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1 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
trueuse et cruelle, étoit adorée sous une figure qui représentoit une femme jusqu’à la ceinture, et dont la partie inférieure
de tous les monstres de la fable. Le Sphinx avoit la tête d’une jeune femme , le corps et les griffes d’un lion, et de grandes
 ». Amphiaras. Amphiaras étoit fils d’Apollon. Ériphyle sa femme enseigna à Polynice, pour un collier d’or, le lie
ndre le collier qu’il avoit donné pour en faire présent à sa nouvelle femme . Téménus et Axion, frères d’Arsinoé, la première
hes. Alors ce temple fut pillé par les Phocéens ; dans ce pillage une femme s’empara du collier, l’emporta chez elle, et s’en
gée, séduit par ses artifices et entièrement gouverné par elle. Cette femme souillée de tant de crimes, avertie de l’arrivée
ble et dans leurs ouvrages d’imagination, ont toujours représenté les femmes passionnées avec un caractère odieux, ou trahies
e sentiment et ce langage passionné qui déparent et qui dégradent les femmes . Le bon goût (toujours d’accord avec la morale) l
bon goût (toujours d’accord avec la morale) leur a fait sentir qu’une femme perd tous ses charmes, lorsqu’elle renonce à la d
se retira dans un désert pour y réfléchir, alors lui apparurent deux femmes , dont l’une avoit une beauté à la fois douce, mod
aquelle il demande un asile. Admète répond qu’il ne veut plus voir de femmes , mais qu’Hercule peut disposer de son palais ; en
uiroit un grand effet au théâtre, surtout dans un opéra. Il y eut une femme appelée aussi Admète, elle étoit fille d’Euristhé
Amazones, voici un abrégé de leur histoire : Les Amazones étoient des femmes guerrières de la Cappadoce, sur les bords du fleu
crèrent tous. Ce carnage donna occasion à l’origine des Amazones. Les femmes de ces infortunés, privées de leurs maris, formèr
s, suivant la tradition la plus commune, il fut mis en pièces par les femmes de Thrace irritées de ses mépris. Les sons de sa
soient les animaux les plus féroces, et ils furent sans effet sur des femmes sans pudeur livrées à tout emportement de la jalo
ole, fut père de Phrixus et de Hellé qu’il eut de Néphélé sa première femme , il épousa ensuite Leucothoé qui, par tous les ma
elle, se réfugièrent chez leur oncle Crétée, Roi d’Iolcos ; Démodice, femme de Crétée, devint amoureuse de Phrixus, et s’en v
mais ensuite une tempête les força de relâcher à l’île de Lemnos. Les femmes de cette île avoient massacré tous leurs maris et
fils, que par la suite il exila. Il la répudia pour épouser une autre femme , qu’il condamna à perdre la vie, parce qu’on l’ac
serment des hommes étoit Adopol par le temple de Pollux, et celui des femmes Œ Castor par le temple de Castor. On les représen
ous le nom de Dioscures 20 ou de Tindarides parce que leur mère étoit femme de Tindare Roi de Sparte. Ils se distinguèrent da
de Troie, pour s’emparer de ses richesses, Hécube, avec l’aide de ses femmes , creva les yeux de Polymnestor et fut métamorphos
lui déclara qu’on n’ajouteroit aucune foi à ses prédictions. Laodice, femme d’Acamas, quelques-uns disent de Démophoon, fut e
offroit Minerve, et séduit par l’espérance de posséder la plus belle femme de l’univers, il donna la pomme à Vénus. Il s’att
trésors de Ménélas, la conduisit à Troie. Hélène étoit fille de Léda ( femme de Tyndare,) sœur de Clytemnestre et de Castor et
n crime ; le poëte, dans toute cette histoire d’un séducteur et d’une femme coupable, a mis une pudeur, une morale qu’on ne s
ise sur ses épaules et tenoit son fils Ascagne par la main. Creüse sa femme le suivoit, elle disparut tout-à-coup, il l’appel
, et qui, tandis que ces vêtemens séchoient, jouoit au balon aves ses femmes . Ulysse se couvrit de branches de feuillages et c
re quelque chose contre leur gré. Pendant le siége de Troie, Égialée, femme de Diomède, devint amoureuse d’un jeune homme nom
un temps serein et sans nuage, il alla en Italie où il rencontra une femme qui pleuroit ; croyant trouver le sens de l’oracl
n frère Pirène, il alla se réfugier chez Proclus roi d’Argos, dont la femme , appelée Sthénobée ou Antée, conçut pour lui une
u’un jour, étant assis devant les murs d’une ville, il vit passer une femme Thrace, ayant une urne sur la tête, une quenouill
un cheval attaché par la bride. Le Roi conçut tant d’estime pour une femme si laborieuse qu’il demanda de quel pays elle éto
, Cotys Roi de Thrace, de lui envoyer une colonie de ce pays, hommes, femmes et enfans35. Ce trait n’est vraisemblablement pas
ût qui rapproche le plus de la nature, celui de l’agriculture, et aux femmes vertueuses, le goût sédentaire qui fixe auprès de
tent leurs sages labourant les champs, décorant leurs jardins, et les femmes dignes d’être proposées pour modèles, passant la
rages de ce genre. C’est ainsi que l’histoire nous dépeint Tanaquille femme de Tarquin l’ancien, faisant les habits de son ép
n gendre Servius Tullius36, Lucrèce travaillant tout le jour avec ses femmes , Livie, épouse d’Auguste, consacrée aux mêmes tra
bleaux lorsqu’on vint lui annoncer la mort d‘Hector, la Reine Areté, femme d’Alcynoüs ayant brodé tous les tapis dont les si
pris et de l’horreur. D’après ces idées, les anciens pensoient qu’une femme ne pouvoit avoir le mérite qui doit la caractéris
e filer, de broder, on ne veut point étudier, méditer et lire, peu de femmes s’en donnent la peine, mais on a la prétention de
la prétention de se distinguer, d’écrire, et de briller. A combien de femmes ne pourroit on pas dire justement : Meglio per t
io per te s’avessi il fuso el’ vago37. L’estime des anciens pour les femmes qui consacroient leurs loisirs aux occupations in
ent autant de gloire que les fameux chantres de la Grèce ; toutes les femmes , avoient le goût du travail, plusieurs, (entre au
emmes, avoient le goût du travail, plusieurs, (entre autres, Matilde, femme de Guillaume le Conquérant), se plurent à retrace
fille du Ciel et de la Vérité ; on la représente sous la figure d’une femme vêtue de blanc, assise sur une pierre quarrée. Ce
a fille du Temps ; elle est souvent personnifiée sous la figure d’une femme légèrement drapée, ayant l’image d’un soleil sur
ngénieusement représentée dans quelques tableaux sous la figure d’une femme majestueuse, tenant le livre de l’évangile avec l
L’Amitié. Les Romains la représentoient sous la figure d’une femme ayant la tête entièrement découverte, pour exprim
e vaisseau ; les anciens l’ont aussi représentée sous la figure d’une femme , devant une ruche d’abeilles, appuyée sur une col
ds nus. La Providence. On la représentoit sous la figure d’une femme âgée et vénérable, tenant une corne d’abondance d
Occasion. L’Occasion, étoit représentée sous la figure d’une jeune femme ou d’un jeune homme chauve par derrière, n’ayant
oit la main à la calomnie qui s’avançoit ; il avoit près de lui, deux femmes , l’Ignorance et la Méfiance, de l’autre côté veno
et la Méfiance, de l’autre côté venoit la Calomnie. C’étoit une belle femme qui paroissoit irritée, elle tenoit de sa main ga
gure hydeuse qui avoit les yeux perçans, c’étoit l’Envie. Deux autres femmes parloient ensemble à la Calomnie, c’étoient l’Emb
nsemble à la Calomnie, c’étoient l’Embûche et la Tromperie. Une autre femme qui suivoit vêtue de noir avec des habits déchiré
ne peut être clairvoyant. Cochin la représente sous les traits d’une femme difforme, aveugle et avec des oreilles d’âne. Rub
s étoient les Déesses de la fureur. La Terreur ou Formido. Une femme avec une tête de lion. Les Romains adoroient la P
précipice. Les anciens retraçoient la même idée, sous la figure d’une femme hideuse, tenant d’une main un frein brisé, de l’a
n masque. L’Imagination. Ripa la désigne sous les traits d’une femme vêtue d’une robe de couleur changeante, avec des
mble que l’Imagination seroit mieux caractérisée, en représentant une femme ailée, cachée jusqu’à la ceinture dans des nuages
des contes, des fables et des allégories. La Flatterie48. Une femme vêtue d’une robe de couleur changeante, jouant de
gueil et de l’ingratitude, elle est représentée sous les traits d’une femme d’une figure ignoble et avec un maintien arrogant
n abyme, dans lequel elle se précipite sans espérance ». Un buste de femme avec une épée étoit, chez les Égyptiens (comme on
à l’Injustice 50. Alciat représente l’Injustice sous la figure d’une femme foulant aux pieds une balance et tenant un crapau
t qui mord et ronge tout ce qu’il rencontre. La Fragilité. Une femme couverte d’un voile transparant, tenant d’une mai
utre, une phiole de verre suspendue à un fil. La Tyrannie. Une femme armée, debout, ayant une couronne de bronze, tena
La Tempérance et la Santé. On la représente sous la figure d’une femme tenant un frein et une coupe. La Santé, fille de
ouverte d’un voile blanc. On la représente aussi sous la figure d’une femme revêtue de blanc, tenant d’une main un cachet, de
’Indulgence. Est représentée par les anciens sous la figure d’une femme d’une physionomie douce et calme, assise entre de
di natura L’amor del patrio nido57. L’Expérience. Une vieille femme vêtue de gaze d’or, tenant d’une main un carré gé
le et des livres. On représente aussi la Science sous la figure d’une femme tenant une balance ; on voit, dans l’un des bassi
re et une plume qui emportent la balance. La Persévérance. Une femme tenant d’une main une mèche allumée et de l’autre
ère supportable. Il semble qu’on pourroit la caractériser ainsi : une femme couronnée d’olivier, portant d’une main le flambe
ni condamner, ni proscrire. La Puissance ou la Monarchie. Une femme magnifiquement vêtue, assise sur un trône, tenant
t un scèptre, des balances et des clefs. L’Harmonie. Une belle femme couronnée de pierreries, assise sur un trône, jou
ses pieds un tigre couché et deux colombes. La Perfection. Une femme , le corps dans le Zodiaque et traçant un cercle e
ue et traçant un cercle entier avec un compas. L’Humilité. Une femme vêtue de gris, ayant une couronne sous ses pieds,
peindre sous le nom de Démodocus. 33. La plus grande somptuosité des femmes de ce temps étoit d’avoir de beaux coffres. 34.
en Auvergne), les villageoises sont tout aussi laborieuses que celle femme thrace ; toutes les paysannes de ces provinces, l
alens. Alors cette réunion si rare offre le mérite et le charme d’une femme dans toute leur perfection et ne peut jamais être
pête. » 52. Ocnus étoit un homme pauvre et laborieux qui avoit une femme paresseuse et fort peu ménagère, qui dépensoit to
2 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
ation et la Complainte ; à l’Ether avec le Jour : Thalassa ou Thétys, femme de Pontos ou l’Océan, d’où naquirent Phorcys, Tha
dé de cent manières différentes, thême offrant pour sujet une vieille femme qui sollicite de l’amour, un jeune homme qui la r
l est censé avoir parcouru ensuite l’univers caché sous des habits de femme , avoir conté partout sa malheureuse aventure, et
e déesse est la seule qui doivent être véritablement considérée comme femme de Saturne et mère des grands Dieux de la Grèce.
Rhée, était la grande déesse de la Crète ; elle offrait l’idée d’une femme fort âgée, et d’une origine fort ancienne : était
mposite des Grecs, n’a point de jeunesse : on la trouve tout de suite femme de Chrone ou Saturne, déjà connu pour être fils d
cette pénible digestion, soit pour céder aux trompeuses prières de sa femme , il but un breuvage fourni par une appelée Métis.
’empire du monde à la condition qu’il détruirait tous les fils que sa femme mettrait au jour, il tint sa promesse, parce qu’i
deviner pourquoi la mythologie composite des Romains lui a donné pour femme , probablement après sa chute du ciel, Entorie, fi
comme l’indique son nom latin, soit par les Dieux, soit par Circé sa femme , pour laquelle il n’avait eu que de la froideur.
a suite, la licence la plus désordonnée terminait ces orgies, que les femmes répétaient le premier mars sous le nom de Matrona
cre ses ennemis, s’emparer de l’empire du monde, puis se livrer à ses femmes et à ses maîtresses, et devenir le père d’une nom
à avait épousé Rhéa, et de son grand-père Uranus, qui avait pris pour femme Titea ou Titia. Ses États étant trop étendus pour
che le jeta au milieu de tant d’intrigues amoureuses, qu’il irrita sa femme Junon, qui finit par conspirer contre lui ; mais
n frère aîné, qu’il ne laisserait vivre aucun des enfans mâles que sa femme pourrait mettre au jour, afin que la succession p
nymphes et de ministres fidèles. Comme le seul des fils sauvés par la femme de Saturne, il fut élevé avec le plus grand soin,
qui fut spécialement chargée de nourrir le divin enfant. Etait-ce une femme lui faisant sucer le lait d’une chèvre favorite,
cette chèvre elle-même était-elle seule véritablement Amalthée, et la femme était-elle Ega et fille du Soleil ou d’Olène ; ce
ende ordinaire, sans faire mention d’Ega, nous montre Amalthée tantôt femme et chèvre, ou tantôt chèvre et femme, suivant qu’
Ega, nous montre Amalthée tantôt femme et chèvre, ou tantôt chèvre et femme , suivant qu’elle a besoin de faire dominer la fem
tantôt chèvre et femme, suivant qu’elle a besoin de faire dominer la femme ou la chèvre. Un jour, cette chèvre sacrée, s’éta
. Ici, encore division d’opinions, car les uns assurent que ce fut la femme , les autres, que ce fut la chèvre qui fut ainsi t
nérée, sur l’épaule gauche du cocher. Une autre légende assure que la femme et la chèvre ayant eu leurs os, après leur mort,
Hypérion. Ainsi Homère, sans avoir eu égard à Thia, lui a donné pour femme Euryphæsse, c’est-à-dire, la déesse à ample lumiè
nne pas Climène, c’est-à-dire, une océanide ou fille de l’Océan, pour femme  ; car c’est tantôt à tort Asope, et mieux Asie, e
hémis, déesse de la justice, qui passe plus souvent pour avoir été la femme de Jupiter. On donne pour fils à Japet Atlas, Epi
res. L'une d’elles, Mérope, épouse de Sisyphon, ou peut-être Electre, femme de Dardanus, disparut du ciel vers le temps de la
e Jupiter. Le premier de ces personnages que nous rencontrons est une femme  ; c’est la Titanide Thémis, qui fut la déesse de
t de la science ; et toujours on l’a représentée sous la figure d’une femme , tenant une épée nue d’une main et une balance de
barbares et sans lois, était représentée sous les traits d’une belle femme , étranglant une femme hideuse et la frappant à co
, était représentée sous les traits d’une belle femme, étranglant une femme hideuse et la frappant à coups de bâton. On donna
la peuplade de l’empyrée s’augmenta considérablement. Junon, sœur et femme de Jupiter, en eut Vulcain, leur fils unique, qu’
Apollon et Diane, avec Latone, fille de Cœos ; à Egipan, fille d’Ega, femme de Pan ; à Hercule, avec Alcmène, femme d’Amphitr
Cœos ; à Egipan, fille d’Ega, femme de Pan ; à Hercule, avec Alcmène, femme d’Amphitrion, et à plusieurs autres enfans que no
et le confie à la garde d’un autre monstre appelé Delphyne, à tête de femme et à corps de dragon. Après cette défaite, deux e
amant ou mari d’Echidna, autre monstre anguipède à tête et à torse de femme , fille de Chrysaor et de Callirhoé ; elle dévorai
ommande à Vulcain, Dieu du feu et des forgerons, de lui fabriquer une femme . Celui-ci, en artiste habile, obéit, et orne sa s
et moins sage que son auteur, accueillit la belle Pandore, en fit sa femme et ouvrit la boîte. Soudain, a écrit M. Parisot,
ne forme qu’un avec sa boîte, est une allégorie charmante : c’est la femme , douée de tous les agrémens les plus séduisans et
es jetées par Deucalion devinrent des hommes, et celles de Pyrrha des femmes . Ces deux personnages allégoriques représentent d
ys dit qu’après l’inondation, il ne s’échappa qu’un seul homme et une femme , qui repeuplèrent la terre en jetant derrière eux
e, Eriphile, Mécistée, Parthénopée et Pronacte. Astynomée eut de sa femme Hipponoris ou Hipponoüs, Capanée et Péribée. Ce C
une Déiphile. Œnée de son alliance avec Péribée, eut Tydée, dont sa femme Déiphile le rendit père de Diomède. Plus tard il
t d’Azan, fils de Pélasgue, ce qui ne lui donne plus Cyllène que pour femme . Roi d’Arcadie, il bâtit Lycosure, et il y fit co
ou Léontée, et pour mère, ou Pisidice, maîtresse de Mars, ou Pisione, femme d’Éton. Il épousa Dia, fille de Déionée ; mais so
t délié un instant lorsque Pluton, le dieu des Enfers, introduisit sa femme au sein de son empire, et plus tard sa roue s’arr
ouver les intentions criminelles de son hôte, envoya à la place de sa femme une esclave appelée Néphélée ou la nuée. Mais par
autrement en disant que Sisyphe, à l’instant de mourir, ordonna à sa femme , pour éprouver son amour, de jeter son corps sans
btint de Pluton la permission de retourner sur la terre pour punir sa femme , puis en suite ne voulut plus redescendre au somb
l était fils d’Hipponoris ou d’Hipponoüs, descendant de Deucalion, et femme d’Astynomé. On dit qu’il avait osé défier les Die
ui vous soit consacré, répond Philémon, et mourir ensemble, ajoute sa femme . Tout à coup le temple surgit du sol et fut, pend
er hospitalier, soit, sous son nom d’hospitalité, par la figure d’une femme faisant accueil à un pèlerin, et tenant une corne
 ; les hommes seuls y combattaient, et pour la gloire seulement ; les femmes en étaient sévèrement exclues, sous peine de mort
it la course en chars. Ce fut à cette première course en char, qu’une femme nommée Cynisca, fille d’Archidamas, prince de Mac
ec un air timide et même consterné. Comme épouse légitime il eut pour femme sa propre sœur Héra ou Junon. Il en eut une fille
ordre. Ainsi, sans compter Junon qui passe généralement pour sa seule femme légitime, les légendes lui reconnaissent en outre
ix de Thémis, Thébée d’Iodame, la Vérité, Até, etc. Quelques-unes des femmes ou maîtresses de Jupiter et plusieurs de ses enfa
cyone, Alcyonie, Alexandros ou donnant secours aux hommes, Ammonia ou femme de Jupiter Ammon à Elis, Anétistos ou de Corinthe
s, Fébrua ou Fébralis ou la purifiante, présidant au mois de Février, Femme , Florida ou la fleurie, Gamélia, protectrice des
accoucheuse, Martia ou la mère de Mars, Matrone ou la protectrice des femmes mariées, Matuta, et Mégale ou la maîtresse, Mensa
ne ou protectrice du mariage, Opis ou Opigenia ou portant secours aux femmes en couche, Pharigée ou de Pharigas en Phocide, Ph
du mariage, Puella ou enfant, Quiris et Quirina ou la protectrice des femmes mariées, Regina ou reine, Rheionia ou de Rheion,
ou en grec Teleios Gamos, signifiant union légale de l’homme et de la femme . Ce mariage se célébra, suivant Diodore, sur le t
end cette union publique, légitime et indissoluble. Toutes les autres femmes de Jupiter ne furent donc unies à ce Dieu que par
oudeur, complément très-propre à rendre tout-à-fait insupportable une femme acariâtre. Un jour qu’elle boudait sérieusement,
gla Tirésias ; punit tristement Sidée, Cassiopée, Antigone, Anaxibie, femme de Pélias, les Phœtides, Pygas et les Priamides,
ire avec sagesse au milieu des ignorans de son époque. Quant à Sidée, femme d’Orion, son extrême beauté avait naturellement e
 : elle la précipita simplement aux enfers. La punition de Cassiopée, femme de Céphée, roi d’Ethiopie, et mère d’Andromède, n
surpé le royame d’Olchos sur Eson, son frère utérin, rendit sa propre femme très-malheureuse, la fit même périr, ainsi qu’Eso
oucheuse. Elle exerçait donc plusieurs degrés de puissance. Aussi les femmes de toutes les classes avaient leur Junon spéciale
e, pour éviter d’encourir sa colère, Numa avait défendu à ce genre de femmes de paraître jamais dans les temples de l’auguste
ateur fidenate Lucius, et forcés de leur livrer leurs filles et leurs femmes , profitèrent de l’offre des esclaves qui proposèr
s consacrées à Junon se nommaient les Callistées, dans lesquelles les femmes de Lesbos, des Parrhasiens, et les hommes chez le
ore admise chez les Grecs. Quant aux brouilleries de Jupiter et de sa femme , elles représentent le tableau de tous les mauvai
ses de Vulcain soient peu nombreuses, on dit cependant qu’il eut pour femme , d’abord Vénus, la déesse de la beauté, et pour m
rynète, de mère inconnue ; Cupidon, de la belle et brillante Vénus sa femme  ; Erichthonius de la sage Minerve, ou d’Attis fil
es réseaux invisibles tendus par Vulcain son époux. On lui donne pour femme ou maîtresses : Aglaure, fille de Cécrops, Athès,
d’après ce phénomène appelé Aphénus ; Nérienne était particulièrement femme du Mamers des Sabins ; Philonomé était une fille
iodore de Sicile, une des Atlantides fille de Jupiter et d’Electre et femme de Cadmus. On prétend que tous les dieux, excepté
ou de Stérope : il fut roi de Pise, et père de la fameuse Hippodamie, femme de Pélops. Cet OEnomaüs était encore père d’un Al
Prognée, fille de Pandion, roi d’Athènes laissa Philomèle sœur de sa femme , venir avec elle, malgré les répugnances que Pand
