a Guerre au front d’airain, Ou le Temps qui s’enfuit une horloge à la
main
: Et par-tout, des discours, comme une idolâtrie
l inhumain, Planant d’une aile infatiguable, La faux et le sable à la
main
! Il semble aussi vieux que le monde ; La Mort en
i est consacré. On le représente porté sur un aigle et la foudre à la
main
. Naissance de Jupiter. L’Aigle et la Colombe.
onts sur monts, escalada l’Éther. Mais le maître des Dieux, armant sa
main
puissante, Foudroya de leurs monts la menace effr
cour céleste. On figure Apollon tantôt en jeune homme, une lyre à la
main
, et des instrumens de musique à ses côtés ; tantô
L’Onde a ses Dieux marins, et Prothée, et Triton, Triton la conque en
main
, et l’énorme Egéon Qui presse entre ses bras une
nge 12. Où naissent tes rayons, Astre enflammé du jour ? Quelle
main
te roulant au-dessus de nos têtes, Dans les plain
îné par des Tigres, des Lynx ou des Panthères, tenant un thyrse d’une
main
, et de l’autre une coupe. Naissance de Bacchus,
o Le refrain de leurs chants bachiques. Dans les tasses, au creux des
mains
, A flots pourprés le vin ruisselle ; Déjà circule
s, Satyres, Corybantes, Les flambeaux, ou le Thyrse, ou la coupe à la
main
, De leur foule bruyante inondent le chemin. Les u
au jeune homme, des ailes à la tête et aux talons, et un caducée à la
main
. Message de Mercure à Calipso. Mercure se dis
erre ou la plaine liquide. Le Dieu prêt à partir fait briller dans sa
main
Son Sceptre redouté, dont le charme divin Peut do
vec une couronne d’ébène sur la tête, la clé du séjour des morts à la
main
, et sur un char traîné par des chevaux noirs.
L’antre enflammé vomit le fer de ses entrailles. Le Dieu tient d’une
main
ses mordantes tenailles, De l’autre il bat l’encl
urs de son palais d’airain, Il trace en des lambris, merveilles de sa
main
, Son enfance difforme, odieuse à son père. Et bie
te, une pique et un fouet, et quelquefois une torche ardente dans les
mains
. L’Hyver n’enchaîne plus les foudres de Bello
filets, jeunes cœurs : Fuyez-les ; c’est pour vous surprendre Que sa
main
les tresse de fleurs33. A un jeune Poëte, sur
e figure en jeune homme blond, couronné de roses, et un flambeau à la
main
. On donnait aussi le nom d’Hyménée aux vers qu’on
sont par-tout, sont en troupe ; A l’aveugle Plutus les uns tendent la
main
, Les autres le prennent en croupe :
oulait être aussi de la fête, Vint d’un air insolent lui présenter la
main
, Le Héros irrité passe en tournant la tête
t, et que leurs vœux demandent, Leur apparaît en songe, un bâton à la
main
, Caressant de ses doigts sa longue barbe, enfin T
l est représenté soulevant le masque d’un visage, et une marotte à la
main
. Curieux et malin, Momus épiait toutes les action
e homme gras et frais, un bonnet de fleurs sur la tête, un vase d’une
main
et un bassin de l’autre. Festin. Premier service
eprésentait sous la figure d’un jeune homme à demi-nu, une corne à la
main
et un doigt sur la bouche. Le Silence auquel il p
e représente avec des ailes de papillon, et une plante de pavots à la
main
, dont il touche les mortels qu’il veut bercer de
es : Loin de toi le fard de Vénus Et le clinquant de l’imposture : Ta
main
dépouille la Nature De ses ornemens superflus ; L
e-temps abrègent la soirée. J’entends ce jeu bruyant où, le cornet en
main
, L’adroit joueur calcule un hasard incertain. Cha
t d’un sommeil bien franc l’autre dormant tout haut, Aux battemens de
mains
se réveille en sursaut. On rit ; on se remet de l
ges de l’orgueil. Le culte de ce Dieu simple et naïf était confié aux
mains
innocentes des Vestales. L’âge le plus heureu
les noms de l’urne du destin, De l’enfant sans détour on emprunte la
main
. L’Enfance, trop souvent, est l’aurore infidelle
en doute pas. Nouvel appui de sa marche timide, Le seul secours d’une
main
qui le guide Va lui suffire, et bientôt enhardi,
rore annonce un jour serein, Divers prix vous seront dispensés par ma
main
. Les uns pour le rameur fatiguant l’onde amère ;
mène ; Et d’un peuple nombreux il s’avance entouré. Epanchés par ses
mains
, le lait, le vin sacré, Et le sang le plus pur on
la représente avec une tour sur la tête, une clé et un disque dans la
main
, couverte d’une robe parsemée de fleurs, tantôt e
âge, en sa race, il ne doit point renaître. Cependant sous leurs
mains
, les tambours effrayans, La flûte, la cymbale, et
joncher tous les chemins, Et des torrens de fleurs, tombant de toutes
mains
, L’inonder toute entière, elle et sa cour brillan
une troupe, au son vif et tonnant De l’airain, sur l’airain, dans ses
mains
résonnant, Pour te sauver des dents de ton barbar
apprend aux humains, Qu’il faut que leur famille, au secours de leurs
mains
, Qu’il faut que leur patrie, à leur noble victoir
où l’éclat d’un or pâle Ranime un fond tendrement azuré, Et dans ses
mains
brille un sceptre d’opale. Imbert 69. Diane,
est représentée sur un char d’or, traîné par des biches, un arc à la
main
, un carquois sur l’épaule, et un croissant sur la
rtant sans bruit leurs pas vers ces Dieux homicides, D’une tremblante
main
saisissent leurs carquois ; Et bientôt des débris
; Le bouton sort du bouquet qui s’effeuille ; Le fruit renaît sous la
main
qui le cueille : Les Gnidiens que Vénus y conduit
une utile chaussure, Sans l’aveu de Pallas prendra mal la mesure : La
main
la plus habile à façonner le bois, Perdra sans so
nte vêtue d’une robe longue, un voile sur la tête, une javeline d’une
main
, et un vase à deux anses de l’autre, ou une lampe
aime à présider à de chastes Vestales ! Vierge, elle se confie à des
mains
virginales. Ovide. — Desaintange 77. Cérès,
se célébraient ses mystères. On la représente avec une faucille d’une
main
, et de l’autre, une gerbe d’épis et de pavots.
s arbres émondés par le fer des Émiles, Les champs sollicités par les
mains
des Camilles, De leurs dons à l’envi comblaient l
erre, et Déesse de la Justice. On la figure avec une balance d’une
main
, un glaive de l’autre, et un bandeau sur les yeux
ine toison compose mes habits ; Et quand le fuseau tourne entre leurs
mains
légères, Ne blesse pas les doigts de nos jeunes b
s, il s’en fit aimer, et l’épousa. On la représente une serpette à la
main
, une couronne de fruits sur la tête, avec une cor
me devient insipide, Pourrai-je te le pardonner ? Hélas ! lorsque ta
main
volage Nous met sur un trône de fleurs, Croit-on
ou les attraits, Soyez plus attendris que vains de ses bienfaits : La
main
qui les versa peut aussi les détruite. Dorat 91.
Déployant l’azur de leurs ailes, Devancent son cours glorieux : Leurs
mains
, dans les plaines mobiles, Dirigent les rênes fra
mières naissantes Se brisent dans le champ des airs. L’Aube de sa
main
triomphante, Enchaîne le Dieu du sommeil, Et de l
u contour. Sur le plafond on voit les Heures Danser, se tenant par la
main
; Sur les lambris peints par Vulcain, L’on voit l
sprits ainsi que nos corps, Et nos talens sont des ressorts Que leurs
mains
légères polissent. Les Grâces entourent de fleurs
dont il vit le trépas. Nouvel ordre ! chaque colonne, Ouvrage des
mains
d’Apollon, Au lieu d’acanthe se couronne Des rame
: Melpomène à la Tragédie, chaussée d’un cothurne et un poignard à la
main
: Thalie à la Comédie, en brodequin et en masque
sur un globe : et Polymnie à la Rhétorique, le sceptre oratoire à la
main
. Apollon leur frère, est à leur tête. Elles habit
éris du plus beau106 des mortels. C’est sous ces pins touffus que ses
mains
innocentes Vous, ont élevé des autel
Qu’ainsi coulent vos dons répandus à propos, Mais que la
main
reste cachée107 ! A une belle Source, à qui l
tait assise sur un trône, couronnée de simples, tenant une coupe à la
main
, et ayant auprès d’elle un autel où s’entortillai
x Du frais qu’on y respire et de leur doux ombrage, De mes
mains
ils furent l’ouvrage ; Et nous y goûterons un tra
de coiffée de serpens, les yeux égarés, une torche et un poignard aux
mains
, les bras sanglans et la bouche écumante. Des
forment sa chevelure ; Une robe sanglante est toute sa parure ; Et sa
main
secouant un flambeau dans les airs, De sa cruelle
be flotte aux vents, sanglante, déchirée ; Elle arme d’un poignard sa
main
désespérée. Sur le froid Apennin le monstre s
s connaissent, La tendresse s’éveille, et les remords renaissent. Les
mains
serrent les mains, les cœurs pressent les cœurs.
tendresse s’éveille, et les remords renaissent. Les mains serrent les
mains
, les cœurs pressent les cœurs. De leur vieille am
ppui ; Aussi-bien sous mes pas c’est creuser un abîme, Que retenir ma
main
sur la moitié du crime ; Et, te faisant mon roi,
ient la trame de la vie des hommes, dont la destinée était dans leurs
mains
. Leur nom était Clotho, Lachésis et Atropos. La p
ec plaisir les beaux jours d’Isabelle ; J’aperçus Atropos, qui, d’une
main
cruelle, Voulait couper le fil, et la mettre au t
onde insulte à ta soif, ô Tantale ! et le fruit Évite incessamment ta
main
qui le poursuit. Les filles de Bélus, épouses par
et répand le fiel de ses sucs venimeux. La Furie à leurs yeux, d’une
main
tournoyante, Roule en cercle de feu sa torche fla
te avec un vêtement noir parsemé d’étoiles, un Sceptre de plomb, à la
main
, parcourant silencieusement le Ciel, sur un char
en arrière, Lui fait un dôme émaillé de saphyrs. De ses chevaux, une
main
tient les rênes, L’autre répand des moissons de p
d’une robe noire, des ailes aux épaules, une faux, ou des filets à la
main
. On lui donne aussi un cœur et des entrailles de
Ils font de vains efforts. Du Temps qui détruit tout, les
mains
infatigables Mineront sourdement ces marbres impo
our et à la nuit, et connaissant l’avenir et le passé ; un bâton à la
main
droite et une clé dans la gauche. Lorsque Jan
de la peau du lion de Némée. Terrible et fier, Alcide a dans ses
mains
Et le repos et l’effroi des humains. Un sourcil n
is savouraient les délices, Les cache en sa caverne ; et cependant sa
main
, Pour déguiser aux yeux les traces du larcin, Sai
ds la peur donne des ailes : Il fait tomber ce roc que, d’une adroite
main
, A des chaînes de fer a suspendu Vulcain, S’enfer
; Tantôt d’un roc brisé lui lance un large éclat ; Et tantôt, à deux
mains
, d’un arbre entier l’accable. Alors le monstre, e
ces de son modèle. Il vainquit avec lui les Amazones, et reçut de ses
mains
leur reine Antiope, de laquelle il eut Hippolyte.
e, Mes essaims ne sont plus ; et vous êtes ma mère ! Achevez : de vos
mains
ravagez ces coteaux, Embrasez mes moissons, immol
écouter les Nymphes attentives Font tourner leurs fuseaux entre leurs
mains
actives, Du malheureux Berger la gémissante voix
is ; Sa mère en l’écoutant sourit et le rassure ; Les Nymphes sur ses
mains
épanchent une eau pure, Offrent pour les sécher d
r ton captif à reprendre ses traits. Sur son fils, à ces mots, sa
main
officieuse Répand d’un doux parfum l’essence préc
t fait rouler les antiques sapins, Et que la rame sous ses
mains
Frappait à coups pressés le sein des Néréides ;
Venir briguer l’honneur d’une illustre conquête ; Orphée, un luth en
main
, sur la poupe, à leur tête, S’élança l
able Exhalant à ses pieds ses sanglots et ses cris, Et lui baisant la
main
qui fit périr son fils. Il n’osait sur Achille en
aire Sentit que la pitié pénétrait dans son cœur. Priam lui prend les
mains
: ah ! prince, ah ! mon vainqueur ! J’étais père
nos jours sont tissus de regrets et d’alarmes, » Lui dit-il ; par mes
mains
les Dieux vous ont frappé : » Dans le malheur com
de mort, ces apprêts, ce festin, Ce festin détestable, où le fer à la
main
, Clytemnestre ! ma mère ! ah ! cette horrible ima
vu votre père, attiré dans le piége, Se débattre, et tomber sous leur
main
sacrilége. Pammène, aux derniers cris, aux sanglo
toi : Votre cœur affamé de sang et de victimes, M’a fait souiller ma
main
du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle va
? Ah ! c’en est trop, il faut qu’à ma colère… Que vois-je ? Dans ses
mains
la tête de ma mère ! Quels regards ! où fuirai-je
. C’en est fait ; je succombe à cet affreux supplice : Du crime de ma
main
mon cœur n’est point complice ; J’éprouve cependa
outrage. J’appris à soutenir mes misérables jours. Mon arc, entre mes
mains
seul et dernier recours, Servit à me nourrir ; et
briser des rameaux, et pour y recueillir Le feu que des cailloux mes
mains
faisaient jaillir. Des glaçons dont l’hiver blanc
la lance, Du Pélion sauvage antique rejeton, Jadis elle tomba sous la
main
de Chiron ; Et des enfans de Mars l’élite infortu
ge entre tous les humains, Daigna m’instruire encore au sortir de ses
mains
; Je ne veux point me peindre avec trop d’avantag
igneur, j’ai, vu votre malheureuse fils Traîné par les chevaux que sa
main
a nourris. Il veut les rappeler, et sa voix les e
les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’appelle ; et me tendant la
main
, Il ouvre un œil mourant, qu’il referme soudain :
ortant son vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la
main
, et suivi de la malheureuse Créuse son épouse qui
lée) Vénus pour la figure et Mars dans la mêlée, Vient, la hache à la
main
, la douleur sur le front, D’un funeste hasard ven
reur lui montrant les furies ; De leurs fouets déchirans frappant ses
mains
impies ; Elle promet aux Dieux d’expier son erreu
sent les Dieux… D’une dure cuirasse elle presse ses charmes ; Des
mains
même de Mars elle reçut ces armes. Elle entoure d
té, S’élève un casque d’or d’aigrettes surmonté ; Elle tient dans ses
mains
la hache redoutable Dont Bellone aiguisa le fer i
ante chaleur. « Quel transport vous saisit, beautés infortunées ! Vos
mains
aux jeux de Mars ne sont point façonnées ; Qu’a d
de leur mère, c’est-à-dire, des pierres. Ces pierres sortant de leurs
mains
, furent métamorphosées, celles de Deucalion en ho
lme ses flots ; l’humide Souverain Du trident redoutable a désarmé sa
main
. Il appelle Triton au dos couvert d’écaille, Trit
u sais si mon cœur t’est soumis : Mais puis-je d’une aïeule, avec des
mains
profanes, Toucher les os sacrés, et violer les mâ
et l’aïeule des humains. Les pierres sont ses os, qui, lancés par nos
mains
, Vont du monde désert peupler la solitude. Pyrrha
Ces cailloux amollis sous leurs doigts étonnés, S’échappent de leurs
mains
à demi-façonnés ; Et perdant par degrés leur rude
ains : La Gloire à la suivre s’empresse, Tenant des lauriers dans ses
mains
; Du Soleil les coursiers s’arrêtent ; Les Heures
vé sur l’horison, que les chevaux du Soleil, se sentant menés par une
main
étrangère et novice, prirent le mors aux dents, s
xprimé le malheur de son fils : Deux fois il le tenta ; deux fois, sa
main
glacée Abandonna l’image à peine encor tracée. V
une maison, ayant cour et jardin, Remise et cætera. Le voilà flûte en
main
, Qui souffle et souffle à perdre halein
ant ; Il supplie : Agavé le regarde en hurlant, S’approche ; et d’une
main
au carnage échauffée, Elle enlève sa tête, et la
e sa tête, et la porte en trophée. Son corps en un instant, par leurs
mains
lacéré, Se disperse au hasard en pièces déchiré.
entraîne, et le place auprès d’elle. Tout-à-coup de Pyrrhus fuyant la
main
cruelle, A travers mille dards un dernier fils du
t des nations, et les droits du malheur ; Et rendant mon Hector à mes
mains
suppliantes, Me laissa librement retourner sous m
orta sur ses épaules hors de la ville, tenant son fils Ascagne par la
main
, et l’embarqua avec lui sur ses vaisseaux. Anchis
j’embrasse enfin, que j’embrasse mon père ! Que j’ariose de pleurs la
main
qui m’est si chère ! Il s’efforce trois fois de l
présent vient des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots, de sa
main
qu’anime un noble effort Un trait part… Mais quel
ois dans le crime incertains, Ils redoutent la nuit, ouvrage de leurs
mains
; Un moment peut les perdre…O funeste vertige ! L
Neptune se plaint dans l’ombre de la nuit, Quand la rame docile, à la
main
qui la guide, Fend à coups redoublés son domaine
teint leurs voix sur leurs lèvres glacées ; De replis écailleux leurs
mains
embarrassées Appellent, mais en vain, un secours
rembler : Du sein de ma patrie il fallut m’exiler. Je craignis que ma
main
malgré moi criminelle, Aux destins ennemis ne fût
as par quel enchantement J’oubliais jusqu’ici ce grand évènement ; La
main
des Dieux sur moi si long-temps suspendue Semble
ent mes sujets, et faits pour m’obéir. Je marche donc vers eux, et ma
main
furieuse Arrête des coursiers la fougue impétueus
ois, je reconnais la blessure mortelle Que te fit dans le flanc cette
main
criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un monstre dét
ne branche chargée de fruits, qui échappaient sans cesse à ses avides
mains
. Vers une eau desirée, ou sur un fruit voisi
e, ou sur un fruit voisin, Toujours Tantale avance ou la bouche ou la
main
: Toujours le fruit rebelle à la main qui le touc
ntale avance ou la bouche ou la main : Toujours le fruit rebelle à la
main
qui le touche, Recule, et l’eau perfide a fui loi
ta raison : Triomphant au milieu des dames de Phrygie Et la lyre à la
main
, tu nourris le poison Qui va trancher le cours d’
sachant tout alors ; quoi ? c’est donc ton amour, Dit-elle, c’est ta
main
qui t’a privé du jour ? Ma main, ma main aussi pr
st donc ton amour, Dit-elle, c’est ta main qui t’a privé du jour ? Ma
main
, ma main aussi prouvera ma tendresse. Je n’ai pas
on amour, Dit-elle, c’est ta main qui t’a privé du jour ? Ma main, ma
main
aussi prouvera ma tendresse. Je n’ai pas moins d’
morts. Rhadamante et Eaque en étaient les seconds. Mes homicides
mains
, promptes à me venger, Dans le sang innocent brûl
père y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise en ses sévères
mains
. Minos juge aux Enfers tous les pâles humains ; A
Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta
main
tomber l’urne terrible ? Je crois te voir, cherch
oulut en vain l’épouser : Didon fidèle aux mânes de Sichée, refusa sa
main
. Iarbe lui ayant déclaré la guerre, elle fut seco
e inconsolable, et sans cesse occupée de son cher Hector, ses chastes
mains
lui dressèrent un tombeau en Épire, sur les bords
ne superbe essuyant les dédains, Tu pourrais la servir de tes royales
mains
! Et tremblante à ses pieds, tantôt filer ses lai
s me resserre ! » Il dit, et vers son fils, tend l’une et l’autre
main
. Mais l’enfant, à l’aspect de l’armure d’airain,
ux cruels, et prévois-tu ta-mort ? Tes pleurs coulent en vain, et tes
mains
innocentes, Tes baisers redoublés pressent mes ma
en vain, et tes mains innocentes, Tes baisers redoublés pressent mes
mains
tremblantes. Malheureux ! prétends-tu, caché sous
espérons plus le voir, tel qu’au fort des combats, Nos tyrans, de ses
mains
recevaient le trépas, Quand du joug de l’Europe a
el, elle marchait tristement vers l’autel ou l’Usurpateur périt de la
main
d’Egiste. Me rendrez-vous mon fils, Dieux tém
et enfant malheureux, le seul que j’ai sauvé ? Ecartez loin de lui la
main
de l’homicide. C’est votre fils, hélas ! c’est le
, l’œil fixe, et d’un front inhumain, Présentait à Mérope une odieuse
main
; Le Prêtre prononçait les paroles sacrées ; Et l
c’était Égiste, il s’élance aux autels ; Il monte, il y saisit d’une
main
assurée, Pour les fêtes des Dieux la hache prépar
s les crimes, Erox, qui dans son sang voit ce monstre nager, Lève une
main
hardie, et pense le venger. Egiste se retourne, e
rps penché, déjà paraît le vieux Silène, Aux crins de ce coursier, sa
main
cherche un appui ; Les Thyades en feu vont, vienn
Dragon veillait jadis Sur le jardin des Hespérides ; Il écartait les
mains
avides, Les regards même étaient punis. Un jeune
Cahos et l’Univers naquit. Pour embellir ce globe arrondi par ses
mains
, Un Dieu forma les lacs, et creusa leurs bassins
es rives, Roulent en liberté leurs eaux long-temps captives. Enfin la
main
du Dieu qui régla l’Univers, Revêtit les forêts d
erme divin développé son être, L’homme naquit. Ainsi sous de savantes
mains
La glèbe s’étonna de former les humains. Mais tan
oux ; Et le destin jaloux Va m’imposer les fers dont ma
main
te délivre. Castor . Le fils de Jupiter doit
: « O moitié de mon ame ! Ne m’abandonne pas, viens, et prends cette
main
, Tant qu’il me reste encor quelque chose d’humain
en Cygne par son père. On le représente avec une Lyre ou un Luth à la
main
. Protée à Aristée Eurydice fuyait, hélas ! et
mon cher Orphée ; Eurydice expirante, En vain te cherche encor de sa
main
défaillante ; L’horrible Mort jetant son voile au
gémissant l’oiseleur inhumain Qui, glissant dans son nid une furtive
main
, Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore,
beautés s’efforçaient de lui plaire, Il dédaigna leurs feux ; et leur
main
sanguinaire, La nuit, à la faveur des mystères sa
ilà celui qui nous méprise ! Le voilà : vengeons-nous ! et sa barbare
main
Au prêtre d’Apollon lance un thyrse inhumain. Le
mpunément les farouches Bacchantes Sur le chantre sacré portent leurs
mains
sanglantes. Tel l’oiseau de Pallas voit mille ois
araient les doux fruits de leurs longues sueurs : L’un, la bêche à la
main
, le tourne et le remue ; L’autre dans les sillons
ndre, Hector est au rivage, armé pour la défendre. Le premier, par sa
main
tu meurs, Protésilas ! Combien, parmi les Grecs,
r son char : Guerrier, qui que tu sois, Console-toi ; tu meurs par la
main
d’Éacide. Un dard suit sa parole ; et le fer homi
ande à Nérée, et règne sur les mers. Il a parlé : la pique en ses
mains
balancée A volé contre Achille avec force lancée
au neuvième cuir le perce tout entier. Achille l’en arrache, et d’une
main
terrible Lançant un second dard, lui porte un cou
ssée Ont tombé sous mes coups, et témoignent assez Ce qu’a fait cette
main
, et ce qu’elle peut faire. Comme s’il eût dou
Ménétès a rougi son armure. Il saute de son char, et l’épée à la
main
, Attaque de plus près son ennemi hautain. Il fend
i seule en façonna l’entrée, Dans le tuf qu’elle-même a taillé de ses
mains
, Imita librement l’art savant des humains ; Et de
Et les siens négligés voltigent au hasard. Tandis que, l’urne en
main
, Niphé, Psécas, Hyale, Et la brune Rhanis, et la
oin les tableaux de Zeuxis et d’ Apelle : Ceux-ci furent tracés d’une
main
immortelle. Nos deux époux surpris, étonnés, conf
dirent-ils, vos moindres créatures ; Aurions-nous bien le cœur et les
mains
assez pures, Pour présider ici sur les honneurs d
Jupiter exauça leur prière innocente. Hélas ! dit Philémon, si votre
main
puissante Voulait favoriser jusqu’au bout deux mo
