/ 20
1 (1823) Mythologie des dames
elquefois à la cour céleste, et venait rendre hommage à la beauté des jeunes mortelles. Il ne dédaigna point de se métamorphos
êtes amoureuses formerait un volume d’une grosseur raisonnable. La jeune Léda se baignait dans les eaux de l’Eurotas, près
gamemnon. Sous la forme d’un aigle, Jupiter enleva sur le mont Ida le jeune berger Ganymède, dont il fit son échanson. Transf
son époux lui donna lieu de montrer sa persévérance dans sa haine. La jeune Io, fille du fleuve Inachus, ayant cédé aux desir
e bosquet : c’était Junon, Minerve, et Vénus. « Nous venons vers toi, jeune berger, dit Junon, pour terminer un différent sur
r sur laquelle on lit ces mots : à la plus belle. Tu vois devant toi, jeune berger, trois puissantes déesses : je suis l’épou
distribue toutes en trois classes : la première est composée des plus jeunes  ; la seconde, de celles d’un âge au-dessus ; la t
nction était de dégager les ames des corps au moment du trépas. Cette jeune divinité fait le charme de l’Olympe : elle s’y pr
es couleurs ont quelque ressemblance avec celles de la ceinture de la jeune messagère de Junon.   L’arc-en-ciel qui parut alo
-elle essayé la vie que Zéphyre la porta dans cette île. Les Saisons, jeunes divinités filles de Jupiter et de Thémis, l’atten
fois sur la terre. Un jour, dans une forêt de Syrie, elle aperçut le jeune Adonis, fils de Cynire ; et elle oublia auprès de
ercices de la chasse. Un sanglier énorme ayant paru dans les bois, le jeune chasseur oublia les conseils de la déesse : il co
spire le malheur, et bientôt, l’accueillit avec l’amour qu’inspiré un jeune héros, mais le Destin, maître des dieux et des ho
es. Les Grâces. C’étaient trois sœurs, divinités bienfaisantes, jeunes , riantes, et parfaitement belles : elles étaient
eur, la sincérité avec laquelle on doit obliger ses amis : elles sont jeunes , parceque la mémoire d’un bienfait ne doit jamais
fois lui-même les effets de la flamme qu’il allume dans les cœurs. La jeune Psyché, fille d’un roi de la Grèce, brillait de t
un séjour délicieux qu’il avait préparé pour sa belle amante. Là, le jeune dieu avait réuni toutes les merveilles des arts.
la cruelle attente du monstre annoncé par l’oracle. Le lendemain, la jeune épouse eut moins d’inquiétude sur son sort : elle
tre être ne se montrait à Psyché. « Quoi ! vous jaloux ! s’écriait la jeune épouse ; vous ! et de qui ? » « Je le suis, ma P
rdrais, et la vie me deviendrait insupportable. » Vains discours ! la jeune épouse ayant reçu dans son palais ses deux sœurs,
e laisse tomber quelques gouttes d’une huile brûlante sur l’épaule du jeune dieu. L’Amour s’éveille. « Cruelle Psyché ! s’écr
és de précipices affreux. « O douleur ! ô lampe fatale ! s’écriait la jeune  épouse; funeste curiosité ! J’étais l’épouse du p
ouver tous les traitements que peut inventer la furieuse jalousie. La jeune épouse aurait envié le sort des plus humbles escl
talents. A Sparte il eut le malheur de tuer, en jouant au disque, le jeune Hyacinthe qui lui avait inspiré la plus tendre am
sion de remarquer combien Apollon était prompt à s’enflammer pour les jeunes habitantes de la terre. Il vit la nymphe Clymène,
s. Là, paraît, couronné d’une tresse de fleurs, Le Printemps au front jeune , aux riantes couleurs ; L’Été, robuste et nu, cei
ieu eut beau lui représenter les dangers auxquels il s’exposerait, le jeune imprudent ne se départit point de sa demande, et
’hui appelé le Pô, fleuve bien éloigné du pays qui avait vu naître ce jeune présomptueux. Les Nymphes prirent soin de l’en re
tendrement aimé ; mais il la perdit peu de temps après l’hyménée. Le jeune Aristée, fils d’Apollon et de Cyrène, dont nous v
Soleil, il se faisait précéder de l’Aurore, une des plus aimables des jeunes divinités, fille de Titan et de la Terre. La douc
’ouvrit de nouveau aux plus tendres sentiments, dès qu’elle eut vu le jeune Céphale, époux de Procris. Elle le transporta dan
jamais le but, et dont les blessures étaient mortelles. Cependant la jeune épouse, craignant toujours les séductions de l’Au
, encor quelques rayons, Et que mes derniers vers, pleins des feux du jeune âge, De ton couchant pompeux soient la brillante
se livrait à la chasse avec non moins d’ardeur que Diane : un jour ce jeune prince, fatigué de sa course, venait d’inviter se
la fille de Jupiter. » A peine a-t-elle prononcé ces paroles, que le jeune chasseur est métamorphosé en cerf : il veut implo
e l’Amour. On dit qu’elle éprouva les plus tendres sentiments pour le jeune chasseur Endymion, fils d’Ethlius, roi d’Élide, e
n, et qu’elle le tua par jalousie, ne pouvant souffrir qu’il aimât la jeune Aurore. Orion fut placé au rang des astres. On aj
est ainsi que, sous la figure de Mentor, elle sut développer l’ame du jeune Télémaque fils d’Ulysse, et le conduire à la vert
ous les formes diverses que l’Amour leur fit prendre pour charmer les jeunes mortelles ; et elle obtint le prix. La déesse, ne
s jours sur un rocher, dévorée par un monstre marin, il aperçut cette jeune princesse ; et, frappé de l’éclat de sa beauté, i
pour épouse. Céphée accepte avec joie cette proposition. Aussitôt le jeune héros s’élève dans les airs, et bientôt s’abat su
la belle Andromède ; mais, vers la fin du repas, Phinée, oncle de la jeune épouse, étant venu tenter de l’enlever, et de vai
ir de motifs de haine contre Sémélé, dès qu’elle eut appris que cette jeune princesse portait un fruit de ses amours avec Jup
sser autant de temps qu’il aurait dû être dans le sein de sa mère. Le jeune Bacchus fut nourri dans l’île de Naxos, par les n
être de Bacchus, dans le temple de Calydon, ville d’Étolie, aimait la jeune Callirhoé, et n’obtint d’elle que des mépris. Dan
ontaine qui fut appelée de son nom. Bacchus aima avec tendresse la jeune Érigone, fille d’Icarius, et sœur de Pénélope. Mo
e aimait à résider près du lac de Pergus : là, elle voyait croître la jeune Proserpine sa fille, et goûtait les plaisirs les
magnifiques. On dit que, le premier avril, jour consacré à Vénus, les jeunes Romaines, sur le point de se marier, se rendaient
tourne, entre leurs mains légères, « Ne blesse pas les doigts de nos jeunes bergères ! » Il dit, et tout-à-coup un faisceau
crime ni danger, Dérobe les troupeaux de l’illustre étranger : Quatre jeunes taureaux, quatre belles génisses, Qui des herbage
ls, il se présenta, eut l’avantage sur eux tous, et n’obtint point la jeune princesse. Iphitus, l’aîné des frères d’Iole, éta
de son sang et du sang venimeux de l’hydre de Lerne, et l’offre à la jeune épouse, comme un don précieux pour lui conserver
er ne lui permit plus de verser le nectar, et donna cette fonction au jeune Ganymède. Cette aimable déesse était appelée Dia
sans cesse occupées à filer la destinée des hommes : Clotho, la plus jeune des trois, préside au moment de la naissance ; La
montrant entourée de toutes les divinités qui composaient sa cour. Le jeune Télémaque, fils d’Ulysse, fut frappé de ce specta
n oracle avait prédit qu’il serait détrôné par un fils de Jupiter. Le jeune héros, pour se venger de ce refus, présenta à ce
onde qui le retrace à ses yeux ; Mais son amour aussitôt l’y ramène. Jeune insensé ! tu suis une ombre vaine, Ce qui n’est p
rniers regards sur la Terre, on voit sortir des plus frais bocages la jeune Flore : elle erre sur le bord des ruisseaux ; sa
déesse. Le premier jour qu’elle le vit, elle prit la fuite ; mais le jeune dieu l’atteignit, lui peignit son amour, et depui
ans les vallons émaillés. Zéphire de son souffle léger rafraîchit les jeunes tiges, et de son aile il fait courber les roses n
e roses Fraîchement écloses, Flore du grand jour Attend le retour. Le jeune Zéphire A ses pieds soupire ; Et le dieu badin, V
rs, ou émonder les arbres. Dans le printemps on immolait à ce dieu un jeune bouc, et on lui offrait une couronne de diverses
randes. [Brès] Sous les plus riants asiles des vergers, résidait une jeune divinité, dont la présence semblait répandre la f
te les oiseaux, Des Satyres badins la folâtre jeunesse, Sylvain, plus jeune encore en sa verte vieillesse, Essayèrent cent fo
emps occupé nos ancêtres eux-mêmes, prétendait lire sur la main d’une jeune personne qu’il chérissait ses futures destinées,
2 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
loux. Il le chargea d’entreprises extraordinaires, dans lesquelles le jeune héros devoit naturellement succomber ; il lui ord
, et Polydecte pétrifié fut ainsi puni d’avoir exposé les jours de ce jeune héros. Cependant Persée se rappelant ses premiers
mère de tous les monstres de la fable. Le Sphinx avoit la tête d’une jeune femme, le corps et les griffes d’un lion, et de g
rent des présens aux nouveaux époux. Minerve ou la Sagesse donna à la jeune épouse un voile ou péplum, symbole de la pudeur ;
ée, fils de Minos Roi de Crète, et de Pasiphaë, et fait assassiner ce jeune Prince. Ce crime alluma la guerre entre Egée et M
rent obligés pour avoir la paix d’envoyer en Crète tous les ans, sept jeunes garçons et autant de jeunes filles pour servir de
mé Hypolite, pour lequel Phèdre conçut une passion criminelle dont ce jeune Prince eut horreur. Phèdre désespérée, l’accusa d
cette Princesse le droit de délivrer un des captifs, elle choisit son jeune frère Podarcès, pour la rançon duquel elle donna
on voile et le bandeau d’or qui ceignoit sa tête ; depuis ce temps le jeune Prince changea son nom de Podarcès en celui de Pr
on, un fils appelé Teucer. Hercule, eut la plus tendre amitié pour le jeune Hylas fils de Théodamus, ou selon d’autres d’Euph
nt attachés la destinée de Méléagre, à mesure que le tison brûloit ce jeune Prince se consumoit et périt enfin, Althée se tua
es. On donne à ce nom diverses étymologies. Ilinus et Scolopite, deux jeunes Princes Scythes, du sang royal, furent chassés de
Orphée, malheureux comme tous les personnages de la fable, perdit sa jeune épouse la belle Euridice le jour de ses noces. Il
n âge de gouverner ; mais comme ensuite on craignit pour les jours du jeune Prince, on fit courir le bruit de sa mort, on pré
uvernement ; Pélias eut l’air d’y consentir, mais il sut persuader au jeune Prince d’aller d’abord dans la Colchide pour y en
s suffrages, mais ce héros déféra le commandement à Jason, quoique ce jeune prince n’eût que vingt ans, parce qu’il étoit pro
’Hercule et Télamon quittèrent les Argonautes, pour aller chercher le jeune Hylas, que des nymphes avoient enlevé, tandis qu’
ée et d’Orithie, qui étoient avec Jason au nombre des Argonautes. Ces jeunes héros avoient de beaux visages, une longue chevel
yrthe, sous prétexte d’entrer en accommodement ; Médée les suivit. Le jeune Absyrthe, sans défiance, se laissa conduire dans
on oncle, empoisonna Éson, son frère, père de Jason, et fit mourir le jeune Promachus, frère de Jason ; mais, suivant l’opini
r, elle reprit à leurs yeux sa forme naturelle ; et Médée alors étoit jeune et d’une éclatante beauté. Elle mit en pièces un
tourna parmi les Néréides. Pour avoir ainsi passé par les flammes, le jeune Prince qui, s’appela d’abord Higyron, fut surnomm
grand tumulte aux portes du palais. Ce bruit effraya Déïdamie et les jeunes personnes de sa suite, elles se sauvèrent toutes,
fut contraint de rendre sa captive Chriséis à Chrisès, père de cette jeune grecque et grand-prêtre d’Apollon et il enleva à
de pompeuses funérailles à Patrocle. Il immola sur son tombeau douze jeunes Troyens de familles distinguées. Homère rapporte
oposé dans son enfance, de vivre long-temps sans gloire, ou de mourir jeune et chargé d’honneurs, il choisit le dernier parti
ui auroit eu cet âge, elle fit de riches dons à Anchise, à Énée et au jeune Ascagne, elle leur donna des tissus merveilleux,
lène qui le trahit, comme on le verra par la suite. Polydore, le plus jeune des fils de Priam, fut confié à Polymnestor, Roi
a prise de Troye, Hécube, furieuse, tua de sa main cette innocente et jeune Hélène. Toute la famille de Priam fut exterminée
ours gardée. Egisthe fut élevé avec Agamemnon et Ménélas. Lorsque ces jeunes Princes furent en âge de porter les armes, ils vo
igénie fille d’Agamemnon. Mais au moment où l’on alloit immoler cette jeune Princesse, Diane l’enleva et substitua une biche
la Phocide, où il fut élevé avec Pylade, fils de Strophius. Ces deux jeunes Princes prirent l’un pour l’autre, cette amitié h
nté pour s’exempter d’aller à cette guerre, afin de ne pas quitter sa jeune épouse. Il feignit même d’être insensé. Palamède
nciens ont représenté la mémoire des bienfaits, sous les traits d’une jeune personne ayant sur la tête une couronne de genièv
L’Occasion. L’Occasion, étoit représentée sous la figure d’une jeune femme ou d’un jeune homme chauve par derrière, n’
une torche ardente, et de la droite elle traînoit par les cheveux un jeune garçon, qui tendoit les mains vers le ciel. Devan
et fourniroit le sujet du plus charmant tableau :         Il est une jeune Déesse Plus agile qu’Hébé, plus fraiche que Vénus
assise entre deux animaux indomptés. L’Amour de la patrie. Un jeune guerrier, ayant derrière lui un brasier allumé, s
et foulant à ses pieds des hallebardes et des piques. Le trait de ce jeune Indien embrassant, en pleurant dans le jardin des
Roi de Némée, qui la chargea du soin d’élever son fils Archémore, ce jeune Prince mourut de la morsure d’un serpent. Ce fut
3 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
ots, tout périt sous ses yeux : » Pourquoi ? pour quelques torts d’un jeune furieux, » Elle-même, tonnant du milieu des nuage
t les principaux sont Mars, Bacchus, Anchise prince troyen, et Adonis jeune chasseur. D. Quel enfant naquit des amours de Vén
dans ses amitiés que dans ses amours ? R. Oui. Il aimoit beaucoup le jeune Hyacinthe ; mais un jour, en jouant avec lui au p
e l’amour paternel, jura par le Styx de ne lui rien refuser. Alors le jeune téméraire lui demanda la permission d’éclairer le
us ; et le plus agile remportoit le prix, qui ordinairement étoit une jeune chèvre ou un agneau. Que j’aime à revoler vers c
eau tourne entre leurs mains légères, Ne blesse pas les doigts de nos jeunes bergères. ( Delille.) Flore. D. Qu’étoit F
fille d’Euryte, elle envoya à son époux la tunique de Nessus, par un jeune esclave appelé Lichas. Hercule reçut avec joie ce
sacrifices expiatoires. Docile à ses conseils, Aristée immola quatre jeunes taureaux et autant de génisses. Il vit avec trans
ces coteaux, Embrasez mes moissons, immolez mes troupeaux ; Dans ces jeunes forêts allez porter la flamme, Puisque l’honneur
es ; Leurs beaux cheveux tomboient en tresses ondoyantes. Là, sont la jeune Opis aux yeux pleins de douceur, Et Clio toujours
n deux monts de cristal, Le porte mollement au fond de son canal. Le jeune dieu descend ; il s’étonne, il admire Le palais d
une défense vaine, Il cède ; et, se montrant sous une forme humaine : Jeune imprudent, dit-il, qui t’amène en ce lieu ? Parle
riant Lycée où paissent tes troupeaux, Va choisir à l’instant quatre jeunes taureaux ; Choisis un nombre égal de génisses sup
. Le berger dans ses nombreux troupeaux Va choisir à l’instant quatre jeunes taureaux ; Immole un nombre égal de génisses supe
r humaine. Les Athéniens étoient obligés d’envoyer touts les ans sept jeunes garçons, tirés au sort, pour lui servir de nourri
ans l’air, l’appelle sur sa trace, Et d’un vol inquiet craint pour sa jeune audace. Comme une mère instruit l’oiseau novice e
care suivit-il exactement les avis de Dédale, son père ? R. Non : ce jeune téméraire voulut s’élever au haut des airs. Le so
aissé le temple de Samos, Délos et son oracle, et le roc de Paros, Le jeune ambitieux, follement intrépide, Pour s’élever au
n père infortuné, qui déjà n’est plus père, Dédale cherche au loin le jeune téméraire. Icare, où te trouver ? Il appelle à gr
os, que Thésée prit depuis pour femme, devint éperdument amoureuse du jeune Hippolyte. Le prince, uniquement occupé de l’étud
neur. Le roi, pour ne pas violer les lois de l’hospitalité, envoya le jeune héros en Lycie, avec des lettres adressées à Ioba
on hôte étoit porteur. Ne voulant point souiller sa maison du sang du jeune prince, il l’envoya combattre les Solymes avec un
de ce bélier étoit dorée. Phryxus, fils d’Athamas, et Hellé, sœur du jeune prince, ayant pris la résolution de s’enfuir de l
oître par son père. Médée fut soupçonnée d’avoir voulu faire périr le jeune prince par le poison. Elle fut donc encore obligé
Thisbé. D. Racontez l’histoire de Pyrame et de Thisbé. R. Pyrame, jeune Assyrien, est célèbre par sa passion pour Thisbé.