n désespoir tue son propre fils Itys et profite de la liberté que les femmes avaient pendant une fête de Bacchus pour courir d
braient chaque année dans un temple dont l’entrée était interdite aux femmes  ; ainsi que les jeux Martiaux, du 1er août, à Rom
n la confond avec Minerve ou Pallas, et on la considère comme sœur ou femme de Mars. C'était elle qui préparait son char quan
. Elle seule, disait Virgile, devait aller couper le cheveu fatal des femmes à l’agonie. Plus tard, on lui donna les missions
revint ensuite à une déesse funeste dont la colère était redoutée des femmes enceintes ; on peut même dire que nos Ilithyes mo
core, on attribuait à la lune une influence positive sur la santé des femmes en général, et particulièrement sur celle des fem
sur la santé des femmes en général, et particulièrement sur celle des femmes enceintes. On représentait Lucine en costume matr
nt lesquelles des hommes, privés de tous vêtemens, couraient chez les femmes romaines et leur frappaient le ventre et les main
déesse de la maternité, Nixi Dii étaient trois dieux protecteurs des femmes en couche, à Rome, Nundina présidait comme déesse
it à la formation des os, Partes étaient deux déesses latines que les femmes enceintes de neuf à dix mois, invoquaient pour le
Rome, protectrice de l’enfant après sa conception. Latone passe pour femme ayant cohabité avec Jupiter, et pour fille du Tit
de Dioné d’Antémusie ou Euryanasse qui toutes passent pour avoir été femmes de Tantale. Quelle que soit sa mère, Niobée épous
e fable d’une autre manière, ils disent que Niobée, fille d’Assaon et femme de Philote, trouva la beauté de ses enfans supéri
nt long-temps une roche ressemblant de loin, d’après Pausanias, à une femme en larmes et accablée de douleur, roche qui avait
rendre dans son temple leurs ceintures. Il est probable que plusieurs femme célèbres des t emps primitifs ont porté le nom de
r d’Apollon. On donnait à Diane Elaphion, c’est-à-dire le petit faon, femme d’Elide, pour nourrice, chez les Éléens. Cette dé
ue Diane lui reprochait. Il était fils d’Autonoée, fille de Cadmus et femme d’Aristée, fils de Cyrène et d’Apollon. Il aimait
ce ou Euripyle, qu’il eut d’Astérodie, ou d’Hypéripna, fille d’Arcas, femme dont peut-être on changea le nom en celui de Dian
il répondit qu’il désirerait bien avoir un fils, mais sans prendre de femme avec lui. Aussitôt les Dieux, après avoir détremp
, appelée aussi Orion. On donnait encore Clonie, mère de Nyctée, pour femme à Hyriée, et l’on marie Orion à Sidé, de qui il e
sopotamie. Dans cette ville, les hommes lui sacrifiaient en habits de femmes , et les femmes vêtues en hommes. Les Grecs et les
cette ville, les hommes lui sacrifiaient en habits de femmes, et les femmes vêtues en hommes. Les Grecs et les Romains représ
cine, tantôt magicienne et chasseresse habile ; alors ce n’est qu’une femme ordinaire, frappant de ses flèches les hommes et
iter, étant devenue mère d’Orphée, la déesse de la beauté inspira aux femmes de la Thrace une fureur amoureuse qui les porta à
oïques, présidait à la tragédie. On lui donnait la figure d’une jeune femme à l’air sérieux, majestueusement vêtue, chaussée
s, roi d’Argos, vers l’an 1270 avant J.-C. Bientôt Antée ou Sténobée, femme de ce roi, s’étant éprise d’un coupable amour pou
ble amour pour le jeune héros, et l’ayant trouvé insensible, imita la femme de Putiphar à l’égard de Joseph, et l’accusa, dev
ne les écouta point, et il ne fléchit qu’après avoir obtenu de leurs femmes les plus douces prières. Ensuite, il se tourna ve
olymes, Hippoloque qui lui succéda au trône, et une fille, Deidamire, femme d’Evandre, ou Hippodamie dont Jupiter eut Sarpédo
quivoque du mot Peleiai qui signifiait en grec ou colombe, ou vieille femme . Pour donner un prestige plus merveilleux à la ma
l devait son origine à la disparition de Trophonius, fils d’Epicaste, femme d’Erginus, roi des Orchoméniens. Ce Trophonius, a
. Mops, fils d’Apollon et de Manto, appelée aussi Artémise ou Daphné, femme de Rhacios et fille de Tyrésias, fut prêtre d’Apo
s Gaulois en Asie. Après les prophétesses, apparaissent les sibylles, femmes inspirées qui rendaient des oracles. Varron en co
sait dans les bois de Tibur, actuellement Tivoli : on la croyait Ino, femme d’Athamas, ou Leucothée, ou Matuta. Mais la plus
llerie, causée par un arrêt du Sénat dans lequel on avait défendu aux femmes l’usage des chars. On peut aux sibylles ajouter l
ntourer de murailles. Du reste, on sait comment lui, ses enfans et sa femme Niobée tombèrent sous les coups des Latonides. Ar
qu’où peut aller le dévouement marital. On dit qu’après avoir revu sa femme Orphée s’ôta la vie ; d’autres le font périr d’un
douleur qu’il ne ressentait pas. On dit enfin qu’après la mort de sa femme il se retira sur le mont Rhodope où, dans son dés
plaisir d’avoir les moindres relations avec le beau sexe ; alors les femmes de Thrace, que ses accords avaient charmées, voul
lui bâtirent un temple dont l’entrée fut pour toujours interdite aux femmes . On disait même, pour prouver sa divinité, que le
x doigts de rose ; Pallantias ou fille de Pallas ; Tithonia conjux ou femme de Tithon. Elle était chargée d’atteler les cheva
me temps qu’un jour viendrait qu’il désirerait n’avoir jamais revu sa femme . Malgré ses divers déguisemens, Céphale fut long-
Crète à la cour de Minos, qui lui-même oublia pour elle Pasiphaé, sa femme , laquelle, pour se venger, se livra aux désirs de
venger, se livra aux désirs de Taurus. Puis Céphale fut rechercher sa femme et se réconcilia avec elle ; mais étant ensuite d
eu un fils de Céphale, et après l’avoir laissé retourner auprès de sa femme , enleva le bel Orion qui passait pour fils de Nep
et. Dryope, fille d’Euryte et d’Œchalie, était sœur d’Iole, l’une des femmes d’Hercule, elle fut d’abord aimée d’Apollon, puis
ate. Hyrie ou mieux Thyrie, nymphe thessalienne, fille d’Amphinome et femme de Sténelé, roi de Ligurie, fut mère de Cycnus, p
père originaire des Corybantes ; Cycnus, fils de Thyrie ou de Hyrie, femme de Sténélé, roi de Ligurie, passe souvent pour en
ape. Ce savant guérisseur des maux physiques fut, dit-on, marié à une femme dont le nom est très-incertain ; car on l’appelle
sacrant leurs cheveux. On la représentait sous les traits d’une jeune femme voilée ou sans voile, tenant d’une main un serpen
cré dans l’enceinte duquel on ne pouvait laisser ni malade mourir, ni femme accoucher. Les environs étaient parsemés de colon
dieux chassant les maux, à Mana, déesse des maladies périodiques des femmes , à Thermora et à Valenti, déesses des bains. Les
revenons aux autres enfans d’Apollon : Eurynome, fille de ce dieu, et femme de Talas, fut mère d’Adraste, roi d’Argos ; Eurip
insi que Latone et tout ce qui se rattache aux Latonides, parlons des femmes ordinaires du maître des Dieux. L'on a vu comment
x yeux du vulgaire, la Théogonie grecque la personnifia et en fit une femme qu’elle supposa avoir existé avant Jupiter. Ce fu
à Métis quelques autres enfans, mais tous allégoriques. La troisième femme de Jupiter appelée Eurynome est une océanide dont
m grec, signifie mémoire. C'est la personnification, sous la forme de femme , de ce don précieux. Ce fut elle qui imposa des n
son trident, il l’emporte au sein de son noir séjour pour en faire sa femme , faute d’avoir pu trouver parmi les déesses de l’
s, où, pour ne pas être reconnue, elle prend les traits d’une vieille femme , puis s’assied sur une pierre qui reçut le nom d’
e à s’asseoir, ce qu’elle refuse. Cette Méganire est donné aussi pour femme à Hippothoon, un des anciens rois de l’Attique, q
uvait avoir. Les autres veulent que cette suivante fut Baubo, vieille femme , libre en gestes et en paroles, épouse de Dysaule
s’était passé lors de l’enlèvement de Proserpine ; tellement que les femmes et les hommes, pour mieux s’identifier avec les m
a corbeille sacrée de la déesse. Ils étaient suivis par une troupe de femmes appelées Cistophores à cause des corbeilles rempl
ndamnés, et encore moins les nothes ou illégitimes, les esclaves, les femmes publiques qui ne pouvaient en outre s’approcher d
e les Eleusinies, à Cérès ambulante ou cultivatrice, et parce que les femmes de haute naissance pouvaient seules y assister ;
mettait en liberté les détenus pour fautes légères, et en Sicile des femmes précédaient la marche de la procession et couraie
criant à pleine voix pour imiter Cérès cherchant sa fille ; d’autres femmes suivaient en poussant également des hurlements af
nquième on faisait un sacrifice expiatoire appelé la Zémie ; puis les femmes faisaient la translation des lois en les portant
isse n’ayant pas encore porté le joug, que quatre Géréres ou vieilles femmes ou matrones immolaient à Cérès. Argos adorait Cér
ystères sacrés de la nature. Dans l’Achaïe, à Sicyone et à Mysie, les femmes célébraient les Mysiennes ou fêtes de Cérès, qui
e des maris et frère de Picumne, inventeur de la mouture et génie des femmes mariées ; Nomios, (voyez Pan) Obarator, dieu ital
Cependant Vertumne, à la fin, se déguise sous les rides d’une vieille femme , et présente ses services à la jeune et jolie jar
famille et les douceurs de la maternité ; elle compare l’homme et la femme aux deux arbres sous lesquels ils se trouvent ; e
ien à ses pieds, et l’hiver par Hercule ou par un vieillard, homme ou femme couché dans une grotte, enveloppé dans des peaux
du moins un prince du même nom. Nous avons dit que l’on donnait pour femme à Jupiter une fille de Céres appelée Proserpine,
fille de parens inconnus. Cependant une divinité de ce nom passa pour femme ou au moins amante de Jupiter, et en eut Epaphe ;
n sait encore que Stix, l’aînée des Océanides, passait pour avoir été femme de Jupiter, c’est selon nous une erreur à laquell
ions tentés de le croire. Mais nous parlerons plus en détail de cette femme légitime du Titan Pallas, lorsque nous ferons con
nstant sur Dionê, déesse qui passe également pour avoir été l’une des femmes de Jupiter. C'était une fille de l’Ether et de la
à moitié existante. Vénus. Nous voici maintenant arrivés à l’une des femmes les plus remarquables de Jupiter ; à la Vénus des
le Céphise ; Armata, ou Vénus armée, chez les Lacédémoniens, dont les femmes avaient remporté une victoire sur les Messéniens,
xopolis, ou dont le temple était hors d’Athènes ; Frugi et Frutes, ou femme de bien ; Genetrix et Genitrix, ou l’Engendrante,
ourable à Memphis ; Idalia, du mont Idalien et de Cypre ; Licaste, ou femme de Butès, fils de Borée ; Lubentie et Libentine,
à Lacédémone, parce que Tyndare pour mieux faire sentir le devoir des femmes d’être soumises et fidèles, avait mis des chaînes
chaste à Rome, parce que Sulpicia, fille de Sulpicius Paterculus, la femme la plus sage de Rome, lui avait consacré une stat
atrième fille de Tyrus et de Syria, devait être Astarté ou Astoarché, femme d Adonis, et la même que l’Anaitis des Mèdes, l’A
lle veut ensevelir et sa honte et ses chagrins. Mais les pleurs d’une femme jeune et jolie, tendre et facile, ne peuvent dure
s cet ordre on se rendait près d’un immense catafalque sur lequel des femmes laïques de haut rang étendaient de riches tapis d
finissait point ainsi cette partie des Adonies à Alexandrie, car les femmes les plus distinguées de la ville y portaient la s
e la Phénicie, où elle était attendue avec impatience. La plupart des femmes assistaient à cette cérémonie lugubre de l’ Aphan
avait eu sous le nom de Callycopis, fille d’Otrée, roi de Phrygie, et femme de Thoas, roi de Lemnos ou d’Assyrie, lequel fut
les royaumes de Byblos et de Cypre dans lesquels, après la mort de sa femme , il institua en son honneur des fêtes appelées Or
r. Ces Propétides présentent la transition allégorique que suit toute femme qui se livre à ses penchans : d’abord ce sentimen
passion ; puis l’habitude sans frein de celle-ci, fait bientôt de la femme un être aussi insensible que les rochers. Vénus,
omme on le voit, était assez susceptible, et punissait sévèrement les femmes qui manquaient envers elle de dévotion ; les femm
it sévèrement les femmes qui manquaient envers elle de dévotion ; les femmes de Lemnos, appelées Lemniades ou Lemniennes, en f
x, que l’on nommait Alcyons. Vénus punit aussi Cenchris ou Cenchréis, femme de ce même Cinyre, et Polyphonte. La première éta
ration, probablement expiatoire, plusieurs jeunes vierges et quelques femmes s’avançaient vers l’autel de Vénus-Nuptiale, et l
orte son nom ; les chevelures consacrées venaient de ce que Bérénice, femme de Ptolémée Evergete, roi d’Egypte, avait fait vœ
les risques eussent diminués ce spécifique devint fatal à toutes les femmes qui osèrent l’essayer, et un petit nombre d’homme
une tortue, pour indiquer que la pudicité, le plus bel ornement de la femme , doit l’empêcher de trop sortir de sa maison. Vir
dorées, s’était uni au Chaos, d’où il était résulté les hommes et les femmes  ; il n’y avait donc point de race humaine avant l
ientôt que le plaisir. On la représentait sous les traits d’une belle femme , aux longs regards et aux yeux languissans, aux l
sant de l’amour, on pourrait le peindre sous les traits d’une vieille femme , laide et sale, et pourtant cherchant à enchaîner
jeune homme, qui se mire dans une fontaine limpide, ou bien une jeune femme portant une besace, qu’elle ferme de la même main
rendus à la liberté ; les Erosanthies dans la Peloponèse : alors des femmes se réunissaient pour cueillir des fleurs en l’hon
u’il suivait partout où elle allait. Un jour, se trouvant travesti en femme , auprès de sa maîtresse et au milieu des dames d’
l’a qualifiée de Danaïde que parce qu’on l’a confondue avec Anaxibie, femme d’Archélaüs. Clymène était une néréide, peut-êt
me d’Archélaüs. Clymène était une néréide, peut-être la même que la femme de Japet, elle se laissa séduire par Jupiter et e
a fondation de Melita. Phthie, est le nom d’une des filles de Niobé, femme d’Amyntor et belle-mère de Phenix qu’elle accusa
qu’elle était un modèle de sagesse et d’habileté dans les travaux de femme  ; que sa beauté était ravissante, et qu’elle aima
rétendu que cette Alcmène devait nécessairement ne représenter qu’une femme très-légèrement vertueuse, qui, profitant de l’ab
a patrie, elle fut abandonnée par Lycus à la discrétion de sa seconde femme Dircée, qui la retint pendant plusieurs années en
ou de Phénix, nom qui résumait la Phénicie entière, et de Périmède sa femme  ; ses frères étaient Cadmus, Cillix et Thasos, ou
e, ou de Triopos septième roi d’Argos. On lui donnait pour mère Argie femme d’Inachus ou Ismène femme de l’inachide Argus. C'
roi d’Argos. On lui donnait pour mère Argie femme d’Inachus ou Ismène femme de l’inachide Argus. C'était donc une princesse d
fille d’Asope, qui n’était en réalité qu’un tronc d’arbre habillé en femme . Cette ruse ayant réussi et ayant donné lieu à un
de Jupiter pour laquelle il fut obligé de se transformer. Elle était femme de Tindare et fille de Thestius roi d’Étoile, fil
Enfans de Jupiter, filles de ce dieu. Après avoir fait connaître les femmes et les maîtresses ou concubines de Jupiter, parlo
it on avait élevé un temple à la Fortune hors de Rome, temple que des femmes seulement desservaient et dans lequel les dames R
Romaines faisaient un sacrifice chaque année ; Mulier ou honorée des femmes  ; Natalis ou présidant à la naissance ; Obsequens
des jeunes filles ; Virilis ou virile et adorée spécialement par les femmes veuves et les jeunes filles, qui chaque année se
har, et de plus, à ses pieds un chat. Lydie, fille de Jupiter, était femme de Memphis. Macédonia, fille de Jupiter et de Th
u un flambeau renversé. Thébée, fille de Jupiter et d’Iodamé, fut la femme d’Ogygès, et mère de plusieurs enfans dont on ign
re de la Justice et de la Vertu. On la représente sous la forme d’une femme modeste, dont la demeure, suivant Démocrite, étai
nia et Teleidia ou dans leur ensemble Praxidices et Trito ou Tritonia femme de Triton. On cite même parmi ses gouverneurs ou
gée en oiseau. On dit encore que Minerve Métamorphosa Dircée deuxième femme de Lycus roi de Thèbes, en poisson ; mais cet act
our avoir exercé une cruelle jalousie sur leur mère Antiope, première femme de Lycus. Enfin Minerve changea en serpent les
et que cette contrée prendrait le nom de la déesse. Cécrops eut de sa femme Aglaure fille d’Actée, trois filles appélées Cécr
ives. Elles le faisaient passer pour fils de la terre et de Praxithée femme d’un Erichthée ou Erichthonius ou Erichton, que n
I, Métion, Pandarus, Créhuse, Orithye, Procris, Citonie ou Colophonie femme de Butès, Cécrops II époux de Métiaduse et père d
ute ; mais à peine est-il près de la grotte, qu’il en voit sortir une femme qui s’élance vers les flots. Lui, plus prompt que
i, après la mort d’Eurydice, ne voulut pas se laisser séduire par les femmes de la Thrace, qu’il venait d’enivrer ; alors cell
janvier à Limna en Attique, et étaient dirigées par quatorze vieilles femmes appelées Vénérables ; les Arcadiques étaient en A
ent et dansaient ; les Agrionies étaient des festins nocturnes où les femmes seules pouvaient assister ; les Airéennes ou Aloe
triennal dans l’Inde : elles se composaient de courses faites par des femmes chantant son retour et le croyant au milieu d’ell
ours soumis aux ordres des Orgiastes ou prêtresses, car en Grèce, les femmes seules présidaient aux mystères de Bacchus et à s
en un arbre, qui porte son nom ; cependant il paraît que Pan eut pour femme la nymphe Alexirrhoé ou Alenthoé. Ce fut lui qui
t divinisé lui-même après sa mort, comme protecteur des forêts, et sa femme aussi, comme exemple de la fidélité conjugale. To
délité conjugale. Tous deux rendaient des oracles, savoir : Fauna aux femmes , Faunus aux hommes ; d’où vint le nom des oracles
aucun homme ne pouvait offrir le moindre sacrifice ; Eurymédon, Maïa, femme de Vulcain ; Latinus, époux d’Amate et roi des Ar
Intercidons qui présidaient à la coupe des forêts et défendaient les femmes grosses contre les insultes des Sylvains. Enfin l
des enfans parce qu’ils aiment à casser les branches d’arbres, et les femmes en couche le redoutaient et imploraient contre lu
ré dans les Indes, et le sixième est le fils de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amphytrion, et c’est le grand Hercule des Grecs
dame, fille d’Amphidamas, ou d’Hyrmine, fille de Nyctée ou d’Egée, et femme de Phorbas. Ces écuries étaient remplies de 3000
pour la réclamer, ou pour enlever plus tôt par représailles, Hélène, femme de Minos. Ce qui fut cause de la fameuse guerre d
à deux têtes, et Orthos, dragon à deux ou sept têtes, monstre, moitié femme et moitié serpent, que l’on disait fils de Tiphoé
olyte reine de ces guerrières. Aussitôt il part à la recherche de ces femmes célèbres par leur courage, qui d’abord habitaient
ient qu’une des mamelles afin de pouvoir mieux tirer de l’arc, de ces femmes qui subjuguèrent successivement les Atlantes, les
ontrera souvent par la suite, nous allons donc indiquer celles de ces femmes qui se distinguèrent le plus dans les temps fabul
Thoé et Xantée. A peine Hercule a-t-il commencé à marcher contre ces femmes célèbres, que Mygdon et Amycus frères d’Hippolyte
roi de Pise OEnomaüs, Céléno, Clie, Esile, Eudora, Halcyone, Mérope, femme de Sisyphe, Méra, femme de Lycaon et mère de Tégé
éléno, Clie, Esile, Eudora, Halcyone, Mérope, femme de Sisyphe, Méra, femme de Lycaon et mère de Tégéate, Pitho, Polixo, Tayg
ès et de Périclymène qui l’avait épousé après avoir perdu sa première femme Théoné, et lorsqu’il y fut pour en ramener Alcmèn
ontre Nélée, roi de Pylos, né ainsi que Pélias de Neptune et de Tyro, femme de Créthée, roi d’Iolchos. Ce roi étant mort, son
gre, mais encore ces cinquante-deux filies ou Thespiades de plusieurs femmes , au nombre desquelles, on range Eurytémis fille d
nte et livra Hercule à Omphale, reine de Lydie, fille de Jardanus, et femme de Tmolus, aux pieds de laquelle Alcide amena enc
s duquel il expira ; Lycus ou Lycas, fils de celui de Thèbes et de sa femme Dircé ; Mégabrontès, chef Dolien, qui combattait
Enée et pour fille Palantho ou Palotho ou Palathie, déesse italique, femme de Latinus. Dans l’origine, le culte d’Hercule ét
échapper aux poursuites des habitans, de se cacher sous des habits de femme  ; les Ergasties ou Ergaties, fêtes de Sparte, cél
is et Protogénie ; quant à Cynortas, il devint père d’OEbalus, que sa femme Gorgophone rendit père d’Arane ou Arène, d’Icare,
devint père d’Alétès, de Damasippe et de la belle et sage Pénéloppe, femme d’Ulysse. Locre, fils de Jupiter et de Néère ; i
vait été banni d’Athènes par l’Aréopage, en punition du meurtre de sa femme , et qu’alors il se réfugia à Thèbes, accompagna A
e, ce Dieu des eaux inspira, dit-on, une horrible passion à Pasiphaé, femme de ce roi, pour ce même taureau ; et Dédale, méca
filles aînées de Phocus et de Céto. Les Grées étaient trois vieilles femmes , savoir : Enyo, sœur de Mars, Péphrédo et Dinon o
