s’élever au-dessus de la routine ordinaire. Si quelques personnes, se
croient
autorisées à nous reprocher que nous avons omis b
sant, et se sentant entraîné vers le vice par une force irrésistible,
crut
que cette force était hors de lui : il s’en fit u
homme, troublé par ses remords, regarda la divinité comme ennemie, et
crut
ne pouvoir l’apaiser par les victimes ordinaires.
vait tellement frappé ses regards, qu’il lui avait été plus facile de
croire
à des traditions altérées, qui peignaient un Dieu
naient un Dieu tout-puissant, formateur de tout ce qui existe, que de
croire
que tout ce qui l’environnait était éternel, ou q
iter, que, pour donner une explication de ce mystère historique, nous
croyons
devoir rapporter la manière dont ils comptaient l
nt. Eusèbe en a conservé un fragment ; c’est tout ce qui en reste. On
croit
que Sanchoniaton lui-même avait puisé ses écrits
res. Le nom de Sanchoniaton est si célèbre parmi les savans, que nous
croyons
devoir donner une partie de ce fragment ; elle su
té les idées religieuses et les dieux des Égyptiens. Quelques auteurs
croient
que les Phéniciens avaient précédé les Égyptiens
ue sacrée, dont les hiéroglyphes étaient les emblèmes, on voit qu’ils
croyaient
généralement qu’une nature inanimée et confuse ne
tre l’origine de toutes choses. Quelques hommes, parmi les Égyptiens,
croyaient
qu’il existait une intelligence suprême qui avait
in d’yeux, très-clairvoyant ; Isis signifiait l’antique, parce qu’ils
croyaient
la lune éternelle. Ils ne s’en tinrent pas là : d
ble, suffisant à lui-même, et père de toutes les essences. » Nous ne
croyons
point fatiguer nos lecteurs en faisant de pareill
dans la Phénicie et l’Égypte, c’est dans ces deux royaumes qu’on peut
croire
que l’idolâtrie prit naissance. Lucien dit formel
rie a pris naissance. Premier objet de l’idolâtrie. Si nous en
croyons
le célèbre Vossius, la plus ancienne idolâtrie a
et de maux, et n’ayant plus la tradition sacrée pour guide, ne purent
croire
qu’un être, qui est essentiellement bon, pût être
ils inventèrent deux divinités égales en puissance et éternelles. Ils
crurent
que tout le bien venait du bon principe, et tout
mps précis où il a vécu. Quelques savans, d’accord, avec Vossius, ont
cru
que c’était Mysraïm lui-même, fils de Cham, qui,
paraisse être l’opinion des deux principes, un grand nombre de savans
croient
que l’adoration des astres est encore plus ancien
r tour-à-tour la terre entière, et à porter partout la fécondité, fit
croire
à des hommes ignorans et déjà corrompus qu’il n’y
lâtrie. Des statues bien faites attirèrent le respect ; on commença à
croire
que les dieux qu’elles représentaient se plaisaie
leurs belles actions, par l’invention de plusieurs arts utiles, on ne
crut
pouvoir reconnaître les biens qu’on leur devait q
nt de leurs ouvrages ; mais ils y joignaient tous les ornemens qu’ils
croyaient
capables de les embellir et d’intéresser. Conj
surprenante, assez belle ; on la para d’ornemens étrangers ; et l’on
crut
agrandir les héros en leur supposant des actions
supposant des actions qu’ils n’avaient jamais faites. Peut-être même
crut
-on porter plus puissamment vers la vertu, en prop
satisfait sa curiosité toujours active, et son amour-propre lui fait
croire
qu’il participe en quelque sorte aux actions héro
lui qui prend ces actions dans sa fertile imagination cherche à faire
croire
qu’il n’aurait pu les inventer, s’il n’avait pas
ur influence ; on leur rendait un culte pour les apaiser quand on les
croyait
irrités. Ce fut ainsi que l’on multiplia les divi
s propriétés. La grandeur de ces biens se fit tellement sentir, qu’on
crut
ne pas pouvoir porter assez loin la reconnaissanc
Terre. Les Grecs ne savaient rien de plus sur leur origine la plupart
croyaient
sortir des fourmis de la forêt d’Égine. Cependant
ent parler de temps éloignés . La prétention des Grecs allait jusqu’à
croire
que leurs colonies avaient peuplé le reste du mon
ssaient de tout devoir à des peuples étrangers ; et l’espoir de faire
croire
que tout avait commencé par eux leur faisait chan
laissé des modèles qu’ils ont surpassés ; car il serait difficile de
croire
que la poésie grecque eût commencé par des chefs-
tres chefs de colonies. En remontant plus haut, on peut aller jusqu’à
croire
que la poésie orientale ressemblait à celle dont
t temps, quelle est sa forme ; pour moi, (poursuit cet historien), je
crois
qu’ils sont venus d’Égypte ; et, si l’on me dit q
ser de s’accorder entre eux, les païens avaient senti la nécessité de
croire
et d’établir qu’il y avait une divinité supérieur
rticulières des dieux. Avant de donner l’histoire de Jupiter, nous
croyons
devoir parler de Saturne son père, et de Cybèle s
montagne sur laquelle elle avait été exposée. Quelques étymologistes
croient
que ce nom vient d’un mot hébreu qui signifie enf
tres, prirent leur nom de Corybas. Voilà ce qui, par la suite, a fait
croire
que Cybèle était la mère des dieux. Ce qu’il y a
au milieu de la cendre sacrée, et le feu se ralluma sur-le-champ. On
croit
qu’Énée fut le premier instituteur des vestales,
t de ce premier des dieux. La plus grande partie de leurs philosophes
croyaient
que Jupiter était l’air le plus pur, l’æther, et
beau. Le nom de Jupiter est beaucoup plus ancien que ne paraissent le
croire
Diodore et Cicéron. Le premier de tous est le Jup
remier de tous est le Jupiter Ammon des Libyens ; il y a tout lieu de
croire
que cet Ammon était Cham lui-même, que son fils M
Jupiter. Nous nous bornerons à faire connaître ce que la mythologie a
cru
devoir conserver, et nous abandonnerons aux reche
nt sans cesse à la tête des dieux Jupiter, Neptune et Pluton, ils ont
cru
pouvoir désigner la portion d’empire échue à chaq
plication de cette fable ; ils disent que Lycaon, fanatique et cruel,
crut
rendre plus d’honneur à Jupiter en lui sacrifiant
e Jupiter avait fait le serment que l’exil durerait trente années, il
crut
le remplir et l’adoucir à la fois, en permettant
Prométhée de porter à son doigt un fragment de rocher du Caucase. On
croit
même que c’est de là qu’est venue la coutume de p
s dieux du mariage. A la suite de l’histoire de Junon Lucine, nous
croyons
devoir placer celle d’Hymen. Ce fut pour consacre
la fable de Cérès tiennent à celles des dieux des enfers ; mais nous
croyons
devoir les rapporter en partie, pour faciliter da
s ne multiplierons point trop les explications des fables ; mais nous
croyons
utile de citer quelques exemples, dans le dessein
trouvé. Le peuple, touché de son sort, et se souvenant de ses vertus,
crut
qu’il avait été enlevé par les dieux, et lui acco
t Pollux, fils de Jupiter et de Léda. Juin, signe de l’Écrevisse. On
croit
qu’elle représente celle qui vint piquer Hercule
se de la chasse, le changea en la constellation qui porte son nom. On
croit
qu’Orion était disciple d’Atlas, et qu’il apporta
produit par les exhalaisons pestilentielles du Nil ; et tout porte à
croire
que les Grecs ont imaginé leur Apollon d’après Ho
e des enfans de Niobé, tués par Apollon et Diane, prouve combien l’on
croyait
à l’influence du soleil et de la lune. La fière N
ssait, quoique par sa naissance et le grand nombre de ses enfans elle
crut
mériter le même honneur, courut à Thèbes, et fit
vue perçante ; le corbeau, la corneille et le cygne, parce qu’on leur
croyait
le don de prévoir l’avenir, et parce qu’ils serva
Apollon. Depuis ce temps, les poëtes ont célébré neuf Muses ; et nous
croyons
très-inutile d’examiner quel a été, dans l’origin
t de Gébelin résout ce problème d’une manière si ingénieuse, que nous
croyons
devoir la citer. Il assure que ce célèbre Hercule
est une allégorie pour peindre un homme très-vain de son esprit, qui
croyait
être poëte, et dont les ouvrages n’ont pu lui sur
ui croyait être poëte, et dont les ouvrages n’ont pu lui survivre. On
croit
généralement que le nom des Muses vient du grec m
nom de la gloire et de la renommée ; elle préside à l’histoire. On la
croit
inventrice de la guitare : on en place ordinairem
médiocre, après avoir vainement essayé de faire admirer ses ouvrages,
crut
se venger en persécutant les sciences ; et les po
grand nombre se vérifiaient. Les pères de l’église se réunissent pour
croire
que Dieu a permis quelquefois à l’éternel ennemi
ns ; l’un et l’autre lui furent accordés. Les filles qui se mariaient
croyaient
devoir apaiser la déesse, et lui consacraient leu
varié sur leur nombre et sur leur origine. Un grand nombre de savans
croient
que les poëtes ont peint Moïse dans leur Bacchus.
ir une fontaine. Ce parallèle est trop parfait pour ne pas conduire à
croire
que la fable de Bacchus n’est qu’une tradition dé
uption, on changea ce nom en celui de Bacchus. Quelques autres savans
croient
que Bacchus est le même que Noé, à qui l’Écriture
, espèce de baguette environnée de feuilles de vigne et de lierre. On
croyait
que le lierre, par sa fraîcheur avait le pouvoir
répétait souvent pendant que Bacchus combattait contre les géans. On
croit
aussi que le nom de Bacchus peut venir de bacchei
rages, c’est moi qui ai fait le soleil. Les savans les plus célèbres
croient
que cette inscription mystérieuse, placée sur le
à Saïs le temps où le culte de Minerve avait commencé : tout porte à
croire
qu’il remontait jusqu’aux derniers patriarches. I
ousser de leur temple les Grâces paresseuses ou contrefaites. Nous ne
croyons
pas avoir besoin d’expliquer le sens de ces allég
es Gaulois avaient aussi leur Mars, qu’ils nommaient Hesus, et qu’ils
croyaient
honorer en lui sacrifiant des victimes humaines.
gine. La rencontre d’un bouclier d’une forme inconnue jusqu’alors fit
croire
qu’il était tombé du ciel ; l’oracle consulté, di
re de leur Vénus. La peinture et la sculpture, sœurs de la poésie, se
crurent
le droit d’imiter ses écarts. On représenta Vénus
lessure mortelle, fit paraître une douleur si vive, que ses sujets le
crurent
mort ; le deuil fut général dans la Phénicie. Le
l’époux de Vénus. (Images de ces unions inégales, dans lesquelles on
croit
compenser les dons de la nature par ceux de la fo
déposer ses lauriers aux pieds de la beauté. Le génie de la peinture
croit
lui devoir un tribut ; il conduit la main d’ Apel
vient de parler ; et le spectateur, séduit par le talent du peintre,
croit
l’entendre confirmer le jugement de Pâris, lorsqu
s siècles rendront hommage à la beauté de son génie. Il est facile de
croire
que les Grâces eurent des autels sans nombre. On
ait fait leur statue en marbre, et Bupale en avait fait une en or. On
croit
généralement qu’elles dispensaient la bonne grâce
première divinité. Le silence qu’ils gardent sur son origine porte à
croire
que, pour la trouver, il faut remonter jusqu’à Tu
l’art de forger les métaux se fit si bien reconnaître, que les hommes
crurent
devoir des autels à son inventeur. La fable dit q
s. La fable les peignait avec un seul œil au milieu du front. On peut
croire
qu’ils portaient un masque pour se garantir du fe
voulait le désigner conduisant dans les enfers les âmes des morts. On
croyait
que lui seul avait le pouvoir de séparer, avec ce
, ces besoins dont la privation cause la mort, portèrent les hommes à
croire
qu’il existait des dieux chargés d’y présider. De
parce que la mer environne les terres. Quelques anciens cependant la
croient
fille d’un prince Titan, et disent que Neptune eu
à aimer les hommes, et à les secourir dans les naufrages. Si nous en
croyons
Hérodote, Neptune était Libyen, et très-anciennem
on ; il s’élance pour saisir Eurydice ; elle fuit dans la prairie, et
croit
n’avoir à redouter que ce jeune insensé, lorsqu’u
Protée, roi d’Égypte, vivant vers le temps de la guerre de Troie. On
croyait
que ce prince, impénétrable, très-sage et très-pr
sacrifice du lait, de l’huile, du miel et quelquefois des chèvres. On
croit
que le mot nymphe vient de lympha, eau, ou du mot
en néphas, âme. Avant le système du Tartare et des Champs-Élysées, on
croyait
que les âmes erraient autour des tombeaux, ou dan
on juge d’après cela que leur nombre dut s’accroître à l’infini. Nous
croyons
très-inutile de les nommer toutes. D’Éole et d
ifférer son départ. La manière assurée dont il donnait ce conseil fit
croire
aux compagnons de ce prince qu’Éole commandait au
de protection. La douleur, la crainte et la nécessité, le forcèrent à
croire
qu’il existait une puissance supérieure à la sien
ssance supérieure à la sienne ; il se soumit à l’implorer, mais il se
crut
le droit d’attacher un prix à ses hommages : il l
. Il avait pour compagnons l’Éternité et le Chaos. (Fig. 32.) Nous
croyons
devoir donner une partie de la description que le
éfigurés de l’ancienne tradition. Les Arcadiens furent les premiers à
croire
la terre animée par un génie ; c’est d’eux qu’il
, celle appelée la fête de la bonne déesse était si célèbre, que nous
croyons
devoir en donner une idée. Le premier jour de mai
t des divinités champêtres, ou plutôt des demi-dieux, que les anciens
croyaient
habitans des forêts et des montagnes. On les nomm
t Lupercales, du lieu de même nom qu’Évandre lui consacra, et où l’on
croyait
que Rémus et Romulus avaient été allaités par une
divinités champêtres, et on le représenta sous la forme de Satyre. On
croyait
qu’il rendait des oracles ; mais cette fable tien
idait aux bois, et sa représentation était celle des Satyres que l’on
croyait
ses frères. Picus, père de Faunus, était un princ
es femmes avaient aussi leurs génies, qui s’appelaient Junones. On ne
croyait
pas la puissance de ces génies égale ; on disait
nneurs de la sépulture. Malgré les ténèbres épaisses de ces temps, on
croyait
généralement qu’après la mort le corps matériel é
esprit. Ils regardaient la première comme l’enveloppe de l’esprit, et
croyaient
qu’elle descendait aux enfers. Les poëtes n’étaie
, mais tous regardaient les supplices du Tartare comme éternels. Nous
croyons
devoir faire connaître l’idée que les anciens s’é
et que ce fut sa fille qui fut enlevée par Pluton, roi d’Espagne. On
croit
aussi que l’enlèvement de Proserpine est une allé
rs, et les âmes de ceux qui avaient bien vécu habitaient l’Élysée. On
croyait
presque généralement qu’après un séjour de mille
es. Ces divinités présidaient aux sépultures et aux ombres, (pie I on
croyait
errantes autour des lieux funèbres. La Nuit était
t autant que l’imagination des poëtes. Chacun d’eux peignait ce qu’il
croyait
le plus capable de plaire, et laissait encore à s
ng-temps. Salmonée, prince d’Élide, voulut s’égaler à Jupiter ; il
crut
imiter sa foudre, en faisant rouler sur un pont d
in une tête de soleil rayonnant, ou une tête de lune, parce qu’on les
croyait
éternels. On la représentait aussi sous la forme
ar Jupiter Fidius, était regardé comme le plus inviolable de tous. On
croit
généralement que Numa Pompilius fit élever son pr
t le représenter. (Fig. 65.) Son nom vient de commessari, manger : on
croit
aussi qu’il vient d’une espèce de chanson très-fa
sé sur une montagne, et allaité par une chèvre. Le berger du troupeau
crut
voir cet enfant environné de lumière. Retiré de c
qu’à l’île du Tibre, elle en sortit, et se cacha dans les roseaux. On
crut
que le dieu avait choisi ce lieu pour demeure ; o
it, la grâce et la décence ont de plus aimable. En les parcourant, on
croit
voir les dessins de l’Albane, ou les tableaux les
lbane, ou les tableaux les plus parfaits de l’Arioste et du Tasse. On
croit
que l’adresse que nous venons de citer ne fait pa
Dans les beaux temps d’Athènes et de Rome, il eût été plus facile de
croire
qu’il était tombé du ciel que d’attribuer ce sile
ses talens semble être une autorisation suffisante pour permettre de
croire
qu’elle daigne les avouer.
