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1 (1823) Mythologie des dames
tatues qui décoraient le jardin, lui donnèrent occasion de montrer le fruit de ses études dans la mythologie. Quelques unes d
mmes d’or de leur jardin, la déesse fut si charmée de la beauté de ce fruit qu’elle envoya un dragon pour garder l’arbre, et
n père : elle crut revoir Adonis, et le traita comme lui. Énée fut le fruit de cet amour que le Mystère devait dérober à la c
ne coquette. Apollon l’aima, malgré son inconstance. Esculape fut le fruit de cet amour : élevé par le centaure Chiron, fort
où la rosée désaltère la terre. Il mêlait aussi dans ses chansons les fruits dorés dont l’Automne récompense les travaux du la
s, et l’aima comme il avait aimé l’insensible Daphné : Phaéton fut le fruit de cet amour. Sa beauté le rendit cher à Vénus. F
r les regrets que lui inspira la perte de ses abeilles. Orphée fut le fruit des amours du dieu de la lumière pour Calliope, u
humain Qui, glissant dans son nid une furtive main, Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore, Et qu’un léger duvet ne c
lac pour goûter les douceurs du bain, on reconnut qu’elle portait un fruit de ses amours. Diane indignée lui ordonna de s’él
é de sa taille ; mais Atlas, craignant qu’on ne lui dérobât les beaux fruits de son jardin, qu’il avait mis sous la garde d’un
e Sémélé, dès qu’elle eut appris que cette jeune princesse portait un fruit de ses amours avec Jupiter : elle alla trouver sa
s semblent avoir été élevés par ce noble sentiment. Cérès, déesse des fruits et des moissons, était fille de Saturne et de Rhé
n portant la statue de cette déesse, pour obtenir la conservation des fruits de la terre. Tout dieu veut aux mortels se faire
phes, pour le consoler, la ramassèrent, la remplirent de fleurs et de fruits , et en formèrent la corne d’Abondance. Le fils d’
’en sortir. La prêtresse lui ayant jeté un gâteau pétri de miel et de fruits , le monstre rentre dans son noir repaire. Alors l
embres de son fils Pélops. Ce monstre voit toujours autour de lui des fruits délicieux ; il est plongé dans l’eau jusqu’à la b
est plongé dans l’eau jusqu’à la bouche ; et il ne peut goûter à ces fruits , ni se désaltérer à cette onde. Fatigués de ce sp
Mauritanie ; il possédait mille troupeaux, et des jardins remplis de fruits délicieux, qu’il avait mis sous la garde d’un aff
res mettait le feu. Bientôt on répandait sur le brasier du vin et des fruits . Après les prières et le sacrifice, les deux prop
la présence semblait répandre la fécondité sur les arbres chargés de fruits délicieux : elle se nommait Pomone. Jamais Hamad
ait Pomone. Jamais Hamadryade, avec autant d’adresse, Ne cultiva des fruits la champêtre richesse, Ne sut mieux diriger un fl
couronne la tête, Les Faunes bocagers, et ce dieu dont la faux De nos fruits mûrissants écarte les oiseaux, Des Satyres badins
s la figure d’un jeune homme couronné d’herbes, tenant d’une main des fruits , et de l’autre la corne d’abondance ; tandis que
is que son épouse est assise sur une grande corbeille de fleurs et de fruits , et tient un rameau d’une main, et quelques pomme
t : Eunomie, Dicé, Irène, et Thallo. On leur offrait les prémices des fruits de l’année, et on les invoquait pour obtenir une
isceau d’épis et une faucille ; l’Automne portait un panier rempli de fruits de toute espèce ; enfin l’Hiver se montrait la tê
feu devant elles. On immolait aux Dieux lares un porc et les premiers fruits de l’année : chaque famille leur faisait un sacri
verte ; Dans un vase laissé sur la route déserte, Un peu de lait, des fruits , et quelques grains de sel, Des gâteaux détrempés
nom d’Harpocrate et de Silanion, recevait en Égypte les prémices des fruits  : le pêcher lui était spécialement consacré. Rend
2 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
était nu ;           Il se jouait sous le feuillage, Et butinait mes fruits , comme si mon bocage A ce fripon d’Enfant avait a
né. Des rôtis imposans ont la première place ; Sans doute ils sont le fruit de votre heureuse chasse : Vous pouvez expliquer
ppareil vous plairont davantage. Ah ! plutôt attaquez et savourez ces fruits Qu’un art officieux en compote a réduits. A la gr
t jaillir une moisson de fleurs ; Pour nuancer sa robe verdoyante Des fruits vermeils chargent le grenadier, Sur les buissons,
one, Tu cesses de blesser nos yeux : Vertumne ramène Pomone, Et mille fruits délicieux Brillent sur le sein de l’Automne. O sœ
flus ; L’air négligé dans la parure, Te donne une beauté de plus. Les fruits plus nombreux que les feuilles, Couronnent les ar
Et suspend ses grappes vermeilles Au front superbe des ormeaux ; Ses fruits si funestes aux Perses, Et si délicieux pour nous
lus belle Les pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades timides, Le fruit sur la terre tombé Brille, s’élève en pyramides,
double existence. Maréchal 61. Les jeux de l’Enfance.    Le tendre fruit de l’hymen de Sophie Qui lui prodigue et ses soin
erte ; Dans un vase laissés sur la route déserte, Un peu de lait, des fruits et quelques grains de sel, Des gâteaux détrempés
brillans de Pomone et de Flore, Sur les rameaux, la fleur succède aux fruits  ; Le bouton sort du bouquet qui s’effeuille ; Le
r succède aux fruits ; Le bouton sort du bouquet qui s’effeuille ; Le fruit renaît sous la main qui le cueille : Les Gnidiens
es amours de Saturne et d’Apis, Et Junon et Cérès furent les premiers fruits . Vesta naquit depuis, et son destin diffère. Juno
: Les fraises parfument les bois, L’épine enfante la groseille, Mille fruits naissent à la fois ; Et prête à remplir la corbei
Camilles, De leurs dons à l’envi comblaient leurs possesseurs, Et ces fruits du travail n’altéraient point les mœurs. Saint-L
Pomone, Femme de Vertumne, Dieu de l’Automne. Elle préside aux fruits et aux vergers. Vertumne l’aima passionnément ; c
ses vergers sous la forme d’une vieille femme. Après avoir admiré les fruits de Pomone, il lui donna un baiser, et reprenant e
et l’épousa. On la représente une serpette à la main, une couronne de fruits sur la tête, avec une corne d’abondance.    Abrè
ison ; Tu ris de voir que la sagesse Sur moi répand avec largesse Les fruits de l’arrière-saison. Ce que Pomone fait éclore Et
pas nos merveilles : L’oubli qui nous suit à pas lents, Fait périr le fruit de nos veilles. Rien ne dure que ce qui plaît, L’
ns acquis par un travail facile, Et consumés par un usage utile ; Des fruits pour mets, le printemps pour saison ; Des lits de
s tables champêtres Ne recevaient que des mets innocens, Du lait, des fruits , des herbages naissans ! Dans ces beaux jours van
esoins et sans maîtres ; Les vents sereins agitaient un air pur : Les fruits d’eux-même abondaient sur la terre : Les élémens
tu soutiens ces mortels Ouvriers diligens, actifs, infatigables ; Les fruits de leurs travaux sont les dons agréables         
t, et s’évite sans cesse. L’onde insulte à ta soif, ô Tantale ! et le fruit Évite incessamment ta main qui le poursuit. Les f
rgers, un arbre jeune encore Promet que ses rameaux seront chargés de fruits  ! Sur lui la foudre tombe, et la flamme dévore   
table amour, Là, sont peints les effets de sa flamme exécrable, Et ce fruit monstrueux d’un crime abominable, L’odieux Minota
lammée, Et de leurs naseaux roule un torrent de fumée. Tout tremble : fruits jumeaux d’un hymen plein d’appas, Tes fils, Laoco
lèvres desséchées, et plaça près de sa bouche une branche chargée de fruits , qui échappaient sans cesse à ses avides mains.
