna de toute étude . Ce fut lui qui, étant invité à un grand repas pa
44 (1732) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1732) [graphies originales] « article » pp. 45-46
au college de Clermont à Paris sous les Jesuites, il fut destiné à l’ étude du droit, qu’il quitta bientôt, pour suivre le pe
45 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
e jeune Pocquelin étoit né avec de si heureuses dispositions pour les études , qu’en cinq années de temps il fit non seulement
on pere avoit envoyé à Paris sur sa propre conduite, pour achever ses études , qu’il avoit assez mal commencées en Gascogne, se
insinuant, aussi vif, aussi gascon que Cyrano ? Il fut donc reçu aux études & aux conversations que Gassendi conduisoit a
, de reprendre mon bien où je le trouve. Quand Moliere eut achevé ses études , il fut obligé, à cause du grand âge de son pere,
perdre le goût qu’il avoit pris dès sa jeunesse pour la Comedie ; ses études n’avoient même servi qu’à l’y entretenir. C’étoit
hez qui il l’avoit mis en pension pendant les premieres années de ses Etudes , esperant que par l’autorité que ce maître avoit
la famille de Moliere, qu’il fit son Droit avec un de ses Camarades d’ étude  ; que dans le temps qu’il se fit recevoir Avocat,
t à la divertir. La jalousie reveilla dans son ame la tendresse que l’ étude y avoit assoupie. Il courut aussi tôt faire de gr
avent ménager le plaisir ; & ces Messieurs excelloient dans cette étude . Mais le vin eut bien-tôt-réveillé Chapelle, &
’a toûjours été, ajoûtoit-il, le caractere de Moliere : J’ai fait mes études avec lui ; & un jour qu’il apporta des vers à
idelle est susceptible, elle a mis les Dames & les personnes sans étude en état de comparer la copie avec l’original, &am
46 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
Scene de l’Étude. ARLEQUIN en Procureur, nommé GRAPIGNANT, dans son Etude , dictant à ses Clercs. Grapignant. Et pour faire
le chapeau ? Grapignant, l’empêchant & le repoussant hors de son Etude . Allez-vous-en, dis-je. Le Chapelier. Mais, le ch
47 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. » pp. 53-56
emmes. Emilie, jeune veuve, se livre toute entiere à son goût pour l’ étude , ne s’occupe plus que de livres, de conversations
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. Des Caracteres généraux. » pp. 263-267
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude & sa philosophie. Nos peres sur ce point étoi
49 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
contemplateur, comme on l’appela bientôt. Une grande application a l’ étude et des dons naturels remarquables le rendaient pr
rtout pour les progrès de son talent. S’il est un genre pour lequel l’ étude des hommes réunis dans un vaste centre d’activité
e des principes qui le dirigèrent. Il est des poètes sur lesquels une étude analogue à celle que nous allons tenter ne serait
avité qu’on ne goûta jamais. Le bonheur de vous plaire est ma suprême étude , Et mon cœur de vos vœux fait sa béatitude; Mais
rès près pour savoir si elle est, oui ou non, de bon aloi. Ce genre d’ études morales était devenu particulièrement à la mode a
OTIN. La sottise, dans l’un, se fait voir toute pure. CLITANDRE. Et l’ étude , dans l’autre, ajoute à la nature. Ce n’est pas
. Mais, en général, l’esprit français, en passant par le laminoir des études classiques, et par l’éducation que donne la vie é
, sont au nombre des meilleurs. Chrysale, par exemple, mériterait une étude attentive. Il ne dit pas un mot qui ne le trahiss
ité de la science du beau, ils ont en général consacré au comique une étude à part, et ils ont rencontré sur cette question d
i-ci est peut-être le plus compliqué, le plus délicat et celui dont l’ étude a encore le plus de progrès à faire. Le beau et l
éritable figure de ce Protée ? Je n’entreprendrai pas de le dire. Une étude de ce genre nous jetterait dans des discussions f
nt sous son aile; elle les suit du regard, elle les dirige dans leurs études préliminaires, études toutes générales aussi, et
les suit du regard, elle les dirige dans leurs études préliminaires, études toutes générales aussi, et auxquelles elle ne peu
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. On ferait tort à Molière en l
quel il peut exercer aussi une action morale puissante. Cette seconde étude ne serait pas facile, peut-être même serait-elle
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
. L’ame seule peut concevoir l’ame. Il n’est point de secret, point d’ étude , point de supplément qui puissent masquer les déf