alors que l’impie, effrayé à chaque coup de foudre, à chaque danger,
crut
s’arracher à son état cruel en invoquant le doute
aine, furent adorés. Ces divinités imaginaires ne purent suffire ; on
crut
ajouter à leur pouvoir en les multipliant. L’homm
s des temps marqués les jeux qu’ils avaient eux-mêmes institués. Nous
croyons
indispensable de fixer pendant quelques momens l’
mais on ignore le lieu particulier qu’il choisit pour sa demeure. On
croit
qu’il s’arrêta dans l’Asie Mineure, d’où ses desc
s pères de l’église, dans leurs écrits contre l’idolâtrie, paraissent
croire
que ce déluge ne fut autre chose que le passage d
ue ce prince donna aux Athéniens, et celles du peuple hébreu, porte à
croire
qu’il les avait apprises des Israélites pendant l
ifices aux dieux, ensuite ils invoquaient les héros de leurs pays. On
croyait
généralement que ces derniers concouraient avec l
rien de positif sur ce point. Les savans modernes se réunissent pour
croire
que son origine remonte à Cadmus. Ils observent q
grands hommes, à qui des villes, des royaumes et des nations immenses
croyaient
devoir déshonneurs, pour reconnaître leurs servic
nt que Jupiter avait trompé leur vigilance ; mais Acrise, refusant de
croire
à la visite du plus grand des dieux, fit mourir l
nias cite un historien dont le rapport ressemble à celui de Pline. Il
croit
que Méduse fut une femme sauvage d’une force surp
rait. On doit remarquer que presque tous les anciens législateurs ont
cru
nécessaire de donner une origine céleste à leurs
inaï ; la tradition s’en était répandue généralement, et tout porte à
croire
que chacun d’eux prit pour modèle le législateur
, fils de Jupiter. Par la suite des temps, les Crétois, voulant faire
croire
que ce tombeau était celui de Jupiter même, effac
lle se livrait à sa douleur, lui fit facilement oublier celui qu’elle
croyait
coupable à la fois d’ingratitude et d’infidélité.
sième, des laboureurs. Tous obtinrent de Thésée les priviléges qu’ils
crurent
utiles à leur bonheur, il ne se réserva que le dr
es suivre. Ce bienfait imprudent détruisit sa puissance. Vainement il
crut
enchaîner les Athéniens par la reconnaissance, va
nité et le protecteur des malheureux. Histoire d’Hercule. Nous
croyons
faire plaisir à nos lecteurs, en plaçant sous leu
asse, les détruisit, et présenta le plus gros à Eurysthée ; ce prince
crut
qu’il n’était pas encore mort : il en eut une tel
es parlent de ces colonnes ; cependant quelques critiques très-savans
croient
qu’elles n’ont jamais existé. Ils disent qu’il fa
; les caractères phéniciens que l’on trouvait sur ces colonnes firent
croire
qu’Hercule lui-même les avait fait élever. Les an
firent croire qu’Hercule lui-même les avait fait élever. Les anciens
croyaient
à ces deux colonnes le pouvoir d’arrêter l’impétu
par la suite, le rendirent extrêmement célèbre. La ville de Cadix se
croyait
à l’abri de tous les dangers, parce qu’elle était
rreur panique dispersa ses troupes, et fit éloigner ses vaisseaux. On
croit
généralement que l’expédition d’Afrique fut le de
du torrent ; Hercule y consentit. Nessus, parvenu à l’autre bord, se
crut
à l’abri de la colère d’Hercule ; il insulta Déja
rer qu’après le troisième fruit. Ils s’éloignèrent en effet, mais ils
crurent
avoir obéi à l’oracle en revenant trois ans après
t même regardée comme la plus exacte de toutes : ce motif nous a fait
croire
qu’il était utile de la rappeler. Voyage des A
m. D’autres l’attribuent au mot grec argos, vite, léger. Quelques-uns
croient
qu’il fut construit à Argos ; d’autres enfin le f
ontraire les ayant forcés de rentrer pendant la nuit, Cysicus qui les
croyait
déjà fort éloignés, les prit pour les Pélasges, s
sur l’idée qu’il fallait attacher à la Toison-d’Or. Quelques auteurs
croient
que, dans la Colchide, plusieurs ruisseaux roulai
econnaître ses services, lui fit présent d’un trépied d’or, auquel on
croyait
la vertu de rendre des oracles. Suites des ave
e Léda. Quoi qu’il en soit, l’héroïsme de Castor et de Pollux les fit
croire
enfans de Jupiter, et leur mérita le nom de Diosc
it plus célèbre et plus sacré que ces mystères de Samothrace. On leur
croyait
surtout le pouvoir de rendre les dieux propices p
r, après leur mort, parmi les divinités favorables aux nautoniers. On
crut
leur devoir cet honneur, parce que, pendant la te
ux ; et les Romains, imitateurs des Grecs, les honorèrent de même. On
croyait
qu’ils apparaissaient souvent aux hommes ; on les
, dont ils racontent les aventures particulières ; ce qui les porte à
croire
qu’il en a été de ce personnage célèbre comme d’H
éponses, et prétendait avoir la puissance d’évoquer les morts. Orphée
crut
effectivement revoir Eurydice, et l’avoir retrouv
eux ; et l’imagination, entraînée par une douce et tendre mélancolie,
croyait
, au moindre bruit, entendre encore les soupirs d’
sur ce rivage. Polydora ne put survivre à la perte de son époux. Nous
croyons
devoir aussi conserver la fable d’ Ovide sur Atal
isans. Nous nous bornerons donc à l’abrégé de cette histoire, et nous
croyons
plaire à nos lecteurs en préférant à tout ce que
œuvre que les anciens nous ont laissés sur ce sujet intéressant. Nous
croyons
devoir prendre le même parti pour le plus célèbre
rde sur ce point équivaut à une certitude. Il est très-raisonnable de
croire
que le tabernacle que ce législateur des Hébreux
cré, comme dans le temps du paganisme il l’était à tous les dieux. On
croit
le plus généralement qu’il fut bâti par les soins
aux frais d’Agrippa, gendre d’Auguste. Quelques auteurs cependant le
croient
plus ancien, et disent qu’Agrippa, après l’avoir
estions suffiront pour démontrer à nos lecteurs qu’un homme sage peut
croire
à la vérité de quelques oracles, sans être forcé
un navire doré ; ils ne tenaient aucune route certaine, et laissaient
croire
que le dieu les poussait. Une nombreuse troupe de
ens donnèrent le nom de Sibylles à un certain nombre de filles qu’ils
croyaient
avoir été douées du don de prédire l’avenir. Les
doutent s’il est hébreu, africain ou grec ; mais le plus grand nombre
croit
que ce mot dérive du grec, et signifie inspiré. T
lle fut la plus célèbre de toutes. Un savant de nos jours, M. Petit,
croit
qu’elle a seule existé. Il appuie son opinion en
oint eu lieu si les Sibylles avaient été de différens pays. M. Petit
croit
que cette fille mystérieuse a beaucoup voyagé, et
ongue vie que l’on attribuait aux Sibylles ; celle de Cumes, que l’on
croyait
inspirée par Apollon, rendait ses oracles du fond
de Tibur ou Tivoli, sur le Téveron, l’honorait comme une divinité. On
croyait
généralement que la nature des Sibylles tenait un
eu, c’est la croyance où l’on était qu’il excellait dans la magie. On
croyait
qu’il pouvait parcourir l’univers en un clin d’œi
igions imaginées par les hommes. Ces peuples dégénérés commencèrent à
croire
qu’un seul être ne pouvait veiller à toutes les p
seul être ne pouvait veiller à toutes les parties de l’univers ; ils
crurent
devoir appeler à son secours des esprits, des gén
voyer un certain nombre d’âmes ; ces âmes étaient le droit d’Odin. On
croyait
qu’il venait souvent dans la mêlée, enflammer la
d’Odin. Ce dieu passait aussi pour l’inventeur de tous les arts : on
crut
qu’il répondait au Mercure des Grecs et des Romai
les Celtes, les anciens Syriens, et les premiers habitans de la Grèce
croyaient
que le dieu céleste s’était uni avec la terre pou
férence. Les Danois honoraient particulièrement Odin ; les Norwégiens
croyaient
être sous l’immédiate protection de Thor ; et les
e. Nous les prendrons dans l’Edda, et dans le poëme nommé Volupsa. On
croit
que ce dernier fut composé par Sœmond , surnommé
cette doctrine un préjugé plus barbare encore et plus dangereux ; ils
croyaient
que le terme de la vie d’un homme pouvait être re
ue quelque guerrier célèbre ou quelque prince était près de périr, on
croyait
qu’Odin, apaisé par le sacrifice d’une autre vict
ceux des arts et de l’industrie. Dans tous les temps, les hommes ont
cru
que, pour mieux honorer la divinité, ils devaient
les mœurs des Romains et des Grecs encore païens. Les peuples du Nord
croyaient
que le nombre trois était chéri des dieux. Chaque
t pas toujours sur un sang vil ; plus la victime était chère, plus on
croyait
racheter la bienveillance divine. L’histoire du N
l était le plus célèbre par ses réponses comme par ses sacrifices. On
croyait
généralement que les devins et les devineresses a
nt, et qu’ils pouvaient consulter sous la forme de petites idoles. On
croyait
que d’autres évoquaient les mânes de leurs tombea
Britanniques furent habitées. L’étude de l’histoire naturelle porte à
croire
qu’elles faisaient autrefois partie du continent
ils avaient des notions sur l’existence d’un être suprême, puisqu’ils
croyaient
à l’immortalité de l’âme, aux peines et aux récom
offraient que les mêmes bonheurs que l’on avait toujours préférés. On
croyait
que les âmes commandaient aux vents, aux tempêtes
ons qui rendaient leur ministère si consolant et si nécessaire. On ne
croyait
point que la mort pût rompre les liens du sang et
ères ; le sifflement des vents et le bruit des torrens leur faisaient
croire
qu’ils entendaient la voix des morts ; et lorsque
doux et de rassurant. Au moment d’exécuter une grande entreprise, on
croyait
que les âmes des pères descendaient de leurs nuag
s présages lorsqu’elles ne se laissaient pas apercevoir. Chaque homme
croyait
avoir son ombre tutélaire qui le suivait sans ces
bardes morts chantaient pendant trois nuits autour de son fantôme. On
croyait
généralement que, dès qu’un guerrier cessait d’ex
toute la nature des ombres de ses ancêtres et de ses amis, dont on se
croyait
sans cesse environné. Malgré toute la mélancolie
es. « Pour concilier les deux auteurs, dit M. l’abbé Banier, on peut
croire
que les Gaulois, en passant en Angleterre, y port
mêmes honneurs à cet élément. Ces ressemblances suffisent pour faire
croire
que la religion des mages et celle des druides av
aussi le plus grand respect pour les lacs et les marais, parce qu’ils
croyaient
que la divinité se plaisait à les habiter : le pl
, sans éloges, sans les chansons composées en l’honneur des morts. On
croyait
que les guerriers se survivaient à eux-mêmes ; on
seignaient qu’un jour l’eau et le feu détruiraient toutes choses, ils
croyaient
à la métempsycose, qu’ils n’avaient pu apprendre
eux, la mort d’un grand personnage. Les druides se plaisait à laisser
croire
qu’ils pouvaient changer de forme à leur gré, et
te plante parasite naît sur quelques autres arbres ; mais les druides
croyaient
que Dieu avait principalement choisi le chêne pou
quels on mettait en action tout ce que l’héroïsme peut produire. Nous
croyons
donc pouvoir douter de la vérité de la maxime atr
rçaient le plus à la magie. Les peuples des Gaules et de l’Angleterre
croyaient
généralement qu’ils pouvaient exciter à leur gré
nt qu’elles auraient bien plus qu’eux le don de persuader et de faire
croire
à leurs prédictions. Ils leur renvoyèrent toutes
— Non ; mais, si je pouvais leur inspirer le désir de s’instruire, je
croirais
avoir rendu service… — A qui ? à la société ? Ell
Offenbach leur en apprendra mieux que vous le fort et le faible. Je
crois
, mon cher monsieur, que vous vous trompez de date
e… Est-ce que j’exagère ? — Non, je suis forcé d en convenir. — Et ne
croyez
-vous pas que ce sera un service à rendre à bon no
le discipline italienne contre la corruption asiatique ? Il faut bien
croire
que je me suis trompé, puisque le Destin m’a donn
, la ville latine, au milieu de mes vieux légionnaires, je pouvais me
croire
dans Rome. Pendant les longs siècles de barbarie
ient écrire dans la langue vulgaire, aux désinences près, vous auriez
cru
lire nos anciens, tant ils savaient calquer ingén
t le pur polythéisme des plus beaux temps de la Grèce et de Rome. Ils
croyaient
au Parnasse, les bonnes gens, comme à la montagne
. Votre Révolution vint me tirer brusquement de ma douce quiétude. Je
crus
d’abord au triomphe complet de mes chères doctrin
cruches ni leur tonneau, vos poëtes les leur ont cassés ; mais elles
croient
les avoir encore, et cela les console. » Plus loi
poser dans leurs codes comme une pratique religieuse, on est tenté de
croire
que l’homme a d’instinct l’amour de la crasse et
et sa conscience. Le Persan schismatique, comme le Turc orthodoxe, se
croirait
indigne de passer sur le pont Tchinavar, qui cond
, l’astre pâlit, il perd ses forces et sa chaleur ; la tiède Vénus le
croit
mort pour jamais, elle s’exile, elle fait place à
ieur des terres. Plusieurs généraux les avaient déjà châtiés ; on les
croyait
soumis, qu’ils sautaient dans la mer comme des po
ir passer un lauréat du concours de Poissy. Heureusement tout porte à
croire
que l’érudition de ces personnes recommandables p
s dont on fait tant de bruit chez les morts. Par Hercule ! je me suis
cru
dans Rome. Croyez-moi, cher Trébonius, ces gens-c
tant de bruit chez les morts. Par Hercule ! je me suis cru dans Rome.