t sans cesse à ses avides mains.     Vers une eau desirée, ou sur un fruit voisin, Toujours Tantale avance ou la bouche ou l
voisin, Toujours Tantale avance ou la bouche ou la main : Toujours le fruit rebelle à la main qui le touche, Recule, et l’eau
hivers, Y forment à l’envi des berceaux toujours verts ; Là, près des fruits dorés que le pommier présente, Brille de l’olivie
t et s’y nourrit ; Chaque jour le Zéphyre y produit et féconde, Mille fruits différens dont ce jardin abonde ; Chaque saison y
is un nouveau raisin, de la fleur échappé, Rend aux pampres verdis le fruit qu’on a coupé. Non loin de ces vergers une aimabl
t pressée, L’onde siffle en longs jets dans les airs élancée : Et les fruits du mûrier de son sang colorés, Changent leurs fru
élancée : Et les fruits du mûrier de son sang colorés, Changent leurs fruits d’albâtre en des fruits empourprés.    Thisbé de
du mûrier de son sang colorés, Changent leurs fruits d’albâtre en des fruits empourprés.    Thisbé de sa frayeur à demi rassu
chille, dont le bras vengea si bien la Grèce,           Fut l’heureux fruit de leurs amours, Et ce couple charmant, plein d’u
s pas, L’arrête : à ses côtés, un esclave en ses bras, Porte l’unique fruit de leur noble hyménée, Prince à peine sorti de sa
icieux et superbe, enrichi d’une immense quantité de Pommes d’or. Ces fruits enchanteurs étaient gardés par un Dragon qu’Hercu
isis : Chloé seule excitait mon zèle ; Porte à ses pieds l’arbre, les fruits , Et si tu veux, la sentinelle, Dorat 188. M
feux du midi sans cesse étincelante, Sans verdure, sans fleurs, sans fruits , sans habitans, N’a que des rochers nus et des sa
humain Qui, glissant dans son nid une furtive main, Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore, Et qu’un léger duvet ne c
Près de là, dans un champ, d’agrestes laboureurs Préparaient les doux fruits de leurs longues sueurs : L’un, la bêche à la mai
linge orné de fleurs fut couvert pour tous mêts D’un peu de lait, de fruits et des dons de Cérès. Les divins Voyageurs altéré
odèle de ces tendres mères qui se font un devoir sacré d’allaiter les fruits d’un chaste hymen, et un plaisir de sacrifier, en
le sein maternel, Ah ! laisse tes enfans puiser leur nourriture. Ces fruits d’un chaste hymen par nos maux achetés, Quoi ! no
’atteste. Lorsque dans un berceau, qu’investit le danger, On élève le fruit , l’objet de tes tendresses, Songes-tu qu’en son s
mence. C’est elle qui neuf mois, dans ses flancs douloureux, Porte un fruit de l’hymen trop souvent malheureux, Et sur un lit
s d’un époux éperdu, Belle de son enfant à son sein suspendu. Oui, ce fruit de l’hymen, ce trésor d’une mère, Même à ses prop
re. Iole raconte les malheurs de sa sœur Dryope.    Dryope, unique fruit de l’hymen de sa mère, (Une autre fut la mienne,
Des herbes, quelques glands, dépouilles des forêts, Quelques sauvages fruits , voilà mes tristes mets. Mes yeux des vastes mers
z du bel esprit la carrière épineuse, N’allez pas, sur des vers, sans fruit vous consumer, Ni prendre pour génie un amour de
tante Secouant la rosée et versant les couleurs, Tes mains sèment les fruits , la verdure et les fleurs : Les rayons d’un beau
se    Oui, je sais qu’il est doux de voir dans ses jardins, Ces beaux fruits incarnats et de Perse et d’Epire, De savourer en
ont ses traits perçaient l’hôte sauvage, Ces bannaniers chargés et de fruits et d’ombrage, Et le toit paternel, et les bois d’
3 (1800) Cours de mythologie pp. -360
nu ;                 Il se jouoit sous le feuillage, Et butinoit mes fruits , comme si mon bocage A ce fripon d’Enfant avoit a
ves : Ses heureux favoris commandent. L’Univers Met à leurs pieds les fruits de vingt climats divers, Le Scare obéissant aband
t jaillir une moisson de fleurs ; Pour nuancer sa robe verdoyante Des fruits vermeils chargent le grenadier, Sur les buissons,
one, Tu cesses de blesser nos yeux : Vertumne ramène Pomone, Et mille fruits délicieux Brillent sur le sein de l’Automne. O sœ
flus ; L’air négligé dans la parure, Te donne une beauté de plus. Les fruits plus nombreux que les feuilles, Couronnent les ar
Et suspend ses grappes vermeilles Au front superbe des ormeaux ; Ses fruits si funestes aux Perses, Et si délicieux pour nous
lus belle Les pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades timides, Le fruit sur la terre tombé Brille, s’élève en pyramides,
brillans de Pomone et de Flore, Sur les rameaux, la fleur succède aux fruits  ; Le bouton sort du bouquet qui s’effeuille ; Le
r succède aux fruits ; Le bouton sort du bouquet qui s’effeuille ; Le fruit renaît sous la main qui le cueille : Les Gnidiens
upiter, embrassant la Déesse ; Tu sais apprécier les choses par leurs fruits , Et l’Olympe, à ton choix, reconnoît la Sagesse.
: Les fraises parfument les bois, L’épine enfante la groseille, Mille fruits naissent à la fois ; Et prête à remplir la corbei
Camilles, De leurs dons à l’envi combloient leurs possesseurs, Et ces fruits du travail n’altéroient point les mœurs. Saint-L
Pomone, Femme de Vertumne, Dieu de l’Automne. Elle préside aux fruits et aux vergers. On la représente une serpette à l
aux vergers. On la représente une serpette à la main, une couronne de fruits sur la tête, avec une corne d’abondance.     Abr
son ; Tu ris de voir que la sagesse Sur moi répand avec largesse Les fruits de l’arrière-saison. Ce que Pomone fait éclore Et
pas nos merveilles : L’oubli qui nous suit à pas lents, Fait périr le fruit de nos veilles. Rien ne dure que ce qui plaît, L’
ns acquis par un travail facile, Et consumés par un usage utile ; Des fruits pour mets, le printemps pour saison ; Des lits de
s tables champêtres Ne recevoient que des mets innocens, Du lait, des fruits , des herbages naissans ! Dans ces beaux jours van
besoins et sans maîtres Les vents sereins agitoient un air pur : Les fruits d’eux-mêmes abondoient sur la terre : Les élémens
tu soutiens ces mortels Ouvriers diligens, actifs, infatigables ; Les fruits de leurs travaux sont les dons agréables         
rgers, un arbre jeune encore Promet que ses rameaux seront chargés de fruits  ! Sur lui la foudre tombe, et la flamme dévore   
table amour, Là, sont peints les effets de sa flamme exécrable, Et ce fruit monstrueux d’un crime abominable, L’odieux Minota
lammée, Et de leurs naseaux roule un torrent de fumée. Tout tremble : fruits jumeaux d’un hymen plein d’appas, Tes fils, Laoco
lèvres desséchées, et plaça près de sa bouche une branche chargée de fruits , qui échappoient sans cesse à ses avides mains.
t sans cesse à ses avides mains.     Vers une eau désirée, ou sur un fruit voisin, Toujours Tantale avance ou la bouche ou l
voisin, Toujours Tantale avance ou la bouche ou la main : Toujours le fruit rebelle à la main qui le touche, Recule, et l’eau
ivers, Y forment à l’envi des berceaux toujours verts ; Là, près des fruits dorés que le pommier présente, Brille de l’olivie
t et s’y nourrit ; Chaque jour le Zéphyre y produit et féconde, Mille fruits différens dont ce jardin abonde ; Chaque saison y
is un nouveau raisin, de la fleur échappé, Rend aux pampres verdis le fruit qu’on a coupé. Non loin de ces vergers une aimabl
n amant. Sensibles à leurs feux, les Nymphes les plaignirent ; Et les fruits du mûrier de leur sang se teignirent ; Leurs pare
le, dont le bras vengea si bien la Grèce,               Fut l’heureux fruit de leurs amours, Et ce couple charmant, plein d’u
s pas, L’arrête : à ses côtés, un esclave en ses bras, Porte l’unique fruit de leur noble hyménée, Prince à peine sorti de sa
icieux et superbe, enrichi d’une immense quantité de Pommes d’or. Ces fruits enchanteurs étoient gardés par un Dragon, qu’Herc
isis : Chloé seule excitoit mon zèle ; Porte à ses pieds l’arbre, les fruits , Et si tu veux, la Sentinelle, Dorat 191.    
feux du midi sans cesse étincelante, Sans verdure, sans fleurs, sans fruits , sans habitans, N’a que des rochers nus et des sa
humain Qui, glissant dans son nid une furtive main, Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore, Et qu’un léger duvet ne c
linge orné de fleurs fut couvert pour tous mêts D’un peu de lait, de fruits et des dons de Cérès. Les divins Voyageurs altéré
odèle de ces tendres mères qui se font un devoir sacré d’allaiter les fruits d’un chaste hymen, et un plaisir de sacrifier, en
le sein maternel, Ah ! laisse tes Enfans puiser leur nourriture. Ces fruits d’un chaste hymen par nos maux achetés, Quoi ! no
’atteste. Lorsque dans un berceau, qu’investit le danger, On élève le fruit , l’objet de tes tendresses, Songes-tu qu’en son s
toient moins de ses vœux l’altière ambition, Que les nombreux enfans, fruits de son hyménée. Sans son orgueil, hélas ! mère tr
z du bel esprit la carrière épineuse, N’allez pas, sur des vers, sans fruit vous consumer, Ni prendre pour génie un amour de
sans cesse. L’eau cherche et fuit Tantale, et son avide main Voit le fruit qui s’échappe, insulter à sa faim. Et plus loin,
tique. Sous un Ciel pur et doux sans cesse la nature Y rassemble les fruits , les fleurs et la verdure. La nuit est inconnue e
. La manne y distiloit. Les humains trop heureux Y ployoient sous les fruits qui renaissoient pour eux. L’amour et les plaisir
    Oui, je sais qu’il est doux de voir dans ses jardins, Ces beaux fruits incarnats et de Perse et d’Epire, De savourer en
ont ses traits perçoient l’hôte sauvage, Ces bannaniers chargés et de fruits et d’ombrage, Et le toit paternel, et les bois d’
4 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
D. Jupiter et Junon eurent-ils des enfants ? R. Vulcain fut le seul fruit de leur union. D. La fable ne donne-t-elle pas d’
r des champs, pour obtenir la fertilité des terres et l’abondance des fruits . Le vin étoit banni des autels de Cérès. On lui i
moissons N’ont germé sur un sol durci par les glaçons, Solitude sans fruits , sans ombre, sans verdure, Est un vallon désert,
: Les fraises parfument les bois, L’épine enfante la groseille, Mille fruits naissent à la fois ; Et prête à remplir sa corbei
é dans l’eau jusqu’au cou, et avoit devant lui une branche chargée de fruits exquis. L’eau se retiroit toutes les fois qu’il v
a branche se redressoit toutes les fois qu’il vouloit en cueillir les fruits . D. Racontez l’histoire des Danaïdes. R. Danaüs,
étion, le frappa de la foudre qui ne fit que l’effleurer. Enée fut le fruit de l’union de Vénus avec Anchise. D. Faites-nous
des ans ; C’est vous qui produisez dans les fertiles champs       Les fruits , les fleurs et la verdure ;          Et toute la
en gerbe d’or l’épi des champs arides ; La pomme est en ses mains un fruit des Hespérides. Aux battants d’une porte applique
ard.) Pomone D. A quoi préside Pomone ? R. Pomone préside aux fruits et aux vergers. Elle étoit l’épouse de Vertumne,
de l’automne. On la représente une serpette à la main une couronne de fruits sur la tête, avec une corne d’abondance. Quels p
one, Tu cesses de blesser nos yeux : Vertumne ramène Pomone, Et mille fruits délicieux Brillent sur le sein de l’Automne. O sœ
lus belle Les pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades timides, Le fruit , sur la terre tombé Brille, s’élève en pyramides,
rfaits qu’il inspire. Son baleine en cent lieux répand l’aridité : Le fruit meurt en naissant de son germe infecté ; Les épis
qu’il corrompit les gardes en leur présentant de l’or. Persée fut le fruit de cette entrevue clandestine. D. Comment Persée
humain Qui, glissant dans son nid une furtive main, Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore, Et qu’un léger duvet ne c
mmes, que la Discorde brouilla les trois déesses. Ce fut avec ce même fruit qu’Hippomène vainquit Atalante. Hercule enleva le
rreur, J’obéis. Rebutés par dix ans de batailles, Las de languir sans fruit au pied de nos murailles, Las de voir par le sort
des lieux où l’on fuit ta présence ? Voilà de ton amour le détestable fruit  : Tu m’apportois, cruel, le malheur qui te suit.