ant vos autels. Cloton ferait d’un coup ce double sacrifice. D’autres
mains
nous rendraient un vain et triste office. Je ne p
les flancs d’une terre ennemie, Placé dans des rochers où l’a fixé ma
main
, Il présente la pointe où s’appuîra mon sein. Ce
pis. Vous, filles de la Nuit, Déités implacables, Qui, la torche à la
main
, poursuivez les coupables, Ministres des Enfers,
s. Insulte à mon trépas : payez-leur en le prix. Qu’ainsi que par mes
mains
ma vie est terminée, La main de leurs parens tran
z-leur en le prix. Qu’ainsi que par mes mains ma vie est terminée, La
main
de leurs parens tranche leur destinée ; Que les G
eur ; ses alimens se changeaient en or à l’instant qu’il y portait la
main
. Il pria Bacchus de lui retirer ce don funeste, e
se cueillis, Debout, et revêtu d’une robe à longs plis, Apollon d’une
main
tient sa lyre d’ivoire, Et de l’autre l’archet, i
ste, son maintien, sont d’un maître de l’art. Sur les fils inégaux sa
main
court au hasard : Le Tmole est enchanté des accor
il au Dieu du Pinde. Phébus commence, et devant ce limier, La lyre en
main
, prélude le premier, A ses accords les chênes rev
phe d’Arcadie. Poursuivie par le Dieu Pan, dont elle refusait la
main
, elle se sauva sur les bords du fleuve Ladon, qui
’un chaste hymen par nos maux achetés, Quoi ! nous les confions à des
mains
mercenaires ; Tandis que des forêts les hôtes san
e travaille. Une soudaine écorce enveloppe sa taille. Elle veut de sa
main
arracher ses cheveux, Et saisit des rameaux qu’el
upière ; L’écorce qui s’élève et s’étend sur mes yeux, Dispense votre
main
de ce devoir pieux. En cessant de parler, Dry
ais par elle animé, le tronc qui vient de naître, Sous l’écorce où ma
main
sent palpiter son cœur, Conserve encor long-temps
Héros Grec, se noya de désespoir. On les représente, l’une ayant à la
main
une espèce de tablette, l’autre deux flûtes, et l
même, oui, j’ai vu l’inhumain, Saisissant deux de nous de sa terrible
main
, Les briser contre un roc ; j’ai vu sur les murai
aire, Cherchait de ses troupeaux le pacage ordinaire, Posant sa large
main
sur un tronc sans rameaux : Seul plaisir qui lui
e départ ; les cables sont coupés : On part ; et l’aviron, sous mille
mains
rivales, Par le vent secondé, fuit ces rives fata
nt Pélion, Souffler son infecte rage, Contre le naissant ouvrage, Des
mains
de Deucalion. Mais, le bras sûr et terrible D
, La cour de Jupiter, et le sénat du Ciel. Le Dieu, le sceptre en
main
, se place sur son trône ; L’immortelle assemblée
e Paris enchaîne la mollesse, Riches, qui répandez votre or à pleines
mains
, Pour embellir d’insipides jardins Dont l’
u’il adore, et d’y trouver ses Dieux. Il n’est rien de sacré pour des
mains
sacriléges, Les Dieux même, les Dieux n’ont point
nées. Il querelle leur crainte, il frémit de courroux, Et le fer à la
main
porte les premiers coups. Quittez, quittez, dit-i
élodieux, Diane au carquois d’or, Déesse bocagère, Qui la flèche à la
main
, de sa robe légère, Nouait sur le genou les repli
vains couronnés de rameaux verdoyans ; Les Nymphes, qui sans art, les
mains
entrelacées, Dansaient aux sons joyeux de leurs v
ntagnes, Dérobait à mes yeux le terme des campagnes. Cybèle à pleines
mains
y versait ses bienfaits, Les Grâces le paraient d
serein et pur, De l’Olympe brillant nuancèrent l’azur. Ici le soc en
main
, sur la terre docile, Le laboureur joyeux trace u
ranger qui la couronne Est parsemé de vers luisans. Que Plutus, d’une
main
fantasque, Orne les bains de Danaé ; Thalie, Euph
, Elle laisse errer son troupeau, La jeune et timide bergère Arme ses
mains
d’un long roseau : Attentive, silencieuse, Palpit
oudain, dans l’onde transparente, Elle l’a vu se débattant, Et, d’une
main
impatiente, Je l’aperçois qui, dans l’instant, Ti
Etait prêt d’attacher la palme des héros, Quand l’un de sa
main
affaiblie, Sent échapper les rênes des
ts : Sur un superbe char dont l’orgueil fut le guide, Une torche à la
main
il parcourait l’Elide, Exigeait les honneurs dûs
oursiers l’impétueux passage, Imitait la tempête, et mettait dans ses
mains
Les secrets du Tonnerre ignorés des humains. Mais
le, Divinité du sentiment… Il vient brillant comme l’Aurore, Et d’une
main
il tient encore Le foudre puissant des Césars ; D
andit son fiel dangereux !… Vengez-le, noires Euménides, Venez de vos
mains
homicides Déchirer ce spectre hideux ; Enfer, reç
er encor sur leurs traces, Les Héros et même les Dieux. Horace d’une
main
hardie Touchant la lyre d’Ausonie, Rend des sons
Cahos. Il tenait sous ses pieds le Globe Terrestre, et dans ses
mains
l’Urne fatale, où était contenu le sort des homme
ible Offre en un point l’avenir ramassé. L’Urne des sorts est dans sa
main
terrible ; L’axe des temps pour lui seul est fixé
s de ta robe flottante Secouant la rosée et versant les couleurs, Tes
mains
sèment les fruits, la verdure et les fleurs : Les
tes faveurs ! L’insecte, dans la fange, est fier de ses couleurs. Ta
main
du paon superbe étoila le plumage ; D’un souffle,
C’est Crillon, c’est Sully, c’est toi, divin Caton, Tenant entre les
mains
un poignard, et Platon, Parlant et combattant, et
tée avec un visage doux et serein ; une petite statue de Plutus d’une
main
; de l’autre, une poignée d’épis et de roses, et
le y figurait en Reine, ou assise sur son trône avec un caducée d’une
main
et une corne d’abondance de l’autre, ou debout av
ses blessures ; quelquefois couverte d’un crêpe, et un poignard à la
main
, A la plus sensible et la plus tendre des Mères
emblait encor l’embellir à nos yeux. Sur le clavier lorsque sa
main
brillante Se promenait au gré de ton desir
e Dieu tutélaire Qui l’arracha de ses forêts. Sous la
main
du travail, la Terre fit éclore Les prémices heur
toi seul qui guidais l’essor de Démosthènes : Et quand, la foudre en
main
, il maîtrisait Athènes, L’avenir s’of
yrans invisibles, A tes autels terribles, L’encensoir à la
main
, fléchissent les genoux. Tu peux, et c’est l’eff
mortelle. Cette fille de l’Enfer Porte dans sa
main
sanglante Une tenaille brûlante,
est vrai, simple, et fait pour les Dieux. De bons Gaulois de leurs
mains
le fondèrent ; A l’Amitié leurs cœurs le dédi
Liberté de l’homme est le premier besoin, Mais de l’homme sortant des
mains
de la Nature, Qui recueille ce germe au sein, d’u
ps soulagent des esclaves Courbés vers les terrestres lieux ! Plus ta
main
frappe la matière, Plus mon esprit rompt la barri
rlemens affreux : Ce superbe Paris fut plein de malheureux, De qui la
main
tremblante et la voix affaiblie, Demandaient vain
avait vu, par ces cœurs inhumains, Un reste d’alimens arraché de ses
mains
. Des biens que lui ravit la fortune cruelle, Un e
d’amour, de regret, de rage, de pitié ; Deux fois le fer échappe à sa
main
défaillante : La rage enfin l’emporte ; et d’une
achevant ces mots, furieuse, égarée, Dans les flancs de son fils, sa
main
désespérée Enfonce, en frémissant, le parricide a
oui, monstres inhumains, C’est vous qui dans son sang avez trempé mes
mains
: Que la mère et le fils vous servent de pâture !
u céleste ; Et le peuple effrayé de l’horreur de son sort, Levait les
mains
au Ciel, et demandait la mort. Voltaire 270.
s aux autels la victime tremblante Des prêtres en tombant prévient la
main
trop lente ; Ou, si d’un coup plus prompt le mini
, tombe, et se débat en vain ; Sa peau rude se sèche, et résiste à la
main
; Il néglige les eaux, renonce au pâturage, Et se
. On vit des malheureux, pour enfouir les graines, Sillonner de leurs
mains
et déchirer les plaines, Et roidissant leurs bras
crate, à son tour, la Sagesse t’entraîne ; Et bientôt ta
main
plus certaine Saisit avec succès la plume de Plat
beau feu la Nature est avare ; Le Temps avec effort l’arrache de ses
mains
. Mais ceux qu’anime un feu si rare, Su
Dans leurs yeux la rage étincelle ; Ils portent dans leurs
mains
et la flamme et le fer. Un seul homme éloquent s’
des Mers. Il forme une immense richesse. Le trésor sous sa
main
s’élève lentement, Vingt siècles entassés le gros
êlant les lauriers et les fleurs, J’en pare l’immortel trophée Que ma
main
élève aux vainqueurs ; J’entends dans le camp des
usiasme dure, Ma voix commande à la Nature ; Elle s’agrandit sous mes
mains
; Cesse-t-il ? mon trône s’écroule ; Mortel, je r
a vue Tant de grâce et de beauté ? Qui, comme elle peut paraître ? Sa
main
sème plus de fleurs Que l’Aurore n’en fait naître
la Religion en lui déchirant le sein. Ce monstre a un poignard d’une
main
, et un flambeau de l’autre. La discorde atten
Jephté le serment inhumain, Dans le cœur de sa fille il conduisit sa
main
. C’est lui qui de Calchas ouvrant la bouche impie
igure d’une femme âgée et vénérable, avec une Corne d’Abondance d’une
main
, et dans l’autre une Baguette qu’elle étend vers
a Guerre au front d’airain, Ou le Temps qui s’enfuit une horloge à la
main
: Et par-tout, des discours, comme une idolâtrie
i est consacré. On le représente porté sur un aigle et la foudre à la
main
. Naissance de Jupiter. L’Aigle et la Colombe.
Voulurent détrôner le Roi de l’Empirée, La foudre vengeresse arma sa
main
sacrée, Et renversant ces monts l’un sur l’autre
Cour céleste. On figure Apollon tantôt en jeune homme, une lyre à la
main
, et des instrumens de musique à ses côtés ; tantô
L’Onde a ses Dieux marins, et Prothée et Triton, Triton la conque en
main
, et l’énorme Ægéon Pressant les larges flancs d’u
ge 15. Où naissent tes rayons, Astre enflammé du jour ? Quelle
main
te roulant au-dessus de nos têtes, Dans les plain
îné par des Tigres, des Lynx ou des Panthères, tenant un Thyrse d’une
main
, et de l’autre une Coupe. Voici la saison de
o Le refrain de leurs chants bachiques. Dans les tasses, au creux des
mains
, A flots pourprés, le vin ruisselle ; Déjà circul
s, Satyres, Corybantes, Les flambeaux, ou le Thyrse, ou la coupe à la
main
, De leur foule bruyante inondent le chemin. Les u
au jeune homme, des ailes à la tête et aux talons, et un caducée à la
main
. Message de Mercure à Calipso. Mercure se di
erre ou la plaine liquide. Le Dieu prêt à partir fait briller dans sa
main
Son Sceptre redouté, dont le charme divin Peut do
vec une couronne d’ébène sur la tête, la clé du séjour des morts à la
main
, et sur un char traîné par des chevaux noirs.
L’antre enflammé vomit le fer de ses entrailles. Le Dieu tient d’une
main
ses mordantes tenailles, De l’autre il bat l’encl
urs de son palais d’airain, Il trace en des lambris, merveilles de sa
main
, Son enfance difforme, odieuse à son père. Et bie
te, une pique et un fouet, et quelquefois une torche ardente dans les
mains
. L’Hiver n’enchaîne plus les foudres de Bell
filets, jeunes cœurs : Fuyez-les ; c’est pour vous surprendre Que sa
main
les tresse de fleurs33. A un jeune Poète, Su
e figure en jeune homme blond, couronné de roses, et un flambeau à la
main
. On donnoit aussi le nom d’Hyménée aux vers qu’on
ouloit être aussi de la fête, Vint d’un air insolent lui présenter la
main
, Le Héros irrité passe en tournant la tête
ennui dévore ; Et vous, fils de Chiron, élèves d’Epidaure, Venez : la
main
des Dieux, sensible à tous nos maux, En cacha le
sés apportant le dictame ; D’abord leur sang s’arrête, et docile à sa
main
Le fer lâche sa proie, et tombe de leur sein. Re
l est représenté soulevant le masque d’un visage, et une Marotte à la
main
. Curieux et malin, Momus épioit toutes les action
e homme gras et frais, un bonnet de fleurs sur la tête, un vase d’une
main
et un bassin de l’autre. Hôte odorant des bo
eprésentoit sous la figure d’un jeune homme à demi-nu, une corne à la
main
et un doigt sur la bouche. Le Silence auquel il p
e représente avec des ailes de papillon, et une plante de pavots à la
main
, dont il touche les mortels qu’il veut bercer de
es : Loin de toi le fard de Vénus Et le clinquant de l’imposture : Ta
main
dépouille la Nature De ses ornemens superflus ; L
ges de l’orgueil. Le culte de ce Dieu simple et naïf étoit confié aux
mains
innocentes des Vestales. L’âge le plus heure
les noms de l’urne du destin, De l’enfant sans détour on emprunte la
main
. L’Enfance, trop souvent, est l’aurore infidelle
li petit Enfant . Au lieu de fleurs sur ton berceau, Ma
main
, heureux Enfant, attache ce présage :
rore annonce un jour serein, Divers prix vous seront dispensés par ma
main
. Les uns pour le rameur fatiguant l’onde amère ;
mène ; Et d’un peuple nombreux il s’avance entouré. Epanchés par ses
mains
, le lait, le vin sacré, Et le sang le plus pur on
la représente avec une tour sur la tête, une clé et un disque dans la
main
, couverte d’une robe parsemée de fleurs, tantôt e
âge, en sa race, il ne doit point renaître. Cependant sous leurs
mains
, les tambours effrayans, La flûte, la cymbale, et
joncher tous les chemins, Et des torrens de fleurs, tombant de toutes
mains
, L’inonder toute entière, elle et sa cour brillan
une troupe, au son vif et tonnant De l’airain, sur l’airain, dans ses
mains
résonnant, Pour te sauver des dents de ton barbar
apprend aux humains Qu’il faut que leur famille, au secours de leurs
mains
, Qu’il faut que leur patrie, à leur noble victoir
où l’éclat d’un or pâle Ranime un fond tendrement azuré, Et dans ses
mains
brille un sceptre d’opale. Imbert 69. Diane
est représentée sur un char d’or, traîné par des biches, un arc à la
main
, un carquois sur l’épaule, et un croissant sur la
rtant sans bruit leurs pas vers ces Dieux homicides, D’une tremblante
main
saisissent leurs carquois ; Et bientôt des débris
; Le bouton sort du bouquet qui s’effeuille ; Le fruit renaît sous la
main
qui le cueille : Les Gnidiens que Vénus y conduit
nte vêtue d’une robe longue, un voile sur la tête, une javeline d’une
main
, et un vase à deux anses de l’autre, ou une lampe
se célébroient ses mystères. On la représente avec une faucille d’une
main
, et de l’autre, une gerbe d’épis et de pavots.
s arbres émondés par le fer des Emiles, Les champs sollicités par les
mains
des Camilles, De leurs dons à l’envi combloient l
erre, et Déesse de la Justice. On la figure avec une balance d’une
main
, un glaive de l’autre, et un bandeau sur les yeux
ine toison compose mes habits ; Et quand le fuseau tourne entre leurs
mains
légères, Ne blesse pas les doigts de nos jeunes b
préside aux fruits et aux vergers. On la représente une serpette à la
main
, une couronne de fruits sur la tête, avec une cor
me devient insipide, Pourrai-je te le pardonner ? Hélas ! lorsque ta
main
volage Nous met sur un trône de fleurs, Croit-on
ou les attraits, Soyez plus attendris que vains de ses bienfaits : La
main
qui les versa peut aussi les détruite. Dorat 89.
Déployant l’azur de leurs ailes, Dévancent son cours glorieux : Leurs
mains
, dans les plaines mobiles, Dirigent les rênes fra
ières naissantes Se brisent dans le champ des airs. L’Aube de sa
main
triomphante, Enchaîne le Dieu du sommeil, Et de l
u contour. Sur le plafond on voit les Heures Danser, se tenant par la
main
; Sur les lambris peints par Vulcain, L’on voit l
prits ainsi que nos corps, Et nos talens sont des ressorts Que leurs
mains
légères polissent. Les Grâces entourent de fleurs
ont il vit le trépas. Nouvel ordre ! chaque colonne, Ouvrage des
mains
d’Apollon, Au lieu d’acanthe se couronne Des rame
: Melpomène à la Tragédie, chaussée d’un cothurne et un poignard à la
main
: Thalie à la Comédie, en brodequin et en masque
sur un globe : et Polymnie à la Rhétorique, le sceptre oratoire à la
main
. Apollon leur frère, est à leur tête. Elles habit
éris du plus beau103 des mortels. C’est sous ces pins touffus que ses
mains
innocentes Vous, ont élevé des aut
Qu’ainsi coulent vos dons répandus à propos, Mais que la
main
reste cachée105 ! A une belle Source, à qui le
toit assise sur un trône, couronnée de simples, tenant une coupe à la
main
, et ayant auprès d’elle un autel où s’entortilloi
frais qu’on y respire et de leur doux ombrage, De mes
mains
ils furent l’ouvrage ; Et nous y goûterons un tra
de coiffée de serpens, les yeux égarés, une torche et un poignard aux
mains
, les bras sanglans et la bouche écumante. De
forment sa chevelure ; Une robe sanglante est toute sa parure ; Et sa
main
secouant un flambeau dans les airs, De sa cruelle
be flotte aux vents, sanglante, déchirée \ Elle arme d’un poignard sa
main
désespérée. Sur le froid Apennin le monstre
ppui ; Aussi-bien sous mes pas c’est creuser un abyme, Que retenir ma
main
sur la moitié du crime ; Et, te faisant mon roi,
ient la trame de la vie des hommes, dont la destinée étoit dans leurs
mains
. Leur nom étoit Clotho, Lachésis et Atropos. La p
c plaisir les beaux jours d’Isabelle ; J’apperçus Atropos, qui, d’une
main
cruelle, Vouloit couper le fil, et la mettre au t
t d’ambrosie arrose l’Immortelle. La hideuse Alecton, une torche à la
main
, Se prépare à remplir son barbare dessein ; Des
fond de leurs cœurs porte un trouble fatal. C’est peu : la torche en
main
, pour égarer leur ame, Elle forme autour d’eux mi
te avec un vêtement noir parsemé d’étoiles, un Sceptre de plomb, à la
main
, parcourant silencieusement le Ciel, sur un char
en arrière, Lui fait un dôme émaillé de saphyrs. De ses chevaux, une
main
tient les rênes, L’autre répand des moissons de p
d’une robe noire, des ailes aux épaules, une faux, ou des filets à la
main
. On lui donne aussi un cœur et des entrailles de
Ils font de vains efforts. Du temps qui détruit tout, les
mains
infatigables Mineront sourdement ces marbres impo
our et à la nuit, et connoissant l’avenir et le passé ; un bâton à la
main
droite et une clé dans la gauche. Lorsque Ja
e la peau du lion de Némée. Terrible et fier, Alcide a dans ses
mains
Et le repos et l’effroi des humains. Un sourcil n
ces de son modèle. Il vainquit avec lui les Amazones, et reçut de ses
mains
leur reine Antiope, de laquelle il eut Hippolyte.
e, Mes essaims ne sont plus ; et vous êtes ma mère ! Achevez : de vos
mains
ravagez ces côteaux, Embrasez mes moissons, immol
écouter les Nymphes attentives Font tourner leurs fuseaux entre leurs
mains
actives, Du malheureux Berger la gémissante voix
is ; Sa mère en l’écoutant sourit et le rassure ; Les Nymphes sur ses
mains
épanchent une eau pure, Offrent polir les sécher
ton captif à reprendre ses traits. Sur son fils, à ces mots, sa
main
officieuse Répand d’un doux parfum l’essence préc
ut fait rouler les antiques sapins, Et que la rame sous ses
mains
Frappoit à coups pressés le sein des Néréides ;
Venir briguer l’honneur d’une illustre conquête ; Orphée, un luth en
main
, sur la poupe, à leur tête, S’élança lo
un père malheureux, les lèvres ont pressé Sur le sang de ses fils, la
main
qui l’a versé. Achille s’est ému : le nom ch
ri d’un père Réveille une douleur que la pitié tempère. Il retire ses
mains
, détourne le regard, Repousse doucement le suppli
agée, Et soulevant le poids dont elle étoit chargée, Le Héros tend la
main
à ce Roi malheureux Dont l’âge et l’infortune ont
éclaireront nos pleurs ; Le dixième verra fumer notre hécatombe ; Nos
mains
, le jour suivant, élèveront la tombe, Et, si du s
laive du trépas ; Ma parole est sacrée, et tu n’en doutes pas. Que ta
main
dans la mienne en soit ici le gage. J’y compte, d
ci le gage. J’y compte, dit Priam, touché d’un tel langage : Et leurs
mains
se serrant par un même transport, Scellent dans l
de mort, ces apprêts, ce festin, Ce festin détestable, où le fer à la
main
, Clytemnestre ! ma mère ! ah ! cette horrible im
vu votre père, attiré dans le piége, Se débattre, et tomber sous leur
main
sacrilège. Pammène, aux derniers cris, aux sanglo
toi : Votre cœur affamé de sang et de victimes, M’a fait souiller ma
main
du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle v
? Ah ! c’en est trop, il faut qu’à ma colère… Que vois-je ? Dans ses
mains
la tête de ma mère ! Quels regards ! où fuirai-je
. C’en est fait ; je succombe à cet affreux supplice : Du crime de ma
main
mon cœur n’est point complice ; J’éprouve cependa
outrage, J’appris à soutenir mes misérables jours. Mon arc, entre mes
mains
seul et dernier recours, Servit à me nourrir ; et
briser des rameaux, et pour y recueillir Le feu que des cailloux mes
mains
faisoient jaillir. Des glaçons dont l’hiver blanc
la lance, Du Pélion sauvage antique rejeton, Jadis elle tomba sous la
main
de Chiron ; Et des enfans de Mars l’Elite infortu
e Au sein d’Hector porte enfin la terreur ; Et que ma
main
fumante de carnage, De ses flancs déchirés puisse
ge entre tous les humains, Daigna m’instruire encore au sortir de ses
mains
; Je ne veux point me peindre avec trop d’avantag
igneur, j’ai, vu votre malheureuse fils Traîné par les chevaux que sa
main
a nourris. Il veut les rappeler, et sa voix les e
les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’appelle ; et me tendant la
main
, Il ouvre un œil mourant, qu’il referme soudain :
ortant son vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la
main
, et suivi de la malheureuse Créuse son épouse qui
lée) Vénus pour la figure et Mars dans la mêlée, Vient, la hache à la
main
, la douleur sur le front, d’un funeste hasard ven
reur lui montrant les furies ; De leurs fouets déchirans frappant ses
mains
impies ; Elle promet aux Dieux d’expier son erreu
ent les Dieux… D’une dure cuirasse elle presse ses charmes ; Des
mains
même de Mars elle reçut ces armes. Elle entoure d
té, S’élève un casque d’or d’aigrettes surmonté ; Elle tient dans ses
mains
la hache redoutable Dont Bellone aiguisa le fer i
lante chaleur. Quel transport vous saisit., beautés infortunées ! Vos
mains
aux jeux de Mars ne sont point façonnées ; Qu’a d
de leur mère, c’est-à-dire, des pierres. Ces pierres sortant de leurs
mains
, furent métamorphosées, celles de Deucalion en ho
tu sais si mon cœur t’est soumis : Mais puis-je d’une aïeule avec des
mains
profanes, Toucher les os sacrés et violer les mân
t l’aïeule des humains : Les pierres sont les os, qui, lancés par nos
mains
, Vont de mortels nouveaux repeupler la Nature. L’
Ces cailloux amollis sous leurs doigts étonnés, S’échappent de leurs
mains
à demi façonnés ; Et perdant par degrés leur rude
ains : La Gloire à la suivre s’empresse, Tenant des lauriers dans ses
mains
; Du Soleil les coursiers s’arrêtent ; Les Heures
vé sur l’horison, que les chevaux du Soleil, se sentant menés par une
main
étrangère et novice, prirent le mors aux dents, s
xprimé le malheur de son fils : Deux fois il le tenta ; deux fois, sa
main
glacée Abandonna l’image à peine, encor tracée.