la suite il épousa l’Océanide Callirrhoé, de laquelle il eut Echidna, femme de Tiphoé ; Géryon le géant et la Chimère ; nous
ysidice et de Périmède, Calliare et d’Amphitryon ; Electryon eut pour femmes , d’abord Médée, dont il eut Antimachus, Archelaüs
el naquit Ptérélas, père d’Antiochus, qui eut en outre avec une autre femme Mestor et Pométo. Sthénélus fit alliance avec Ni
une calamité publique : Diodore prétend que ces Gorgones étaient des femmes guerrières de la Libye près le lac Tritonide et v
Neptune eut de nombreuses aventures, et par conséquent une foule de femmes , de maîtresses et d’enfans, d’où vint qu’on lui p
une fille appelée Bentésémélée et Bentisicyme. Ensuite, il eut pour femmes ou maîtresses : Agamède, fille d’Augias ; elle fu
me, fille ou sœur d’Amphitrite, fut la nourrice, et finit par être la femme d’Eumolpe, fils de Neptune et de Chionée. Céléno,
léno, fille d’Ergéé ou Érigine ; Cymopolie, fille de Callirhoé fut la femme de Briarée ; Éthuse, eut Éleutérus d’Apollon ; Év
s de Jupiter et de Junon. On les représente avec un visage de vieille femme ridée, un bec crochu, des griffes énormes, un cor
re, on a imaginé les Lamies, véritables vampires femelles, à buste de femme et corps de serpent, dont le seul plaisir était d
uir le toit paternel Phrixus et Hellé, enfans de Néphelé, la première femme de son mari Athamas, fils d’Éole et petit-fils de
l n’ayant point d’enfans, l’adopta d’un commun accord avec Péribée sa femme , qui lui donna le nom d’OEdipe ou aux pieds enflé
être d’Euryganie ou d’Hyperphas, que l’on donne à OEdipe pour seconde femme . Après quelques années de cet horrible et premier
Mimas ; Jocastus qui régna sur la contrée Italienne de Reggio, Iope, femme de Céphée, Phérée, mère d’Hécate et Tanagre, fils
t entouré des plus aimables images. Ainsi, au lieu de lui donner pour femme Chloris, fille d’Arcture, ils laissaient cette be
mme on l’a vu, en lisant l’article Lycus, la mort de Dircé sa seconde femme . Cet Épopée, fut père de Marathon, qui eut pour f
e Bias, deux fils nommés Acaste et Ampycus, et sept filles : Alceste, femme d’Admète, Amphinome, Antinoé, Astéropée, Hippotho
s les malheurs de ses fils ; mais son frère maternel Eson, épousa une femme appelée Alcimède ou Amphinome ou Polymède ou Poly
rs le midi, abordèrent à l’île de Lemnos où ils ne trouvèrent que des femmes ou espèces d’amazones ; car nous l’avons vu, elle
har traîné par des dragons volans, à Athènes, où elle devint deuxième femme d’Egée, auquel elle conseilla d’empoisonner son f
Pirithoüs descendait des enfans d’Apollon, par Déion, fille de Dia et femme d’Ixion. Cette alliance avec Pirithoüs, roi des L
celle de son ami ; car, étant devenu amoureux de Proserpine ou de la femme d’Aïdonnée, roi d’Épire, il se décida à descendre
ps après, dit-on, Thésée revint des enfers, et ayant été pour voir sa femme , il trouva dans ses mains un billet par lequel el
aux prières de Cléopâtre ou d’Alcyone fille d’Idas et de Marpesse sa femme  ; mais bientôt les furies auxquelles il était dév
, n’ayant pas voulu céder aux sollicitations criminelles d’Astydamie, femme d’Acaste, celle-ci l’accusa auprès de son mari, q
s Grecs à la guerre de Troie. Alors, Pélée auquel on donne aussi pour femme Laodamus fille d’Alcméon, vécut tranquillement, d
rois les plus anciens de la Laconie, fils de Lelex et père de Sparta femme de Lacédémone ; il fit disparaître les eaux qui s
oronée qui lui succéda devint le père d’Apis et de Niobé, la première femme aimée par Jupiter. Quant à Egialée il fonda le ro
eurs. On lui donne le nom de Xanthe, parce que ses eaux rendaient les femmes blondes. Les jeunes vierges, la veille de leurs n
erait plus au cours des destins. Le Scamandre eut pour fille Strymno, femme de Loamédon et mère de Tithon ; comme dieu, le Sc
Mars ; il fut à peu près comblé par Hercule ; on lui donne Néère pour femme , Brangas pour fils, et pour fille Evadné, femme d
lui donne Néère pour femme, Brangas pour fils, et pour fille Evadné, femme d’Argus, roi d’Argos. Tibre, fleuve du Latium, f
de Nausittroüs. Caphyre fut une nourrice de Neptune ; Clymène fut la femme de Japet et mère des trois frères Atlas, Prométhé
mère d’Eleusis ; Déiopé, compagne également de Cyrène ; Ephyre fut la femme de Prométhée ; Ethra était femme d’Atlas et mère
également de Cyrène ; Ephyre fut la femme de Prométhée ; Ethra était femme d’Atlas et mère des Atlantides ; Idyia, femme du
Prométhée ; Ethra était femme d’Atlas et mère des Atlantides ; Idyia, femme du roi Colque Cètes, fut la mère de Médée ; Lirio
 ; Persa ou Perséis, avait été l’épouse du soleil ; Pléione fut aussi femme d’Atlas et mère des Pléïades ; Rhodé, fut femme d
l ; Pléione fut aussi femme d’Atlas et mère des Pléïades ; Rhodé, fut femme d’Apollon, dont elle eut Phaéton ; Téthys était,
ollon, dont elle eut Phaéton ; Téthys était, nous le savons, fille et femme de l’Océan et mère de toutes les océanides ; Tych
cependant on le sait : Galatée fut l’amante d’Acis ; Pasithée fut la femme d’Erecthonius et mère de Pandion ; Psamathée fut
pondre au coupable amour qu’il avait inspiré à Créthéis ou Hippolyte, femme du roi, celle-ci l’accusa faussement auprès de so
estre, cependant elles entraînaient toujours à leur suite une idée de femme aux formes légères, insaisissables, vaporeuses ;
une idée de femme aux formes légères, insaisissables, vaporeuses ; de femme , en outre, entourée de quelque matière humide, te
ré que ces bois venaient d’être abandonnés par les nymphes. Eurydice, femme d’Orphée, était, on s’en souvient, une Dryade. Éc
s arriver jusqu’à nous ; ainsi, Ampelle, Arsinoé, Atlantée et Phébée, femmes de la Danaüs, Chysopelée ou Aroserpélie, maîtress
nnait ensuite les enfans. Voici les noms de quelques Naïades : Botée, femme d’Œbule roi de Sparte ; Éphidatie, amante d’Hylas
ie, une des quatre parties du monde. Astérodée, du Caucase, première femme du roi de Colchide Eète ; Aula ou Aura, nymphe de
, amante de Neptune et mère d’Asope ; Chéloné ou la Tortue ; Chésias, femme du fleuve Imbrase et mère d’Ocyroé ; Cirrha, Clée
phe Babylonienne, fille de l’Océan et de Thétys ; Creuse ou la Reine, femme du fleuve Pénée, fut mère d’Iphée et de Stilbie,
ine, femme du fleuve Pénée, fut mère d’Iphée et de Stilbie, Cyllènes, femme de Pélasgue et mère de Lycaon ; Cynosure, nymphe
couchemens. Endeis, fille de Chiron ; Epérie, amante d’Eaque ; Erato, femme d’Arcas ; Erèce ou la bruyère personnifiée ; Enni
Cébré et amante d’Eaque ; Hirie, d’Arcadie, mère d’Hiriée ; Hylonome, femme du Centaure Cyllare ; Idée, de Phrygie, qui eut l
elle liée à la famille de Priam ; Mélite ; Métope, nymphe fluviatile, femme de Sangarius et mère d’Hécube, et peut-être la mê
de Jupiter changé en cygne ; Ornée ; Péribée fille aînée d’Acésomène, femme du fleuve Axios et mère de Pélégon ; Phaloé ou Ph
phrodite, après l’avoir vu se baigner dans ses eaux. Séis, amante et femme d’Endymon ; Sinoé, mère de Pan, prit le surnom de
le Cyclope Polyphème ; Zeuxippe, sœur de Pasithée, première nymphe et femme du roi d’Athènes Pandion. Enfin, l’on place encor
n, dont nous avons eu occasion déjà de dire quelques mots. Cette Ino, femme d’Athamas, vit, comme nous le savons, son mari tr
trales. On lui offrait des gâteaux de farine, de miel et d’huile, les femmes mariées et libres pouvaient seules participer aux
Sotira et Sospita ou la conservatrice des Arcadiens ; Théogamia ou la femme d’un Dieu ; Xantrie ou la prophétesse. Proserpine
les choses perdues. Son culte souvent était mystérieux, ou permis aux femmes seules : tel qu’à Mégalopolis, où les hommes ne p
iait en le faisant fils du chaos et des ténèbres, en lui donnant pour femme la nuit sa sœur, dont il eut Éther et le jour, et
ième était le champ des larmes où erraient les amans parjures, et les femmes infortunées victimes de leur tendresse : ainsi là
traient l’audacieuse Pasiphaé, mère du minotaure, la jalouse Procris, femme de Céphale, la crédule Ariadne, Cénée, qui d’abor
s, femme de Céphale, la crédule Ariadne, Cénée, qui d’abord était une femme appelée Cenis, que Neptune métamorphosa en homme,
, qui trahit son époux Amphiaraüs ; Évadné, Phèdre, sœur d’Ariadne et femme également de Thésée ; Laodamie, fille de Bellérop
son alliance avec Pallas. On représentait Styx sous les traits d’une femme vêtue de noir et appuyée sur une citerne, dont l’
du Sommeil et du Jour ; souvent enfin, on lui donne les traits d’une femme en deuil, couronnée de pavots et portée sur un ch
décharnés et sans couleur. La Vieillesse, sa sœur, était une vieille femme , couverte d’un manteau noir, tenant dans la main
nglantés ; Dysnomie ou l’ Anarchie, que l’on peut représenter par une femme en fureur, ayant les yeux couverts d’un bandeau,
Némésis parmi les Parques ; alors, faisons donc connaissance avec ces femmes redoutables. Les Parques, déesses entre les mains
s les concerts des sirènes ; on la représentait sous les traits d’une femme très-âgée, couverte de vêtemens noirs et lugubres
Cependant on représentait aussi les trois Parques avec des figures de femmes accablées de vieillesse, marque de leur éternité,
ante fils d’Egyptus, cinquante filles qu’il avait eues de différentes femmes , au nombre desquelles on remarque Crino, Ethiopis
main de ses cinquante fils, qu’il avait également eus de différentes femmes , parmi lesquelles on trouve Argyphie, mère de Lyn
auteurs dont la légende est peu suivie, mettent ceux-ci : Acamanthis, femme d’Echonyme ; Antodia, Antodice, de Clytonée ; Ana
parer ; puis, pour pousser sa vengeance plus loin, il séduisit Érope, femme d’Atrée, l’enleva et la rendit mère de Plistène e
ée en apprenant les spoliations de Thyeste reprit le noble bélier, sa femme et le chef-lieu de son empire, d’où son frère fut
eu de son empire, d’où son frère fut obligé de fuir sans toison, sans femme et sans royaume, et de se réfugier en Épire, où i
uelques lignes, lui confia la régence de son royaume, Clytemnestre sa femme , et ses enfans ; mais, Égisthe, dépositaire infid
te de Ménélas, il mourut sur la côte égyptienne à son retour, avec sa femme Euménutis ; Calchas, le prêtre et l’oracle de l’a
llarabe, ou Cyllébore, ou Comète, fils de Sténèle et amant d’Agialée, femme de Diomède pendant le siége ; Daunus ; Déioque, t
lyxo, fut à Troie avec neuf vaisseaux rhodiens, il y fut suivi par sa femme Philozoé, et fut tué par Sarpédon ; Ulysse roi d’
uel il avait pardonné le meurtre d’Atrée, et à qui il avait confié sa femme et ses enfans. Ce monstre, d’accord avec Clytemne
mnon au moment de sa réconciliation avec Achille. Cette Clytemnestre, femme d’Agamemnon était, on le sait, fille de Tyndare,
d’abord Tantale, roi de Lydie, fils adultérin de Thyeste et d’Erope, femme d’Atrée, ensuite, Agamemnon roi de Mycènes, dont
ns cette contrée, où il fut reçu par Thoon ou Thonis et Polydamna, sa femme , espèce de Pharaon assez obscur qui disent les un
resta seul, vivant comme tous les grands de son époque, au milieu des femmes qu’il [ILLISIBLE]it à sa suite, au nombre desquel
ir deux initiales A I. II laissa deux enfans : Eantide, de Glauca, sa femme légitime, et Eurysace, fils qu’il avait eu de sa
adolescence et fut visiter Autolycus, son aieul, qui habitait avec sa femme , Amphitée, les environs du Mont-Parnasse : ses oc
il ravagea la capitale, massacra la population mâle, et rassembla les femmes et les enfans sur ses navires ; mais tandis que s
s enchanteresses qui, suivant les uns, avaient la tête et le corps de femme jusqu’à la ceinture, ou seulement la tête et le r
nifie chaîne ou petit oiseau, avaient été changées en monstres moitié femme et moitié oiseau, par Cérès, pour n’avoir pas por
ner auprès de Pénélope, son épouse, fille de Peribée ou de Polycaste, femme d’Icarius ou Icarion, fils lui-même de Périérès e
son esclave Dalia. De retour dans ses états, Ulysse apprit que sa femme était chaque jour fatiguée de nombreux prétendans
de ce héros, espèce d’Hercule voyageur, nous trouvons qu’il eut pour femmes et maîtresses, Pénélope, Circé, maîtresse aussi d
brigands commandés par Télégone, fils d’Ulysse et de Circe ; mais sa femme ne lui pardonnant pas la mort de sa mère, elle fi
par Ulysse ; Déiphobe, né d’Hécube et massacré par la trahison de sa femme Hélène ; Démocoon, fils naturel ; Dius ; Dolon ;
ymbrée, par Ulysse ; Thymète, fils de Laomédon frère de Priam, vit sa femme tuée par ordre de ce roi et se vengea en conseill
devint aveugle. Avant ou après cet accident, il eut avec Eurydice sa femme , fille d’Adraste, roi de Phrygie, un fils appelé
pal était Agélas ou Aglaüs ou Archélas ; il était en outre entouré de femmes nombreuses, au milieu desquelles on distinguait A
érops, Castyanire, mère de Gorgythion, Laothoé, fille d’Athès. De ces femmes ou concubines il avait eu cinquante et quelques f
alement beaucoup de filles dont les plus connues étaient Aristomaque, femme de Cristolas, Alexandra ou Cassandre, Augé, Cléon
de Cristolas, Alexandra ou Cassandre, Augé, Cléonie, Climène, Creuse, femme d’Énée, Demnosie, Démothée, Ethionome, Hénicée, I
olossale, la poitrine couverte de la chlamyde et avec la figure d’une femme . Après Hector et Pâris, voici, parmi les fils de
mont Ida, où se réunirent autour de lui un grand nombre de braves, de femmes , d’enfans et de vieillards. Sa femme seule ne put
i un grand nombre de braves, de femmes, d’enfans et de vieillards. Sa femme seule ne put le suivre, se perdit au milieu des f
oit aller pour fonder un royaume. En apprenant ce nouveau départ, les femmes troyennes, fatiguées d’une longue et pénible navi
’Euryle. D'autres généalogies disant aussi qu’il née eut encore pour femme , Eurydice, Launia, fille d’Anius 1er, et Dixithée
l dans le taureau. On représentait Anna Perenna, ou comme une vieille femme offrant des gâteaux au peuple, ou comme une jeune
, Mai, ainsi appelé par Romulus, en mémoire de Maïa, fille d’Atlas et femme de Vulcain ; il avait pour divinité tutélaire Apo
Neptune et avait pour emblème les poissons. Les modernes en font une femme vêtue de bleu et tenant un oiseau aquatique à la
œur Camasène ou Camesène et Vénilie ; on les lui donne également pour femmes , ainsi que Juturne ; il eut pour fils de la premi
Numérie, déesse latine de l’arithmétique, elle était invoquée par les femmes enceintes. Occasion, dieu grec et déesse romaine
isaient le plus jeune fils de Jupiter ; c’était, suivant Phidias, une femme à pieds ailés, à longs cheveux sur le devant de l
ef ou Amoun ou Knef-Amoun, le premier des dieux égyptiens, avait pour femme Neith, fut père de Fta et aïeul de Fré, enfans, o
nfans, ou émanations dans lesquels il se confond tour-à-tour. Neith, femme de Knef, n’est autre que son dédoublement ou Knef
ise et engendre sous ses ordres. On la représente avec la forme d’une femme assise et quelquefois à genoux, ayant des ailes,
e d’une déesse souterraine, appelée Ambo ou Titrambo, et passant pour femme d’ Osiris, devenu dieu et juge des enfers. Les fê
fidèle épouse. Ils représentaient cette déesse sous les traits d’une femme , avec les cornes d’une vache, symbole des phases
s. Nefté, ou Nephté, ou Natfé, sœur d’Osiris, d’Isis et de Typhon et femme de ce dernier, forme, avec ce Typhon, le couple m
il est représenté dans le zodiaque rectangulaire de Tentyra, par une femme coiffée simplement, dont la légende est liée à ce
, et porte, comme dieu supérieur égyptien, le nom de Fré. Il eut pour femmes  : Athor, la dynaste planétaire, ou Anadyomène ou
ransition de Piromi à Amoun. Ce dernier des rois planétaires eut pour femme la dynaste Nefté ou Natfé, ou Rhée ou Cérès, ou l
té sur des jambes humaines, tantôt, sa tête d’homme et quelquefois de femme , surpasse son corps roulé en longs anneaux. Agath
’union conjugale au Congo et surtout à l’autorité des époux sur leurs femmes . Celles-ci ne manquent jamais d’obéir aux ordres
emps et en automne ; on portait sa statue avec beaucoup de pompe, les femmes qui assistaient à cette fête, dansaient à la mani
ls formaient donc le premier couple de l’espèce humaine, Eon était la femme et Protogone le mari. Ils furent les chefs des Eo
t faire un sacrifice à ce dieu Androgyne, les hommes s’habillaient en femmes et les femmes en hommes. Mammon ou Mammoun, dieu
rifice à ce dieu Androgyne, les hommes s’habillaient en femmes et les femmes en hommes. Mammon ou Mammoun, dieu syrien célèbr
des conséquences et des développemens de ce principe. Brahm eut pour femmes , Sakti ou Paraçakti, ou Adi-Sacti, laquelle par c
enou par Brahmâ, nous ajouterons que celui-ci lui donna en outre pour femme Sataroupa, et qu’il leur dit de croître et de mul
ième de son pied droit ; puis il leur donna pour épouse, savoir : une femme de la race impie des Açouras à Brahman ; Kchatrii
n ; Kchatriioni à Kchatrüa ; Vaciani à Vaicia, et Soudrani à Soudra : femmes dont les trois dernières étaient sorties de son b
aroles sorties de ses quatre bouches. Brahman d’abord, n’ayant pas de femme , s’en plaignit à son père ; celui-ci, fatigué de
satiaiouga, ou premier âge ; il chanta alors la guerre entre Bhavani, femme de Siva, et les Daïtias, commandés par l’infâme M
ces deux autres membres de la trimourti indienne. Saraçouati, sœur, femme et fille de Brahmâ, résista long-temps aux désirs
i, fille d’Indra, elle fut la rivale de Viliama, comme l’une des deux femmes de Kartikéia, ou Skanda, fils de Siva. Cette Déva
ités prototypes, dut épouser Sacti, de ce que l’on donne souvent pour femme de Brahmâ, de cette Sacti, le créateur Brahmâ eut
sa Sati, fille de Dakcha et de Praçouti. En effet, ce Dakcha eut pour femme Praçouti, Dévi ou Birini, fille du sage Bérana. O
diens divisent en plusieurs catégories, savoir : 1° Brahm et Maïa, sa femme , ainsi que les trois membres de la Trimourti et l
dam. Un jour, les dieux Brahmâ, Vichnou et Siva, accompagnés de leurs femmes et portés sur leur monture sacrée, lui apparurent
qui prohibe le mariage et s’oppose à tout rapport entre l’homme et la femme . C'est lui qui a créé le monde ; il est toute lum
l’empire. Il était de la race des enfans de la lune. Il épousa trois femmes , Kéikéii, Soumatra et Kaoukaliâ, qui le rendirent
fleuve sacré. Dourouvaça, ou Durvasas. Fils d’Atri et d’Ançucoui sa femme , fut un saint très-célèbre, dont le caractère ira
par des prêtres. Les initiés à ses mystères sont presque toujours des femmes . Le jour de la récolte de l’orge qui a été enseme
jour de la récolte de l’orge qui a été ensemencé par les prêtres, les femmes vont chanter des hymnes autour du champ sacré, em
Manou Vaivasvata ou premier homme, et alors il règne avec Bhârya, sa femme , sur le midi dans l’Inde meridionale, séjour des
matias, et pour messagers les Doûtas. Nikchouba ou Kchouba, une des femmes de Martanda ou le soleil, elle était fille de Viç
hatriias, et mérita par son équité le surnom de juste. Il épousa deux femmes , l’une Kessini, dont il eut un fils nommé Açamani
femmes, l’une Kessini, dont il eut un fils nommé Açamania ; son autre femme fut Soumati, dont il eut soixante mille enfans. I
s de Daçaratha, roi d’Aïodhia, et de la belle Raouçalia, celle de ses femmes qu’il affectionnait le plus. Pourtant avec Soumat
emmes qu’il affectionnait le plus. Pourtant avec Soumatra, sa seconde femme , Daçaratha eut deux jumeaux, savoir : Lakchmana e
oumbhakarna, il dévora dès sa naissance cinq cents Apsaras, plus cent femmes de Mounis et un grand nombre de vaches et de Brah
épouse Iachoda, qui l’emportèrent à Nandagrama, leur patrie. Là, les femmes des Daïtias, dont le lait corrompu n’était qu’un
e, père de Santanou qui, avec Ganga eut Bhichama, et avec une seconde femme , devint père de Vichitraviria, lequel laissa troi
s Daitias, réunis pour en extraire l’Amrita ; c’est la plus aimée des femmes de Vichnou. Le Manglier et le Lotos lui sont cons
èle, à Isis, à Vesta, et surtout à Vénus. Elle forme avec Saraçouati, femme de Brahmâ, et avec Bhavani, femme de Siva, une vé
Vénus. Elle forme avec Saraçouati, femme de Brahmâ, et avec Bhavani, femme de Siva, une véritable Trimourti femelle, quoique
ti, ou Kali, ou la noire, ou Rondrani, ou la mère des larmes, seconde femme de Vichnou, et rivale de Lakchmi, est une déesse
ar tomber dans les bras de Siva, qui fut obligé d’en faire une de ses femmes . Les amantes de Vichnou, que l’on nomme Sita, Rad
s les vices : voluptueux jusqu’à l’excès, il veut jouir de toutes les femmes , et cependant il tue Cama, qui l’avait enflammé d
ant et prit la forme d’un coq pour engendrer Skanda. Parmi les autres femmes qui furent ses maîtresses, on compte Andjani et A
ous voulons connaître l’entourage de Siva, commençons par étudier ses femmes et maîtresses ; la première se nomme Bhavani ou P
njani, Anga, Moudévi ; Pakriti, ou la parfaite, ou, autrement dit, la femme  ; Ardvisour, ou l’irrigation primitive ; Asadevi,
arasacti, ou la grande énergie ; Roudrani, ou qui fait pleurer, comme femme de Siva-Roudra ; Sacti, ou l’énergie ; Sarvamanga