t ainsi appelés de l’arbre lotos qui croît dans leur pays, et dont le fruit est si agréable, qu’il fait oublier aux étrangers
res dans l’antiquité. « Jamais, dit Homère , les arbres ne sont sans fruits , un doux zéphyr entretient leur vigueur et leur s
doux zéphyr entretient leur vigueur et leur sève ; et pendant que les fruits mûrissent, il en naît toujours de nouveaux. La po
n nuage, Du désordre prochain fait briller le présage ; Elle tient un fruit d’or, où ces mots sont écrits : « Le sort à la pl
lammée, Et de leurs naseaux roule un torrent de fumée. Tout tremble : fruits jumeaux d’un hymen plein d’appas, Tes fils, Laoco
    Assurément il radotoit. Car, au nom des dieux, je vous prie, Quel fruit de ce labeur pouvez-vous recueillir ? Autant qu’u
ge De se donner des soins pour le plaisir d’autrui ? Cela même est un fruit que je goûte aujourd’hui. J’en puis jouir demain,
personnes a été généralement reconnu. Déjà même la société goûte les fruits de cet heureux changement, et se réjouit de trouv
rai parole ; il peut compter d’avance Qu’au nombre de mes fleurs, mon fruit est égalé.            A peine l’arbre a-t-il parl
l’ouvrage ;            Du Pêcher la fleur déménage, Et tout espoir de fruit avec elle envolé Lui laisse à peine attendre un s
; ne laissons sortir les heures de nos mains qu’avec épargne, qu’avec fruit , qu’avec autant de regret que quand nous cédons n
e réprimer, Les fréquentes sorties font perdre à leurs élèves tout le fruit de leurs soins. Mais comment faire entendre raiso
5 (1845) Mythologie de la jeunesse
ait sans cesse à ses lèvres desséchées, et sous des arbres chargés de fruits , dont les branches se redressaient chaque fois qu
s un oratoire particulier qu’on appelait Laraire. On leur offrait des fruits , des fleurs, du lait, de l’encens. On représentai
[Fig. 73]. [Fig. 73] Pomone et Vertumne. Pomone, déesse des fruits , avait pour époux Vertumne, dieu des jardins. On
uronnée de feuilles de vignes et de grappes de raisin, et portant des fruits dans les plis de sa robe. Vertumne était couronné
de sa robe. Vertumne était couronné d’herbes, et tenait à la main des fruits et une corne d’abondance [Fig. 74]. [Fig. 74]
comme un de ses symboles, parce que la verdure présage la récolte des fruits . La Force. La Force était la fille de Thémi
é au rivage des Lotophages, peuple d’Afrique, qui se nourrissaient du fruit du lotos, dont la vertu était de faire perdre aux
deux de ses compagnons, à qui les habitants donnèrent à goûter de ce fruit  ; mais il attendit en vain leur retour : ils avai
elle ramasse le glaive, et se le plonge dans le cœur [Fig. 111]. Les fruits du mûrier, sur lequel avait rejailli le sang des
es d’Hespérus, frère d’Atlas, et possédaient un beau jardin rempli de fruits d’or. On devine aisément que ces fruits n’étaient
ient un beau jardin rempli de fruits d’or. On devine aisément que ces fruits n’étaient tout simplement que des oranges et des
6 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
La terre, sans être déchirée par le soc, fournissait toute espèce de fruits  ; un printemps perpétuel souriait à la nature ;
onne de chêne rappelle que les hommes se sont anciennement nourris du fruit de cet arbre ; les tours qui ceignent sa tête ind
uctions trois fois l’année, et présente tour à tour des fleurs et des fruits . Plus de douleurs, plus de maladies, plus de viei
r approche, et croyaient les apaiser en leur offrant les prémices des fruits et les premiers-nés des troupeaux. Les noms de Fa
prix au plus agile. Après ce combat d’adresse, on offrait à Palès des fruits et du miel, et l’on terminait la fête par un fest
un festin. Pomone était honorée, chez les Romains, comme déesse des fruits . Elle ne se plaisait que dans les vergers, où ell
r. — On la représente assise sur une corbeille pleine de fleurs et de fruits , tenant un rameau d’une main et des pommes de l’a
ides, Nérée l’instruisit de la contrée et de l’endroit où étaient ces fruits merveilleux. Lorsque Pâris emmena Hélène à Troie,
lus souvent on se contentait de mettre sur leurs autels, du lait, des fruits et des fleurs. § 12. Protée. Protée, dieu
un esclave pour les servir. On offrait aux dieux Lares du vin et des fruits  ; on les couronnait de violettes, de myrte et de
ce, sacrifiait à son Génie, auquel il offrait du vin, des fleurs, des fruits , de l’encens ; mais le sang des victimes ne coula
ommes et des dieux. Un dragon à sept têtes, préposé à la garde de ces fruits , avait sans cesse les yeux ouverts à l’entrée du
ant d’aller lui-même combattre ou endormir le dragon, et cueillir les fruits . Atlas agréa la demande, à condition toutefois qu
ritanie, pour y enlever les pommes d’or du jardin des Hespérides. Ces fruits précieux étaient confiés à un dragon qui ne dorma
r arrachée. Les Nymphes la ramassèrent, la remplirent de fleurs et de fruits , et ce fut la Corne d’abondance. Voici peut-être
fusion, Persée, accablé par le nombre, allait succomber, et perdre le fruit de ses précédentes victoires : il se souvient de
ez les Lotophages, qui offrirent à quelques-uns de ses compagnons des fruits si délicieux qu’il fallut user de violence pour l
produisaient en toute saison les plus belles fleurs et les plus beaux fruits . Sa famille offrait le tableau de l’innocence et
’Égisthe et Clytemnestre jouissaient, avec une impudente sécurité, du fruit de leurs crimes, lorsque Oreste, qui préparait da
quel Pyrame et Thisbé venaient de périr fut teint de leur sang, et le fruit qu’il portait devint dès cet instant d’un noir po
ents de toute espèce, des étoffes brillantes, des parfums exquis, des fruits rafraîchissants s’offrent à elle ; un nombreux do
der aux astres, faire descendre la lune du firmament, transporter les fruits et les moissons d’un champ dans un autre, évoquer
meure jamais impuni ? g) Le phénix. Le Phénix, oiseau fabuleux, fruit de l’imagination des prêtres d’Égypte, ressemble
rs soif au milieu des eaux et toujours faim près d’un arbre chargé de fruits . Voyez section III, § 17. — Le crime des Danaïdes
7 (1860) Elements of Mythology, or, Classical Fables of the Greeks and the Romans
h but one eye, placed in the middle of their foreheads; lived on such fruits and herbs as the earth spontaneously affords, and
ndividual’s property. In the first ages of society, men fed upon wild fruits , and the flesh of wild animals taken in hunting —
t, for her, with milk and mellow wine. Thrice lead the victim the new fruits around, And Ceres call, and choral hymns resound.
loping hills Where’er the god inclines his lovely face, More luscious fruits the rich plantations grace. Then let us Bacchus’s
ed under the form of a beautiful young woman sitting upon a basket of fruit ; and near her stood Vertumnus, in the figure of a
; and near her stood Vertumnus, in the figure of a young man, holding fruit in one hand, and in the other the horn of plenty.
, on which occasion no victim was killed, and nothing offered but the fruits of the earth. The shepherds purified their flocks
o was invoked to preserve it from the mildew. Populonia protected the fruits of the earth from hail and lightning. Pilumnus pr
was represented under the form of an immovable rock. Milk, cakes, and fruit were offered to him, and his image was crowned wi
dark earth appeared at his feet. Around him lofty trees spread their fruits to view; the pear, the pomegranate, and the apple
d his hapless head, Trees of all kinds delicious fruitage spread. The fruit he strives to seize; but blasts arise, Toss it on
never disturbed by storms. The sunshine was unclouded, and delicious fruits and odorous flowers constantly regaled the happy
roke off his horn. This horn was picked up by the nymphs, filled with fruits and flowers, and presented to Plenty, as her embl
he waters had subsided, the soil, which had been overflowed, produced fruits and flowers. Before the time of Hercules, the anc
n sacrifices, and to appoint in their place, the innocent oblation of fruits , flowers, and incense. All the Avatars are painte
and meditation: a son of Isis. The Egyptians offered to him the first fruits of the lentils and pulse. The tree called Persea
ecrated to him, because its leaves were shaped like a tongue, and the fruit like a heart. He was depicted as a naked boy, cro
the safety of the state, and its allies, for the preservation of the fruits of the earth, for rain, and for deliverance from
ranates and litde bells suspended from the hem. This was emblematic —  fruit and sound — intimating that the fruits of righteo
the hem. This was emblematic — fruit and sound — intimating that the fruits of righteousness, that is a virtuous conduct, sho
harvest, and was a thanksgiving for the divine mercy in bestowing the fruits of the earth. The Pentecost also celebrated the r
8 (1836) The new pantheon; or, an introduction to the mythology of the ancients
gnify her keeping, locked up in her bosom, the seeds of every sort of fruit . Her temples were round, in imitation of the form
ping a lighted torch. What were her attributes? She is the goddess of fruits ; for her very name is derived from the care she w
rom the care she was supposed to take in producing and preserving the fruits of the earth. She is said to have taught the art
et, for her, with milk and mellow wine Thrice lead the victim the new fruits around, And Ceres call, and choral hymns resound.