Croyez
-moi, cher Trébonius, ces gens-ci ne sont pas des
’a lu un orateur français. Enfin, mon cher Trébonius, vous ne sauriez
croire
quels efforts font ces bonnes gens pour nous imit
ne prie pas en latin ? Allez dans nos cimetières chrétiens, vous vous
croirez
sur la voie Appienne. Vous verrez de beaux cénota
« Que vous semble de cette explication, mon cher Trébonius ? Je ne la
crois
pas neuve, car, si j’ai bonne mémoire, vous me fî
Centaures étaient des monstres moitié hommes, moitié chevaux. On les
croyait
originaires de Thessalie. Il y en avait deux espè
était grave. Car, d’un côté, des personnages pieux et orthodoxes, qui
croyaient
aux prodiges, comme Xénophon et Plutarque, n’en p
as honte de déclarer ouvertement, dans une lettre à un ami, qu’il n’y
croyait
pas. Voilà bien les poëtes ! Galien n’entendait
soporifiques. Entrée, elle trouve la maison pleine de deuil ; déjà on
croyait
l’enfant perdu sans ressource. « Elle salue la mè
ais que des anciens dignes de foi l’avaient entendu ; que Pline les a
crus
sur parole ; que Schiller, dans une de ses ballad
ts à Xerxès. Les en blâmera qui voudra, je n’ai pas ce courage, et je
crois
même que notre sévérité scrupuleuse, qui n’admet
is de donner la mienne dans une question aussi difficile, je penche à
croire
que l’Athénien, soit regret de sa belle patrie, s
, un Napoléon, disent qu’ils ont foi en leur étoile, la multitude les
croit
sur parole, parce qu’elle juge d’instinct que cel
s nés sous une bonne ou sous une mauvaise étoile, selon que nous nous
croyons
heureux ou malheureux, et de rendre grâce à notre
ifications de la fécondité de la nature. Le soir, les pâtres inquiets
croyaient
voir entre le feuillage briller leur prunelle fau
hoquer le public ; tout le monde s’en sert, tout le monde l’entend ou
croit
l’entendre, et, en fait de langage, c’est avoir t
ble. Sous le regard des dieux protecteurs, il oublie sa misère, il se
croit
presque libre. Le foyer, dans la famille, est don
renié le culte de Vesta, valons-nous moins que les anciens ? Je ne le
crois
pas : nous vivons autrement qu’eux, voilà tout. S
us de leurs contemporains, ils pouvaient raconter au retour ce qu’ils
croyaient
avoir vu, sans crainte d’être démentis. Les premi
dre à chanter juste ou à avoir la jambe bien faite. L’âne de la fable
croyait
avoir appris du chien l’art de plaire : vous save
d’autant plus facile aux navigateurs de mentir qu’on aimait mieux les
croire
que d’y aller voir. Aussi n’est-il pas de parages
vaient qu’un œil au milieu du front et qui mangeaient des hommes tout
crus
. Dans une île régnait une déesse qui tuait les na
adoration des ancêtres. Les Latins, à qui nous avons emprunté ce mot,
croyaient
qu’à leur existence étaient attachés des êtres su
rée, ils voient passer dans leur solitude leurs images rayonnantes et
croient
sentir sur leur front le souffle vivifiant de leu
tort : car non-seulement toute l’antiquité, mais tout le moyen âge, a
cru
aux fantômes. La Bible nous montre l’ombre de Sam
re de Samuel évoquée par une pythonisse, et l’Église ne défend pas de
croire
aux apparitions. D’ailleurs, quand les païens aur
bre de Ninus, écrit-il à un ami, d’avoir l’air plus ombre que moi. Je
crois
que la peur m’a encore maigri. » Pour se rassure
, il invoque toutes les autorités : celle des Grecs, qui ont toujours
cru
à ces prodiges ; celles des Pères de l’Église eux
mps de se familiariser. Oracles. Il semble que les hommes ne se
croient
pas assez malheureux, puisqu’ils prennent plaisir
er tout à eux et de se faire le centre de l’univers. Ainsi ton âne ne
croit
pas son existence d’âne menacée par une éclipse,
és, tant pis pour les Grecs ! Pourquoi étaient-ils assez simples pour
croire
aux oracles ? Pourquoi élevaient-ils partout des
us qui êtes aujourd’hui si fiers de votre sagesse, pourquoi avez-vous
cru
longtemps à la sorcellerie, aux revenants, aux év
sprits des images sensibles. Ils se payent de mots et de légendes, et
croient
un mystère expliqué par un autre mystère. Un ora
l’orgueil du lion. Mais ceux-là sont des médisants qu’il ne faut pas
croire
. L’homme formé, il fallait bien pourvoir à sa con
n génie une confiance qui alla une fois jusqu’à la présomption, Il se
crut
supérieur à Jupiter et voulut d’éprouver. Un jour
Il échappait, par une suite de métamorphoses soudaines, aux mains qui
croyaient
le saisir : « tour à tour lion à la forte crinièr
pillon, la poudre brillante de ses ailes tombe sous vos doigts ; vous
croyez
tenir une fleur ailée, vous ne tenez plus qu’une
en lui présentant une grosse pierre emmaillotée que l’ogre avala, on
croyait
lire un conte de Perrault, et on fermait le livre
u’ils sont eux-mêmes, d’où ils viennent et où ils retourneront. Et ne
croyez
pas qu’ils exposent leurs découvertes dans la lan
reront la guerre en temps de paix, et la paix en temps de guerre ; se
croiront
le peuple le plus spirituel du monde, et le procl
. Ils disent qu’à chaque cruche versée dans le tonneau sans fond nous
croyons
que l’eau monte, non parce que nous la voyons mon
surviennent, le rocher retombe, et ils ne s’en aperçoivent pas : ils
croient
accélérer sa marche, et ne font que ralentir sa c
et le travail n’avance pas ; nous ne voyons pas monter l’édifice. » —
Croyez
-vous que les braves petites ouvrières perdraient
Ceux qui s’enfuyaient, ou qui échappaient à de grands périls, on les
croyait
métamorphosés en oiseaux ; ceux qui se retiraient
. Quand ils eurent commencé à se nourrir de la chair des animaux, ils
crurent
faire plus d’honneur aux dieux en leur offrant de
ires des anciens leur parurent sans doute altérés de sang, puisqu’ils
crurent
se les rendre favorables par des sacrifices humai
en l’honneur de Pallas, fit égorger huit prisonniers de guerre : Enée
croyait
apaiser les mânes de Pallas, qui avait été tué da
aturne, et non pas celui de sa femme ; c’est pourquoi quelques savans
croient
qu’il y a eu deux Vesta : l’une, femme du Ciel et
cile, Interrogeant le Nil d’un regard curieux, A deux genoux,
crut
voir les dieux Nager incognito sous son onde tran
on lui donnait plus ordinairement était celui d’Olympien, parce qu’on
croyait
qu’il se plaisait beaucoup sur le mont Olympe. En
enger du larcin, il s’aperçut qu’on le lui avait aussi dérobé. Qui le
croirait
? dépouillé de ses honneurs, de sa puissance, le
ez les mêmes, Isis, le symbole de la lune. Plusieurs savans, ont même
cru
, que, sous le nom du soleil étaient renfermés tou
sont les dieux Tyntarides, Castor et Pollux. L’Ecrevisse, les poètes
croient
que c’est celle qui piqua Hercule lorsqu’il tua l
qu’il tua l’hydre. Le Lion, celui de la forêt de Némée. La Vierge, on
croit
que c’est Astrée. La Balance, Thémis. Le Scorpion
art dangereux pour se venger de ses ennemis en les faisant périr. On
croit
que Circé épousa un roi des Sarmates, et qu’elle
e. Midas Midas, était un roi de Phrygie, sot et vain, qui se
croyait
capable de décider les questions les plus diffici
séjour. M. Petit, savant médecin, a fait un traité de Sibylla, où il
croit
qu’il n’y a jamais eu qu’une Sybille, dont on a p
du colosse ; mais les Troyens, qui couraient à leur perte, loin de le
croire
, traitèrent son action d’impiété. Bientôt ils n’e
temples qui furent érigés en l’honneur de Diane était à Ephèse. On a
cru
long-temps que les Amazones avaient fait bâtir ce
ient de Mercatura, négoce ; parce que ce dieu y présidait. Si l’on en
croit
Cicéron, il y a eu cinq Mercure ; l’un sans doute
vec sa verge d’or, n’eût rompu les liens qui attachaient à la vie. On
croyait
de plus que c’était par le moyen de cette baguett
e, menait paître les bœufs du bon roi Admète. Mercure, fin et subtil,
crut
pouvoir s’approprier un troupeau à peu de frais.
chargèrent du soin de l’élever : Éducation de Vénus. Si l’on en
croit
certain poète, l’éducation de Vénus ne ressemble
tait reçu au bas du précipice, sur des barques rangées en cercles. On
croyait
que ceux qui faisaient ce saut sans se noyer, éta
rir leurs services sans intérêt. Sans intérêt ! on le dit ; je le
crois
. Un simple citoyen doit respecter l’histoire, Mai
itôt que j’aurai le malheur d’être roi, Je fais serment de n’y pas
croire
. Demoustier. Le roi des mers, devenu confiant p
tout l’éclat de sa cour. L’émissaire s’en aperçut ; mais feignant de
croire
la nymphe au-dessus de son sexe par la solidité d
, et nullement à la figure grotesque de son futur époux, dont, à l’en
croire
, la mise négligée cachait de beaux traits et un a
ordes pendant son sommeil, sans cela il s’échappait au moment où l’on
croyait
le tenir : tigre, lion, serpent, il prenait toute
l’Elide, Exigeait les honneurs dus au maître des cieux : Insensé, qui
croyait
, faux émule des dieux, Que, sur un pont d’airain,
te d’une masse de rocher qui paraît suspendue sur sa tête. Si l’on en
croit
Virgile, Phlégyas est le prédicateur de ces trist
’Orphée aux enfers ; voici comme il s’exprime : Un mortel, qui l’eut
cru
? jusqu’au sombre rivage, Par ses divins accens,
ivaient toujours, il les faisait danser au son de la flûte dont on le
croyait
l’inventeur. Les Lupercales. Les peuples d’A
Lupercal, qui était une grotte sur le mont Palatin, dans laquelle on
croyait
à Rome, qu’une louve avait allaité Rémus et Romul
par le dieu Pan, s’empara de leurs âmes ; ils prirent l’alarme, et se
crurent
poursuivis par les Grecs dans leur délire, ils se
du mont Lycée, Pan la rencontra, et tâcha, mais en vain, de lui faire
croire
qu’il l’aimait ; la nymphe alarmée des poursuites
chées de son malheur, tuèrent toutes les abeilles d’Aristée, qu’elles
croyaient
cause de la mort de cette princesse. Aussitôt le
ien, sans doute parce que les chiens gardent les maisons, et que l’on
croyait
que les Lares en écartaient tout ce qui pouvait n
ienne d’enterrer les morts dans les maisons a donné lieu au peuple de
croire
que les âmes y demeuraient aussi comme des génies
nom est commun aux démons, aux Lares, aux Lémures et aux Pénates. On
croyait
que chaque homme avait deux génies, l’un heureux
ls nommèrent gnomes, sylphes, etc. Rien n’était plus ordinaire que de
croire
que le génie de chaque lieu se présentait sous la
’aveugle, fut une divinité puissante et révérée chez les anciens, qui
croyaient
que les événemens de la vie des hommes étaient so
de Céphée, roi d’Ethiopie, et de la reine Cassiopée, qui avait osé se
croire
plus belle que Junon. Neptune, pour venger la dée
oyaume de Fez. Ils prenaient leur nom de la situation du lieu où l’on
croyait
que le soleil allait se coucher tous les soirs. A
inscription : Non plus ultrà, c’est-à-dire, rien au-delà. Les anciens
croyaient
en effet que l’extrémité de l’Espagne servait de
dres qu’il avait reçus ; le bon roi, en apercevait les voiles noires,
crut
que son fils était mort, et il se précipita dans
t singulier, dans lequel ils s’entre-tuèrent l’un l’autre. Si l’on en
croit
la fable, ils avaient une telle haine l’un pour l
Hélène, femme de Ménélas. Priam approuva la conduite de son fils : il
croyait
que par un échange, il serait facile de se faire
pan de muraille, et la machine entra. Pendant que les Troyens qui se
croyaient
délivrés de leurs ennemis, étaient ensevelis dans
front de ceux qu’un vain luxe environne, Que la Fortune vend ce qu’on
croit
qu’elle donne. Approche-t-il du but, quitte-t-il
rand dieu, dit Philémon, excusez notre faute : Quels humains auraient
cru
recevoir un tel hôte ? Ces mets, nous l’avouons,
’une main immortelle. Nos deux époux, surpris, étonnés, confondus, Se
crurent
par miracle, en l’Olympe rendus ; Vous comblez, d
’ordre d’Apollon, Transportent dans Anet tout le sacré vallon : Je le
crois
. Puissions-nous chanter sous les ombrages Des arb
faisant. Vint ensuite le culte de la nature, dans laquelle les hommes
crurent
trouver l’image de Dieu. Alors on adora les chose
in était né du Chaos et de la Nuit, deux anciennes divinités que l’on
croyait
antérieures à toutes les autres. 6. Le Chaos.
re des six jours, cette matière créée d’abord confuse et informe, ils
croyaient
que les premiers éléments et les atomes, après av
u du front. Questionnaire. 5. Quel était le Dieu que les païens
croyaient
supérieur à tous les autres ? Comment est-il repr
-seulement à Jupiter, mais à Junon, à Neptune et à Pluton. Si l’on en
croit
Diodore, Cybèle était une fille de Ménos, roi de
ité. Auprès d’elle est un tambour, emblème des vents, que les anciens
croyaient
renfermés dans son sein. Elle porte sur la tête u
emple un feu perpétuel. Lorsqu’il venait à s’éteindre, les Romains se
croyaient
menacés de quelque grand malheur. On le rallumait
torieux, Et tout cède à l’effort de sa main froudoyante. Les anciens
croyaient
que les éruptions du volcan et les tremblements d
nfuirent à travers les airs. Pyrénée monta sur le haut d’une tour, et
crut
pouvoir imiter leur vol ; brisé dans sa chute, il
uerre des Géants. (Voir le n° 18.) 11° Le Verseau (janvier). On
croit
que c’est Ganymède, l’échanson de Jupiter. 12°
dès lors appelée Aréopage, ou colline de Mars ; elle fut, à ce qu’on
croyait
, l’origine du célèbre tribunal de ce nom. 50.