cette idée si fausse, que les heureuses dispositions tiennent lieu d’ étude . Le génie même ne peut en dispenser. Lui seul fer
51 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec.économie Doit être son étude et sa philosophie580. » XXVIII. Mais surtout ell
e jeu581. » XXIX. Elle doit « fuir d’être coquette : », « Loin les études d’œillades582 ! » « Les honnêtes femmes ont des
52 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
ut se faire gentilhomme et au gentilhomme qui la persiffle. Toute son étude est de faire aller sa maison et de marier sa fill
e, une époque infectée de bel esprit, du soin, de l’application, de l’ étude  ; car ce n’est pas sans peine, dit La Bruyère, qu
tions qu’on fait, Elle sache ignorer les choses qu’elle sait ; De son étude enfin il veut qu’elle se cache Et qu’elle ait du
uses déceptions. Je vous demande pardon, Messieurs, de terminer cette étude par des paroles si austères, quand je ne devrais
53 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
ppé à un critique pour qui les ouvrages de Molière ont été un objet d’ étude et de travail. Voltaire était d’un avis tout cont
que moi, et consultant chacun sur ce qui appartenait au genre de ses études . Je saisis l’occasion de solliciter ici, pour la
bles à l’observation comique : aussi Plaute paraît-il avoir négligé l’ étude de l’homme et de la société, et avoir appliqué pr
placèrent successivement dans les situations les plus favorables à l’ étude des mœurs. Presque aucune portion de la société n
stination. Molière le comprit aussitôt ; et, de ce moment, toutes ses études eurent pour objet l’homme et la société. Le but d
ère, réunissant à tous les trésors du génie toutes les richesses de l’ étude , est devenu, pour ses nombreux successeurs, comme
à son fils pour précepteur le célèbre Gassendi23, et pour compagnon d’ études un enfant pauvre, Bernier24, que devaient rendre
ussi plus formée, avait, en cinq années, fourni toute la carrière des études , depuis les premières humanités jusqu’à la philos
s d’inaction, ou du moins d’obscurité, ne dut pas être perdu pour ses études comiques. Il avait vu les dernières cruautés d’un
e n’ai qu’à étudier le monde45. » Ce n’est pourtant pas encore dans l’ étude du monde qu’il puisa le Cocu imaginaire y représe
er à rien. Molière, dans la société, était sur le terrain même de ses études  : quand sa langue était muette, son œil n’en étai
re marchand de laine du comté de Warwick, n’ayant fait presque aucune étude , longtemps réduit à garder des chevaux à la porte
54 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
ittéraire à Vienne, je ne saurais mieux faire que de reproduire ici l’ étude spéciale qu’avait consacrée à Molière, en manière
cité, de curiosités théâtrales, Le Monde dramatique, une intéressante étude de M. Em. de Géricourt sur une représentation du
ent parfois de la bouche du génie. Ce sont ces séjours en province, l’ étude qu’il faisait des mœurs, des traditions, des cara
’on aime, et c’est pourquoi les recherches des érudits, les patientes études des amoureux de Molière ne pourront, même si elle
r chaque comédien. » Cette munificence, dit M. Étienne Arago dans une étude excellente sur Molière22, semblerait assurément t
. Tartuffe est moins intéressant peut-être que Le Misanthrope pour l’ étude de la personnalité même de Molière, mais il est b
un philosophe convaincu dont toute la vie fut vouée aux lettres, à l’ étude et à la recherche de la justice. Là, c’est un dép
dire à présent ? — une biographie suivie de Molière, mais une suite d’ études assez curieuses, croyons-nous, et faites d’après
er à ce portrait de nous rendre le comédien et non l’homme ; dans une étude spéciale et fort étudiée de M. Henri Lavoix sur l
iration personnelle pour un tel génie. Je sais trop ce que valent les études , définitives sur certains points, des Taschereau,
s de demain. Je tiens d’ailleurs à le répéter en achevant ces rapides études sur un des hommes que notre pays doit le plus adm
        Il leur fallut un comédien Qui mit à les polir son art et son étude . Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait rien
55
er, remontât à Molière. [1880-04] Édouard THIERRY. (Extrait d’une Étude inédite sur Le Théâtre de Molière.) Tome II,
nier avait prodigieusement lu, noté, recueilli, retenu. Ses premières études sur Molière remontent à 1852 : il publia dans L’I
âtre. Et l’on sait que leur nombre est considérable dans ce pays où l’ étude des langues étrangères, notamment du français, es