on pour Thisbé. Une haine irréconciliable divisoit les parents de ces jeunes amants. Pyrame et Thisbé se donnèrent un jour ren
rinthe, ayant conduit par hasard son troupeau dans ce lieu, trouva le jeune prince, le détacha et l’emporta. La reine de Cori
ils de Pélops. Plisthène, en mourant, recommanda ses deux fils encore jeunes à son frère Atrée, qui les fit élever comme ses p
n clandestin mit ce prince en son lit ; Et qu’il en eut pour gage une jeune princesse Que sa mère a cachée au reste de la Grè
que Troie ne pouvoit être prise sans le secours de son fis, et que le jeune héros périroit sous les murs de cette ville, l’en
avoit pris Chryséis, fille de Chrysès, grand-prêtre d’Apollon. Cette jeune captive échut en partage à Agamemnon. Chrysès, re
e qui l’obligeoit à faire ce sacrifice, il fit enlever à ce prince la jeune Briséis, qu’Achille aimoit passionnément. Le fils
Hercule. Ce fut Pyrrhus qui tua le malheureux Priam, qui précipita le jeune Astyanax, fils d’Hector, du haut d’une tour, et q
. Philoctète le conjure de l’emmener avec lui, et déjà il a confié au jeune prince ses armes et ses flèches pour les porter a
s autres généraux grecs par leur courage. L’amour qu’il avoit pour sa jeune épouse, la belle Pénélope, lui fit chercher plusi
les deux amants, et les ayant surpris ensemble, écrasa d’un rocher le jeune Acis, qui fut transformé en fleuve. Galatée se je
île d’Œa devint sa résidence. Ce fut là qu’elle changea en monstre la jeune Scylla, parce qu’elle étoit aimée de Glaucus pour
précipité du haut des murs de la ville, au lieu d’Astyanax, et que ce jeune prince suivit sa mère en Épire. C’est cette tradi
un jour la ruine de sa patrie. Priam, effrayé de cet oracle, livra le jeune prince à un de ses serviteurs, et lui ordonna de
s sur le mont Ida, pour y subir le jugement de Pâris. Junon promit au jeune berger le pouvoir et la richesse ; Minerve, le sa
en vain de prendre une femme. Il lui répondit, lorsqu’il étoit encore jeune  : Il n’est pas encore temps  ; et lorsqu’il fut
on puits, Ses attraits par le temps étoient un peu détruits ;          Jeunes et vieux fuyoient sa vue. La pauvre Vérité restoi
st à l’aspect des chefs-d’œuvre de Raphaël et de Michel-Ange, que les jeunes peintres s’enflamment et redoublent leurs efforts
plus dangereux encor. C’est ainsi que parloit une Carpe de Seine A de jeunes poissons qui l’écoutoient à peine. C’étoit au moi
us le bel apologue de La Fontaine, intitulé le Vieillard et les trois Jeunes Hommes. R. Le voici.            Un octogénaire
  On ne sauroit le réformer. ( La Fontaine, liv. 2, fab. 16.) D. Les jeunes demoiselles ont-elles pareillement intérêt de s’a
ondes… Rien n’est donc si mal entendu que l’éducation qu’on donne aux jeunes personnes. » Et dans son Traité de la vieillesse
placer, etc. » Depuis quelques années, le besoin de mieux élever les jeunes personnes a été généralement reconnu. Déjà même l
Ainsi, l’on ne doit point se proposer pour but, dans l’éducation des jeunes personnes, d’en faire des pédantes. Mais elles do
d’une manière si incontestable la nécessité de l’instruction pour les jeunes personnes, voulez-vous nous dire maintenant quel
nt saines et vigoureuses pour tout le reste de leur vie. » Combien de jeunes personnes, pâles et languissantes, auroient le te
ce que c’est que le vice.   Il faut donc éloigner de bonne heure les jeunes personnes d’un monde trop libre, dont le langage
élèves. Le temps de l’éducation se passe ; on arrive au terme ; et la jeune personne est condamnée pour le reste de sa vie à
à l’éducation particulière. D. Quelles sont les études auxquelles les jeunes personnes doivent particulièrement appliquer ? R
Ajoutons à ces sages préceptes, qu’il importe beaucoup de former une jeune personne à bien lire à haute voix. Ce point est t
u’on ne s’en occupoit autrefois. On peut même dire que la plupart des jeunes personnes écrivent bien. Mais pourquoi l’écriture
émoire la plus dure et la plus obstinée. » On pourra donner aussi aux jeunes personnes d’autres morceaux de poésie à apprendre
lu ou raconté. Par là, les faits se gravent mieux dans la mémoire des jeunes personnes, et les rédactions qu’elles en font, le
es doivent cultiver de préférence. R. On ne doit point interdire aux jeunes personnes les arts d’agrément. Mais il faut qu’el
e la voix, qui est l’instrument que nous tenons de la nature ? Qu’une jeune personne sache ensuite jouer du piano assez bien
à crayonner une tête, une fleur, un arbuste. Mais on occupe trop les jeunes personnes à dessiner la figure. Il conviendroit m
s les ont retirés des pensions où ils ont passé plusieurs années. Les jeunes personnes sont moins propres à l’étude, et elles
angue angloise, de langue allemande, de langue italienne, etc. Si les jeunes personnes doivent avoir besoin un jour de la conn
d’abord bien connoître la langue nationale. D. Ne suffit-il pas à une jeune personne d’être belle ? La beauté ne peut-elle po
lus. La beauté est donc un trésor fragile, qui ne dispense point les jeunes personnes de faire provision de mérite. Les talen
ertus ne vieillissent point. D. La fortune ne dispense-t-elle pas une jeune demoiselle d’acquérir du mérite ? R. Non. Voltai
er les revers que la fortune peut nous avoir destinés. D. Comment les jeunes personnes doivent elles se prémunir contre les lo
ivent elles se prémunir contre les louanges et la flatterie ? R. Les jeunes personnes doivent penser sans cesse qu’elles sont
 2.) D. La modestie ne peut-elle pas servir beaucoup à garantir les jeunes personnes des piéges de la flatterie ? R. Oui. L
 Soyons toujours, jusqu’à la fin,    Fidelle et sûr dépositaire. Les jeunes personnes doivent prendre de bonne heure l’habitu
carrière             Où l’on ne se pardonne rien. D. Quelle idée les jeunes personnes doivent-elles se faire du mensonge ? R
4 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
anche la tête. Privée d’Argus, Junon déchargea toute sa colère sur la jeune vache, bien innocente du crime : elle lâcha contr
e Saturne (Jupiter, Neptune et Pluton), c’est à Pluton, comme au plus jeune , que fut abandonné le triste royaume des enfers.
l’enchantement fut détruit. Cérès ne pouvant plus rendre immortel le jeune Triptolème, voulut du moins le faire chérir du mo
pouvaient y assister. Pendant ces fêtes, qui duraient cinq jours, de jeunes vierges vêtues de robes blanches portaient sur le
us et de Cupidon sont les trois Grâces : Aglaé, Thalie et Euphrosine. Jeunes , belles et modestes, les cheveux négligemment nou
, lui était consacré. — On représente Mars sous les traits d’un homme jeune encore, au regard farouche, à la démarche précipi
nseigner à tirer de l’arc et à jouer du luth. Zéphyre aimait aussi le jeune Hyacinthe, sans être payé de retour ; la confianc
, et les introduisait dans de nouveaux corps. — On représente Mercure jeune , leste, riant, et vêtu d’un petit manteau. Il a d
vigne et d’obtenir des plants d’une qualité supérieure. Érigone était jeune et belle : elle enflamma bien vite le cœur du die
ouverte, il court à la vigne d’Icarius, se place sur le passage de la jeune princesse et revêt la forme d’une grappe vermeill
e colline, les Filles de Mémoire, les Neuf Sœurs. — On les représente jeunes , belles, modestes, vêtues simplement, assises à l
aigres, qui filent en silence à la lueur d’une lampe. Clotho, la plus jeune , tient une quenouille qui est chargée de fils de
eaux, tranche à l’improviste et quand bon lui semble, le tissu fatal. Jeunes et vieux, riches et pauvres, bergers et monarques
qui lui sont adressées, hésite, tergiverse, cède enfin, et annonce au jeune agriculteur que la vengeance divine le poursuit,
des et l’arrosaient d’huile. Ils immolaient ensuite des agneaux et de jeunes porcs, qui servaient aux repas des deux familles
isseaux, sans dédaigner le frais ombrage des bosquets. — On les peint jeunes et jolies, appuyées sur une urne qui verse de l’e
poisonné qu’elle répand dans la fontaine où se baignait Scylla. Cette jeune nymphe n’a pas plus tôt mis les pieds dans l’eau,
rable pour réussir dans les entreprises. — On la représente comme une jeune femme qui a une touffe de cheveux sur le devant d
les endroits guéables du fleuve, offrit de transporter sur son dos la jeune princesse. Hercule la lui confie, mais non sans i
sa fille unique, Danaé, dans une tour d’airain, et repoussa tous les jeunes princes qui la demandèrent en mariage. Mais le ro
magnifique réception, et où ils restèrent deux ans, captivés par les jeunes Lemniennes. Hypsipyle attira surtout les regards
des Athéniens, les avait condamnés à lui envoyer, chaque année, sept jeunes garçons et autant de jeunes filles pour servir de
funeste au repos de Thésée. Phèdre, en arrivant à Trézène, aperçut le jeune Hippolyte, fils de l’amazone. Élevé loin de la co
le des expéditions aventureuses. Us allèrent à Sparte pour enlever la jeune Hélène, fille de Tyndare, déjà renommée dans tout
orsque l’épouse de Prœtus, nommée Sténobéa, éprise de la beauté de ce jeune étranger, lui avoua qu’elle l’aimait, et qu’elle
les d’un éléphant. Thésée, Jason, Castor, Pollux et beaucoup d’autres jeunes princes accoururent des villes voisines pour déli
dans tous les jeux du gymnase, il excita tellement la jalousie de ses jeunes compagnons, qu’un d’entr’eux, pour le mortifier,
fiance la route d’Argos, lorsqu’il fut assailli à l’improviste par 50  jeunes Thébains bien armés. Sa résistance fut opiniâtre.