ué pour veiller à la garde d’un bouclier sacré nommé ancile, que l’on
croyait
tombé du ciel. Comme les destinées de l’empire ét
énus-Uranie, ou Céleste, et la représentaient tout armée. Les Romains
croyaient
descendre de cette déesse par Enée, fils d’Anchis
s États, afin qu’ils ne fussent pas tentés d’enfreindre une loi qu’il
croyait
salutaire. On connaît enfin l’histoire des filles
frayés du détail immense où il fallait que la Divinité descendît, ont
cru
devoir la soulager, en donnant à chaque dieu en p
er. Chez les Grecs, Pan était simplement le dieu des campagnes. On le
croyait
fils de Mercure et de Pénélope, qui en devint mèr
rigine à l’usage fort ancien d’inhumer les morts dans les maisons. On
croyait
que les âmes continuaient, sous le nom de Mânes,
u des mers et quelquefois des guirlandes de fleurs. Il est naturel de
croire
que toutes ces Nymphes, Néréides et Océanides, ne
e tromper en lui présentant une pierre à la place de Jupiter, lui fit
croire
, cette fois, qu’elle avait mis au jour un poulain
la pêche, qui d’abord se fit au rivage et plus tard en pleine mer. On
croit
aussi que Glaucus fut un habile nageur, qui en pl
uton. 82. Description des Enfers. Tous les peuples païens ont
cru
que l’âme est immortelle et qu’elle reçoit dans u
ps-Élysées, séjour de délices réservé aux hommes vertueux. Si l’on en
croit
le poëte Hésiode, dont la description est obscure
i triste, qu’aucune déesse ne voulait s’unir à lui pour l’habiter. Il
crut
devoir recourir à la force, et il enleva Proserpi
rès (n° 53). Pluton était généralement haï et redouté, parce qu’on le
croyait
inflexible. Il n’avait en Grèce ni temples ni aut
; il veut manger, les branches de l’arbre se retirent lorsque sa main
croit
les saisir. Les poëtes ont fait du supplice de Ta
issement de cœur où est une mère qui voit son cher fils qu’elle avait
cru
mort ; et cette joie, qui échappe bientôt à la mè
raison de leur séjour dans le Tartare, et le châtiment auquel on les
croyait
condamnés. 92. Donnez une idée des Champs Elysées
n des livres saints assez de traits de ressemblance pour permettre de
croire
que la fable de l’un est l’histoire préfigurée et
épaules. Thésée encore enfant, s’arma d’une hache et frappa ce qu’il
croyait
être un lion véritable. En grandissant, il se sen
per à la mort qui les menaçait, s’élèvent dans les airs, s’il en faut
croire
les poëtes, sur un bélier à toison d’or59, que le
rès tant de forfaits ? Sachant ce que je puis, ayant vu ce que j’ose,
Croit
-il que m’offenser ce soit si peu de chose ? Quoi
ors, pour prévenir ce double malheur, il s’éloigne de Corinthe, qu’il
croyait
être sa patrie, et se dirige vers la Phocide. Dan
gueil avec le sang. Inconnu dans le sein d’une terre étrangère, Je me
croyais
encore au trône de mon père ; Et tous ceux qu’à m
mirable peinture de la prise et de la destruction de Troie. Mais nous
croyons
être agréable à nos jeunes lecteurs, en mettant s
ns l’objet des plus grands honneurs et du culte le plus solennel. Ils
croyaient
qu’après la mort d’Osiris l’âme de ce prince étai
vec pompe. Chacun s’empressait de le recevoir dans sa maison, et l’on
croyait
que son haleine communiquait aux enfants si le po
ce bœuf impur qu’elle daigne honorer, C’est un dieu cependant qu’elle
croit
adorer, L’esprit humain s’égare : et follement cr
ors les cérémonies religieuses qu’observent les brahmines. Les Indous
croient
que, lorsque Vichnou s’incarnera pour la dixième
et leurs propres erreurs. Il paraît que dans le principe les Gaulois
croyaient
à l’existence d’un Dieu suprême, à l’immortalité
l’effusion du sang. Venaient ensuite quelques autres dieux, que l’on
croit
avoir été introduits en Gaule par les Romains, c’
opes ; mais, selon d’autres mythologues, ils étaient plus de cent. On
croyait
qu’ils n’avaient qu’un œil, parce qu’ils portaien
c’est une allégorie ingénieuse qui ne peut trouver place ici. 30. On
croit
que la fameuse statue de la Vénus de Médicis est
e. On ne s’accorde pas sur l’origine de cette expression. Les anciens
croyaient
que c’était le dieu Pan qui inspirait aux hommes
troit de Gibraltar), dans les délicieuses campagnes de la Bétique. On
croit
que l’idée de ce séjour n’est autre chose que la
re par là les trésors d’Athamas que Phryxus aurait enlevés ; d’autres
croient
qu’en Colchide les ruisseaux roulaient avec leur
it poétiques, soit allégoriques, sont presque innombrables. J’ai donc
cru
devoir me restreindre à un choix. Ce choix est sa
’être comparés. Ton livre offre des mœurs les images correctes : J’ai
cru
voir sept pinceaux, quand tes sept dialectes, Don
n asile sous l’onde. Les mortels éperdus, dans ce désordre affreux Se
croyaient
menacés de la chute du monde : Et mille cris perç
vre son sanctuaire, Que de fois en entrant dans ce séjour sacré, J’ai
cru
revoir ce Dieu par l’Égypte adoré, Ce Pan, qui d’
n secret fut blessé : A ravaler notre faiblesse, Il
crut
l’Olympe intéressé. Hélas ! ce jaloux ca
de réparer des maux, Le tout à sa manière. Je
crois
qu’entr’autres ce fait-ci Doit être cité
ort. Dans la course des vents quelquefois entraînée, Elle s’élance et
croit
planer, environnée De ces Sylphes brillans, de ce
houlette, Le poëte son luth, le peintre sa palette ; L’ami des champs
croit
voir les prés et les vallons, Et d’un pied fantas
uil de l’Univers, Rappellent à mon cœur des pertes plus sensibles. Je
crois
me retrouver à ces momens horribles, Où j’ai vu m
omme faible et percé jusqu’au fond de ses os, Près d’un foyer ardent,
croit
tromper la froidure, Hélas ! rien n’adoucit les t
rme et soutient ses pas Sur des rouleaux que son poids précipite ; Il
croit
courir, il s’efforce, il s’agite ; Il obéit… et n
flétrir Le gazon qui couvre ta cendre, Et, fidelle à ton souvenir, Je
crois
t’embrasser et t’entendre. Jamais je ne vois un b
la gloire, Détruisant la plus douce erreur. Ne me permettent plus de
croire
A la chimère du bonheur, Le tombeau, que j’aime e
isputa l’honneur de donner un nom à la nouvelle ville de Cécrops ; il
crut
l’emporter sur elle, en faisant sortir de la terr
le agrandi les contours, Sa forme circulaire est la même toujours. On
croit
que cette forme est un mystique emblême, Et la Te
ner ? Hélas ! lorsque ta main volage Nous met sur un trône de fleurs,
Croit
-on qu’au-delà du bel âge, Tu nous coûteras tant d
De sa robe émaillée il déroule les fleurs, Et se
croit
sûr de la victoire. Des oiseaux l’entouraient, (i
s jaillir l’Hippocrène Sous le pied du Cheval ailé. Un Dieu (car j’en
crois
cette flamme Que son aspect verse en mon ame) Dic
sommeil est troublé de fantômes funèbres : D’un hôte, d’un ami, l’un
croit
percer le flanc, L’autre égorger son frère, et ro
i trop fortement uni, Ne m’a point écoutée, et je l’en ai puni : J’ai
cru
, par ce poison, en faire autant du reste, Mais sa
s, De vos victoires, de vos lois, Et de tant de belles journées, Vous
crurent
le plus vieux des rois. Alors des rives du Cocyte
ainsi de notre attente ! Ainsi, l’homme par vous abusé dans ses vœux,
Croit
lire vos bienfaits sur l’arène mouvante
aille de Marengo. Tu meurs, brave Desaix ! tu meurs ! ah ! peux-tu
croire
Que l’éclat de ton nom s’éteigne avec tes jours !
d’Italie Les chantaient tous deux à la fois : Le seul Ovide était, je
crois
, A la toilette de Julie. A vingt ans, l’Amour
Immobile d’étonnement La Terre garde le silence : On
croit
voir une nue immense Qui porte dans son sein un f
in sacrilége. Pammène, aux derniers cris, aux sanglots de ton roi, Je
crois
te voir encore accourir avec moi : J’arrive. Quel
orrible en ces lieux m’a frappée… Qu’Égiste est aveuglé, puisqu’il se
croit
heureux ! Tranquille, il me conduit à ces funèbre
s, glacés d’effroi, Peut-être ces Troyens fuiront tous devant moi, Et
croiront
voir Achille entrant dans la carrière. Fils des D
tté ces lieux, Hector s’avance à lui, la fureur dans les yeux. Hector
croit
voir Achille ; et d’un ton de menace : « Viens, d
propre crime. L’époux abusé pria Neptune de le venger d’un fils qu’il
croyait
coupable, il ne fut que trop exaucé. Hippolyte se
vantage. Mais, si quelque vertu m’est tombée en partage, Seigneur, je
crois
sur-tout avoir fait éclater La haine des forfaits
ient fini leurs jours. As-tu donc oublié comme après le naufrage Nous
crûmes
sur ces bords tomber dans l’esclavage ? Les Tyrie
de sa sœur Hippolyte. Bientôt l’infortunée expire dans ses bras. Elle
croit
voir son ombre attachée à ses pas ; Des songes pl
par elle réservé. Aussi prompt que l’éclair, sous la vive Amazone, Il
croit
porter Vénus, la Victoire ou Bellone. Les femmes
erait tes pleurs ? Chère épouse, sans moi si la mer t’eût ravie, Ah !
crois
que ton époux dans la mer t’eût suivie ! Fils du
x Ramassent des cailloux qu’ils jettent derrière eux. Soudain, qui le
croirait
, si le temps d’âge en âge N’en avait jusqu’à nous
Tout a changé, tout est perdu. Combien de gens que l’on
croit
sages, Sont le portrait du fou que j’ai ci
Laocoon, Fils de Priam et frère d’Anchise. Il ne voulait point
croire
à la retraite de l’Armée Grecque, et regardait so
ance. D’Atride cependant la flotte a disparu. Ilion, à la paix tu
crus
ton sol rendu ! Vers des bords étrangers ces voil
eil avec le sang : Inconnu, dans le sein d’une terre étrangère, Je me
croyais
encor au trône de mon père, Et toux ceux qu’à mes
nus aux Enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible ? Je
crois
voir de ta main tomber l’urne terrible ? Je crois
tacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l’urne terrible ? Je
crois
te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même
a sur un bûcher. Didon à Énée avant sa fuite. Perfide ! as- tu bien
cru
pouvoir tromper mes yeux ? As-tu cru me cacher to
sa fuite. Perfide ! as- tu bien cru pouvoir tromper mes yeux ? As-tu
cru
me cacher ton départ odieux ? Quoi ! notre amour
vais quelquefois Dire : voilà son air, sa démarche, sa voix, Je ne me
croirais
pas entièrement trahie, Et ton image au moins con
rans sur les flots D’Ulysse fugitif semblaient suivre la trace : Elle
croit
voir encor son volage héros ; Et cette illusion s
cesse à leur triste mémoire. Ah ! s’écria Cadmus, n’ai-je pas lieu de
croire
Que le courroux d’un Dieu dès long-temps offensé
s’émousse. Au moment où la lance a porté sur son flanc, Achille avait
cru
voir quelques traces de sang : Mais il se flatte
che le répète. Trop douce illusion ! signes trompeurs, hélas ! Que je
crois
expliquer, et que je n’entends pas. Mais je n’en
sordre, et nue et fugitive. Alphée impatient me presse, et son ardeur
Croit
que ma nudité lui livre ma pudeur. Ainsi la grive
et des cris lamentables, dans la Phénicie et dans la Grèce. Vénus
croit
voir son fils, il en a tous les charmes ! Jamais
front de ceux qu’un vain luxe environne, Que la fortune vend ce qu’on
croit
qu’elle donne. Approche-t-il du but, quitte-t-il
d’une main immortelle. Nos deux époux surpris, étonnés, confondus, Se
crurent
par miracle en l’Olympe rendus. Vous comblez, dir
lageolets. Leur chef lui-même à le chanter s’occupe ; Mais, qui l’eût
cru
? Phébus en est la dupe. Le grand Phébus, le divi
s grossiers pipeaux Du Dieu lascif qui préside aux troupeaux. Il s’en
croit
digne ; et d’un ton de coq-dinde, Ça, commençons,
le ambition, Autant que les enfans, que ta couche a vu naître ; Tu te
crus
trop heureuse, et tu cessas de l’être. L’inte
dres et sept brus, promis à leur amour. Et n’ai-je pas le droit de me
croire
offensée Des honneurs que l’on rend à la fille de
plier ses fleurs. Mais, cette flatteuse amorce D’un hommage qu’on
croit
dû, Souvent prête même force Au vice qu’à la vert
gueilleuses, Formaient jadis des mers les écueils dangereux ! Si j’en
crois
de Buffon la science profonde, Je vois bondir la
hâteau Où soupirait l’amant de Laure. Par un heureux enchantement, On
croit
encore voir son ombre, Chercher sur cette rive so
l’Elide, Exigeait les honneurs dûs au maître des Cieux ; Insensé qui
croyait
, faux émule des Dieux, Que sur un pont d’airain,
s, Ah ! j’envie un sort aussi doux… Déjà dans ces plaines riantes, Je
crois
errer auprès de vous. Daignez recevoir mes hommag
adressent leurs soupirs ? Si par l’ambition de la Terre bannie Tu
crois
devoir ta haine à tes profanateurs, Que t’a fait
quoi donc, insensé, querellais-je les Dieux ? Quelle erreur ! J’avais
cru
que leur pouvoir suprême. L’avait exi
e et le fatal chemin ; Et l’œil fixé sans cesse en un vague lointain,
Croit
, poursuivant dans l’air de bizarres images, L’ent
aux feux mourans du jour, Le voyageur sensible et qui connut l’amour,
Croit
voir, en approchant du coteau romantique, S’éleve
guerre, Cacher dans la poussière Le trône où leur orgueil
crut
s’approcher des Dieux. La Nécessité c
es, et les égorge avec une joie féroce. Aussi aveugle que barbare, il
croit
ou feint de croire honorer le Ciel en ensanglanta
avec une joie féroce. Aussi aveugle que barbare, il croit ou feint de
croire
honorer le Ciel en ensanglantant la Terre, et ché
i te connais, dont l’ame est immortelle, Sur ce globe au hasard tu te
croirais
jeté ? Toi seul, indépendant de la chaîne éternel
is d’alentour, Ces bois qui répondaient à ses doux chants d’amour, Il
croit
les voir encor, et son ame attendrie, Du moins po
endre Des pleurs indignes de mon sort. Laissez un deuil pusillanime :
Croyez
-en le Dieu qui m’anime, Je ne mourrai point tout
it poétiques, soit allégoriques, sont presque innombrables. J’ai donc
cru
devoir me restreindre à un choix. Ce choix est sa
’être comparés. Ton livre offre des mœurs les images correctes : J’ai
cru
voir sept pinceaux, quand tes sept dialectes, Don
vre son sanctuaire, Que de fois en entrant dans ce séjour sacré, J’ai
cru
revoir ce Dieu par l’Egypte adoré, Ce Pan, qui d’
de fleurs33. A un jeune Poète, Sur le danger des Passions.