« Les Ennemis de Molière », dont cette Revue a parlé récemment10, une étude non moins intéressante et non moins solide sur Ta
iste (1er avril 1880), Édouard Thierry a publié une très intéressante étude  : Molière et Tartuffe dans la préface des Plaideu
atif des gravures qui ornent les diverses éditions de Molière, et à l’ étude qui s’y peut faire des décors, des accessoires, d
ctères. Ce que je voudrais rechercher aujourd’hui, dans la mesure des études auxquelles peut faire accueil votre publication s
roniquement leurs mauvais vers. Si complète que je désire faire cette étude , [je perdrais mon temps à rappeler les épigrammes
’il faut faire le brouhaha ? » Ceci rentre encore dans le cadre de l’ étude que j’indiquais au début de cet article sous l’in
ntre les annonces et la première représentation ? Il me semble qu’une étude attentive des circonstances qui ont précédé l’app
rien à se reprocher vis-à-vis de La Thébaïde. Il en avait dirigé les études avec un intérêt tout particulier, il en avait con
ges qui confirmeraient l’attribution que nous avons établie après une étude minutieuse du style et de l’esprit de la pièce, o
56 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
Une page d’album Un soir que l’auteur de ces études , moins âgé de quelques années, se trouvait seul a
herons principalement de faire voir comment, à l’aide d’une constante étude de lui-même et des autres, il a trouvé enfin la v
ntés à Lucrèce ; c’est une traduction exquise, qui date des premières études de Molière, et qu’il a voulu placer là. Molière n
qui en est chargée. Il faut, pour le rendre exactement, une profonde étude de physionomie. Elmire, en effet, est souvent mue
rs ils se donnent, Et ce n’est que par-là qu’ils se perfectionnent. L’ étude et la visite ont leurs talents à part. Qui se don
Phormion de Térence. Il ne se serait pas donné la peine de faire une étude pareille, et d’offrir en quelque sorte un tableau
médecins, on doit du respect aux connaissances que l’expérience et l’ étude ont acquises, et qui permettent d’alléger les sou
é en Angleterre de l’ordre delà Jarretière. Le jeune Dancourt fit ses études à Paris, au collège des Jésuites, sous le père La
sous une enveloppe grossière. Il affectionnait particulièrement cette étude dans laquelle il réussissait si bien ; mais les g
57 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
ne lacune de trois années, trois années, sans doute, d’isolement et d’ études , durant lesquelles, suivant les mieux informés, l
i se joue sur la terre entre les hommes ; mais c’est moins dans cette étude qu’il s’instruisit que par une longue et douloure
la pièce et excita les cris, c’est que ce n’était plus seulement une étude profonde du cœur humain, mais une protestation co
vant jouer sa pièce, se remit tranquillement au travail : il reprit l’ étude des anciens, et donna au mois de janvier 1668, Am
eurs, il se trouva tout naturellement porté sur cette pente, dans son étude du cœur humain ? Mais quel admirable moment il ch
s ils se donnent, Et ce n’est que par là qu’ils se perfectionnent ; L’ étude et la visite ont leurs talents à part ; Qui se do
es, tendres, sincères (comme Henriette) ? Qu’ont-elles à demander à l’ étude , elles à qui la nature a tout donné ? Pourquoi su
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Qu’ajouterais-je à ces parole
58 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre premier. Préliminaires » pp. 1-8
littérature comique. C’est le but que nous nous proposons dans cette étude  ; mais, pour l’atteindre, nous serons obligé de f
59 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
stions qu’on fait Elle sache ignorer les choses qu’elle sait : De son étude enfin je veux qu’elle se cache, Et qu’elle ait du
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Ces modestes vertus, la graci
60 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
flot de laquelle il savait tirer ses types ? Pouvait-il se livrer à l’ étude approfondie du cœur humain sans être guidé par de
prétendre aller plus loin, ni deviner en lui un autre lui-même. Cette étude n’est point facile ; car Molière était un habile
61 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
arbitrage, jamais ne consentir d’arrêt définitif : c’est la perte des études . Au reste, qu’on ne vous voie que rarement aux au
nt les incidents et la procédure qu’une affaire blanchisse dans votre étude avant que d’être jugée. GRAPIGNAN. Ah ! diable !