ain consumée. Parthénopée, prince arcadien, un des Sept Chefs, était jeune , aimable, d’une figure charmante, et gagnait tous
ue durant neuf années consécutives les Athéniens lui envoyassent sept jeunes garçons et autant de jeunes filles qui serviraien
l’île de Crète. Obligé, par un motif qu’on ignore, de quitter encore jeune son pays natal, il alla se fixer en Phrygie, près
ation du héros. Hercule, que tant de générosité et de courage dans un jeune prince avait profondément touché, lui accorda, co
à Mycènes, auprès de Clytemnestre sa mère, avec ses deux sœurs et le jeune Oreste. Pour la faire venir au camp, son père fei
abusant de son pouvoir, envoya deux de ses officiers pour enlever la jeune Briséis, qu’ils lui amenèrent. Achille, outré de
de grands cris amenaient au roi, les mains liées derrière le dos, un jeune inconnu, qui, loin de fuir devant eux, s’était mi
gloire de toucher aux câbles qui servent à la traîner. Jeunes filles, jeunes garçons, chantent en l’honneur de Minerve des hym
t une fureur qu’irritait le souvenir de la mort d’Achille ; il tue le jeune Politès, fils de Priam, se jette l’épée à la main
re éclata entre les Grecs et les Troyens. L’amour qu’il avait pour sa jeune compagne lui fit inventer plusieurs supercheries
endant la fin du jour, s’amusait avec ses amies aux jeux innocents du jeune âge. Leurs ébats, leurs danses folâtres, leurs éc
celait l’habitude du commandement. Il fit une telle impression sur la jeune princesse qu’elle ne put s’empêcher de dire tout
e son père partit pour le siége de Troie. Placé auprès de sa mère, le jeune Télémaque y grandit à l’ombre des vertus et de la
ichesses, cette mère infortunée apprit que ce barbare avait égorgé le jeune prince et dilapidé ses trésors. Transportée de fu
e temps l’urne funéraire qui renfermait les cendres supposées de leur jeune parent. Égisthe et Clytemnestre souhaitaient trop
e éclater les marques visibles de leur désapprobation. Un jour que la jeune princesse, à côté de son père, brûlait des parfum
ar ses grâces et par son tendre meuglement, il attira les regards des jeunes phéniciennes. Europe s’approche du paisible anima
rchands crétois qui trafiquaient sur la côte de Phénicie, ayant vu la jeune Europe, dont la beauté les frappa, l’enlevèrent p
reine, qu’il prend pour une bête féroce, arrache d’entre ses bras le jeune Léarque, et l’ayant fait pirouetter trois fois, l
son enfance, à la vue de sa vieille nourrice et des compagnes de son jeune âge, les larmes de l’attendrissement inondèrent s
n meilleur ami, une nièce chérie dont il était le père adoptif, et un jeune fds, dont les succès précoces faisaient concevoir
nne les mets les plus communs : Cérès trouvait celui-ci délicieux. Un jeune enfant, nommé Stellio, témoin de l’avidité qu’ell
ière. Contes et faits détachés. § 1. Psyché. Psyché, la plus jeune des trois filles d’un roi d’Asie, était belle com
neraient une idée imparfaite de sa volage humeur. Un prince puissant, jeune , aimable, l’Amour lui-même67, se prit d’affection
moyens d’éclaircir son doute. Quand donc la nuit est venue, et que le jeune prince fatigué repose, elle s’approche du sofa où
nappréciable ! C’est lui qui me demande pour épouse ! » A ces mots la jeune curieuse se baisse pour le contempler, et ne song
e faire disparaître les traces fuligineuses de dessus le visage de la jeune princesse, et ils passèrent tous deux du temple d
eune homme d’Abydos ville d’Asie, aimait passionnément la belle Héro, jeune prêtresse qui demeurait à Sestos, en Europe. (Ces
, toutes excepté Hypermnestre, qui osa trahir son père, et sauver son jeune époux. « Lève-toi, lui dit-elle, lève-toi, de peu
ui vous aimât ! Mais je crains pour vous ma pauvre enfant. Combien de jeunes personnes ont été trompées par de simples mortels
la satisfaction générale. § 7. Phaon et Sapho Phaon était un jeune batelier de la ville de Mitylène, dans l’île de L
par sa farouche humeur ; il s’exila volontairement, et mit, entre la jeune lesbienne et lui, l’intervalle des mers. Sapho ne
Épiménide , philosophe crétois, vivait du temps de Solon. Fort jeune encore, il paissait les brebis de son père, et s’
vante, il fut dévoré par des loups. Polydamas, rival de Milon, était jeune encore lorsqu’il étouffa sur le mont Olympe un li
vénéneuses, des œufs de chouette, le sang des crapauds, la moelle des jeunes garçons et les ossements des morts. De toutes ces
furent institués par les Argiens, à l’occasion de la fin tragique du jeune Archémore, dont voici l’histoire abrégée : Hypsi
Argiens intercédèrent en sa faveur, obtinrent sa grâce, et firent au jeune Archémore de magnifiques funérailles. Dès lors, t
et l’art de prédire l’avenir. — On le représente sous la figure d’un jeune enfant ; et on le reconnaît au vêtement étroit qu
int. De la moelle de ses os naît un ver, qui produit un autre phénix, jeune , brillant, radieux, dont le premier soin est de r
5 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
’île de Crète4 ; les prêtres de Cybèle dansaient autour du berceau du jeune Dieu en frappant sur des bassins d’airain, pour e
pour tromper Callisto, et il se métamorphosa en aigle pour enlever le jeune Ganymède, dont il fit son échanson. Prométhée, f
ua involontairement. Désolé de cet accident, le Dieu métamorphosa son jeune ami en la fleur qui a pris le nom d’hyacinthe ou
mière. Le Dieu du jour eut la faiblesse de céder aux supplications du jeune ambitieux, qui s’élança plein de joie dans le cha
e, satyre plein de science et de gaieté, fut chargé de l’éducation du jeune Dieu. Quand il fut devenu grand, Bacchus se rendi
. Elle eût préféré Mars, le Dieu de la guerre, ou Bacchus, ou Adonis, jeune chasseur d’une grande beauté, qui fut tué par un
de son hospitalité généreuse et empressée, elle rendit la santé à son jeune fils Triptolème, se chargea du soin de son éducat
n en maison, masqués et déguisés. Les peintres lui donnent une figure jeune et enluminée ; il est coiffé d’un bonnet conique
même javelot qui avait donné la mort à Procris. Aurore épousa Tithon, jeune prince célèbre par sa beauté, fils de Laomédon. D
s. On représente Sylvain sous la figure d’un Satyre tenant en main un jeune cyprès. Cet arbre lui est consacré, soit parce qu
euves, aux rivières et aux fontaines. On les peint sous les traits de jeunes femmes appuyées sur une urne penchée d’où s’élanc
noire pour celle qui devait être courte et orageuse. Clotho, la plus jeune , tenait la quenouille ; Lachésis tournait le fuse
les Grecs, était représenté sous les traits d’un jeune homme ou d’une jeune femme tenant d’une main une corne, et posant l’in
treprise. On la représentait sous la figure d’un jeune homme ou d’une jeune femme n’ayant de cheveux que sur le devant de la
ils furent recueillis par Polydecte, roi de ce pays. Devenu grand, le jeune héros signala sa valeur par de brillants exploits
ême pas à donner de l’ombrage à Polydecte, qui, pour se défaire de ce jeune ambitieux, l’engagea à aller combattre les Gorgon
emment ; il se contenta de l’exposer aux plus grands dangers. Mais le jeune héros revint triomphant des expéditions les plus
isit et les étouffa de ses mains enfantines. L’intrépidité précoce du jeune Demi-Dieu sembla toucher Junon, qui s’adoucit env
ui disputer. Comme il se rendait dans sa patrie, emmenant avec lui sa jeune épouse, il fut arrêté par le fleuve Evène, dont l
gée54, leur avait imposé l’obligation de lui livrer chaque année sept jeunes garçons et autant de jeunes filles qui devenaient
heureux succès de ses entreprises. Dans l’ivresse de son triomphe, le jeune héros oublia les recommandations paternelles, et
ne, qui ne se rendit que trop promptement à ses vœux. Au moment où le jeune prince se disposait à quitter l’Attique, un monst
tés brillantes le rendirent l’idole des peuples. Son oncle, voyant le jeune héros sur le point de réclamer le trône de ses pè
ison. A peine la résolution de Jason fut-elle connue, qu’une foule de jeunes princes et de capitaines vint se ranger sous ses
et la fille d’Æètes. Poursuivie par son père, Médée mit en pièces son jeune frère Absyrte et dispersa ses membres le long des
aveur d’Eson, supplièrent Médée de rappeler également leur père à ses jeunes années. La cruelle magicienne feignit de se rendr
elle donna en même temps le jour à Clytemnestre et à Hélène. Ces deux jeunes héros donnèrent de bonne heure des preuves de leu
ge étroit un homme qui lui ordonna fièrement de lui céder le pas ; le jeune voyageur répondit à cette injonction en mettant l
Cérès seule goûta de ce mets, et déjà elle avait mangé une épaule du jeune enfant, lorsque Jupiter découvrit le crime. Ce Di
ccagea la ville, tua le roi et emmena en esclavage son fils Priam. Ce jeune prince avait été depuis racheté par les Troyens,
ne, enlevée par Hercule, et qui était encore retenue prisonnière ; le jeune prince fut accueilli avec hospitalité par Ménélas
on d’Achille fut confiée aux soins du centaure Chiron, qui nourrit le jeune héros de la mœlle des lions et des tigres, et qui
mes. Le courage qu’il devait montrer plus tard se révéla dès ses plus jeunes années, car sa mère lui ayant proposé le choix de
reconnu à ces penchants guerriers, n’eut pas de peine à déterminer le jeune héros à le suivre vers les lieux où l’attendaient
assiégés. Agamemnon lui ayant enlevé, par un abus de sa puissance, la jeune Briséis, qu’il avait faite prisonnière dans la pr
énélope, fille d’Icare. Désirant rester dans son pays et auprès de sa jeune épouse, il contrefit l’insensé ; on le voyait att
u lieu de blé. Cependant Palamède, qui soupçonnait la feinte, prit le jeune Télémaque qui venait de naître, et le plaça devan
agea son fils à le suivre dans cette route nouvelle ; et en effet, le jeune imprudent fut victime de cette tentative. Oublian
dans toute espèce de sciences, qu’on lui envoyait de toutes parts de jeunes princes à élever, entre autres Achille. 58. L’He
6 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
îment ses pas, Et chante une chanson nouvelle. Vingt fois le jour, ce jeune essain Jette et rejette, le raisin, Sur le raisin
les fleurs qui naissent sous ses pas : Pluton ne songea plus qu’à la jeune Déesse. …………………………………………………            Tandis qu’
de sa mère, Qui le lance du Ciel dans le sein de Thétys. On voit ses jeunes ans dans l’abîme engloutis Que recèle Eurimone en
r oiseleur.    L’Amour est plus rusé que tendre, Craignez ses filets, jeunes cœurs : Fuyez-les ; c’est pour vous surprendre Qu
est pour vous surprendre Que sa main les tresse de fleurs33. A un jeune Poëte, sur le danger des passions.    Crois-moi 
, dangereuse Syrène, Nuit plus que cent rivaux et leur jalouse haine. Jeune Athlète, ah ! frémis, et redoute bien moins Les c
   Et qui ne savent auprès d’elles           L’appeler ni le retenir. Jeune épouse, veux-tu dans le nœud qui t’engage,       
i sans nombre Expirent les sujets que protégeait son ombre ; Pleurez, jeunes beautés, pleurez les arbrisseaux, Dont les bosque
e la bienveillance ; Voyez, amis, dans ce vaste salon, Voyez errer sa jeune impatience. Un char étroit forme et soutient ses
en cadence, Couvrir, ô Jupiter ! les cris de ton enfance, Lorsqu’une jeune troupe, au son vif et tonnant De l’airain, sur l’
he, quelle gloire !           Les Amours sont désarmés.               Jeunes cœurs, rompez vos chaînes :           Cessons de
ent à ses cris et de guerre et d’amour, Et qu’en sultan superbe à ses jeunes maîtresses Sa noble volupté partageait ses caress
i. C’est en vain qu’à ses maux prêtant un noble appui, D’un cerf tout jeune encor la confiante audace Succède à ses dangers e
ent son front, façonnés en olives. Imbert 75. Fêtes de Minerve.     Jeunes amans des arts, apportez vos offrandes ; A l’aute
eau tourne entre leurs mains légères, Ne blesse pas les doigts de nos jeunes bergères ? Delille 82.    Que les vergers, que
uquets. On célébrait tous les ans les jeux floraux en l’honneur de la jeune Déesse. Elle est représentée ornée de guirlandes,
ronne Du pampre nouveau ; Et du vin qui coule, S’abreuve une foule De jeunes Sylvains, Qu’on voit dans la plaine Soutenir à pe
.    Là paraît couronné d’une tresse de fleurs, Le Printemps au front jeune , aux riantes couleurs ; L’Été, qui, les bras nus,
chûte, qu’elle n’osa plus présenter à boire au maître de l’Olympe, Le jeune et beau Ganymède la remplaça dans sa fonction. Hé
eunît dans sa vieillesse. Orion, Céphale et plusieurs autres mortels, jeunes et beaux comme Titon, furent après lui l’objet de
Eurynome, tantôt de Bacchus et de Vénus. Les Grâces sont représentées jeunes , riantes, les bras entrelacés, dansant ensemble,
mer étincelante. Sous des bosquets rians qu’embaume l’oranger, Chaque jeune bergère a conduit son berger. Les uns de joncs tr
que le Charme ouvrant ses flexibles rameaux, S’élèvera, chargé de son jeune feuillage, Tu viendras avec moi jouir sous ces be
séjour d’un enfant vertueux. Il aurait fait le bien : La Mort, de son jeune âge                Trancha le fil heureux. Ainsi
           Trancha le fil heureux. Ainsi, dans nos vergers, un arbre jeune encore Promet que ses rameaux seront chargés de f
128. Épitaphe d’Estelle Finguerlin, morte à la fleur de son âge.     Jeune beauté, sensible à mon malheur, C’est dans ce cha
Ainsi finit Alcide. Placé dans le Ciel après sa mort, il y épousa la jeune Hébé. On le représente sous la figure d’un homme
i crime ni danger, Dérobe des troupeaux de l’illustre étranger Quatre jeunes taureaux, quatre belles génisses, Qui des herbage
tune, et lui dit d’offrir aux mânes d’Euridice un sacrifice de quatre jeunes taureaux et d’autant de génisses. Ayant suivi ses
z ces coteaux, Embrasez mes moissons, immolez mes troupeaux, Dans ces jeunes forêts allez porter la flamme, Puisque l’honneur
es ; Leurs beaux cheveux tombaient en tresses ondoyantes. Là, sont la jeune Opis aux yeux pleins de douceur ; Et Clio toujour
en deux monts de cristal, Le porte mollement au fond de son canal. Le jeune Dieu descend, il s’étonne, il admire Le palais de
une défense vaine, Il cède ; et se montrant sous une forme humaine : Jeune imprudent, dit-il, qui t’amène en ce lieu ? Parle
e riant Lycée où paissent tes troupeaux Va choisir à l’instant quatre jeunes taureaux ; Choisis un nombre égal de génisses sup
: le Berger dans ses nombreux troupeaux Va choisir à l’instant quatre jeunes taureaux, Immole un nombre égal de génisses super
isin en grappe se suspendent. Virgile. —  Delille 137. Daphnis, Jeune Berger de Sicile, et fils de Mercure. Né dan
ison d’or suspendue à un arbre et défendue par un horrible Dragon. Ce jeune conquérant, aidé des enchantemens de la magicienn
de Pallas, Où vous, juste Phinée, et vous, vieux Périphas, Vous aussi jeune Algire, on vous vit sur des ailes Fendre l’air ét
déjà contre nous ils murmuraient tout bas. Sur un trône brillant leur jeune Souveraine Rendit d’abord le calme à mon ame ince
on erreur Dans le sang de ces Grecs que poursuit sa fureur.    Douze jeunes beautés, indomptables guerrières, Suivent Penthés
aissé le temple de Samos, Délos et son oracle, et le roc de Paros. Le jeune ambitieux, follement intrépide, Pour s’élever au
n père infortuné, qui déjà n’est plus père, Dédale cherche au loin le jeune téméraire. Icare, où te trouver ? Il appelle à gr
!           Quel complot ! quel projet horrible !           Tremblez, jeune Arion, tremblez !              Le Démon de l’inj
troit passage, Des vains honneurs du pas le frivole avantage. J’étais jeune et superbe, et nourri dans un rang, Où l’on puisa
fixa dans les campagnes d’Arcadie, où sa naïve gaîté le fit aimer des jeunes bergers et bergères. Silène est le Grégoire de la
tes de Bacchus, Tenait encor ses sens assoupis et vaincus, Quand deux jeunes bergers, Silvanire et Mnasile, Troublèrent à dess
dé leur poursuite ; Mais leurs efforts enfin empêchèrent sa fuite. La jeune Églé survient, et se joint aux pasteurs, Pour for
ons nos desirs : Vous, Églé, partagez nos innocens plaisirs ; Rompez, jeunes pasteurs, cette chaîne inutile. Et comptez sur la
ène. Anacréon. —  Roman 173. Pyrame et Thisbé. C’étaient deux jeunes amans, célèbres dans l’Assyrie par leur attacheme
ille des arts,   Pyrame aima Thisbé comme il fut aimé d’elle ; Pyrame jeune , aimable, et Thisbé jeune et belle…    Le soir v
ma Thisbé comme il fut aimé d’elle ; Pyrame jeune, aimable, et Thisbé jeune et belle…    Le soir vient : dans les mers le ch
au fond que l’Espérance, unique consolation des malheureux.    D’une jeune mortelle il (Jupiter) forma la substance ; Lui do
ap Circéen, et y bâtit un palais magique. Sa jalousie fut fatale à la jeune Scylla, aimée du Dieu Glaucus ; et à Picus, Roi d
-même de tombeau. Inscription d’un monument élevé à la mémoire d’une jeune Dame, par son Époux.    Rien ne peut affranchir d
vre à la mort ; Et ma seule tendresse a voulu cet effort. Je pouvais, jeune encore et veuve couronnée, Aspirer aux liens d’un
ais lâche assassin, avait égorgé son malheureux époux, et l’un de ses jeunes fils. Egiste, sauvé par Narbas, avait échappé à s
es ; Il écartait les mains avides, Les regards même étaient punis. Un jeune enfant non moins fidèle, Garde aujourd’hui les po
roi des animaux, leur imposât des lois. Alors, soit que la Terre, et jeune et vigoureuse, Recelât dans son sein une semence