une maison, ayant cour et jardin, Remise et cætera. Le voilà flûte en
main
, Qui souffle et souffle à perdre hale
ant, Il l’implore : Agavé le regarde en hurlant, S’approche, et d’une
main
au carnage échauffée, Elle enlève sa tête, et la
survivre à son affreux destin, Et veut du moins mourir les armes à la
main
. Il couvre d’un harnois, dont il n’a plus l’usage
orta sur ses épaules hors de la ville, tenant son fils Ascagne par la
main
, et l’embarqua avec lui sur ses vaisseaux. Anchis
j’embrasse enfin, que j’embrasse mon père ! Que j’ariose de pleurs la
main
qui m’est si chère ! Il s’efforce trois fois de l
présent vient des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots, de sa
main
qu’anime un noble effort Un trait part… Mais quel
ois dans le crime incertains, Ils redoutent la nuit, ouvrage de leurs
mains
; Un moment peut les perdre…O funeste vertige ! L
Neptune se plaint dans l’ombre de la nuit, Quand la rame docile, à la
main
qui la guide, Fend à coups redoublés son domaine
teint leurs voix sur leurs lèvres glacées ; De replis écailleux leurs
mains
embarrassées Appellent, mais envain, un secours f
embler : Du sein de ma patrie il fallut m’exiler. Je craignis que ma
main
malgré moi criminelle, Aux destins ennemis ne fût
as par quel enchantement J’oubliois jusqu’ici ce grand événement ; La
main
des Dieux sur moi si long-temps suspendue Semble
ent mes sujets, et faits pour m’obéir. Je marche donc vers eux, et ma
main
furieuse Arrête des coursiers la fougue impétueus
ois, je reconnois la blessure mortelle Que te fit dans le flanc cette
main
criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un monstre dét
ne branche chargée de fruits, qui échappoient sans cesse à ses avides
mains
. Vers une eau désirée, ou sur un fruit voisi
e, ou sur un fruit voisin, Toujours Tantale avance ou la bouche ou la
main
: Toujours le fruit rebelle à la main qui le touc
ntale avance ou la bouche ou la main : Toujours le fruit rebelle à la
main
qui le touche, Recule, et l’eau perfide a fui loi
ta raison : Triomphant au milieu des Dames de Phrygie Et la lyre à la
main
, tu nourris le poison Qui va trancher le cours d’
quoi, tu meurs pour m’avoir trop aimée ! Tu meurs ! et contre toi ta
main
s’est donc armée ? Je saurai t’imiter ; la mienne
morts. Rhadamante et Eaque en étoient les seconds. Mes homicides
mains
, promptes à me venger, Dans le sang innocent brûl
père y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise en ses sévères
mains
. Minos juge aux Enfers tous les pâles humains ; A
Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta
main
tomber l’urne terrible ? Je crois te voir, cherch
oulut envain l’épouser : Didon fidelle aux mânes de Sichée, refusa sa
main
. Iarbe lui ayant déclaré la guerre, elle fut seco
e inconsolable, et sans cesse occupée de son cher Hector, ses chastes
mains
lui dressèrent un tombeau en Epire, sur les bords
ne superbe essuyant les dédains, Tu pourrois la servir de tes royales
mains
! Et tremblante à ses pieds, tantôt filer ses lai
me resserre ! » Il dit, et vers son fils, tend l’une et l’autre
main
. Mais l’enfant, à l’aspect de l’armure d’airain,
aux cruels, et prévois-tu ta-mort ? Tes pleurs coulent envain, et tes
mains
innocentes, Tes baisers redoublés pressent mes ma
t envain, et tes mains innocentes, Tes baisers redoublés pressent mes
mains
tremblantes. Malheureux ! prétends-tu, caché sous
espérons plus le voir, tel qu’au fort des combats, Nos tyrans, de ses
mains
recevoient le trépas, Quand du joug de l’Europe a
el, elle marchoit tristement vers l’autel ou l’Usurpateur périt de la
main
d’Egiste. Me rendrez-vous mon fils, Dieux té
et enfant malheureux, le seul que j’ai sauvé ? Ecartez loin de lui la
main
de l’homicide. C’est votre fils, hélas ! c’est le
, l’œil fixe, et d’un front inhumain, Présentoit à Mérope une odieuse
main
; Le Prêtre prononçoit les paroles sacrées ; Et
c’étoit Egiste, il s’élance aux autels ; Il monte, il y saisit, d’une
main
assurée Pour les fêtes des Dieux la hache préparé
s les crimes, Erox, qui dans son sang voit ce monstre nager, Lève une
main
hardie, et pense le venger. Egiste se retourne, e
rps penché, déjà paroît le vieux Silène, Aux crins de ce coursier, sa
main
cherche un apui ; Les Thyades en feu vont, vienne
Dragon veilloit jadis Sur le jardin des Hespérides ; Il écartoit les
mains
avides, Les regards même étoient punis. Un jeune
ahos et l’Univers naquit. Pour embellir ce globe arrondi par ses
mains
, Un Dieu forma les lacs, et creusa leurs bassins
es rives, Roulent en liberté leurs eaux long-temps captives. Enfin la
main
du Dieu qui régla l’Univers, Revêtit les forêts d
erme divin développé son être, L’homme naquit. Ainsi sous de savantes
mains
La glèbe s’étonna de former les humains. Mais ta
oux ; Et le Destin jaloux Va m’imposer les fers dont ma
main
te délivre. Castor , Le fils de Jupiter doit l
: « O moitié de mon ame, « Ne m’abandonne pas, viens, et prends cette
main
, « Tant qu’il me reste encor quelque chose d’huma
n Cygne par son père. On le représente avec une Lyre ou un, Luth à la
main
. Protée à Aristée. Eurydice fuyoit, hélas !
, mon cher Orphée ; Eurydice expirante, Envain te cherche encor de sa
main
défaillante ; L’horrible Mort jetant son voile au
gémissant l’oiseleur inhumain Qui, glissant dans son nid une furtive
main
, Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore,
beautés s’efforçoient de lui plaire, Il dédaigna leurs feux ; et leur
main
sanguinaire, La nuit, à la faveur des mystères sa
i seule en façonna l’entrée, Dans le tuf que le Temps a creusé des es
mains
, Semble avoir imité l’art savant des humains. Au
fille du fleuve Ismène, De ses cheveux tressés a renoué l’ébène : Sa
main
prompte et légère est habile en cet art, Et cepen
t, Et cependant les siens voltigent au hasard. Déjà, l’urne à la
main
, Nyphé, Psécas, Hyale, Et la brune Rhanis, et la
oin les tableaux de Zeuxis et d’ Apelle : Ceux-ci furent tracés d’une
main
immortelle. Nos deux époux surpris, étonnés, conf
dirent-ils, vos moindres créatures ; Aurions-nous bien le cœur et les
mains
assez pures, Pour présider ici sur les honneurs d
Jupiter exauça leur prière innocente. Hélas ! dit Philémon, si votre
main
puissante Vouloit favoriser jusqu’au bout deux mo
ant vos autels. Cloton feroit d’un coup ce double sacrifice. D’autres
mains
nous rendroient un vain et triste office. Je ne p
les flancs d’une terre ennemie, Placé dans des rochers où fa fixé ma
main
, Il présente la pointe où s’appuîra mon sein. Ce
pis. Vous, filles de la Nuit, Déités implacables, Qui, la torche à la
main
, poursuivez les coupables, Ministres des Enfers,
s. Insulte à mon trépas : payez-leur-en le prix. Qu’ainsi que par mes
mains
ma vie est terminée, La main de leurs parens tran
z-leur-en le prix. Qu’ainsi que par mes mains ma vie est terminée, La
main
de leurs parens tranche leur destinée ; Que les G
eur ; ses alimens se changeoient en or à l’instant qu’il y portoit la
main
. Il pria Bacchus de lui retirer ce don funeste, e
il au Dieu du Pinde, Phébus commence, et devant ce limier, La lyre en
main
, prélude le premier, A ses accords les chênes rev
phe d’Arcadie. Poursuivie par le Dieu Pan, dont elle refusoit la
main
, elle se sauva sur les bords du fleuve Ladon, qui
’un chaste hymen par nos maux achetés, Quoi ! nous les confions à des
mains
mercénaires ; Tandisque des forêts les hôtes sang
es mots, du taillis, ardente à s’élancer, Elle accourt, elle tend les
mains
pour l’embrasser… Fuis, lui dit-il ; je veux me d
lesse, D’une laine grossière adoucir la rudesse, Des flocons, sous sa
main
, en nuages voler, Ou le fuseau glissant, s’arrond
crimes des Dieux. L’ouvrage, l’ouvrière est coupable à ses yeux Et sa
main
, d’un fuseau., lui frappe le visage. Sa rivale ne
. Sa rivale ne peut endurer cet outrage ; Furieuse ! au lacet que ses
mains
ont lié, Elle suspend son cou. Pallas en eût piti
veloppe d’écorce ; Ses bras, libres encor, se tendent avec force ; Sa
main
, qui sur son front croit saisir ses cheveux, Sais
essée ; Elle monte, se glisse, et me fermant les yeux, Dispense votre
main
de ce devoir pieux. Elle cesse à la fois de
Héros grec, se noya de désespoir. On les représente, l’une ayant à la
main
une espèce de tablette, l’autre deux flûtes, et l
nt Pélion, Souffler son infecte rage, Contre le naissant ouvrage, Des
mains
de Deucalion. Mais, le bras sûr et terrible
forces. Boileau 232. Tandis qu’aux fanges du Parnasse, D’une
main
criminelle et basse ; Rufus va cherchant des pois
D’une main criminelle et basse ; Rufus va cherchant des poisons : Ta
main
, délicate et légère, Cueille, aux campagnes de Cy
e Paris enchaîne la mollesse, Riches, qui répandez votre or à pleines
mains
, Pour embellir d’insipides jardins Dont l
u’il adore, et d’y trouver ses Dieux. Il n’est rien de sacré pour des
mains
sacriléges, Les Dieux même, les Dieux n’ont point
nées. Il querelle leur crainte, il frémit de courroux, Et le fer à la
main
porte les premiers coups. Quittez, quittez, dit-i
ent leur cime. Ramenons mes regards. Quels sites j’apperçois ! Quelle
main
a creusé ces abymes terribles !237 M
élodieux, Diane au carquois d’or, Déesse bocagère, Qui la flèche à la
main
, de sa robe légère, Nouoit sur le genou les repli
vains couronnés de rameaux verdoyans ; Les Nymphes, qui sans art, les
mains
entrelacées, Dansoient aux sons joyeux de leurs v
ntagnes, Déroboit à mes yeux le terme des campagnes. Cybèle à pleines
mains
y versoit ses bienfaits, Les Grâces le paroient d
serein et pur, De l’Olympe brillant nuancèrent l’azur. Ici le soc en
main
, sur la terre docile, Le laboureur joyeux trace u
ranger qui la couronne Est parsemé de vers luisans. Que Plutus, d’une
main
fantasque, Orne les bains de Danaé ; Thalie, Euph
, Elle laisse errer son troupeau, La jeune et timide bergère Arme ses
mains
d’un long roseau : Attentive, silencieuse, Palpit
oudain, dans l’onde transparente, Elle l’a vu se débattant, Et, d’une
main
impatiente, Je l’apperçois qui, dans l’instant, T
prêt d’attacher la palme des Héros, Quand l’un de sa
main
affoiblie, Sent échapper les rênes de
ts : Sur un superbe char dont l’orgueil fut le guide, Une torche à la
main
il parcouroit l’Elide, Exigeoit les honneurs dûs
oursiers l’impétueux passage, Imitoit la tempête, et mettoit dans ses
mains
Les secrets du Tonnerre ignorés des humains. Mais
t, et s’évite sans cesse. L’eau cherche et fuit Tantale, et son avide
main
Voit le fruit qui s’échappe, insulter à sa faim.
le, Divinité du sentiment… Il vient brillant comme l’Aurore, Et d’une
main
il tient encore Le foudre puissant des Césars ; D
andit son fiel dangereux !… Vengez-le, noires Euménides, Venez de vos
mains
homicides Déchirer ce spectre hideux ; Enfer, reç
er encor sur leurs traces, Les Héros et même les Dieux. Horace d’une
main
hardie Touchant la lyre d’Ausonie, Rend des sons
Cahos. Il tenoit sous ses pieds le Globe Terrestre, et dans ses
mains
l’Urne fatale, où étoit contenu le sort des homme
ible Offre en un point l’avenir ramassé. L’Urne des sorts est dans sa
main
terrible ; L’axe des temps pour lui seul est fixé
tes faveurs ! L’insecte, dans la fange, est fier de ses couleurs. Ta
main
du paon superbe étoila le plumage ; D’un souffle,
C’est Crillon, c’est Sully, c’est toi, divin Caton, Tenant entre les
mains
un poignard, et Platon, Parlant et combattant, et
tée avec un visage doux et serein ; une petite statue de Plutus d’une
main
; de l’autre, une poignée d’épis et de roses, et
le y figuroit en Reine, ou assise sur son trône avec un caducée d’une
main
et une corne d’abondance de l’autre ; ou debout a
ses blessures ; quelquefois couverte d’un crêpe, et un poignard à la
main
, A la plus sensible et la plus tendre des Mères
mbloit encor l’embellir à nos yeux. Sur le clavier lorsque sa
main
brillante Se promenoit au gré de ton dési
Dieu tutélaire Qui l’arracha de ses forêts. Sous la
main
du travail, la Terre fit éclorre Les prémices heu
toi seul qui guidois l’essor de Démosthènes : Et quand, la foudre en
main
, il maîtrisoit Athènes, L’avenir s’of
rans invisibles, A tes autels terribles, L’encensoir à la
main
, fléchissent les genoux. Tu peux, et c’est l’eff
ortelle. Cette fille de l’Enfer Porte dans sa
main
sanglante Une tenaille brûlante,
l’or de sa robe pompeuse, Qui se change en poussière aussitôt dans sa
main
: Comme ce papillon, la fortune est trompeuse ; E
ut est vrai, simple, et fait pour les Dieux. De bons Gaulois de leurs
mains
le fondèrent \ A l’Amitié leurs cœurs le dédière
Liberté de l’homme est le premier besoin, Mais de l’homme sortant des
mains
de la Nature, Qui recueille ce germe au sein, d’u
ps soulagent des esclaves Courbés vers les terrestres lieux ! Plus ta
main
frappe la matière, Plus mon esprit rompt la barri
rlemens affreux : Ce superbe Paris fut plein de malheureux, De qui la
main
tremblante et la voix affoiblie, Demandoient vain
avoit vu, par ces cœurs inhumains, Un reste d’alimens arraché de ses
mains
. Des biens que lui ravit la Fortune cruelle, Un e
d’amour, de regret, de rage, de pitié ; Deux fois le fer échappe à sa
main
défaillante : La rage enfin l’emporte ; et d’une
achevant ces mots, furieuse, égarée, Dans les flancs de son fils, sa
main
désespérée Enfonce, en frémissant, le parricide a
oui, monstres inhumains, C’est vous qui dans son sang avez trempé mes
mains
: Que la mère et le fils vous servent de pâture.
u céleste ; Et le Peuple effrayé de l’horreur de son sort, Levoit les
mains
au Ciel, et demandoit la mort. Voltaire 285.
s aux autels la victime tremblante Des prêtres en tombant prévient la
main
trop lente ; Ou, si d’un coup plus prompt le mini
e, tombe, et se débat envain ; Sa peau rude se sèche, et résiste à la
main
; Il néglige les eaux, renonce au pâturage, Et se
. On vit des malheureux, pour enfouir les graines, Sillonner de leurs
mains
et déchirer les plaines, Et roidissant leurs bras
te, à son tour, la Sagesse t’entraîne ; Et bientôt ta
main
plus certaine Saisit avec succès la plume de Plat
beau feu la Nature est avare ; Le Temps avec effort l’arrache de ses
mains
. Mais ceux qu’anime un feu si rare
Dans leurs yeux la rage étincelle ; Ils portent dans leurs
mains
et la flamme et le fer. Un seul homme éloquent s’
Mers. Il forme une immense richesse. Le trésor sous sa
main
s’élève lentement, Vingt siècles entassés le gros
shonore. Au Couchant ténébreux, la ravissante Aurore Brillera sous la
main
de l’aveugle Hasard ; Les épis verdiront sous l’A
êlant les lauriers et les fleurs, J’en pare l’immortel trophée Que ma
main
élève aux vainqueurs ; J’entends dans le Camp des
usiasme dure, Ma voix commande à la Nature ; Elle s’agrandit sous mes
mains
; Cesse-t-il ? mon trône s’écroule ; Mortel, je r
a vue Tant de grâce et de beauté ? Qui, comme elle peut paroître ? Sa
main
sème plus de fleurs Que l’Aurore n’en fait naître
la Religion en lui déchirant le sein. Ce monstre a un poignard d’une
main
, et un flambeau de l’autre. La discorde atte
Jephté le serment inhumain. Dans le cœur de sa fille il conduisit sa
main
. C’est lui qui de Calcas ouvrant la bouche impie,
, il a formé la secte turbulente, Qui sur un Roi trop foible a mis sa
main
sanglante. Dans Madrid, dans Lisbonne, il allume
igure d’une femme âgée et vénérable, avec une Corne d’Abondance d’une
main
, et dans l’autre une Baguette qu’elle étend vers
ons, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa
main
des fleurs toujours écloses. D. Les anciens reco
ible Offre en un point l’avenir ramassé. L’urne des sorts est dans sa
main
terrible ; L’axe des temps par lui seul est fixé.
cesse à ce palais terrible, Et de là sur la terre il verse, à pleines
mains
, Et les biens et les maux destinés aux humains. S
és. Le mois de janvier lui fut consacré. On lui mettoit une clef à la
main
droite, pour marquer qu’il ouvroit l’année ; il t
que, représentée sous la figure d’un vieillard, tenant une faux de la
main
droite, et de l’autre un serpent qui se mord la q
rtel, La cour de Jupiter, et le sénat du ciel. Le dieu, le sceptre en
main
, se place sur son trône ; L’immortelle assemblée
onts sur monts, escalada l’éther. Mais le maître des dieux, armant sa
main
puissante, Foudroya de leurs monts la menace effr
es dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodiguant par leur
main
Touts les présents dont l’Olympe s’honore, Fit mé
menton est couvert d’une barbe majestueuse, il tient le sceptre d’une
main
; de l’autre, il lance la foudre. Les vertus siég
ntée sur un char brillant traîné par deux paons. Elle a le sceptre en
main
, et le front couronné de lis et de roses. On plac
. On la peint couronnée de fleurs et d’épis, tenant un flambeau d’une
main
, et de l’autre une gerbe de blé ou une branche de
en bête féroce, et prenoit toute sorte de formes, pour se retirer des
mains
qui le retenoient ; de là vient qu’on dit d’un ho
ils s’indignent du frein. Au haut de son rocher, assis le sceptre en
main
, Eole leur commande ; il maîtrise, il tempère Du
et se fit attacher lui-même au mât du navire par les pieds et par les
mains
. Cette précaution le sauva ; et les Sirènes, de d
vautour, des ailes de chauve-souris, et des griffes aux pieds et aux
mains
. Elles infectoient tout ce qu’elles touchoient :
de Néréides. Le front ceint du diadème, le souverain des mers, d’une
main
calmoit les flots agités, de l’autre tenoit le tr
chevaux noirs. Il est couronné d’ébène, de narcisses ou de cyprès. Sa
main
droite est armée d’une longue fourche ; l’autre t
qui se ronge elle-même ; le désespoir qui se déchire de ses propres,
mains
; l’ambition forcenée qui renverse tout ; la trah
ouvert son tribunal auguste ; Il tient l’urne terrible en ses fatales
mains
, Et jugé sans retour touts les pâles humains. ( V
ur donne des couleuvres pour cheveux. Elles tiennent une torche d’une
main
, et de l’autre un fouet armé de serpents. Elles o
te avec, un vêtement noir parsemé d’étoiles, un sceptre de plomb à la
main
, parcourant silencieusement le ciel, sur un char
a Mort est fille de l’Érèbe et de la Nuit. Une faux sanglante arme sa
main
décharnée ; une robe noire, parsemée d’étoiles, c
ourir de divers supplices touts les étrangers qui tomboient entre ses
mains
. Thésée le tua, et les dieux le précipitèrent dan
ux noirs, portant une couronne d’ébène sur la tête, et des clefs à la
main
. D. Pluton est-il le même que Plutus ? R. Non. P
représente avec des ailes à la tête et aux pieds, et un caducée à la
main
. D. Qu’étoit-ce que le caducée de Mercure ? R. C
déré comme dieu du commerce ? R. On le peignoit avec une bourse à la
main
gauche, et à l’autre un rameau d’olivier et une m
ente armée d’une cuirasse, avec un casque sur la tête, une lance à la
main
, l’égide au bras, et auprès d’elle un hibou, son
char d’acier, chef-d’œuvre de Vulcain, L’Activité tient les rênes en
main
; Fiers tourbillons, ses coursiers indomptables S
nfant nu, avec un sourire malin, un bandeau sur les yeux, un arc à la
main
et quelquefois un flambeau. Il a des ailes, et po
d’un jeune homme blond, couronné de roses, et tenant un flambeau à la
main
. On prétend que Vénus eut encore de Bacchus, les
dinairement la cour des Muses. On les peint nues, et se tenant par la
main
, pour montrer que les Grâces n’empruntent rien de
dieu de la vendange. Il est assis sur un tonneau avec une coupe à la
main
, ou sur un char traîné par des tigres, des lynx o
char traîné par des tigres, des lynx ou des panthères, et tenant à la
main
un thyrse, qui est une baguette entourée de pampr
invoquer leur dieu. Elles avoient les cheveux épars, et portoient en
main
des flambeaux ou des thyrses. Ces fêtes s’appeloi
mont Pélion, Souffler son infecte rage Contre le naissant ouvrage Des
mains
de Deucalion. Mais le bras sûr et terrible Du die
domptable Phlégon. Enfin, elle aperçoit son père lui-même, qui, de sa
main
immortelle, tient les rênes étincelâmes. A cette
L’onde a ses dieux marins, et Protée, et Triton, Triton la conque en
main
, et l’énorme Égéon Qui presse entre ses bras une
s’aperçoivent bientôt du changement de conducteur. Ne sentant plus la
main
de leur maître, ils se détournent de la route ord
une branche ; et sa tige et sa feuille Se jaunit d’un or pur dans la
main
qui la cueille. S’il ramasse une pierre, il ramas
Il change en gerbe d’or l’épi des champs arides ; La pomme est en ses
mains
un fruit des Hespérides. Aux battants d’une porte
pur en longs reflets rayonne sur le bois. Si d’une eau qu’on épand sa
main
est arrosée, On voit autour de lui l’or pleuvoir
don peu desirable, Des mets les plus exquis on a chargé sa table : Sa
main
change en métal les présents de Cérès. C’est en v
ède ; L’or qu’il a desiré punit ses vains desirs. Il lève au ciel les
mains
, il pousse des soupirs, Il s’écrie : ô Bacchus !
homme avec des cheveux blonds, un carquois sur l’épaule, un arc à la
main
, sur la tête une couronne de laurier ; ou bien da
nieux, Célèbre les exploits des héros et des dieux. Un poignard à la
main
, la triste Melpomène Tient du malheur des grands
ée ? R. On la représente chaussée d’un cothurne, tenant un arc d’une
main
, et de l’autre une flèche ; elle porte un carquoi
ésentoit avec des cornes sur la tête, une face rubiconde et tenant en
main
une espèce de flûte composée de plusieurs tuyaux,
ine toison compose mes habits ; Et quand le fuseau tourne entre leurs
mains
légères, Ne blesse pas les doigts de nos jeunes b
se de Vertumne, dieu de l’automne. On la représente une serpette à la
main
une couronne de fruits sur la tête, avec une corn
Sylvain présidoit aux forêts. On le représente tenant un cyprès à la
main
. On le confond souvent avec le dieu Pan et avec l
e homme gras et frais, un bonnet de fleurs sur la tête, un vase d’une
main
et un bassin de l’autre. Momus. D. A quoi p
sser du ciel : on le représente démasquant un visage ; et tenant à la
main
une marotte, symbole de folie. Morphée, Songes
avec des ailes de papillon, pour exprimer sa légèreté ; il tient à la
main
une plante de pavots, dont touche ceux qu’il veut
et de la Terre. On la représente ordinairement avec une balance à la
main
et un bandeau sur les yeux. Quelques-uns la repré
ndeau sur les yeux. Quelques-uns la représentent tenant une épée à la
main
. Je vois une auguste déesse, De qui la droite ve
ouches. On la représente avec des ailes au dos, et une trompette à la
main
. Déjà la Renommée, en traversant les airs, En a
foncés, un teint livide, une horrible maigreur, des serpents dans les
mains
, et un autre qui lui ronge le sein. Sur son fron
des dents, et distille de sa langue un venin infect. Elle tient à la
main
un poignard ou un flambeau. D. Quel portrait Volt
ortels il borne ses desseins. Le sang de son parti rougit souvent ses
mains
. Il habite en tyran dans les cœurs qu’il déchire,
Acrisius, roi d’Argos, avoit appris de l’oracle, qu’il périroit de la
main
d’un fils que Danaé, sa fille, mettroit au monde.