Crois
-moi : la Volupté, dangereuse Syrène, Nuit plus qu
ngère, Le Dieu de la Santé, dit-on, Naquit du Dieu de la Lumière ; On
croiroit
que, fils d’Apollon, Aux enfans du Sacré Vallon,
de réparer des maux, Le tout à sa manière. Je
crois
qu’entr’autres ce fait-ci Doit être c
ort. Dans la course des vents quelquefois entraînée, Elle s’élance et
croit
planer, environnée De ces Sylphes brillans, de ce
houlette, Le Poëte son luth, le Peintre sa palette ; L’ami des champs
croit
voir les prés et les vallons, Et d’un pied fantas
omme foible et percé jusqu’au fond de ses os, Près d’un foyer ardent,
croit
tromper la froidure, Hélas ! rien n’adoucit les t
flétrir Le gazon qui couvre ta cendre, Et, fidelle à ton souvenir, Je
crois
t’embrasser et t’entendre. Jamais je ne vois un b
la gloire, Détruisant la plus douce erreur. Ne me permettent plus de
croire
A la chimère du bonheur, Le tombeau, que j’aime e
isputa l’honneur de donner un nom à la nouvelle ville de Cécrops ; il
crut
l’emporter sur elle, en faisant sortir de la terr
ner ? Hélas ! lorsque ta main volage Nous met sur un trône de fleurs,
Croit
-on qu’au delà du bel âge, Tu nous coûteras tant d
De sa robe émaillée il déroule les fleurs, Et se
croit
sûr de la victoire. Des oiseaux l’entouroient, (i
is jaillir l’Hypocrène Sous le pied du Cheval ailé. Un Dieu (car j’en
crois
cette flamme Que son aspect verse en mon ame) Dic
i trop fortement uni, Ne m’a point écoutée, et je l’en ai puni : J’ai
cru
, par ce poison, en faire autant du reste, Mais sa
s, De vos victoires, de vos lois, Et de tant de belles journées, Vous
crurent
le plus vieux des Rois. Alors des rives du Cocyte
ainsi de notre attente ! Ainsi, l’homme par vous abusé dans ses vœux,
Croit
lire vos bienfaits sur l’arène mouvante
d’Italie Les chantoient tous deux à la fois : Le seul Ovide étoit, je
crois
, A la toilette de Julie. A vingt ans, l’Amou
obile d’étonnement La Terre garde le silence : On
croit
voir une nue immense Qui porte dans son sein un f
in sacrilège. Pammène, aux derniers cris, aux sanglots de ton Roi, Je
crois
te voir encore accourir avec moi : J’arrive. Quel
orrible en ces lieux m’a frappée… Qu’Egiste est aveuglé, puisqu’il se
croit
heureux ! Tranquille, il me conduit à ces funèbre
s, glacés d’effroi, Peut-être ces Troyens fuiront tous devant moi, Et
croiront
voir Achille entrant dans la carrière. Fils des D
tté ces lieux, Hector s’avance à lui, la fureur dans les yeux. Hector
croit
voir Achille ; et d’un ton de menace : « Viens, d
vantage. Mais, si quelque vertu m’est tombée en partage, Seigneur, je
crois
sur-tout avoir fait éclater La haine des forfaits
ient fini leurs jours. As-tu donc oublié comme après le naufrage Nous
crûmes
sur ces bords tomber dans l’esclavage ? Les Tyrie
de sa sœur Hippolyte. Bientôt l’infortunée expire dans ses bras. Elle
croit
voir son ombre attachée à ses pas ; Des songes pl
par elle réservé. Aussi prompt que l’éclair, sous la vive Amazone, Il
croit
porter Vénus, la Victoire ou Bellone. Les femmes
eroit tes pleurs ? Chère épouse, sans moi si la mer t’eût ravie, Ah !
crois
que ton époux dans la mer t’eût suivie. O savant
x Ramassent des cailloux qu’ils jettent derrière eux. Soudain, qui le
croiroit
, si le temps, d’âge en âge N’en avoit jusqu’à nou
Tout a changé, tout est perdu. Combien de gens que l’on
croit
Sages, Sont le portrait du fou que j’ai cité ! L’
Laocoon, Fils de Priam et Frère d’Anchise. Il ne vouloit point
croire
à la retraite de l’Armée Grecque, et regardoit so
nce. D’Atride cependant la flotte a disparu. Ilion, à la paix tu
crus
ton sol rendu ! Vers des bords étrangers ces voil
nus aux Enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible ? Je
crois
voir de ta main tomber l’urne terrible ? Je crois
tacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l’urne terrible ? Je
crois
te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même
rans sur les flots D’Ulysse fugitif sembloient suivre la trace : Elle
croit
voir encor son volage héros ; Et cette illusion s
cesse à leur triste mémoire. Ah ! s’écria Cadmus, n’ai-je pas lieu de
croire
Que le courroux d’un Dieu dès long-temps offensé
langue plus aiguë Se fend, se rétrécit, et sa plainte est perdue. Il
croit
gémir : sa voix n’est plus qu’un sifflement. Herm
he le répette. Trop douce illusion ! signes trompeurs, hélas ! Que je
crois
expliquer, et que je n’entends pas. Mais je n’en
phée accourt, arrive : Ma nudité le flatte, et déjà dans son cœur, Il
croit
saisir sa proie, et s’estime vainqueur. Telle éch
t des cris lamentables, dans la Phénicie et dans la Grèce. Vénus
croit
voir son fils, il en a tous les charmes ! Jamais
front de ceux qu’un vain luxe environne, Que la fortune vend ce qu’on
croit
qu’elle donne. Approche-t-il du but, quitte-t-il
d’une main immortelle. Nos deux époux surpris, étonnés, confondus, Se
crurent
par miracle en l’Olympe rendus. Vous comblez, dir
lageolets. Leur chef lui-même à le chanter s’occupe ; Mais, qui l’eût
cru
? Phébus eu est la dupe. Le grand Phébus, le div
s grossiers pipeaux Du Dieu lascif qui préside aux troupeaux. Il s’en
croit
digne ; et d’un ton de coq-dinde, Ça, commençons,
donne pas ; Il est temps que tu te réveilles ; Tu
crois
avoir les trésors de Midas ; Eh, mon ami
s, à mes yeux, vont renaître à leur tour. Et, n’ai-je pas sujet de me
croire
offensée Des honneurs que l’on rend à la fille de
ras, libres encor, se tendent avec force ; Sa main, qui sur son front
croit
saisir ses cheveux, Saisit le verd naissant qui l
r. Je meurs… ma voix s’éteint… et ma langue glacée, Sous l’écorce qui
croit
se sent déjà pressée ; Elle monte, se glisse, et
lier ses fleurs. Mais, cette flatteuse amorce D’un hommage qu’on
croit
dû, Souvent prête même force Au vice qu’à la vert
gueilleuses, Formoient jadis des mers les écueils dangereux ! Si j’en
crois
de Buffon la science profonde, Je vois bondir la
hâteau Où soupiroit l’amant de Laure. Par un heureux enchantement, On
croit
encore voir son ombre, Chercher sur cette rive so
e, Ah ! j’envie un sort aussi doux… Déjà dans ces plaines riantes, Je
crois
errer auprès de vous. Daignez recevoir mes hommag
illante, Et du vieillard courbé la marche chancelante, Et la mère qui
croit
dérober au trépas Son fils, unique espoir, qu’ell
dressent leurs soupirs ? Si par l’ambition de la Terre bannie Tu
crois
devoir ta haine à tes profanateurs, Que t’a fait
quoi donc, insensé, querellois-je les Dieux ? Quelle erreur ! J’avois
cru
que leur pouvoir suprême. L’avoit exi
guerre, Cacher dans la poussière Le trône où leur orgueil
crut
s’approcher des Dieux. La Nécessité
t nourrit Le feu sacré qui te dévore. Vous êtes, je le
crois
, d’éternels ennemis. Oui, répond le Génie, oui ;
s dore, Avant que le Génie en rien le cède à l’Art. Va, dit l’Esprit,
crois
-moi, prends patience ; D’un rival impuissant que
es, et les égorge avec une joie féroce. Aussi aveugle que barbare, il
croit
ou feint de croire honorer le Ciel en ensanglanta
avec une joie féroce. Aussi aveugle que barbare, il croit ou feint de
croire
honorer le Ciel en ensanglantant la Terre, et ché
i te connois, dont l’ame est immortelle, Sur ce globe au hasard tu te
croirois
jeté ? Toi seul, indépendant de la chaîne éternel
is d’alentour, Ces bois qui répondoient à ses doux chants d’amour. Il
croit
les voir encor, et son ame attendrie, Du moins po
endre Des pleurs indignes de mon sort. Laissez un deuil pusillanime :
Croyez
-en le Dieu qui m’anime, Je ne mourrai point tout
îme des eaux, le soleil, la lune : voilà les dieux que les hommes ont
cru
les arbitres du monde. De la déification des élém
rté de toutes les créatures intelligentes et raisonnables, les païens
croyaient
en un Dieu aveugle dont la force irrésistible enc
rée. On la nommait encors Ops ou Tellus ; Ops ou secours, parce qu’on
croyait
qu’elle procurait toutes sortes d’avantages aux m
n temple magnifique. Nos deux époux, surpris, étonnés, confondus, Se
crurent
par miracle en l’Olympe rendus. Vous comblez, dir
a tête d’un voile et de jeter derrière eux les os de leur aïeule, ils
crurent
que cette aïeule était la terre, les os des pierr
ère de l’esprit comme le soleil est la lumière du corps. Les Grecs le
croyaient
l’inventeur de la musique et de la poésie, et pen
moins ingénieuse l’habileté de l’araignée à tisser sa toile. A les en
croire
, la jeune Arachné était devenue si habile dans l’
sant que Romulus et Remus, leurs fondateurs, étaient ses fils. Ils se
croyaient
particulièrement l’objet de ses faveurs. Avant to
ser sacrifier Un espoir, un bonheur, une peine secrète Que l’on a
cru
pouvoir nous confier. [Demoustier] Une troisième
païens se figuraient le palais de ce dieu au centre de la terre et le
croyaient
entouré de murs impénétrables et flanqué de tours
e elle, il présidait aux arbres fruitiers et aux jardins. Les Romains
croyaient
qu’il faisait fructifier leurs arbres, et ils met
hée derrière un buisson pour épier les démarches de Céphale, celui-ci
crut
que c’était un faon de biche qui s’était là retir
bizarres. Ils se faisaient aussi sur tout le corps des incisions, et
croyaient
agréable à Bellone le sang qui sortait de ces pla
entreprise. 5. Après avoir exécuté tous ces immenses travaux, Hercule
crut
n’avoir pas encore assez fait pour sa gloire. Il
Egée, à la vue du vaisseau qui revenait avec ses ornements lugubres,
crut
que son fils avait été victime de son généreux de
lomniant le jeune prince près de son père. Thésée eut la faiblesse de
croire
aux accusations de son épouse et de livrer son ch
rti du sombre séjour. Déjà l’impatient Orphée aperçoit la lumière. Il
croit
avoir franchi les limites du redoutable empire, i
enfant que Jocaste sa femme était sur le point de mettre au monde. Il
crut
prévenir ce parricide en ordonnant la mort de ce
rait une race détestable. Effrayé par cette prédiction, Œdipe, qui se
croyait
le fils de Polybe et de Péribée, s’éloigna de Cor
ses discours ne purent tirer ses concitoyens de leur aveuglement. Ils
crurent
même qu’en lançant sa javeline dans les flancs du
mandèrent qui l’avait frappé. Personne ! s’écria-t-il, Personne ! Ils
crurent
qu’il avait perdu la raison et se retirèrent. Uly
es. Enfin, après vingt ans d’absence, il revit sa chère patrie. On le
croyait
mort depuis longtemps. Une foule de princes se di
urs, ils se célébraient tous les trois ans, mais le plus grand nombre
croient
qu’ils ne se tenaient que tous les cinq ans. Les
n’ont que de l’indifférence pour l’homme qui souffre, parce qu’ils le
croient
toujours criminel. 6. Ces différentes erreurs ins
à un tel point, qu’il n’y ait plus pour lui ni jour ni nuit, et qu’il
croie
enfin que la grande âme du monde et lui ne font q
consacraient par leur doctrine ce système politique. Les bouddhistes
croient
qu’il y eut une succession de manifestations ou d
te, Xénophon, Strabon et d’autres auteurs anciens attestent qu’ils ne
croyaient
pas que leurs dieux eussent des formes humaines,
vie, sous le nom de Bel, par un grand nombre de prêtres qui faisaient
croire
à la multitude que leur dieu inanimé consommait c
ntelligence suprême, qui s’est révélé au monde sous le nom d’Hermès ;
croyaient
à la chute des âmes, aux incarnations de la Divin
célébrait ses funérailles avec une magnificence qu’on a de la peine à
croire
. Sous Ptolomée Lagus, le bœuf Apis étant mort de
t osé les abattre. Ce peuple n’avait point de temples, parce qu’il ne
croyait
pas que la Divinité pût être resserrée dans l’étr
uelques murailles, et il ne lui élevait pas de statue, parce qu’il ne
croyait
pas qu’elle pût être représentée. 3. Les Gaulois
s pour annoncer à la terre un bon ou un mauvais succès. Le montagnard
croyait
que ces mêmes ombres commandaient aux vents et au
un crédit si extraordinaire qu’ils suffisaient pour immortaliser. On
croyait
qu’aucun guerrier ne pouvait pénétrer dans le pal
s de la foule couvraient les cris des victimes, et le Gaulois crédule
croyait
avoir sauvé les jours de sa famille, prolongé les
Dieu a créé une multitude infinie d’intelligences subalternes, et ils
croyaient
que ces intelligences présidaient à la terre, à l
ent dénaturées, en les révélant des couleurs de la poésie. Nous avons
cru
qu’on aimerait à trouver ici leurs paroles sur la
autres peuples, la chute et la dégradation du monde actuel. Mais elle
croit
que les mauvais génies qui règnent actuellement s
sis. 6. Comment les poëtes scandinaves racontent-ils la création ? 7.