oping hills. Where’er the God inclines his lovely face, More luscious fruits the rich plantations grace. Then let us Bacchus’
ve was entwined around her helmet, because she taught the use of that fruit . What other names were given her, besides that of
as represented under the form of an immoveable rock. Milk, cakes, and fruit , were offered to him, and his image was crowned w
ed under the form of a beautiful young woman sitting upon a basket of fruit ; and near her, stood Vertumnus in the figure of a
; and near her, stood Vertumnus in the figure of a young man, holding fruit in one hand, and in the other, the horn of plenty
on which occasion, no victim was killed, and nothing offered but the fruits of the earth. The shepherds purified their flocks
ed with a statue from the hand of Praxiteles. Populonia protected the fruits of the earth from hail and lightning. Pilumnus pr
, his hapless head, Trees of all kinds delicious fruitage spread. The fruit he strives to seize; but blasts arise, Toss it on
n sacrifices, and to appoint in their place, the innocent oblation of fruits , flowers, and incense. All the Avatars are painte
pot where it fell. The Scythians also offered to their gods the first fruits of the earth, and portions of the spoils they gai
ere sacred to Mars? What were the favourite birds of Minerva? Of what fruit did Pallas teach the use? What were the Ancilia?
9 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
ôt après cette mutilation on vit sortir de terre un amandier dont les fruits mûrs éveillèrent tellement l’envie d’une nymphe,
sein. Alors un fait plus merveilleux suivit cette imprudence, car le fruit disparut, la jeune fille fut enceinte et donna le
taient sous sa protection, et qu’elle nourrissait les hommes avec les fruits de l’arbre dont elle portait une couronne. Elle a
ste d’homme, porté sur un corps et des jambes de cheval. En voyant ce fruit de ses criminelles amours, la douleur de Philyre
teurs ; Epicœnius, ou commun à tout ; Epicarpius, ou le producteur de fruits  ; Epidote, ou qui donne tout ; Epiphanès, ou prés
ns les bois, la nymphe prit cette corne, la remplit de feuilles et de fruits , et fut la présenter à Jupiter, qui, l’acceptant,
rait. Par la suite, la corne cassée, supposée remplie de feuilles, de fruits , de fleurs, de monnaies, de grains, devint la cor
x troupeaux et des jardins remplis d’arbres, dont les branches et les fruits étaient d’or ; ils étaient confiés à la garde d’u
forces diminuaient, est encore affaibli en mangeant les éphémères, ou fruits particuliers, qu’elles lui présentent sous prétex
peuplèrent la terre en jetant derrière eux, non des pierres, mais les fruits d’un palmier. Sans parler des enfans nés des pier
pliées, avait ordonné aux Curètes d’enlever d’Egypte, où il était, ce fruit adultérin. Cet ordre, malheureusement pour eux, f
quoique destiné à se trouver continuellement sous un arbre chargé de fruits  ; car ses branches, qui s’inclineront sans cesse
ent bien minimes pour de célestes voyageurs : du lait, du miel et des fruits , tel était le repas frugal qu’ils leur servirent
il à un pèlerin, et tenant une corne d’abondance d’où s’échappent des fruits qu’un enfant s’empresse de ramasser. On lui consa
ramasser. On lui consacrait le chêne, tant pour son abri que pour son fruit qui passait pour avoir été la nourriture des prem
sel, de l’encens, l’olivier, arbre de la paix, et le chêne, dont les fruits dans la Grèce et en Italie, avaient servi à nourr
ant sur l’arc-en-ciel ayant sur la tête une corbeille de fleurs et de fruits avec une baguette à la main ; quelquefois les mod
rnéen de Carnus son favori, Carpog, Carpogenetle ou la génération des fruits , Cataon ou de la Cataonie en Cappadoce, Cerdous o
s, avant de la brûler, il tira adroitement de ses flancs Esculape, le fruit de leurs amours. D'autres accusent Diane de ce me
ant plus sage et plus puissant que lui, il avala cette Métis avec son fruit . Néanmoins l’oracle eut raison : cette absorption
n profane ne pouvait approcher, Calligénie, Carpophore ou portant les fruits . Casquée ou portant un casque en Arcadie, Catanen
se, Florifera ou qui apporte les fleurs, Frugifera ou qui apporte les fruits , Géphyrrée ou à autel sur un pont, Gerys, c’est-à
na le jour au jeune Eumolpe. Confuse de cette aventure elle envoya le fruit de sa faute à son père, le dieu des eaux, avec le
dans lesquelles les Athéniens offraient à Cérès les prémices de leurs fruits pour en obtenir des belles moissons ; elles porta
, déesse présidant à la fécondité des troupeaux ; Féronie, déesse des fruits naissans et de la liberté ; Flore, déesse des fle
ellana, dieu présidant aux épis prêts à s’ouvrir ; Pomone, déesse des fruits  ; Porus, dieu de l’abondance ; Populonie protégea
u’ils appellent Féronie, en lui donnant pour attribut de présider aux fruits naissans. Le feu, disent-ils, ayant consumé jadis
z ces peuples se rapprocher de Junon. Mais la véritable déesse des fruits était encore toute romaine : c’était Pomone, venu
ne, venue, dit-on d’abord, d’Etrurie. Elle présidait à la récolte des fruits , aux jardins ou vergers, ainsi qu’à tous les trés
meau dans la droite, ou ayant dans ses mains une corbeille remplie de fruits , ou bien une corne d’abondance ; on la pose souve
ans lesquelles on sacrifiait à ce dieu les prémices des fleurs et des fruits . On le représentait jeune, couronné de fleurs, co
ouronné de fleurs, couvert d’un habit jusqu’à la ceinture, tenant des fruits de la main gauche et de la droite une corne d’abo
saison des fleurs, et Carpo ou Opôra pour l’été-automne ou saison des fruits . Plus tard, quand le nombre des saisons fut fixé
printemps portait des Œufs, l’été un Vase et un Thyrse, l’automne des fruits et des filets, l’hiver un lièvre, pour signifier
ui apprendre l’art de plaire sans parure, la troisième lui offrir les fruits nouveaux, la quatrième lui montrer à parler aux c
Cet Adonis ou Kiris, ou Gingris, était, suivant quelques légendes, le fruit d’un commerce incestueux de Cynire, roi de l’île
e s’échappa, et se mit à errer dans le pays des Sabéens en portant le fruit de son inceste. A la fin elle fut métamorphosée e
aissant comme lui pendant l’hiver, ou les apparitions périodiques des fruits de la terre. Mais le positif, c’est qu’il y a dan
ou de Vénus, et de Jupiter, ou plus habituellement il passait pour le fruit de Vénus et de Bacchus triomphateur des Indes. Ju
u’on appelait Ornées ou Priapées, des grains, du raisin, du miel, des fruits . On lui sacrifiait l’âne, qui par ses cris avait
ar ce conte absurde que Jupiter, amant de Sémélée, fit transporter le fruit de leurs amours par un messager discret à Nysa, v
hers. Les bacchantes suivaient portant des corbeilles d’or pleines de fruits , de serpens apprivoisés et en dansant et chantant
es processions que l’on faisait en portant un ceps de vigne chargé de fruits  ; les Rhapsodon Eorte ou Rhapsodies étaient des f
a mémoire de ce qu’il avait fait quitter aux hommes le gland pour les fruits et le blé. On y plaçait encore un ceps de vigne e
apaiser, leur auront offert des sacrifices, et les prémices de leurs fruits et de leurs troupeaux. Ces animaux divins et demi
pieu, ou portant dans cette main une coupe d’or ou un plat chargé de fruits . A sa suite, on voyait Adelphagie ou la Gourmandi
or, arbre que Junon avait donné à Jupiter le jour de leurs noces. Les fruits de cet arbre étaient si précieux qu’ils possédaie
er de l’éloquence. Aussi avait-on mis pour défendre l’approche de ces fruits Hespérius ou Ladon, fils de la Terre ou de Typhoé
ensuite Acheloüs. Quant à la corne, elle fut remplie de fleurs et de fruits par les nymphes de ses bords et offerte, dit-on,
n leur sacrifiait un porc et on leur offrait du lait, des fleurs, des fruits et de l’encens. Quant aux Pénates ou Pénetrales,
frir des agneaux, des brebis, des chèvres, du vin, de l’encens et des fruits . Les autres enfans de Mercure étaient Libys fille
jeune homme portant sur son sein des grenades, des oranges et autres fruits d’Orient ; l’Euros ou Vulturnus des Latins, ou Ri
me le plus puissant de tous. On le représente environné de fleurs, de fruits , tenant une corne d’abondance et un aviron. Sa tê
é un temple que Clodius brûla ; on leur offrait du lait, du miel, des fruits  ; quelquefois on leur sacrifiait une chèvre ou un
à la suite de Bacchus. On offrait à ces déesses du vin, du miel, des fruits , des fleurs. On leur sacrifiait des chèvres et de
était suivant les autres, parce qu’il avait appris d’un oracle que le fruit de cet inceste devait être un jour le vengeur de
que pour ne pas éveiller les soupçons de son époux, elle a confié le fruit de sa honte aux chevriers d’une contrée qu’elle l
honteuse de reconnaître, à la vue du glaive témoin de son inceste, le fruit et la cause de son malheur, se perce avec cette m
icaine des Lotophages, où il y avait des arbres nommés lotos, dont le fruit délicieux faisait perdre à ceux qui en mangeaient
e le jour et la nuit, et de l’autre, une corne d’abondance remplie de fruits . Le huitième, Octobre, dédié à l’empereur Domitie
rement une clef, ou un cachet ou un cœur, ou des épis ou un panier de fruits , et à ses pieds un chien. Quelquefois on la symbo
louse verte au bord d’un clair ruisseau, des fleurs, de l’encens, des fruits , des charbons éteints et des libations ; sacrific
lus célèbre de l’Egypte, et montra l’usage que l’on pouvait faire des fruits de la terre ; il substitua des lois douces et hum
e l’adultère avait souillé la couche d’Osiris, qu’Haroéri en était le fruit , il fut bientôt convaincu de mensonge, et ne se s
e cette demeure sacrée que la foule des Deutas se délecte à manger le fruit couleur d’or du délicieux kalpa, ou à boire le la
onnée d’épis, et pressant aux pieds la racine d’une plante chargée de fruits qui passe par ses deux mains. On célèbre tous les
de ses robustes anneaux à laisser tomber ses arbres, ses fleurs, ses fruits dans la mer, dont les eaux combinées avec leurs s
er dans une eau pure, tout-à-coup sur sa robe s’épanouit un Padma aux fruits de Corail. Alors Pouça en mangea un, et aussitôt