jours se trouver d’accord avec Siva. En effet, voyons-là, elle faible femme , possédant simplement l’Ioni, ou le moule générat
on fait encore un personnage distinct de cette Bhadrakali, également femme et fille de Siva ; seulement, on la fait jaillir
n homme, voulut combattre Içouara-Siva ; alors Içouara lui opposa une femme nommée Sarga, qui lui abattit aussitôt la tête ;
il que l’on voit briller au milieu de cette partie de son visage, une femme gigantesque appelée Bhadrakali, ou Pétrakari Pago
le plus communément le nom de Mariatala, ou Renoudji ; elle est alors femme du pénitent Chmadigini ou Imadakni, et mère de Pa
se fut réabsorbée dans les eaux du Gange, Santanou épousa une seconde femme et en eut un fils nommé Vitchitraviria. Johilla
te beauté qui eût encore paru. Le roi désira l’avoir au nombre de ses femmes et la fit demander à Bhavani par Sougriva ; la dé
x ; enfin il succomba dans un combat singulier avec Bhima. Vrindha, femme de Jalendra, est une espèce d’incarnation de Lakc
dra ou Djalendra, était donc un géant resté invulnérable, tant que sa femme lui fut fidèle. Un jour il voulut que Siva lui cé
s premiers à table, et on leur graisse la bouche ; chaque Stogai a sa femme à sa gauche, et ses enfans devant lui. Tsangan-d
si honoré que le Dalaï-Lama, au Thibet : il peut être choisi homme ou femme , sa consécration le rend saint ; mais il est serv
trois premiers de ces Dieux ne s’étant pas mariés, voici les noms des femmes épousées par les quatre autres ; 4 Sufitsininomik
tége nombreux d’infanterie, de cavalerie, de nobles, de prêtres et de femmes . Daiboth, puissante divinité, représentée sous l
femmes. Daiboth, puissante divinité, représentée sous la forme d’une femme , ayant le sein nu, assise à la manière des orient
i fit boire le lait d’une chèvre, ce qui rendit malades l’homme et la femme , puis il leur présenta des fruits qu’ils acceptèr
cceptèrent, et alors ils perdirent leur innocence et leur bonheur. La femme fut séduite la première, à cinquante ans. Ils eur
er homme appelé Aske ou Askour ; c’est-à-dire le frêne et la première femme désignée sous le nom d’Emla ou d’Embla ou l’aulne
hargé de recevoir les guerriers admis dans le Valhalla, il avait pour femme Idoun ou Idouna, qui était chargée de garder une
nt de cet Elioud coule le Gioll, que l’on passe sur un pont d’or. Les femmes , les enfans et les hommes morts de maladie, entre
taches sont les marques de la suie. Anninga se réjouit à la mort des femmes , et leur fait, pendant leur vivant, enfreindre le
ou Runes, petites idoles de Mandragore, en bois, presque toujours de femmes , et dont la fonction était de protéger le toit do
te déesse qui connaissait l’avenir, recevait à son service toutes les femmes mortes vierges. Houergelmer ou Houergemlir, est
es renfermaient. Iord ou la terre était fille de la Nuit et d’Annar, femme d’Odin et mère de Thor. Cette grande déesse était
se propager. Kouan-in, déesse Finoise qui, disait-on, guérissait les femmes de la stérilité ; aussi on la représentait tenant
uire sans avoir été cultivée, et il en sera de même des hommes et des femmes . Mimir ou Mimis, géant célèbre, dieu mystérieux
sar ou Hrinthoussar, race des géans qui naquirent d’un homme et d’une femme , sortis du bras gauche d’Iimer, pendant un profon
des Ligures, avait le brillant privilége de prévenir la stérilité des femmes  ; aussi ses prêtres gagnaient-ils beaucoup d’arge
si ses prêtres gagnaient-ils beaucoup d’argent en donnant à boire aux femmes affligées de cette infirmité des breuvages magiqu
des forêts-vierges de la Germanie, le prêtre était revêtu d’habits de femme . Andaté, déesse de la victoire, était surtout ho
palais qui fut ensuite la demeure des rois. Cette déesse est la seule femme qui ait gouverné l’Irlande. Elle adopta encore en
onnification de toute la race Irlandaise. Keasar, ou Kesaire, fille, femme , sœur et mère de Bath. C'est la grande déesse de
lesquels on rencontre : Téa, fille de Luighaidh, descendant d’Ith et femme du roi Erréamhon. On lui attribua la fondation de
ontifes suprêmes. Néaça, fille d’Eochaidh-Salbindhe, avait épousé la femme de Fachnta et mère de Qonnor ; elle fut violée pa
dhlim, au moment de sa naissance, et la confia aux soins d’une de ses femmes nommée Léabhorcham ; son intention était de l’épo
ont de plus précieux pour apaiser ce dieu méchant. Ataenlsic est la femme primordiale des Hurons. Elle eut un fils qui devi
que celles parfaitement pures des soldats morts en combattant, ou des femmes mortes en couches, allaient jouir de quatre année
avec son épouse, Omécihuati, dont la fonction était de s’occuper des femmes . Cihuacoahuati, ou le serpent-femme, était regar
dieu des montagnes, et on le représentait par une grosse pierre ; sa femme qui régnait sur l’eau, portait divers noms, et en
la vieillesse au Mexique. On célébrait sa fête par le sacrifice d’une femme  : ensuite venaient des jeux ; puis le soir, les p
soir, les prêtres couraient les rues et frappaient les filles et les femmes avec de petits paquets de foin. Quetsalcoatl éta
res, avant de l’interroger, s’abstenaient de sel et de l’approche des femmes pendant deux mois. Après la bataille, ils lui sac
t dans ces contrées sous la figure d’un vieillard, ayant avec lui une femme très-belle, nommée Chia, ou Houithaca, ou Ioubéca
cellence à Otaïti, où il est également appelé Ta-roa-teai-étoumou. Sa femme O-té-papad est d’une nature matérielle et inorgan
a rendit productive ; car sa présence la couvrit soudain d’hommes, de femmes , de verdure, de riches moissons, de fleurs et d’a
eux enfans, savoir : un autre Ti et Ohina, laquelle devint la seconde femme de Tétouba-Amatou-Hatou. Pélé, déesse des volca
3 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
effrénée5 ; chez des peuples enfin qui enterroient vivantes de jeunes femmes , et qui nourrissoient des tigres pour dévorer des
u le Temps (que les Grecs appeloient Cronos), fils d’Uranus, eut pour femme Rhéa, la même que Cybèle, qu’on appelle encore Bé
Opalies ou fêtes d’Ops étoient une dépendance des Saturnales. Cybèle, femme de Saturne. Sa mère aussitôt après sa naissance l
étendoit avoir seul le droit de créer les hommes, formèrent une belle femme , nommée Pandore, à laquelle ils donnèrent toutes
Ces spectres avoient la figure ou d’un bœuf, ou d’un chien, ou d’une femme , mais seulement la tête ; le reste finissoit comm
é de sang. Il falloit renouveler ce sacrifice tous les vingt ans. Des femmes recevoient aussi cette expiation, on y associoit
ne. Ses fêtes (les orgies, les bacchanales) étoient célébrées par des femmes nommées Bacchantes. Le lierre lui étoit consacré
yades, de Menades, de Bassarides, etc. Dans les fêtes de Bacchus, ces femmes , l’opprobre de leur sexe, échevelées et à moitié
sse, elles se couchèrent et s’endormirent dans la place publique. Les femmes de cette ville confédérée des Phocéens, craignant
des fêtes instituées à Argos, en l’honneur d’une fille de Prœtus. Les femmes y cherchoient Bacchus, et ne le trouvant point, e
e une particularité dans la célébration des agrionies ; c’est que les femmes d’une famille devenue odieuse par quelque action
que. Les hommes avoient la liberté d’entrer le jour chez elles et les femmes à toute heure. Une vestale fut insultée le soir,
: elles étoient toujours suivies en public par un nombreux cortége de femmes et d’esclaves. Elles étoient enterrées dans l’enc
lle choisit elle-même, prérogative qui ne fut accordée à aucune autre femme . Les vestales, sous prétexte de travailler à la r
oit aussi avec sa famille, les rencontra, il mit pied à terre avec sa femme et ses enfans, et fit monter les vestales sur son
y donnoit des marques publiques de la plus profonde affliction ; des femmes couroient dans les rues, les cheveux épars ou la
oniens adoroient Vénus sous ce nom, en mémoire de la victoire que les femmes avoient remportée sur les Messéniens ; Nephté ou
mour ; elle métamorphosa Arsinoé en caillou, pour la même raison. Les femmes de l’île de Lemnos négligèrent son culte, Vénus l
bres de la fable et de l’antiquité. Voici les plus renommées : Hiéra, femme de Télèphe, on dit qu’elle surpassoit Hélène même
hez les Parrhasiens où l’on disputoit le prix de la beauté. Hérodice, femme de ce Prince, y remporta la première victoire. Il
e et à Lesbos, dans le temple de Junon, des défis de beauté entre les femmes . Les calistées étoient des fêtes en l’honneur de
nneur de Junon et de Cérés. Il y avoit un prix pour la plus belle des femmes qui s’y trouvoit. Les Eléens célébroient ces fête
dans la Grèce de pareils combats, tant pour les garçons que pour les femmes et les filles. J’ai vu de même chez des peuples é
femmes et les filles. J’ai vu de même chez des peuples éloignés, des femmes admises à des concours publics ; avec cette diffé
mais cet éclat, et ce genre de gloire, qui ne sont pas faits pour une femme , ne sauroient lui tenir lieu de bonheur. Sapho, d
amoureux d’une jeune fille d’un rang très-élevé, et il se déguisa en femme afin d’approcher d’elle. Un jour qu’il étoit avec
te et tous les pirates furent égorgés ; Hyménée laissa dans l’île les femmes qu’il avoit délivrées, et se rendit à Athènes ou
, Evadné se jeta sur le bûcher de son mari. Argie, fille d’Adraste et femme de Polynice dont elle alla chercher le cadavre av
poux Lyncée, qui ensuite justifia l’oracle en tuant Danaüs. Hylonome, femme Centaure, ne put survivre à son mari Cyllarus24.
Déesse du carnage, étoit fille de Phorcys et de Céto, et sœur ou femme de Mars25 ; c’est elle qui atteloit les chevaux d
leno. C’étoient des monstres toujours affamés, qui, avec un visage de femmes , avoient un bec et des ongles crochus, un ventre
lie, fut d’abord aimée de Leucippe, fils d’Œnomaüs, qui se déguisa en femme pour approcher d’elle. Le refus qu’il fit un jour
oient et prenoient du mouvement pour s’approcher de lui. Euridice, sa femme , étant morte de la morsure d’un serpent le jour d
x se retira dans une solitude, renonçant pour jamais à la société des femmes . Les Bacchantes de Thrace, irritées de ses mépris
nt sur lui et le mirent en pièces. Bacchus métamorphosa en arbres ces femmes forcenées, il changea en cygne le chantre infortu
lyre au nombre des étoiles. Lycus, roi de Thèbes, répudia Antiope, sa femme , pour épouser Dircé. Jupiter, selon quelques aute
u champêtre, que les Romains appeloient Fatuellus. Fauna ou Fatua, sa femme étoit honorée de même, on la regardoit comme la p
s par les Dodonides qui étoient les prêtresses du temple. Une vieille femme , nommée Pélias, étoit ordinairement chargée de ce
ue Longue, un temple à la Pudicité, qu’elle appela plébéienne, où les femmes qui n’étoient point de l’ordre sénatorial alloien
e leurs vœux. La Pudicité étoit représentée sur les médailles par une femme assise qui porte la main droite et le doigt index
tingue les conditions. Celui de la maîtresse et de la servante, de la femme libre et de l’esclave est différent. Aujourd’hui
modestie ; Pénélope, épouse d’Ulysse ; plusieurs nymphes et quelques femmes vertueuses dont on a déjà parlé. Canente, fille d
t amoureuse de lui. La mémoire de sa fidélité fut immortalisée par sa femme , qui lui fit ériger, à Cyrène, une statue de gran
té sous la figure d’une masse informe, surmontée tantôt d’une tête de femme , tantôt d’une tête d’homme. Mithras, ancienne div
t que ce fut Charlemagne. 10. Typhon, géant. Échidna, monstre moitié femme et moitié serpent, et mère du chien Cerbère, de l
lles que Deucalion jeta formèrent des hommes, et celles de Pyrrha des femmes . 20. Qu’il ne faut pas confondre avec Artémise,
de Pyrrha des femmes. 20. Qu’il ne faut pas confondre avec Artémise, femme de Mausole. 21. Il y eut un autre Dardanus, fils
de Junon. D’autres disent qu’ils furent enfans de Jupiter et de Dia, femme d’Ixion. Le plus célèbre des Centaures fut Chiron
rthénope, Molpadie et Pisinoë. C’étoient des monstres, d’abord moitié femmes et moitié poissons, et qui eurent ensuite des ail
4 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
ici maintenant comment la fable raconte l’origine de l’homme et de la femme . Japet, l’un des Titans, eut, de son mariage avec
victime, qui reçut sur la terre les honneurs divins. Origine de la femme . Jupiter n’essaya point de détruire l’ouvrage
et la mère du genre humain. « Telle fut, dit Hésiode, l’origine des femmes , sexe timide et funeste, fléau des mortels, compa
pui d’une main tendre et amie. Il avoue, d’ailleurs, qu’on trouve des femmes d’un esprit sage et d’un cœur aimant. Nous retrou
qui Prométhée fut-il délivré ? — Comment raconte-t-on l’origine de la femme  ? — Minerve ne contribua-t-elle pas à achever l’o
ce, toutes les fois qu’il lui en naissait un, il le dévorait. Mais sa femme Rhéa ou Cybèle, fille d’Uranus et de Titéa, en dé
fut pris et renfermé dans un antre, sous la garde d’un monstre moitié femme et moitié serpent. Mercure et Pan le délivrèrent,
onte que Jupiter, avant d’épouser Junon, eut successivement plusieurs femmes  ; il ne faut pas nous effrayer de ce nombre, car
e des trois Grâces : Aglaé, Euphrosyne et Thalie. Cérès, sa quatrième femme , lui donna une fille nommée Proserpine. La belle
de Latone. Junon, sœur de Jupiter, ne fut donc que la septième de ses femmes  : Hébé, Mars et Ilithyie furent ses enfants. Nous
eillards soumis au culte des dieux ; c’étaient Philémon et Baucis, sa femme . Ils s’empressèrent d’offrir aux deux étrangers u
d’anéantir les hommes, en exceptant toutefois Deucalion et Pyrrha sa femme , sages vieillards qui régnaient sur la Thessalie.
de votre aïeule ; vous repeuplerez ainsi la terre. » Deucalion et sa femme , comprenant le sens de l’oracle, prirent des pier
it Deucalion produisirent des hommes, et celles que lança Pyrrha, des femmes . Cette race nouvelle se ressentit de sa dure orig
les Géants ? — Que signifie cette guerre ? — Jupiter eut-il plusieurs femmes  ? — Ces mariages sont-ils réels ? — Jupiter et Ju
, usant de son privilége comme roi des dieux et des hommes, prit pour femmes plusieurs déesses et un grand nombre de simples m
érieur, on a dit que Jupiter et Junon faisaient mauvais ménage. Comme femme du roi des dieux, elle était la protectrice des r
ers on la nomme Hécate, et on la confond quelquefois avec Proserpine, femme de Pluton. Le cœur farouche de cette déesse s’att
che est à gauche ; son front est quelquefois orné d’un croissant. Les femmes qui l’invoquaient à la naissance des enfants lui
tôt Tyndarides ou fils de Tyndare. Ils étaient tous deux nés de Léda, femme de Tyndare, roi de Sparte, et frères d’Hélène et
. — La Vierge. Selon les uns, cette vierge est Thémis, la seconde des femmes de Jupiter, et, selon d’autres, Astrée ou la Paix
fils de ce prince. Hippothoon, autre fils d’Éleusius, et Mégaurie, sa femme , la recueillirent aussi avec empressement. En Lyc
nt ce triste voyage, Cérès entra un jour dans la cabane d’une vieille femme . Pressée par la faim, elle mangeait avidement de
. Accompagné du fidèle Silène et suivi d’une multitude d’hommes et de femmes armés de thyrses, et qui faisaient retentir les t
acchanales, et étaient le signal de tous les excès. Les hommes et les femmes se barbouillaient de lie, et, revêtus de peaux, d
la mer. Questionnaire. Qu’était-ce que Nérée ? — Quelle fut sa femme et quelles furent ses filles ? — N’avait-il pas l
la plus célèbre d’entre elles est Céléno. Ces monstres, au visage de femme , au corps de vautour, aux ongles crochus, causaie
n javelot dont les coups étaient inévitables. La jalousie de Procris, femme de Céphale, rendit ce don fatal. Elle s’était cac
Questionnaire. Quel était le roi des Enfers ? — Quelle était la femme de Pluton ? — Comment Pluton était-il adoré ? — C
nt de l’or et de la soie. On représente ces déesses sous la figure de femmes au visage sévère, la tête coiffée de flocons de l
erfidie et ses mauvaises mœurs. A sa mort, il recommanda à Mérope, sa femme , de laisser son corps sans sépulture. Il voulait
naïdes. Mais voici bien un autre spectacle. Que veulent toutes ces femmes autour du tonneau sans fond dans lequel elles ver
Mars. Les Grecs l’appelaient Ényo : on la fait tantôt sœur et tantôt femme de Mars. Elle attelait le char de ce dieu et se m
ne présidait au bien et au mal. On la représente sous la figure d’une femme aveugle, les pieds ailés. L’un d’eux porte sur un
in. La Pudeur avait des temples à Rome et à Athènes. Tantôt c’est une femme voilée, tantôt une vierge qui porte son doigt au
la voie lactée. Pendant qu’Alcmène portait Hercule dans son sein, la femme de Sthénélus, roi d’Argos, était enceinte. Junon
avoir enchaîné Cerbère ; et la seconde, pour aller chercher Alceste, femme d’Admète, roi de Thessalie, qui s’était dévouée à
e, qui vécut auprès d’elle soumis à tous ses caprices, s’habillant en femme et tenant sa quenouille. Délivré de ce honteux es
de s’expatrier, il passa à la cour de Prœtus, roi d’Argos. Sténobée, femme de ce prince, conçut pour Bellérophon une violent
sée, la magicienne Médée gouvernait Athènes sous le nom d’Égée. Cette femme perfide voulut empoisonner Thésée qui lui inspira
à l’île de Lemnos, où ils furent accueillis avec empressement par les femmes qui venaient d’égorger tous les hommes, et se tro
admus, chassé du trône, alla se réfugier en Illyrie avec Hermione, sa femme , où tous deux furent changés en serpents. Polydor
ésolaient alors les ravages du Sphinx, monstre à trois formes, aigle, femme et lion, qui proposait aux passants une énigme, e
ésents à la cour de Lycomède ; il mêla des armes parmi des parures de femmes , et Achille se trahit en y portant la main. Lorsq
Oreste fit épouser à Pylade, son ami, Électre, sa sœur, et prit pour femme Hermione, fille d’Hélène et de Ménélas. Sa vie fu
thaque. Vingt ans s’étaient écoulés depuis son départ. Il retrouva sa femme Pénélope en butte aux attaques de nombreux préten
rut sous le même nom. Pendant son second règne, il avait épousé Sita, femme d’une merveilleuse beauté ; elle lui fut enlevée
uns, ou de Jupiter et de Junon, selon d’autres, eut pour sœur et pour femme Isis. Ce couple céleste parut sur la terre et vin
pliante, elle s’assit aux portes de la ville près d’une fontaine. Les femmes de la reine remarquèrent sa douleur et sa beauté 
dieux, et prirent possession du ciel ; puis ils firent l’homme et la femme pour peupler la terre. Toutefois, leur puissance
tes, le juge des rois. Parmi les grandes déesses on distingue Frigga, femme d’Odin, qui partage avec lui les âmes de ceux qui
5 (1845) Mythologie de la jeunesse
calion, le plus juste des hommes, et de Pyrrha, la plus vertueuse des femmes . Ils se sauvèrent dans une barque, qui s’arrêta s
eucalion devinrent des hommes, et celles de Pyrrha furent changées en femmes [Fig. 11]. La terre, ainsi repeuplée, vit renaîtr
il dévorait ses fils aussitôt qu’ils venaient au monde. Cependant sa femme Rhéa fille d’Uranus et de Titéa, en déroba plusie
le droit de créer des hommes. De concert entre eux, ils formèrent une femme à laquelle chaque dieu ou déesse fit un don parti
e, ou la mémoire ; Latone, ou la lumière, etc. La plus célèbre de ses femmes fut Junon, qui s’asseyait à ses côtés sur le trôn
étaient Aello, Ocypète et Céléno. Elles avaient un visage de vieille femme , un corps de vautour, des oreilles d’ours, et des
e d’Enna, en Sicile, sur les bords de la fontaine Aréthuse [Fig. 37]. Femme du dieu des morts, elle était pâle et stérile.
six mois auprès de sa mère19. L’imagination a fait de Cérès une belle femme , couronnée d’une guirlande d’épis, et tenant dans
esta, plusieurs déesses, qu’il n’est pas toujours aisé de distinguer. Femme d’Uranus, Vesta était la même que Tellus ; fille
anus, Vesta était la même que Tellus ; fille d’Uranus et de Tellus et femme de Saturne, elle était communément nommée Cybèle,
pagné de son père nourricier, et suivi d’une multitude d’hommes et de femmes , portant, au lieu d’armes, des thyrses et des tam
ig. 65] Les fêtes de ce dieu s’appelaient Orgies ou Bacchanales. Des femmes , demi-nues, échevelées, armées de thyrses et de f
ent Chloris, était, comme l’indique son nom, la déesse des fleurs, et femme de Zéphyre. On la représentait sous la figure d’u
ue distillait sans cesse. Elle était représentée sous la figure d’une femme au regard louche et sombre, au teint livide, tena
temple magnifique. Elle était représentée sous les traits d’une belle femme , tenant d’une main une branche d’olivier, et de l
La Pudeur avait des temples en Grèce et en Italie. Tantôt c’était une femme voilée, tantôt une vierge qui approchait sa main
t des autels à la Liberté. Ils la représentaient sous la figure d’une femme qui se tient debout, et qui a dans sa main un bon
. Hercule. Hercule eut pour père Jupiter, et pour mère Alcmène, femme d’Amphitryon, roi de Thèbes. Pendant qu’Alcmène p
, roi de Thèbes. Pendant qu’Alcmène portait Hercule dans son sein, la femme de Sthénélus, roi d’Argos, était aussi enceinte.