une dent plus longue que les défenses des plus forts sangliers. Leurs
mains
étoient d’airain, et leurs cheveux hérissés de se
évorer touts les étrangers qui avoient le malheur de tomber entre ses
mains
. Hercule, par ordre d’Eurysthée, se saisit de ces
en cygne par son père. On le représente avec une lyre ou un luth à la
main
, D. Faites-nous connoître Aristée ? R. Aristée é
e, Mes essaims ne sont plus ; et vous êtes ma mère ! Achevez ; de vos
mains
ravagez ces coteaux, Embrasez mes moissons, immol
is. Sa mère en l’écoutant sourit, et le rassure ; Les nymphes sur ses
mains
épanchent une eau pure, Offrent pour les sécher d
rcer ton captif à reprendre ses traits. Sur son fils, à ces mots, sa
main
officieuse Répand d’un doux parfum l’essence préc
, mon cher Orphée ; Eurydice expirante En vain te cherche encor de sa
main
défaillante ; L’horrible Mort, jetant son voile a
gémissant l’oiseleur inhumain Qui, glissant dans son nid une furtive
main
, Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore,
beautés s’efforçoient de lui plaire, Il dédaigna leurs feux ; et leur
main
sanguinaire, La nuit, à la faveur des mystères sa
nt que le sort ne trompe son attente ; Les yeux au labyrinthe, et les
mains
vers les oiseaux Au secours de Thésée elle appell
oix, Par degrés à leur rang se placent sous ses doigts. Tels, sous la
main
de Pan, l’Arcadie a vu naître Les tubes inégaux d
r ses jeux enfantins ; Quand l’ouvrage eut cent fois repassé sous ses
mains
. Dédale, qui dans l’air en suspens se balance, De
e son vol il hâte les apprêts, Des pleurs mouillent ses yeux ; et ses
mains
paternelles, Ses mains tremblent deux fois, en at
pprêts, Des pleurs mouillent ses yeux ; et ses mains paternelles, Ses
mains
tremblent deux fois, en attachant ses ailes. Il e
u moment qu’à la ligne il suspend l’hameçon, Le conducteur du soc, la
main
sur sa charrue, Le pasteur, immobile et les yeux
tour de lui rangés : Il suivoit tout pensif le chemin de Mycènes ; Sa
main
sur les chevaux laissoit flotter les rênes Ces su
rs, saisit les javelots, Pousse au monstre, et, d’un dard lancé d’une
main
sûre, Il lui fait dans le flanc une large blessur
Seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa
main
a nourris. Il veut les rappeler, et sa voix les e
les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’appelle ; et me tendant la
main
, Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain :
elle proposoit aux prétendants de courir avec elle, et promettoit sa
main
à celui qui seroit son vainqueur ; mais elle se r
s, roi de Thèbes. Laïus avoit appris de l’oracle qu’il périroit de la
main
de son propre fils ; et ordonna à Jocaste sa femm
ance douteuse Sous le nom de son fils vous fûtes élevé Par cette même
main
qui vous avoit sauvé. ( Voltaire.) D. Que fît Œd
n ton de hauteur de lui laisser le passage libre ; ils en vinrent aux
mains
sans se connoître, et Laïus fut tué. D. Dans quel
s, fit publier dans toute la Grèce, qu’il donneroit la couronne et la
main
de Jocaste à celui qui expliqueroit l’énigme. Œdi
me lui-même qui, dans son enfance, se traîne sur les pieds et sur les
mains
, ensuite, parvenu à un âge plus avancé, marche de
ois, je reconnois la blessure mortelle Que te fit dans le flanc cette
main
criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un monstre dét
« Et tu meurs, lui dit-il, et moi je vais régner. » Regarde dans mes
mains
l’empire et la victoire : » Va rougir aux enfers
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenoit à la
main
, Il lui perce le cœur ; et son ame ravie, En ache
e grotte obscure ? C’est qu’à son frère mort donnant la sépulture, Sa
main
religieuse à la tombe a remis Ces restes qu’aux v
acontez l’histoire de Pélops. R. Pélops, fils de Tantale, demanda la
main
d’Hippodamie, fille d’Œnomaüs, roi d’Élide et de
ayant fait entr’eux une ligue puissante, ils vinrent, les armes à la
main
, redemander Hélène devant Troie, qu’ils tinrent a
s les yeux, et remuoit de temps en temps la lance qu’elle tenoit à la
main
. Le palladium fut enlevé par Diomède et Ulysse. 4
élèphe. Un oracle déclara que la blessure ne seroit guérie que par la
main
même qui l’avoit faite. Achille, regardant Télèph
abits et ses muettes ombres, Elle embrasse le monde ; et ses lugubres
mains
D’un grand voile ont couvert les travaux des huma
injure. Après la prise de Troie, les Grecs remirent Hélène entre les
mains
de Ménélas, et le laissèrent maître de la destiné
e souscrire à cet ordre inhumain N’a pas, en le traçant, arrêté votre
main
? Pourquoi feindre à nos yeux une fausse tristess
ois vous servir et vous craindre. Touts les droits de l’empire en vos
mains
confiée, Cruel ! c’est à ces dieux que vous sacri
n. Un prêtre, environné d’une foule cruelle, Portera sur ma fille une
main
criminelle ! Déchirera son sein, et d’un œil curi
toi ! Votre cœur affamé de sang et de victimes, M’a fait souiller ma
main
du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle va
! ah ! c’en est trop, il faut qu’à ma colère… Que vois-je ! dans ses
mains
la tête de ma mère ! Quels regards ! où fuirai-je
! C’en est fait ; je succombe à cet affreux supplice : Du crime de ma
main
mon cœur n’est point complice ; J’éprouve cependa
tages continuels sur les Grécs. Il demanda à son ami de lui prêter du
mains
ses armes, et de lui permettre de conduire les Th
ble, Exhalant à ses pieds ses sanglots et ses cris, Et lui baisant la
main
qui fit périr son fils. Il n’osoit sur Achille en
aire Sentit que la pitié pénétroit dans son cœur. Priam lui prend les
mains
: « Ah ! Prince, ah ! mon vainqueur ! » J’étois p
nos jours sont tissus de regrets et d’alarmes, » Lui dit-il ; par mes
mains
les dieux vous ont frappé : » Dans le malheur com
r : Chacun se disputoit la gloire de l’abattre. Je l’ai vu dans leurs
mains
quelque temps se débattre, Tout sanglant à leurs
Ils ont, je le vois bien, trahi votre vengeance ; Vous vouliez que ma
main
portât les premiers coups ; Qu’il sentît en moura
uels serpents traîne-t-elle après soi ! Hé bien ! Filles d’enfer, vos
mains
sont-elles prêtes ? Pour qui sont ces serpents qu
outrage. J’appris à soutenir mes misérables jours. Mon arc, entre mes
mains
, seul et dernier recours, Servit à me nourrir ; e
briser des rameaux, et pour y recueillir Le feu que des cailloux mes
mains
faisoient jaillir. Des glaçons dont l’hiver blanc
dangers courut Ulysse dans l’île de Sicile ? R. Il y tomba entre les
mains
de Polyphème, fils de Neptune, le plus grand et l
se ayant remarqué que le monstre, en marchant à tâtons, ne portoit la
main
que sur le dos de ses brebis, attacha sous le ven
son troupeau. Chaque mouton, en passant entre ses jambes et sous ses
mains
, emporta un soldat grec, et le chef passa le dern
e flèche empoisonnée : Tirésias lui avoit prédit qu’il mourroit de la
main
de son fils. Minerve ordonna à Télégone d’épouser
suit par-tout. C’est par son secours, qu’il tue plusieurs rois de sa
main
, qu’il soutient des combats singuliers contre Hec
entraîne et le place auprès d’elle. Tout à coup, de Pyrrhus fuyant la
main
cruelle, A travers mille dards, un dernier fils d
Hector résiste ; mais soudain Son fer se brise, éclate, échappe de sa
main
… Que pouvoit sa vaillance ?… Il est atteint !… il
: Ulysse, Ulysse même en est épouvanté. Achille, l’œil terrible et la
main
menaçante, Presse, à coups redoublés, vers les ri
maque, entre la crainte de perdre son fils, et l’horreur de donner sa
main
à Pyrrhus. R. Céphise, confidente d’Andromaque,
utels, L’engager à mon fils par des nœuds immortels. Mais aussitôt ma
main
, à moi seule funeste, D’une infidelle vie abréger
uts les dieux invités Partageoient le bonheur des époux enchantés. La
main
de la Discorde, entr’ouvrant un nuage, Du désordr
de sculpture grecque, que nous possédions. Ce chef-d’œuvre est de la
main
de Polydore, d’ Athénodore et d’ Agésandre, trois
présent vient des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots, de sa
main
qu’anime un noble effort, Un trait part… Mais que
ois dans le crime incertains, Ils redoutent la nuit, ouvrage de leurs
mains
; Un moment peut les perdre… ô funeste vertige !
Neptune se plaint dans l’ombre de la nuit, Quand la rame docile à la
main
qui la guide, Fend à coups redoublés-son domaine
teint leurs voix sur leurs lèvres glacées ; De replis écailleux leurs
mains
embarrassées Appellent, mais en vain, un secours
on père Anchise, avec ses dieux pénates, prit son fils Ascagne par la
main
, et se retira sur le mont Ida, avec ce qu’il put
aux la mer pour sépulture, » Ou massacrer son peuple, ou de ma propre
main
» Lui faire de son fils un horrible festin » Mais
une couronne qui sembloit être de branches d’olivier. Il tenoit à la
main
droite une victoire d’or et d’ivoire ; à la gauch
. J’ai déposé la cendre, et qu’à cette ombre chère J’ai dressé de mes
mains
un autel funéraire. Voici même, je crois, ce jour
les sirtes déserts ou sur les mers d’Argos, Ce grand jour reverra mes
mains
religieuses Honorer son retour par des pompes pie
Repartit le vieillard. Tout établissement Vient tard et dure peu. La
main
des parques blêmes. De vos jours et des miens se
ar conséquent du bonheur ou du malheur de toute la vie. Or, à quelles
mains
plus sûres cette première éducation peut-elle êtr
ins plus sûres cette première éducation peut-elle être confiée qu’aux
mains
d’une mère ? Un père, entraîné par le soin de ses
enseigner l’histoire d’un peuple, le professeur doit mettre entre les
mains
de ses élèves un livre élémentaire qui contienne
. En répandant ses dons, une ame vertueuse Sait cacher avec soin une
main
généreuse ; D’un cœur né vraiment grand, c’est la
nts sans en recevoir la valeur ; ne laissons sortir les heures de nos
mains
qu’avec épargne, qu’avec fruit, qu’avec autant de
’oût ; Creusez, fouillez, bêchez, ne laissez nulle place Où la
main
ne passe et repasse. Le père mort, les fils vous
ée de fleurs, le front couronné de créneaux et de tours, portant à la
main
un disque et une clef, assise sur un char traîné
barbe, assis sur un trône d’or ou d’ivoire, tenant la foudre dans la
main
droite ; à ses pieds on place ordinairement un ai
jestueux et fiers, portant un diadème sur le front et un sceptre à la
main
; elle est assise sur un trône, ou dans un char t
ésomption fut cruellement punie. Les chevaux, ne reconnaissant pas la
main
de leur guide accoutumé, s’emportent et entraînen
vêtue d’une robe couleur d’azur, couronnée d’étoiles, soutenant d’une
main
un globe céleste, et de l’autre une baguette au m
histoire, est couronnée de laurier ; elle tient une trompette dans la
main
droite, et dans la gauche un livre où sont inscri
fille couronnée de lierre et chaussée de brodequins, qui tenait d’une
main
un masque, emblème de la comédie de caractère, et
t sérieux et sévère ; elle est chaussée de cothurnes, et l’une de ses
mains
tient des sceptres et des couronnes, tandis que l
une jeune fille enjouée, couronnée de myrte et de rose, tenant d’une
main
une lyre et de l’autre un archet. Euterpe, déess
, déesse de la musique, est couronnée de fleurs ; elle tient dans les
mains
un cahier de musique, des flûtes, des hautbois et
exprimer les grâces et les figures qui doivent orner le discours. Sa
main
droite semble gesticuler, et de la gauche elle so
avec l’apparence de l’enjouement et de la vivacité, tenant entre ses
mains
une harpe au son de laquelle elle dirige ses pas
arbe, parfaitement beau, couronné de laurier, et tenant une lyre à la
main
; quand on veut peindre le Dieu de la lumière, on
les cheveux noués derrière la tête et un croissant sur le front ; sa
main
tient un arc, et un carquois est attaché à son ép
vait être supporté par de simples mortels ; la foudre qu’il tenait en
main
mit le feu au palais de Sémélé, qui périt dans l’
cornes sur la tête ; il est couvert d’une peau de bouc, et tient à la
main
une coupe et un thyrse ; il est assis sur un tonn
airs : il porte des ailes aux talons et à son bonnet ; il tient d’une
main
son caducée et une bourse dans l’autre. Quelquefo
; sa tête est couverte d’un bonnet, sa poitrine nue, et il tient à la
main
des tenailles et un marteau. Questions. Qu’e
vautour, des ailes de chauve-souris, et des griffes aux pieds et aux
mains
. Les plus connues se nommaient Aello, Ocypète et
u sur un char traîné par des chevaux noirs. Sa couronne est noire, sa
main
droite soutient un sceptre terminé par une fourch
terminé par une fourche à deux pointes ; on lui met une clef dans la
main
gauche. On ne lui éleva jamais aucun temple, et o
respirent une douce majesté ; son front est couvert d’un casque ; sa
main
droite tient une lance, sa main gauche s’appuie s
on front est couvert d’un casque ; sa main droite tient une lance, sa
main
gauche s’appuie sur un bouclier ; sa poitrine est
es traits menaçants et armé de pied en cap ; il tient une lance d’une
main
et un bouclier de l’autre. Quelquefois on le plac
aîné par deux dragons, couronnée d’épis, tenant une faucille dans une
main
, et dans l’autre une gerbe d’épis et de pavots34.
it la Déesse de la justice. On la représente tenant une balance d’une
main
et un glaive de l’autre ; elle a sur les yeux un
Plutus sous les traits d’un vieillard aveugle tenant une bourse à la
main
; ils disaient qu’il était boiteux pour venir et
satirique. On représente ce Dieu avec une figure riante, tenant d’une
main
une marotte, symbole de la folie, et de l’autre u
minée ; il est coiffé d’un bonnet conique orné de fleurs ; une de ses
mains
tient un flambeau renversé, tandis que l’autre s’
andeau et les épaules chargées d’un carquois plein de flèches ; d’une
main
il tient un arc et de l’autre un flambeau allumé.
ts d’un jeune homme blond, couronné de roses, tenant un flambeau à la
main
. Questions. Qu’était-ce que l’Hymen ? — Comm
Elle porte des ailes, et une étoile brille au-dessus de sa tête ; ses
mains
répandent des roses dans l’espace. Questions.
point d’épouser la nymphe Pitys ; mais Borée, qui aspirait aussi à sa
main
, jaloux de la préférence accordée à son rival, en
rémité inférieure du corps semblable à celle d’un bouc. Il tient à la
main
la flûte à sept chalumeaux, dont il est l’invente
onne de laurier et de romarin mêlée à ses cheveux, et tenant dans ses
mains
un faisceau de paille. Questions. Qu’était-c
es Faunes. On représente Sylvain sous la figure d’un Satyre tenant en
main
un jeune cyprès. Cet arbre lui est consacré, soit
odèles des époux, et on les représente ordinairement se tenant par la
main
. Vertumne est un jeune homme couronné d’épis et d
jeune homme couronné d’épis et de grappes de raisin, tenant dans ses
mains
des fruits et une corne d’abondance. Pomone porte
e. Pomone porte une couronne de fruits ; elle tient une serpette à la
main
, et a près d’elle des corbeilles remplies de fleu
ieillard à longue barbe, assis sur les flots et tenant une pique à la
main
; auprès de lui on place habituellement un monstr
forme de coquille traîné par des dauphins et entouré de Tritons ; sa
main
droite soutient un sceptre d’or. Questions.
e si grande beauté, que Jupiter, Neptune et Apollon se disputèrent sa
main
; mais le Destin ayant déclaré que le fils qui na
naçante les aquilons furieux qui s’agitent autour de lui. Il tient en
main
un sceptre de fer. Questions. Qu’était-ce qu
es traits d’un jeune homme à la figure riante, tenant une coupe d’une
main
, et de l’autre une corne d’abondance. Le mauvais
a Nuit, était un vieux nautonier rude et grossier, qui, l’aviron à la
main
, faisait traverser les fleuves infernaux aux ombr
phone ; on les représentait coiffées de couleuvres et tenant en leurs
mains
des serpents et des torches ardentes. Tisiphone,
portée ; mais les branches se redressaient dès qu’il en approchait la
main
, et échappaient constamment aux efforts qu’il fai
le représente tenant sous ses pieds le globe de la terre, et dans ses
mains
l’urne qui contient le sort des hommes. Questio
les traits d’une femme ailée qui parcourt l’espace une trompette à la
main
. Questions. Qu’était-ce que la Renommée ? —
ésente sous les traits d’une femme couronnée de laurier, tenant d’une
main
une petite statue de Plutus, une gerbe d’épis mêl
de cheveux, un teint livide, des yeux égarés, la bouche écumante, les
mains
ensanglantées et les vêtements déchirés ; d’une m
e écumante, les mains ensanglantées et les vêtements déchirés ; d’une
main
elle agite une torche ardente, dans l’autre elle
n front ridé, des joues creuses et une coiffure de couleuvres ; d’une
main
elle porte trois vipères, de l’autre une hydre à
sses seules avaient le droit de pénétrer. On la représentait avec des
mains
de bronze, dans lesquelles elle tenait de longues
té sous les traits d’un jeune homme ou d’une jeune femme tenant d’une
main
une corne, et posant l’index de l’autre main sur
jeune femme tenant d’une main une corne, et posant l’index de l’autre
main
sur ses lèvres. On plaçait ordinairement sa statu
us les traits d’une jeune fille enjouée, avec des ailes, tenant d’une
main
une couronne d’olivier et de laurier, et de l’aut
ère, un pied en l’air et l’autre sur une roue, tenant un rasoir d’une
main
et un voile de l’autre ; quelquefois on la montra
isius, roi d’Argos41, avait appris de l’oracle qu’il serait tué de la
main
de son petit-fils. Pour échapper à cette funeste
ses compagnons troubler la fête du mariage et réclamer les armes à la
main
celle qui lui avait été promise. Persée allait su
pents pour le dévorer ; mais Hercule les saisit et les étouffa de ses
mains
enfantines. L’intrépidité précoce du jeune Demi-D
son sein, Hercule se précipita sur le bûcher qu’il avait élevé de ses
mains
, et ordonna à son ami Philoctète d’y mettre le fe
use au milieu du palais incendié. Jason courut vers Médée l’épée à la
main
pour punir cette nouvelle trahison ; mais en ce m
ayant appris de l’oracle qu’il devait un jour recevoir la mort de la
main
du fils que Jocaste, sa femme, allait lui donner,
le jeune voyageur répondit à cette injonction en mettant l’épée à la
main
, et son adversaire eut bientôt succombé. Cet inco
e que Laïus, et la prédiction suivant laquelle il devait mourir de la
main
de son fils se trouva ainsi accomplie. Parvenu à
e Sphinx. Ce monstre, né d’Echidne et de Typhon, avait la tête et les
mains
d’une jeune fille, le corps d’un chien, la queue
st l’homme, qui, dans son enfance, se traîne sur les pieds et sur les
mains
, qui marche sur deux pieds au milieu de son âge,
du monstre, c’est-à-dire qu’il fut proclamé roi du pays, et obtint la
main
de Jocaste, la veuve de Laïus. Ainsi Œdipe, pours
temps de reconnaître Pélops pour son vainqueur et de lui accorder la
main
d’Hippodamie. Pélops, dès lors roi d’Élide, étend
guerrier grec une épée avec laquelle il se donna la mort de sa propre
main
. Après la mort d’Achille, Ajax et Ulysse se dispu
dans un tel accès de rage, que pendant la nuit il se jeta l’épée à la
main
sur les troupeaux du camp et en fit un carnage te
on impiété. Lors de l’embrasement de Troie, il pénétra les armes à la
main
dans le temple de Minerve et en arracha la prêtre
mportant sur ses épaules son père et ses Dieux Pénates, tenant par la
main
son fils Ascagne, et suivi de sa femme Créuse, qu
u’elle avait consacré une statue d’airain qui tenait un fouet dans sa
main
et qui, lorsqu’elle était agitée par le vent, all
de poing ; ceux qui se livraient à ce dernier exercice s’armaient les
mains
de grosses courroies et d’une espèce de brassard.
ux publics. Polydamas, de Scétuse, en Thessalie, arrêtait d’une seule
main
un char attelé de plusieurs chevaux. Il mourut pa
tions ou par leur beauté, les plus étonnants qui fussent sortis de la
main
des hommes. Ces monuments étaient : les murs et l
herches des voyageurs modernes ont prouvé qu’il n’a pas été creusé de
main
d’homme, comme on l’avait cru longtemps. 93. Rho
on travaillât à une Histoire de la Fable, qui pût être mise entre les
mains
de tout le monde, et qui fût faite exprès pour le
’élève au sacré vallon, Son enthousiasme est la lyre Qu’il reçoit des
mains
d’Apollon. Ainsi consacrant le système De la sub
ons, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa
main
des fleurs toujours écloses. Boileau. Les Poëte
, représentée tenant sous ses pieds le globe de la terre, et dans ses
mains
une urne dans laquelle est renfermé le sort des h
ible Offre en un point l’avenir ramassé. L’urne des Sorts est dans sa
main
terrible : L’axe des tems pour lui seul est fixé.
cesse à ce palais terrible ; Et de-là sur la terre il verse à plaines
mains
Et les biens et les maux destinés aux humains. Su
nt d’airain ; La rage en ses yeux étincelle, Et le fer brille dans sa
main
; Par le faux honneur qui la guide, Bientôt, dans
nte ; j’en frémis ! Le frère meurt des coups du frère, Le père, de la
main
du fils ! L’honneur fuit, l’intérêt l’immole ; De
J’y vois de toutes parts, prodigue en ses largesses, Cybèle à pleines
mains
répandre ses richesses ; De ses bienfaits nouveau
os prés. Rousseau. On la représente avec un disque et une clef à la
main
, un habit parsemé de fleurs, une couronne composé
Jupiter est victorieux, Et tout cède à l’effort de sa
main
foudroyante. Jupiter, n’ayant plus d’ennemis à c
es dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodiguant par leur
main
Tous les présens dont l’Olympe s’honore, Fît méri
ssons. Gresset. Jupiter est ordinairement représenté la foudre à la
main
, et porté sur un aigle. Le chêne lui étoit consac
e sur un char traîné par deux paons, ou assise tenant un sceptre à la
main
, et toujours un paon placé auprès d’elle. Quelque
eine est-il sur l’horizon, que les chevaux, ne reconnoissant point la
main
qui les conduisoit ordinairement, prennent le mor
s : il porte une couronne de laurier sur la tête, tient une lyre à la
main
; et auprès de lui sont tous les instrumens propr
mont Pélion, Souffler son infecte rage Contre le naissant ouvrage Des
mains
de Deucalion. Mais le bras sûr et terrible Du di
rtisans de la gloire, D’assurer à vos noms un heureux souvenir. Si la
main
des neuf Sœurs ne pare vos trophées,
née de lauriers, et parée de guirlandes de fleurs. Elle tient dans la
main
droite une trompette, et un livre dans la gauche.