Croient
-ils à l’autre vie ? Qu’est-ce que le Valhalla ? Q
forme de divers animaux, pour se soustraire aux terribles Géants. On
croit
que c’est le souvenir de cette fuite et de cette
illes de la Grèce et de l’empire romain. Dans l’île de Crète, où l’on
croit
qu’il avait été nourri par les Corybantes, il éta
s riantes couleurs de cette écharpe font l’espoir du voyageur, qui se
croit
protégé par l’aimable messagère des dieux. Aujour
res, et occupé à garder les grands troupeaux de Capys son père : elle
crut
revoir Adonis, et le traita comme lui. Énée fut l
n fils Iule, et quelques amis courageux. Sa femme Créuse, qu’il avait
cru
sauver du massacre des Troyens, disparut à ses cô
Praxitèle exposa à l’adoration des Grecs dans le temple de Gnide. On
croit
que la Vénus de Médicis est une imitation de ce c
ain, la jeune épouse eut moins d’inquiétude sur son sort : elle avait
cru
reconnaître, malgré les ombres de la Nuit, que so
upidon, chaque nuit, lui témoignait le plaisir de la posséder. Qui le
croirait
? il n’était pas sans jalousie, même dans ce pala
r pour plaire à Issé, et n’obtint que les faveurs que cette princesse
croyait
accorder à un autre amant. Un jour Apollon, fier
n art, « Vient-il me déclarer la guerre de ta part ?… « Ah ! si je le
croyais
!… » La nature tremblante, A ce cri menaçant tres
our victime, « Beautés, vous allez voir combien je vous estime. » On
crut
, à ce début, qu’il allait débiter Tout ce qu’aux
iffon, le cygne et le corbeau lui étaient aussi consacrés, parcequ’on
croyait
que ces oiseaux prédisaient l’avenir. Le palmier
es fleurs, à son approche, se couvrent d’une brillante rosée que l’on
croit
être ses larmes. Les pleurs cependant semblent pe
heur du vent léger qui précède l’Aurore, et qui s’appelait Aure, elle
crut
qu’il appelait la séduisante divinité ; et frémis
louse de sa beauté que de sa vertu. La fille de Dédalion ayant osé se
croire
plus belle que cette déesse, elle la perça de ses
ses flèches, et la changea en épervier. Endymion. S’il faut en
croire
la chronique scandaleuse des anciens, Diane ne fu
nerve l’invention du premier vaisseau qui ait sillonné les ondes : on
croit
que ce fut celui qui conduisit les Argonautes à l
et par ses tantes, dont le dieu troubla tellement l’esprit, qu’elles
croyaient
voir en leur parent un terrible sanglier. Lycurgu
it animés avec le feu qu’il avait dérobé du ciel. Le maître des dieux
croyait
le punir de son audace, en lui présentant la femm
re de nombreux autels, et il devint l’époux d’Hébé. Hébé. On
croit
généralement qu’elle était fille de Jupiter et de
raire Ixion, qui avait osé se vanter d’avoir séduit Junon qu’il avait
cru
posséder dans un nuage auquel Jupiter avait donné
e s’écrie : « Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible ? « Je
crois
voir de tes mains tomber l’urne terrible. » Éaqu
ement régner la justice et l’équité, que les dieux, après sa mort, le
crurent
digne d’être juge dans les Enfers. Non loin du li
à deux anses, et quelquefois une petite statue appelée Palladium. On
croit
que le nom de vestibule, donné à la pièce d’entré
ison. Les Romains en firent d’abord les protecteurs de leur ville. On
croit
que le culte des Dieux lares est venu de la coutu
les ames des morts, ou des Génies familiers, bons ou mauvais, dont on
croyait
le monde rempli. Le nombre de trois leur était sp
rtu. J’y vois quatre traits joints ensemble Qui composent un M ; j’ai
cru
Qu’en cela votre main jolie Veut prouver que vous
t par la Modestie. Je fus fort surpris, un bon jour, Je vis un A ; je
crus
, Sophie, Que cet A voulait dire Amour, Ou bien l’
acchus. Elle suscita une infinité de traverses à Hercule. Enfin, elle
crut
devoir faire sentir sa vengeance à son époux lui-
de l’immortelle. Elle s’arrête à peine, et déjà dans son sein, Elle a
cru
ressentir l’aiguillon de la Faim, Et loin d’elle
i plus il boit de flots, plus il a soif de l’onde ; Pareil au feu qui
croit
plus il a d’aliment, Et consumant toujours, s’all
son père. Bientôt, au milieu de l’harmonie des sphères célestes, elle
croit
entendre le hennissement de ses quatre coursiers.
es, se changeoient en or. Midas se réjouit d’un nuisible bienfait, Y
croit
à peine, et veut en éprouver l’effet. Il détache
que l’on enterroit autrefois les morts dans les maisons. Les anciens
crurent
que les ames de leurs parents y demeuroient aussi
houlette, Le poëte son luth, le peintre sa palette ; L’ami des champs
croit
voir les prés et les vallons, Et d’un pied fantas
leur usage, il l’enseigne à son fils. « Prends le milieu des airs, et
crois
-en mes avis ; » N’approche point trop près des on
ublier cette promesse. Son père apercevant de loin les voiles noires,
crut
que son fils avoit péri, et se précipita dans la
n prétend même qu’il n’en a jamais existé d’autres. Ce qui a pu faire
croire
qu’il y avoit eu plusieurs Sibylles, c’est que ce
enfuit avec Pâris à Troie. Priam approuva la conduite de son fils, et
crut
avoir un moyen de faire un échange d’Hésione avec
l artifice. C’est un vœu, disoient-ils, pour un retour heureux. On le
croit
. Cependant, en ses flancs ténébreux Ils cachent d
nocher. Là, sur des bords déserts les Grecs vont se cacher. Nous les
croyons
partis ; sur les liquides plaines Nous croyons qu
nt se cacher. Nous les croyons partis ; sur les liquides plaines Nous
croyons
que le vent les remporte à Mycènes : Enfin, nous
x encore assurer sa victoire, Cassandre, qu’Apollon nous défendoit de
croire
, Rend des oracles vains que l’on écoute pas ; Et
Une mère, un amant, attachoient leur bonheur. Un roi digne de vous a
cru
voir la journée Qui devoit éclairer notre illustr
as attendu vos prières. Je ne vous dirai point combien j’ai résisté ;
Croyez
-en cet amour par vous-même attesté. Cette nuit mê
-même, ici, tantôt, ordonné son trépas ? Hermione. Ah ! falloit-il en
croire
une amante insensée ? Ne devois-tu pas lire au fo
déguise. Ta foi dans mon malheur s’est montrée à mes yeux ; Mais j’ai
cru
qu’à mon tour tu me connoissois mieux. Quoi donc
oi donc ! as-tu pensé qu’Andromaque infidelle Pût trahir un époux qui
croit
revivre en elle ; Et que, de tant de morts réveil
ngeance. D’Atride cependant la flotte a disparu, Ilion, à la paix tu
crus
ton sol rendu ! Vers des bords étrangers ces voil
emis pour en faire des amis. Il dit aussi : Heureux le prince qui ne
croit
rien de ce que lui disent les courtisans ! Il mo
montel , La Fontaine a ouï dire ce qu’il raconte, mais il l’a vu, il
croit
le voir encore. Ce n’est pas un poëte qui imagine
soit-il souvent. Au savant, Vous vous
croyez
considérable ; Mais, dites-moi, tenez-vou
es les maîtres du monde ; C’est le déluge universel. — Ne
croyez
pas cela, répond la vieille mère ; Pour que l’eau
ière ? Pourquoi ? Je le sais trop, hélas ! C’est qu’on se
croit
toujours plus sage que sa mère, C’est
bre chère J’ai dressé de mes mains un autel funéraire. Voici même, je
crois
, ce jour infortuné, Où mon père… Grands dieux, vo
est fait connoître une fois par quelque fourberie, mérite qu’on ne le
croie
pas, même quand il dit la vérité. La fourberie es
. Elle n’est pas perdue, Lui dit ce dieu ; la connoîtras-tu bien ? Je
crois
l’avoir près d’ici rencontrée. Lors une d’or à l’
riards vient encor : A chacun d’eux il en montre une d’or. Chacun eût
cru
passer pour une bête De ne pas dire aussitôt : la
ile bienfaisant, qui doit en dérober la connoissance à la malignité.
Croyez
que tout mortel a besoin d’indulgence. ( Chénier,
is pour mon frère l’ours, on ne l’a qu’ébauché ; Jamais, s’il me veut
croire
, il ne se fera peindre. L’ours venant là-dessus,
il me veut croire, il ne se fera peindre. L’ours venant là-dessus, on
crut
qu’il s’alloit plaindre. Tant s’en faut : de sa f
’y ranger, Fait d’abord vœu de la manger, Et ne
croit
pas son vœu frivole. Assuré de l’arc q
. Non. Écoutons à ce sujet l’auteur du Comte de Valmont. « Les femmes
croient
avoir tout dit, quand elles ont dit : C’est la mo
e rit, et lui dit ; Étranger assez leste, Je t’aurois
cru
né dans ces lieux ; Mais ce ton insolent que le v
que dit la fable, Pondoit touts les jours un œuf d’or. Il
crut
que dans son corps elle avoit un trésor. Il la tu
appelle suffisance ? R. C’est une sotte vanité qui fait que l’on se
croit
propre à tout, que l’on se mêle de tout. On dit d
t, qu’il fait l’important, pour dire qu’il se fait trop valoir, qu’il
croit
avoir plus de capacité qu’il n’en a réellement.
tes pieds ? Au moment qu’elle rit, Son tour vient, on la trouve. Elle
croit
que ses ailes La sauront garantir à toute
vous dire. Pour moi, j’aime les gens dont l’ame se peut lire : On lui
croit
de l’esprit, vous dites qu’il en a ; Mais je ne v
reçoit dans ses vers l’orgueil du roi lion, Dédaigna La Fontaine, et
crut
son art frivole. Chantre aimable ! ta muse aiséme
fut cependant découverte ; et Titan, courroucé contre un frère qu’il
croyait
parjure, lui déclara la guerre, le vainquit, et l
eil en les rendant insensées et maniaques. Leur folie consistait à se
croire
des génisses, à pousser comme elles des mugisseme
énéral dans la ville ; on interrompait les affaires publiques ; on se
croyait
menacé des plus grands malheurs, et l’on ne se ra
empêche les vivants d’y entrer et les ombres d’en sortir8. Si l’on en
croit
les poètes, l’espace entier des enfers est entour
ants de la Tauride (aujourd’hui Crimée) dont Diane était la divinité,
croyaient
lui plaire en égorgeant devant ses autels tous le
igne s’élève de leurs métiers ; le palais frémit et s’ébranle ; elles
croient
voir briller dans leurs appartements des torches
èrent sur elles, et qu’on les déclara esclaves du tyran. Sa brutalité
croyait
cette proie assurée, et déjà il marquait de l’œil
iérides, filles de Piérus roi de Macédoine, fières du talent qu’elles
croyaient
avoir dans la poésie et la musique, traversèrent
s bergères les redoutaient ; les bergers fuyaient à leur approche, et
croyaient
les apaiser en leur offrant les prémices des frui
où son humeur joviale le fit aimer et rechercher des villageois. A en
croire
les anciens auteurs, Silène n’avait rien d’épais
Diane, qu’elles accompagnaient dans ses promenades et à la chasse. On
croit
communément que ce furent les Oréades qui détourn
our. — On explique ces fables de plusieurs manières. Quelques auteurs
croient
que Prométhée fut un sculpteur qui fit des statue
à la place : Hercule les trancha toutes d’un seul coup. (Les savants
croient
que cette Hydre à plusieurs têtes n’était autre c
dans ses expéditions, jusqu’à Gadès, aux extrémités de l’Espagne, il
crut
avoir atteint les bornes du monde, et il sépara d
et fut renversé par terre. Il revêtit alors la forme d’un serpent, et
crut
épouvanter le héros par des sifflements affreux :
on peu de grâce et d’aptitude à la musique. Piqué d’un reproche qu’il
croyait
injuste ou exagéré, Hercule leva contre son maîtr
al de sa victoire. Ce malheureux père, apercevant le j pavillon noir,
crut
que son fils avait péri, et se précipita dans la
, les panthères et les lions même de le faire pâlir ! La Terre qui se
croyait
bravée par cette jactance, suscita contre ce géan
terre un jeune homme digne d’un meilleur séjour. Jupiter lui-même ne
crut
pas déroger à la majesté divine, en descendant pa
oyaume. Le lendemain Ilus trouva près de sa tente le palladium, qu’il
crut
être tombé du ciel : c’était une petite statue qu
rèce : son éloquence triompha. Ajax, désespéré d’une préférence qu’il
croyait
injuste, se lève en délire pendant la nuit, saisi
citadelle : « Malheureux, s’écrie-t-il, quel est votre aveuglement !
Croyez
-vous les ennemis bien éloignés ? Croyez-vous qu’u
quel est votre aveuglement ! Croyez-vous les ennemis bien éloignés ?
Croyez
-vous qu’un présent des Grecs ne couvre pas un pié
de mers en mers et jouet du sort. Ulysse quittait l’île d’Ogygie, et
croyait
ses malheurs finis, quand un nouvel orage, fracas
ondre ; elle s’explique ; il reconnaît en elle cette sœur aînée qu’il
croyait
morte depuis vingt ans. Dès ce moment, il n’est p
: Philomèle ne peut plus se contenir. « Monstre ! s’écrie-t-elle, ne
crois
pas m’effrayer par tes menaces ! A peine sortie d
forment la rosée, et que boit avidement la terre languissante. — A en
croire
la Fable, les Éthiopiens élevèrent près de Thèbes
re jaloux, voyait avec inquiétude ses longues absences, et ne pouvait
croire
que la chasse seule captivât ses goûts. Pour s’en
désirée, viens à moi ! » Sa femme qui entend des paroles si tendres,
croit
qu’elles sont adressées à une rivale, tressaille,
tressaille, et agite le feuillage. Céphale tourne la tête à ce bruit,
croit
à son tour qu’une bête fauve se glisse dans le bu
épouse ! » En achevant cette invocation, il approche de la statue et
croit
la voir se remuer ; il la touche, et le marbre pa
tès, Aëllo et Céléno. — On varie beaucoup sur leur origine. Plusieurs
croient
que c’était une troupe d’énormes sauterelles, qui
la Pythie conseilla à Néron « de se défier des 73 ans, » cet empereur
crut
qu’il ne devait mourir qu’à cet âge avancé : il n
brillants de toute la Grèce. L’origine en est fort obscure ; mais on
croit
communément qu’ils furent institués par Pélops, f
a l’agriculture, et leur donna des lois sages et équitables. Quand il
crut
sa tâche accomplie, il confia l’administration de
figure d’un aigle sur le dos, et quelques autres signes que le peuple
croyait
naturels, mais qui étaient l’ouvrage des prêtres.