62 (1739) Vie de Molière
t bientôt une aversion invincible pour sa profession. Son goût pour l’ étude se développa ; il pressa son grand-père d’obtenir
sendi ayant démêlé de bonne heure le génie de Poquelin, l’associa aux études de Chapelle et de Bernier. Jamais plus illustre m
Paris. Sa passion pour la comédie, qui l’avait déterminé à faire ses études , se réveilla avec force. Le théâtre commençait à
ance. Il leur fallut un comédien Qui mît à les polir sa gloire et son étude  ; Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait rie
63 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
e popularité qui m’ont porté à le choisir pour sujet de nos premières études . J’y étais encouragé par les sages avis d’un chef
ais avant Molière : c’est la préface naturelle et nécessaire de notre étude . Une scène que vous avez tous lue, et qui compte
emprunté à la comédie italienne. Nous pourrons, Messieurs, dans notre étude sur Molière, trouver l’occasion de revenir en pas
64 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIV » pp. 251-258
ire écouter, de se faire étudier, de se faire admirer. L’attention, l’ étude , l’admiration sont réservées pour une seule perso
65 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
amment, et on lui accorda avec peine, la permission d’aller faire ses études au collège de Clermont. « Il remplit cette carriè
une étroite liaison avec Chapelle, Bernier et Cyrano. « Chapelle, aux études de qui l’on avait associé Bernier, avait pour pré
à Paris, cette passion pour le théâtre qui l’avait porté à faire ses études se réveilla plus vivement que jamais. S’il est vr
pe, sans que son travail le détournât de l’extrême application et des études particulières qu’il faisait sur tous les grands r
     Il leur fallait un comédien, Qui mit à les polir, son art et son étude  ; Mais Molière à ta gloire il ne manquerait rien,
mirera ce génie vaste dont la fécondité, cultivée et enrichie par une étude continuelle de la nature, a enfanté tant de chefs
ait L’Avare devait être le plus grand génie de son siècle ; par cette étude , je fus bientôt confirmé dans la haute idée que j
s obligé de dire que Molière fit son droit avec un de ses camarades d’ étude , que dans le temps qu’il se fit recevoir avocat,
66 (1739) Vie de Moliere (Réflexions sur les ouvrages de litérature) [graphies originales] « Chapitre » pp. 252-262
 ; Il leur fallut un Comédien Qui mit à les polir sa gloire & son étude . Mais, Moliere, à ta gloire il ne manqueroit rien
67 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108
la Fronde qui servirent de modèle à la multitude ; viendra ensuite l’ étude de la société d’élite ; et enfin celle des précie
68 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIX » pp. 207-214
vidité sordide et de sa funeste charlatanerie, lui imposait de saines études et un désintéressement sans lequel cette professi
69 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
et qu’une main pieuse réunit aujourd’hui. Appelé par une conformité d’ études , aussi par les souvenirs d’une longue confraterni
s, qui est un vrai propos de casuiste. Il est temps d’en revenir aux Études d’Édouard Fournier, écrites de 1858 à 1878 ; la b
ière au Théâtre-Français, sont autant de chapitres qui préservent ces études d’ensemble contre toute apparence de pédantisme o