Padma, tenant dans ses mains des couteaux, des livres, des épées, des fruits et des fleurs. Kang-i, ou Cang-y, est un Dieu de
aux arts libéraux et mécaniques. Achtad, préside à l’abondance, aux fruits et aux moissons ; il donne la force de remplir se
vorante le taureau primordial, puis, à l’aide de lait de chèvre et de fruits , il séduisit le premier couple humain Meschia et
ce qui rendit malades l’homme et la femme, puis il leur présenta des fruits qu’ils acceptèrent, et alors ils perdirent leur i
la foudre, était le premier des Dieux après Peroun ; il présidait aux fruits de la terre ; il avait sa fête le vingt-quatre ju
ile, sa main gauche tenait une roue, et sa droite un panier rempli de fruits et de fleurs ; sous ses pieds était un poisson so
ebout, tantôt assise, elle a auprès d’elle une corne d’abondance, des fruits , un panier, un chien. On la voit quelquefois acco
Skada, est le dispensateur des pluies, du soleil, du beau temps, des fruits de la terre, des richesses et de l’abondance. S'é
s magiciens, et dispensant à son gré les produits de la chasse et les fruits de la terre. Paive, déesse du soleil, est une de
au contraire, les flots s’empressaient de rendre à la mère fidèle le fruit de ses chastes amours. On représentait le Rhin so
ux, se précipita la tête sur un rocher et mourut. Qormaq Qonlingios, fruit de l’inceste de Qonnor avec Néaça, sa mère, resta
lles, auxquels la crainte offrait des gâteaux sacrés, des fleurs, des fruits , au milieu de fêtes somptueuses où les Caciques o
importantes par les Brésiliens ; on le représentait sous la forme du fruit du Tamaraka orné de plumes ; les prêtres mettaien
Epéoché, 566. Epérite, 352. Ephaptor, 211. Epheme, 68, 69. Ephémères, fruits particuliers, 38. Epéocho, 466. Ephésies, 86. Eph
10 (1883) A Hand-Book of Mythology for the Use of Schools and Academies
l hunger and thirst. Above his head were suspended the most beautiful fruits , but when he attempted to snatch them, a gust of
Tantalus means that the sun, when he glared too fiercely, killed the fruits which his warmth was ripening, and dried up the s
now withdrew from the society of the other deities. Meanwhile all the fruits of the earth ceased, and a general famine threate
to Olympus. Demeter swore that she would neither return nor allow the fruits of the earth to grow until her daughter was resto
ins every year when the icy breath of winter robs her of her flowers, fruits , and grain. The sorrow of Demeter typifies the gl
were millet and barley. Swine were sacrificed because they injure the fruits of the earth. Demeter punished with severity thos
ng of animals were sacrificed to Vesta, also tender shoots of plants, fruits , and libations of wine, water, and oil. Represe
are described as opening and closing the gates of heaven and causing fruits and flowers to spring forth when they pour down u
tion of autumn has her hands filled with clusters of grapes and other fruits . Sometimes they appear as lovely girls dancing, a
etimes they appear as lovely girls dancing, and adorned with flowers, fruits , and garlands. Charites*. Comparative Myt
ning, he represents the blessings of autumn. It is he that causes the fruits to ripen; he also dispenses to mankind the blessi
ch the leaf-buds become developed into blossoms and the blossoms into fruit . He is generally represented crowned with wheatsh
dite, was the god of fruitfulness, the protector of flocks, bees, the fruit of the vine, and all garden produce. He was chief
owledgments for benefits received, and usually consisted of the first fruits of the fields, or the finest of the flocks and he
t had been predicted that his orchard, in which the trees bore golden fruit , would be robbed by a son of Zeus. Perseus was ex
ifferent times. Atalanta, who was dazzled by the beauty of the golden fruit , repeatedly stopped to secure it, and thus Hippom
new earth will rise out of the abyss. This new earth will produce its fruits without labor or care, perpetual spring will reig
h is exemplified in the sowing of the seed and the development of the fruits , the winter and the summer, the dry and the rainy
11 (1889) The student’s mythology (2e éd.)
e of sacrifice. We meet everywhere the same offerings: flowers, first fruits , libations of milk, honey, and wine; also sacrifi
ddess; and among plants, the rose, the myrtle and the apple. Incense, fruits and flowers were the ordinary sacrifices laid on
olden apple; the princess paused to admire and take up the glittering fruit , while Hippomenes passed on. A second and a third
quality, property was held in common, and the earth brought forth its fruits without labor. Ques. What sacrifices were offere
the daughter of Saturn and Ops, and was worshipped as the goddess of fruits and corn. It is supposed that she first invented
rs recede whenever he attempts to drink. Branches laden with tempting fruit hang over him, but they are carried out of reach
were among the sacrifices offered to these divinities, but the first fruits of the season were always laid upon the hearth. N
den apple in the garden of the Hesperides, and bore away the precious fruit . Twelfth. Hercules descended alive into the infer
selves. Juno sent, therefore, a terrible dragon to guard the precious fruit . This monster was the offspring of Typhon, and ha
lowers. In Summer, the sun was obscured by clouds; the Autumn shed no fruits , but through every season of the year, the wintry
four miles. It is fertile and produces in abundance, rice, wheat and fruits . The ruins of the temple are not extensive; they
of the greatest of the gods. He presided over rain, sunshine, and the fruits of the earth. From his name comes our word Friday
uth. On the approach of the Great Twilight, and the end of time, this fruit was to lose its magic power. Heimdall. Que
a new earth to rise out of the abyss. This new earth will produce its fruits without labor or care; perpetual spring will reig
. What sacrifices were offered by the Druids? Ans. In time of peace, fruits and cattle; in war, human sacrifices were preferr
ry useful art. Under his beneficent rule, the earth brought forth its fruits without care or labor: and such was the fertility
nnexed to each temple, and the priests were further enriched by first fruits and other offerings. This large provision became
ions of votaries crowned with garlands, bore offerings to the temple; fruits , ripe maize, and the sweet incense of the copal a
12 (1832) A catechism of mythology
sts in splendid and costly habits, who offered sacrifices of animals, fruits , vegetables, perfumes, &c. These sacrifices w
us, king of Attica, to plough, sow, and reap, to bake bread, and rear fruit trees. She gave him her chariot, drawn by winged
eres. “Ceres was she who first our furrows plough’d; Who gave sweet fruits , and early food allow’d; Ceres first tam’d us wit
t, for her, with milk and mellow wine; Thrice lead the victim the new fruits around, And Ceres call, and choral hymns resound;
oping hills, Where’er the god inclines his lovely face, More luscious fruits the rich plantations grace. Then let us Bacchus’
the third; and Robigus and Flora, were the fourth. Robigus prevented fruits from being blighted, and watched over them to mak
d Terminalia, were always observed on the last day of the year. Milk, fruits , and cakes, were offered to him. His image was a
k barefoot over burning coals without injury. Pomona, the goddess of fruit , was unknown among the Greeks. She lived in celib
beautiful, and robust woman, sitting on a basket full of flowers and fruits , and holding apples on her knees, and surrounded
holding apples on her knees, and surrounded with branches loaded with fruits . — See Fig. 35. Fig. 35. Pomona. Vertumnus wa
rowned with flowers, covered up to the waist, and holding in one hand fruits , and a crown of plenty in the other. He was often
their care and vigilance. The burnt offerings were wine and incense, fruit and wood, crumbs and a sow. While their festivals
the breezes bear, In silken dalliance to the dreaming ear, And golden fruits , ‘mid shadowy blossoms, shine. In fields immortal
placed in the water up to the chin, with a bough bent with delicious fruits , which are just above his reach. The causes of th
his hopeless head, Trees of all kinds delicious fruitage spread; The fruit he strives to seize; but blasts arise, Toss it on
sed to her several temples. She is represented with a horn of plenty, fruits , and a beehive. Mariners represented her with an
never slept; but Hercules slew the dragon, and obtained the precious fruit . His twelfth labour was to bring up to the light
 The golden apples of Juno, some fancy to have been merely oranges, a fruit very rare in ancient times, and carefully guarded
augury, and the interpretation of dreams, prevailed — the unfortunate fruits of a superstitious worship. The stories which his
s. The tree called Persea, whose leaves were like a tongue, and whose fruit like a heart, was sacred to him. Anubis, the com
o abolish human sacrifices, and to introduce the innocent oblation of fruits , flowers and incense. The Avatars are distinguish
ve them the principles of geometry, and taught them to sow and gather fruits , and, in short, all that could contribute to poli
d Protogone, and the first woman, Aeon. It was she who found that the fruits of trees were good, and could serve as nourishmen
erings were simple, such as a pastoral people could afford. The first fruits of crops, and the most beautiful fruits of the ea
eople could afford. The first fruits of crops, and the most beautiful fruits of the earth, covered the altars of the gods. But
had offered to Earth a sacrifice of expiation in which they employed fruits and honey. This plant having been thus collected,
13 (1850) Précis élémentaire de mythologie
de chêne, pour rappeler que les hommes s’étaient autrefois nourris du fruit de cet arbre. Sa tête était ceinte de tours énorm
s l’appui des lois mit la faible innocence. Cet ordre fut, dit-on, le fruit des premiers vers… Art poét., ch. iv. 8. Les Gr
lance, et l’on en vit soudain sortir un olivier chargé des plus beaux fruits . C’était le symbole de la paix et de l’abondance.