e culte aux hirondelles, à ces oiseaux si utiles et si confiants ? Ne
croyons
-nous pas que c’est un crime de les tuer, et que c
c art, et formaient une sorte de labyrinthe. Sa hauteur, s’il faut en
croire
les écrivains orientaux, était de mille coudées,
nt où jettent l’intempérance et la débauche. Les sages de l’antiquité
croyaient
-ils à toutes ces tables de la mythologie ? Non, s
is après sa mort au rang des dieux. 55. Ogygie, petite île que l’on
croit
située près de l’île de Malte. 56. On dit prover
le, mais nous n’attacherons pas un prix aussi élevé qu’on pourrait le
croire
, à cette marche tortueuse de la mythologie pureme
e un objet de vénération pour les esprits vulgaires : nous avons donc
cru
devoir les respecter. Quant à notre point de dépa
armées et bruyantes, soit pour égayer son enfance, soit, comme on le
croyait
vulgairement, pour mieux le cacher et empêcher se
unesse, de bel âge et de beauté, était bien faite, comme on devait le
croire
, pour subjuguer Saturne ; mais, au contraire, ell
l été foudroyé en voulant attirer la foudre. Tout ne porte-t-il pas à
croire
qu’il précéda Francklin dans ses essais. Afin de
ion qui, dans le signe du taureau, préside à la pluie, parce que l’on
croyait
avoir observé autrefois qu’un brouillard pluvieux
ure qu’Atlas vécut vers l’année 4600 avant J.-C., du moins si l’on en
croit
le comte Carli. Quant aux statues de ce fameux ti
supposer plongé dans le Tartare, tandis, au contraire, qu’on a pu le
croire
fixé auprès des Dieux, lorsqu’on a vu ces étoiles
acé au nombre des demi-Dieux ou Semones, ou Divi, les hommes que l’on
croyait
avoir mérité la déification, soit à cause de leur
rruption ; et pour boisson le nectar, breuvage exquis qui, si l’on en
croit
Homère, devait être d’une couleur rouge. Enfin po
i dans l’Olympe, l’âge d’airain commença pour les mortels, et Jupiter
crut
pouvoir jouir en paix de sa haute puissance ; mai
utade, qui vivait dans le neuvième siècle avant Jésus-Christ. On peut
croire
par la fable des bœufs immolés, qu’il était un pr
t obligé de fuir. Personne ne voulut lui donner asyle, personne ne se
crut
capable de le purifier d’un si grand forfait ; ne
maître des Dieux de l’audace du téméraire. A peine Jupiter peut-il le
croire
; aussi il engage Junon à tout promettre, et, à l
i dans l’autre monde doit être la punition éternelle de l’avare. On a
cru
aussi y voir la figure d’un esclave cherchant à s
de l’adorer. Pour mieux faire sentir sa puissance qu’il voulait faire
croire
divine, il fit construire au-dessus d’une partie
sitôt ils étaient tués en secret par des hommes cachés, afin de faire
croire
qu’ils avaient été frappés par la main invisible
rande magicienne appelée Médée, vers l’an 1326 av. J.-C. Cependant on
croit
qu’il n’arriva que le troisième à régner sur cett
. D'après l’idée de puissance qui entourait Jupiter, il est facile de
croire
qu’il était adoré presque partout ; mais son titr
ent comme tous les hommes, il finit par vieillir, et pourtant à peine
croyait
-il avoir perdu ses forces ; aussi, étant à se pro
vêtemens, elles furent tout à coup saisies d’un accès de démence, se
crurent
métamorphosées en vaches, et pensant qu’on voulai
Nélée, en eut d’abord Thalaüs. Anaxibie eut aussi l’imprudence de se
croire
plus belle que Junon. Celle-ci, pour se venger, l
été la même que l’Astarté des Syriens. On présume, et tout porte à le
croire
, que ce fut en Arcadie que le culte de Junon prit
us de la sage Minerve, ou d’Attis fille de Cranaüs ; Palémon que l’on
croit
aussi fils d’Etolus, ou Palemonius dont le père,
rquable ; Cœculus semble une personnification de la salamandre, qu’on
croyait
pouvoir rester dans le feu sans se consumer. Nous
élanippe, fils de Thritta ; les Moles, déesses des meuniers, que l’on
croyait
filles de Mars, parce que l’on supposait qu’elles
Latonides ; quant aux sept fils et aux sept fille de Niobée, nous les
croyons
la symbolisation des sept jours et des sept nuits
et Astyris ou d’Astyrie, en Mysie, Angèle en Sicile, Auxomène ou qui
croit
, considérée comme Lune, Aventine du mont Aventin,
ond de sa grotte de Latmos. A la fin il fut rappelé dans l’Olympe. On
croit
que ce fut le douzième roi d’Élide qui, après avo
frère. D'après ce que nous venons de dire sur Diane, il est facile de
croire
que les peintres et les sculpteurs l’aient représ
occuperons. Le second, d’après Hésiode, est fils d’Hypérion que l’on
croit
le Ciel des anciens, et qui lui-même était frère
meurtre de leur père. Ce fait jamais ne fut éclairci, et tout porte à
croire
que ce meurtre n’avait pas eu lieu. Néanmoins Aca
e nouveau la population du pays. Ces deux fléaux firent naturellement
croire
qu’ils étaient les suites de la vengeance d’Apoll
avers les airs. Pyrénée, à cette vue, monta sur le haut d’une tour et
crut
pouvoir les suivre en essayant de voler après ell
que. Partout le soleil présidait aux douze mois de l’année ; alors on
crut
avoir observé que pendant l’espace de chacun de c
le soleil commençait à passer dans le signe du Bélier ou mars : on le
croyait
le bélier à toison d’or sur lequel Phrixus et Hél
u cœur et des sourcils ; les tintemens d’oreille et du bruit que l’on
croyait
entendre ; les éternumens, les chutes imprévues,
age de l’étrangère passa pour autant de paroles divines. Cependant on
croyait
aussi dans ces contrées qu’au lieu de ces prêtres
les ; elle apprit aux Toscans l’art de deviner par le tonnerre. On la
croit
la même que la sibylle Erythrée ou Hérophile. Man
nne, prophétisait dans les bois de Tibur, actuellement Tivoli : on la
croyait
Ino, femme d’Athamas, ou Leucothée, ou Matuta. Ma
uer, suivant son habitude, l’haleine rafraîchissante de Zéphire, elle
crut
qu’il parlait à une rivale, et son frémissement i
algré la lumière de la lune, on inventa la jalousie de Diane. On peut
croire
qu’Orion fut un disciple d’Atlas et par conséquen
onne quelquefois pour fille. Babylone eut d’Apollon Arabus que l’on a
cru
l’inventeur de la médecine chez les Arabes ; Boli
t pour fils de Cercaphe, fils lui-même d’Hélios, mais il est mieux de
croire
Camire fils d’Apollon et de la nymphe Cydippe, qu
règne donc sur la fable très-complexe d’Esculape ; cependant on peut
croire
avec quelques motifs de raison que le culte du pr
nstitué ces cérémonies appelées ensuite Eleusinies, seulement on peut
croire
qu’il agissait peut-être sous les ordres de Dysau
ils se confondre ensemble ? c’est possible ; quoi qu’il en soit, l’on
croit
généralement que l’Eumolpe de Thrace ne vint qu’a
uisit Erechthée à une telle extrémité que ce successeur de Cécrops se
crut
obligé de sacrifier sa fille aînée sur les autels
elles cérémonies qu’il appela petits mystères et y admit le héros qui
crut
alors assister aux grands. Ces petits mystères se
fait huit lieues, on arrivait le lendemain à Eleusis. On est tenté de
croire
que c’était pendant cette nuit processionnelle, o
urité qui règne sur le sens caché des Eleusinies, quelques savans ont
cru
pouvoir y reconnaître l’enseignement d’un seul di
t on a prétendu la confondre avec Acca Laurentia, courtisane que l’on
croyait
avoir été contemporaine d’Ancus Martius, et qui,
de Cécrops et frère des nymphes Cécropiennes ou Agrauliennes. Si l’on
croit
cette légende, il serait allé à Délos construire
ndit à Zévs, pendant la guerre des Géants ? nous serions tentés de le
croire
. Mais nous parlerons plus en détail de cette femm
époux de la belle Déesse, étourdi de cette nouvelle, ne put d’abord y
croire
; mais inquiet de s’en assurer, il vole à sa forg
mais le fait est trop contesté pour l’admettre ; cependant on peut le
croire
originaire de Syrie, ce qui n’empêche aucunement
suites que pouvaient avoir pour lui de pareilles amourettes ; car on
croyait
que l’anéantissement des forces physiques devaien
rs, comme fille d’un Hipponoos et de Thrassa, compagne de Diane. Elle
crut
pouvoir impunément braver Vénus, et devint amoure
fitant avec adresse de cette légende, les prêtres de ce temple firent
croire
que dès l’instant qu’on s’élançait du haut de cet
elle plonge avec effroi ses yeux sur les abymes qui l’environnent et
croit
à chaque instant voir sortir du fond de ces antre
le cercle divin, c’est un point fort obscur ; et nous ferons bien de
croire
qu’ils restèrent bons époux. Cependant nous pouvo
chon, dans l’Attique. Il était le dieu des jardins comme Pan, et l’on
croyait
que c’était lui qui les faisait fructifier ; il p
ans cette ile par une colonie Syrienne ou Phénicienne, culte que l’on
croit
le même que celui d’Adrameleck appartenant à la m
guerroyer, s’introduisit chez elle sous la figure de son époux. Elle
crut
à sa ressemblance et devint enceinte ; elle mit a
on ayant appris cette nouvelle infidélité de son époux, et ne pouvant
croire
qu’Alcmène n’y eût pris aucune part, lui jura une
ronc d’un platane, et alors elle a un air inquiet. Les modernes ayant
cru
que cette princesse, dont le nom exprime la blanc
d’Inachus, parce qu’il habitait le bord d’une rivière de ce nom ; on
croit
dans l’histoire que ce fut vers l’année 1805 av.
s deux autres y compris une troisième fille, appelée Timandra, on les
croit
enfans légitimes de Tindare. Suivant Apollodore l
; Tana ou la Minerve des Etrusques ; Telchinia ou du temple que l’on
croyait
lui avoir été bâti à Teumesse en Béotie, Tithrone
ble ; les Rhodiens l’honorèrent d’abord avec enthousiasme, parce que,
croyaient
-ils, elle les avait gratifiés d’une pluie d’or le
récieusement sa statue, qu’ils appelaient le Palladium, et auquel ils
croyaient
que le sort de leur ville était attaché. Cette pe
de Cranaüs, et probablement de Pedias comme Cranaé et Cranechme. L'on
croit
pourtant que ce Cranaüs succéda à Cécrops et mour
aires. Jupiter le prit-il lui-même dans le sein de Sémélée ? On ne le
croit
pas ; mais on dit que Mercure ou la nymphe Dircé,
resse, jusqu’alors inconnue, s’empare de ses sens. Un instant elle se
crut
empoisonnée, mais Bacchus reprenant sa première f
, habitans grossiers des campagnes de l’Attique, ils s’enivrèrent, se
crurent
empoisonnés, et, pour se venger, le déchirèrent p
e sa mère à un chœur de musique des fêtes de Bacchus. Phlias que l’on
croyait
quelquefois fils d’Ariadne, passait plus générale
r sa naissance à Chtonophile ou bien à Aréthyrée, sœur d’Aoris. On le
croyait
également fils de Cisus et non du dieu du vin Sta
Thyies des Eléens, revenaient chaque année, et les prêtres faisaient
croire
que Bacchus alors revenait remplir de vin trois a
que l’on voyait presque toujours dans ce groupe, mais que nous avons
cru
placer beaucoup plus convenablement comme princip
es Titans. Les découvertes musicales de Pan l’enorgueillirent ; il se
crut
supérieur au dieu de l’harmonie, le défia, et l’o
ire fut très brillant à Rome, parce que Romulus et Rémus avaient été,
croyait
-on, nourri par une louve dans un champ appelé Lup
et époux de Fauna, d’abord appelée Marica et puis Bonne-Déesse ; l’on
croyait
qu’il avait régné en Italie vers l’an 1300 avant
e Léda et de Jupiter, tandis que Castor et sa sœur Clytemnestre, sont
crus
enfans de Léda et de son mari Tyndare. De cette n
quand il n’en paraissait qu’une, ils l’appelaient alors Hélène, et la
croyaient
le présage infaillible d’une tempête prochaine. L
or, Mecastor ou Iedepol. Souvent on chercha dans ces contrées à faire
croire
à leur réapparition sur la terre ; du reste leur
eur origine, il donna le nom de Myrmidons ; allégorie qui prêterait à
croire
que ce prince, après un fléau quelconque, repeupl
uelques émigrés Thessaliens, probablement appelés Myrmidons. Egipan,
cru
fils de Jupiter, et d’Ega, épouse de Pan, dieu de
taient par leurs ravages, les hommes et les animaux, oiseaux que l’on
croyait
nés de Stymphale, roi d’Arcadie, fils d’Elate et
esp. Endéïs ou de Laonomène ; Mentor de la Thesp. Asopis ; Myscellus,
cru
également fils d’Alcmon, fut le fondateur de Crot
hite de Mégare ; Oréas de la Thesp. Chryséis ; Palémon d’Iphioné, est
cru
le même que Sophax le Libyen ; Pallas de Dyna, fi
tune ; on appelait aussi Laterculus, le Dieu particulier du foyer. On
croyait
que ces lares étaient les ames des hommes vertueu
nous dirons que leur fable est restée toujours fort obscure : l’on a
cru
qu’elle faisait allusion à une calamité publique
e, auquel on attribuait un pouvoir illimité sur les eaux, et que l’on
croyait
assez puissant pour exciter les tremblemens de te
et deviendrait le meurtrier de son père et l’époux de sa mère, il se
crut
en effet né de Polybe et de Péribée, et pour évit
irgile, en faisaient une fille séduisante jusqu’à la ceinture, et lui
croyaient
un ventre de loup et une queue de dauphin. Ils su
ercule soit venu le délivrer ; d’où vint la fable imaginée pour faire
croire
que Pirithoüs avait été dévoré par Cerbère, et qu
fils d’Actor ; Evippe de Thestius ; Hippase ; Hippocoon ; Hippothoüs,
cru
fils de Cercyon ; Hylée ; Idas, fils d’Apharée ;
terre éclairée aux cîmes de l’Atlas et aux colonnes d’Hercule, et qui
croyaient
le reste du monde plongé dans l’obscurité, faisai
tés infernales, provenant de l’une des trois parties dont les anciens
croyaient
les humains formés, savoir : le Corps, que l’on r
er, les Thesprotes bientôt lui élevèrent un temple à l’endroit où ils
croyaient
qu’il avait su rappeler au jour l’ombre d’Eurydic
nifiait ame séparée du corps. Voici quelle était leur étymologie : on
croyait
à Rome que le couroux de Rémus, après sa mort, fu
pour se faire aider dans ses travaux sur la terre, Andrée ou Andrié,
cru
fils d’Ananius, et Anion, qui lui servirent de li
e, Hippalque ou Hippalime ou Hippalame, et, dit-on encore, Plisthène,
cru
généralement aussi fils d’Astrée ; puis il eut d’
ment, Atrée sollicita du roi d’Épire la main de cette princesse qu’il
croyait
sa fille, et l’obtint ; de sorte qu’elle se trouv
l’un et l’autre, après sept ans de règne, car tel était l’ordre qu’il
croyait
avoir reçu de l’ombre d’Agamemnon ; et, pour dern
e se représenta bientôt à lui sous les traits les plus effrayans ; il
croyait
toujours voir l’ombre de sa mère accompagnée des
sure naquit une fleur nommée Hyacinthe, dans le calice de laquelle on
croyait
voir deux initiales A I. II laissa deux enfans :
ardaniens, un centre religieux commun à Samothrace ; il est facile de
croire
que Grecs et Troyens peuvent être admis comme fon
s. Didon, trompée par les discours mensongers de son frère Pygmalion,
croyait
que Sichée était chargé d’une mission secrète d’o
ose qu’Osiris, mais Osiris au tombeau et semblant se ranimer. Si l’on
crut
devoir donner un nouveau nom à Osiris au tombeau,
es terres, étaient célébrées par les Egyptiens, à l’instant où ils la
croyaient
occupée à pleurer la mort d’Osiris, instant qui l
cans que, tour à tour, selon Dupuis Gorres et d’autres historiens, on
crut
devoir rattacher à chacun de ces souverains, car
u Chontaré, ou Phuor. Amouthantée, 37e dynaste, est douteux, et on le
croit
un surnom de Phrouron, car il a comme lui Ptébiou
crifièrent aussi quelquefois ; puis Baal-Pharas, dieu syrien que l’on
croit
un génie funeste et Baal-Gad. Les Philènes peuve
’où ses fervens adorateurs se precipitaient dans un vaste gouffre, et
croyaient
que cette fin volontaire leur assurait la béatitu
ses adorateurs ont-ils une grande confiance dans ses décisions qu’ils
croient
infaillibles ? On le représente haut d’environ di
a circoncision. Ce dieu est d’un appétit extrême : dès que les nègres
croient
entendre sa voix, ils préparent à l’instant des a
udre, et font couler sur ses autels du sang humain aussitôt qu’ils se
croient
menacés du moindre accident. Orissa est regardé
cependant on lui immole des victimes humaines. Les habitans de Benin
croient
que leur paradis et leur enfer est au milieu de l
eprésente par un cercle dans un triangle. Une partie du peuple indien
croit
à cet être suprême plutôt qu’il ne l’adore, et ad
Après ces diverses créations, Brahmâ, enorgueilli de sa puissance, se
crut
, sinon l’égal de Brahm ou de Bhagavan, du moins l
u. Les huit Vaçous semblent être pourvus chacun d’une épouse, et l’on
croit
que l’ensemble de ces épouses appartient au group
nairement sur les rochers, et y brûlent de l’encens en son honneur et
croient
par ce moyen être à l’abri de tout accident fâche
les Sâniâci, qui sont les plus anciens et les plus respectés ; on les
croit
les descendans des vieux Brachmanes et pauvres co
mes de Bouddha sont au nombre de dix et forment un décalogue que l’on
croirait
avoir été copié textuellement sur celui des chrét
ve des Grecs. Pouça ou Puzza est une autre déesse chinoise, que l’on
croit
la même que la Bhavanie des hindous, ou espèce de
m, dieu qui a été un des sages les plus illustres ; aussi les Chinois
croient
-ils que leurs sages sont des incarnations de ce d
nnues. Aghogok, dieu suprême des habitans des îles Aléoutiennes, qui
croient
l’espèce humaine née des chiens, d’après ses ordr
rmaient des danses avec les Léchies, ou espèce de satyres. Les Russes
croient
encore à leur existence. Suantowith, dieu du sol
de mouches. Aussi les habitans du Lappland, en prenant ces insectes,
croyaient
-ils avoir des puissances préservatrices et les po
ient la plus grande analogie avec celles des Scandinaves. Ces peuples
croyaient
à la magie, aux sorts, aux présages et légèrement
dait à travers les pores du métal et se condensait à sa surface, l’on
croyait
y voir des gouttes de sueur ; puis lorsque la cha
s se débouchaient avec bruit, alors aussi les crédules adorateurs qui
croyaient
le dieu irrité, ne manquaient pas d’enrichir les
pèce de déesse mère, présidant à la lune, à la navigation, et dont on
croit
que les prêtresses étaient les mêmes que les devi
Il avait un temple où l’on nourrissait un cheval sacré sur lequel ils
croyaient
qu’il montait pour les assister pendant les batai
u vandale, était honoré dans la Lusace. Les habitans de cette contrée
croyaient
qu’il rendait la vie aux morts : aussi cette supe
Firgaillans, et leur donnèrent le nom de Fin-Domhnan. Ces mineurs se
croyaient
protégés dans leurs travaux par des génies qu’ils
errains. Slainge et Rughraidhe étaient des dieux irlandais, que l’on
croit
avoir été chefs des Firbolgs, et qui avaient sous
méricains du nord ; c’est lui qui excite les orages ; et comme ils le
croient
habitant le fond des eaux, ils jettent dans les f
à leur volonté. Mexique. L'ancienne religion des Mexicains qui
croyaient
à un grand esprit, à un esprit méchant, à la puni
, on regardait ce dieu comme le souverain du monde inférieur et on le
croyait
toujours opposé au dieu du monde supérieur. En pa
it chez les Brésiliens le seul être surnaturel qu’ils connussent. Ils
croyaient
qu’il présidait à l’agriculture. Dieux de la
alternes Vaha-Fonoua, Tariava, Mattaba, Evarou et quelques autres. On
croit
qu’il protége particulièrement le district de Mon
l’histoire des dieux de la Fable mieux que nos devanciers ; mais nous
croyons
qu’aucun d’eux n’a mis une attention aussi scrupu
tinguées de Rome ; si ce foyer sacré venait à s’éteindre, la ville se
croyait
menacée des plus grands désastres, et on ne pouva
boucliers sacrés que l’on disait être tombés du ciel, et auxquels on
croyait
que la destinée de l’empire romain était attachée
ar des libations et en leur sacrifiant des brebis noires. Les anciens
croyaient
que le feu était très-agréable aux Dieux mânes ;
fut reçu en triomphe, et épousa Médée. Eson, son père, que l’on avait
cru
mort, avait reparu, mais il était accablé de viei
murailles de la place, que l’on attribua à Apollon, de même que l’on
croyait
que Neptune seul avait pu élever les digues qui d
aganisme. I. — Les Temples, les Prêtres et les Sacrifices. On
croit
généralement que le culte des faux Dieux est orig
met desquelles on parvenait par un escalier tournant et extérieur. On
croit
que cet édifice avait cent trente-quatre mètres d
e retira dans une oasis au milieu des sables du désert. Bientôt on la
crut
inspirée, et l’on vint en foule la consulter des
une grande rapidité. A son retour, il rapportait ce qu’il avait vu ou
cru
voir pendant son séjour dans ces lieux souterrain
tenant le milieu entre les mortels et les divinités, et auxquelles on
croyait
que le ciel avait donné connaissance de l’avenir.