temps dans la mémoire de ? lettrés. Auguste VITU. Première partie. Études sur la vie de Molière I - Le dossier de Moli
désormais inutile, pour son titre d’avocat, pris à Orléans, pour ses études sur les bancs de Sorbonne, des sommes dont chaque
ue tout cela sent de bien près l’Église. Ce n’est pas tout, quand ses études chez les révérends pères sont finies, où le jeune
s doit alors apprendre. Tallemant des Réaux, parlant de ces dernières études de Molière, ne fait mention que « des bancs de So
rtant où il doit aller. Pendant que le père Poquelin lui imposait des études de religion et de prêtrise, le grand-père Louis C
ans doute est-ce par là qu’il plut au petit prince de Conti, dont les études s’achevaient alors au même collège, et qui lui fu
arade. Ainsi, quand le père Poquelin pouvait croire son fils tout aux études qui menaient à l’Église, celui-ci était tout aux
tons qu’elle a de rôles différents. » Molière fit, à ses dépens, une étude complète de tous les tons divers de cette sirène,
moment que dans ses ennuis même il y avait pour son art une source d’ études et d’observations. Ses premières pièces sont remp
isolé. Il fallait qu’il vît le monde et qu’il fît de ses travers une étude assidue. Or, il en était réellement ainsi, et qua
il faut vous dire qu’il faillit lui-même entrer dans les Ordres. Des études chez les Jésuites étaient, pour cela, un achemine
côté-là, la réconciliation n’était pas sincère. Deuxième Partie. Études sur les ouvrages de Molière Introduction - L
t du rire populaire, qui lui rendaient si précieux, dans sa chambre d’ étude , les applaudissements de la bonne Laforest, comme
mais fait éprouver d’aussi douces émotions. Quels caractères ! quelle étude du cœur humain ! quelle franche gaieté ! quel com
e sont, en effet, des personnages, non pas de nature, mais d’art et d’ étude , pour ainsi dire ; leur ridicule n’est pas nature
gnès. J’étais curieux de savoir comment Martin, qui n’a pas abusé des études , car, de soldat qu’il était, il s’est fait comédi
ait, mais il peut l’être, et il le sera, s’il veut bien continuer ses études , que je sais sérieuses, et s’il consent, ce dont
ctère qu’il a voulu nettement donner à son Alceste se trouve dans les études qu’il fit avant d’écrire sa comédie, dans les lec
e rôle de Tartuffe, pour lequel il se préparait depuis longtemps. Son étude , qui a été certainement très sérieuse, n’est pas
lequel il l’avait mis en pension pendant les premières années de ses études , espérant que, par l’autorité que ce maître avait
», étaient le grand point de l’éducation bourgeoise. Molière, que ses études au collège de Clermont firent monter plus haut, n
ava et Jouy, qui en dirent quelques mots, les premiers, l’un dans ses Études sur Molière, l’autre dans L’Ermite en province ;
différente, quelques-uns des faits et des détails qu’on a vus dans l’ étude qui précède, renferme beaucoup plus de particular
Rochefoucauld-Liancourt a donne cette lettre en entier dans son livre Etudes littéraires et morales de Racine, 2e partie, p. 1
s obstacles à sa représentation. » 144. La première partie de cette étude , sur la comédie de l’Etourdi, fut présentée au pu
e Molière, p. 20 et suiv. (Note de l’Éditeur.) 160. Voyez, dans les Études sur tes Œuvres de Molière, Le.Misanthrope, chap.