u’au cou, et fit placer sous ses yeux une branche d’arbre chargée des fruits les plus appétissants. Quand ce roi criminel essa
s et des bergères. Pour les apaiser, on leur offrait les prémices des fruits et des troupeaux. Ces Satyres avancés en âge pren
elles portaient le nom de jeux floraux. 9. Pomone était la déesse des fruits et des jardins. Elle est unie par la fable à Vert
umne, le dieu de l’automne, parce que c’est dans cette saison que les fruits parviennent à leur maturité. Cette déesse tient d
s de vigne ou de laurier, et on lui donnait un panier pour porter les fruits , une faucille pour moissonner, des instruments de
le mont Tarpéien. On ne lui offrait d’abord que du lait, du vin, des fruits et des gâteaux de farine nouvelle. On lui sacrifi
emples ? Chapitre II. Des Biens. 1. Les biens sont toujours le fruit de la vertu, et les hommes n’en possèdent de véri
montrer que son empire s’étend sur toute la terre. On lui offrait des fruits , des fleurs et des couronnes, mais jamais le sang
gueurs qu’il inspire. Son haleine en cent lieux répand l’aridité ; Le fruit meurt en naissant dans son germe infecté ; Les ép
nt et superbe, une parure recherchée et un embonpoint qui semblait le fruit de la mollesse. Elle se considérait elle-même, et
humain Qui, glissant dans son nid une furtive main, Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore Et qu’un léger duvet ne co
africaine des Lothophages. Cette île était peuplée d’arbres dont les fruits délicieux faisaient oublier à ceux qui en mangeai
Polyxène, fille de Priam, 146. Pommes d’or, 114. Pomone, déesse des fruits , 79. Pont-Euxin, 105. Porphyrion, géant, 21. P
14 (1842) Heathen mythology
e ancients was either great or happy, great if these figures were the fruits of their industry; and happy if they looked no fu
in the Isle of Delos, alone and unfriended, bearing in her bosom the fruit of her weakness, she gave birth to Apollo and Dia
hich was an imitation of an altar to Bacchus. “Under the festoons of fruits and flowers that grace the pedestal, the corners
Gay. Insérer image anonyme_heathen-mythology_1842_img074 The first fruit of the mechanical skill of Vulcan, was invented a
, And warmed the bosom of unconquered love. Beneath a moving shade of fruits and flowers, Onward they march to Hymen’s sacred
pears exalting scents unfold, And yellow apples ripen into gold: The fruit he strives to seize, but blasts arise, Toss it on
anonyme_heathen-mythology_1842_img125 To them were offered the first fruits of everything, and they attended chiefly upon Bac
over flowers, and enjoying perpetual youth. Pomona was the Goddess of Fruits and Fruit Trees, and supposed to be the Deity of
s, and enjoying perpetual youth. Pomona was the Goddess of Fruits and Fruit Trees, and supposed to be the Deity of Gardens.
ould her excel, Or form the pliant souls of plants so well; Or to the fruit more generous flavours lend, Or teach the trees w
fect of limbs: Admittance thus he gains; admires the store Of fairest fruit ; the fair possessor more; Then greets her with a
riest, who offered sacrifices to her divinity for the preservation of fruit : she is generally represented sitting on a basket
she is generally represented sitting on a basket, full of flowers and fruit , holding a bough in one hand, and apples in the o
of a young man, crowned with various plants, bearing in his left hand fruits , and in his right a horn of abundance. The Goddes
unded by the flowers which blossom latest, mingled with the delicious fruits which are the offspring of the summer season. “C
s the light; There is enough of sorrowing, and quite Enough of bitter fruits the earth doth bear, Enough of chilly droppings f
of all the winds, married Flora, and was said to produce flowers and fruits , by the sweetness of his breath. Companion of lov
of May, when their statues were crowned with garlands of flowers, and fruit offerings presented to them. The Penates also clo
radition had announced that his gardens were to be plundered of their fruits by one of the sons of the King of Heaven; and not
m his eyes, And Jove’s own progeny enjoy the prize.     For this, the fruit he loftily immured, And a fierce dragon the strai
his lips; while, above his head, hangs a bough, laden with delicious fruit , which, when his hand would grasp it, is borne aw
s sword. There was now one son left, named Egisthus, who, himself the fruit of a great crime, had been brought up by Agamemno
re they might rest secure beneath the shade, Which boughs, with snowy fruit encumbered, made. A wide spread mulberry tree its
l let our loves from thee be understood, Still witness, in thy purple fruit our blood — She spoke, and in her bosom plunged t
15 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
voyager utilement, apprécier les chefs-d’œuvre des arts, et lire avec fruit les ouvrages des poëtes et des auteurs anciens, s
ances força les premières émigrations. Il fallut chercher de nouveaux fruits , de nouveaux champs : et les familles, en s’éloig
des principes de géométrie, leur apprenait à semer, à recueillir les fruits , en un mot, tout ce qui pouvait contribuer à les
Protogone, et la première mère Aéòn ; ce fut elle qui trouva que les fruits des arbres étaient bons, et pouvaient servir à la
histoire défigurée de la création de l’homme, peut-être même celle du fruit défendu ; et l’on trouve les géans dont parle l’É
, la divination, les augures, l’interprétation des songes, malheureux fruits d’un culte superstitieux . Dès le temps de Moïse,
ils l’adorèrent comme le dispensateur de tous les biens, de tous les fruits , et de tout ce qui était agréable ou utile au gen
elles leur firent connaître que la terre étant cultivée rapporte des fruits propres à nourrir. Quelques maisons furent constr
de notre ouvrage étant de mettre nos lecteurs en état de voyager avec fruit , et d’apprécier les chefs-d’œuvre des poëtes et d
pendant l’hiver elle conserve dans son sein les semences de tous les fruits . Enfin, ses temples étaient d’une forme ronde, po
es. Robigus et Flore étaient les quatrièmes. Le premier empêchait les fruits de se gâter, et veillait à les faire mûrir ; Flor
e Terme prenait de lui le nom Terminalis. On lui offrait du lait, des fruits et quelques gâteaux. Les sacrifices publics avaie
ne sous la figuré d’une belle et jeune femme, assise sur un panier de fruits , ayant des pommes sur ses genoux, et des branches
fruits, ayant des pommes sur ses genoux, et des branches chargées de fruits autour d’elle. (Fig. 35.) On peint Vertumnus s
5.) On peint Vertumnus sous la figure d’un jeune homme, tenant des fruits dans une main, et dans l’autre urne corne d’abond
ée, parce que l’on avait manqué pendant quelque temps d’alimens et de fruits . Pluton la conduit dans les enfers, pour désigner
é plusieurs temples. On la représente avec une corne d’abondance, des fruits , des fleurs, une ruche à miel (Fig. 52), et les n
16 (1895) The youth’s dictionary of mythology for boys and girls
s [Ceres], daughter of Saturn, the goddess of agriculture, and of the fruits of the earth. She taught Triptolemus how to grow
eet for her with milk and mellow wine, Thrice lead the victim the new fruits around, On Ceres call, and choral hymns resound.”
sound.” “Ceres was she who first our furrows plowed, Who gave sweet fruits and every good allowed.” Pope. Ces′tus [Cestus
a horn of plenty in one hand, and in the other a scepter, from which fruit is sprouting forth. Constancy, see Cephalus. Co
Scandinavian god of tempests and winds. Frogs, see Clowns of Lycia. Fruits , see Ceres, and Pomona. Funerals, see Libitina,
ddesses of the seasons to invoke fair weather for the ripening of the fruits of the earth. Orbo′na [Orbona]. Roman goddess of
fice was begun by putting corn, frankincense, flour, salt, cakes, and fruit on the head of the victim. This was called the Im
dark earth appeared at his feet. Around him lofty trees spread their fruits to view; the pear, the pomegranate, and the apple
thologists say, of the seasons; the husband of Pomona, the goddess of fruits and orchards. Ves′ta [Vesta], daughter of Saturn
17 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
r travail justifie mon intention et mes désirs, en répandant quelques fruits heureux, je crois pouvoir annoncer d’autres proje
s ; C’est vous qui produisez dans les fertiles champs,            Les fruits , les fleurs et la verdure,                       
Il étoit plongé dans l’eau jusqu’au menton, et une branche chargée de fruits exquis paroissoit auprès de sa bouche. Ce scéléra
x hommes l’agriculture.       Par mes soins, les champs de Cybèle De fruits et de moissons viennent d’être couverts ; De mes
troupeaux. Pomone. D. Qu’étoit Pomone ? R. Pomone présidoit aux fruits . Elle étoit l’épouse de Vertumne, Dieu de l’Autom
rfaits qu’il inspire. Son haleine en cent lieux répand l’aridité : Le fruit meurt en naissant de son germe infecté ; Les épis
c’est-à-dire, qu’il gagna les gardes à force d’argent. Persée fut le fruit de ce commerce. Acrise fit jeter l’enfant dans la
s doute est l’ame de la Fable,    C’est une fleur qui doit donner son fruit , …………………………………………………… L’homme n’eût point voulu d
, de la santé, de la vie même : tels sont le plus souvent les tristes fruits de l’intempérance. D. Quel est le jugement qu’on
18 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
vergers. Il désirait vivement épouser Pomone, qui était la Déesse des fruits  ; mais cette Déesse, qui avait déjà refusé de s’u
me couronné d’épis et de grappes de raisin, tenant dans ses mains des fruits et une corne d’abondance. Pomone porte une couron
ins des fruits et une corne d’abondance. Pomone porte une couronne de fruits  ; elle tient une serpette à la main, et a près d’
e à la main, et a près d’elle des corbeilles remplies de fleurs et de fruits mûrs. Questions. Qu’est-ce que Vertumne ? — 
e que l’Océan ? — Quelle union contracta-t-il, et quels en furent les fruits  ? — Comment le représente-t-on ? Téthys. T
es avides ; au-dessus de sa tête des arbres pliaient sous le poids de fruits délicieux qui semblaient être à sa portée ; mais
tenir ; chez les Lotophages75, qui firent goûter à ses compagnons des fruits si délicieux, qu’ils ne voulaient plus se rembarq
aient faits. Il y avait certaines divinités auxquelles on offrait des fruits , des fleurs, des gâteaux, du blé, et d’autres obj
es qui se firent remarquer par leur talent à cultiver les fleurs, les fruits , les arbres, etc., et dont les Grecs firent des D
, que l’on a pu dire qu’elles soutenaient le ciel, et il cueillit des fruits d’or, qui n’étaient autre chose que des oranges.