le est chaussée d’un cothurne, et superbement vécue. Elle tient d’une
main
des sceptres et des couronnes, et de l’autre un p
e couronnée de lierre, chaussée de brodequins, tenant un masque d’une
main
, et de l’autre un bâton recourbé, qui est la houl
: on la représente vêtue de blanc, et couronnée de perles. Elle a la
main
droite en action pour haranguer, et tient un scep
tre dans la gauche : les anciens la représentoient avec l’index de la
main
droite sur la bouche, sans aucun attribut : De t
es-tu donc la maîtresse ? Tiens-tu notre cœur dans tes
mains
? Tu feins le désespoir, la haine, la tendresse ;
é. Elle est couronnée de myrte et de roses. Elle tient une lyre d’une
main
, et de l’autre une sorte d’archet. Elle a auprès
oésie pastorale. On la représente couronnée de fleurs, et tenant à la
main
un livre de musique. Elle a auprès d’elle des flû
s, avec une robe couleur d’azur. Elle soutient un globe céleste d’une
main
, et tient de l’autre une baguette avec laquelle e
ide à l’histoire. On la représente couronnée de laurier, tenant de la
main
droite une trompette, et un livre dans la gauche
danse. On la représente couronnée de fleurs, avec une harpe entre les
mains
, et des instrumens de musique autour d’elle : No
chasse : on la représente chaussée d’un cothurne, tenant un arc d’une
main
, et de l’autre une flèche. Elle porte un croissan
e, Nous te venons d’un fils annoncer la naissance ; Eteins, et de nos
mains
prends ce flambeau fatal, Ses jours sont attachés
la chaussure et le manteau étoient aussi d’or ; le dieu tenoit de la
main
droite une victoire d’or et d’ivoire, et de la ga
d’un bouc ; et quelquefois assis sur un tonneau, avec une coupe à la
main
, ou sur un char traîné par des tigres, des lynx o
char traîné par des tigres, des lynx ou des panthères, et tenant à la
main
un thyrse, qui est une baguette entourée de pampr
e peaux de tigres, et avoient les cheveux épars ; chacune tenoit à la
main
un thyrse et une torche ardente. Ces fêtes s’appe
lé en coureur, avec des aîles à la tête et aux talons : il porte à la
main
un caducée. C’est une baguette qu’il avoit reçue
: voulant les séparer, il mit entr’eux la baguette qu’il tenoit à la
main
: les deux serpens s’y attachèrent ; et Mercure p
Vénus lui donne alors sa divine ceinture, Ce chef-d’œuvre sorti des
mains
de la nature. ……………………………………………… …………………………………………
us les dieux invités, Partageoient le bonheur des époux enchantés, La
main
de la Discorde, entr’ouvrant un nuage, Du désordr
sous la figure d’un enfant, avec un bandeau sur les yeux, un arc à la
main
, et quelquefois un flambeau. Il porte des aîles e
: Ce dangereux enfant, si tendre et si cruel, Porte en sa foible
main
les destins de la terre ; Donne avec un souris, o
x profonde, Tout ce que la nature, aux premiers jours du monde. De sa
main
bienfaisante accordoit aux humains, Un éternel re
roux, répandant leur venin, Marchant devant ses pas, un poignard à la
main
. La malice les voit, et, d’un souris perfide, App
orme, avec les yeux et le visage enflammés, et tenant un marteau à la
main
. Minerve. Minerve, ou Pallas, sortit du cer
est représentée avec un air de douceur et de majesté. Elle tient à la
main
une branche d’olivier ; et des instrumens de math
rreur Devancent leurs flots redoutables ; Et la mort remet dans leurs
mains
Ces tonnerres épouvantables Dont elle écrase les
ente armée d’une cuirasse, avec un casque sur la tête, une lance à la
main
, l’égide au bras, et auprès d’elle un hibou. L’ég
char d’acier, chef-d’œuvre de Vulcain, L’activité tient les rênes en
main
; Fiers tourbillons, ses coursiers indomptables S
’avoir mis. Il lui avoit déjà rendu le même service, en le tirant des
mains
des fils d’Aloüs : Ah ! lorsque ton orgueil lang
vautour, des aîles de chauve-souris, et des griffes aux pieds et aux
mains
. Elles infectoient tout ce qu’elles touchoient :
il gouvernoit à son gré. On le représente avec un sceptre de fer à la
main
, assis ou appuyé sur un rocher d’où les vents che
comme moi, sur ton fils, sur sa mère, Porter, sans les connoître, une
main
sanguinaire ! Que la reine des deux, dont le bras
ux noirs, portant une couronne d’ébène sur la tête, et des clefs à la
main
. Quelquefois on lui donne pour sceptre un bident.
Nuit. La vie des hommes, dont elles filent la trame, est entre leurs
mains
. Les différentes soies qu’elles emploient dans le
, on prétend même que le sort des empires er des âges est entre leurs
mains
, et qu’elles en filent aussi les destinées : Déj
tardez-vous ? venez, troupe infernale, Puisque le Ciel a remis en vos
mains
Le châtiment des coupables humains. Rousseau. L
isant un usage éclairé de ses dons : Aimable dieu, de qui la
main
dispense Ce qui rend les mortels heur
nt dans ses courses. On la représente couronnée d’épics, tenant d’une
main
une faucille, et de l’autre une poignée d’épis mê
te avec la barbe et la chevelure fort négligées, et une faucille à la
main
: Tous les ans, d’un lait pur une coupe t’est du
s on le représente : il démasque un visage, et tient une marotte à la
main
. La Nuit est la déesse des ténèbres, et fille du
la représente avec un bandeau sur les yeux, tenant une balance d’une
main
, et de l’autre une épée : Je vois une auguste dé
Lamotte. La Paix est représentée couronnée de laurier, portant d’une
main
une petite statue de Plutus, et de l’autre une br
e regard inquiet, des vipères au lieu de cheveux, trois serpens d’une
main
, une hydre de l’autre, et un serpent monstrueux a
urs les savantes leçons Qui de leurs voix régissent tous les sons, La
main
du Tems creusa les voûtes sombres D’un antre noir
ortels il borne ses desseins. Le sang de son parti rougit souvent ses
mains
, Il habite en tyran dans les cœurs qu’il déchire
vices, toutes les passions et toutes les vertus deviennent, entre les
mains
des poëtes, autant de divinités allégoriques, don
résidoit aux bois et aux forêts. On le représente avec un cyprès à la
main
. Faune, fils de Picus, roi des Latins, fut mis au
ercule, alloient le dévorer, mais il les mit en pièces de ses propres
mains
: Les premiers instans de sa vie, De la Discorde
avoit promis, fut tué ; et les murs de Troie furent renversés par la
main
d’Hercule : L’ingrat Laomédon, digne de son malh
ient-il plus du voile inestimable Que Nessus expirant remit entre tes
mains
? Du sang dont il est teint la vertu redoutable
le sort cruel ne trompe son attente ; Les yeux au labyrinthe, et les
mains
vers les cieux, Au secours de Thésée elle appelle
es dards du Centaure sauvage Ne doivent point souiller nos innocentes
mains
. Rousseau. Les Centaures étoient si bons cavali
ers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d’un dard lancé d’une
main
sûre, Il lui fait dans le flanc une large blessur
Seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa
main
a nourris ; Il veut les rappeller, et sa voix les
n’est bientôt qu’une plaie. J’arrive ; j’appelle ; et, me tendant la
main
, Il ouvre un œil mourant, qu’il referme soudain.
bientôt les efforts de son bras ; et ses victoires lui méritèrent la
main
de Philoné, fille d’Iobates, roi de Lycie : Aprè
péri par un coup inhumain, Dans leur flanc innocent tu conduisois sa
main
. Gresset. Médée échappa à la colère de Jason, e
ses rois, nommé Laïus, avoit appris de l’Oracle qu’il périroit de la
main
du fils qu’il venoit d’avoir. Il ordonna à Jocast
ce douteuse. Sous le nom de son fils, vous fûtes élevé Par cette même
main
qui vous avoit sauvé. Voltaire. Œdipe ayant déc
al est l’homme, qui dans l’enfance se traîne sur les pieds et sur les
mains
, dans l’âge viril se soutient sur les deux pieds,
vertueux et si sage : Hélas ! nous nous flattions que ses heureuses
mains
Pour jamais à son trône enchaînoient les destins.
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenoit à la
main
, Il lui perce le cœur ; et son ame ravie, En ache
aux autels j’en eus formé les nœuds, Qu’à ces mêmes autels, et par la
main
d’un frère, Je me vis enlever une épouse si chère
éros que demande la Grèce ; Et d’un glaive terrible armant ces jeunes
mains
, Par ce discours guerrier, d’un fils d’une déesse
gre barbare. Il insulte au cadavre ; il lui perce les piés, Qui de sa
main
sanglante à son char sont liés ; Le traîne, et du
urs les yeux, et remuoit de tems en tems la lance qu’elle tenoit à la
main
. Cependant les Grecs, ne pouvant se rendre maître
eureux, De haïr une mère il eut le droit affreux. Né pour souiller sa
main
du sang qui l’a fait naître, Tel fut le sort d’Or
………………………………………………… …………………………………………………… Hé bien, filles d’enfer, vos
mains
sont-elles prêtes ? Pour qui sont ces serpens qui
s. J’appris que, pour venger le trépas de son père, Ayant trempé ses
mains
dans le sang de sa mère, Tourmenté, déchiré de ce
Au sein de vos Etats, au fond de votre cœur, Portant au sacrilège une
main
résolue, Il venoit de Diane enlever la statue. L
u’il montoit. Après avoir évité Carybde et Scylla, il tomba entre les
mains
de Poliphême, qui l’enferma dans un antre avec se
ems heureux. Il remit ses Etats à son fils Télémaque, et périt par la
main
de Télégone, qu’il avoit eu de Circé. Ainsi s’acc
rgea son père sur ses épaules, prit son fils Iüle, ou Ascagne, par la
main
, et emporta les dieux tutélaires de sa patrie. Il
non, 181 — Tue Hector, 181 — Veut épouser Polixène, et périt par la
main
de Paris, ibid. — Les Grecs lui élèvent un tomb
les Grecs, 180-181 — Redemande Hector à Achille, 182 — Meurt de la
main
de Pyrrhus, 184 Printemps, déesse qui préside à
tenir dans ma tâche, l’ardent désir d’être utile à cette jeunesse aux
mains
de laquelle on a trop souvent confié des Mytholog
sec et décharné, dont le visage est triste, la tête courbée. Dans sa
main
est une faux, qui signifie que le temps détruit t
ent les villes qui sont sous sa garde ; et la clef qu’elle tient à la
main
désigne les trésors que le sein de la terre renfe
ortait Deucalion et Pyrrha, époux fidèles et vertueux. Guidés par une
main
protectrice, ils abordèrent sur la cime du Parnas
e figure humaine et devinrent des hommes ; les cailloux lancés par la
main
de Pyrrha se changèrent en femmes, et le monde fu
On représente Jupiter assis sur un trône d’or, tenant la foudre d’une
main
, un sceptre de l’autre, et ayant à ses pieds un a
barbarie jusqu’à lui attacher une enclume à chaque pied, lui lier les
mains
avec une chaîne d’or, et la suspendre à la voûte
ise sur un trône, avec un diadème sur la tête et un sceptre d’or à la
main
; un ou plusieurs paons sont à ses pieds. Quelque
. — On la représente vêtue d’une longue robe et le front voilé. De la
main
droite elle tient une lampe ou un flambeau, et de
us secrets, les choses les plus saintes, étaient déposées entre leurs
mains
. Elles avaient une place d’honneur au cirque ; el
dompter ; il apprivoisa ce quadrupède fougueux, et l’assujettit à la
main
et à la voix du cavalier. Tous les peuples honorè
Minos, plus éclairé que ses collègues, a la prééminence, et tient en
main
un sceptre d’or. Quand la sentence a été lue, les
Alecton, Mégère et Tisiphone, en sont les geôlières ; et tenant d’une
main
une torche brûlante, de l’autre un fouet sanglant
e, des sourcils épais, des yeux rouges et un regard menaçant. Dans sa
main
droite est un sceptre, ou une fourche à deux poin
sur un trône d’ébène, ou sur un char traîné par des chevaux noirs. Sa
main
tient des fleurs de narcisse. Sous le nom d’Hécat
nir un peuple nombreux. Ils se couronnaient de myrte, se lavaient les
mains
, écoutaient la lecture des lois de Cérès, prenaie
autres symboles. — On représente Cérès couronnée d’épis, tenant d’une
main
une torche allumée, et de l’autre un pavot. Le po
On la représente avec un air grave et sévère, tenant une pique de la
main
droite et un bouclier de la gauche. Elle a sur sa
et modestes, les cheveux négligemment noués, elles se tiennent par la
main
dans l’attitude de la danse, ou bien elles élèven
et de la tête, tandis que l’autre, élégamment courbé, va chercher la
main
de la Grâce voisine. Elles président aux bienfait
ge, tout couvert de sueur, le front noirci par la fumée, tenant d’une
main
un marteau et de l’autre un foudre. Sa poitrine e
poitrine découverte semble provoquer les atteintes de l’ennemi. De la
main
droite il brandit une lance énorme ; de la gauche
leur déesse, ils parcouraient les rues comme des furieux, tenant à la
main
un glaive ou un rasoir, avec lequel ils se déchir
sente coiffée de serpents au lieu de cheveux, tenant une torche d’une
main
, et de l’autre une couleuvre ou un poignard. §
ternit la gloire de son triomphe. Il fit saisir Marsyas, lui lia les
mains
derrière le dos, l’attacha au tronc d’un sapin, e
re d’un jeune homme sans barbe, la chevelure flottante, une lyre à la
main
, et le front ceint de laurier. Comme dieu de la l
us la voûte azurée. Les coursiers impétueux, ne reconnaissant plus la
main
de leur maître, se détournent de la route accoutu
ndigne contre le téméraire chasseur ; et puisant, avec le creux de sa
main
, de l’eau dans la source, la lui jette à la tête.
orateur enchaîne les volontés de ceux qui l’écoutent ; il tient de la
main
droite le caducée, emblème d’un ministre plénipot
ducée, emblème d’un ministre plénipotentiaire et conciliateur ; de la
main
gauche, il présente une bourse, symbole du dieu q
, joufflu, couronné de lierre ou de pampre, tenant le thyrse dans une
main
, et des grappes de raisin ou une coupe dans l’aut
us comme un jeune homme qui a deux ou quatre visages ; il tient de la
main
droite une clef, parce qu’il inventa les portes,
, assises à l’ombre d’un laurier ou d’un palmier, et se tenant par la
main
: Les Muses, filles du Ciel, Sont des sœurs sans
Poésie héroïque. On la représente couronnée de laurier, tenant de la
main
droite une trompette et de l’autre les trois meil
e, (comme Calliope), couronnée de laurier, tenant une trompette de la
main
droite, et de la gauche un livre ouvert. Melpomè
est riche, son maintien grave, son visage sérieux ; elle tient d’une
main
un poignard ensanglanté, de l’autre un sceptre ou
ination vigoureuse. Thalie, muse de la Comédie, tient un masque à la
main
. Elle a l’air vif et le regard moqueur ; sa tête
usique. On la représente couronnée de fleurs et tenant une flûte à la
main
. Terpsichore présidait à la Danse. L’air enjoué,
e. On la représente le front ceint de myrte et de roses, tenant de la
main
gauche un luth, instrument à cordes dont elle fut
On la représente couronnée de perles, et vêtue d’une robe blanche. Sa
main
droite est toujours en action, comme celle d’un o
oir qu’exerce l’éloquence. Uranie, muse de l’Astronomie, tient d’une
main
le globe du monde, et de l’autre un compas. Sa co
t de la Nuit. Il tient sous ses pieds le globe terrestre, et dans ses
mains
l’urne fatale où est contenu le sort des mortels.
is ou la Justice, fille du Ciel et de la Terre, tient un glaive d’une
main
et une balance de l’autre. Elle a un bandeau sur
s et des fleurs. — On la représente couronnée de roses et tenant à la
main
une corne d’abondance. Tatius lui éleva le premie
son culte ; ses cheveux sont couronnés de laurier et de romarin ; sa
main
tient une poignée de paille, litière des bestiaux
r une corbeille pleine de fleurs et de fruits, tenant un rameau d’une
main
et des pommes de l’autre. Vertumne est l’emblème
a mère !… Eh bien ! achève ; arrache, détruis toi-même de tes propres
mains
les arbres que j’ai plantés ; livre mes bergeries
re d’un vieillard assis sur les ondes, et qui tient une pique dans sa
main
. Près de lui est un monstre marin d’une forme biz
ée assise sur un char qui a la forme d’une coquille. Elle tient d’une
main
un sceptre d’or, pour commander aux vagues ; de l
de jeunes filles portées sur des chevaux marins, et tenant dans leurs
mains
le trident de Neptune, ou une couronne, ou un pet
s et jolies, appuyées sur une urne qui verse de l’eau, ou tenant à la
main
un coquillage et des perles. Une couronne de rose
Euryale et Méduse. Elles avaient des serpents au lieu de cheveux, des
mains
de fer, des ailes d’or, le corps couvert d’écaill
tât un climat aussi rude et aussi désert que la Thrace, lui refusa la
main
de cette princesse. Borée, qui chérissait Orithyi
dont la barbe est épaisse et les cheveux courts, et qui porte sur sa
main
un hibou, oiseau de mauvais augure. § 19. Hyme
re d’un jeune homme décemment vêtu, couronné de roses et tenant de la
main
droite un flambeau. Des hymnes étaient chantés à
entent Plutus sous la figure d’un vieillard qui tient une bourse à la
main
. Il arrive à pas lents et en boitant, et s’en ret
ée, et pouvant à peine soutenir sa tête appesantie. Il s’appuie d’une
main
sur une longue pique de chasseur ; de l’autre il
s. Sa tête est surmontée d’un bonnet orné de grelots : il tient d’une
main
un masque, et de l’autre une marotte, sorte de po
a Fortune avec un bandeau sur les yeux, et une corne d’abondance à la
main
. Un de ses pieds reste en l’air, tandis que l’aut
Un de ses pieds repose sur une roue rapide, l’autre est en l’air. Sa
main
droite tient un rasoir. Ces emblèmes signifient q
comme une femme ailée qui fend les airs, et tient une trompette à la
main
. § 28. La Paix. Toute l’antiquité païenne é
la Paix sous la figure d’une femme couronnée de fleurs, tenant d’une
main
une branche d’olivier et de l’autre une corne d’a
ux, plein de force, d’une haute taille et d’un teint coloré. Dans ses
mains
et près de lui sont des instruments propres à dif
Mort sous la figure d’un squelette couvert d’un manteau noir. Dans sa
main
droite est un glaive ou une faux ; dans sa gauche
le dévorer ; mais à peine les eut-il aperçus, qu’il les saisit de sa
main
enfantine, et les étouffa. Hercule eut plusieurs
ssue, brise ses flèches, l’habille d’une robe de femme, met entre ses
mains
une quenouille et des fuseaux, et lui commande de
e quenouille et des fuseaux, et lui commande de travailler… Des mêmes
mains
dont il terrassait les monstres, Hercule file de
ndormie ; les couleuvres de sa tête dormaient aussi. Minerve guida la
main
du héros, et tint à côté de lui le bouclier où se
st couverte d’un bonnet en forme d’œuf surmonté d’une étoile, et leur
main
brandit une lance. § 7. Esculape. Esculape
ous la figure d’un homme pensif, couvert d’un manteau, et tenant à la
main
un bâton autour duquel s’entortille un serpent. U
, votre mort sera vengée, ou je périrai comme vous ! » Aussitôt d’une
main
ferme il lance au monstre son javelot, l’atteint
croyait injuste ou exagéré, Hercule leva contre son maître sa pesante
main
armée de la lyre, et lui en asséna sur la tête un
uer une sorte de république, il résigna ses pouvoirs civils entre les
mains
d’un Conseil ou Sénat, et ne se réserva que le co
ce, ils furent saisis d’une mutuelle admiration : Pirithoüs tendit la
main
à Thésée en signe d’amitié, et lui promit de répa
ntrée : c’était le Sphinx. Ce monstre avait la tête, le visage et les
mains
d’une jeune fille, la voix d’un homme, le corps d
mme, qui, dans son enfance, marche à la fois sur ses pieds et sur ses
mains
, dans l’âge viril sur ses deux pieds, et, dans sa
cle et Polynice, et demandé au Ciel que ces ingrats se disputassent à
main
armée le sceptre qu’ils lui arrachaient. Pour pré
e la fatale nouvelle, exécuta l’ordre qu’il avait reçu, et trempa ses
mains
sacrilèges dans le sein de sa mère. Amphiaraüs re
Il avait pour emblème, sur son bouclier, un homme désarmé tenant à la
main
un flambeau, avec cette devise en lettres d’or :
t sanglant, où le roi ennemi, Laodamas, fils d’Étéocle, fut tué de la
main
même d’Alcméon. Consternés de cette perte, les Th
petite statue qui représentait Minerve assise, tenant une pique de la
main
droite, et de la gauche une quenouille et un fuse
vant la porte de Scée, attendant Achille, et impatient d’en venir aux
mains
avec lui. Hécube et Priam, tremblant pour la vie
s pâlir le redoutable fils de Pélée. Achille s’approche la pique à la
main
. Le combat s’engage et devient terrible ; la vict
ment, des bergers phrygiens avec de grands cris amenaient au roi, les
mains
liées derrière le dos, un jeune inconnu, qui, loi
la muraille pour ouvrir passage à la fatale machine. Tous mettent la
main
à l’œuvre ; tous se font une gloire de toucher au
chille ; il tue le jeune Politès, fils de Priam, se jette l’épée à la
main
sur Priam lui-même, et malgré ses cheveux blancs,
ment du sac de Troie, il pénétra dans le temple de Minerve, et, d’une
main
fumante de carnage, arracha du sanctuaire la prêt
ant la traversée, une des flèches qu’il maniait lui ayant échappé des
mains
, il en fut blessé au pied, et, la plaie empirant,
ilote annonça un naufrage prochain et inévitable. Idoménée levant les
mains
au ciel, invoquait Neptune : « Puissant dieu, s’é
; voyant ensuite que le cyclope, en marchant à tâtons, ne portait la
main
que sur le dos des brebis, ils s’attachent sous l
Aucun d’eux en effet n’en vint à bout ; l’arc rebelle résista à leurs
mains
débiles. Un homme mal vêtu, d’un extérieur peu im
galait celle des plus grands héros. Oreste fit valoir ses droits à la
main
d’Hermione, mais en vain. Pyrrhus l’épousa, l’emm
Le meurtre est consommé ; et Oreste reçoit pour prix de son crime la
main
d’Hermione et la couronne de Sparte59. § 22. C
ortant son vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la
main
, et suivi de Créuse, son épouse, qui disparut dan
plir l’oracle dans la personne de cet illustre fugitif, lui offrit la
main
de sa fille, et le désigna pour son successeur au
e princesse, résolut de la contraindre par la force à lui accorder sa
main
: il fit marcher contre Carthage de nombreux esca
lui offre des herbes fleuries, flatte mollement son cou de sa blanche
main
, et ose enfin s’asseoir sur son dos. Ses compagne
: à moins que tu n’aimes mieux, esclave avilie, filer de tes royales
mains
la tâche qu’il plaira à une étrangère de t’impose
z au ciel. » A ces mots Tisiphone revêt sa robe ensanglantée, arme sa
main
droite de serpents, prend de la gauche une torche
veulent fuir : la Furie les arrête, et, secouant les serpents dont sa
main
est entrelacée, elle en jette un contre Ino, un a
l’emporte sur l’amour, saisit Philomèle par les cheveux, lui lie les
mains
derrière le dos, et tandis qu’elle implore la pit
sortit du palais pendant la nuit, vêtue en bacchante, un thyrse à la
main
et couronnée de pampre. Confondue avec les autres
ce paraît. Qu’on juge de sa confusion ! Il la rassure, et lui tend la
main
avec bonté. Psyché est si interdite qu’elle ne pe
lante leur annonça, de concert avec son père, qu’elle ne donnerait sa
main
qu’à celui d’entre eux qui pourrait la vaincre à
mme elles, leur corps se terminait en queue de poisson, et au lieu de
mains
elles avaient des griffes. Quand les voyageurs, a
ême jour. Lorsque, appuyant son coude sur sa hanche, il présentait la
main
droite ouverte et les doigts serrés les uns contr
e, qui s’était entr’ouvert à la première secousse, se referma, et les
mains
de Milon se trouvèrent si étroitement serrées qu’
mal, malgré toute sa fureur et ses efforts, ne put se débarrasser des
mains
de Polydamas qu’en lui laissant la corne du pied
ar lequel il était tenu. D’un seul coup il assommait un homme ; d’une
main
il arrêtait un chariot attelé de six chevaux. Tro
r’ouvrir, et les convives prirent la fuite. Lui seul resta, et de ses
mains
nerveuses, voulut soutenir la roche qui se détach
ourageusement dans le palais de Circé, et la contraignit, l’épée à la
main
, de rendre à ses compagnons leur forme première.