ers pour en retirer Thésée, ou, suivant une autre tradition, Alceste, femme d’Admète, roi de Thessalie, qu’il arracha des bra
te de la peau du lion de Némée, tenait la massue, Hercule, habillé en femme , filait à ses pieds avec ses suivantes. De temps
i et emmena la jeune Iole, qui devait, peu de jours après, devenir sa femme . À cette nouvelle, Déjanire, se souvenant du don
, ne pouvant souffrir les mauvais traitements d’Ino, leur belle-mère, femme d’Athamas, roi de Thèbes, résolurent de quitter l
et Pollux. Castor et Pollux, étaient fils de Jupiter et de Léda, femme de Tyndare, roi de Sparte. Ils sont célèbres par
s’expatrier, il se rendit à Tirynthe, à la cour de Prœtus. Sténobée, femme de ce prince, ayant conçu une violente passion po
s plus grands malheurs, pour n’en pas être témoin, il s’exila avec sa femme , et se retira en Illyrie. Ce fut là que Cadmus et
ar le Sphinx 38. Ce monstre, qui avait la tête et le sein d’une jeune femme , le corps d’un chien, les griffes d’un lion, les
par Vénus, à qui il avait adjugé la pomme, il se fit aimer d’Hélène, femme du roi Ménélas, et l’enleva [Fig. 102]. Une ligue
devait périr au siège de Troie s’il s’y rendait, l’envoya, déguisé en femme sous le nom de Pyrrha, à la cour de Lycomède, roi
. Profitant d’une fête de Bacchus durant laquelle il était permis aux femmes de courir les champs, elle se mêle aux Bacchantes
, et lui allègue la coutume des Athéniens, de manger seuls avec leurs femmes pendant les fêtes de Bacchus. Térée accepte l’inv
nt des montagnes et les fleuves suspendaient leur cours. Eurydice, sa femme , étant morte de la blessure d’un serpent le jour
pour obtenir le chien et le javelot, consentit aux propositions de sa femme . Elle se découvrit alors, et les deux époux, forc
oracle d’Apollon à Claros ; à son retour il périt en mer. Alcyone, sa femme , faisait tous les jours des prières à Junon, pour
pyle, sur lequel on voyait une roche, qui, de loin, ressemblait à une femme affligée ; ce qui fit croire qu’un tourbillon de
Fable comme dans l’Histoire sainte, l’époux cède aux instances d’une femme qui a su le séduire. 10. Jupiter représentait l’
aires qui infestaient les mers. 15. Il ne faut pas confondre Téthys, femme de l’Océan, avec Thétis, une des Néréides, mère d
Chez les Égyptiens, le sphinx, représenté avec une tête d’homme ou de femme , unie à un corps de lion, était le symbole de l’i
6 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
urquoi Saturne les dévoroit sitôt qu’ils étoient nés. Mais Cybèle, sa femme , ayant eu d’une seule couche Jupiter et Junon, ca
e du bon Saturne. Cybèle. D. Qu’étoit Cybèle ? R. Cybèle étoit femme de Saturne. Les poëtes lui ont donné différents n
on l’appelle Vesta. Les poëtes distinguent jusqu’à trois Vesta, l’une femme du Ciel, l’autre femme de Saturne, et une troisiè
poëtes distinguent jusqu’à trois Vesta, l’une femme du Ciel, l’autre femme de Saturne, et une troisième qui seroit fille de
étendit avoir seul le droit de créer des hommes, firent fabriquer une femme par Vulcain ; et, pour la rendre parfaite, chacun
les yeux De ce torrent la source emblématique, En nous peignant cette femme mystique, Fille des dieux, chef-d’œuvre de Vulcai
sans cesse les démarches de son époux. Elle persécuta cruellement les femmes qui furent aimées de Jupiter, et même les enfants
depuis adorée sous le nom d’Isis, et représentée sous la forme d’une femme ayant une tête de vache. D. Quelle vengeance Juno
ses courses, et épuisée de besoin, entra dans la cabane d’une vieille femme nommée Bécubo ou Baubo, qui lui présenta de la bo
d’abord l’Océan, beau-père de Neptune, qui paroît avoir eu plusieurs femmes , savoir Doris, mère d’Amphitrite, et Téthys, qui
, et Zéphire, le vent d’Ouest ou du couchant. Les Latins donnent pour femme à Zéphire la déesse Flore. On le peint sous la fi
u fleuve Achéloüs et de la muse Calliope, étoient des monstres moitié femmes et moitié oiseaux. Elles habitoient des rochers e
arpies ? R. Les Harpies étoient des monstres qui avoient une tête de femme , des oreilles d’ours, le corps d’un vautour, des
et fut changée en un gouffre qui porte son nom. Charybde, étoit une femme qui, ayant volé des bœufs à Hercule, fut foudroyé
la terre, et fit la conquête des Indes avec une armée d’hommes et de femmes qui, au lieu d’armes, portoient des thyrses et de
vinité allégorique est représentée sous la figure d’un homme ou d’une femme qui tient un doigt sur la bouche. Thémis, Astr
éros de l’antiquité ? R. C’est Hercule, fils de Jupiter et d’Alcmène femme d’Amphitrion roi de Thèbes. Jupiter vint se prése
l’écart, pour penser à quel genre de vie il se donneroit. Alors deux femmes de grande stature lui apparurent. L’une, fort bel
s extermina à coups de flèches. 6°. Les Amazones étoient un peuple de femmes guerrières qui habitoient sur les rives du fleuve
lousie. Junon inspira à ce héros un tel excès de fureur, qu’il tua sa femme Mégare et les enfants qu’il en avoit eus. Lorsqu’
t les vues de la déesse. Bientôt on vit Hercule couvert d’un habit de femme , filer aux pieds d’Omphale, reine de Lydie. Il co
si Hercule mettoit une fois cette robe, il n’aimeroit jamais d’autre femme qu’elle. D. Déjanire fit-elle usage du présent de
ochers se mouvoir, les fleuves suspendre leur cours. Orphée perdit sa femme Eurydice, le jour même de ses noces. Mortellement
suivoit ; aussitôt Eurydice disparut. Ce malheur le fit renoncer aux femmes . Les Bacchantes, irritées de son indifférence pou
rent la guerre aux Amazones, et Thésée épousa Hippolyte, reine de ces femmes guerrières : il en eut un fils qui porta le nom,
nom, de sa mère. Phèdre, fille de Minos, que Thésée prit depuis pour femme , devint éperdument amoureuse du jeune Hippolyte.
a chasse, il se réfugia à la cour de Proetus, roi d’Argos. Sthénobée, femme de ce prince, conçut une forte passion pour Bellé
e retira en Illyrie. On dit qu’il fut changé en serpent, ainsi que sa femme . D. De quelle invention les Grecs sont-ils redeva
es tracées, Donner de la couleur et du corps aux pensées. Harmonie, femme de Cadmus, donna aux Grecs les premières connoiss
. Qui étoit Amphion ? R. Amphion étoit fils de Jupiter et d’Antiope, femme de Lycus, roi de Thèbes. Il se rendit habile dans
es que jeta Deucalion se changèrent en hommes, et celles de Pyrrha en femmes . Pyrame et Thisbé. D. Racontez l’histoire d
u’étoient les Sibylles. R. Les anciens ont appelé Sibylles certaines femmes auxquelles ils ont attribué le don de connoître e
u’il périroit de la main de son propre fils ; et ordonna à Jocaste sa femme , d’ôter la vie à l’enfant qu’elle mettroit au mon
i les rochers, au pied de Cithéron, Ce monstre à voix humaine, aigle, femme et lion, De la nature entière exécrable assemblag
les outrages qu’ils se firent l’un à l’autre. Thyeste séduisit Érope, femme d’Atrée ; il se déroba par la fuite à la fureur d
s la guerre de Troie. Mais il se laissa fléchir par le repentir de sa femme  ; il se réconcilia de bonne foi avec elle, et la
ycènes, après la prise de Troie, tomba sous le fer de Clytemnestre sa femme , et d’Egysthe, qui en étoit l’amant. … Agamemnon
son fils Énée. La déesse en conçut un tel dépit, qu’elle inspira à sa femme Égiale une violente passion pour un autre. Diomèd
nélas. A la prise de Troie, Priam fut tué par Pyrrhus, à la vue de sa femme et au milieu de ses dieux. Énée raconte ainsi à D
 ; Hécube échevelée errer sous ces lambris ; Le glaive moissonner les femmes de ses fils ; Et son époux, hélas ! à son moment
son sang qui ruisselle il enivre ses yeux. D. Que devint Andromaque, femme d’Hector ? R. Andromaque, privée d’un époux qu’e
oir et la vertu ; Vénus lui promit de le faire aimer de la plus belle femme de l’univers. Pâris adjugea la pomme à Vénus. De
nsporta les habitants à Rome. D. Quel fut le sort de Créuse, première femme d’Énée ? R. Dans la nuit de l’embrasement de Tro
x ans, sans avoir été marié. Sa mère le pressa en vain de prendre une femme . Il lui répondit, lorsqu’il étoit encore jeune :
, Je leur fais peur à touts. Hélas ! je le vois bien,         Vieille femme n’obtient plus rien.         — Vous êtes pourtant
 ? R. L’instruction est le besoin de touts ; elle est nécessaire aux femmes comme aux hommes. L’éducation des personnes du se
pas moins importante que l’autre. Car on ne sauroit dire combien les femmes influent en bien ou en mal sur la société. Cepend
es, autant par dédain que par supériorité, condamnoient autrefois les femmes à l’ignorance. Un auteur espagnol a dit que le li
e, en France, a produit un mal presque aussi grand par sa comédie des Femmes savantes. Depuis ce temps-là, on avoit attaché pr
s ce temps-là, on avoit attaché presque autant de honte au savoir des femmes qu’aux vices qui leur sont les plus défendus. Le
e le déshonneur même. De là l’ignorance et l’inutilité auxquelles les femmes étoient condamnées, et qui ont si souvent excité
s c’est sur-tout Montesquieu qu’il faut entendre sur ce sujet. « Les femmes , dit-il (liv. 23, c. 9), ont un esprit qui n’ose
filles : l’on n’a d’attention que pour les hommes ; et, comme si les femmes étoient une espèce à part, on les abandonne à ell
rt dit encore : « On ne travaille que pour les hommes ; mais pour les femmes , dans touts les âges, on les abandonne à elles-mê
ive de soutien et d’appui pour leur vieillesse : aussi la plupart des femmes vivent sans attention et sans retour sur elles-mê
ont foibles et délaissées… Chacun perd en avançant dans l’âge, et les femmes plus que les hommes. Comme tout leur mérite consi
les détruit, elles se trouvent absolument dénuées : car il y a peu de femmes dont le mérite dure plus que la beauté. Voyons s’
s fruits de cet heureux changement, et se réjouit de trouver dans les femmes la réunion des agréments extérieurs avec touts le
harmes d’un esprit délicat et cultivé. Sans doute il ne faut point de Femmes savantes. Ainsi, l’on ne doit point se proposer p
point préférer une compagne instruite à une compagne ignorante ? Une femme , il est vrai, ne doit point négliger les soins de
on instruction dans sa jeunesse. L’ignorance est la mère du vice. Une femme instruite connoîtra toujours mieux ses devoirs, a
Il faut donc qu’une mère soit en état de le suppléer à cet égard. Les femmes ont donc besoin d’être instruites pour devenir de
qu’elle tourmente en les aimant ; un père sans cesse contredit par sa femme dans le peu qu’il ose leur dire ; l’un et l’autre
lique des demoiselles est plus favorable à l’innocence des mœurs. Une femme vertueuse est le plus grand des biens qu’un homme
la fortune, et lui en adoucit des revers. Le malheur d’être uni à une femme vicieuse est au contraire le plus grand de touts
raire le plus grand de touts les maux qu’un homme ait à redouter. Une femme vicieuse est l’opprobre et le fléau de son époux 
t les plus sacrés de la nature et de la société. Mais si la vertu des femmes est si importante au bonheur des époux et au repo
e, à écrire correctement. Il est honteux, mais ordinaire, de voir des femmes qui ont de l’esprit et de la politesse, ne savoir
grand choix, la lecture des ouvrages d’éloquence et de poésie. » Les femmes doivent connoître les éléments de la littérature
ègne de la beauté ; rien n’est plus triste que la suite de la vie des femmes qui n’ont su qu’être belles. » Écoutons encore s
es autres vertus. D. Dans quel apologue La Fontaine a-t-il montré aux femmes la nécessité de la discrétion ? R. C’est dans la
nécessité de la discrétion ? R. C’est dans la fable intitulée : Les Femmes et le Secret. Voici le début :          Rien ne
  Et je sais même, sur ce fait,          Bon nombre d’hommes qui sont femmes . (Liv. 8, fab. 6.) Une personne indiscrète est u
pour garantir leur réputation des atteintes de la critique ? R. Les femmes , dit madame de Lambert , ne doivent pas abandonn
la réputation naît le mépris de la vertu. Il ne suffit donc pas à une femme de remplir ses devoirs ; il faut encore qu’on ne
on ne puisse pas même la soupçonner de s’en écarter. César répudia sa femme à cause de quelques bruits qui s’étoient répandus
s qui s’étoient répandus contre son honneur, parce que, disoit-il, la femme de César ne doit pas être soupçonnée. L’honneur,
peut que gagner en bonne compagnie. ( Bérenger.) D. Suffit-il à une femme , pour être estimable, de s’assujettir extérieurem
, qui répondent de la réalité et de la durée de toutes les vertus des femmes . « Et quel sera, dit madame de Lambert , le prin
us à nous-mêmes, et qui est notre garant envers les autres. » D. Les femmes doivent-elles s’assujettir entièrement à l’empire
de ? R. Non. Écoutons à ce sujet l’auteur du Comte de Valmont. « Les femmes croient avoir tout dit, quand elles ont dit : C’e
en boutades, et si elle porte à des excès de folie ou de fureur ? Les femmes qui sont nées vives et colères doivent s’applique
faut. La nature leur a donné là douceur en partage : on diroit qu’une femme qui s’irrite, change de sexe. La colère ne fait p
ses et insupportables, elle les dénature et les rend hideuses. Si les femmes savoient combien les emportements défigurent les
7 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
cés par les Bélides. Danaüs avait eu cinquante filles de ses diverses femmes  ; les enfans de son frère Égyptus étaient au même
amour, pour signifier que les héros étaient les fils des dieux et des femmes mortelles, ou des déesses et des hommes ; mais sa
ils en firent un demi-dieu, et donnèrent à lui et à la famille de sa femme des places parmi les constellations, sous les nom
l’on devait avoir des Gorgones. Diodore prétend qu’elles étaient des femmes guerrières, habitant la Libye, près du lac Triton
étruire entièrement. Quelques anciens peignent les Gorgones comme des femmes guerrières d’une grande beauté : l’admiration que
erre et rendaient immobile. Pline le Naturaliste les peint comme des femmes sauvages très-redoutables. « Près du Cap occident
ral des Carthaginois, pénétra jusque dans leur pays : il y trouva des femmes dont la course égalait en vitesse celle des cheva
nt le rapport ressemble à celui de Pline. Il croit que Méduse fut une femme sauvage d’une force surprenante, et qu’elle fut v
irer à Argos, où Prœtus le reçut très-bien ; mais Antée ou Sthénobée, femme de Prœtus, n’ayant pu rendre Bellérophon sensible
otaure, monstre moitié homme et moitié taureau, enfanté par Pasiphaé, femme de Minos. Ce monstre n’eut jamais d’existence. L’
i-même construit. Celui-ci en démêla facilement les détours Pasiphaé, femme de Minos, lui en fit ouvrir les portes, et lui pr
e fable et d’histoire. Nous verrons, à l’histoire de Médée, que cette femme trop fameuse ne put point se trouver à la cour d’
Centaures. Ces derniers, dans la chaleur du vin, voulurent enlever la femme de Pirithoüs, et tuèrent plusieurs Lapithes qui s
gner en Épire, et de le seconder dans le projet d’enlever Proserpine, femme d’Aïdonée. Cette seconde entreprise leur devint f
obtenir sa liberté qu’à la prière d’Hercule. Thésée épousa plusieurs femmes . La première fut Antiope ou Hippolyte, reine des
r le récompenser de l’avoir aidé à combattre les Amazones. Sa seconde femme fut Phèdre, fille de Minos second, devenue si cél
hitryon, descendant de Persée. Ce prince, héritier d’Électryon par sa femme , devait succéder au royaume de Mycène et le trans
hésée, lorsqu’il voulut aider son ami Pirithoüs à enlever Proserpine, femme d’Aïdonée, roi d’Épire ; Pirithoüs périt comme no
ur ce héros, le força de s’abaisser jusqu’au point de filer parmi ses femmes . Il changea sa massue contre une quenouille, et q
quitta la dépouille du lion de Némée pour se revêtir d’ajustemens de femme . Mais cette erreur ne pouvait être longue : il en
nnie l’avait rendu l’horreur de son peuple. Ayant appris qu’Alcimède, femme d’Éson, venait d’avoir un fils, il chercha tous l
ve Anaure qui était débordé. Junon, dit la fable, déguisée en vieille femme , lui offrit de le porter à l’autre bord. Dans le
. Bientôt une tempête les força de relâcher dans l’île de Lemnos. Les femmes de cette île, dit la fable, ayant manqué de respe
ère des dieux, et lui fit bâtir un temple sur le mont Dindyme. Clité, femme de Cysicus, ne put survivre à la mort de son épou
pas les confondre ensemble. Phinée avait eu deux fils d’une première femme . Idéa, fille de Dardanus, sa seconde femme, peign
u deux fils d’une première femme. Idéa, fille de Dardanus, sa seconde femme , peignit ces deux enfans sous les couleurs les pl
et d’autre que Jason la rendrait, si elle n’était pas son épouse. La femme d’Alcinoüs ayant été choisie pour arbitre, voulut
à la flotte d’Éétès que personne n’avait un droit légitime sur Médée, femme de Jason. Les Argonautes eurent alors la liberté
hommes les plus justement célèbres. Ayant eu la douleur de perdre sa femme Eurydice, qu’il aimait beaucoup, il alla dans un
se. D’autres auteurs content différemment sa mort. Ils disent que les femmes de Thrace, outrées de voir leurs maris les abando
sure ce fait, et dit que les hommes le vengèrent en maltraitant leurs femmes . Quelques auteurs, d’accord avec Plutarque sur le
nner les Étoliens aux attaques de leurs ennemis. Il s’enferme avec sa femme Cléopâtre, et ne veut plus même connaître quelle
les Arcadiens d’avoir pris le parti d’Antoine contre lui. Cléopâtre, femme de Méléagre, était fille d’Idas, frère de Lyncée
ocle, Polynice, Antigone et Ismène, qu’il eut d’Euriganée, sa seconde femme . « Les deux princes ne furent pas plutôt en âge d
our les débiteurs et les coupables. Dans les calamités publiques, les femmes se prosternaient dans le lieu sacré, et le balaya
. Hérodote ajoute que l’on donna le nom de colombe, Peleiai, à cette femme . Personne d’abord ne comprenait son langage ; et,
e fontaine qui coulait avec un doux murmure, au pied d’un chêne ; une femme interprétait ce bruit, et, sur ce murmure, annonç
ve curiosité des hommes sur l’avenir. Des prêtres succédèrent à cette femme , et s’emparèrent du soin de rendre les oracles. I
omma trépied, parce qu’elle avait trois barres posées sur le roc. Une femme se plaçait sur cette espèce de chaise, et recevai
ts, ordonna, par une loi expresse, qu’à l’avenir on n’élirait que des femmes au-dessus de cinquante ans. Il n’y avait d’abord
inqueurs si vous agissez en impies. Les envoyés s’emparèrent de cette femme , et la firent brûler vive, disant que, si elle av
dames purent se mêler dans les jeux. Avant Cynisque, ou Cynisca, les femmes ne pouvaient approcher des lieux où se célébraien
. Après Odin, la principale divinité du Nord était Frigga ou Fréa, sa femme . Tous les peuples Celtes, les anciens Syriens, et
que la Fréa des Scandinaves. En tudesque, Fréa ou Frau, signifie une femme . Dans la suite des temps, cette Fréa devint la dé
des athlètes. Bragé était le dieu de l’éloquence et de la poésie. Sa femme Iduna avait la garde de certaines pommes dont les
rt des perfidies et des ruses. Il a eu plusieurs enfans de Signie, sa femme . Trois monstres aussi lui doivent l’existence : l
de bois flottans, qu’ils prirent, et dont ils formèrent l’homme et la femme . L’aîné des fils leur donna l’âme et la vie ; le
auté et des habillemens. C’est de cet homme, nommé Askus, et de cette femme , nommée Embla, qu’est descendue la race des homme
ment des mondes qui suit le déluge ; ce premier homme, cette première femme , créés par les dieux, et qui en reçoivent le mouv
s lesquels sont les parjures, les assassins et ceux qui séduisent les femmes mariées ; un dragon noir et ailé vole sans cesse
nité ces pontifes si célèbres par leurs divinations et celle de leurs femmes , par leur prétendu commerce avec le ciel, et par
tié des jambes. Cet habillement désignait le sacerdoce, et jamais les femmes ne pouvaient y être admises. L’autorité des druid
ent les maximes sur la religion et sur le gouvernement politique. Les femmes gauloises pouvaient anciennement être admises au
ois faisait tort à un Gaulois, la cause serait portée au tribunal des femmes gauloises. Par la suite des temps, les druides le
is dans leurs maisons ; ils ont puissance de vie et de mort sur leurs femmes , leurs enfans, et leurs esclaves. Telles sont les
elle qui donne aux pères de famille droit de vie et de mort sur leurs femmes , leurs enfans et leurs esclaves ? « L’autorité pa
peindre le respect que les Gaulois et les Germains avaient pour leurs femmes  ; celles des druides partageaient l’autorité de l
plus insultante encore que la jalousie. Les Celtes regardaient leurs femmes comme des égales et des compagnes dont l’estime e
la beauté que leur cœur avait choisie, ils n’eurent jamais plusieurs femmes à la fois, et souvent les épouses déguisées suiva
cesse les tableaux de ces mêmes mœurs et de ce même respect pour les femmes  ; la reconnaissance venait encore y ajouter ; car
nt que deux classes. La première était composée de prêtresses, et les femmes de la seconde classe n’étaient que les ministres
es et les événemens futurs, abandonnèrent presque entièrement à leurs femmes cette portion de leur ministère. Témoins du respe
ect presque idolâtre que les Gaulois et les Germains avaient pour les femmes , ils sentirent qu’elles auraient bien plus qu’eux
8 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
vec quatre. On voyait des hommes avec deux têtes, une d’homme, une de femme  ; tous les animaux enfin, et tous les êtres étaie
tels qu’on en voyait les représentations dans le temple de Bel. « Une femme , nommée Omorca, était la maîtresse de l’univers.
e juger que la fiction des hommes à deux têtes, une d’homme et une de femme , est tirée de l’histoire de Moïse, lorsqu’il rapp
de femme, est tirée de l’histoire de Moïse, lorsqu’il rapporte que la femme fut tirée d’une des côtes d’Adam, et qu’en la voy
et voyant qu’il s’était arrêté sur une montagne, il en sortit avec sa femme , sa fille et le pilote ; il adora la terre, éleva
ns. Il rapporte ensuite l’histoire du premier homme et de la première femme . « Le premier père des hommes se nommait Protogo
fut appelé Sérapis, Dionysius, Pluton, Jupiter, Pan ; de même Isis sa femme fut honorée sous les noms de Séléné, de la Lune,
tés de la terre, nous allons donner son histoire, parce qu’elle était femme de Saturne et mère de Jupiter. Cybèle était génér
la tête une couronne formée avec des tours. Sa figure est celle d’une femme forte ; et, pour mieux désigner la fertilité de l
eux désigner la fertilité de la terre, on lui donne la grosseur d’une femme près d’accoucher. On place des clefs dans ses mai
, Mnémosyne, Latone, et Junon qui paraît avoir été la dernière de ses femmes , et qui fut la plus célèbre. Il eut un grand nomb
fut la plus célèbre. Il eut un grand nombre d’enfans de ces diverses femmes , et souvent il s’allia avec des mortelles, dont i
cas ; de Niobé, Pélasgus ; de Sardane, Sarpédon et Argus ; d’Alcmène, femme d’Amphitryon, Hercule ; d’Antiope, Amphion et Zét
la vie ; ce ne sont point les fils des Titans, les Géans ; c’est une femme . Au reste, on ne prétend point renfermer dans c
à lui seul le droit de créer des hommes, se réunirent pour former une femme parfaite. Minerve lui donna la sagesse, Vénus la
prévoyant Épyméthée, séduit par la beauté de Pandore, la choisit pour femme , et devint père d’une fille nommée Pyrrha, qui, p
particulier. Homère dit qu’elle fut élevée par Océan et par Téthys sa femme . D’autres disent qu’elle le fut par les filles du
Énée et les malheureux Troyens qu’il conduisait avec lui. Toutes les femmes aimées par Jupiter, ainsi que leurs enfans, devin
depuis on honora comme dieu des ports, sous le nom de Palémon. Agavé, femme d’Echion, vit déchirer son fils Panthée par les B
d’Echion, vit déchirer son fils Panthée par les Bacchantes. Autonoé, femme d’Aristée, eut la douleur de voir Actéon, son fil
ère la plus ordinaire de représenter Junon était sous la figure d’une femme assise sur un trône, tenant un sceptre dans une d
à Vénus, et lui donnât la pomme. Elle présidait aussi aux parures des femmes . Lorsqu’elle présidait aux accouchemens on la nom
ec un fouet et un sceptre. Pendant les fêtes appelées Lupercales, les femmes désiraient être frappées avec ce fouet. A Rome, e
ur cette déesse allait si loin, que chacun ayant son génie, celui des femmes se nommait Junon. Cléobis et Biton, deux frères c
issance supérieure à la sienne. Un jour qu’elle devait aller avec les femmes d’Athènes, célébrer, en l’honneur de Cérès, sur l
er, une fête dont les hommes étaient exclus, Hyménéus se travestit en femme , et se mêla parmi le cortége. Pendant la fête, de
mêla parmi le cortége. Pendant la fête, des corsaires surprirent les femmes et les enlevèrent. La vue des vins apportés pour
yménéus, rempli de courage, se fit alors reconnaître ; il exhorta les femmes à le seconder : elles s’emparèrent des armes de l
eur demander. Il voulut avoir un fils sans être obligé de prendre une femme . Sa demande lui fut accordée ; les trois dieux fi
Homère en avait cette opinion, avec cette différence que la mort des femmes lui paraissait une vengeance de Diane, ou de la L
douze signes du zodiaque. Il explique de même le nombre des cinquante femmes que l’on donnait à ce demi-dieu, en disant qu’ell
re, le nom de Diane. Elle partageait avec Junon le nom de Lucine. Les femmes près d’accoucher les invoquaient également l’une
Rouge. L’armée de Bacchus, composée d’un grand nombre d’hommes et de femmes , passa par l’Arabie pour aller à la conquête des
des Indes. L’armée du législateur des Hébreux, composée d’hommes, de femmes et d’enfans, fut obligée d’errer long-temps dans
au dieu du vin. Bacchus, ayant réuni une immense armée d’hommes et de femmes , partit pour la conquête des Indes. Ses troupes,
mer, et mère de Cupidon ; la troisième, fille de Jupiter et de Dioné, femme de Vulcain et mère d’Anteros ; enfin la quatrième
om ; et, par la suite des temps, on mêla à son culte celui d’Astarté, femme d’Adonis. Lorsque les Phéniciens conduisirent leu
es autels ; dans quelques autres, on immolait une chèvre blanche. Les femmes avaient coutume de lui consacrer leur chevelure.