70 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
difficile & le plus rare, en ce qu’il suppose dans son auteur une étude consommée des mœurs de son siecle, un discernemen
usage dans la société, foible ressource des esprits sans talent, sans étude , & sans goût ; ni ce comique obscene, qui n’e
ant inutilement, mille autres découvertes utiles. Indépendamment de l’ étude refléchie des mœurs du grand monde, sans laquelle
t le mérite. Né avec un beau génie, guidé par ses observations, par l’ étude des anciens, & par leur maniere de mettre en
71 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
es impressions habituelles que Poquelin reçut pendant le cours de ses études , et qui, sans nul doute, favorisèrent le développ
e vingt ans, il se mit à continuer, sur les hommes et la société, des études qu’il ne pouvait plus faire dans les livres. Et q
courir les villes de province. On exigeait alors des comédiens plus d’ études et de connaissances que l’on n’en réclame aujourd
te galère ? La bonhomie de M. Jourdain, ses bizarres prétentions, ses études tardives pour devenir homme de qualité, le gros b
72 (1692) Œuvres diverses [extraits] pp. 14-260
’Art poétique, chant III, v. 359-428 Que la Nature donc soit votre étude unique, Auteurs, qui prétendez aux honneurs du Co
73 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
die d’Aristophane n’est pas une dissertation morale dialoguée, ni une étude de psychologie, ni le roman dramatique d’une intr
s de la Bruyère, ou que Le Siècle de Louis XIV de Voltaire. C’est une étude de psychologie et d’histoire ; ce n’est pas l’œuv
caractère est une chose éminemment instructive. On y trouve de fortes études psychologiques et des sentences bonnes à noter da
e grouper toutes les figures avec art, afin de pouvoir concentrer son étude sur la ressemblance de chacune d’elles avec son m
74 (1900) Molière pp. -283
’on y trouvera soutenues forment un ensemble de vues sur Molière, une étude de son génie et de son théâtre assez particulière
met en plus vive et plus pleine lumière3. Et même ce qui, dans cette étude si fièrement originale et personnelle, pourra sem
rire. Les hardies et paradoxales nouveautés d’opinion que, dans cette étude , se permet le critique doublé d’un moraliste, ne
famille de bonne bourgeoisie parisienne, il avait fait d’excellentes études au collège de Clermont, il semblait n’avoir devan
’après leurs caractères généraux ; ce sera la troisième partie de ces études , puis, il faut essayer d’apprécier le rôle histor
le de moraliste, de moraliste influent ; ce sera le complément de ces études sur Molière. Nous avons vu que son grand procédé,
Mesdames, Messieurs, Un homme de génie peut avoir trois procédés d’ étude du monde, d’observation et de reproduction ; il p
e pas pour cela les réserves que j’ai faites au commencement de cette étude , et çà et là depuis, et que l’on m’a reprochées,
chacun. La Révolution française, que nous trouverons au terme de ces études , a produit, on ne saurait le nier, quelques résul
, qu’on pourrait intituler : « De la prédominance, chez Molière, de l’ étude morale et dramatique des caractères sur l’inventi
75 (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125
ce. Il leur fallut un Comédien Qui mît à les polir son art et son étude . Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait ri
76 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
bien, certaines aptitudes particulières que je pourrais avoir pour l’ étude de la vie et de l’œuvre de Molière en Languedoc7 
77 (1816) Molière et les deux Thalies, dialogue en vers pp. 3-13
peinte dans tous les siens, j’ai dû faire de son théâtre surtout une étude particulière, et c’est en l’approfondissant que j
78 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
ont fort curieux ; mais ils ne sont pas compris dans le plan de notre étude . Non seulement la critique littéraire comporte d’
79 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
epuis qu’un écrivain illustre, mêlant l’histoire et la biographie à l’ étude des grandes œuvres de la pensée, a ouvert à la cr
raît le plus érudit de notre littérature, en est le plus original : l’ étude de l’antiquité, à laquelle il s’est voué, n’est p
80 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30
poirs et délires, afin de les avoir tout prêts à l’occasion, et leurs études sont en rapport avec les mœurs et les habitudes d
81 (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83
oi. Evidemment un homme comme Molière doit être à lui-même un champ d’ études , un document humain très riche et très complet, c
e à M. de La Pommeraye Ici, Mesdames et Messieurs, se terminait cette étude . La première lecture que j’en ai faite a suscité
éorie de M. Coquelin est celle de tous les acteurs qui ont publié des études sur le caractère d’Alceste ; les littérateurs son
82 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