198. Adonis, Fils de Cynire et de Myrrha. Le plus beau des jeunes Cypriens, il fut éperdûment aimé de Vénus. Cette
                      Sort pour l’admirer :                        La jeune Dryade                        Cherche à l’attirer
êt retentit de leurs longs hurlemens ; Diane, les Sylvains, Palès, la jeune Flore, Le rappellent en vain dans leurs tendres a
ire, Les Amours désolés pleurent à son côté, Mais aussi fallait-il, ô jeune téméraire, Affronter les dangers avec tant de bea
mours affligés, Arracher en pleurant leurs cheveux négligés. L’un, du jeune chasseur détache la chaussure, Et l’autre, dans u
ue Pan composa la première flûte champêtre.    On vit en Arcadie une jeune Naïade Adopter dans les bois les mœurs de la Drya
e, La santé règne aux champs sur un lit de verdure. Viens aux champs, jeune Eglé, viens y nourrir ton fils ; Apporte son berc
d’une mère, Même à ses propres yeux est sa beauté première. Voyez la jeune Isaure, éclatante d’attraits : Sur un enfant chér
gnant sur un bâton de courber sa faiblesse, L’aborde et parle ainsi : Jeune on fuit la vieillesse : On a tort : la vieillesse
Nymphe d’Arcadie, aimée de Mercure. Tenant un jour dans ses bras son jeune enfant, elle coupa, pour l’amuser, un rameau de L
heureux Jupiter, qui, cachant la grandeur, Aimait à triompher de leur jeune pudeur ; Cérès aux blonds cheveux, et le Dieu des
Tandis qu’au loin sur la fougère, Elle laisse errer son troupeau, La jeune et timide bergère Arme ses mains d’un long roseau
s doux transports, ou le plus saint effroi. Tantôt, dans nos vallons, jeune , fraîche et brillante, Tu marches, et, des plis d
ourpre et d’azur, tu trempes tes pinceaux. C’est toi qui dessinas ces jeunes arbrisseaux, Ces élégans tilleuls et ces platanes
d’allégresse ; J’appelle mes enfans, ils viennent m’entourer. Au plus jeune sur-tout je vole avec ivresse, Je le prends dans
montrée en pleurs. Un Prince vertueux que guide une Déesse, Veut d’un jeune Héros éprouver la sagesse ; Il bannit de son fron
ur, Ses yeux restent ouverts pour épier le jour. A peine de Tithon la jeune et belle amante Mêle à l’azur des cieux sa pourpr
les blonds épis tomberont sous la faux ;           Tant qu’autour des jeunes ormeaux,           On verra la vigne pourprée    
nt vertueux et sensibles. Elle était représentée sous la figure d’une jeune personne, vêtue d’une tunique, sur la frange de l
’érige point en grave pédagogue : Mais, à l’amour du bien, formez les jeunes cœurs ; Vantez la Liberté, proscrivez la licence 
sur la voix de la vieillesse, Ne réglera point son essor ; Jamais le jeune Télémaque N’aurait revu les murs d’Ithaque, S’il
fils bâtards de la Belle, Y sont reçus, par fois même applaudis. Les jeunes fleurs dont brille son visage, De la santé sont l
g d’Iphigénie à Diane en courroux ? Quel spectacle !… Une illustre et jeune infortunée Des voiles de la mort la tête environn
à-coup, parmi ces vertes colonies, Un arbre qu’il connut dès ses plus jeunes ans, Frappe ses yeux. Soudain, avec des cris perç
nonyme. L’Amour oiseleur. 34. [Table des matières] Desaintange. A un jeune poëte. 35. [Table des matières] Voltaire. L’Enfa
7 (1800) Cours de mythologie pp. -360
iment ses pas, Et chante une chanson nouvelle. Vingt fois le jour, ce jeune essaim Jette et rejette, le raisin, Sur le raisin
les fleurs qui naissent sous ses pas : Pluton ne songea plus qu’à la jeune Déesse….            Tandis qu’à l’objet qui l’enc
de sa mère, Qui le lance du Ciel dans le sein de Thétys. On voit ses jeunes ans dans l’abîme engloutis Que recèle Eurimone en
oiseleur.     L’Amour est plus rusé que tendre, Craignez ses filets, jeunes cœurs : Fuyez-les ; c’est pour vous surprendre Qu
est pour vous surprendre Que sa main les tresse de fleurs33. A un jeune Poète, Sur le danger des Passions.     Crois-m
, dangereuse Syrène, Nuit plus que cent rivaux et leur jalouse haine. Jeune Athlète, ah ! frémis, et redoute bien moins Les c
qui ne savent auprès d’elles                 L’appeler ni le retenir. Jeune épouse, veux-tu dans le nœud qui t’engage,       
i sans nombre Expirent les sujets que protégeoit son ombre ; Pleurez, jeunes Beautés, pleurez les arbrisseaux, Dont les bosque
en cadence, Couvrir, ô Jupiter ! les cris de ton enfance, Lorsqu’une jeune troupe, au son vif et tonnant De l’airain, sur l’
oire ! Quel triomphe, quelle gloire ! Les Amours sont désarmés.      Jeunes cœurs, rompez vos chaînes : Cessons de craindre l
eau tourne entre leurs mains légères, Ne blesse pas les doigts de nos jeunes bergères ? Delille 81.     Que les vergers, q
ronne Du pampre nouveau ; Et du vin qui coule, S’abreuve une foule De jeunes Sylvains, Qu’on voit dans la plaine Soutenir à pe
    Là paroît couronné d’une tresse de fleurs, Le Printemps au front jeune , aux riantes couleurs ; L’Eté, qui, les bras nus
chûte, qu’elle n’osa plus présenter à boire au Maître de l’Olympe, Le jeune et beau Ganymède la remplaça dans sa fonction. Hé
eunît dans sa vieillesse. Orion, Céphale et plusieurs autres mortels, jeunes et beaux comme Titon, furent après lui l’objet de
Eurynome, tantôt de Bacchus et de Vénus. Les Grâces sont représentées jeunes , riantes, les bras entrelacés, dansant ensemble,
mer étincelante. Sous des bosquets rians qu’embaume l’oranger, Chaque jeune bergère a conduit son berger. Les uns de joncs tr
que le Charme ouvrant ses flexibles rameaux, S’élèvera, chargé de son jeune feuillage, Tu viendras avec moi jouir sous ces be
séjour d’un enfant vertueux. Il auroit fait le bien : La Mort, de son jeune âge                    Trancha le fil heureux. A
           Trancha le fil heureux. Ainsi, dans nos vergers, un arbre jeune encore Promet que ses rameaux seront chargés de f
Ainsi finit Alcide. Placé dans le Ciel après sa mort, il y épousa la jeune Hébé.   On le représente sous la figure d’un homm
tune, et lui dit d’offrir aux mânes d’Euridice un sacrifice de quatre jeunes taureaux et d’autant de genisses. Ayant suivi ses
z ces côteaux, Embrasez mes moissons, immolez mes troupeaux, Dans ces jeunes forets allez porter la flamme, Puisque l’honneur
es ; Leurs beaux cheveux tomboient en tresses Ondoyantes. Là, sont la jeune Opis aux yeux pleins de douceur ; Et Clio toujour
en deux monts de crystal, Le porte mollement au fond de son canal. Le jeune Dieu descend, il s’étonne, il admire Le palais de
une défense vaine, Il cède ; et se montrant sous une forme humaine : Jeune imprudent, dit-il, qui t’amène en ce lieu ? Parle
e riant Lycée où paissent tes troupeaux Va choisir à l’instant quatre jeunes taureaux ; Choisis un nombre égal de genisses su
: le Berger dans ses nombreux troupeaux Va choisir à l’instant quatre jeunes taureaux, Immole un nombre égal de genisses super
sin en grappe se suspendent. Virgile. —  Delille 133. Daphnis, Jeune Berger de Sicile, et fils de Mercure. Né dan
ison d’or suspendue à un arbre et défendue par un horrible Dragon. Ce jeune conquérant, aidé des enchantemens de la magicienn
déjà contre nous ils murmuroient tout bas. Sur un trône brillant leur jeune Souveraine Rendit d’abord le calme à mon ame ince
n erreur Dans le sang de ces Grecs que poursuit sa fureur.     Douze jeunes beautés, indomptables guerrières, Suivent Penthés
en secret troublés ! Quel complot ! quel projet horrible ! Tremblez, jeune Arion, tremblez !     Le Démon de l’injustice So
rage subit chassé et poursuit mourantes. Priam paroît, armé tel qu’un jeune guerrier. Cher époux, dit Hécube, à quoi bon cet
Vieillard vénérable. Polite en ce moment, (O spectacle effroyable !) Jeune fils de Priam, que Pyrrhus a blessé, Se déroboit
troit passage, Des vains honneurs du pas le frivole avantage. J’étois jeune et superbe, et nourri dans un rang, Où l’on puisa
fixa dans les campagnes d’Arcadie, où sa naïve gaîté le fit aimer des jeunes bergers et bergères. Silène est le Grégoire de la
tes de Bacchus, Tenoit encor ses sens assoupis et vaincus, Quand deux jeunes bergers, Silvanire et Mnasile, Troublèrent à dess
dé leur poursuite ; Mais leurs efforts enfin empêchèrent sa fuite. La jeune Eglé survient, et se joint aux pasteurs, Pour for
ons nos désirs : Vous, Eglé, partagez nos innocens plaisirs ; Rompez, jeunes pasteurs, cette chaîne inutile. Et comptez sur la
e. Anacréon. —  Roman 173. Pyrame et Thisbé C’étoient deux jeunes amans, célébres dans l’Assyrie par leur attacheme
me épée.     Pyrame aima Thisbé, comme il fut aimé d’elle ; Il étoit jeune , aimable ; elle étoit jeune et belle… Le jour tro
isbé, comme il fut aimé d’elle ; Il étoit jeune, aimable ; elle étoit jeune et belle… Le jour trop long pour eux, coule trop
u fond que l’Espérance, unique consolation des malheureux.     D’une jeune mortelle il (Jupiter) forma la substance ; Lui do
ap Circéen, et y bâtit un palais magique. Sa jalousie fut fatale à la jeune Scylla, aimée du Dieu Glaucus ; et à Picus, Roi d
Beauharnais 180. Inscription d’un Moent élevé à la mémoire d’une jeune Dame, par son Epoux.     Rien ne peut affranchir
œur veut toujours se nourrir. De Schosne 181. Pour le buste d’une jeune Dame de Lyon, morte à la suite de ses couches.   
vre à la mort ; Et ma seule tendresse a voulu cet effort. Je pouvois, jeune encore et veuve couronnée, Aspirer aux liens d’un
ais lâche assassin, avoit égorgé son malheureux époux, et l’un de ses jeunes fils. Egiste, sauvé par Narbas, avoit échappé à s
es ; Il écartoit les mains avides, Les regards même étoient punis. Un jeune Enfant non moins fidelle, Garde aujourd’hui les P
Roi des animaux, leur imposât des lois. Alors, soit que la Terre, et jeune et vigoureuse, Recelât dans son sein une semence
203. Adonis, Fils de Cynire et de Myrrha. Le plus beau des jeunes Cypriens, il fut éperdûment aimé de Vénus. Cette
                      Sort pour l’admirer ;                       La jeune Dryade                       Cherche à l’attirer.
êt retentit de leurs longs hurlemens ; Diane, les Sylvains, Palès, la jeune Flore, Le rappellent envain dans leurs tendres ac
ire, Les amours désolés pleurent à son côté, Mais aussi falloit-il, ô jeune téméraire, Affronter les dangers avec tant de bea
mours affligés, Arracher en pleurant leurs cheveux négligés. L’un, du jeune chasseur détache la chaussure, Et l’autre, dans u
composa la première flûte champêtre.     Aux monts de l’Arcadie, une jeune Naïade Adopta dans les bois les mœurs de la Dryad
e, La Santé régne aux champs sur un lit de verdure. Viens aux champs, jeune Eglé, viens y nourrir ton fils ; Apporte son berc
Semble, sur un bâton appuyer sa foiblesse, Et l’aborde en ces mots : Jeune , on fuit la vieillesse On a tort ; la vieillesse
Nymphe d’Arcadie, aimée de Mercure. Tenant un jour dans ses bras son jeune enfant, elle coupa, pour l’amuser, un rameau de L
            Me laisse entrevoir un ruisseau             Caressant la jeune prairie. Ces pins audacieux que la mousse a couve
heureux Jupiter, qui, cachant la grandeur, Aimoit à triompher de leur jeune pudeur ; Cérès aux blonds cheveux, et le Dieu des
Tandis qu’au loin sur la fougère, Elle laisse errer son troupeau, La jeune et timide bergère Arme ses mains d’un long roseau
ourpre et d’azur, tu trempes tes pinceaux. C’est toi qui dessinas ces jeunes arbrisseaux, Ces élégans tilleuls et ces platanes
d’allégresse ; J’appelle mes enfans, ils viennent m’entourer. Au plus jeune sur-tout je vole avec ivresse, Je le prends dans
montrée en pleurs. Un Prince vertueux que guide une Déesse, Veut d’un jeune Héros éprouver la sagesse ; Il bannit de son fron
s blonds épis tomberont sous la faux ;             Tant qu’autour des jeunes ormeaux,             On verra la vigne pourprée  
nt vertueux et sensibles. Elle étoit représentée sous la figure d’une jeune personne, vêtue d’une tunique, sur la frange de l
’érige point en grave pédagogue : Mais, à l’amour du bien, formez les jeunes cœurs ; Vantez la Liberté, proscrivez la licence 
sur la voix de la vieillesse, Ne réglera point son essor ; Jamais le jeune Télémaque N’auroit revu les murs d’Ithaque, S’il
u dois, dit-on, mépriser tout le reste. Aussi foible que toi, dans ta jeune saison,                 Elle est chancelante, imb
fils bâtards de la Belle, Y sont reçus, par fois même applaudis. Les jeunes fleurs dont brille son visage, De la santé sont l
g d’Iphigénie à Diane en courroux ? Quel spectacle !… Une illustre et jeune infortunée Des voiles de la mort la tête environn
-coup, parmi ces vertes colonies, Un arbre qu’il connut dès ses plus jeunes ans, Frappe ses yeux. Soudain, avec des cris perç
Anonyme. L’Amour oiseleur. 34. [Table des matières] Saint-Ange. A un jeune Poète. 35. [Table des matières] Voltaire. L’Enfa
n d’un Moent. 182. [Table des matières] Anonyme. Pour le buste d’une jeune Dame. 183. [Table des matières] Colardeau. Young
8 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
u feu, il ordonna à Vulcain de former avec de l’argile le corps d’une jeune vierge. Minerve rehaussa la beauté de cette vierg
u fond que l’espérance, seul bien qui soit demeuré aux mortels. Cette jeune vierge, que les dieux avaient nommée Pandore, dev
ien nommé Cithéron ; il feignit qu’il allait épouser la belle Platée, jeune nymphe, fille du fleuve Asope ; à cette nouvelle
ter les poursuites du dieu Pan ; plus tard, elle s’éprit de Narcisse, jeune berger qui se consumait lui-même à contempler son
Ce dieu fut éprouvé par de cruelles disgrâces. Un de ses fils, le jeune Phaéton, qu’il avait eu de Clymène, une des Océan
ans les bras du fleuve Pénée, son père, et fut changée en laurier. Le jeune Hyacinthe jouait au disque avec Apollon ; celui-c
homme de Céos, se donna la mort, désespéré d’avoir tué à la chasse un jeune cerf qu’il avait apprivoisé ; Apollon le changea
violent, mais il opéra. Du crâne entr’ouvert de Jupiter s’élança une jeune vierge armée de pied en cap : c’était Minerve, dé
avait respecté la foudre, enchanté de cette espièglerie, confia à son jeune fils le soin de servir aux dieux le nectar et l’a
ar les flots, ils se couvrirent d’écume, et de cette écume sortit une jeune déesse d’une ravissante beauté : c’était Vénus. L
ia le soin de son culte, et lui commanda de faire vœu de chasteté. Le jeune prêtre désobéit en s’alliant à la nymphe Sangarid
tte Vesta était le symbole du feu sacré. On lui éleva un temple où de jeunes prêtresses, vouées à la virginité et honorées sou
’aspect du dieu armé de la foudre. Jupiter renferma dans sa cuisse le jeune Bacchus, qui en sortit lorsque les neuf mois fure
tes qu’il composait pour l’éducation du duc de Bourgogne, a fait d’un jeune Faune une description qu’il convient de citer : «
au-dessous de la ceinture par la dépouille affreuse et hérissée d’une jeune lionne qu’il avait tuée dans les forêts. Il tenai
avec l’âge, que, par pitié, Jupiter le transforma en cigale. Céphale, jeune chasseur d’un rare beauté, fut aimé de l’Aurore,
rois sœurs présidaient à la naissance et à la vie des hommes. La plus jeune d’entre elles, Clotho, tenait la quenouille, Lach
rement dite, elle est devenue trop célèbre pour être omise. Psyché12, jeune princesse d’une surprenante beauté qui rivalisait
sthée, et celui-ci, s’associant aux ressentiments de Junon, imposa au jeune Hercule les plus rudes épreuves. Ce fut pour obéi
le de Laomédon ; mais, arrivé en Mysie, il s’arrêta à la recherche du jeune Hylas, son compagnon, que les Nymphes d’une fonta
e sa tête et de ses talons, et arma sa main d’une épée de diamant. Le jeune héros ainsi équipé alla d’abord auprès des Grées,
isonner Thésée qui lui inspirait des soupçons ; mais, au moment où le jeune héros allait boire dans la coupe fatale, Égée le
s avaient assassiné, avait soumis ce peuple à un tribut annuel de six jeunes garçons et de six jeunes vierges, que le Minotaur
t soumis ce peuple à un tribut annuel de six jeunes garçons et de six jeunes vierges, que le Minotaure dévorait dans le labyri
mers envoya un monstre marin qui effraya les chevaux d’Hippolyte : le jeune héros fut renversé de son char et mis en lambeaux
’héritage de son père, par l’usurpateur Pélias ; celui-ci promit à ce jeune prince de lui rendre son trône, s’il parvenait à
toison d’or. L’entreprise était périlleuse ; elle tenta le courage du jeune héros. Jason fit équiper un vaisseau, qui reçut l
distinguait Hercule, Thésée, Castor et Pollux, Nestor, roi de Pylos, jeune encore, et qui se distingua plus tard à la guerre
vivaient heureux, lorsque Pâris, fils de Priam, vint à leur cour. Ce jeune favori de Vénus, à laquelle il avait donné le pri
es plus importants. On figure ordinairement Mithra sous la forme d’un jeune guerrier qui plonge un cimeterre dans la gorge d’
fond d’une grotte par l’entremise des Mages, qui initiaient ceux des jeunes Perses que la rigueur des épreuves n’effrayait pa
tombeaux et des temples. Osiris revint des enfers pour instruire son jeune fils et l’exciter à combattre l’usurpateur. Ses l
Atalante, princesse d’Arcadie, fut tué par Méléagre, fils d’Œnée. Ce jeune héros offrit la dépouille du sanglier à Atalante
ors un tison auquel était attachée l’existence de son fils. La vie du jeune héros s’éteignit lorsque le tison fatal fut consu
9 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