; elle était fille de Glaucus, et prêtresse d’Apollon et d’Hécate. On
croyait
qu’elle avait vécu mille ans, et qu’au temps d’En
de l’isthme de Corinthe, qui sépare la Morée du reste de la Grèce. On
croit
généralement qu’ils furent créés par Thésée en l’
ur avoir plaidé avec trop de chaleur la cause d’un de ses amis, qu’il
croyait
injustement accusé. On rapporte de lui les maxime
an, fils de Cham, qui fut le serviteur de ses frères. Dans Bacchus on
croit
reconnaître Moïse : et en effet l’on voit dans l’
dent qu’il faut l’entendre d’un voyage qu’il fit en Thesprotie, où il
crut
un instant avoir retrouvé l’épouse qu’il pleurait
a maladie ou un second accident la lui aurait enlevée au moment où il
croyait
la voir revenir à la vie. Beaucoup d’autres trait
des six étoiles placées sur le front du Taureau céleste. Les anciens
croyaient
que le lever et le coucher de cette constellation
placement de cette ville célèbre. Mais sur un rocher voisin, que l’on
croit
être le Pergania, on trouve des débris de constru
ont prouvé qu’il n’a pas été creusé de main d’homme, comme on l’avait
cru
longtemps. 93. Rhodes est une île située sur la
ineure. Elle a une citadelle où l’on remarque des sculptures que l’on
croit
être les débris du fameux mausolée. C’est la patr
it vous être étranger, ni vous trouver indifférens. J’ai donc lieu de
croire
que vous approuverez mes efforts, et que vous rec
mon intention et mes désirs, en répandant quelques fruits heureux, je
crois
pouvoir annoncer d’autres projets d’utilité publi
es de ce Recueil, à-la-fois plus amusantes et plus instructives, j’ai
cru
devoir les accompagner de morceaux de poésies ana
s choses ainsi assaisonnées de vers piquans et curieux. D’ailleurs je
crois
qu’on doit rechercher tout ce qui tend à meubler
ux du premier ordre. Avant de commencer leur histoire, nous avons
cru
devoir placer ici les beaux vers de Rousseau sur
us belles que Junon, furent frappées d’un genre de folie qui leur fit
croire
qu’elles étoient changées en vaches. On sait enco
fit oublier cette convention. Egée, voyant de loin des voiles noires,
crut
qu’il avoit perdu son fils, et se précipita dans
pieds les lions et les ours. On dit même, et la Grèce est portée à le
croire
, Qu’Argos doit à sa voix la moitié de sa gloire,
ste avoit tué sa mère, bientôt il tomba dans des accès de fureur ; il
croit
voir l’ombre de sa mère accompagnée des Furies. I
lus célèbre de toutes a été la Sibylle de Cumes en Italie. Des savans
croient
même qu’il n’y en a jamais eu d’autres que celle-
Il ajoute dans un autre endroit : Le monde est vieux, dit-on ; je le
crois
: cependant Il le faut amuser encor comme un enfa
utez-le de La Fontaine : Celle-ci fit un choix qu’on n’auroit jamais
cru
, Se trouvant à la fin toute aise et toute heureus
’homme ? Aristote répond : C’est un animal raisonnable. Je n’en
crois
rien. S’il faut le définir à fond, C’est un anima
sacrifices ; Conjurer l’ail, l’oignon, d’être à ses vœux propice, Et
croire
follement maîtres de ses destins. Ces dieux nés d
e. Les Romains lui avaient consacré le mois de février ; et, comme on
croyait
qu’il avait fait naître le premier cheval, on cou
[Fig. 37] Pluton était généralement haï et redouté, parce qu’on le
croyait
inflexible. On ne lui érigeait ni temples, ni aut
i fit une réponse semblable à celle qu’avait reçue Laïus. Comme il se
croyait
fils de Polybe et de Péribée, il résolut de ne ja
corps d’Étéocle et de Polynice furent mis sur le même bûcher, et l’on
crut
remarquer que les flammes se divisaient pour ne p
u siège de Troie, imagina de contrefaire l’insensé ; pour mieux faire
croire
qu’il avait l’esprit aliéné, il s’avisa de labour
es qui lui a fait du mal. Comme il répondait toujours : Personne, ils
crurent
qu’il avait perdu la raison et se retirèrent. Cep
beau, oiseau consacré à Apollon, avait autrefois le plumage blanc. Il
crut
plaire à ce dieu en lui découvrant l’infidélité d
ne roche, qui, de loin, ressemblait à une femme affligée ; ce qui fit
croire
qu’un tourbillon de vent avait transporté cette m
es païens sont d’accord avec les traditions bibliques : seulement ils
croyaient
que la matière était éternelle, et que le chaos n
s de serpents, les mains d’airain, et leur regard pétrifiait. 35. On
croyait
que la Colchide possédait des mines d’or. De là,
la Fable. Je dis non douteuses, car celles que les commentateurs ont
cru
découvrir, ne sont nullement heureuses, et il est
es uns ont fait des trésors cachés, d’autres des moutons, etc ; Et je
crois
avoir prouvé que la supposition la plus vraisembl
dissertations sur de semblables sujets. En même temps j’avoue que je
crois
avoir ouvert un champ nouveau à cette étude, et q
statue de Minerve avec les os de Pélops, qu’il vendit aux Troyens qui
crurent
sur sa parole que cette statue venoit du ciel. D’
te du terrain. Cette institution dura environ onze cents ans, et l’on
croit
que, pendant cet espace de temps, il n’y eut envi
de se donner la mort. Caparonia se pendit, Floronia se poignarda. On
croit
que ce furent là, à-peu-près, toutes les victimes
point de fêtes en son honneur. A la suite de l’histoire de Vénus, on
croit
devoir faire mention des beautés célèbres de la f
ce que cet arbre étant consacré à Apollon, ils vouloient par-là faire
croire
que ce Dieu les inspiroit. Apollon se fit aimer d
ant les yeux sur un buisson, vit des branches s’agiter et ployer ; il
crut
que c’étoit une biche, et lança contre le buisson
t un précieux monument qui, dans l’antiquité, fut consacré à Isis. On
croit
qu’il représente un calendrier des fêtes égyptien
fêtes licencieuses appelées Lupercales. Pan en grec signifie tout. On
croit
que sous ce nom les anciens adoroient la nature.
instructives pour apprendre l’art de guérir les diverses maladies. On
croit
qu’ Hippocrate en tira parti pour former les prin
nous est parvenu un recueil sous le titre de livres Sibyllins ; on le
croit
très-postérieur à ceux dont on vient de parler, e
ce le plan, et qui paroît être exécuté dans ce volume. On n’avoit pas
cru
devoir prévenir une observation qui tombe sur le
z tous. ……………………………………………… En vous donnant de si pompeux domaines, Ne
croyez
pas que j’adopte vos haines, Ni que je veuille, a
non. Aussi-tôt la déesse les frappa d’un genre de folie, qui leur fit
croire
qu’elles étoient changées en vaches : Des filles
s jaillir l’Hippocrène Sous le pied du cheval aîlé. Un dieu, car j’en
crois
cette flâme Que son aspect verse en mon ame, Dict
assez de vos charmans concerts, Une muse vous manque encore.
Croyez
-vous réunir les suffrages divers, San
use d’Œnée, roi de Calydon. Cette reine avoit prétendu que ses filles
croient
plus belles que Diane : Et toi, fille du dieu qu
sans alarmes, Lorsqu’un jeune chasseur se présente â ses yeux : Elle
croit
voir son fils, il en a tous les charmes ; Jamais
n. Partez. Mais toutefois, En vous donnant de si pompeux domaines, Ne
croyez
pas que j’adopte vos haines, Ni que je veuille, a
s avoient été sur la terre des rois judicieux, équitables ; et on les
crut
dignes de juger tous les hommes : So
fît oublier cette convention. Egée, voyant de loin des voiles noires,
crut
qu’il avoir perdu son fils, et se précipita dans
pieds les lions et les ours. On dit même, et la Grèce est portée à le
croire
, Qu’Argos doit à sa voix la moitié de sa gloire,
ers mêmes sentirent les effets de son pouvoir : Un mortel, qui l’eût
cru
? jusqu’au sombre rivage, Par ses divins accens,
r altière ; Je sais bien que sa haine est encor toute entière ; Je ne
crois
pas qu’on puisse en arrêter le cours ; Et, pour m
. Après avoir marché quelque temps, il entend un coup de tonnerre, il
croit
que c’est l’augure certain de sa fin prochaine, i
matins sur le bord de la mer, un jour il aperçut la fatale voile, il
crut
que son fils avoit perdu la vie, et s’élançant du
trouva liée avec des branches d’arbres, parce que les Samiens avoient
cru
qu’elle s’étoit enfuie d’elle-même et vouloient l
fille du Roi de Thèbes. Pendant la descente d’Hercule aux enfers, on
crut
ce héros mort, Lycus usurpa le royaume de Thèbes,
statue de Diane, ayant été embrassée par ces meurtriers, qui avoient
cru
trouver un asile dans son temple, il falloit auss
s-uns disent que le sang d’Ajax fut changé en pied d’alouette où l’on
croit
voir ces deux lettres AJ qui font le commencement
fanent difficilement, les immortelles, la fleur de grenadier, etc. On
croit
que les anciens ne lui élevèrent point de temples
vieillesse. Aussi les anciens, qui, à la honte de l’humanité, avoient
cru
nécessaire de faire une loi qui obligeoit de pren
le premier volume quel étoit son supplice dans les enfers. 32. On a
cru
qu’ Homère avoit voulu se peindre sous le nom de
rières. Les peuples qui avaient perdu la connaissance du vrai Dieu ne
crurent
pas cependant que le monde fût abandonné au hasar
s illusions de famille qui portent quelquefois les jeunes filles à se
croire
de véritables Muses ? Au pied du mont Parnasse, s
arnasse, séjour des Muses, et dans la ville de Delphes, que les Grecs
croyaient
située au point central de la surface de la terre
occupé par la chèvre Amalthée, nourrice de Jupiter. — Le Verseau. On
croit
que c’est Ganymède, l’échanson de Jupiter. — Les
tait toujours ivre dès le matin ; car il n’avait jamais, s’il faut en
croire
Virgile, cuvé le vin de la veille. On lui donne p
vigne s’élève de leurs métiers ; le palais frémit et s’ébranle, elles
croient
voir briller dans leurs appartements des torches
A sa naissance, sa mère le cacha dans une bergerie d’Arcadie, et fit
croire
à Saturne qu’elle était accouchée d’un poulain. S
e voulant pas violer l’hospitalité par un meurtre, envoya celui qu’il
croyait
coupable vers Iobate, roi de Lycie et père de Sté
de Némée qu’Hercule avait déposée dans le palais de Pitthée. L’enfant
croyait
avoir affaire à un lion et n’en fut pas intimidé.
f Jupiter, 6-10, 12, 14, 22; daughters of, 36, 158, 171; son of, 136
Cru
′mis-sa. Island where Neptune carried Theophane; b
e le aveva inspirato pel figliastro Ippolito. Par des cœx assidus je
crus
les détourner : Je lui bâtis un temple, et pris s
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