e de la nation. Jeune, il a été saisi par l’inspiration : « toute son étude et son application ne furent que pour le théâtre 
littéraire, ne songea qu’assez tard à raviver sa veine comique par l’ étude de Molière. Moratin, le fils du poète tragique, c
sur l’auteur comique se multiplièrent. En 1802, Cailhava publiait ses études sur Molière. Plus tard, Népomucène Lemercier démo
ne adoption de ce grand génie comique par la nation. Aujourd’hui, les études sur Molière sont suivies en Allemagne avec un zèl
ns, la France endolorie attesta qu’elle n’oubliait pas son poète. Les études sur Molière ont repris depuis lors avec une ardeu
un aperçu, à vol d’oiseau, des variations du goût et des progrès des études en ce qui concerne Molière, sa vie et ses œuvres,
aussi aux beautés de la nature, dont l’homme est l’unique et profonde étude , et qui possèdent dans la langue, le style et la
t ses camarades La Grange et Vinot, qui ajoutent : « Le succès de ses études fut tel qu’on pouvait l’attendre d’un génie aussi
autre, à Jean-Baptiste Poquelin Molière. On dit que c’est pendant ces études de philosophie que Hesnaut et Jean-Baptiste Poque
Poquelin ait été reçu avocat. Bornons-nous à constater qu’il fit ses études de droit ; c’est à ces études qu’on a attribué l’
Bornons-nous à constater qu’il fit ses études de droit ; c’est à ces études qu’on a attribué l’exactitude avec laquelle Moliè
ation que Molière eut, dès ses humanités, pour le poète Térence, et l’ étude assidue qu’il en fit. Il n’est pas sans intérêt d
Cinna. Sans doute Le Menteur fut pour lui un sujet d’admiration et d’ étude , mais quand il composa Le Misanthrope, la comédie
saisit quelque occasion de rappeler au prince le lieu commun de leurs  études . S’il l’osa, il y mit sans doute beaucoup de tact
ière se forma, se perfectionna comme acteur avec non moins de zèle, d’ étude et de volonté, qu’il n’en mit à préparer l’auteur
ledit contrat et en faveur d’icelui, dont quittance. Fait et passé ès études , le vingt-quatre juin mil six cent soixante-deux,
nier. Ne dirait-on pas que les contractants passèrent tout droit de l’ étude du notaire à Saint-Germain-l’Auxerrois, alors que
ires ; mais la fin principale à quoi tendait son exercice et tout son étude  était de savoir et connaître les façons et manièr
, moins de deux mois après George Dandin, L’Avare, grande et profonde étude morale d’un vice qui a presque toujours échappé p
sance. Il leur fallait un comédien Qui mît à les polir son art et son étude  ; Mais, Molière, à ta gloire il ne manqueront rie
e pour elle. M. Édouard Thierry, qui est un esprit judicieux dans son étude sur La Grange, s’exprime ainsi : «Mlle Molière eu
document VIII. 12. Le Moliériste, 1e année, p. 17. 13. Brunetière, Études critiques, p. 106. 14. Journal de Toulouse, 6 m
ition de Saint-Marc Girardin et Louis Moland, tome VII, p. 408. 87. Études sur la vie et les œuvres de Molière, 1885, p. 19.
83 (1836) Une étude sur Molière. Alceste et Célimène (La Revue de Bordeaux et Gironde unies) pp. 65-76
Molière, il nous peint aussi son époque, mais c’est un autre genre d’ étude qu’il faut faire avec lui. Il ne s’est point mêlé
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
lâche présentement pour se vendre. D’un autre côté, Cléon, livré à l’ étude de son art, n’a ni le temps ni l’envie de s’enrôl
ronte que son neveu n’est plus dissipateur, qu’il passe les nuits à l’ étude . Il entend les convives de Cléon, on lui persuade
85 (1811) Discours de réception à l’Académie française (7 novembre 1811)
e les ouvrages de Plaute et de Térence sont-ils d’excellents sujets d’ étude pour les historiens ; on y retrouve une foule d’u
86 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. » pp. 144-179
jamais vu d’autre femme que sa mere, lorsqu’il partit pour faire ses études à Padoue. Il y trouva toutes les femmes bien infé
re compté   Que les autres la trouvent laide. Maxime III.   Loin ces études d’œillades,   Ces eaux, ces blancs, ces pommades,
87 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
appendice au texte qu’on lira plus loin : Molière, ayant quitté ses études , fut avocat ; quelque tems après, il s’amusa avec
sance. Il leur fallut un comédien. Qui mît à les polir son art et son étude  ; Mais, Moliere, à ta gloire il ne manqueroit rie
de Soulas, son second fils, père du supliant, après avoir achevé ses études à Bâle en Suisse, vint en France au commencement
88 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
arquables, la comédie dégénère. La Chaussée et Marivaux, négligeant l’ étude des mœurs, s’ouvrent des voies nouvelles: l’un cr
nte vérité que tant d’auteurs se sont fourvoyés, qu’ils ont négligé l’ étude des mœurs et se sont jetés dans la comédie romane
tous ces titres, nous le répétons, que Molière doit être la constante étude des jeunes auteurs. Il a porté l’art de la comédi
ter les grandes et nombreuses difficultés de l’art. Janvier 1848. Études sur les rôles du Misanthrope et du Tartuffe.