moins froide ; déjà le sang circule dans ses veines. Il lui presse la
main
, il y imprime ses lèvres… Ce n’est plus une statu
ble, demanda de vivre autant d’années qu’elle avait de grains dans la
main
. Son souhait lui fut accordé ; mais alors elle se
oing. Les deux athlètes avant de combattre armaient leurs vigoureuses
mains
d’un ceste, ou gantelet de cuir garni de plomb, f
st ordinairement représenté comme un personnage robuste, tenant de la
main
gauche un bâton recourbé comme une crosse, et de
ornes, entre lesquelles s’élève un-globe ou une espèce de disque ; sa
main
gauche s’appuie sur un bâton, sa droite porte la
, il tua le géant Typhon, meurtrier d’Osiris, et périt lui-même de la
main
des Titans. Isis, sa mère, le ressuscita, le rend
chacal), vêtu d’une cuirasse et d’une cotte de mailles, tenant d’une
main
un caducée et de l’autre un sistre égyptien. (Le
ait Jupiter couronné d’olivier, assis sur un trône d’or, tenant de la
main
droite une Victoire et de la gauche un sceptre su
nts, ils l’enrichirent de fictions riantes, ils y versèrent à pleines
mains
les charmes de leur imagination. A leurs yeux, to
cririus, roi d’Argos, ayant appris par l’oracle, qu’il périroit de la
main
de l’enfant que sa fille Danaë mettroit au monde,
et sœur de Créon. L’Oracle ayant prédit à Layus qu’il périroit de la
main
de son fils, il fit exposer son enfant sur le mon
est l’homme, qui dans son enfance rampe et se traîne à l’aide de ses
mains
ainsi que de ses pieds : qui dans la force de l’â
bles. Œdipe, libérateur de Thèbes, épousa Jocaste qui avoit promis sa
main
au vainqueur du Sphinx. Ainsi l’infortuné Œdipe é
s expiations, afin d’être délivré des furies ; ce qu’il fit entre les
mains
de Phégée, dont il épousa la fille Arsinoé ou Alp
le toucher sans offenser le soleil qui, dès qu’on vouloit y porter la
main
, élevoit à l’instant des tempêtes terribles. T
ù il se trouvoit, vint elle-même se remettre volontairement entre les
mains
d’Acaste, qui aussitôt rendit la liberté à Admète
rs de l’Olympe10, condamnés à vivre sur la terre, du travail de leurs
mains
, se mirent à son service pour un temps et un sala
e blessa la première le sanglier dont elle reçut les dépouilles de la
main
de Méléagre, fils d’Œnée, mais les frères d’Althé
a à la Cour de son père un grand nombre de Princes qui demandèrent sa
main
. Œnée invita ces Princes à combattre entre eux en
confia sa première éducation aux Nymphes, ensuite il le mit dans les
mains
de Chiron, instituteur de tous les demi-Dieux et
e. Ce rapt coûta la vie à Castor, qui périt quelque temps après de la
main
d’un des époux. Pollux, qui avoit reçu l’immortal
mes. Ménélas et Ajax combattirent long-temps encore pour arracher des
mains
des ennemis le corps de Patrocle, ils y parvinren
alloit l’épouser, Pâris lui décocha une flèche, qui, conduite par la
main
d’Apollon, l’atteignit au talon, Achille mourut d
eune Ascagne, elle leur donna des tissus merveilleux, ouvrages de ses
mains
. Ces détails, ces images douces et charmantes n’a
e. Quelques années après, tous les Princes de la Grèce demandèrent la
main
d’Hélène, Tyndare leur fit jurer solemnellement d
ns de siége, Troye fut prise, Pâris reçut une blessure mortelle de la
main
de Philoctète ; il se fit porter sur le mont Ida,
voir horriblement mutilé, ils lui coupèrent le nez, les oreilles, les
mains
, et le laissèrent sans sépulture. Enée le vit en
e donna son nom. Après la prise de Troye, Hécube, furieuse, tua de sa
main
cette innocente et jeune Hélène. Toute la famille
ea son père Anchise sur ses épaules et tenoit son fils Ascagne par la
main
. Creüse sa femme le suivoit, elle disparut tout-à
uvrit cet affreux secret, et saisie d’horreur elle arracha l’épée des
mains
de son fils et se la plongea dans le cœur ; aussi
action de grâce ; pendant cette cérémonie Egisthe le tua de sa propre
main
, il tira son père de prison, le mit sur le trône,
ami et quelques soldats, tout-a-coup il écarta la garde et tua, de sa
main
, sa mère et l’usurpateur régicide. Dans les Coëph
se lia avec Iphitus, qui lui donna l’arc devenu si célèbre entre ses
mains
lorsqu’il le dirigea contre les poursuivans de Pé
t remettre ensuite une lettre supposée de Priam à Palamède, entre les
mains
d’un Phrygien gagné par lui, qui la montra, et qu
ses dangers dans l’île du Soleil ou ses compagnons osèrent porter une
main
sacrilége sur les troupeaux consacrés à ce Dieu,
se trouva au siége de Troie, et dans un combat il y blessa Vénus à la
main
; il tua l’espion Dolon ; et il aida à enlever le
acrèrent impitoyablement tous les naufragés qui tombèrent entre leurs
mains
. Tels sont les héros les plus fameux de la Myth
ace, ayant une urne sur la tête, une quenouille et un fuseau dans les
mains
, et traînant derrière elle un cheval attaché par
i, (dit Homère), formoit le double tissu d’une robe éclatante que sa
main
embellissoit de tableaux lorsqu’on vint lui anno
rsonne ayant sur la tête une couronne de genièvre, un grand clou à la
main
, et debout entre un bon et un aigle. Pline dit q
la ville de Smyrne, elle avoit une étoile sur la tête et tenoit à la
main
une corne d’abondance. Communément on la représen
toit représentée sous la figure d’une jeune fille ailée, tenant d’une
main
une couronne d’olivier et de laurier, et de l’aut
vec un air majestueux, magnifiquement habillée, tenant un style d’une
main
et un livre de l’autre. On pourroit ajouter à cet
ure d’une femme âgée et vénérable, tenant une corne d’abondance d’une
main
, et de l’autre main, tenant une baguette qu’elle
et vénérable, tenant une corne d’abondance d’une main, et de l’autre
main
, tenant une baguette qu’elle étend vers un globe
ivide, elle est coëffée de couleuvres, elle tient trois serpens d’une
main
, un hydre à sept têtes de l’autre, un aspic lui d
urs les savantes leçons Qui de leurs voix régissent tous les sons, La
main
du temps creusa les voûtes sombres D’un antre noi
t assis un homme à grandes oreilles comme Midas, cet homme tendoit la
main
à la calomnie qui s’avançoit ; il avoit près de l
ie. C’étoit une belle femme qui paroissoit irritée, elle tenoit de sa
main
gauche une torche ardente, et de la droite elle t
droite elle traînoit par les cheveux un jeune garçon, qui tendoit les
mains
vers le ciel. Devant elle marchoit une figure hyd
lle est coiffée avec des serpens, elle tient une torche ardente d’une
main
, une couleuvre et un poignard de l’autre. Elle a
çoient la même idée, sous la figure d’une femme hideuse, tenant d’une
main
un frein brisé, de l’autre un fouet et des couleu
te, couronnée de lauriers, les yeux élevés vers le ciel, tenant d’une
main
un verre ardent qu’elle échauffe aux rayons du so
a vue Tant de graces et de beauté ? Qui comme elle peut paroître ? Sa
main
sème plus de fleurs Que l’aurore n’en fait naître
stition. Une vieille ayant sur la tête un chat huant tenant d’une
main
un cercle d’étoiles, de l’autre une chandelle all
ragilité. Une femme couverte d’un voile transparant, tenant d’une
main
un bouquet de fleurs et de l’autre, une phiole de
conventions fondées sur la bonne foi, ce que la figure indique par sa
main
gauche portée sur sa poitrine en signe d’assuranc
r sa poitrine en signe d’assurance, et par l’épée qu’elle tient de la
main
droite et dont la pointe est baissée vers la terr
Du Dieu d’Épidaure enchaîné. La Clémence. Elle tient d’une
main
une brandie de laurier, et de l’autre, une lance.
sente aussi sous la figure d’une femme revêtue de blanc, tenant d’une
main
un cachet, de l’autre une clef et ayant à ses pie
zes signes du Zodiaque et une petite figure qui tient une palme d’une
main
, et de l’autre, une guirlande. Sur plusieurs méda
ous les traits d’une Amazone assise sur des dépouilles, portant de la
main
droite un globe surmonté d’une petite victoire, e
t de la main droite un globe surmonté d’une petite victoire, et de la
main
gauche tenant un hast. Mais, dans un tableau, le
e sous les traits d’un enfant ailé, couronné de laurier, tenant d’une
main
une couronne civique, (faite de feuilles de chêne
a représentoient sous la figure bizarre d’un jeune homme ayant quatre
mains
, quatre oreilles55, portant un carquois et tenant
lumé, s’avançant devant un épais tourbillon de fumée, tenant dans ses
mains
, comme l’Amour de la gloire, une couronne de chên
L’Expérience. Une vieille femme vêtue de gaze d’or, tenant d’une
main
un carré géométrique, de l’autre, une baguette av
mas nous a laissé une belle Ode sur le Temps. Le Temps enlevant d’une
main
la Jeunesse, et de l’autre, répandant les attribu
emportent la balance. La Persévérance. Une femme tenant d’une
main
une mèche allumée et de l’autre, un serpent qui m
la caractériser ainsi : une femme couronnée d’olivier, portant d’une
main
le flambeau de la foi, et de l’autre, le voile de
L’Innocence. Une jeune fille couronnée de palmes, ayant les
mains
et les bras dans une eau pure et un agneau près d
tout lui était soumis : le ciel, la terre et les enfers. Il tenait en
main
un livre ou une urne qui renfermait le sort de to
n le représentait sous les traits d’un vieillard chauve, tenant d’une
main
une faux, et de l’autre un sablier, pour montrer
, une longue barbe, assis sur un trône d’or ou d’ivoire, tenant d’une
main
la foudre et de l’autre un sceptre, et ayant à se
amos, à Carthage et à Rome. Appuyée sur un arc-en-ciel, le sceptre en
main
, la tête couronnée de lis, elle avait à ses pieds
orps de vautour, des oreilles d’ours, et des griffes aux pieds et aux
mains
. Elles causaient la famine partout où elles passa
en forme de coquille, traîné par des chevaux marins, et tenant en sa
main
un trident [Fig. 32]. [Fig. 32] Il attelle so
’ébène, tantôt sur un char traîné par des chevaux noirs, tenant de la
main
droite une espèce de fourche ou des clefs [Fig. 3
les Champs-Élysées, et celles des méchants étaient entraînées par une
main
invisible dans le Tartare, où les attendaient les
ensanglantés, des serpents entrelacés autour de la tête, tenant d’une
main
une torche ardente, et de l’autre un fouet de cou
un char, et couverte d’un voile noir parsemé d’étoiles [Fig. 44]. Sa
main
tenait un flambeau renversé. [Fig. 44] Elle av
pâle et les yeux fermés, couverte d’un voile, et tenant une faux à la
main
. Le coq, l’if et le cyprès lui étaient consacrés.
nt les branches se redressaient chaque fois qu’il voulait y porter la
main
[Fig. 47] ; et les cinquante filles de Danaüs, co
une belle femme, couronnée d’une guirlande d’épis, et tenant dans ses
mains
une gerbe de blé et une faucille [Fig. 49]. [Fi
représentée vêtue d’une longue robe, le front voilé, et tenant de la
main
droite une lampe [Fig. 51]. [Fig. 51] Mercu
t aux talons, la tête ornée d’une espèce de chapeau ailé, tenant à la
main
le caducée, symbole de la paix [Fig. 52]. Ce cadu
déesse. On la représentait avec un casque à visière, une lance d’une
main
, un bouclier de l’autre, et l’égide22 sur la poit
sans barbe, la tête ceinte d’une couronne de laurier et une lyre à la
main
[Fig. 61]. Le souvenir de sa victoire sur le serp
e tunique légère, un carquois sur l’épaule, un arc et une flèche à la
main
, un chien ou une biche à ses côtés [Fig. 63]. Pri
e riant et sans barbe, couronné de pampres et de lierre, tenant d’une
main
des grappes de raisin ou une coupe, et de l’autre
Fig. 66], quelquefois avec un bandeau sur les yeux et une torche à la
main
. [Fig. 66] Il épousa Psyché, malgré sa mère, q
de la poésie héroïque. Le front ceint de lauriers, elle tenait d’une
main
une trompette, et de l’autre un livre. Clio, mus
die. On la, représentait appuyée sur une colonne, avec un masque a la
main
; elle était chaussée de brodequins. Melpomène,
ait avec une lyre. Euterpe présidait à la musique ; elle tenait à la
main
une flûte. Uranie, muse de l’astronomie et des m
e, tantôt ailé, tantôt sans ailes, et presque toujours une coupe à la
main
. Comus. Comus, dieu de la bonne chère et d
Jeune, gras, la tête couronnée de roses, il tenait un flambeau de la
main
droite, et de la gauche s’appuyait sur un pieu [F
le représentait sous la figure d’un jeune homme demi-nu, tenant d’une
main
une corne, et ayant un doigt sur la bouche [Fig.
les plis de sa robe. Vertumne était couronné d’herbes, et tenait à la
main
des fruits et une corne d’abondance [Fig. 74].
rre, présidait à la justice. On la représentait avec une balance à la
main
et un bandeau sur les yeux [Fig. 78]. [Fig. 78]
Jupiter lui-même était forcé de lui obéir. Horace la dépeint avec des
mains
de bronze, dans lesquelles elle tenait de longues
yeux hagards et enflammés, la tête entourée de serpents, tenant d’une
main
une torche ardente, et de l’autre une couleuvre e
regard louche et sombre, au teint livide, tenant des vipères dans ses
mains
, et entourée d’un serpent qui lui rongeait le sei
s. On la représentait sous les traits d’une amazone, embrassant d’une
main
une colonne, et tenant de l’autre un rameau de ch
lle était représentée sous les traits d’une belle femme, tenant d’une
main
une branche d’olivier, et de l’autre un caducée [
de langues que de plumes. La Victoire. La Victoire tenait d’une
main
une couronne, une palme de l’autre, et s’appuyait
ne vierge, vêtue de blanc, ayant une contenance modeste, tenant de la
main
gauche un livre ouvert, et de la droite un miroir
Tantôt c’était une femme voilée, tantôt une vierge qui approchait sa
main
de son visage, pour montrer qu’elle n’a aucun suj
ient sous la figure d’une femme qui se tient debout, et qui a dans sa
main
un bonnet, symbole de la liberté [Fig. 89], car l
la lettre de Prœtus. Cependant, Iobate lui-même, n’osant souiller ses
mains
du sang de son hôte, le pria de délivrer le pays
ux à midi, et trois le soir ? On avait promis le trône de Laïus et la
main
de Jocaste à celui qui devinerait le sens de ces
st l’homme, qui, dans son enfance, se traîne sur ses pieds et sur ses
mains
; qui, dans la force de l’âge, se tient debout su
bsorbée par la douleur que lui causait la perte de sa fille, porta la
main
à cet exécrable mets et en mangea une épaule. Jup
disgrâce de ses compagnons. Le héros arrive et se jette, l’épée à la
main
, sur la déesse, comme pour lui ôter la vie. Celle
rse, et suis le droit chemin. Phaéton, à ces mots, prend les rênes en
main
; De ses chevaux ailés il bat les flancs agiles ;
oileau] Cependant les chevaux du Soleil, se sentant conduire par une
main
étrangère, se détournent de la route ordinaire ;
a déesse, honteuse de se voir ainsi surprise, puise de l’eau dans ses
mains
et en jette au visage du chasseur [Fig. 108]. Act
pelant à son secours toutes les Furies des Enfers, court, l’épée à la
main
, sur Philomèle et Progné ; mais elles fuyaient av
manquait jamais son but et avait en outre la vertu de revenir dans la
main
qui l’avait lancé. Quelque temps après, Procris s
chée en mariage par plusieurs jeunes princes, son père déclara que sa
main
serait le prix de celui qui la vaincrait à la cou
Suivant le récit de Moïse, l’univers ne sortit pas tout d’un coup des
mains
de Dieu avec sa forme et sa beauté. La création f
umaine, c’est le premier homme, qui, voulant tout connaître, porte la
main
à l’arbre de la science du bien et du mal et enco
à tour. Toutes trois avaient les cheveux entrelacés de serpents, les
mains
d’airain, et leur regard pétrifiait. 35. On croy
eillard aveugle, ayant sous ses pieds le globe de la terre, entre les
mains
l’urne qui renfermait le sort des mortels, et dev
es. Il porte des ailes, qui indiquent sa marche rapide. Il tient à la
main
un sablier, dont les anciens se servaient comme d
sein. Elle porte sur la tête une couronne de tours et des clefs à la
main
. Des lions sont attelés à son char. Ses temples a
urante : Jupiter est victorieux, Et tout cède à l’effort de sa
main
froudoyante. Les anciens croyaient que les érupt
honteusement chassé du ciel. On le représente tenant un masque d’une
main
, et de l’autre une marotte, espèce de sceptre sur
ec de l’argile le corps d’une jeune fille. Dès qu’elle fut sortie des
mains
de l’artiste, tous les dieux la comblèrent de pré
l’Olympe. On le représente assis sur un trône d’or ou d’ivoire. D’une
main
il tient la foudre, et de l’autre un sceptre ; à
se sur un trône, la tête ceinte d’un diadème, tenant un sceptre d’une
main
, et de l’autre un fuseau. Auprès d’elle est un pa
grave, simple et majestueux. Sa tête est couverte d’un casque ; d’une
main
elle tient une lance, de l’autre son égide ou bou
édon, qui élevait alors les murailles de Troie. Il y travailla de ses
mains
avec Neptune, chassé comme lui du ciel. Le prince
u’il aimait tendrement, Zéphire jaloux détourna le palet lancé par la
main
du dieu, et le dirigea contre la tête de son ami,
lié par un serment irrévocable, consentit, mais à regret. Bientôt la
main
faible et inexpérimentée de Phaéton laissa dévier
n le représente la tête environnée de rayons, et tenant un globe à la
main
, tandis qu’Apollon, qui est alors appelé Phœbus,
sous la forme d’un jeune homme d’une beauté éclatante, une lyre à la
main
, et la tête ceinte d’une couronne de laurier. La
gère, chaussée d’un cothurne, un carquois sur l’épaule et un arc à la
main
; un chien est à ses côtés. Quelquefois elle est
le jeune dieu poussa trop loin ses licences : il essaya de porter la
main
sur la foudre de Jupiter, qui l’envoya partager l
rs la tête couverte. Comme dieu du commerce, il porte une bourse à la
main
. Enfin, comme dieu de l’éloquence, on lui voit so
dansant en cercle et ornées de guirlandes de fleurs. L’une tient à la
main
une rose, l’autre une branche de myrte, la troisi
robuste, pour indiquer la fertilité de la terre. Elle tient dans ses
mains
une gerbe et une faucille, sa tête est ceinte d’u
Éducation de Bacchus ; Silène. Bacchus fut d’abord remis entre les
mains
d’Ino, sa tante, qui l’éleva avec le secours des
Il est représenté portant sur la tête une couronne de lierre, et à la
main
une coupe qui s’emplit et se vide sans cesse. Il
eil, un serpent à deux têtes ; mais le jeune dieu l’étouffa entre ses
mains
. Alors elle le frappa d’une folie qui le fit voya
buveurs, Bacchus est représenté assis sur un tonneau, une coupe à la
main
. On lui avait consacré la pie, comme symbole de l
c’étaient des courses dans lesquelles les concurrents se passaient de
main
en main une torche qui ne devait s’éteindre qu’au
t des courses dans lesquelles les concurrents se passaient de main en
main
une torche qui ne devait s’éteindre qu’au bout de
n est représenté à demi nu, la barbe et la chevelure négligées. De la
main
gauche il tient des tenailles, et de la droite un
de fruits et Vertumne couronné de fleurs, ayant l’une et l’autre à la
main
une corne d’abondance. Priape, dieu des jardins,
ne, et une couronne de feuilles de vigne ou de laurier. Il tient à la
main
une baguette pour écarter les oiseaux et une mass
amps. On le représente avec une tête d’homme, mais sans pieds et sans
mains
, comme emblème de l’immobilité. Sylvain était le
ondes de la mer, le front armé de deux pinces d’écrevisse, ayant à la
main
une pique et à ses côtés un monstre marin. 72.