19 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
és : La terre heureusement se durcit sous nos pieds, L’univers fut le fruit de ce prompt assemblage : L’être libre et pensant
travaux de l’esprit, les lettres, les sciences, et les arts, sont les fruits de l’intelligence et de la mémoire. Jupiter, que
arracher ses faveurs. Cependant les vraies richesses sont restées le fruit du travail ; elles consistent surtout dans les pr
ses parties de ce vaste domaine de l’homme, aux prés, aux fleurs, aux fruits , aux saisons, aux bois, aux fontaines, aux montag
s autres que le nom. 66. Pomone. — Priape. Pomone présidait aux fruits et aux vergers. Elle épousa Vertumne, dieu des sa
orie les quatre saisons de l’année. On représente Pomone couronnée de fruits et Vertumne couronné de fleurs, ayant l’une et l’
le avec tant de douceur, qu’il vivifie les plantes et fait naître les fruits . On le peint sous les traits d’un jeune homme à l
longé dans l’eau jusqu’à la ceinture, au-dessous d’un arbre chargé de fruits , dont les branches s’abaissent jusqu’à sa bouche.
ine, elle est représentée avec une corne d’abondance, des fleurs, des fruits , une ruche à miel, emblème des biens qu’elle prom
e femme, couronnée de fleurs et tenant à la main une corne remplie de fruits , appelée corne d’abondance, dont on a vu l’origin
ntre mes coups sans cesse renaissante, Et l’affreux surveillant de ce fruit renommé ? Ce bras qu’aucun mortel n’a jamais désa
il sans nuage, Fuit la source limpide où se peint son image, Les doux fruits que leur main de l’arbre a détachés Ou que d’un s
20 (1909) The myths of Greece and Rome
from diminutive streams, and the most beautiful flowers and delicious fruits from small green buds, — all seemed to tell them
he sun shone brightly all the year; the earth brought forth delicious fruit in abundance; and beautiful, fragrant flowers blo
s of fragrant flowers; and in refreshing themselves with the luscious fruit , which hung so temptingly within reach. One lovel
ive tree; but when she had told them the manifold uses to which wood, fruit , foliage, twigs, &c., could be applied, and e
slaughtered lord.” Ovid ( Eusden’s tr.). Since that ominous day the fruit of the mulberry tree, which had been white, assum
s fled from his parched lips. Over his head hung a branch of luscious fruit . His hunger was as intolerable as his thirst; but
er was as intolerable as his thirst; but, whenever he clutched at the fruit , the branch swung upward, and eluded his eager gr
d his hapless head, Trees of all kinds delicious fruitage spread. The fruit he strives to seize; but blasts arise, Toss it on
oping hills; Where’er the god inclines his lovely face, More luscious fruits the rich plantations grace. Then let us Bacchus’
t, for her, with milk and mellow wine; Thrice lead the victim the new fruits around, And Ceres call, and choral hymns resound:
ickle, or with a plough and a horn of plenty disgorging its wealth of fruit and flowers at her feet. Groves were frequently d
agreement. Atlas. B. Picart. From afar the giant saw the golden fruit glittering in the sunshine. Stealthily he drew ne
d by young girls, and the only offerings ever seen on her altars were fruits and garlands of beautiful flowers. Her festivals,
represented with pruning-knives and shears, gardening implements, and fruits and flowers. Pomona was very coy indeed, and had
but allowed him to share her labours, and help her turn the luscious fruit to ripen in the autumn sunshine. The lesser divin
anished. The general attention was, of course, turned upon the golden fruit , whereon the inscription “To the fairest” was cle
“Ere yet her speech was finished, he consign’d To her soft hand the fruit of burnished rind; And foam-born Venus grasp’d th
tophagi or Lotus-eaters — a people whose sole food consisted of lotus fruit and blossoms. Three of Ulysses’ best men were sen
. “Branches they bore of that enchanted stem, Laden with flower and fruit , whereof they gave To each, but whose did receive
   “lov’d Not in the little present-making style, With baskets of new fruit and pots of roses, But with consuming passion. Ma
heir cells, where Circe flung to them Acorns of oak and ilex, and the fruit Of cornel, such as nourish wallowing swine.”‘ Ho
ffers to Jupiter the flesh of his own offspring, Pelops (the withered fruits ), and in punishment for his impiety is doomed to
e of drought, when the sun’s heat, becoming too intense, burns up the fruit his fostering rays had produced, and men exclaime
21 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
phyre amoureux : Les moissons, inondant les plaines, N’étoient, ni le fruit de nos peines, Ni le prix tardif de nos vœux. Ma
ns. C’est vous qui produisez dans les fertiles champs             Les fruits , les fleurs et la verdure ;                      
n nuage, Du désordre prochain fait briller le présage : Elle tient un fruit d’or, où ces mots sont écrits :        Le sort à
ge des hivers. Par-tout on voit mûrir, par-tout on voit éclore Et les fruits de Pomone, et les présens de Flore ; Et la terre
roserpine avoit pris sept grains de grenade : Proserpine a goûté des fruits de votre empire ;         Elle est à vous, on ne
Il étoit plongé dans l’eau jusqu’au menton, et une branche chargée de fruits exquis paroissoit auprès de sa bouche. Ce scéléra
ributs :                     Par mes soins, les champs de Cybèle, De fruits et de moissons viennent d’être couverts : De mes
aux. On la confond souvent avec Cérès et Cybèle. Pomone présidoit aux fruits . Elle étoit l’épouse de Vertumne, dieu de l’autom
rfaits qu’il inspire. Son haleine en cent lieux répand l’aridité : Le fruit meurt en naissant dans son germe infecté ; Les ép
8-74-75 Pomme d’or du jardin des Hespérides, 134 Pomone, déesse des fruits ,113 Pomone, le rang qu’elle tenoit sur la terre,
22 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
e anémone ; c’est encore le sang d’un amant malheureux qui rougit les fruits du mûrier. Le sang d’Ajax donna naissance au pied
de la soif, plongé dans un fleuve sans pouvoir boire, voyant de beaux fruits suspendus au-dessus de sa tête sans y pouvoir att
ça l’arbre avec son épée, et y fit une ouverture par laquelle Adonis, fruit de cet inceste, fut mis au monde. Dès qu’il fut n
tion que des serpens, envoyés par la déesse, venoient le dévorer. Des fruits , du pain et surtout des œufs en composoient les m
u ; le corbeau s’arrêta sur un figuier afin d’attendre la maturité du fruit  ; ensuite, pour excuser son retardement, il prit
e coupe d’or. Pomone, Vertumne et Flore. Pomone, Déesse des fruits , étoit décidée à garder sa liberté, Vertumne, Die
elles des excès les plus licencieux. La renaissance des fleurs et des fruits , les vendanges célébrées dans les fêtes champêtre
23 (1833) Classic tales : designed for the instruction and amusement of young persons
and was pressed upon his lips; before him stood an altar crowned with fruits and flowers, the only offerings which he ever rec
room to room, but could see no living being. A slight refreshment of fruits was set upon a table in one of the apartments, an
he bloom of her cheek; that tint which is more beautiful than all the fruits and flowers in nature can match, and which grief
s and acorns to eat; but Ceres taught them agriculture, and gave them fruit trees. She dwelt herself near the delightful plai
s, the cottage is reared, the harvest waves, and the olive yields its fruit . The fields you have given to man were once my fa
time. A very wise man9 said, the invention of the lyre was “the good fruits of early rising. Mercury was an industrious deity
ed incessant hunger and thirst, though he was surrounded by delicious fruits and sweet waters. Beside these was Sisyphus, who
24 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
zéphyr amoureux ; Les moissons inondaient les plaines N’étaient ni le fruit de nos peines, Ni le prix tardif de nos vœux. Mai
menton dans un lac, au pied d’une montagne ou des rameaux chargés de fruits ombragent le cristal d’une onde pure, ses lèvres
nymphe que les anciens regardaient comme la déesse des jardins et des fruits . Les dieux champêtres s’en disputaient la conquêt
mone est représentée assise sur un grand panier plein de fleurs et de fruits , tenant quelques pommes dans la main gauche et un
pliée par devant, soutient des branches de pommiers chargées de leurs fruits . Les Romains dressèrent un temple et des autels à
els à Pomone : on lui offrait des sacrifices pour la conservation des fruits de la terre. Vertumne Vertumne, dieu des
Quelquefois il portait une échelle sur ses épaules, pour cueillir des fruits . Tantôt c’était un véritable vigneron, ayant une
inge orné de fleurs fut couvert, pour tous mets, D’un peu de lait, de fruits , et des dons de Cérès, Les divins voyageurs, alté
25 (1855) The Age of Fable; or, Stories of Gods and Heroes
the goddess presiding over cattle and pastures. Pomona presided over fruit trees. Flora, the goddess of flowers. Lucina, the
hed the roots, so that the red color mounted through the trunk to the fruit . By this time Thisbe, still trembling with fear,
service? Is it for this that I have supplied herbage for cattle, and fruits for men, and frankincense for your altars? But if
ass, and no one excelled her in love of the garden and the culture of fruit . She cared not for forests and rivers, but loved
cap, and a staff in her hand. She entered the garden and admired the fruit . “It does you credit, my dear,” she said, and kis
iss. She sat down on a bank, and looked up at the branches laden with fruit which hung over her. Opposite was an elm entwined
and handles your apples with admiration. But now he cares nothing for fruits nor flowers, nor any thing else, but only yoursel
nd accept a lover. So may neither the vernal frosts blight your young fruits , nor furious winds scatter your blossoms!” When V
British song.” But Pomona was also regarded as presiding over other fruits , and as such is invoked by Thomson: — “Bear me,