le plus magnifique de tous, on voyait le célèbre collier d’Ériphile, femme d’Amphiaraüs, à qui Polynice, fils d’Œdipe, l’ava
egardé l’Océan comme une divinité physique. Ce dieu des eaux eut pour femme Téthys, dont naquirent Nérée et Doris, qui eurent
dernières, que l’on nommait aussi Thétis, doit être distinguée de la femme d’Océan. Jupiter l’aima ; mais ayant lu dans le l
es, de métamorphoses et d’aventures attribuées à Neptune. Amphitrite, femme de Neptune, est un personnage entièrement poétiqu
es enfans les malheurs qui avaient accablé Leucothoé et son fils. Les femmes esclaves n’avaient pas le droit d’entrer dans son
tre comme des dieux marins. Le gouffre de Charibde prit son nom d’une femme très-cruelle, qui pillait les voyageurs ; Hercule
nom de jours alcyons. Cette singularité produisit une fable. Alcyone, femme de Ceix, roi de Trachine, vit en songe son époux
r faire un sacrifice à la bonne déesse, divinité mystérieuse dont les femmes seules connaissaient le nom. Ce sacrifice, offert
des jardins. On représente Pomone sous la figuré d’une belle et jeune femme , assise sur un panier de fruits, ayant des pommes
) Les Romains admirent aussi parmi les divinités des champs Fauna, sa femme , et Silvanus, son fils. Le nom de ce dernier déri
isait tous les biens, et l’autre mauvais, cause de tous les maux. Les femmes avaient aussi leurs génies, qui s’appelaient Juno
e vengea de Minos en remplissant sa famille de troubles. Pasiphaé, sa femme , lui suscita les plus grands malheurs. Il eut d’e
er et d’Égine, fille d’Asope, régnait dans l’île d’Ænone ; sa seconde femme , fille du centaure-Chiron, le rendit père de Téla
u centaure-Chiron, le rendit père de Télamon et de Pélée. Sa première femme était Psamathé, fille de Nérée, dont il eut Phocu
e la laine noire. On représentait les Parques sous la figure de trois femmes accablées de vieillesse. Clotho, vêtue d’une robe
s. Il attaqua Gélanor, roi de ce pays, et le détrôna. Il eut diverses femmes , dont il eut cinquante filles. Son frère Égyptus
mples, ni autels. On se bornait à la représenter sous la figure d’une femme , avec une légende qui portait son nom, Éternité.
la nuit. Chacune de ces parties était représentée par un homme ou une femme suivant son nom masculin ou féminin. La Pensée fu
à la Piété filiale sur les fondemens de la maison qu’avait habitée la femme romaine qui avait nourri son père dans la prison.
r de leurs disputes. On représentait cette déesse sous la forme d’une femme couronnée de laurier, d’olivier, de roses, tenant
t que Numa Pompilius fit élever son premier temple. La figure de deux femmes qui se donnent la main représente ordinairement c
La Pudeur avait des temples. On la représentait sous la figure d’une femme voilée, ou d’une femme qui montre son front avec
mples. On la représentait sous la figure d’une femme voilée, ou d’une femme qui montre son front avec son doigt pour annoncer
ble et sans tache. (Fig. 58.) La Providence était représentée par une femme appuyée sur une colonne, tenant de la main gauche
présidait au bien et au mal. On la représentait sous la figure d’une femme aveugle et presque chauve, avec des ailes aux deu
nt environné de lumière. Retiré de ce lieu, il fut élevé par Trygone, femme du berger qui l’avait découverte ; et dès qu’il c
lia, et les Romains la peignaient (Fig. 68) sous la forme d’une jeune femme , la tête découverte, et vêtue d’un habit très-sim
9 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
e, il paraît convenable de placer ici son histoire, parce qu’elle fut femme de Saturne et mère de Jupiter, le plus grand des
15. Images de Cybèle. On représente. Cybèle sous les traits d’une femme robuste, enceinte et assise, pour indiquer la féc
sa sœur, dont il eut Hébé et Vulcain. II. eut encore plusieurs autres femmes , qui lui donnèrent un grand nombre d’enfants. De
dans une humble chaumière par deux vieillards, Philémon, et Baucis sa femme , qui craignaient et honoraient les dieux. Les soi
éluge. Il excepta de cet arrêt Deucalion, prince pieux, et Pyrrha, sa femme , qui régnaient en Thessalie. Aussitôt les vents s
r Deucalion produisaient des hommes, et celles que jetait Pyrrha, des femmes . Selon quelques auteurs, Deucalion et Pyrrha n’au
une tradition confuse de la perte du genre humain par la faute d’une femme . Cependant Jupiter, voulant punir Prométhée, ordo
fers. Sous ce dernier nom, on la confond quelquefois avec Proserpine, femme de Pluton. 40. Aventure du chasseur Actéon ; d
te vierge est, selon les uns, Thémis, déesse de la justice et seconde femme de Jupiter ; selon d’autres, c’est Astrée ou la P
tolème, fils de ce prince. Hippothoon, roi d’Eleusis, et Mégaurie, sa femme , lui offrirent aussi une généreuse hospitalité. D
ecret qui leur était imposé. On représente Cérès sous la figure d’une femme robuste, pour indiquer la fertilité de la terre.
ue, accompagné de son fidèle Silène et d’une multitude d’hommes et de femmes armés de thyrses, et qui faisaient retentir les a
orgies, mot grec, qui veut dire fureur. En effet, dans ces fêtes, des femmes , sous le nom de Bacchantes, couraient, revêtues d
es d’Enée, le bouclier d’Hercule, le collier d’Hermione, si fatal aux femmes qui le portèrent, et le sceptre d’Agamemnon. 6
elle d’un laboureur, d’un moissonneur, d’un vigneron et d’une vieille femme pour se faire accepter par Pomone, qui était rest
Phorcus, autre dieu marin, était aussi fils de Neptune. Il eut de sa femme Céto les terribles Gorgones, le dragon qui gardai
stres ou plutôt ces deux écueils. Charybde, selon la fable, était une femme de Sicile qui, ayant volé des bœufs à Hercule, fu
rent changées en rochers. On les représente sous les traits de belles femmes , dont le corps se termine en forme de poissons ou
Neptune et de la Mer, étaient des monstres marins, ayant un visage de femme , un corps du vautour et des ongles crochus. Elles
ore un dard dont les coups étaient inévitables. Ce don fut fatal à sa femme Procris. S’étant cachée dans un bois pour épier s
n et de l’Aurore. Quelle fut la destinée de Céphale et de Procris, sa femme  ? Qu’indique cette fable ? Comment représente-t-o
es impitoyables ciseaux. On représente les Parques sous les traits de femmes âgées, d’un visage sévère, la tête entourée de fl
en le perçant d’une flèche. Sisyphe expirant recommanda à Mérope, sa femme , de laisser son corps sans sépulture. C’était pou
lui élevèrent un temple. On représente la Vertu sous la figure d’une femme simple et modeste, vêtue de blanc, et dont le mai
bâtirent plusieurs temples. Elle est représentée sous la figure d’une femme romaine tenant d’une main un sceptre brisé, de l’
rne, détrôné par Jupiter. On la représente sous la figure d’une belle femme , couronnée de fleurs et tenant à la main une corn
té, les plaisirs et les peines. On la représente sous la figure d’une femme aveugle, ayant des ailes aux pieds. L’un est posé
us. On la représente quelquefois plus simplement sous la figure d’une femme ailée qui tient une trompette à la main. Voici le
outé les flatteries de Vulcain. On la représente sous la figure d’une femme échevelée, mal vêtue, couchée nonchalamment, appu
ou de la Paresse, est ordinairement représentée sous les traits d’une femme pâle, mal vêtue, demandant l’aumône ou glanant da
mains, était appelée Enyô (qui tue) par les Grecs. Elle était sœur ou femme de Mars et préparait le char de ce dieu partant p
r de Prœtus, roi d’Argos, qui l’accueillit avec bonté. Mais Sténobée, femme de ce prince, ayant conçu pour son jeune hôte une
s illustre des héros de la Fable, était fils de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amphitryon, roi de Thèbes. Le maître des dieux,
ercule. Pendant qu’Alcmène portait Hercule dans son sein, Nicippe, femme de Sthénélus, roi d’Argos, était aussi enceinte.
t le donna à dévorer à ces mêmes chevaux. 8° Les Amazones étaient des femmes guerrières qui habitaient les bords du Thermodon,
st admis au nombre des dieux. Hercule, comme Jupiter, eut pluieurs femmes . Le plus célèbre est Déjanire, fille d’Œnée, roi
a néanmoins auprès d’elle, soumis à tous ses caprices, vêtu comme une femme et filant à la quenouille. Il s’arracha enfin à c
s enfants de la terre, Ce que tout l’univers n’osa jamais tenter, Une femme le tente, et l’ose exécuter. ……………………………………………………
déesse de la jeunesse. Hercule avait eu sur la terre, de ses diverses femmes , un grand nombre d’enfants. Ils devinrent célèbre
Thésée forma avec Pirithoüs le criminel projet d’enlever Proserpine, femme de Pluton : On dit même, et ce trait est partout
bientôt une tempête les forces de relâcher dans l’île de Lemnos. Les femmes de cette île, abandonnées par leurs maris, qui le
cette île, abandonnées par leurs maris, qui leur avaient préféré des femmes esclaves, venaient de les égorger. Les Argonautes
, accablé de malheurs et chassé du trône, se retira avec Hermione, sa femme , en Illyrie, où ils furent, dit-on, changés en se
i les rochers, au pied du Cithéron, Ce monstre à face humaine, aigle, femme , lion, De la nature entière exécrable assemblage,
te pendant l’absence de Ménélas, Pâris s’éprit de la beauté d’Hélène, femme de ce prince, s’en fit aimer et l’emmena à Troie.
ne guerre qui dura dix ans. Hélène était fille de Jupiter et de Léda, femme de Tyndare, roi de Sparte. Sa rare beauté l’avait
près d’Achille, que Thétis, sa mère, avait envoyé, sous des habits de femme , à la cour de Lycomède, roi de Scyros, parce que
leur histoire. Osiris, fils de Kronos ou Saturne et de Rhéa, eut pour femme Isis, sa sœur. Descendus du ciel sur la terre, le
des attributs très-divers, mais le plus souvent sous les traits d’une femme ayant des cornes de vache, symbole des phases de
ont les aventures sont le sujet du Ramaïana. Il obtint en mariage une femme d’une grande beauté, la princesse Sita ; mais ell
tre à d’affreuses tortures. On sait qu’une coutume barbare oblige les femmes à se brûler sur le bûcher qui consume les restes
’arbre dont ils firent Askur, le premier homme, et Embra, la première femme , qui ont donné naissance au genre humain. 141.
10 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
nt du temps de Saturne, où tous étaient égaux. Cybèle Cybèle, femme de Saturne et fille du Ciel et de la Terre, a plu
endant Vesta est le nom de la mère de Saturne, et non pas celui de sa femme  ; c’est pourquoi quelques savans croient qu’il y
est pourquoi quelques savans croient qu’il y a eu deux Vesta : l’une, femme du Ciel et mère de Saturne ; et l’autre, moins an
les hommes ; c’est pourquoi, de concert entre eux, ils formèrent une femme . Pallas lui donna la sagesse ; Vénus, la beauté ;
les yeux De ce torrent la source emblématique, En nous peignant cette femme mystique, Fille des dieux, chef-d’œuvre de Vulcai
Macédoine, en remporta le prix. Excitées par cet exemple, les autres femmes macédoniennes se mirent sur les rangs, et méritèr
de myrte, de chêne ou d’olivier. Avant Cynisque, il était défendu aux femmes de se trouver aux jeux Olympiques, même de s’appr
on, fille de Saturne et de Cybèle, était sœur de Jupiter et devint sa femme . Elle eut trois enfans : Hébé, Mars et Vulcain. H
depuis adorée sous le nom d’Isis, et représentée sous la figure d’une femme , ayant une tête de vache. Junon, par reconnaissan
Céto, était, selon quelques-uns, sœur de Mars, et, selon d’autres, sa femme . On la regardait comme la déesse de la guerre. C’
ait ses enfans à ceux des princes voisins. Niobé, fille de Tantale et femme d’Amphion, roi de Thèbes, avait pour sa famille l
’exempter de la mort, en substituant un autre à sa place. Alceste, sa femme , s’offrit volontairement, et mourut pour lui ; ma
re différente : Admète étant tombé dangereusement malade, Alceste, sa femme , alla consulter l’oracle, qui répondit que le roi
que et les autres parties du ciel, par des métamorphoses d’hommes, de femmes et de différens animaux. On appelle aussi les sig
plus. Œnopeus dit qu’il désirait ardemment être père sans prendre de femme . Il obtint cette faveur : les dieux firent naître
asiphaé Pasiphaé, fille du Soleil et de la nymphe Perséis, était femme de Minos, roi de Crète. Les poètes disent qu’elle
t Dédale favorisa la passion. Circé Circé, sœur de Pasiphaé, femme de Minos, passait pour être fille du Soleil et de
Bacchus. Les Bacchantes Les Bacchantes étaient une troupe de femmes qui, aux fêtes de Bacchus, faisaient l’office des
voulut parcourir le monde. Il leva une puissante armée d’hommes et de femmes , puis il partit pour la conquête des Indes. Ses s
la sur le mont Cythéron où les Bacchantes célébraient les orgies. Ces femmes , dans un accès de fureur, couraient alors à trave
se l’orgueil de personne. …………………………………… ……………………………………     « Quoique femme , soyez discrète : « Songez qu’il est cruel d’oser
entendaient l’élément de l’eau : Amphitrite qu’ils lui donnaient pour femme , est l’eau même. L’entreprise du dauphin n’a été
phitrite, est regardé comme le père des fleuves. Il eut de Téthys, sa femme , Nérée et Doris, qui, s’étant mariés ensemble, mi
Qu’elle revomit à l’instant. Lamotte. Charybde, était, dit-on, une femme cruelle, qui se jetait sur les passans pour les p
sept après. Ces oiseaux intéressans ont une noble origine : Alcyone, femme de Ceix, roi de Trachine, ayant vu en songe le na
dans son royaume, que personne ne lui disputait, songea à prendre une femme . Rebuté de toutes les déesses à cause de son tein
ux. Sous la profondeur de ces voûtes éternelles sont une multitude de femmes , de quenouilles et de fuseaux : chacune de ces fi
dans l’île de Delos, à qui il donna le nom de sa mère. Il épousa deux femmes  : la seconde, nommée Endéis, lui donna Télamon et
xion Ixion, roi des Lapithes, en Thessalie, voulant obtenir pour femme Dia, fille de Déionnée, promit à celui-ci des pré
oi d’Argos, et régna à sa place. Il eut cinquante filles de plusieurs femmes  ; Egyptus eut dans le même espace de temps cinqua
ette princesse expira, est l’unique fond de cette métamorphose. Cette femme , désolée de la perte de son mari, se retira dans
n dit que Zéphyre en étant devenu amoureux, l’enleva pour en faire sa femme . Il lui donna l’empire des fleurs, et la fit joui
tant d’éloquence, que Pomone se laissa persuader, et elle devient sa femme . Les Pénates Les dieux Pénates étaient r
e chacun dépendait de la supériorité d’un génie sur l’autre. Ceux des femmes se nommaient Junones. Il y avait des génies plus
a Vertu — L’Honneur. On représentait la Vertu sous la figure d’une femme grave et modeste, vêtue de blanc, mais d’un habit
a peau de lion pour des ajustemens recherchés, puis il fila parmi les femmes de la suite de la princesse. Quelques temps après
t l’assura que, si son mari la revêtait, il n’aimerait jamais d’autre femme . A quelque temps de là, Déjanire, prévenue que so
accompagna Hercule à la guerre des Amazones : après la défaite de ces femmes guerrières, il épousa leur reine qu’on appelait H
, Hélène, Castor et Clytemnestre, étaient tous quatre enfans de Léda, femme de Tyndare, roi de Sparte ; mais les deux premier
l charma tellement Pluton et Proserpine, qu’il obtint le retour de sa femme Eurydice, morte de la morsure d’un serpent lorsqu
iter. Cadmus lui-même, chassé du trône par Amphion, se retira avec sa femme parmi les Illyriens, où ils menèrent une vie tris
Laïus, roi de Thèbes, ayant appris de l’oracle que l’enfant dont sa femme était enceinte lui donnerait la mort, ordonna à l
i les rochers, au pied du Cithéron, Ce monstre à voix humaine, aigle, femme , lion, De la nature entière exécrable assemblage,
rt du fils causa celle de la mère, et Créon, ne pouvant survivre à sa femme , la suivit au tombeau. Tantale La famille
d’Atrée, lorsque ce roi revint de la guerre de Troyes ; Clytemnestre, femme d’Agamemnon, fut la complice de ce meurtre, et el
coup d’enfans, entre autres Déiphobe, Hélénus, Hector, Pâris. Hécube, femme de Priam, étant enceinte de Pâris, rêva qu’elle a
la circonstance, viola les droits de l’hospitalité, et enleva Hélène, femme de Ménélas. Priam approuva la conduite de son fil
s que n’avaient été les Troyens à son égard, puisque Clytemnestre, sa femme , lui donna la mort. Un jour, au milieu d’un festi
duisirent heureusement à Ithaque. Ulysse, reçu dans son palais par sa femme Pénélope, modèle de vertu, et par le jeune Téléma
ba. Enée épousa Lavinie et succéda à Latinus ; et, par le droit de sa femme , il jeta alors les fondemens de l’empire romain.
11 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
e mit à dévorer ses fils aussitôt qu’ils avaient vu le jour. Cybèle, femme de Saturne, ne put voir froidement cette atrocité
des épigrammes mordantes. § 3. Cybèle. Cybèle ou Rhéa, sœur et femme de Saturne, a plusieurs noms chez les poètes. Ell
ection, secours et richesses4. — On représente cette déesse comme une femme robuste, chargée d’embonpoint. Sa couronne de chê
s hommes ; les cailloux lancés par la main de Pyrrha se changèrent en femmes , et le monde fut ainsi repeuplé. — On représente
en Égypte, en Assyrie et ailleurs. § 5. Junon. Junon, sœur et femme de Jupiter, était la reine des dieux, la maîtress
Vouée en même temps à des fonctions plus pénibles, elle assistait les femmes agonisantes, et coupait le fil qui attachait leur
ette mère infortunée voyageait en Attique sous la figure d’une simple femme , elle s’arrêta près d’Éleusis, et s’assit sur une
vait données aux mortels. Les Thesmophories étaient célébrées par des femmes de distinction, qui devaient plusieurs jours d’av
urs et de sa majestueuse beauté, elle voyait d’un œil de jalousie les femmes qui se vantaient de l’égaler : Méduse fut punie d
mmortels. Avec de l’argile détrempée dans l’eau, il forma la première femme , et il sut l’embellir de tant d’attraits, que les
s, il faut ranger le collier magique, dont il fit présent à Hermione, femme de Cadmus ; le sceptre d’Agamemnon, et les vingt
s toujours à se faire aimer. Coronis, Déiphobe, Cassandre et d’autres femmes , dédaignèrent ses hommages. Son talent même fut m
archait, dans cette expédition, à la tête d’une troupe d’hommes et de femmes qui n’avaient d’autres armes que des thyrses, des
féroces. Les fêtes de Bacchus s’appelaient Orgies ou Bacchanales. Les femmes qui les célébraient se nommaient Bacchantes, Ména
rminé d’y châtier les Bacchantes et leur abominable cortége. Mais ces femmes furieuses, parmi lesquelles se trouvaient sa mère
me de Pluton. — On les représente, le plus souvent, sous la figure de femmes pâles et maigres, qui filent en silence à la lueu
en berger ; mais inutilement. A la fin, il se métamorphosa en vieille femme , et, sous cette figure, il obtint la liberté de v
miel. Un jour qu’il poursuivait dans les campagnes la belle Eurydice, femme d’Orphée, un serpent caché sous l’herbe piqua cet
ou une couronne, ou un petit dauphin. Quelquefois on les peint moitié femmes et moitié poissons. § 10. Aréthuse. Aréthu
pour réussir dans les entreprises. — On la représente comme une jeune femme qui a une touffe de cheveux sur le devant de la t
vérité et le mensonge. Les poètes modernes la représentent comme une femme ailée qui fend les airs, et tient une trompette à
du temple de Jérusalem. — On représente la Paix sous la figure d’une femme couronnée de fleurs, tenant d’une main une branch
cet ouvrage admirable, et ordonna à Vulcain de former à son tour une femme , et de la donner pour épouse à Prométhée. Cette f
à son tour une femme, et de la donner pour épouse à Prométhée. Cette femme , la première qui ait existé sur la terre, fut app
mède, qu’ils dévorèrent en un clin d’œil. 9° Les Amazones étaient des femmes guerrières qui vivaient dans l’Asie-Mineure, le l
vés ensemble sur les côtes de Cappadoce, ils attaquèrent ce peuple de femmes , en tuèrent une partie, dispersèrent le reste, et
, jette sa noueuse massue, brise ses flèches, l’habille d’une robe de femme , met entre ses mains une quenouille et des fuseau
it par leur temple ; le serment des hommes était Ædépol, et celui des femmes Æcastor. — On représente les Dioscures sous la fi
iant la loi qu’il a juré d’observer, cède à l’impatience de revoir sa femme  : impatience digne de pardon, si les Enfers savai
que celle des animaux qu’il apprivoisait par ses chants. En vain les femmes de ces lieux sauvages voulurent-elles adoucir ses
cule, sur les bords du Thermodoon chercher et combattre les Amazones, femmes guerrières ; il les vainquit, et fit prisonnière
aux cheveux ; les autres Centaures, à son exemple, se jettent sur les femmes qui l’avaient accompagnée. Les efforts qu’elles f
ion que celui à qui elle resterait, serait tenu de procurer une autre femme à son ami. Hélène échut à Thésée, qui s’engagea d
étrangère. Mais les oncles maternels de Méléagre, jaloux de voir une femme arcadienne remporter tous les honneurs de la chas
eut pitié de l’enfant, le prit dans ses bras, et le porta à Péribée, femme de Polybe, qui le garda près d’elle, le fit éleve
ssé pins que tout autre au succès de la guerre, s’adresse à Ériphyle, femme d’Amphiaraüs, et lui promet un collier d’or enric
eut révéler aux Argiens la retraite de son mari. La cupidité de cette femme ne peut résister à l’appât de l’or : Amphiaraüs e
dre et Ariane, ses filles, périrent victimes de l’amour ; Pasiphaé sa femme , mit au monde le Minotaure, monstre moitié homme
alité de Minos : il favorisait les démarches criminelles de Pasiphaé, femme intrigante et passionnée. Minos ne put retenir so
t les richesses ; Minerve, la gloire des armes ; Vénus, la plus belle femme du monde. Vénus fut préférée : elle obtint, au mi
ute la nation troyenne. Vénus, qui avait promis à Pâris la plus belle femme du monde, lui désigna Hélène, fille de Tyndare et
la plus belle femme du monde, lui désigna Hélène, fille de Tyndare et femme de Ménélas : elle demeurait à Sparte, dans le pal
selon la prédiction d’un oracle, Thétis l’envoya, sous un vêtement de femme , à la cour de Lycomède, roi de l’île de Scyros. C
mps la trace du navire sur les flots. § 17. Pénélope Pénélope, femme d’Ulysse, était la plus vertueuse et la plus tend
ne sont plus que des aboiements. § 20. Andromaque. Andromaque, femme d’Hector, avait pour lui tant d’affection « qu’el
éloigner de sa cour, pour dissiper les jaloux soupçons d’Hermione, sa femme . Andromaque épousa alors Hélénus, fils de Priam,
ses diverses d’après Ovide. § 1. Philémon et Baucis. Baucis, femme pauvre et âgée, vivait avec son mari Philémon, au
s, d’un caractère léger et d’une humeur inconstante, se dégoûta de sa femme qu’il prétendait atteinte de folie, la répudia, e
r cette fatale disposition, l’oracle d’Apollon à Claros. Alcyone, sa femme , attachée à lui par la plus tendre affection, n’e
lève en sursaut, cherche de tous côtés si elle ne le voit point… Ses femmes s’étaient aussi réveillées à ce bruit, étaient ac
ina contre elle une ruse digne de l’enfer. Elle se déguisa en vieille femme pour l’aller trouver, couvrit sa tête de cheveux
mier suivre l’exemple de Vénus ? On l’ignore ; mais on sait que nulle femme ne survécut à cette redoutable épreuve ; quelques
es montagnes, et ne rentrait que le soir dans son palais. Procris, sa femme , d’un caractère jaloux, voyait avec inquiétude se
succombe, et je péris. Viens, Brise tant désirée, viens à moi ! » Sa femme qui entend des paroles si tendres, croit qu’elles
usa en secondes noces une des filles de Dardanus, appelée Idæa. Cette femme , d’un naturel jaloux et pervers, prit en aversion
tune, étaient des monstres ailés, qui avaient le visage d’une vieille femme , le corps et les griffes d’un vautour avec une cr
a une supercherie des plus étranges et des plus hardies. Il appela sa femme au chevet de son lit, et lui demanda comme une gr
demeure de Pluton, Sisyphe se plaignit à ce dieu de la barbarie de sa femme , qui refusait à son corps la sépulture, et sollic
s ; ils appelaient pythonisses, toutes les devineresses et toutes les femmes qui se mêlaient de prédire l’avenir. La Pythie é
» A cette seconde instance, Tarquin lève les épaules, et traite cette femme d’extravagante. Déiphobe ne change pas de contena
a tâche accomplie, il confia l’administration des affaires à Isis, sa femme , et alla, accompagné de son fils Horus, répandre
de formes qu’il serait trop long d’énumérer : tantôt c’est une belle femme dont la tête est armée de deux cornes, entre lesq
lef du Nil ; tantôt elle a une tête de vache à la place d’une tête de femme  ; tantôt elle est assise et tient un enfant sur s
rissait pendant quarante jours à Nilopolis, où il était servi par des femmes , qui seules avaient le droit de le voir. On le de
qu’il avait apprivoisé les lions, et rendu sensibles les rochers. Une femme qui avait perdu son époux passait-elle le reste d
chez eux en grande vénération. 24. Il ne faut pas confondre Téthys, femme de l’Océan, avec Thétis, la néréide, mère d’Achil
passer pour fils de Neptune. Neptune, selon eux, aurait épousé Æthra, femme d’Égée et fille de Pitthée. 41. Quelques auteurs
12 (1850) Précis élémentaire de mythologie
’ont-ils représenté ? Chapitre III. Cybèle. 1. Cybèle, sœur et femme de Saturne, donna naissance à plusieurs dieux. On
iens découlent. 2. On représentait cette déesse sous les traits d’une femme robuste avec une couronne de chêne, pour rappeler
, la déesse du feu. On distingua trois divinités de ce nom, la Terre, femme d’Uranus ou du Ciel et mère de Saturne, Cybèle, l
m, la Terre, femme d’Uranus ou du Ciel et mère de Saturne, Cybèle, la femme de Saturne dont nous venons de décrire les attrib
avec douleur Prométhée si sévèrement puni. Ils firent à leur tour une femme qu’ils enrichirent chacun d’un don particulier. P
donner à Prométhée. L’illustre coupable se défia du présent et de la femme que Jupiter lui envoyait ; mais son frère Epiméth
les yeux De ce torrent la source emblématique, En nous peignant cette femme mystique, Fille des dieux, chef-d’œuvre de Vulcai
histoire de Prométhée nous rappellent la création de l’homme et de la femme et leur chute après avoir joui des délices du par
ui lui était consacrée. 6. On représentait Cérès sous la figure d’une femme à la taille majestueuse et chargée d’embonpoint.