es tambours, la médecine et l’art vétérinaire. Bientôt on vit Cybèle, jeune suivant les uns, et vieille suivant la plupart de
s, et vieille suivant la plupart des historiens, devenir amoureuse du jeune Atys, et s’enfoncer avec lui dans l’épaisseur des
isseur des forêts, pour goûter le bonheur d’être aimée. Quel était ce jeune Atys ? Il faudrait des volumes pour l’expliquer,
en admettant Cybèle fille de Méon et de Dindymène, nous la retrouvons jeune et éperdument amoureuse d’Atys. Mais cet amour ne
ement de ce drame, effémination et souvent mort de l’individu. Que le jeune Atys ait reçu après sa mort le privilége de l’inc
Atys, furent amenés par Midas à instituer un culte en l’honneur de ce jeune amant de leur grande divinité. Ces fêtes nommees
sur cet arbre des incisions allégoriques rappelant les mutilations du jeune dieu, ou celles qui avaient fait mourir sa maître
vents dans son sein, et une seconde qui n’est autre que Cybèle et la jeune ou troisième fille de Saturne et de Rhée ; mais t
n ne devait jamais laisser éteindre, il s’y trouvait entretenu par de jeunes vierges appelées Vestales, dont une des premières
, fille de Janus ou de Circé, et père de Famie et de Faune, mort très jeune à la chasse. Il fut métamorphosé en pivert, comme
le vengeur ; Urius, ou le donneur de vents favorables ; Vejow, ou le jeune  ; Vicilinus, ou de Compsa en Italie ; Xenios, ou
ncipaux surnoms, avait un nom qui lui-même est formé du mot jou ou le jeune , comme étant le dernier enfant de Saturne ; et du
sis, le renfermèrent dans une étroite prison. Alors Jupiter son fils, jeune , mais plein de courage, oubliant que son père ava
uprès d’Epiméthée. Cet homme, résultat des travaux de Prométhée, trop jeune encore pour avoir le moindre soupçon, et moins sa
prouver sa divinité en lui offrant les membres bouillis ou rôtis d’un jeune enfant, otage des Molosses. Le Dieu, voyant cet é
tée, Mantinée, Macarée, Macedne, Nyctime, Orichamène, Œnotre, le plus jeune des Lycaonides, fut s’établir en Italie, qui, d’a
avec Nyctime l’honneur d’avoir été épargné par Jupiter, comme le plus jeune . Nous ajouterons qu’il y a cela de remarquable da
plus loin, en parlant des amours de Jupiter, nous retrouverons cette jeune nymphe chasseresse, s’identifiant pour ainsi dire
Junon avec Jupiter ; d’un autre côté, on y ajoute souvent Argé et la jeune Angelo ; quant à Ilithye et Lucine, que l’on veut
u domptant tout, Tardipes, ou le tardif boiteux. Vulcain, frère de la jeune Hébé, était le Dieu du feu, Cicéron en compte qua
ent Céramicies à Athènes, ou Héphestiennes ; pendant ces fêtes, trois jeunes garçons disputaient le prix à qui courrait le plu
us, fils de Neptune ; mais le dieu de la guerre ayant puni de mort ce jeune audacieux, fut alors seulement traduit devant le
geance, se montre, et jette sur la table à la fin du repas la tête du jeune Itys. Thérée, à cette vue, ne se connaît plus de
phénor, ou Archée, ou Archenor, Damasichton, Ismène, Ilionée, le plus jeune , Ninyte ou Eupinyte, Phédime, Sypyle, Tantale, fi
nom, près d’Epidaure, Corythalienne ou celle à qui l’on sacrifiait de jeunes pourceaux, à Sparte, Cynthia ou de Cynthe, montag
elle l’eût puni sur le champ, et d’une manière effrayante. Témoin la jeune Calisto qu’elle changea en ourse ; Buphage qu’ell
iloé, et le timide Actéon dont les yeux seuls furent coupables. Cette jeune nympe Calisto était l’une de ses favorites ; elle
s reculés, ils ne quittent jamais l’horizon grec et italien. Quant au jeune Actéon, il fut victime involontaire du crime que
mégarde Diane qui était au bain. La déese, irritée de l’imprudence du jeune chasseur, lu jeta aussitôt de l’eau au visage, ou
Orthia instituées par Lycurgue, et pendant lesquelles on fouettait de jeunes enfans sur l’autel de cette déesse pour leur appr
Thraces et l’Arduenne des Sabins et des Gaulois, elle est représentée jeune , bien faite, armée d’un arc et d’un carquois, et
pagnons appelés Argonautes. Dès qu’il eut appris l’infortune de cette jeune princesse, il rompit ses liens et la ramena au ro
rs héroïques, présidait à la tragédie. On lui donnait la figure d’une jeune femme à l’air sérieux, majestueusement vêtue, cha
Sténobée, femme de ce roi, s’étant éprise d’un coupable amour pour le jeune héros, et l’ayant trouvé insensible, imita la fem
priait d’en tirer vengeance. Pendant neuf jours, Iobate accueillit le jeune envoyé par des fêtes et des festins, mais le dixi
ant de voler après elles ; il se lance donc ; mais plus lourd que les jeunes protégées d’Apollon, il tombe au bas de la tour e
orta à Milet, alors le dieu pour le punir le changea en coquille ; le jeune Leucatée ayant également refusé de céder à quelqu
qu’après avoir envoyé une ambassade de sept jeunes filles et de sept jeunes garçons au temple des deux divinités pour les sup
our interroger ce Dieu. Apollon passant dans l’antiquité pour le plus jeune et le plus brillant des Dieux, on le représentait
une corne d’abondance, ou quelquefois même une lyre ; alors il est le jeune et blond Phébus à la chevelure longue et flottant
es mit à la place des anciens, et ils y restèrent jusqu’à Théodose le jeune  ; alors ils furent brûlés par Stilicon. Erythrée,
elé aussi de même que sa mère Eoos. Aurore étant devenue amoureuse du jeune et charmant Tithon, fils de Laomédon et frère de
ue la douleur fut apaisée, arriva près d’une forge où, rencontrant un jeune garçon, il le mit sur ses épaules et le pria de l
ère. Alors Aurore, que Vénus avait rendue amoureuse de lui, enleva ce jeune et beau forgeron et le porta dans l’île de Délos.
amus, roi de Perse ou plutôt de Babylone et de toute l’Assyrie. Cette jeune nymphe fut d’abord aimée d’Apollon qui la rendit
e le nom de Leucothoée à une sœur de Sémélée, à Ino, qui prit soin du jeune Bacchus. Coronis que l’on désigne souvent sous le
x de la belle Daphné ou Pasiphaé, fille du fleuve Pénée, ce fut cette jeune nymphe qui attira ses premiers regards, d’abord i
é, fille de Pénée, roi de Thessalie, et la poursuivant un jour, cette jeune princesse tomba, et périt sous les yeux de son am
uivant le jour de ses noces avec Orphée. Les nymphes pour venger leur jeune compagne tuèrent toutes les mouches d’Aristée qui
ices expiatoires aux mânes d’Eurydice. Aussitôt Aristée immola quatre jeunes taureaux et quatre génisses des entrailles desque
ui consacrant leurs cheveux. On la représentait sous les traits d’une jeune femme voilée ou sans voile, tenant d’une main un
ies, on chantait des hymnes en leur honneur, et on leur sacrifiait un jeune agneau. Quant aux fêtes d’Esculape, elles étaient
En vain son père voulut-il le dissuader, il fallut céder. Aussitôt le jeune téméraire monte sur le char ; mais bientôt les ch
pollon, puis, on fut même jusqu’à le supposer avoir été enlevé encore jeune par Vénus pour le placer dans son temple, parce q
dont son royaume fut désolé, et se noya dans l’Eridan, ou mourut fort jeune , d’après Lucien, en laissant ses observations ast
re est restée inconnue ; Parthenos était né de Chrysotémis, il mourut jeune et fut placé avec sa mère, par Apollon, dans la c
portèrent aussi chez les Athéniens les noms de Pasithée pour la plus jeune , d’Hégémone et d’Auxo, puis de Cléta et de Phaenn
roserpine, elle lui fut enlevée par Pluton, le dieu des enfers. Cette jeune déesse était alors occupée avec Minerve, Junon, V
Minerve donna la première charrue qui parut sur la terre à Myrmex, sa jeune favorite, laquelle, ayant ajouté le versoir à cet
uent était habitant de l’empire de Pluton, il n’avait point quitté la jeune déesse depuis son arrivée, aussi dès qu’il est ap
barre céleste, il s’y rend et dépose qu’il a vu Proserpine rompre son jeune en suçant un pepin de grenade. Plus strict sur l’
sidon ou Neptune ; Chioné devint enceinte et bientôt donna le jour au jeune Eumolpe. Confuse de cette aventure elle envoya le
était le plus célèbre : il était réservé à prendre en grande pompe le jeune Iacchus ou Bacchus, passant alors comme compagnon
ieux imiter l’union de Neptune métamorphosé en cheval avec Cérès, une jeune prêtresse et le plus jeune des prêtres, déguisé p
une métamorphosé en cheval avec Cérès, une jeune prêtresse et le plus jeune des prêtres, déguisé par une tête de cheval, étai
le est quelquefois portée sur un char attelé d’éléphans et entouré de jeunes amours, ou plus souvent seule ou en compagnie de
jetaient au [ILLISIBLE]uple des poignées de ces légumes. Cette Flore, jeune , fraîche et vermeille, que l’on représentait au m
riche Pomone sous la forme d’un actif laboureur, puis sous celle d’un jeune moissonneur, et plus tard il s’offrit comme un vi
ise sous les rides d’une vieille femme, et présente ses services à la jeune et jolie jardinière. Celle-ci, sans prévoir aucun
t à ce dieu les prémices des fleurs et des fruits. On le représentait jeune , couronné de fleurs, couvert d’un habit jusqu’à l
mander à une vestale qui en distribuait à tout venant, des cendres de jeunes veaux brûlés à l’état de fœtus. Le jour des Fordi
ut ensevelir et sa honte et ses chagrins. Mais les pleurs d’une femme jeune et jolie, tendre et facile, ne peuvent durer long
rêts du Liban. Adonis aimait pour la première fois avec la candeur du jeune âge, et Vénus profitant de l’occasion vidait à lo
icile à soutenir sans en sortir victime. Ce fut la triste destinée du jeune amant de Vénus. Mars, après quelque temps de cour
dre par compensation et bonheur et plaisir. Ce fut à Bacchus, au plus jeune des dieux, qu’en arrivant elle sourit : bientôt i
e, roi de Némée. Alors cette reine devint nourrice du fils du roi, le jeune Ophelte, qu’elle laissa mourir de la morsure d’un
acanthe. Après cette incinération, probablement expiatoire, plusieurs jeunes vierges et quelques femmes s’avançaient vers l’au
e ; Homère en place de Thalie nomme Pasithée, la troisième ou la plus jeune . Cependant quelques peuples de la Grèce en admett
is. On suppose qu’elles restèrent toujours vierges ; pourtant la plus jeune , ou Pasithée, suivant Homère, avait choisi le som
creuses, de satyre qui s’ouvrant à volonté laissaient apercevoir ces jeunes suivantes de Vénus : idée ingénieuse rapprochant,
aux délassemens du corps et de l’esprit, étaient représentés comme de jeunes enfans nus, riant avec les Grâces et portés sur l
aient fait surgir dans la Thébaïde, s’étaient laissé fléchir par sept jeunes garçons et sept jeunes filles. On voyait en outre
questions. Quel est donc cet époux ? que fait-il, que dit-il, est-il jeune , est-il beau. Psyché confuse leur répondit, mon é
il jeune, est-il beau. Psyché confuse leur répondit, mon époux est un jeune prince qui passe tous les jours à la chasse. Elle
effleurer ses lèvres amoureuses. Alors pour respirer son haleine, la jeune curieuse hors d’elle-même se penche : mais, ô mal
s passions ont sur notre ame, les anciens la représentaient comme une jeune et brillante beauté, remplie de graces et de form
volage conserva toujours les traits, la taille et la fraîcheur d’une jeune enfant. Sa physionomie n’eut point le caractère n
au des habitans de l’Olympe. On le représentait sous les traits d’une jeune enfant, ayant un bandeau sur les yeux et se tenan
beau jeune homme, qui se mire dans une fontaine limpide, ou bien une jeune femme portant une besace, qu’elle ferme de la mêm
pe, avait méprisé la beauté d’Echo nymphe de la suite de Junon. Cette jeune nymphe était tellement éprise du beau Narcisse, q
auté, fort pauvre et de basse origine. Etant encore à l’état de cette jeune adolescence, où sans barbe au menton, l’on peut f
n peut facilement être pris pour une fille ; il devint amoureux d’une jeune Athénienne, d’une naissance fort élevée à laquell
séduite par Jupiter, sous la forme d’un berger. Coriphe ou Coryphe, jeune nymphe de l’Océan, dont Jupiter eut la Corie des
ne nymphe Phrygienne qui eut de ses amours avec le berger Théodore la jeune sibylle Hérophile. Iodamé, fut mère de Thébé et
ux deux frères. Quant à Callisto ou la très belle, c’était une nymphe jeune et jolie de la suite de Diane ; on la disait auss
s marchands venus pour trafiquer sur la côte de Phénicie, ayant vu la jeune Europe, furent frappés de sa beauté et l’enlevère
nt nous nous en tiendrons à dire que sa mère fut probablement quelque jeune imprudente princesse qui, après avoir eu une intr
et intrigue, couvrit son amante d’un léger nuage et la changea en une jeune et tendre génisse. Cependant Junon ayant pénétré
élégone roi de cette contrée. Ce fut après cette aventure, lorsque la jeune princesse fut rendue à sa première forme, que Jun
Pantidye princesse de Lacédémone. Jupiter s’ésprit des beautés de la jeune Léda, après l’avoir aperçue un jour sur les bords
fumets du vin s’était épris de la malheureuse fille et en avait eu un jeune et charmant enfant. Quoi qu’il en soit Plutus, d’
ravailler les métaux ; les Chalciœcies étaient des sacrifices que les jeunes Lacédémoniens faisaient tout armés à Minerve-Chal
ontrées. On la représente avec une taille imposante, un visage noble, jeune et beau, mais avec une beauté simple, modeste, et
ain une corne de taureau remplie de vin. Biformes ou aux deux formes, jeune ou vieux, triste ou gai ; Bimater et Dimater, ou
equel donna son nom à la Lusitanie actuellement le Portugal ; Polyme, jeune grec qui montra le chemin du sombre empire à Bacc
se promener, et prend la forme d’une grappe vermeille suspendue à un jeune ceps. Erigone arrive, pousse un cri de joie à la
s, il eut une assez grande quantité d’enfans ; tels sont : Anubis, la jeune Bacchia et Carmon d’Alexirée ; Cérame, Enopion, E
ui, elles l’apprirent et dans leur fureur, se figurant qu’il était un jeune lion elles le déchirèrent, quoique sa mère et ses
eur éleva un superbe tombeau. On représentait autrefois Bacchus aussi jeune et aussi beau qu’Apollon, avec ou sans barbe, aya
face enluminée et le nez couvert de rubis. Alors il est ou vieux, ou jeune et efféminé, ou tout à fait enfant ; d’une main i
rifiait deux chèvres et un chien, on piquait légèrement au front deux jeunes garçons qui avaient ordre de rire pendant l’opéra
t le père des eaux, qu’il changea le pauvre amant en un fleuve que la jeune néréide put ensuite visiter souvent. Les Romains
et à la joie ; les Spartiates l’appelaient Kéraon. Pour le fêter, les jeunes garçons et les jeunes filles couraient aux flambe
r et faisaient toutes les débauches possibles. Comus était représenté jeune , rond d’embonpoint, couronné de roses, la face en
t les épousèrent. Ce rapt ayant excité la fureur et l’indignation des jeunes fiancés, ces deux princes poursuivirent les Diosc
oucit à la prière de Pallas, et consentit même à donner son sein à ce jeune héros, mais Hercule aspira le lait avec une telle
ête de quelques Eléens, tua Augias, et plaça sur le trône d’Elide, le jeune Phylée qui, après avoir jugé le différend entre A
éléius, que nous verrons figurer à la guerre de Troie. Hercule encore jeune , tua en outre un lion énorme qui ravageait les en
Thestius, roi de ces contrées, fut tellement charmé du courage de ce jeune héros, qu’il lui donna en mariage ses cinquante o
t d’autres, au bout de cinquante-deux jours, à l’exception de la plus jeune qui resta vierge et lui servit de prêtresse. Ce T
-seize hommes, puis il fait alliance avec Iphitus. Malheureusement ce jeune prince ayant eu la légéreté d’accuser ensuite Her
chevaux ne sont pas dans les campagnes des environs, il précipite ce jeune imprudent sur les rochers, pour le punir de sa fa
e doux esclavage, retourna à Trachine, et y conduisit sa conquête, la jeune Iole, fille d’Ecryte. A cette nouvelle, Déjanire
usa et se contenta du second rang, puis une fois déifié, il épousa la jeune et belle Hébée. Hercule fit encore tomber sous l
cmène et tué accidentellement par Amphitryon, son neveu et gendre. Ce jeune Argée fut emmené par Hercule, sous la promesse de
ercule à vider les étables d’Augias ; Cius, fut un Argonaute ; Coryte jeune Iberien, inventeur des casques ; Daméon, fils de
n nom au mont Aventin ; Bargalus de Barga, confondu peut-être avec la jeune Bargase ; Bœus, Brentus, fondateur de Brentesium
re perdre les traces ; mais le dieu berger vint réclamer ses bœufs au jeune enfant, qui sans s’effrayer des menaces, ravit en
t lui révèle le secret ; cette indiscrétion excitant l’indignation du jeune Dieu, il le change en pierre de touche. Mercure n
en incommode au son de sa lyre et le tua. C’est lui qui recueillit le jeune Bacchus et le confia à ses nourrices ; il attacha
de ses troupeaux à Neptune : un jour il fut si étonné des formes d’un jeune taureau blanc qu’on allait immoler, qu’il le fit
ire de la mort d’Androgée, mais d’envoyer chaque année en Crète, sept jeunes garçons et sept jeunes filles, pour servir de pât
e et fortement applaudie par Polydecte, dans l’espoir criminel que ce jeune héros serait bientôt victime de sa témérité ; mai
gea sa vie oisive entre l’amour et l’ambition : il trompa beaucoup de jeunes nymphes belles et naïves, mais il ne put tromper
règne de Labdacus eut encore à diriger l’enfance de Laïus, fils de ce jeune prince. Mais Lycus ne fut pas toujours dépositair
absence d’Hypsipyle, un serpent avait fait une blessure mortelle à ce jeune enfant, et Hypsipyle, de retour, le trouva mort.