eading tamarind, that shakes, Fanned by the breeze, its fever-cooling fruit .” Chapter XI. Cupid and Psyche. A certain
l to dispute his state. But his chief pride was in his gardens, whose fruit was of gold, hanging from golden branches, half h
been terrible. She escaped, however, but had little enjoyment of the fruits of her crime. Jason, for whom she had done so muc
f Cyprus, is a tree with yellow leaves and yellow branches and golden fruit . Hence she gathered three golden apples, and, uns
he murderer even now walks in the midst of the throng, and enjoys the fruits of his crime, while vengeance seeks for him in va
d away, leaving the ground at his feet all dry. Tall trees laden with fruit stooped their heads to him, pears, pomegranates,
roduces itself. The Assyrians call it the Phœnix. It does not live on fruit or flowers, but on frankincense and odoriferous g
elebrated of the gods. He presides over rain and sunshine and all the fruits of the earth. His sister Freya is the most propit
ew earth filled with abundant supplies will spontaneously produce its fruits without labor or care. Wickedness and misery will
26 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
iées, ni armes de guerre ; et, comme la terre donnait d’elle-même des fruits abondants, ils ne cherchaient pas d’autre nourrit
rve ouvrit alors le sol avec le fer de sa lance. Un olivier chargé de fruits sortit du sein de la terre, et les dieux décidère
airies ; Flore, déesse des fleurs ; Pomone, déesse des vergers et des fruits , et Vertumne, dieu des saisons. Palès n’a pas d’h
longé dans l’eau jusqu’à la ceinture, au-dessous d’un arbre chargé de fruits , dont les branches s’abaissent jusqu’à sa bouche 
eux, qui parait un souvenir altéré de l’arbre de la science, dont les fruits ont amené, dans le paradis terrestre, la chute de
27 (1897) Stories of Long Ago in a New Dress
here’s a titter of winds in that beechen tree, There’s a smile on the fruit , and a smile on the flower,     And a laugh from
e little kingdom she had found. Nor was she disappointed. Berries and fruits of all kinds grew there in plenty, and in the ver
was so much pleased with its shape that she filled it with her autumn fruits and flowers and took it for her emblem. And this
y of our autumn festivals. 13. “She filled the horn with her autumn fruits .” Fortune (Vatican, Rome). The Story of a Po
rries in the woodland shade; there will I bring you chestnuts and the fruit of all the other trees. “See how great is my weal
28 (1900) Myths of old Greece in story and song
r lost Persephone. “From land to land she raging flies,    The green fruit falleth in her wake, And harvest fields beneath h
Without an adventure he reached the court and delivered up the golden fruit . Eurystheus feared and hated him more than ever a
parted, leaving his blessing upon all the land. Joy and peace and the fruits of peace reigned year after year. Alcestis was a
egion. Now, the only food of the people who lived there was the sweet fruit of the lotus plant. Whoever eats it, forgets all
ame. Branches they bore of that enchanted stem, Laden with flower and fruit , whereof they gave To each, but whose did receive
29 (1898) Classic myths in english literature
the reins and drive the solar chariot too near the earth, causing the fruits to perish, and the grass to wither, and the wells
oped myth, yet the quickening germ from which might spring leaves and fruits , varying in form and hue according to the soil to
She waits for all men born; Forgets the earth her mother, The life of fruits and corn; And spring and seed and swallow Take wi
the lea; The soft winds are their servants fleet To fetch them every fruit at will And water from the river chill; And every
e and pastures. Flora, the goddess of flowers. Pomona, presiding over fruit trees. Vertumnus, the husband of Pomona, was guar
g over fruit trees. Vertumnus, the husband of Pomona, was guardian of fruit trees, gardens, and vegetables. “Pomona loves th
the roots, so that the sanguine hue mounted through the trunk to the fruit . By this time, Thisbe, still trembling with fear,
rdian especially of the apple-orchards, but presiding also over other fruits . “Bear me, Pomona,” sings one of our poets: —
reading tamarind that shakes, Fanned by the breeze, its fever-cooling fruit .”238 This nymph had scorned the offers of love
ll to no avail. Finally, as an old woman, he came to her, admired her fruit , admired especially the luxuriance of her grapes,
and accept a lover. So may neither the vernal frosts blight thy young fruits , nor furious winds scatter thy blossoms!” Fig
nd herds; but his chief pride was his garden of the Hesperides, whose fruit was of gold, hanging from golden branches, half h
they discovered the treachery. She had, however, little profit of the fruits of her crime. Jason, for whom she had sacrificed
s with winter harden, Nor moons wax keen in this land of ours. Great fruits , fragrant, green and golden, Gleam in the green,
away, leaving the ground at his feet all dry. Tall trees, laden with fruit , stooped their heads to him, pears, pomegranates,
strength to Thor. Freyr presides over rain and sunshine and all the fruits of the earth. His sister Freya is the most propit
e sea. The new earth, filled with abundant supplies, will produce its fruits without labor or care. Wickedness and misery will
ean at our feet an earth More fresh, more verdant than the last, with fruits Self-springing, and a seed of man preserved, Who
of his Paradise Lost, Paradise Regained, and Samson Agonistes are the fruit of the stern years of controversy through which h
tion, poppies as symbol of the sleep of death, the pomegranate as the fruit of the underworld of which none might partake and
30 (1838) The Mythology of Ancient Greece and Italy (2e éd.) pp. -516
gricultural plebeians worshiped a triad of deities presiding over the fruits and products of the earth ? From the employment o
ith various flowers, climbing vines, and trees hanging with delicious fruits , everywhere met the view in this paradise. The in
s 149. By the Melian nymphs may perhaps be signified the producers of fruits or cattle150. The Erinnyes offer most difficulty 
od things were theirs. The bounteous earth did of herself bring forth Fruit much and plenteous, and in quietness Their works
amour recorded of Apollo is that with the muse Calliope, of which the fruit was Orpheus630. No parents more suitable could be
n. Demeter now complies, And instant from the deep-soiled cornfields fruit Sent up : with leaves and flowers the whole wide
gods, is of a ruddy complexion. His cloak is filled with all kinds of fruits  : he has a sithe in his hand, and usually a horn
and fumigations to avert the ruin with which his prophecy menaced the fruits and cattle. At times he was seen among the waves,
ing the heaven, and they had charge of the trees that bore the golden fruit . In this task they were aided by a serpent named
yoneus pastured, the isle of the Hesperides, in which grew the golden fruit , and other places of light and bliss. When Atlas
322, and one of the Seasons bore to this wind-god a son named Carpos ( Fruit ) 1323. The South- (Νότος) and East-wind (Εὔρος) h
tween this mythe and the Scripture narrative of Eve and the forbidden fruit is so very striking, that one might be induced to
æos. According to Euripides, in the drama named from him, Iôn was the fruit of the secret love of Creüsa with Apollo. When sh
y ; Hermes the deity who wrought within the earth, giving increase to fruits and cattle ; and Poseidôn, the great nourishing p
; and hence his mother called him Iamos — Violety. On attaining ‘the fruit of pleasing gold-crowned youth,’ Iamos went into
ed ; God dried it up. Above his head tall leafy trees displayed Their fruit , pomegranates, pears and apples bright, And lusci
form, and beneath a plane-tree embraced the trembling maid2091 . The fruits of his caresses were three sons, Minôs, Rhadamant
with him from her father ; but Theseus, says Homer, did not reap the fruits of her love ; for when they arrived at the isle o
For whom the bounteous earth thrice every year Yieldeth fair blooming fruit as honey sweet2246. MYTHOLOGY OF ITALY.
31 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
t contracter l’usage de se vêtir de peaux d’animaux, de se nourrir du fruit que porte le hêtre. Pour prix de ses services, il
ys ; ce même oracle leur ordonna de n’y rentrer qu’après le troisième fruit . Ils s’éloignèrent en effet, mais ils crurent avo
es piéges, dissipa les complices de ses crimes ; et en recueillant le fruit de sa victoire, il remplit l’oracle dans toute so
la statue de Jupiter, chef-d’œuvre de l’immortel Phidias, étaient le fruit des dépouilles que les Éléens avaient remportées
pouvaient les présenter. Les prémices des récoltes et les plus beaux fruits de la terre couvraient les autels des dieux. Par
ert à la terre un sacrifice d’expiation, dans lequel on employait des fruits et du miel ; cette plante, ayant été cueillie de
32 (1866) Dictionnaire de mythologie
narque, qui se hâte de faire l’essai de sa magique influence. Arbres, fruits , moissons, palais, tout ce qu’il touche aussitôt
s de 1815. Pomme de discorde. Il faut bien que la pomme soit un fruit maudit, puisqu’elle a perdu nos premiers parents
peuple errant, l’enferme dans le creux d’un arbre, et jouit du miel, fruit de sa découverte. — Les Satyres et le chauve Silè
, poursuivait sans relâche l’eau qui fuyait ses lèvres brûlantes, les fruits qui échappaient à ses mains avides. Sisyphe, sur
33 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
bes, qui, soir et matin, lui apportoient dans leur bec du miel et des fruits , ce qui la fit appeler Sémiramis, nom syriaque de
z les Ciconiens, son séjour chez les Lothophages où l’on trouvoit ces fruits délicieux qui faisoient oublier la patrie, séjour
eur. 40. Les anciens comparoient la jeunesse à l’été qui produit des fruits , et non au printemps, Nous ne faisons de la jeune
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