avité qu’on ne goûta jamais. Le bonheur de vous plaire est ma suprême étude , Et mon cœur de vos vœux fait sa béatitude ; Mai
importantes. C’est que, en effet, malgré ses profondes et constantes études , toujours quelque trait, quelque nuance, quelque
89 (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382
inspirée et pénétrée par la philosophie contemporaine. Séparez donc l’ étude des lettres de celle de la philosophie et de son
90 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. Des Pieces intriguées par les Maîtres. » pp. 151-168
’il languira d’ennuis, d’inquiétude A démentir sa peine il mettra son étude  : Feignant d’être content. . . . . . . . . . . .
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
eure à celle dont nous venons de parler ; il faut pour cela faire une étude particuliere de l’homme ; bien réfléchir sur le v
92 (1818) Épître à Molière pp. 6-18
mérite naissant, loin du monde caché, Fier d’être utile un jour, à l’ étude attaché, Mûrit dans le travail et sa jeune éloque
93 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
au succès d’une entreprise si hardie ; il avait fait de son temps une étude assez profonde pour juger qu’il est des obstacles
la conduite de ses affaires que dans celle de ses ouvrages, de cette étude approfondie qu’il avait faite des hommes et du mo
lus hardi et le plus vrai, le plus triste et le plus sublime, c’est l’ étude la plus profonde qu’un homme ait jamais faite sur
94
ces d’informations ; fondre à nouveau et vulgariser les instruments d’ étude qui sont pour la plupart très rares ou fort coûte
prochaine livraison) Quelques-uns de nos lecteurs ayant pris cette étude de notre éminent collaborateur pour la réimpressi
sa brillante pratique du mélodrame, a derrière lui un fond de bonnes études . Il sait Tartuffe comme on le sait au Théâtre-fra
re, hâtivement exécutée, tirée à petit nombre et consacrée plutôt aux études des Comédiens, au service du théâtre, que livrée
it de nouveau interrompre sa Chronique théâtrale pour se livrer à ces études sur Molière, comme il en a publié quelques-unes d
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384
point qu’un cœur bien amoureux Sur cent petits égards s’attache avec étude ,  Et se fait une inquiétude  De la maniere d’être
96 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
essemblent, par où ils diffèrent : on improvise pour soi deux petites études de mœurs, et on les compare. On jouit aussi par l
97 (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-
en sont les défaillances. Jusqu’ici la littérature s’est attachée à l’ étude des accidents, sans regarder le fonds commun qui
98 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. » pp. 65-82
n, au charme victorieux qui domine la foule enivrée. Mais toute cette étude du cœur humain, si profonde, si philosophique mêm
99 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548
stions qu’on fait, Elle sache ignorer les choses qu’elle sait. De son étude enfin je veux qu’elle se cache, Et qu’elle ait du
rudes, qui, se souciant fort peu de bien vivre, ne mettent toute leur étude qu’à cacher leurs désordres : il y tonne enfin co
100 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
êmes beautés peuvent éclore & se développer sous leurs doigts : l’ étude de la nature, l’habitude de la copier, sont les s
/ 136