en celui d’Archémore. Après avoir rendu les honneurs funèbres à cette jeune victime ils continuent leur marche et bientôt ils
nt de faire aux Hespérides les attaqua, les défit, et reconduisit ces jeunes captives chez leur père ; puis ce héros se rendit
urnus des Latins, ou Ripheus de Virgile, ou vent du Sud-Est, était un jeune étourdi, courant impétueusement en désordre et to
ure, l’entraîna sur le mont Hiphate ou Caucase, où elle eut de lui la jeune Hyrpace. Cependant, comme tous les vents, bientôt
fils, Calaïs et Zethès, dont on fit des dioscures Thrace-Athéniens ou jeunes fils de Dieux à la manière des dioscures de Spart
olés. Melampe se présenta, retrouva les bœufs et obtint la main de la jeune Péro. Nélée soutint ensuite plusieurs guerres con
e quatre fils, Clytius, Déion, Iphitus, et Toxeus, plus une fille, la jeune Iole. Quant à Nestor, il épousa Eurydice ou Anaxi
, où ils saluèrent en passant le vieux Centaure Chiron et Achille son jeune élève, longèrent la Macédoine, la Péninsule de Pe
t parce que Jason était jaloux de son commandement, soit parce que le jeune Hylas, fils de Théodamas, souverain de la Mysie,
laquelle il tuait ses hôtes. Il fut, le premier, victime des coups du jeune Thésée qui le tua, prit sa massue et la porta tou
n ou qu’elle espérait avoir avec Égée, persuada à ce vieux roi que ce jeune voyageur était un assassin, et le décida à lui pr
e de l’hospitalité. Égée invita en conséquence Thésée à un festin. Le jeune convive, après avoir été servi, tira son épée com
s, échauffés par les vapeurs du vin, finirent par insulter jusqu’à la jeune mariée : Euryte, l’un d’eux, voulut même l’enleve
Méléagre, une fois en état d’aller à la chasse, se mit à la tête des jeunes héros Grecs, réunit autour de lui ses plus fidèle
l’abri de son courroux. Malheureusement, il n’en était pas de même du jeune Acis qui, dans son effroi fut se cacher au milieu
e nom de Xanthe, parce que ses eaux rendaient les femmes blondes. Les jeunes vierges, la veille de leurs noces, allaient lui o
urs. On leur sacrifiait des chèvres et des agneaux. On les représente jeunes , fraîches, la taille élevée, ceintes d’une couron
r qu’elle se promenait le long d’un bosquet, tenant dans ses bras son jeune enfant, elle passa à côté d’un lotos et en cueill
 ; puis de chagrin, elle se précipita dans la mer avec Mélicerte, son jeune fils, pour éviter la fureur d’Athamas ; alors Nep
a ou qui porte la fertilité ; Casta ou la chaste ; Cora et Coré ou la jeune et belle ; Damna ou la puissante à Cyzique ; Dœta
’honorer comme reine du Cocyte ; les Corées étaient des fêtes pour la jeune et toute puissante fille de Cérès ; les Cotytties
des luttes. On représentait cette reine des enfers, comme une beauté jeune et brune, toujours accompagnée de son mari, tantô
Morta ou la mort. Clotho ou la fileuse, passait souvent pour la plus jeune des trois, et pour évoquer les esprits ; elle pré
na sa fille Ethra en mariage à Égée, roi d’Athènes. Plisthène mourut jeune , mais vécut pour la postérité dans la personne de
érité de vouloir troubler l’époux heureux dans la possession de cette jeune et belle Tyndaride. Ménélas, qu’elle choisit, dev
pour mère Ériphyle. Il passa son enfance à la cour de son aïeul. Fort jeune encore, il exécuta par les ordres d’Atrée, un voy
ter son crime, Diane, moins cruelle que lui, substitua une biche à la jeune vierge, et transporta la triste Iphigénie en Taur
fut un des plus célèbres prétendans d’Hélène, fille de ce roi. Cette jeune et belle princesse, donna la préférence à Ménélas
resta captive d’Hélène jusqu’à la fin de sa vie. Cette aventure de la jeune princesse n’empêcha pas qu’elle ne fût recherchée
dés et Corynthe ; son ravisseur en était même si jaloux que Péritane, jeune Arcadien, qu’Hélène avait auprès d’elle, fut muti
par une flèche lâchement décochée par Pâris et il meurt. Aussitôt sa jeune fiancée retourne à Troie, mais pendant le sac de
al de bois. Après l’embrasement de la ville de Priam, il précipita le jeune Astianax du haut des remparts, et immola lui-même
hille qu’il suivit dans les combats, et à Scyros ; il reçut de lui la jeune Iphis en cadeau ; ensuite il fut au siége de Troi
e pontife et de guide de la flotte. Il avait prédit, à la vue de neuf jeunes oiseaux et de leur mère dévorés par un dragon, qu
et roi de Lemnos, qui fournissait du vin à l’armée grecque ; Épipole, jeune héroïne qui suivit les Grecs sous un habit d’homm
re les noms : Fils de Priam : Agave ou le radieux, était un des plus jeunes  ; Antinoüs ou Antiphone, ou Antiphe ; Arohémaque 
tué par Pyrrhus sur le bûcher d’Achille ; Polémon ; Polydore, le plus jeune des fils nés d’Hécube ; Troïle, le plus jeune des
mon ; Polydore, le plus jeune des fils nés d’Hécube ; Troïle, le plus jeune des fils de Priam restes à Troye. Les guerriers t
ant et le plus célèbre des défenseurs de la ville de Troye. Il épousa jeune encore Andromaque, fille d’Eétion, roi d’une des
uvre l’asile où il est caché ; aussitôt, le roi d’Ithaque s’empare du jeune infortuné et le précipite du haut d’une tour. D'a
ein, aux pieds mêmes de son malheureux père. Polydore, était le plus jeune des fils de Priam et d’Hécube. Priam, voyant les
’Hécube. Priam, voyant les dangers qui menaçaient la ville, confia le jeune Polydore aux soins de Polymnestor, son gendre, qu
il le tua dans le temple d’Apollon, pour se venger des rigueurs de ce jeune prince, dont il ne pouvait obtenir aucun retour d
ns de bonheur, tels étaient : Anténor, prince Troyen, qui fut envoyé jeune encore par Laomédon à Delphes, pour savoir de l’o
’Ilos et sa cousine, de laquelle naquit Anchise. Cet Anchise, encore jeune , s’occupait à faire paître les nombreux troupeaux
l’incendie qui finit par ravager cette malheureuse ville, il prit son jeune fils Ascagne par la main, chargea sur ses épaules
Cissé, par Énée ; Clausus, roi sabin, auxiliaire de Turnus ; Clytius, jeune Rutule, aîné de Cydon ; Corynée, tué par Enée ; C
et Amulius. Didon, fille de Bélus ou de Méthès, roi de Tyr, épousa, jeune encore, Sichée, le plus riche habitant de la Phén
ets rebelles, arrêté en route par le fleuve Amasène, attacha Camille, jeune encore, au bâton de sa lance, et la jeta ainsi d’
grec et déesse romaine de l’a-propos. Les Grecs en faisaient le plus jeune fils de Jupiter ; c’était, suivant Phidias, une f
un hippopotame ou d’un loup. Aussi, l’hippopotame, le crocodile et le jeune porc lui étaient consacrés. Nefté, ou Nephté, ou
le suivit Typhon, mais finit par déserter sa cause pour s’attacher au jeune Haroéri. Thoth, ou Thaaut, ou Theuth, était un d
vec beaucoup de pompe ; et, pendant ces fêtes, on voyait çà et là, de jeunes couples se perdre dans les bois qui environnaient
vinités de cette partie de l’ Afrique : Bombo, est une idole que les jeunes noirs du Congo honorent par des danses lascives.
Emoun n’en était pas lui-même plus robuste, car on le regardait comme jeune , mou, et presque efféminé. Son indolence le renda
dans la contemplation. Vichnou, ayant répandu sur l’oreille de cette jeune beauté de la liqueur prolifique, la rendit mère d
conda ou Brahmâ le servit sans relâche et fit passer dans les yeux du jeune enfant le fluide resplendissant qu’il lançait. Ra
l’ayant emporté sur ses nombreux concurrens, conduisit cette belle et jeune épouse au palais de ses pères. Alors Daçaratha vo
ne fille, incarnation de Kali, les deux époux la changèrent contre le jeune Krichna qui venait de naître de Dévaki et de Vaço
ne de ces belles Gopis ou laitières, qui se laissèrent fléchir par le jeune Krichna. Kouki ou Loki, déesse des graines et de
us souvent, c’est une Isis magicienne, jouant le rôle d’enchanter les jeunes mortelles qui plaisent aux dieux, et de les unir
aîtresse vers ce Dieu pour examiner s’il était digne d’elle ; mais la jeune camériste devint amoureuse de ce Dieu et lui fit
Mammadin, est le Dieu Cupidon des Hindous, on le représente toujours jeune , portant sur ses épaules un arc fait de canne à s
ommes meilleurs. Ni les pleurs de son épouse qu’il chérissait, ni son jeune enfant qu’il aimait, ni les menaces de son père n
ce dieu se trouva bientôt dans le plus grand des dangers ; car quatre jeunes sœurs pleines de beauté se présentèrent à lui, vê
de Brahmâ ; mais ils tolèrent les sacrifices humains et ordonnent aux jeunes Suties de se brûler vivantes sur le bûcher de leu
existent encore. Voici comme les Chinois racontent sa naissance : une jeune et belle vierge, disent-ils, ayant avalé une bull
a protection les ames des enfans et des jeunes gens. On le représente jeune et beau, vêtu d’un costume parsemé d’étoiles bril
questions, auxquelles il répond avec complaisance, en comblant cette jeune vierge de ses faveurs ; les questions de cette je
après par une autre. Ce Dieu, dans la mystérieuse entrevue avec cette jeune et belle fille, lui donne la solution de tout ce
et la lune à lueur pâle et bienfaisante. On la représente avec l’air jeune , couverte d’un vêtement de la tête aux pieds. Tan
t le Balatucadua d’Angleterre, regardé comme un Appollon bienfaisant, jeune et plein de vigueur. Belisama ou Belisana, grand
ent leur résidence. Naois, fils d’Ouisneagh, inspira de l’amour à la jeune Deirdre, qu’il enleva à Qonnor et conduisit en Éc
la belle Anaikondi, et la rendit mère de Qaïaïp. Qaïaïp est le plus jeune et le plus beau des trois fils de Niparaia ; il a
s divinités de cette trinité ; elle recevait en sacrifices à Cusco de jeunes enfans. On la représentait tenant d’une main une
10 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
une Mythologie élémentaire, à l’usage des colléges et des pensions de jeunes personnes, par M.  Edom, inspecteur de l’académie
aux, et proposa à ses fils de seconder sa vengeance. Saturne, le plus jeune , accepta, surprit son père et le mutila en le fra
venue à la cour de son père, elle conçut une passion violente pour un jeune berger, nommé Atys, qu’elle changea en pin, et ce
sé choir, elle fut privée de cet emploi. Jupiter le donna à Ganymède, jeune Troyen d’une grande beauté, qu’il avait fait enle
ile conjugal, stimula sa jalousie ; il geignit de vouloir épouser une jeune nymphe nommée Platée, fille du fleuve Asope. Cet
cain, qui, par son ordre, lui fendit le crâne d’un coup de hache. Une jeune vierge en sortit, armée de pied en cap : c’était
orme d’un oiseau, et mit au jour Apollon et Diane. Le premier soin du jeune dieu fut de venger sa mère : il tua à coups de fl
us heureux dans ses affections. Un jour qu’il jouait au palet avec le jeune Hyacinthe, qu’il aimait tendrement, Zéphire jalou
eur. Apollon jura imprudemment par le Styx de ne rien lui refuser. Le jeune téméraire demanda alors la faveur de conduire, un
e aversion pour le mariage. Son père lui donna un nombreux cortége de jeunes Nymphes, vierges comme elle, et la chargea de pré
à Vulcain ses outils. Jupiter, charmé de l’adresse et de la grâce du jeune dieu, lui confia le soin de verser le nectar à la
e disgraciée. Ganymède n’avait pas encore été enlevé au ciel. Mais le jeune dieu poussa trop loin ses licences : il essaya de
Alcippe, enlevée par Allyrothius, fils de Neptune, donna la mort à ce jeune audacieux : cité pour ce meurtre par le souverain
llotés par les flots, ils formèrent un flocon d’écume d’où sortit une jeune déesse d’une ravissante beauté : c’était Vénus27.