ous les traits de jeunes filles assises sur des dauphins, tenant à la
main
le trident du dieu des mers et quelquefois des gu
char en forme de conque, traîné par des chevaux marins. Il tient à la
main
un trident : les Tritons et les Néréides l’accomp
s. Proserpine est à sa gauche, et Cerbère à ses pieds. Il tient de la
main
droite tantôt un sceptre à deux pointes, tantôt u
nduites par Mercure. Minos présidait la cour infernale et tenait à la
main
un sceptre, emblème de son autorité souveraine. C
enaçant, la bouche béante, la tête hérissée de serpents, tenant d’une
main
une torche enflammée et de l’autre un fouet de co
vieillard robuste, qui se tient debout dans une barque, une rame à la
main
. Sa barbe est blanche et touffue, son front trist
ailes, la roue et le gouvernail avec lesquels on la représente. D’une
main
elle tient un flambeau qui éclaire les conscience
hées ; il veut manger, les branches de l’arbre se retirent lorsque sa
main
croit les saisir. Les poëtes ont fait du supplice
ombien il est difficile de la découvrir . Quelquefois elle porte à la
main
un miroir accompagné de fleurs et de pierreries,
e était chez les anciens l’emblème de la perfection.) Elle tient à la
main
une couronne de laurier. Un poëte a dit : Adorab
cine fils.) L’Honneur est figuré par un homme tenant une pique de la
main
droite et de l’autre une corne d’abondance. La pi
vers les dieux, est figurée par une vierge ayant des ailes ; dans une
main
une cassolette fumante qu’elle élève vers le ciel
omère, sont filles de Jupiter. Boiteuses, timides, elles marchent les
mains
jointes, les yeux baissés, à la suite d’Até, ou l
les Grecs, est représentée sous les traits d’une vierge, tenant d’une
main
un glaive et de l’autre une balance, dont les pla
t la vie ; sur son front étaient ceux-ci : hiver et été ; enfin de la
main
droite elle montrait son côté ouvert jusqu’au cœu
Tempérance, est représentée sous les traits d’une Amazone, qui d’une
main
embrasse une colonne et de l’autre tient un ramea
s voltigent autour de lui, et Orphée, son ministre, une baguette à la
main
, veille à ce qu’aucun bruit ne trouble le silence
géant Pallas, est représentée avec des ailes, tenant une palme d’une
main
et de l’autre une couronne de laurier. La Paix ét
s travaux. On représente cette déesse avec un air doux, portant d’une
main
une corne d’abondance, de l’autre une branche d’o
Elle est représentée sous la figure d’une femme romaine tenant d’une
main
un sceptre brisé, de l’autre une pique surmontée
sous la figure d’une belle femme, couronnée de fleurs et tenant à la
main
une corne remplie de fruits, appelée corne d’abon
plement sous la figure d’une femme ailée qui tient une trompette à la
main
. Voici le portrait qu’en a fait Virgile au quatri
ché de fleurs, sous lesquelles s’agitent des serpents. Il tient d’une
main
un masque riant, de l’autre un hameçon et un file
ouchée nonchalamment, appuyée sur l’un de ses bras, tenant de l’autre
main
un sablier renversé, symbole du temps perdu. La P
rtels il borne ses desseins ; Le sang de son parti rougit souvent ses
mains
; Il habite en tyran dans les cœurs qu’il déchire
lle s’y montrait elle-même les cheveux épars, tenant une torche d’une
main
et de l’autre un fouet dont elle animait les comb
es yeux caves et louches, un teint livide, une horrible maigreur, les
mains
pleines de serpents, dont un lui ronge le sein. V
s, père de cette princesse, averti par un oracle qu’il périrait de la
main
de son petit-fils, enferma sa fille dans une tour
rytus, qui lui avait appris à tirer de l’arc. Eurytus avait promis la
main
de sa fille à celui qui le vaincrait dans cet art
e toi ? Mes membres t’offrent-ils quelques restes de moi ? Non, cette
main
si faible et presque inanimée N’est plus la main
de moi ? Non, cette main si faible et presque inanimée N’est plus la
main
fatale au lion de Némée. Est-ce donc là ce bras d
t de le faire renaître plein de vigueur. Le vieillard périt ainsi des
mains
de ses filles. Après ce crime, Jason, ayant horre
ient mes sujets et faits pour m’obéir. Je marche donc vers eux, et ma
main
furieuse Arrête des coursiers la fougue impétueus
ait découvert. Jocaste, veuve de Laïus, avait proposé son trône et sa
main
à celui qui obtiendrait cette victoire. Œdipe se
cis, Œdipe chez Admète.) Elle-même s’écrie en arrosant de pleurs les
mains
d’Œdipe. Mo
leur avait prédit, qu’ils se partageraient son héritage, le fer à la
main
, et se donneraient mutuellement la mort. Devenus
yables. Près d’un taureau mourant qu’ils viennent d’égorger, Tous, la
main
dans le sang, jurent de se venger : Ils en jurent
l se sent percer lui-même, et tous deux expirent en même temps par la
main
l’un de l’autre. Mais voyons dans Racine cette sc
« Et tu meurs, lui dit-il, et moi je vais régner ! « Regarde dans mes
mains
l’empire et la victoire ; « Va rougir aux enfers
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenait à la
main
, Il lui perce le cœur ; et son âme ravie En achev
Bientôt, épris des charmes de Polyxène, fille de Priam, il obtient sa
main
; mais tandis qu’il la conduit à l’autel, Pâris l
ux le tableau de la mort de Priam : Tout à coup de Pyrrhus fuyant la
main
cruelle A travers mille dards, un dernier fils du
ve son trône et son lit souillés par Egisthe, et reçoit la mort de la
main
de Clytemnestre, son épouse. Cassandre, fille de
st toi que l’on peignait ainsi qu’un fleuve immense Où, la coupe à la
main
, venaient puiser les arts. Virgile sur toi seul
sent : Ou tel que tu peignais ce souverain des cieux, De sa puissante
main
enlevant tous les dieux, Les maîtres du pinceau,
meut l’univers. Que tu m’offres du cœur des peintures savantes ! Les
mains
du sang d’Hector encore toutes fumantes, Achille
uelle promesse Tyndare, son père, avait-il exigé des prétendants à la
main
d’Hélène ? Quels furent ceux auxquels Ménélas rap
uit Typhon, et après l’avoir vaincu dans deux batailles, le tue de sa
main
. Le jeune prince monte alors sur le trône paterne
il créa fut la déesse Bhavani. De trois œufs qui se formèrent sur les
mains
de celle-ci, sortirent trois dieux, qui composent
uit la source limpide où se peint son image, Les doux fruits que leur
main
de l’arbre a détachés Ou que d’un souffle impur l
ont elle ne se sépare pas. On représente Siva avec cinq têtes, quatre
mains
et trois yeux à sa tête principale. Il est monté
ien n’oserait pas écraser un insecte, et cependant ne tendrait pas la
main
à un paria pour l’empêcher de tomber dans un préc
s, sur les bords solitaires de l’Océan, dans les lieux incultes où la
main
de l’homme n’avait pas pénétré. Leurs prêtres s’a
nt paisibles ; cette baguette, qu’il ne cessa dès lors de porter à la
main
, fut appelée caducée, et devint un symbole de pai
Cet animal est l’homme. Dans l’enfance il marche sur les pieds et les
mains
, se tient droit dans la jeunesse et l’âge mûr, et
nt de la première édition. La mythologie n’est plus mise entre les
mains
des enfants dans un certain nombre de maisons d’é
ons, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa
main
des fleurs toujours écloses. 6. L’étude de la m
le représentait sous la figure d’un vieillard aveugle tenant dans ses
mains
une urne où était renfermé le sort de tous les hu
nuit le retour du jour. On représentait la Nuit avec un flambeau à la
main
, des ailes de chauve-souris et un manteau parsemé
assé et l’autre vers l’avenir. On lui mettait aussi une baguette à la
main
, parce qu’il présidait aux chemins publics, et un
es villes placées sous sa protection ; elle tenait des clefs dans ses
mains
pour marquer les trésors que la terre renferme da
ctyles (daktyles), parce qu’ils étaient dix comme les doigts des deux
mains
. Dans les fêtes de leur déesse, ils frappaient le
es dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodiguant par leur
main
Tous les présents dont l’Olympe s’honore, Fit mér
dirent-ils, vos moindres créatures : Aurions-nous bien le cœur et les
mains
assez pures Pour présider ici sur les honneurs di
Jupiter exauça leur prière innocente. Hélas ! dit Philémon, si votre
main
puissante Voulait favoriser jusqu’au bout deux mo
vos autels ; Clothon ferait d’un coup ce double sacrifice ; D’autres
mains
nous rendraient en vain ce triste office. Je ne p
ayant une barbe touffue, des sourcils noirs et épais, portant dans sa
main
droite la foudre et dans la gauche une victoire.
assise sur un trône, un diadème sur la tête, un sceptre d’or dans une
main
et dans l’autre un fuseau ; à ses pieds un paon,
ou de pavots, ses cheveux sont blonds ; elle tient une faucille d’une
main
ou une gerbe de blé, et de l’autre des pavots. On
l’avoir vaincu en présence des hommes et des Muses, lui fit lier les
mains
derrière le dos, et l’écorcha tout vif, donnant u
de. A ses pieds étaient les emblèmes de tous les arts. Il tenait à la
main
sa lyre d’or dont les sons charmaient les dieux e
ommes. — Quand il est pris pour le dieu du soleil, il a un coq sur la
main
, il est couronné de rayons de lumière et parcourt
e d’un cothurne, portant un carquois sur l’épaule, tenant un arc à la
main
et ayant un chien à ses côtés. On lui met un croi
rs. Comme divinité tutélaire des marchands, il tient une bourse d’une
main
et de l’autre un rameau d’olivier et une massue.
figure d’un jeune homme, la taille svelte et dégagée, et tenait à la
main
le merveilleux caducée. 6. On lui donnait des nom
e qu’il présidait aux chemins. Ses statues, qui n’avaient ni pieds ni
mains
, s’appelaient hermès. On plaçait son image au-des
n casque sur la tête, une égide sur la poitrine, et elle tenait d’une
main
sa lance et de l’autre son bouclier. Auprès d’ell
tête, les cheveux épars, l’œil en feu et une torche ensanglantée à la
main
. On immolait sur ses autels des loups et quelquef
x où les jouteurs couraient avec des flambeaux qu’ils se passaient de
main
en main, curieux et touchant symbole de la vie qu
jouteurs couraient avec des flambeaux qu’ils se passaient de main en
main
, curieux et touchant symbole de la vie qui se tra
, un bonnet rond et pointu, des jambes cagneuses, un marteau dans une
main
et dans l’autre des tenailles. Questionnaire.
ouvert de lie et la tête couronnée de pampres de vigne. Il tient à la
main
une coupe qu’il vide sans cesse et qui se remplit
le corps vêtu de peaux de tigres ou de panthères, portant dans leurs
mains
des thyrses ou des flambeaux, et mettant en pièce
in Bacchus entre avec son cortége. « Où sont, dit-il, ces sœurs à la
main
sacrilége ? Que Pallas les défende et vienne en l
flottante ; il est couronné de pampres ou de lierres, et tient d’une
main
des grappes de raisin ou une coupe, tandis que de
té sous la figure d’un jeune homme couronné de fleurs, tenant dans sa
main
droite un flambeau et dans sa gauche un voile nup
pour montrer qu’il ne lâche jamais sa proie. Il tenait une pique à la
main
, et avait un monstre à ses côtés. Téthys était po
e chauves-souris, un corps de vautour et des griffes aux pieds et aux
mains
. Elles étaient excessivement sales, et elles infe
n fils s’appelait Portumnus, et on le représentait avec une clef à la
main
parce qu’il était reconnu comme le protecteur des
comme les eaux de l’Océan. 15. On représente Neptune un trident à la
main
, debout sur les flots de la mer ou monté sur un c
es aventures sur terre ? 4. Qui épousa Neptune ? Comment obtint-il la
main
d’Amphitrite ? Quels enfants eut-il de ce mariage
iles de chauve-souris, des serpents pour cheveux, et des torches à la
main
. 7. Outre ces divinités vengeresses, il y avait e
ier que les richesses s’évanouissent rapidement. Il a une bourse à la
main
et il est aveugle, parce que la fortune répand se
’une jeune lionne qu’il avait tuée dans les forêts. Il tenait dans sa
main
une houlette courbée et noueuse. Sa queue paraiss
dieu Pan, avec cette différence qu’il tenait une branche de pin à la
main
. On donne généralement les noms de Sylvains, de F
e les fruits parviennent à leur maturité. Cette déesse tient dans ses
mains
une corne d’abondance, en signe des bienfaits qu’
ionomie d’un vieillard chagrin, à la barbe longue et négligée. Sur la
main
il avait un hibou, oiseau de mauvais augure. Qu
age enluminé par le vin et le front couronné de roses. Il tient, à la
main
droite un flambeau et s’appuie de la gauche sur u
e que la raillerie démasque les vices des hommes, et une marotte à la
main
en signe de folie. 5. L’Aurore était fille du Sol
e feu que traînaient les chevaux Lampus et Phaéton. Elle portait à sa
main
une torche, et était vêtue d’une longue robe de s
comme des astres. Elle tenait un livre ouvert avec une palme dans une
main
et de l’autre un miroir orné de fleurs et de pier
la figure d’une femme au regard terrible et sévère. Elle tient d’une
main
une balance et de l’autre une épée. Ses yeux sont
t le lion, le roi des animaux. Elle est représentée en amazone. D’une
main
elle embrasse une colonne et de l’autre elle tien
e déesse sous la figure d’une femme voilée ou d’une vierge portant la
main
droite au visage et un de ses doigts au front, po
et modeste, ayant sur la tête une couronne de lauriers et tenant à la
main
une corne d’abondance, Quelquefois elle portait u
s l’image d’une jeune fille couronnée de guirlandes, portant dans ses
mains
des cornes d’abondance. Quelquefois elle tenait u
acèrent au Capitole et la représentèrent avec des ailes, tenant d’une
main
une couronne de laurier et de l’autre une palme e
femme vêtue de blanc, symbole de l’innocence, tenant un bonnet de la
main
droite en signe d’affranchissement et une pique d
rte de serpents au lieu de cheveux ; elle tenait trois serpents d’une
main
et de l’autre une hydre. Un reptile monstrueux lu
t un air hagard, des vêtements déchirés, et lui faisaient tenir d’une
main
des torches enflammées ou un poignard et de l’aut
ortels il borne ses desseins, Le sang de son parti rougit souvent ses
mains
: Il habite en tyran dans les cœurs qu’il déchire
erpents s’agitent. Il avait pour attribut un masque qu’il tenait à la
main
, des hameçons et des filets. Le Mensonge, la Frau
pour ce motif entourée de chaînes, de clous et de marteaux, avec des
mains
de bronze. A Corinthe, elle avait un temple où pe
taquer. Après de grands efforts le héros le saisit, le déchira de ses
mains
, et se fit de sa peau une espèce de bouclier et d
e, les épaules couvertes de la peau du lion de Némée, une massue à la
main
. Quelquefois il a son arc et son carquois rempli
utour de lui rangés. Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes ; Sa
main
sur les chevaux laissait flotter les rênes ; Ces
s, saisit ses javelots, Pousse au monstre ; et, d’un dard lancé d’une
main
sûre, Il lui fait dans le flanc une large blessur
Seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa
main
a nourris. Il veut les rappeler, et sa voix les e
les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’appelle, et, me tendant la
main
, Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain. «
roi d’Argos. Un oracle ayant annoncé à ce tyran qu’il périrait de la
main
d’un de ses petits-fils, ce barbare mit Danaé et
aient de Neptune par Phorcys et Céto, deux divinités maritimes. Leurs
mains
étaient d’airain, leur chevelure de serpents, et
’accusation contre Bellérophon. Il ne voulut pourtant pas tremper ses
mains
dans le sang de ce héros illustre. Il prit le par
e crime d’Andromède ? Quel combat eut à livrer Persée pour obtenir sa
main
? A qui consacra-t-il la tête de Méduse ? 6. Quel
gémissant l’oiseleur inhumain Qui, glissant dans son nid une furtive
main
, Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore
le représente le front couronné de lauriers, un luth ou une lyre à la
main
, et autour de lui on voit des animaux féroces cha
de ses sons. Ne pouvant y réussir, il se jeta à la mer, sa lyre à la
main
. Un dauphin, que ses sons harmonieux avaient atti
s, et pour comble de malheur l’oracle lui apprit qu’il périrait de la
main
de l’enfant que Jocaste sa femme était sur le poi
déjà parricide. Jocaste restée veuve promit aussitôt son trône et sa
main
à celui qui triompherait du Sphinx. C’était un mo
ait l’homme qui, dans son enfance, se traîne sur ses pieds et sur ses
mains
, au milieu de sa carrière marche sur deux pieds,
ner, Et tu meurs, lui dit-il, et moi je vais régner. Regarde dans mes
mains
l’empire et la victoire, Va rougir aux enfers de
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenait à la
main
, Il lui perce le cœur ; et son âme ravie, En ache
marcher à l’ennemi avec ses troupes. Patrocle fut vaincu et tué de la
main
d’Hector. Ce malheur remplit de chagrin le bouill
res aux mânes de Patrocle. Il lui éleva un grand bûcher, immola de sa
main
douze captifs, et célébra des jeux magnifiques. L
aux genoux d’Achille, lui parla au nom de son père, et lui baissa la
main
en prononçant ces belles paroles : Juge de mon ma
nçant ces belles paroles : Juge de mon malheur en me voyant baiser la
main
qui a tué mon fils. Achille avait juré de laisser
son dos les dieux pénates de sa patrie, prit son fils Ascagne par la
main
, et se retira avec lui sur le mont Ida. Il y cons
leur oncle. Oreste revint après douze ans d’exil, et tua de sa propre
main
sa mère Clytemnestre et Egisthe, son beau-père. L
croyait mort depuis longtemps. Une foule de princes se disputaient la
main
de Pénélope, sa fidèle épouse. Cette princesse av
le défaisait la nuit ce qu’elle faisait le jour. Enfin elle promit sa
main
et sa couronne à celui qui se servirait de l’arc
sa taille et de ses bras ; la lance, l’épée, la flamme sont dans ses
mains
; le tigre a remplacé le taureau, enfin son corps
ue c’était le vrai Dieu qu’ils adoraient ainsi dans les œuvres de ses
mains
. Parmi les Pères, Minucius Félix et saint Cyprien
leurs études. Tous les phénomènes de la nature devenaient entre leurs
mains
autant de pronostics que la crédulité du peuple a
et préparées. « Ainsi il fallait cueillir le samolus à jeun et de la
main
gauche, l’arracher de terre sans le regarder, et
it aperçu la plante, on se baissait comme par hasard, et, glissant la
main
droite sous le bras gauche, on l’arrachait sans j
ué, un druide en robe blanche montait sur l’arbre, la serpe d’or à la
main
, et tranchait la racine de la plante que d’autres
ne est représenté sous la figure d’un vieillard tenant une faux de la
main
droite. Tout le temps que ce Dieu passa en Italie
Prodigue en ses largesses, Cybèle, à pleines
mains
(nous) répand ses richesses, De ses bienfaits nou
. Son front est couronné de tours, de chapiteaux, Et dans ses
mains
sont les trousseaux Des clés de tous les
t six mois sur la terre. Quelquefois, on représente Cérès tenant à la
main
un flambeau ou des pavots, et montée sur un char
es vierges qui président aux fêtes Eleusines. On la voit tenant d’une
main
une faucille, et de l’autre des épis dont elle es
es dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodiguant par leur
main
Tous les présens dont l’Olympe s’honore, Fit méri
r avec des sourcils noirs, le front couvert de nuages, la foudre à la
main
, et l’aigle à ses pieds. Le respect et l’équité s
r la tête suffisait pour assommer. Le Saut se faisait quelquefois les
mains
vides, ou bien avec des poids de plomb, qu’on por
ins vides, ou bien avec des poids de plomb, qu’on portait ou dans ses
mains
ou sur la tête et les épaules. Le Disque était un
n trou qu’on perçait au milieu. Celui qui le lançait avait une de ses
mains
approchée contre sa poitrine, tandis que l’autre
tans, excepté un, qui, par un tour d’adresse, le saisit au cou à deux
mains
; Arrachion, presque étranglé et près de mourir,
mmer d’un coup de poing, et le manger le même jour. Il tenait dans sa
main
fermée, une orange ou une grenade, que personne n
rra si fort que l’animal ne put lui échapper. Il arrêtait d’une seule
main
un chariot attelé de plusieurs chevaux. Darius, f
t attacher sous les deux pieds deux enclumes, après lui avoir lié les
mains
derrière le dos avec une chaîne d’or. Vulcain fut
, il paraît barbu, les cheveux négligés, en habit court, tenant de la
main
droite un marteau, et de la gauche des tenailles.
que Mercure, instruit de son sort par la belle Héribée, l’arracha des
mains
de ses persécuteurs. Mars est blessé par Diomèd
Bellone, le regard furieux, les cheveux épars, tenait les rênes d’une
main
, et de l’autre un fouet ensanglanté. Le dieu, le
he, d’où Pallas sortit tout armée, le casque en tête et la lance à la
main
. L’idée de cette génération toute poétique semble
sse ayant sur la tête un casque surmonté d’une chouette, tenant d’une
main
une pique, et l’égide de l’autre ; c’était un bou
ite des os de Pélops, ancien roi du Péloponèse, tenait une pique à la
main
droite, une quenouille et un fuseau à la gauche ;
mettre : En voyant ces œillets, qu’un illustre guerrier Arrosa d’une
main
qui gagna des batailles, Souviens-toi qu’Apollon
s d’Apollon et de la nymphe Caronis, fut mis de bonne heure entre les
mains
du centaure Chiron qui lui donna la connaissance
le magnifique. Il y était représenté assis sur un trône, tenant d’une
main
un bâton, et appuyant l’autre sur la tête d’un se
, Esculape apparut en songe au chef de l’ambassade ; il avait dans la
main
gauche un bâton autour duquel était un serpent, e
. Les chevaux allaient plus vite que le vent. Ne reconnaissant pas la
main
novice qui les guidait, ils prirent l’écart, et e
order autant d’années qu’elle tenait alors de grains de sable dans la
main
; mais elle oublia de demander la faveur de ne po
igres et de panthère, et tout échevelées ; elles portaient dans leurs
mains
des flambeaux ou des thyrses, grimpaient sur les
les servaient à indiquer la route : ces statues n’avaient ni pieds ni
mains
; on les nommait Hermoe, Hermès. Mercure inventa
esse, on lui attacha des ailes aux talons et à la tête. Il portait en
main
un caducée, baguette autour de laquelle étaient d
que, la nuit, à l’heure où chacun repose, il allât, une baguette à la
main
, conduire les morts aux enfers et assister à leur
ttaient point. On les peint nues, jeunes, riantes et se tenant par la
main
. Elles sont nues pour montrer que les grâces n’em
Elles sont dans l’attitude de personnes qui dansent, se tenant par la
main
sans se quitter, pour nous apprendre que nous dev
er nos vœux « Et signaler son auguste alliance, « Il confie à vos
mains
le dépôt précieux « Des trésors de sa bienfai
leurs épaules et flottaient au gré des vents ; la déesse tenait d’une
main
un sceptre d’or pour commander aux vagues ; de l’
de fille, un corps de vautour, des ailes aux côtés et des griffes aux
mains
. On les appelait aussi oiseaux stymphalides ; tou
, des sourcils épais, des yeux rouges et un regard menaçant ; dans sa
main
droite est une longue fourche ; l’autre tient une
s la favorite de Pluton et son ministre : une faulx sanglante arme sa
main
décharnée ; une robe noire parsemée d’étoiles cou
et Pélée. On le représente, ainsi que Rhadamanthe, une houssine à la
main
. Les Champs-Elysées. Les Champs-Elysées ét
er. Sur un rapide char, dont l’orgueil fut le guide, Une torche à la
main
; il parcourait l’Elide, Exigeait les honneurs du
coursiers l’impétueux passage Imitait la tempête, et mettait dans ses
mains
Les secrets du tonnerre, ignorés des humains ! Ma
gés de fruits ombragent le cristal d’une onde pure, ses lèvres et ses
mains
essaient vainement d’atteindre ces objets de ses
i donnent des ailes, d’autres la représentent sans char, tenant d’une
main
un grand voile, et tournant de l’autre un flambea
s enfans du Sommeil. On peint toujours Morphée tenant des pavots à la
main
. Son nom signifie Figure ou Image ; parce que, du
l’on voit les hommes réunis avec les animaux. On lui fait tenir à la
main
une sorte de flûte à plusieurs tuyaux, pour marqu
uronnée de guirlandes et couverte d’une draperie qu’elle tenait de la
main
droite ; de l’autre elle présentait une poignée d
e, qui avait passé dans ce canton, dit qu’il se lava le visage et les
mains
à la fontaine sacrée qui coulait à l’entrée du bo
d panier plein de fleurs et de fruits, tenant quelques pommes dans la
main
gauche et un rameau dans la droite, sa longue rob
éral d’armée prêt à livrer bataille ; en pêcheur avec des filets à la
main
. Quelquefois il portait une échelle sur ses épaul
es fruits. Tantôt c’était un véritable vigneron, ayant une serpe à la
main
; tantôt un faucheur, la tête couronnée de foin e
on le voyait comme un bouvier qui quitte la charrue, l’aiguillon à la
main
. A la faveur de tous ces déguisemens, il avait le
s Pénates ! mes dieux Lares ! Chers protecteurs de mon foyer ! Si mes
mains
, pour vous fétoyer, De gâteaux ne sont point avar
orage, Quêtant pour lui sur son passage, Dans son casque ou sa faible
main
, Avec les grâces de son âge, De quoi ne pas mouri
it ces petites divinités sous la figure d’un jeune homme tenant d’une
main
un vase à boire, et de l’autre une corne d’abonda
était écrit, et que les autres dieux consultaient ; il tient dans ses
mains
l’urne qui renferme le sort des mortels. Voici la
ble Offre en un point l’avenir ramassé ; L’urne des sorts est dans sa
main
terrible ; L’âge des temps pour lui seul est fixé
esse à ce palais terrible ; Et de là, sur la terre il verse à pleines
mains
Et les biens et les maux destinés aux humains : S
représente par deux jeunes filles qui se donnent la main, ou par deux
mains
passées l’une dans l’autre, comme on se les donne
qu’ils agissaient, avec une extrême sincérité, avaient la tête et les
mains
couvertes d’un voile blanc. La Fortune Qu
urquoi on la dépeint sous la forme d’une vieille, avec du feu dans la
main
droite et de l’eau dans la gauche, quelquefois on
: il la représentait portant le ciel sur sa tête ; et tenant dans une
main
la corne d’abondance. Chaque poète s’est plu à lu
ssé une belle ode, dont voici la première strophe : Fortune, dont la
main
couronne Les forfaits les plus inouïs, Du faux éc
commande encore avec plus d’empire. On la représente tenant dans ses
mains
de bronze de longues chevilles et du plomb fondu,
épaules, et descend à longs plis jusqu’à terre ; elle tient dans ses
mains
un frein et un compas, l’un pour maîtriser la fou
déesse avec une couronne taillée en bois de cerf ; elle avait dans la
main
une branche de frêne. On la peignait avec des ail
ampagne parmi les laboureurs. On représente cette déesse tenant d’une
main
une balance et de l’autre une épée. D’autres lui
ndeau sur les yeux, lui ont bouché les oreilles, et l’ont peinte sans
mains
, pour signifier que la justice ne doit se laisser
nter levant le masque de dessus le visage, et tenant une marotte à la
main
. La Marotte est un petit bâton ayant une petite f
nneur est représenté sous la figure d’un homme tenant une pique de la
main
droite, et la corne d’abondance de la main gauche
mme tenant une pique de la main droite, et la corne d’abondance de la
main
gauche. Sur quelques-unes il tient une pique et u
touffer ; mais le héros, déjà d’une force prodigieuse, prit entre ses
mains
les deux serpens et les mit en pièces. Hercule ap
, mon cher Orphée ; Eurydice expirante En vain te cherche encor de sa
main
défaillante. …………………………………………………… ………………………………………
nce douteuse. Sous le nom de son fils vous fûtes élevé Par cette même
main
qui vous avait sauvé. Voltaire. Œdipe, devenu g
re de son père, il se rendit secrètement à Argos, et tua de sa propre
main
Egisthe et Clytemnestre. Tourmenté par les Furies
réserva de ses enchantemens ; de plus, il la contraignit, l’épée à la
main
, de lui rendre ses gens sous leur première forme.