êtes de Bacchus s’appelaient orgies ou Bacchanales. Les hommes et les femmes se barbouillaient de lie et insultaient sans rete
toujours sûr de plaire. [Demoustier] L’autre ajoutait :     Quoique femme , soyez discrète. Songez qu’il est cruel d’oser sa
emeure. La colombe, la rose et le myrte lui étaient consacrés. 8. Les femmes lui offraient leur chevelure. On raconte que Béré
s noms lui donnaient les poëtes ? 8 Quelle offrande lui faisaient les femmes  ? Quelle fable inventa la flatterie à propos de l
ts. 6. Les Harpies étaient d’autres monstres qui avaient un visage de femme , des oreilles d’ours, des ailes de chauves-souris
cylla eurent l’une et l’autre les mêmes destinées. Charybde était une femme cruelle qui avait volé des bœufs à Hercule. Jupit
qui conserva le sien appelé Lyncée. En punition de leur forfait, ces femmes cruelles furent condamnées à remplir d’eau un ton
is l’Equité, la Loi et la Paix. On la représente sous la figure d’une femme au regard terrible et sévère. Elle tient d’une ma
tait ouvert qu’aux dames d’origine patricienne. Virginie, la première femme noble qui épousa un plébéien, ayant été bannie de
Pudeur plébéienne. On représentait celle déesse sous la figure d’une femme voilée ou d’une vierge portant la main droite au
e cette ville par Titus. On représentait la Paix sous la figure d’une femme belle, douce et modeste, ayant sur la tête une co
n firent une divinité. Les statues de cette déesse représentaient une femme vêtue de blanc, symbole de l’innocence, tenant un
t honteux et déshonorant. On lui donnait la physionomie d’une vieille femme horriblement maigre, au front ridé, au teint livi
gendrent encore parmi nous, et les poëtes la représentaient comme une femme d’une pâleur extrême, mal vêtue, demandant l’aumô
un secours. Dans son indignation il jura la mort de Médée. Mais cette femme cruelle n’attendit pas ses coups. Elle massacra e
ute commit-il à Corinthe ? Comment se vengea Médée ? Que devint cette femme cruelle ? Quelle fut la mort de Jason ? Quels poë
re des Argonautes fut Hercule. Il était fils de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amphitryon, roi de Thèbes. Junon, dans son hume
esprit préoccupé des plus graves pensées, il vit s’avancer à lui deux femmes d’une grande taille. L’une joignait la noblesse à
glorieuse par les travaux que lui imposa Eurysthée, fils de Nicippe, femme de Sthénélus, roi d’Argos. Ce tyran, excité par l
nées. 6º Il alla ensuite combattre les Amazones. C’était un peuple de femmes guerrières qui habitaient la Scythie. Eurysthée a
it moitié homme et moitié taureau. Il avait reçu le jour de Pasiphaé, femme de Minos, roi de Crète. Minos le tenait renfermé
nt les sentiments de Médée à son égard ? Comment les projets de cette femme cruelle furent-ils déjoués ? 3. Quels sont les pr
phin parmi les astres. 5. Amphion était fils de Jupiter et d’Antiope, femme de Lycus, roi de Thèbes. Il était si habile dans
ait menacée des plus grands malheurs, il se retira en Illyrie avec sa femme pour ne pas être témoin de ces calamités. Dans le
racle lui apprit qu’il périrait de la main de l’enfant que Jocaste sa femme était sur le point de mettre au monde. Il crut pr
monstre qui troublait les environs de Thèbes. Il avait la tête d’une femme , le corps d’un chien, les ailes et la queue d’un
fils Polydore. Elle se vengea en lui faisant crever les yeux par des femmes troyennes pendant qu’elle exterminait elle-même l
it proposées un autre devin appelé Mopsus. — Les sibylles étaient des femmes qui savaient aussi l’avenir. On en compte dix, do
de-juin, sur un chariot immense traîné par une multitude d’hommes, de femmes , d’enfants, et l’on voit des milliers de dévots s
songe. Il est l’auteur de la chute du premier homme et de la première femme , et depuis que le péché est entré dans le monde u
assé, vint à Byblos, et s’assit éplorée au bord d’une fontaine où les femmes du pays venaient puiser de l’eau. Ceux qui la vir
r dans les entrailles de celui qui devait être immolé. « De vieilles femmes , aux pieds nus, aux cheveux blancs, aux vêtements
e que, pendant qu’il dormait, il se forma de sa sueur un homme et une femme , desquels est descendue la race des géants, race
e bois flottants, qu’ils prirent, et dont ils formèrent l’homme et la femme . L’aîné des fils leur donna l’âme et la vie ; le
uté et des habillements. C’est de cet homme, nommé Askus, et de cette femme , nommée Embla, qu’est descendue la race des homme
67. Nessus, centaure, 116. Nestor, roi de Pylos, 106, 142 Nicippe, femme de Sthénélus, 112. Niflheim, 194. Nil, fl. d’Eg
, une des Cyclades, 127. Shiva, div. de l’Inde, 163, 165. Sibylles, femmes inspirées, 70, 148 ; — Sibylle de Cumes, 159. Si
nt les hommes disaient Ædepol, c’est-à-dire per ædem Pollucis, et les femmes Æcastor, c’est-à-dire per ædem Castoris. 8. Voir
13 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
i Saturne les dévoroit sitôt qu’ils étoient nés. Cependant Cybèle, sa femme , ayant mis au monde Jupiter et Junon, cacha soign
es Fêtes, etc. Cybèle. D. Qu’est-ce que Cybèle ? R. Cybèle est femme de Saturne ; elle est regardée comme la mère de p
les hommes ; c’est pourquoi ils concoururent ensemble pour former une femme parfaite. Pallas lui donna la sagesse ; Vénus, la
les yeux De ce torrent la source emblématique, En nous peignant cette femme mystique, Fille des Dieux, chef-d’œuvre de Vulcai
infâmes. La rose, le myrthe et la colombe lui étoient consacrés. Les femmes étoient dans l’usage de lui offrir leur chevelure
Harpies ? R. Les Harpies étoient des monstres qui avoient une tête de femme , des oreilles d’ours, le corps d’un vautour, des
illes de l’Océan Arènes et d’Amphitrite, étoient des monstres, moitié femmes et moitié poissons, qui, par la douceur de leurs
Fêtes s’appeloient les Jeux floraux. Elles étoient célébrées par des femmes qui couroient et dansoient un jour et une nuit au
Divinité allégorique, représentée sous la figure d’un homme ou d’une femme qui tient un doigt sur la bouche. Thémis. D
es, combat où il se couvrit de gloire. Celles-ci étoient un peuple de femmes guerrières qui habitoient la Scythie. Elles élevo
irs de la Déesse. Bientôt on vit ce grand homme couvert d’un habit de femme , filer aux pieds d’Omphale, reine de Lydie. Cette
mble la guerre aux Amazones, et Thésée épousa Hyppolite, reine de ces femmes guerrières, dont il eut un fils qui porta le même
crue, et Pélias périt par cet artifice. Jason indigné abandonna cette femme détestable, et épousa Creuse, fille de Créon, roi
ent regard. (Lamotte.) Orphée, inconsolable, renonça pour jamais aux femmes . Les Bacchantes, outrées de se voir méprisées par
s étoit désolée par un monstre appelé Sphinx : il avoit la tête d’une femme , le corps d’un chien, les ailes et la queue d’un
i les rochers, au pied de Cithéron, Ce monstre à voix humaine, aigle, femme et lion, De la nature entière exécrable assemblag
Grecs ligués contre cette malheureuse ville, elle le fit déguiser en femme , et l’envoya, sous cet habit, dans l’île de Scyro
une forme humaine. Tout le monde les rebuta ; Philémon et Baucis, sa femme , malgré leur pauvreté, leur firent bon accueil. L
r, et frère de Didon. Il fit une statue d’ivoire qui représentoit une femme  ; elle étoit d’une si rare beauté, qu’on eut dit
du sexe. L’ignorance est également honteuse et funeste pour tous. Les femmes tiennent un rang distingué dans la société ; fait
e leur est confié ! et quels charmes ne répandent pas dans la vie ces femmes estimables, dont l’esprit orné réunit aux connois
sse leur laisser des impressions fâcheuses, ou les porter au mal. Une femme mariée doit mettre au rang de ses principaux devo
isites inutiles, et encore moins au jeu ; elle fuira la compagnie des femmes oisives et désœuvrées : l’occupation fera ses dél
nte qualité est malheureusement trop peu commune. On taxe souvent les femmes de porter mal un secret :       Rien ne pèse tan
taine :       Je sais même sur ce fait, Bon nombre d’hommes qui sont femmes . On ne peut donc trop s’attacher à connoître, à
tée jusques dans les petites choses. Un mari badin fait accroire à sa femme qu’il étoit accouché d’un œuf ; le secret lui éto
notre estime, la seule digne de fixer les désirs et la recherche des femmes honnêtes. Qu’elles aiment la propreté, mais qu’el
14 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
ndition que celui-ci n’élèverait aucun enfant mâle. Cependant Cybèle, femme de Saturne, ayant mis au monde Jupiter et Junon,
que la montagne retient prisonnier sous son poids. Jupiter avait pour femme Junon, sa sœur ; mais la Fable lui en donne en mê
’attribuait Jupiter de créer des hommes, se réunirent pour former une femme que chacun d’eux se plut à parer des avantages do
aux plus hautes montagnes. Tous les hommes périrent : Deucalion et sa femme Pyrrha furent seuls épargnés par considération po
es hommes, tandis que celles que jetait Pyrrha se métamorphosaient en femmes  ; c’est ainsi que la terre se couvrit de nouveaux
e l’Inde, qu’il envahit à la tête d’une armée composée d’hommes et de femmes armés seulement de thyrses22, de cymbales et de t
et du mont Eryx en Sicile. On représente Vénus sous les traits d’une femme d’une grande beauté, portant sur ses cheveux blon
t ce qu’ils touchaient. La Fable prétend qu’elles avaient une tête de femme , des oreilles d’ours, le corps d’un vautour, des
était l’époux de Procris, fille du roi d’Athènes, elle le rendit à sa femme . Cette princesse, devenue fort jalouse de son mar
des temples, qui devinrent fameux par les oracles qu’il y rendait. Sa femme Fauna, ayant imité ses vertus, fut aussi rangée p
bouc. Questions. Qu’était-ce que Faune ? — N’honorait-on pas sa femme comme une Déesse ? — Comment représentait-on Faun
moissonneur et d’un vendangeur. Enfin il prit l’aspect d’une vieille femme , et, après avoir, par ses discours, persuadé à Po
s flots sur des chevaux marins ; quelquefois on les représente moitié femmes et moitié poissons. On leur consacrait des autels
aux rivières et aux fontaines. On les peint sous les traits de jeunes femmes appuyées sur une urne penchée d’où s’élance un co
mât de son vaisseau. On les représente ordinairement avec un corps de femme qui se termine en une queue de poisson ; mais il
it garder le silence. On représente la Renommée sous les traits d’une femme ailée qui parcourt l’espace une trompette à la ma
uilles du temple de Jérusalem. On la représente sous les traits d’une femme couronnée de laurier, tenant d’une main une petit
ecs, était représenté sous les traits d’un jeune homme ou d’une jeune femme tenant d’une main une corne, et posant l’index de
nd nombre de statues. On représentait la Liberté sous la figure d’une femme vêtue de blanc, tenant un sceptre et coiffée du b
se. On la représentait sous la figure d’un jeune homme ou d’une jeune femme n’ayant de cheveux que sur le devant de la tête e
fut obligé de s’expatrier, et se réfugia chez Prœtus, roi d’Argos. La femme de ce dernier, nommée Sthénobée, accusa Belléroph
oce. Accompagné de son ami Thésée, il tailla en pièces cette tribu de femmes guerrières, et emmena captive leur reine Hippolyt
rs, armé d’une quenouille, filer parmi ses suivantes tandis que cette femme artificieuse se couvrait de la peau du lion de Né
de Corinthe60. Jason lui-même, épouvanté de l’odieux caractère de sa femme , la répudia pour épouser Créuse, fille du prince
ns les solitudes du mont Rhodope62, où il fuyait la vue de toutes les femmes . Les prêtresses de Bacchus, irritées de cette som
sage que les hommes jurassent par le temple de Pollux, œdepol, et les femmes par celui de Castor, œcastor. Questions. Que
il devait un jour recevoir la mort de la main du fils que Jocaste, sa femme , allait lui donner, saisit cet enfant aussitôt ap
uels il faut placer cinquante fils que Priam avait eus de différentes femmes , et dont l’aîné, qui se nommait Hector, eût seul
Il n’ajouta pas foi à cette prédiction, et cependant Clytemnestre, sa femme , le fit poignarder par Égisthe, avec lequel elle
es Dieux Pénates, tenant par la main son fils Ascagne, et suivi de sa femme Créuse, qu’il perdit dans l’obscurité. Il se reti
86 est regardé comme le plus ancien de la Grèce. Il fut fondé par une femme égyptienne nommée Péléia, qui avait été prêtresse
x Dieux avaient longtemps abusé les peuples. Les Sibylles étaient des femmes que l’on regardait comme tenant le milieu entre l
e un excellent citoyen, dans son intérieur comme un bon mari avec une femme acariâtre. Il était au milieu de ses élèves comme
esses et par les cent portes ouvertes dans ses murailles. 64. Niobé, femme d’Amphion et fille de Tantale, ayant eu quatorze
15 (1800) Cours de mythologie pp. -360
re, à condition qu’il dévoreroit ses enfans mâles. Ayant su que Rhée, femme de Saturne, avait sauvé Jupiter, Neptune et Pluto
es seins : Le sang rougit la pierre, et souille les lieux saints. Les femmes , les vieillards sont livrés au carnage ; L’enfant
e sa proie, et tombe de leur sein. René. —  Richard-Castel 41. La Femme compatissante. Conte .                    Je vi
ec retenue             Quelqu’ameublement, des habits,             Sa femme aussi-tôt fait des cris             Dont il a l’o
rusquement le Dieu : Et voilà que la chose au même instant a lieu. La femme entre, et parlant d’une voix de tonnerre : « Qu’o
e tapage,         Et bonnement se livre à tous ses goûts.         La femme à qui rien ne fait plus d’ombrage,             Se
étoit aussi personnifié de la même manière. On le figuroit encore en Femme , appelée alors Muta ou Tacita chez les Latins, qu
gt sur la bouche, Et de Mutus portoit le nom. Un autre en faisoit une femme . Sur le beau sexe, lui dit-on, Monsieur fait-il u
-il une épigramme ? Une épigramme ! eh, mon Dieu, non ; Car c’est une femme muette. On applaudit à sa défaite. Cependant sur
Déesses Cybèle ou Rhéa, Fille du Ciel et de la Terre, femme de Saturne et Mère des Dieux. On la représen
heur et leur gloire. Lucrèce. —  Leblanc-de-Guillet 67. Junon, Femme de Jupiter. Cette Déesse troubla souvent les
xtrait sa liqueur d’or… Venance 84. Voyez Printemps. Pomone, Femme de Vertumne, Dieu de l’Automne. Elle préside
es ! a-t-il dit. Aux armes, levez-vous, Peuples ! enfans, vieillards, femmes , accourez tous ? Qui se cache est vaincu. Que le
llante, dorée, immortelle. Voltaire à Frédéric 117. A une aimable Femme , sortant de maladie.           Lachésis tournoit
t de ceinture. Ovide.— Saint-Ange 119. Nuit, Fille du Cahos et Femme de l’Achéron. Elle préside aux Ténèbres. C’e
rnit presque l’éclat par sa lâche foiblesse pour Omphale. Déjanire sa femme trompée par Nessus mourant, lui envoya la robe en
. Aristée, Fils d’Apollon et de la Nymphe Cyrène. Euridice, femme d’Orphée, avoit touché le cœur d’Aristée. Elle fu
rbarement de sa perfidie. Elle emprisonna le Beau-père et la nouvelle Femme de Jason. Elle égorgea sous ses propres yeux les
e crois te voir encore accourir avec moi : J’arrive. Quel objet ! une femme en furie Recherchoit dans son flanc les restes de
t due à ses bienfaits. Lefranc 150. Voyez Didon. Amazones. Femmes guerrières, qui habitoient sur les bords du Therm
s la vive Amazone, Il croit porter Vénus, la Victoire ou Bellone. Les femmes des Troyens qu’excitent ses regards, S’enflamment
re cruelle, Reprendre ces travaux où Pallas nous rappelle ».     Des femmes des Troyens ces conseils sont goûtés. Mais l’illu
métamorphosées, celles de Deucalion en hommes, et celles de Pyrrha en femmes . Deucalion à Pyrrha.     O ma femme, ô ma sœur,
hommes, et celles de Pyrrha en femmes. Deucalion à Pyrrha.     O ma femme , ô ma sœur, compagne toujours chère, Toi que seul
nt sans s’amollir les divers ossemens. Ainsi d’hommes sans nombre une femme est la mère… Nés des cailloux, nos cœurs en ont l
s le souvenir Des excès où l’amour a réduit sa famille : Pasiphaé, sa femme , Ariane, sa fille, Me fournissent les traits dont
            Est injuste envers la beauté. Imbert 159. A une jolie Femme . Qui se plaignoit de ce qu’on bâtissoit chez el
hétis fut la mère d’Achille. On ne doit pas la confondre avec Téthys, femme de l’Océan.     Lorsque jadis aux champs Thessal
179. Artémise, Epouse de Mausole, Roi de la Carie. Jamais femme ne porta plus loin l’amour conjugal : Artémise en
fixés sur trois Mausolées où reposent les cendres de sa Fille, de sa Femme et de son Ami, s’écrie :     Le jour ne suffit
pour moi ! Young. —  Colardeau 183. Alceste, Fille de Pélias et Femme d’Admète. Admète se mouroit : Alceste consul
de mère ? Fille trop chère, hélas ! s’il falloit quelque jour Qu’une femme étrangère osât, dans cette cour, A la honte, au m
et la plus tendre mère. Euripide. —  Laharpe.184 Andromaque, Femme d’Hector. Ce fut la plus tendre et la plus m
Femme d’Hector. Ce fut la plus tendre et la plus malheureuse des femmes et des mères. Elle vit tomber sous les coups d’Ac
de fois il traverse Pergame, Revoit la porte Scée, on la r’ouvre : sa femme L’appelle, et de la tour, descendant à grands pas
s : « Je vais vous perdre Hector. Un excès de courage Va livrer votre femme aux horreurs du veuvage, Et laisser dans mes bras
bras chargés de fers. Qui, toi ! d’un Roi puissant, la fille, toi, ma femme , Toi qui devois monter au trône de Pergame, D’une
moqueur te flétrissant encor, Tous les Grecs s’écriroient : c’est la femme d’Hector ! Ah ! qu’aujourd’hui plutôt sous des mo
llir Toi mon dernier baiser, moi ton dernier soupir186. Mérope, Femme de Cresfonte, Roi de Messène. Ce fut la touc
Le Prêtre prononçoit les paroles sacrées ; Et la Reine au milieu des femmes éplorées, S’avançant tristement, tremblante entre
-même de sa patrie, et fut ensuite métamorphosé en Serpent, ainsi que femme .     Cadmus, privé d’enfans, ne sait pas qu’Amph
et reluit d’écailles entouré. Il a des bras encore ; il les tend à sa femme  : Et le visage en pleurs : « O moitié de mon ame,
ochers se mouvoir, les fleuves suspendre leur cours. Orphée perdit sa femme Eurydice le jour même de ses noces. Mortellement
tôt Eurydice disparut, (Voy. Aristée). Ce malheur le fit renoncer aux femmes . Les Bacchantes irritées de son indifférence pour
Le coloris de la Nature. Bernis 212. Alcyone, Fille d’Eole et Femme de Céyx. Son Epoux désolé de la mort de Chio
Les Dieux touchés de cet amour conjugal, changèrent en Alcyons et la femme et l’époux. Lorsque ces oiseaux charmans faisoien
’enfant le plus heureux est aussi le plus beau. Jossaud 216. à ma Femme , le jour de sa fête.     Il est passé l’heureux
a Femme, le jour de sa fête.     Il est passé l’heureux temps où les femmes , Dans leurs époux embrassoient des amans ! L’on r
, et la fit parvenir à sa Sœur. Progné vint à la tête d’une troupe de femmes le jour de la fête des Orgies, délivra Philomèle,
aux déliés. Ovide.— Saint-Ange 221. Niobé, Fille de Tantale et femme d’Amphion, Roi de Thèbes. Elle avoit donné l
t tari le cours. Ovide.— Saint-Ange 222.     Regardez Niobé, cette femme orgueilleuse, Cette mère superbe et bien plus mal
res profonds, Où chacun, libre et maître, au gré de son caprice, A sa femme , à ses fils, dispense la justice. Une île inhabit
seau 228. Chimère. Elle étoit fille d’Echidna, monstre moitié femme et moitié serpent, et sœur du chien Cerbère, du l
laissés derrière. » Lebailly 246.                     Il est des femmes beaux esprits : A Pindare autrefois, dans les cha
uillonne, Et la foule des morts le presse et l’environne ; Guerriers, femmes , enfans, vierges dont le trépas Flétrit avant l’h
is257. Nature. La Fable l’appelle indifféremment, la Mère, la Femme ou la Fille de Jupiter. C’est elle qui dans sa fé