uger ; mais Jupiter mit fin à ce débat en choisissant pour arbitre un jeune berger phrygien, fameux par sa beauté, Pâris, fil
na contre lui, pendant son sommeil, un serpent à deux têtes ; mais le jeune dieu l’étouffa entre ses mains. Alors elle le fra
am, qui avait conseillé à son père de tenir sa parole. Hercule mit ce jeune prince sur le trône et donna Hésione en mariage à
es présidaient à la naissance et à la vie des hommes. Clotho, la plus jeune , tenait une quenouille chargée de laine et de soi
on fils, qu’il éleva à sa cour. Mais dans la suite voulant écarter le jeune prince, dont la présence gênait ses desseins à l’
ailes et son glaive forgé par Vulcain. Muni de ces armes divines, le jeune héros prend son essor travers les airs et arrive
le était plus belle que les Néréides. Persée, touché du malheur de la jeune princesse, promet de la délivrer, à condition qu’
t avec bonté. Mais Sténobée, femme de ce prince, ayant conçu pour son jeune hôte une passion que celui-ci refusa généreusemen
droit que lui donnait la priorité de sa naissance, pour imposer à son jeune rival ces rudes épreuves connues sous le nom des
(n° 115) ; mais il l’abandonna en Mysie, pour aller à la recherche du jeune Hylas, que les Nymphes avaient enlevé, tandis qu’
r un jour. La route était infestée par des monstres qui fournirent au jeune héros l’occasion de signaler sa valeur. C’étaient
a Crète. Ariane, fille de Minos, éprise de la beauté et du courage du jeune héros, lui donne un fil qui doit le guider dans l
els se trouvaient Hercule, Thésée, Castor et Pollux, Télamon, Nestor, jeune alors, Pélée, père d’Achille, et Laerte, père d’U
; mais quand il eut pris terre en Mysie, pour aller à la recherche du jeune Hylas, Jason devint le chef de l’expédition. 1
alors qu’Hercule abandonna l’expédition pour aller à la recherche du jeune Hylas, qui était tombé dans une fontaine, en y pu
nt recours à un moyen barbare, à un crime affreux ; ils massacrent le jeune prince et dispersent ses membres sur la route, af
énicie, avait un fils nommé Cadmus et une fille appelée Europe. Cette jeune princesse, folâtrant un jour avec ses compagnes a
étroit passage Des vains honneurs du pas le frivole avantage. J’étais jeune et superbe, et nourri dans un rang Où l’on puise
t ; ils expirèrent tous. Mais Œdipe, héritier du sceptre de Corinthe, Jeune , et dans l’Age heureux qui méconnaît la crainte,
olydore, fils d’Hippomédon. Dix ans après la première expédition, ces jeunes princes, connus sous le nom d’Epigones ou de desc
urs foyers. Ainsi Ulysse, roi d’Ithaque, afin de ne pas abandonner sa jeune épouse, Pénélope, qu’il aimait tendrement, faisai
et de la destruction de Troie. Mais nous croyons être agréable à nos jeunes lecteurs, en mettant sous leurs yeux le tableau d
n, et après l’avoir vaincu dans deux batailles, le tue de sa main. Le jeune prince monte alors sur le trône paternel, mais bi
forme de croissant. Les prêtres ne manquaient pas de préparer sur de jeunes bœufs les caractères que ceux-ci ne pouvaient réu
11 (1845) Mythologie de la jeunesse
des qualités essentielles de tout ouvrage destiné à l’instruction du jeune âge, nous faisait une loi de cette division. Auss
té de Saturne, Rhéa le fit élever secrètement dans l’île de Crète. Le jeune dieu fut allaité dans une grotte du mont Ida par
Psyché, malgré sa mère, qui s’opposait à leur union. Psyché était une jeune princesse d’une si grande beauté, qu’on la compar
; et, parmi les arbres, le laurier et le palmier. On les représentait jeunes , belles, modestes, simplement vêtues, ayant à leu
cturnes, inspirait les chansons qui assaisonnent la joie des festins. Jeune , gras, la tête couronnée de roses, il tenait un f
s. Mais à peine fut-il arrivé à l’autre bord, qu’il voulut enlever la jeune princesse. Hercule, indigné de cette perfidie, lu
lui avait ensuite refusée. Il prit la ville, tua le roi et emmena la jeune Iole, qui devait, peu de jours après, devenir sa
a vie. Pour échapper aux menaces de cet oracle, il fit enfermer cette jeune princesse dans une tour d’airain ; mais Jupiter s
le. Polydecte les reçut avec humanité, et prit soin de l’éducation du jeune Persée. Devenu grand, Persée se signala par diver
l’héritage de son père par l’usurpateur Pélias. Celui-ci promit à ce jeune prince de lui rendre son trône, s’il parvenait à
; cependant cette entreprise, quoique périlleuse, tenta le courage du jeune héros. Dès que la nouvelle du projet aventureux f
olée par le Sphinx 38. Ce monstre, qui avait la tête et le sein d’une jeune femme, le corps d’un chien, les griffes d’un lion
ule. Jupiter précipita Tantale au fond des Enfers et rendit la vie au jeune Pélops, dont il rajusta tous les membres, à l’exc
et d’y semer du sel. Mais Palamède découvrit la feinte, en plaçant le jeune Télémaque devant le soc de la charrue. Ulysse, cr
. 106]. [Fig. 106] Apollon et Daphné. Apollon aimait Daphné, jeune nymphe, fille du fleuve Pénée, et n’en était poin
sse, le console, et jure par le Styx de ne lui rien refuser. Alors le jeune téméraire lui demande la permission de conduire s
er sa chaussure. Comme elle était recherchée en mariage par plusieurs jeunes princes, son père déclara que sa main serait le p
eint de rose, etc. [Fig. 114] Hyacinthe. Hyacinthe était un jeune prince de Laconie, qui avait beaucoup de talent p
Zéphyre détourna méchamment le disque et le poussa contre la tête du jeune Hyacinthe. Le coup était mortel, et Apollon emplo
sous l’écorce48 [Fig. 118]. [Fig. 118] Atys. Atys était un jeune berger de Phrygie, que Cybèle aimait et à qui ell
12 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
le de ce dieu, trouva moyen de corrompre la fidélité des gardes de la jeune princesse sa nièce ; il pénétra dans la tour, et
ement la mère et l’enfant ; il prit même grand soin de l’éducation du jeune prince : mais, dans la suite, aimant Danaé, et re
ince : mais, dans la suite, aimant Danaé, et redoutant la présence du jeune Persée, dont toutes les actions annonçaient qu’il
eur pays produisait de plus rare : ce fut alors que, pour éloigner le jeune Persée, il lui ordonna d’aller chercher la tête d
de Polydecte. Le roi du pays fit le meilleur accueil à la mère et au jeune Persée. Il le fit élever dans sa cour ; mais, à m
es fêtes pendant neuf jours, pour remercier les dieux de l’arrivée du jeune prince. Le dixième jour, il lut la lettre de Prœt
nsidérables de la Grèce. Minos voulut y envoyer son fils Androgée. Ce jeune prince remporta tous les prix, et s acquit l’esti
à la condition que tous les sept ans on lui enverrait en tribut sept jeunes garçons et autant de jeunes filles. Le sort décid
élivrer les Athéniens de ce tribut honteux était réservé à Thésée. Ce jeune prince aspirait à marcher sur les traces d’Hercul
u repos de Thésée. Cette princesse, en arrivant à Athènes, aperçut le jeune Hippolyte, fils de Thésée et de l’amazone Antiope
her Hippolyte, pour le punir de l’attentat dont Phèdre l’accusait. Le jeune prince accourut aux ordres de son père avec toute
ent au travers des rochers ; l’essieu du char se rompit, les pieds du jeune héros s’embarrassèrent dans les rênes, et il perd
la médecine, l’avait ressuscité. Les Athéniens, témoins de la mort du jeune prince, ont toujours rejeté cette fable. Par la s
science dans la magie faisait tout pénétrer, distingua facilement le jeune Thésée ; elle le regarda comme un obstacle à ses
ndare, était célèbre dans toute la Grèce, quoiqu’elle fût encore fort jeune . Pirithoüs et Thésée se réunirent pour l’enlever.
second, devenue si célèbre par sa passion coupable et funeste pour le jeune Hippolyte. Pendant la captivité de Thésée, l’ingr
en envoyant deux serpens dans son berceau, pour le dévorer ; mais le jeune enfant les saisit et les étouffa. Cependant Junon
sile chez son parent Éétès, roi de la Colchide. Pendant le voyage, la jeune Hellé tomba du vaisseau dans la mer, et périt dan
contre les mauvais desseins de Pélias, firent courir le bruit que le jeune Diomède (c’était le premier nom de Jason) était d
tre que Jason apprit tout ce qu’il devait savoir pour s’illustrer. Ce jeune prince, parvenu à l’âge de vingt ans, alla consul
lle femme, lui offrit de le porter à l’autre bord. Dans le trajet, le jeune prince perdit un de ses souliers ; l’oracle avait
que le tyran, qui avait remarqué tout l’intérêt qu’inspirait déjà le jeune prince, osât rien entreprendre contre lui. Phérès
séduisaient tous ceux qui le voyaient. S’apercevant aussi combien ce jeune prince était avide de grandes actions, il lui dit
en que de pareils avis ne feraient qu’exciter l’héroïsme de Jason. Ce jeune prince, en effet, accepta sur-le-champ la proposi
rsuivis, attirèrent Absyrthe, sous le prétexte d’un accommodement. Ce jeune prince descendit à terre ; Jason et Médée le fire
s de cette princesse, les Corinthiens massacrèrent eux-mêmes les deux jeunes princes. Ils s’étaient vainement réfugiés dans le
ché, essaya de persuader au roi d’Athènes qu’il devait empoisonner ce jeune prince dans un festin. La coupe fatale fut prépar
e nous pourrions écrire les détails que l’on trouve dans le Voyage du jeune Anacharsis. « La colère des dieux s’appesantissa
des fils dignes de les venger. Dès que les temps furent arrivés, ces jeunes princes, parmi lesquels on voyait Diomède, fils d
raire. Nous nous bornerons à transcrire ce que l’ auteur du Voyage du jeune Anacharsis s’est permis d’écrire sur ce sujet. «
trouvait à la tête d’une nombreuse famille, presque toute composée de jeunes héros. Priam régnait à Troie ; et son royaume, au
Pélée, qui régnait dans un canton de la Thessalie, et d’une foule de jeunes guerriers, ivres d’avance des succès qu’ils se pr
ns et de couronnes. Les vestales, accompagnées de jeunes filles et de jeunes garçons, lavaient cet espace avec de l’eau pure ;
thie pût répéter ce que le dieu lui dictait. La coutume de choisir de jeunes vierges dura très-long-temps ; un événement la fi
jeunes vierges dura très-long-temps ; un événement la fit abolir. Le jeune Échécratès, Thessalien d’origine, épris de l’extr
religieuse, lorsqu’il peint la manière dont César la fit abattre. Les jeunes et les vieux druides avaient tous les mêmes princ
13 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
u’au moins, en donnant aux enfans l’explication de ces attributs, les jeunes personnes puissent trouver quelque intérêt dans l
uvrages sur la Mythologie, que l’on puisse avec bienséance livrer aux jeunes personnes, pas même le petit Dictionnaire de Chom
ieuses et une extrême précision. Si cet essai obtient le suffrage des jeunes mères, et si ma santé me le permet, je donnerai l
icence effrénée5 ; chez des peuples enfin qui enterroient vivantes de jeunes femmes, et qui nourrissoient des tigres pour dévo
olta, contre Uranus, les Titans et surtout Saturne ou Cronos, le plus jeune des Titans, qui combattit et mutila son père ; du
référa la nymphe Sangaride. Cybèle, pour s’en venger, métamorphosa le jeune Atis en pin. Les prêtres de Cybèle étoient les Ca
connu l’amour ; la furie Alecton passant près du mont Astère, vit le jeune berger Cythéron et en devint amoureuse ; mais n’e
rre le glaive qui avoit donné la mort, l’expiateur faisoit immoler un jeune pourceau ou une brebis noire d’un an, et le sang
pierreries et plus souvent de narcisse. Cette fleur qui rappeloit un jeune orgueilleux12, épris de lui-même, victime de l’am
resse et la fureur ; on les voyoit dans ces fêtes infâmes déchirer de jeunes taureaux et dévorer leur chair crue. Suivant la F
udence d’Emillie, qui s’étoit reposée du soin de l’entretenir sur une jeune vestale sans expérience. Emillie, responsable de
offrir à la nymphe. Malgré cette galanterie, la nymphe lui préféra le jeune Acis, fils de Faune et de la nymphe Simœthis. Pol
a rendu ce promontoire fameux sous le nom de saut de Leucade. Phaon, jeune Lesbien, reçut de Vénus un vase rempli de parfums
’approcher d’elle. Un jour qu’il étoit avec elle et beaucoup d’autres jeunes personnes, sur le bord de la mer, célébrant la fê
veille de leur mariage, et les offroient à Diane et aux Parques. Les jeunes Trézéniens des deux sexes les offroient à Hippoly
ette offrande à Hygée, dans Argos et dans Athènes à Minerve. D’autres jeunes Grecs consacroient leur première chevelure à Escu
ans leurs ondes ; Thétis lui donna du nectar et de l’ambroisie, et le jeune Dieu, seul digne de célébrer son immortalité, la
t malheureux dans tous ses sentiments, il eut une vive amitié pour le jeune Hyacinthe, et un jour en jouant avec lui au petit
lla accoucher sur le Mont-Cythéron, de Zéthus et d’Amphion ; ces deux jeunes princes, instruits par la suite, de l’histoire de
t les hommes et les animaux. L’Oracle avoit ordonné de lui exposer le jeune Alcyonee, fils de Diomus ; mais Eurybate entra à
parent et ami de Phaëton, il fut si affligé de la fin tragique de ce jeune ambitieux, qu’Apollon le métamorphosa en cygne.
e. Les prêtres d’Égypte sans doute imprimoient secrètement à quelques jeunes veaux les marques requises. Quand on avoit trouvé
14 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
x châteaux.         Toujours fraîche, toujours plus belle,         La jeune et féconde Cybèle, A sa suite, conduit les Saison
sans résistance. Comme l’ancienne Vesta présidait à la terre, la plus jeune présidait au feu. Numa Pompilius, second roi de R
sse, lui donna, entre autres rafraîchissemens, un peu de bouillie. Le jeune Stellio, la voyant manger avec avidité, se moqua
ant manger avec avidité, se moqua d’elle ; Cérès, en colère contre ce jeune enfant, lui jeta au visage le reste de la bouilli
r, dont il eut des enfans, entre autres Saturne, qui, quoique le plus jeune , supplanta Titan, son aîné, et fit mourir son pèr
alie, avait une taille gigantesque et une force extraordinaire. Etant jeune , il attaqua sur le mont Olympe un lion énorme qui
du Cyclope touchèrent peu la nymphe, et elle lui préféra Acis, berger jeune et beau. Polyphème, furieux de se voir dédaigné,
ou Gallus. Un jour que Mars rendait visite à Vénus, il chargea un jeune soldat, son confident, de faire en sorte que le S
ouze. Il fallait être fils de praticiens, ayant père et mère, et être jeune pour être admis dans leur collége. Ils avaient po
us la conduite de son père et du centaure Chiron, qu’il ressuscita le jeune Hippolyte, fils de Thésée, qu’un monstre marin av
l’origine était inconnue. Perséis ne fut pas insensible à l’amour du jeune dieu, et elle devint mère de la célèbre Circé.