e de l’Air et de la Terre. On la représente sous la figure d’une femme expirant de ses blessures ; quelquefois couverte
ça leur trépas, Et ce repas, pour eux, fut le dernier repas…     Une femme … Grand Dieu ! faut-il à la mémoire Conserver le r
t-il à la mémoire Conserver le récit de cette horrible histoire ? Une femme avoit vu, par ces cœurs inhumains, Un reste d’ali
terreur ! Près d’un corps tout sanglant, à leurs yeux se présente Une femme égarée, et de sang dégoûtante. « Oui, c’est mon p
crimes des hommes. On représente la Peste sous la forme d’une vieille femme , en habit lugubre, parcourant les villes dans l’o
turne et mère de la Vertu. On la représente sous la figure d’une femme , ayant un air majestueux, un vêtement simple ou m
voulut courir le Monde : On lui pardonnera ce projet aisément :        Femme jamais dans une nuit profonde       N’ensevelit s
rédulité stupide. On peut la représenter sous la figure d’une vieille femme , ayant le visage inanimé, le regard fixe et bête,
pe sans cesse de leurs besoins. On la représente sous la figure d’une femme âgée et vénérable, avec une Corne d’Abondance d’u
Les Plantes. Poème. chant III. 42. [Table des matières] Anonyme. La Femme compatissante. 43. [Table des matières] Sélis. L
rédéric. 118. [Table des matières] Le même [Voltaire]. A une aimable femme sortant de maladie. 119. [Table des matières] Sa
propose de nourrir son enfant. 217. [Table des matières] Panis. A ma Femme . 218. [Table des matières] La Fontaine. Philomèl
16 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
re, à condition qu’il dévorerait ses enfans mâles. Ayant su que Rhée, femme de Saturne, avait sauvé Jupiter, Neptune et Pluto
es seins : Le sang rougit la pierre, et souille les lieux saints. Les femmes , les vieillards sont livrés au carnage ; L’enfant
ux champs de Lavinie Et remonte le Tibre, où sa course est finie.     Femmes , enfans, vieillards, tout le peuple Romain, Et le
ec retenue             Quelqu’ameublement, des habits,             Sa femme aussitôt fait des cris             Dont il a l’or
rusquement le Dieu : Et voilà que la chose au même instant a lieu. La femme entre, et parlant d’une voix de tonnerre : « Qu’o
de tapage,         Et bonnement se livre à tous ses goûts.         La femme à qui rien ne fait plus d’ombrage,             Se
était aussi personnifié de la même manière. On le figurait encore en Femme , appelée alors Muta ou Tacita chez les Latins, qu
gt sur la bouche, Et de Mutus portait le nom. Un autre en faisait une femme . Sur le beau sexe, lui dit-on, Monsieur fait-il u
-il une épigramme ? Une épigramme ! eh, mon Dieu, non ; Car c’est une femme muette. On applaudit à sa défaite. Cependant sur
ni. Déesses. Cybèle ou Rhéa, Fille du Ciel et de la Terre, femme de Saturne et Mère des Dieux. On la représen
nheur et leur gloire. Lucrèce. —  Leblanc-de-Guillet 67. Junon, Femme de Jupiter. Cette Déesse troubla souvent les
es, Et la Religion sourit à vos guirlandes. Delille 86. Pomone, Femme de Vertumne, Dieu de l’Automne. Elle préside
figure, il entra un jour dans ses vergers sous la forme d’une vieille femme . Après avoir admiré les fruits de Pomone, il lui
es ! a-t-il dit. Aux armes, levez-vous, Peuples ! enfans, vieillards, femmes , accourez tous ! Qui se cache est vaincu. Que le
llante, dorée, immortelle. Voltaire à Frédéric 119. A une aimable femme , sortant de maladie.           Lachésis tournait
de ceinture. Ovide. —  Desaintange 121. Nuit, Fille du Cahos et femme de l’Achéron. Elle préside aux Ténèbres. C’e
rnit presque l’éclat par sa lâche faiblesse pour Omphale. Déjanire sa femme , trompée par Nessus mourant, lui envoya la robe e
. Aristée, Fils d’Apollon et de la Nymphe Cyrène. Euridice, femme d’Orphée, avait touché le cœur d’Aristée. Elle fu
rbarement de sa perfidie. Elle emprisonna le beau-père et la nouvelle femme de Jason. Elle égorgea sous ses propres yeux les
e crois te voir encore accourir avec moi : J’arrive. Quel objet ! une femme en furie Recherchait dans son flanc les restes de
t due à ses bienfaits. Lefranc 152. Voyez Didon . Amazones. Femmes guerrières, qui habitaient sur les bords du Therm
s la vive Amazone, Il croit porter Vénus, la Victoire ou Bellone. Les femmes des Troyens qu’excitent ses regards, S’enflamment
ire cruelle, Reprendre ces travaux où Pallas nous rappelle. »    Des femmes des Troyens ces conseils sont goûtés. Mais l’illu
métamorphosées, celles de Deucalion en hommes, et celles de Pyrrha en femmes . Deucalion et Pyrrha sauvés d’un déluge    De l’
’humbles vœux, un cœur pur et soumis. Nul homme autant que lui, nulle femme autant qu’elle, Me fut des saints devoirs observa
calion soupire, et les larmes aux yeux, Il s’écrie : O ma sœur ! ô ma femme  ! ô seul reste D’un sexe submergé par le courroux
ossemens. Ainsi d’hommes sans nombre un seul homme est le père. Et de femmes sans nombre une femme est la mère. De là nous som
s sans nombre un seul homme est le père. Et de femmes sans nombre une femme est la mère. De là nous sommes nés durs et labori
 ; Hécube échevelée errer sous ces lambris ; Le glaive moissonner les femmes de ses fils, Et son époux, hélas ! à son moment s
. Thétis fut mère d’Achille. On ne doit pas la confondre avec Téthys, femme de l’Océan.           Lorsque jadis aux champs T
u 179. Artémise, Épouse de Mausole, Roi de la Carie. Jamais femme ne porta plus loin l’amour conjugal : Artémise en
fixés sur trois Mausolées où reposent les cendres de sa Fille, de sa Femme et de son Ami, s’écrie :    Le jour ne suffit poi
pour moi ! Young. —  Colardeau 181. Alceste, Fille de Pélias et Femme d’Admète. Admète se mourait : Alceste consul
de mère ? Fille trop chère, hélas ! s’il fallait quelque jour Qu’une femme étrangère osât, dans cette cour, A la honte, au m
ouse, et la plus tendre mère. Euripide. —  Laharpe. Andromaque, Femme d’Hector. Ce fut la plus tendre et la plus m
Femme d’Hector. Ce fut la plus tendre et la plus malheureuse des femmes et des mères. Elle vit tomber sous les coups d’Ac
nde fois il traverse Pergame, Revoit la porte Scée, on la rouvre : sa femme L’appelle, et de la tour, descendant à grands pas
s : « Je vais vous perdre Hector. Un excès de courage Va livrer votre femme aux horreurs du veuvage, Et laisser dans mes bras
bras chargés de fers. Qui, toi ! d’un roi puissant la fille, toi, ma femme , Toi qui devais monter au trône de Pergame, D’une
moqueur te flétrissant encor, Tous les Grecs s’écrîraient : c’est la femme d’Hector ! Ah ! qu’aujourd’hui plutôt sous des mo
illir Toi mon dernier baiser, moi ton dernier soupir182. Mérope, Femme de Cresfonte, Roi de Messène. Ce fut la touc
Le Prêtre prononçait les paroles sacrées ; Et la Reine au milieu des femmes éplorées, S’avançant tristement, tremblante entre
-même de sa patrie, et fut ensuite métamorphosé en serpent, ainsi que femme .     L’infortuné Cadmus ne sait pas qu’Amphitrit
plis leurs cercles écaillés. Il a des bras encore ; il les tend à sa femme  ; Et le visage en pleurs : « O moitié de mon ame 
ochers se mouvoir, les fleuves suspendre leur cours. Orphée perdit sa femme Eurydice le jour même de ses noces. Mortellement
tôt Eurydice disparut, (voy. Aristée). Ce malheur le fit renoncer aux femmes . Les Bacchantes irritées de son indifférence pour
x Le coloris de la Nature. Bernis 205. Alcyone, Fille d’Eole et femme de Ceyx. Son Epoux désolé de la mort de Chio
Les Dieux touchés de cet amour conjugal, changèrent en Alcyons et la femme et l’époux. Lorsque ces oiseaux charmans faisaien
ossaud 209. L’amour maternel. ………………………. Avec notre existence De la femme pour nous le dévoûment commence. C’est elle qui n
, et la fit parvenir à sa sœur. Progné vint à la tête d’une troupe de femmes le jour de la fête des Orgies, délivra Philomèle,
s déliés. Ovide. —  Desaintange 215. Niobé, Fille de Tantale et femme d’Amphion, Roi de Thèbes. Elle avait donné l
tres profonds, Où chacun libre et maître, au gré de son caprice, A sa femme , à ses fils, dispense la justice. Une île inhabit
seau 222. Chimère. Elle était fille d’Echidna, monstre moitié femme et moitié serpent, et sœur du chien Cerbère, du l
is244. Nature. La Fable l’appelle indifféremment, la Mère, la Femme ou la Fille de Jupiter. C’est elle qui dans sa fé
e de l’Air et de la Terre. On la représente sous la figure d’une femme expirant de ses blessures ; quelquefois couverte
nça leur trépas, Et ce repas, pour eux, fut le dernier repas…    Une femme … Grand Dieu ! faut-il à la mémoire Conserver le r
t-il à la mémoire Conserver le récit de cette horrible histoire ? Une femme avait vu, par ces cœurs inhumains, Un reste d’ali
terreur ! Près d’un corps tout sanglant, à leurs yeux se présente Une femme égarée, et de sang dégouttante. « Oui, c’est mon
crimes des hommes. On représente la Peste sous la forme d’une vieille femme , en habit lugubre, parcourant les villes dans l’o
turne et mère de la Vertu. On la représente sous la figure d’une femme , ayant un air majestueux, un vêtement simple, ou
ourir le Monde :        On lui pardonnera ce projet aisément :         Femme jamais dans une nuit profonde        N’ensevelit
rédulité stupide. On peut la représenter sous la figure d’une vieille femme , ayant le visage inanimé, le regard fixe et bête,
pe sans cesse de leurs besoins. On la représente sous la figure d’une femme âgée et vénérable, avec une Corne d’Abondance d’u
es de tendresse, Le vieillard qui, jadis, guida mes pas tremblans, La femme dont le lait nourrit mes premiers ans, Et le sage
taire. A Frédéric. 120. [Table des matières] Voltaire. A une aimable femme sortant de maladie. 121. [Table des matières] De
nourrir son enfant. 210. [Table des matières] Legouvé. Le mérite des femmes , poëme. 211. [Table des matières] Lafontaine. Ph
17 (1866) Dictionnaire de mythologie
ques… 2e Variation. —  Cet Amphion qui pariait de faire pleurer les femmes sur l’air ; « Au clair de la lune !… » 3e Varia
Quel rapport peut-il y avoir entre des pierres qui se remuent et des femmes qui pleurent ? — Le Dictionnaire : Vous ne le voy
musée, et je le suivis. Aux premiers pas que nous fîmes, d’horribles femmes accroupies jetèrent sur nous des poignées de serp
ueues avec de petits sifflements fort mélodieux. Près de là, d’autres femmes se baissaient et se relevaient sans cesse. C’étai
ter bons chrétiens comme ils sont. Ariane. On appelle ainsi une femme abandonnée par son amant. Voici des phrases qui t
. (Orgies, Saturnales.) — Fêtes de Bacchus. Les initiés, hommes et femmes , se livraient aux mêmes transports frénétiques qu
er un semblable. Chez eux, une âme héroïque est une âme romaine ; une femme au cœur viril, une romaine ; un édifice imposant,
reuse mère se met à la recherche de sa fille, et, déguisée en vieille femme , une torche à la main, parcourt tout l’univers. A
t le gîte. « La déesse refuse. Elle avait pris la forme d’une vieille femme , une mitre emprisonnait ses cheveux. Aux instance
les bourrasques si fréquentes dans ces encaissements de la mer : deux femmes , deux déesses, Charybde et Scylla, leur barraient
éleva une belle prison pour enfermer le Minotaure, issu de Pasiphaé, femme de Minos, et de Taurus, capitaine des gardes. Cet
de Périclès. Les Romains de la république ne consultaient guère leurs femmes  ; ils les renvoyaient à la quenouille et aux soin
veux défaits au peuple mutiné contre Justinien ; Judith, l’impérieuse femme du Débonnaire ; Constance, qui rendit la vie si d
yer, ne souffre autour d’elle ni crime ni souillure. Elle repousse la femme adultère, elle demande l’expulsion de l’enfant re
plus exigeants : « C’étaient, dit-il, des oiseaux avec des têtes de femmes , — un flux de ventre dégoûtant, des mains crochue
ons fait du nom de ces oiseaux étranges une énergique application aux femmes rapaces. Le peuple dit d’elles : « Ce sont des Ar
iphone est oubliée. Mégère seule a conservé sa grande réputation. Une femme acariâtre, jalouse, querelleuse, qui fait de son
e nom de Furies à ce qu’il y a de plus repoussant sur la terre, — aux femmes en colère. Minos, Éaque et Rhadamanthe, les tr
les genoux, observait les mouvements célestes. Elle donna son nom aux femmes savantes du xviie et du xviiie  siècle. Une Uran
. Le métier de muse est décrié. On renvoie aujourd’hui la plupart des femmes auteurs aux boutades du bonhomme Chrysale, et aux
hose que lui-même. Une nymphe en devint amoureuse (voyez la folie des femmes  !). C’était la pauvre Écho. Rebutée par le jeune
s ne sentent pas. Les hommes n’ont pas honte d’en être jaloux, et les femmes n’osent les défendre parce qu’elles craignent de
la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos. Sa femme , ses enfants, les soldats, les impôts,         Le
ments de Saint-Louis et les franchises des communes ? Pénélope. Femme d’Ulysse, attendit vingt ans le retour de son mar
nt le nom est devenu le synonyme de vertu revêche. Aussi les honnêtes femmes n’y voient qu’un éloge ironique, et l’appliquer a
ée à filer la laine au logis. La corruption commence à Rome quand les femmes apportent en mariage, avec de riches dots, le dro
é et empoisonnait son ambroisie. Il chargea donc Vulcain de créer une femme avec la même argile dont l’homme était formé. A p
turé qui mangeait ses enfants aussitôt venus au monde, et que Rhéa sa femme lui donna le change en lui présentant une grosse
Gizeh, un monstre de granit, aux formes colossales, élève sa tête de femme au-dessus, des sables qui ensevelissent son corps
18 (1823) Mythologie des dames
es peintres nous ont faits de l’Olympe, on voit auprès de Jupiter une femme belle, le front chargé d’un diadème, et dont le v
ous les quartiers de Rome. Sous le nom d’Ilithye, elle protégeait les femmes dans l’enfantement. Quelquefois Junon a été regar
endie de la ville, avec son fils Iule, et quelques amis courageux. Sa femme Créuse, qu’il avait cru sauver du massacre des Tr
des nègres d’Afrique. L’épouse de Cupidon fut la plus malheureuse des femmes … Enfin la colère de Vénus s’apaisa ; son fils, so
pendre notre entretien. Cinquième entretien. Apollon. Parmi les femmes qui furent le plus aimées de Jupiter, on doit dis
né, il rendit la vie à Capanée, à Lycurgue, roi de Mémée, à Ériphyle, femme d’Amphiaraüs, à Glacus, fils de Minos roi de Crèt
la jeunesse, furent aisément conduits à considérer la lune comme une femme , sœur du dieu qui dirigeait le flambeau du jour.
e était quelquefois invoquée sous le nom de Lucine, et protégeait les femmes enceintes qui lui consacraient leur ceinture, et
e discussion, Neptune était sur le point de l’emporter ; mais que les femmes étant venues déposer leur vote, elles firent penc
amours avec Jupiter : elle alla trouver sa rivale déguisée en vieille femme , et lui persuada d’engager le maître des dieux à
ourut presque toute l’Asie à la tête d’une armée composée d’autant de femmes que d’hommes : les uns et les autres, agités d’un
rses, des tambours, des cymbales, et toutes sortes d’instruments. Les femmes étaient échevelées, et vêtues de peaux de biches
ur, accablée de lassitude, elle entra dans la chaumière d’une vieille femme , où elle métamorphosa en lézard un jeune homme no
t de ravager Rome, sa patrie, se laissa fléchir par les prières de sa femme et de sa mère. Mais revenons à Cérès, Les habitan
gons ; souvent elle est représentée portée sur un brancard par quatre femmes . Le culte que l’on rendait à cette déesse variait
Agamemnon. Enfin, on attribuait à Vulcain la formation de la première femme mortelle ; voici à quelle occasion Jupiter le cha
maître des dieux croyait le punir de son audace, en lui présentant la femme tirée des ateliers de Vulcain, et que ce dieu ava
armes. Tous les dieux et toutes les déesses firent un présent à cette femme séduisante ce fut pour cela qu’elle reçut le nom
; d’apporter à Eurysthée la ceinture d’Hippolyte, reine des Amazones, femmes guerrières qui habitaient les bords du fleuve The
ait de cette princesse, comme il avait tué ceux de Mégare sa première femme , lors de la fureur qui s’empara de lui par ordre
r la foudre de Jupiter ; Thésée qui avait tenté d’enlever Proserpine, femme de Pluton, roi des Enfers ; le téméraire Ixion, q
uissant qu’inexorable. Proserpine. Pluton n’ayant pu trouver de femme à cause de la tristesse de son royaume et de son
en coupe le fil. Elles se présentent sous la figure de trois vieilles femmes , couronnées de gros flocons de laine entremêlés d
tune, et de Pluton. On représentait cette déesse sous la figure d’une femme , dont le sein était couvert de deux rangs de mame
eur, d’un soldat : ce fut en vain. Enfin, métamorphosé en une vieille femme , Vertumne raconta à son amante des histoires si t
en parcourant les espaces éthérés, se présentait sous la figure d’une femme couronnée de pavots. Son char était traîné par de
19 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
voir le droit de créer des hommes, firent fabriquer, par Vulcain, une femme qu’ils appellèrent Pandore ; et, pour la rendre p
les yeux De ce torrent la source emblématique, En nous peignant cette femme mystique, Fille des dieux, chef-d’œuvre de Vulcai
coquillages. Les Harpies étoient des monstres qui avoient une tête de femme , des oreilles d’ours, le corps d’un vautour, des
es, filles de l’Océan et d’Amphitrite, étoient trois monstres, moitié femmes et moitié poissons, qui, par la douceur de leurs
la répudia pour épouser Thémisto, dont il eut aussi deux fils. Cette femme ne pensoit qu’aux moyens de faire tomber la couro
fêtes s’appelloient les jeux floraux. Elles étoient célébrées par des femmes qui couroient et dansoient, un jour et une nuit,
divinité allégorique, réprésentée sous la figure d’un homme ou d’une femme qui tient un doigt sur la bouche. Thémis, fille d
es qu’il attaqua auprès du fleuve Thermodon. Les Amazones étoient des femmes guerrières, qui habitoient la Scythie. Elles élev
it à voir le vainqueur de l’univers armé d’une quenouille, habillé en femme , et confondu parmi ses suivantes. Cependant elle
la vertu d’empêcher que son époux ne s’attachât à quelqu’autre. Cette femme crédule apprit dans la suite qu’Hercule aimoit Io
ble la guerre aux Amazones ; et Thésée épousa Hippolyte, reine de ces femmes guerrières, dont il eut un fils qui porta le même
lte particulier. Les hommes juroient par le temple de Pollux : et les femmes , par celui de Castor. Jupiter les métamorphosa en
ériroit, et qu’il envahiroit ses Etats. Jason indigné abandonna cette femme détestable, et épousa Creuse, fille de Créon, roi
lle. Creuse auroit dû prévoir tout ce qu’elle avoit à craindre d’une femme telle que Médée : Accoutumée au crime, et savant
t alors désolée par un monstre appelé Sphinx : il avoit la tête d’une femme , le corps d’un chien, les ailes et la queue d’un
i les rochers, au pied de Cithéron, Ce monstre à voix humaine, aigle, femme et lion, De la nature entière exécrable assemblag
évenir les arrêts du Destin. Elle envoya son fils, sous des habits de femme , dans l’isle de Scyros, à la cour de Lycomède :
ux lieux où Polixène Attendoit le moment de sa perte certaine. Là des femmes en foule, et sa mère et ses sceurc Embrassoient u
, on l’appelle l’ouvrage de Pénélope. On regarde cette reine comme la femme la plus vertueuse de la Grèce, et même de l’antiq
89 — Sa peau couvre l’égide de Pallas, 82 Amathonte, 74 Amazones, femmes guerrières, vaincues par Hercule, 133 — Par Bell
20 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
ou les puissances méditatives de la Minerve d’Athènes. Michelet — La femme  — Chap. XI. I secoli trapassano come i vetri di
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