age, il prend son arc et ses flèches, le trait part, et va frapper le jeune cerf errant dans la campagne. Cyparisse, désespér
 ; mais elle oublia de demander pour lui le privilége d’être toujours jeune . Il devint si vieux, qu’il fallut l’emmailloter e
ô dieux ! Tremblez pour votre fils, ambitieuse mère !      Où vas-tu, jeune téméraire ? Tu dois trouver la mort dans la gloir
s, leur dit : Ensemencez ce champ fertile, mais inculte, Plantez ces jeunes ceps le long de ces coteaux ; Dans ces rians vall
, soyez discrète : « Songez qu’il est cruel d’oser sacrifier     « Un jeune cœur qui vient nous confier « Son espoir, son bon
filles de Vénus, et elles ne la quittaient point. On les peint nues, jeunes , riantes et se tenant par la main. Elles sont nue
et qu’elles n’ont d’autres charmes que ceux de la nature ; elles sont jeunes , parce que les agrémens sont le partage de la jeu
bêtes sauvages. Mars, jaloux de la préférence que Vénus donnait à ce jeune prince, employa le secours de Diane pour faire pé
etournât d’où il venait, pour reprendre Hercule, occupé à chercher le jeune Hylas que les nymphes avaient enlevé. Pluton
Jupiter m’a ainsi maltraité en haine des hommes ; car lorsque j’étais jeune garçon, je le menaçai de ne faire de bien qu’aux
la Nécessité. Elles filent ensemble les destinées des hommes. La plus jeune , nommée Clotho tient la quenouille ; Lachésis tou
sus ; le plus agile remportait le prix, qui, ordinairement, était une jeune chèvre ou un agneau. Ainsi, dans l’âge d’or, qua
attaqué par Persée, et poursuivi dans les montagnes, où il périt. Le jeune héros rendit surtout son nom célèbre par la victo
erre contre les Athéniens, avait exigé d’eux un tribut annuel de sept jeunes garçons et de sept jeunes filles, qui devaient êt
ossible d’en sortir. Ariane, fille de Minos, touchée de pitié pour le jeune héros, lui donna un peloton de fil qui lui aida à
e envoya à sa rivale une cassette pleine de bijoux, mais sitôt que la jeune princesse l’eut ouverte, il en sortit un feu subt
morte de la morsure d’un serpent lorsqu’elle fuyait les poursuites du jeune Aristée. Mais il n’obtint cette grâce que sous la
sœur, le fit porter chez Strophius, son oncle, roi de la Phocide. Ce jeune prince lia, à la cour de Strophius, une étroite a
eçu dans son palais par sa femme Pénélope, modèle de vertu, et par le jeune Télémaque, son fils, paraissait n’avoir plus rien
15 (1850) Précis élémentaire de mythologie
ce bois qu’étaient faites leurs flûtes sacrées ; le pin, parce que le jeune Atys avait été métamorphosé en cet arbre par Cybè
la femme de Saturne dont nous venons de décrire les attributs, et la jeune Vesta, fille de Cybèle. C’est à cette dernière qu
ui le ciel. Il admit dans son conseil Junon, Neptune, Cérès, Vesta la jeune , Mercure, Minerve, Apollon, Diane, Mars, Vulcain
ui lui avait défendu d’y rien prendre. Elle métamorphosa en lézard le jeune Stellio, parce qu’il s’était moqué de l’avidité a
et trompant ainsi les ennuis de son exil. Il était étroitement uni au jeune Hyacinthe. Un jour qu’ils jouaient ensemble, Zéph
que, pour faire cesser ce fléau, il fallait envoyer chaque année une jeune Troyenne sur des rochers où elle serait dévorée p
e fit Apollon en Thessalie ? Quelles furent ses aventures à propos du jeune Hyacinthe ? 4. Où se réfugia-t-il après avoir qui
ieuse l’habileté de l’araignée à tisser sa toile. A les en croire, la jeune Arachné était devenue si habile dans l’art de man
re du ciel et de la terre, et tomba frappée de mort. Jupiter sauva le jeune Bacchus. 2. A sa naissance, l’enfant dieu fut dép
ssance. Un jour dans une de ses courses terrestres, elle rencontra le jeune Adonis, le fils de Cyrinas, roi de Cypre. C’était
orme suscité par Diane que Mars avait appelée à son secours dévora le jeune prince, et Vénus fut réduite à changer en anémone
tropos. Elles étaient occupées à filer nos destinées. Clotho, la plus jeune , tenait la quenouille, Lachésis tournait le fusea
aient à sauter par-dessus, et les plus agiles recevaient pour prix un jeune chevreau ou un agneau. Faune et Sylvain. 6.
au-dessous de la ceinture par la dépouille affreuse et hérissée d’une jeune lionne qu’il avait tuée dans les forêts. Il tenai
gâteaux de farine nouvelle. On lui sacrifia ensuite des agneaux et de jeunes truies. La chair de ces victimes était partagée e
e dieu Faune ? Quelle fut son histoire ? Comment Fénelon décrit-il un jeune Faune ? 7. Qu’est-ce que Sylvain ? A quel titre l
einte de fleurs, chantant et jouant des instruments. On le représente jeune , chargé d’embonpoint, le visage enluminé par le v
attristait de son départ. 7. Aurore se maria ensuite avec Céphale, un jeune chasseur qui était déjà uni à Procris, la fille d
général avait même été personnifié, et on lui prêtait les grâces d’un jeune adolescent demi-nu, courant avec agilité dans un
en âge de régner, le régent se fit usurpateur et ne voulut rendre au jeune prince son trône qu’à la condition qu’il irait re
es poursuivit, et envoya contre eux son fils Absyrte. Médée saisit ce jeune prince, l’égorgea cruellement et dispersa ses mem
ueurs. Je donne le bonheur et la gloire à ceux qui écoulent ma voix ; jeunes , ils ont le plaisir d’entendre les éloges des vie
nélus, roi d’Argos. Ce tyran, excité par la jalouse Junon, ordonna au jeune héros des entreprises gigantesques qui sont connu
nait entièrement Egée son père. Cette marâtre vit d’un mauvais œil le jeune héros et résolut sa perte. Elle le rendit suspect
e paix aux Athéniens, d’envoyer tous les ans dans l’île de Crète sept jeunes garçons qui devaient être dévorés par le Minotaur
d’Ariane. Il mena un jour sa nouvelle épouse à Trézène où habitait le jeune Hippolyte son fils. Phèdre conçut aussitôt une pa
’il venait d’entendre. Phèdre se vengea de ce dédain en calomniant le jeune prince près de son père. Thésée eut la faiblesse
que cette folie n’était qu’une feinte, et pour l’éprouver il posa le jeune Télémaque à l’endroit où devait être tracé le sil
lle fut conduite chez Polymnestor, roi de Thrace, le meurtrier de son jeune fils Polydore. Elle se vengea en lui faisant crev
aussi son culte et ses autels. On le représentait sous la figure d’un jeune guerrier qui plonge son cimeterre dans la gorge d
fond d’une grotte par l’entremise des mages, qui initiaient ceux des jeunes Persans que la rigueur des épreuves n’effrayait p
13. Bruits incertains, div. allégoriques, 102. Bulla, ornement des jeunes patriciens à Rome, 82. Busiris, brigand, 114. B
16 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
foible essai pouvoit faire germer une vertu de plus dans le cœur des jeunes personnes qui le liront, ou seulement en extirper
consacré sous ce nom un feu perpétuel, dont le soin étoit confié à de jeunes Vierges appelées Vestales. Ce feu se renouveloit
, étoit devenu si habile médecin, qu’il vint à bout de ressusciter le jeune Hyppolite, mis à mort par des monstres marins. Ju
mme Dieu des Bergers. Il eut le malheur de tuer d’un coup de palet le jeune Hyacinthe, qu’il aimoit tendrement. Obligé de fui
à nous dire de Phaëton ? R. Les Poëtes représentent Phaëton comme un jeune étourdi et un ambitieux. Il s’avisa de conduire l
cherchent à s’échapper. Les Vents sont représentés sous la figure de jeunes enfans ailés. Syrènes. D. Que sont les Syrè
choisis par le sort, pour être dévorés par le Minotaure. Thésée, tout jeune encore, forma le généreux projet d’affranchir sa
u que les vapeurs de la mer ne rendissent les plumes trop humides. Ce jeune téméraire, oubliant un avis si sage, s’éleva au h
t l’occuper avant tout. On a trop peu suivi jusqu’ici l’éducation des jeunes personnes du sexe. L’ignorance est également hont
une aimable modestie ! Le premier devoir et le plus grand intérêt des jeunes personnes, est donc de se remplir l’esprit de con
ant de s’appliquer au bien de bonne heure ? R. Rien n’importe tant au jeune âge, que de se plier au bien dès ses tendres anné
t peur      Quand il s’agit de ce qu’il aime, (Idem.) D. Comment les jeunes personnes doivent-elles envisager l’amour ? R. El
ite est suspecte, la proscription absolue des mauvais livres. Que les jeunes personnes ne perdent jamais de vue que L’honneur
oix, bien ou mal fait, dépend le bonheur ou le malheur des jours. Les jeunes personnes doivent avant tout invoquer les lumière
pénétrer de tous les devoirs de l’homme et du citoyen ; nourrir leurs jeunes cœurs de l’amour de leur patrie, de leurs semblab
ecret ; l’homme d’une probité délicate s’en fait un devoir sacré. Les jeunes personnes doivent prendre de bonne heure l’heureu
17 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
là les Grecs publièrent que Jupiter changé en taureau avait enlevé la jeune Europe, au lieu de dire qu’il l’avait transportée
ribut. « Quel est donc cet homme étonnant (dit l’auteur du Voyage du jeune Anacharsis) dont la gloire est telle que les sièc
personnes avancées en âge. De même, juin vient de juniores, les plus jeunes  : il était consacré aux jeunes gens. Juillet tire
rudence et sans réserve. Il avait eu jusqu’alors trop d’empire sur la jeune et belle Claudia ; des doutes injurieux commençai
, avant d’être destinée à devenir l’épouse de Saturne, avait vu Atys, jeune Phrygien ; elle désira se l’attacher ; mais il lu
ée sur ce que Midas, roi de Pessinunte, promit sa fille en mariage au jeune Atys. Cybèle, avertie qu’elle avait une rivale, r
nsulta l’oracle, qui lui répondit qu’il avait tout à craindre du plus jeune de ses enfans. Dès-lors il chercha tous les moyen
mmença le règne de Jupiter. Son véritable nom était Jou, c’est-à-dire jeune , pour marquer qu’il était le dernier des enfans d
téon, son fils, changé en cerf, et dévoré par ses propres chiens ; ce jeune prince, guidé par Junon, ou par un hasard funeste
nt d’elles, et s’apprêtaient à les embarquer, lorsque les cris de ces jeunes princesses furent entendus par Hercule, qui se tr
cygne. La fable de Phaéton paraît être une allégorie, pour peindre un jeune ambitieux qui fait une entreprise au-dessus de se
ue Daphné, fille d’un roi de Thessalie nommé Pénée, poursuivie par un jeune prince sur les bords d’un fleuve qui portait le m
ité de lauriers qui croissaient le long de ce fleuve, fit dire que la jeune princesse avait été métamorphosée en laurier. Ce
aurier. Ce fut peu de temps après qu’Apollon tua, sans le vouloir, le jeune Hyacinthe qu’il aimait beaucoup. Zéphire, qui aim
pouvait oublier, ne songea plus à fuir ; ses yeux se fixèrent sur le jeune prince, qui s’apprêtait à la percer d’un dard. Ju
au mariage d’Alcippe, sa fille, avec Allyrotius, fils de Neptune. Ce jeune insensé, n’écoutant que sa passion, eut l’audace
son époux. L’histoire explique la fable d’Adonis. Elle apprend que ce jeune prince régnait sur une partie de la Phénicie, et
issaient par elles. Par la suite, on les représenta sous la figure de jeunes vierges nues, ou légèrement enveloppées d’une gaz
t doivent l’un et l’autre éprouver du bonheur. Elles étaient toujours jeunes , pour avertir que la mémoire d’un bienfait ne doi
oir la même opinion des Sirènes. Les poëtes les représentent comme de jeunes et belles filles, habitant les rochers des côtes
ydice ; elle fuit dans la prairie, et croit n’avoir à redouter que ce jeune insensé, lorsqu’un serpent venimeux, caché sous l
rminer cette fête pleine de simplicité, on immolait des agneaux et de jeunes truies, qui servaient ensuite au repas des deux f
lture des jardins. On représente Pomone sous la figuré d’une belle et jeune femme, assise sur un panier de fruits, ayant des
ices, les brebis noires lui étaient immolées. Pluton était le plus jeune des frères de Jupiter ; dans le partage du monde,
ent elles qui filaient les jours et les destinées des hommes. La plus jeune , nommée Clotho, tenait la quenouille ; Lachésis t
, mangea une épaule sans y prendre garde. Les dieux ressuscitèrent le jeune Pélops, et Jupiter remplaça par une épaule d’ivoi
tre mère de la Vertu et fille du Temps ; on la représentait comme une jeune vierge, couverte d’un habit dont la blancheur éga
nt Philia, et les Romains la peignaient (Fig. 68) sous la forme d’une jeune femme, la tête découverte, et vêtue d’un habit tr
18 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
ous le nom de Vesta, un feu perpétuel, dont le soin étoit confié à de jeunes vierges appellées Vestales. On ne pouvoit rallume
Tremblez pour votre fils, ambitieuse mère !               Où vas-tu, jeune téméraire ? Tu dois trouver la mort dans la gloir
e qui vous conduit, Brille comme, au milieu des astres de la nuit, Du jeune Endymion on voit briller l’amante. Rousseau. Ju
tacha au dieu Mars, à Anchise, prince Troyen, à Bacchus, et à Adonis, jeune chasseur d’une grande beauté :                  
é :                      Ses jours couloient sans alarmes, Lorsqu’un jeune chasseur se présente â ses yeux : Elle croit voir
des, celles des campagnes ; La froide Naïade Sort pour l’admirer, La jeune Dryade Cherche à l’attirer. Rousseau. Les Hamad
nes, voisines de la Sicile. On représente les Vents sous la figure de jeunes enfans aîlés ; on les appelle les fils ou les suj
noissoit pas, et la chargea de donner des habits blancs aux deux plus jeunes enfans d’Athamas, et d’habiller les autres en noi
irrités contre Laomédon, roi de Troie, on exposeroit tous les ans une jeune Troyenne au monstre qui désoloit la Troade. Le so
échappée aux fureurs de la guerre ; J’ai perdu, dans la fleur de leur jeune saison, Six frères ; quel espoir d’une illustre m
choisis par le sort, pour être dévorés par le Minotaure. Thésée, tout jeune encore, forma le généreux projet d’affranchir sa
u que les vapeurs de la mer ne rendissent les plumes trop humides. Ce jeune téméraire, oubliant un avis si sage, s’éleva au h
Pasiphaé, que Thésée avoit épousée en secondes noces, conçut pour le jeune Hippolyte des sentimens qui leur furent très-fune
vieil comme je suis, revint contre nature                       En sa jeune saison. Malherbe. Elle conseilla aux filles de
, fut changé en loup par Jupiter, à qui il avoit servi les membres du jeune Arcas, afin de s’assurer s’il exerçoit l’hospital
aujourd’hui, De mes conseils du moins je te promets l’appui ; De ces jeunes guerriers je conduirai l’audace. Ils lanceront le
ère lui proposa le choix de vivre long-tems sans gloire, ou de mourir jeune tout couvert de lauriers. Il préféra la gloire a
ît le héros que demande la Grèce ; Et d’un glaive terrible armant ces jeunes mains, Par ce discours guerrier, d’un fils d’une
rmes,         Voudroit par ses cris et ses larmes         Désarmer ce jeune lion :         Son cœur ne trouve plus de charmes
core sa naissance, vint disputer un prix que Priam avoit proposé à la jeune noblesse de son royaume, et triompha de tous ceux
19 (1866) Dictionnaire de mythologie
pellent à la réalité ? » Non, la mythologie n’est pas morte. Elle vit jeune et souriante comme aux beaux jours de Phidias et
terre, auprès de la pâle et froide Proserpine. Enfin, il renaît plus jeune et plus souriant ; il rentre au ciel en conquéran
r de Cérès, appelées Thesmophories, étaient conduites par un chœur de jeunes vierges couronnées de pampre et portant les livre
e fut son autel et ses prêtres furent les gourmands. On le représenta jeune , la face enluminée de vin, le front couronné de r
r ciselé, étincellent sur les buffets. Devant la table, une troupe de jeunes esclaves, choisis parmi les plus beaux, ont l’ord
tres interprètes, apparaît, à chaque printemps, plus brillant et plus jeune sous une enveloppe nouvelle : image du malade qui
’hydre de l’hérésie. Il y a aussi l’hydre du socialisme, hydre encore jeune , mais vorace, qui menace de manger les propriétés
fraternel : on leur envoyait des libations. Les vieux rappelaient aux jeunes leurs vertus et les engageaient à les imiter. On
ions s’altèrent, mais la nature ne change ni ne vieillit. Les peuples jeunes l’aiment d’instinct ; les âges civilisés ont pour
qui les ont inspirées. Narcisse. Fut, au temps de la Fable, un jeune fat qui s’aimait trop pour aimer autre chose que
(voyez la folie des femmes !). C’était la pauvre Écho. Rebutée par le jeune beau, elle se dessécha au point qu’il ne resta d’
tendre comme il leur parle : « Laissez-vous persuader, vous êtes plus jeunes que moi ; j’ai vécu dans mon temps avec des homme
ndeur. S’il vante le bon vieux temps, c’est par complaisance pour ses jeunes années, et non par esprit de dénigrement. S’il bl
te contredire. Mais tu n’as pas atteint le but de ton discours. Tu es jeune et tu pourrais être le dernier en âge de mes fils
20 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
l’impero dei fiori ed una perpetua giovanezza. La mère du Printemps, jeune , fraîche et vermeille. Flore, dans sa riche corbe
donne au Zéphyr pour l’offrir à son fils, Les plaisirs enfantins, les jeunes amourettes Suicent en jouant du hautbois, Et chas
suite terrassèrent Le peuple des Titans, et ses fiers souverains, Du jeune dieu les Jeux et l’Innocence, Et la Gaîte, compag
/ 20