un met, et la poursuit en vain : La volatille échappe à sa tremblante
main
; Entre les pieds des dieux elle cherche un asile
in les tableaux de Zeuxis et d’ Appelle ! Ceux-ci furent tracés d’une
main
immortelle. Nos deux époux, surpris, étonnés, con
dirent-ils, vos moindres créatures : Aurions-nous bien le cœur et les
mains
assez pures Pour présider ici sur les honneurs di
Jupiter exauça leur prière innocente. Hélas ! dit Philémon, si votre
main
puissante Voulait favoriser jusqu’au bout deux mo
t vos autels, Clothon ferait d’un coup ce double sacrifice ; D’autres
mains
nous rendraient un vain et triste office : Je ne
elle un cygne poursuivi par un aigle aux serres cruelles ; Léda d’une
main
caressante flatte le col d’albâtre du bel oiseau
nsemble. Ce dieu, père des dieux, devant qui le ciel tremble, Dont la
main
flamboyante étincelle d’éclairs, Oubliant ce haut
on poil si doux la neige éblouissante. Elle cueille des fleurs que sa
main
lui présente. De ces soins en secret le dieu s’en
ces soins en secret le dieu s’enorgueillit ; Il baise avec respect la
main
qui les cueillit ; Il triomphe, il jouit du bonhe
; Sur l’arène tantôt, couché nonchalamment, Il présente son dos à la
main
délicate, Qui, moins timide alors, le caresse et
rde en vain : Assise sur le dos de ce taureau divin, Elle attache une
main
à sa corne puissante ; L’autre dispute aux vents
lossale, et l’aigle reposait sur le bout du sceptre qu’il tenait à la
main
. Tous les peuples de l’univers accouraient pour a
put résister à cette demande. Peu contente d’avoir sa rivale en ses
mains
, Junon, qui d’un époux craint encor les larcins,
à la voûte de l’Olympe, les pieds chargés d’une lourde enclume et les
mains
d’une chaîne d’or non moins pesante. On ajoute qu
ton analysa l’essence de la lumière. Il découvre à mes yeux, par une
main
savante, De l’astre des saisons la robe étincelan
ervices ne doivent point se faire attendre ; elles se tiennent par la
main
, pour montrer que nous devons nous unir par des s
me à se couvrir les yeux d’un bandeau, et à tenir un flambeau dans sa
main
. Il est craint de tous les dieux et de toutes les
s lions ; et le coursier le plus docile n’est pas plus obéissant à la
main
du cavalier qu’ils ne le sont à la mienne. » Il n
vit le plus charmant des êtres ! Elle laisse échapper le poignard. Sa
main
tremblante tient la lampe qui lui montre tant de
nnée de fleurs, sur-tout de marjolaine : il tient quelquefois dans sa
main
un voile de couleur jaune ; car la couleur jaune
tinuons notre voyage dans l’Olympe : Apollon se présente la lyre à la
main
, et le front environne de rayons éclatants… Que d
elle est un arbre enfin, Apollon l’aime encore ; il l’embrasse, et sa
main
Sent palpiter un cœur sous l’écorce nouvelle. Qua
arbe, tenant un bâton entouré d’un serpent ; quelquefois tenant d’une
main
un bâton, et s’appuyant de l’autre sur la tête d’
squ’aux aliments, tout se changeait en métal sitôt qu’il y portait la
main
. Au milieu des richesses, exposé à mourir de faim
ernes où elle s’était cachée pour éviter l’incendie général, lève ses
mains
vers le ciel, et implore Jupiter, qui met fin à c
mon cher Orphée ; Eurydice expirante « En vain te cherche encor de sa
main
défaillante ; « L’horrible Mort, jetant son voile
gémissant l’oiseleur inhumain Qui, glissant dans son nid une furtive
main
, Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore,
beautés s’efforçaient de lui plaire, Il dédaigna leurs feux ; et leur
main
sanguinaire, La nuit, à la faveur des mystères sa
couvert de fleurs, brille de rayons doux et modérés ; avec ses belles
mains
, dont les doigts ont la couleur des boutons de la
ut roi d’Éthiopie : s’étant rendu au siège de Troie, il y périt de la
main
d’Achille. Les Égyptiens lui élevèrent une statue
i seule en façonna l’entrée, Dans le tuf qu’elle-même a taillé de ses
mains
, Imita librement l’art savant des humains ; Et de
e chasseur : ses compagnes l’entourent ; elle cache son sein avec ses
mains
, et détourne la tête. Toutefois, au défaut de ses
conseils de Jupiter. La lance et le bouclier qu’elle portait dans ses
mains
annonçait son amour pour l’art de.la guerre, qui
aît une statue de Méduse assise sur un rocher, sa tête appuyée sur sa
main
gauche ; accablée de la douleur de voir ses cheve
nstrueuses : leur corps était couvert d’écailles impénétrables, leurs
mains
étaient d’airain ; elles avaient des ailes couleu
ille de Troie, connue sous le nom de Palladium, tenait la pique de la
main
droite et une quenouille de la gauche. Lorsque Mi
Mars. Il se présente le casque en tête, tenant une pique d’une
main
et un bouclier de l’autre. Quelquefois, il monte
de pourpre, couronné de pampres et de raisins, tenant un thyrse à la
main
, et ayant à ses pieds des brodequins brochés d’or
gone à ses plus joyeuses fêtes et à tous ses mystères. Un thyrse à la
main
, et le front couronné de lierre, elle suivait le
toison compose mes habits ; « Et quand le fuseau tourne, entre leurs
mains
légères, « Ne blesse pas les doigts de nos jeunes
était représentée avec une couronne d’épis sur la tête, tenant d’une
main
une torche allumée, et de l’autre un pavot. Quelq
ntroduisait de nuit dans le temple, et après lui avoir fait laver les
mains
en entrant, on le couronnait de myrte ou d’if ; e
bras s’étend soudain ; Les doigts, en s’allongeant, vont dessiner la
main
. Bientôt de ce beau corps la taille souple et lib
ls de Jupiter, se levant, sur ses pieds, saisit les serpents dans ses
mains
et les étouffa. Cette circonstance de la vie d’He
is savouraient les délices, Les cache en sa caverne ; et cependant sa
main
, Pour déguiser aux yeux les traces du larcin, Sai
ds la peur donne des ailes : Il fait tomber ce roc que, d’une adroite
main
, A des chaînes de fer a suspendu Vulcain, S’enfer
; Tantôt d’un roc brisé lui lance un large éclat ; Et tantôt, à deux
mains
, d’un arbre entier l’accable. Alors le monstre, e
rêt voisine. Le fils de Vénus vit ce rameau s’offrir de lui-même à sa
main
, et tout aussitôt être remplacé par un autre rame
de fille que la Faim rendait toujours pâle, de grandes ailes, et des
mains
armées de griffes : leurs noms étaient Aëllo, Ocy
i qui le portait, et ils en firent présent à Pluton. Ce dieu tient en
main
un sceptre à deux pointes, et quelquefois des cle
diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible ? « Je crois voir de tes
mains
tomber l’urne terrible. » Éaque, fils de Jupiter
x, autant que j’ai pu le remarquer, sont verdâtres. Ils ont aussi des
mains
, des doigts, et des ongles qui ressemblent à l’éc
r leurs épaules, et flottaient au gré du vent. La déesse tenait d’une
main
un sceptre d’or pour commander aux vagues, de l’a
sein était couvert de deux rangs de mamelles ; tenant une clef d’une
main
, et un sceptre de l’autre ; portant sur sa tête u
. Bientôt il courut auprès de la magicienne, et la força, l’épée à la
main
, de rendre à ses compagnons leur première forme.
voyait sans cesse occupées à plonger, ou à jeter de l’eau avec leurs
mains
pour se mouiller la chevelure et les épaules. Cha
des nymphes qui dansaient au bord des fontaines, en se tenant par la
main
et en s’entrelaçant de fleurs. Souvent au leve
x ; sa tête est couronnée de fleurs ; quelquefois elle tient dans ses
mains
des guirlandes, ou une corne d’abondance remplie
é de feuilles de laurier, ou de vigne, ou de roquette, et tenant à la
main
une baguette, ou une massue, ou une faucille, sel
senté sous la figure d’un jeune homme couronné d’herbes, tenant d’une
main
des fruits, et de l’autre la corne d’abondance ;
une grande corbeille de fleurs et de fruits, et tient un rameau d’une
main
, et quelques pommes de l’autre. C’était aussi sou
leurs ; l’Été avait le front chargé d’épis de blé, et tenait dans ses
mains
un faisceau d’épis et une faucille ; l’Automne po
vêtue d’une longue robe, son visage était couvert d’un voile, et ses
mains
portaient un vase à deux anses, et quelquefois un
; les doigts sous celle de Minerve : que dis-je ! chaque partie de la
main
, chaque phalange des doigts était en rapport avec
ou l’art de connaître les destinées des hommes par l’inspection de la
main
. La Métoposcopie, pour annoncer ce que les dieux
trop long-temps occupé nos ancêtres eux-mêmes, prétendait lire sur la
main
d’une jeune personne qu’il chérissait ses futures
chérissait ses futures destinées, et s’exprimait ainsi, en tenant la
main
de son amante : Lorsque, d’un air de confiance,
son amante : Lorsque, d’un air de confiance, Vous m’abandonnez votre
main
, Je l’observe, et souvent je pense Qu’avec un peu
traits joints ensemble Qui composent un M ; j’ai cru Qu’en cela votre
main
jolie Veut prouver que vous avez su Que chaque do
aimable amie, Que la candeur à l’œil serein Présente son cœur sur sa
main
; Et prête à la sorcellerie, Sans qu’on ait recou
ons, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sons sa
main
des fleurs toujours écloses. Nombre des Dieux
on ne lui érigea jamais aucune statue. On le peignoit ayant entre tes
mains
l’urne qui contient le sort des humains ; on lui
cesse à ce palais terrible ; Et de là sur la terre il verse à pleines
mains
Et les biens et les maux destinés aux humains. Su
nt d’airain ; La rage en ses yeux étincelle, Et le fer brille dans sa
main
: Par le faux Honneur qui la guide, Bientôt, dans
fante ; j’en frémis. Le frère meurt des coups du frère, Le père de la
main
du fils. L’Honneur fuit, l’Intérêt l’immole ; Des
e avec les sourcils noirs, le front couvert de nuages, la foudre à la
main
, et l’aigle à ses pieds. Le Respect et l’Équité s
rage mourante. Jupiter est victorieux, Et tout cède à l’effort de sa
main
foudroyante. D. Quelles ont été les principales
des Dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel prodiguant par leur
main
Tous les présens dont l’Olympe s’honore Fit mérit
s barbe, tantôt avec un arc et des flèches, tantôt avec une lyre à la
main
, sur la tête une couronne de laurier, et sur un c
-on ? R. On la représente chaussée d’un cothurne, tenant un arc d’une
main
, et de l’autre une flèche ; elle porte un carquoi
faire voir à elle dans toute sa gloire, c’est-à-dire, la foudre à la
main
. Jupiter se rendit avec peine à sa demande. Ayant
Dieu de la vendange. Il est assis sur un tonneau avec une coupe à la
main
, ou sur un char traîné par des tygres, des lynx o
char traîné par des tygres, des lynx ou des panthères, et tenant à la
main
un thyrse, qui est une baguette entourée de pampr
llé en coureur, avec des ailes à la tête et aux talons. Il porte à la
main
un caducée ; c’étoit une baguette où étoient deux
ec un sourire malin, et un bandeau sur les yeux. Il tient un arc à la
main
et quelquefois un flambeau. Il porte des ailes, e
orme, avec les yeux et le visage enflammés, et tenant un marteau à la
main
. Minerve. D. Comment les Poëtes font-ils n
rreur Devancent leurs flots redoutables ; Et la mort remet dans leurs
mains
Ces tonnerres épouvantables Dont elle écrase les
ente armée d’une cuirasse, avec un casque sur la tête, une lance à la
main
, l’égide au bras, et auprès d’elle un hibou. D. D
vautour, des ailes de chauve-souris, et des griffes aux pieds et aux
mains
. Elles infectoient tout ce qu’elles, touchoient.
ide plaine. (Rousseau.) On le représente avec un sceptre de fer à la
main
, assis ou appuyé du premier sur un rocher, d’où l
ux noirs, portant une couronne d’ébène sur la tête, et des clefs à la
main
. Son royaume est communément appelé le royaume de
ôt faisant un usage éclairé de ses dons : Aimable Dieu, de qui la
main
dispense Ce qui rend les mortels heureux,
sente-t-on Cérès ? R. On la représente couronnée d’épis, tenant d’une
main
une faucille, et de l’autre une poignée d’épis mê
te avec la barbe et la chevelure fort négligées, et une faucille à la
main
. Tous les ans, d’un lait pur une coupe t’est due
tyrique et bouffon : il démasque un visage, et tient une marotte à la
main
. La Nuit. D. La nuit n’est-elle pas considé
la représente avec un bandeau sur les yeux, tenant une balance d’une
main
, et de l’autre une épée. Je vois une auguste Dée
(Lamotte.) Elle est représentée couronnée de laurier, portant d’une
main
une petite statue de Plutus, et de l’autre une br
le regard inquiet des vipères au lieu de cheveux, trois serpens d’une
main
, une hydre de l’autre, et un serpent monstrueux a
ortels il borne ses desseins. Le sang de son parti rougit souvent ses
mains
. Il habite en tyran dans les cœurs qu’il déchire,
nes sur la tête, des pieds de chèvre, la face rubiconde, et tenant en
main
une espèce de flûte, que les Grecs nommoient Syri
bituellement son cortège. On représentoit Sylvain avec un cyprès à la
main
, parce que la Nymphe Cyparis, sa maîtresse, avoit
é, Acrise, roi d’Argos, ayant appris de l’Oracle qu’il périroit de la
main
de son petit-fils, fit enfermer Danaé sa fille un
e le sort cruel ne trompe son attente ; Les yeux au labyrinthe et les
mains
vers les cieux, Au secours de Thésée elle appelle
ers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d’un dard lancé d’une
main
sûre, Il lui fait dans le flanc une large blessur
Seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa
main
a nourris ; Il veut les rappeler, et sa voix les
n’est bientôt qu’une plaie. J’arrive ; je l’appelle, et me tendant la
main
, Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain. (
up de part à la défaite des Amazones. Ses victoires lui méritèrent la
main
de Philoné, fille d’Iobates, roi de Lycie. Orp
s, roi de Thèbes. Laïus avoit appris de l’Oracle qu’il périroit de la
main
de son fils ; il ordonna à Jocaste, son épouse, d
, à quatre pieds, deux à midi, et trois le soir ? » La couronne et la
main
de la Reine étoit promise à celui qui expliqueroi
est l’homme qui, dans son enfance, se traîne sur les pieds et sur les
mains
, dans l’âge viril se soutient sur ses deux pieds,
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenoit à la
main
, Il lui perce le cœur, et son ame ravie, En achev
? R. Il échappa par son adresse à la fureur des Lestrigons. Entre les
mains
et à la merci de Polyphême, le plus fameux des Cy
mps heureux. Il remit ses états à son fils Télémaque, et périt par la
main
de Télégone, qu’il avoit eu de Circé. Pénélope, s
rgea son père sur ses épaules, prit son fils Iüle, ou Ascagne, par la
main
, et emporta les Dieux tutélaires de sa patrie. D.
s les yeux, et remuoit de temps en temps la lance qu’elle tenoit à la
main
. Il fut enlevé par Diomède et Ulysse. Troye fût p
Fut Précepteur du genre humain. Qu’un lecteur est bien sous sa
main
! Il l’amuse en enfant » mais pour en faire un ho
avec un naturel et des grâces inimitables ; tout devient or entre ses
mains
. Tout fleurit dans ses vers ; le plus vil animal
liront pas, par d’indignes procédés, l’auguste qualité d’homme que la
main
du suprême Créateur a imprimée sur leur front ; i
réciateur des choses. Les richesses sont un dépôt sacré mis entre les
mains
de l’homme opulent, pour soulager l’indigent, et
la chaussure et le manteau étoient aussi d’or ; le Dieu tenoit de la
main
droite une victoire d’or et d’ivoire, et de la ga
e familles et des membres du clergé nous ont félicité d’avoir mis aux
mains
de l’enfance un livre qui l’instruit sans danger,
ient commencé. Le Destin commande à tous les dieux, et tient dans ses
mains
le sort de tous les mortels ; ses décrets sont in
veugle, ayant sous ses pieds le globe de la terre, et tenant dans ses
mains
l’urne qui renferme le sort des humains. On lui d
marier parcourent l’âpre sentier de la vieillesse sans l’appui d’une
main
tendre et amie. Il avoue, d’ailleurs, qu’on trouv
d’offrir aux deux étrangers un repas frugal que Baucis apprêta de ses
mains
. Écoutons La Fontaine, qui a raconté cette histoi
dinairement Jupiter assis sur un trône d’or ou d’ivoire, tenant d’une
main
la foudre, signe de la puissance qui frappe, et d
e. On la représente assise sur un trône, un diadème sur la tête, à la
main
un sceptre d’or. Quelquefois elle traverse les ai
avoir vaincu en présence des hommes et des Muses, il lui fit lier les
mains
derrière le dos, l’attacha à un arbre et l’écorch
e fut pas le terme des misères d’Apollon : forcé de travailler de ses
mains
pour vivre, il offrit ses services à Laomédon, ro
ante beauté, la tête ceinte d’une couronne de laurier et la lyre à la
main
. Les Muses. Pégase, Pyrénée, les filles de Pi
irement chaussée du cothurne, vêtue d’une tunique légère, un arc à la
main
et un carquois sur les épaules. Une biche est à g
rvales. On représente Minerve avec un air grave et majestueux ; d’une
main
elle tient la lance, et de l’autre s’appuie sur s
r un ormeau se plaint la tourterelle Quand l’adroit giboyeur a, d’une
main
cruelle, Fait mourir à ses yeux l’objet de ses am
aite du ravisseur. Elle se mit alors à sa recherche, un flambeau à la
main
, et parcourut la terre en demandant partout des n
le Métra, qui, douée par Neptune du don de se transformer, passait de
main
en main sous diverses figures, toujours vendue à
, qui, douée par Neptune du don de se transformer, passait de main en
main
sous diverses figures, toujours vendue à de nouve
ries. Cérès est représentée tenant une faucille et une gerbe dans ses
mains
; son front est ceint d’une couronne d’épis. On v
hoses de Stellio et d’Ascalaphe. On la peint souvent un flambeau à la
main
et marchant à grands pas, en souvenir du voyage q
ne, et qui supporte le poids de son ventre. La coupe qu’il tient à la
main
se vide et se remplit toujours. Bacchus signala s
pria-t-il le dieu de l’en débarrasser. Il y parvint en se lavant les
mains
dans le Pactole, qui, depuis cette époque, roule
et sa cour, confus et long cortége « Où sont, dit-il, ces sœurs à la
main
sacrilége ? Que Pallas les défende et vienne en l
omme à la chevelure flottante, couronné de pampre et de lierre. D’une
main
il tient le thyrse, baguette surmontée d’une pomm
Il serait trop long de compter tous les ouvrages qui sortirent de ses
mains
et dans lesquels brillait son infatigable et ingé
appelées Lampadophories, dans lesquelles les coureurs se passaient de
main
en main un flambeau qui ne devait pas s’éteindre.
Lampadophories, dans lesquelles les coureurs se passaient de main en
main
un flambeau qui ne devait pas s’éteindre. Les poë
amps. On le représente avec une tête d’homme, mais sans pieds et sans
mains
, pour marquer son immobilité. Il faut ajouter à c
’une jeune lionne qu’il avait tuée dans les forêts. Il tenait dans sa
main
une houlette courbée et noueuse. Sa queue paraiss
our indiquer qu’il ne lâche jamais sa proie ; il tient une pique à la
main
. A côté de lui on voit un monstre marin. Téthys,
ar en forme de conque et traîné par des chevaux marins. Il tient à la
main
un trident. Les Tritons et les Néréides l’accompa
s Furies et les Parques, et d’où découlent les fleuves des Enfers. Sa
main
droite est armée d’un sceptre à deux pointes ; qu
décidait souverainement du sort des ombres. Il tenait un sceptre à la
main
, et agitait l’urne fatale qui renfermait les dest
rpents entrelacés sifflent autour de leur tête ; elles tiennent d’une
main
une torche enflammée et de l’autre un fouet de co
’épais sourcils. Il est debout dans sa barque, il tient une rame à la
main
. Némésis. Némésis, terrible divinité des En
une roue, pour exprimer la sûreté et la rapidité de sa course ; d’une
main
, elle tient un flambeau qui éclaire les conscienc
sséchées ; il veut manger, les branches de l’arbre se retirent, et sa
main
essaye en vain de les saisir. C’est Tantale, roi
rait dans les combats, les cheveux épars, une torche et un fouet à la
main
. La Discorde, dont le nom explique suffisamment l
s vêtements et retirée au fond d’un puits : elle tient un miroir à la
main
. La Pudeur avait des temples à Rome et à Athènes.
stice est représentée sous les traits d’une jeune fille, tenant d’une
main
une balance dont les plateaux n’inclinent d’aucun
te Esculape avec une longue barbe, un coq à ses côtés, et tenant à la
main
un bâton entouré d’un serpent. Le serpent lui ava
ous allons bientôt raconter. L’éducation d’Hercule fut mise en bonnes
mains
. Euryte, roi d’Œchalie, lui enseigna à tirer de l
retint une partie de l’armée ennemie prisonnière dans le creux de sa
main
. En Espagne, Hercule laissa des traces de son pas
, qu’on représente sous les traits d’un homme robuste ; il tient à la
main
la redoutable massue, instrument de ses exploits
ccomplissement de l’oracle qui lui avait annoncé qu’il périrait de la
main
de son petit-fils. Ayant pris la résolution de fa
e, roi de Sériphe, fit élever Persée avec ses enfants ; aspirant à la
main
de Danaé, il voulut éloigner Persée. Il convia à
étacha en sa faveur les ailes de sa tête et de ses talons, et arma sa
main
d’une épée de diamant. Le jeune héros ainsi équip
iers qui s’entre-tuèrent, et dont la mort permit à Jason de mettre la
main
sur la toison d’or. Maître de ce trésor, Jason s’
donner le mot. Jocaste, veuve de Laïus, avait promis son trône et sa
main
à celui qui délivrerait Thèbes de ce monstre. Œdi
Thèbes, et l’événement justifia sa prédiction. On en vint bientôt aux
mains
; les Thébains, ayant perdu la bataille, abandonn
ira auprès d’elle tous les princes de la Grèce, qui se disputaient sa
main
. Lorsqu’ils furent réunis, Tyndare leur fit jurer
mes parmi des parures de femmes, et Achille se trahit en y portant la
main
. Lorsque toute l’armée fut rassemblée, on en défé
es charmes de Polyxène, il s’avançait vers l’autel pour y recevoir sa
main
, lorsqu’un trait, lancé par Pâris, le frappa au t
ille fut livrée aux flammes et au pillage. Le vieux Priam périt de la
main
de Pyrrhus, fils d’Achille, et son empire fut dét
e en butte aux attaques de nombreux prétendants qui se disputaient sa
main
. Elle avait trompé leur impatience en ajournant s
ns cesse l’œuvre de la création. « On donne à Siva cinq têtes, quatre
mains
et trois yeux à sa tête principale. Il est porté
sa taille et de ses bras ; la lance, l’épée, la flamme sont dans ses
mains
; le tigre a remplacé le taureau ; enfin son corp
u Muspelheim formèrent les étoiles. Odin et ses frères avaient mis la
main
à cet ouvrage ; le monde créé, ils en devinrent l
, la tête couverte d’un casque d’or, les cheveux épars, la lance à la
main
, et montées sur des chevaux ardents. Thor est le
us, qu’il voulut les précipiter, enchaînés dans le Tartare, entre les
mains
de ce dieu ténébreux, que l’on supposait devoir s
nouveau, elle appelle Chrone, autrement dit Saturne, lui met dans les
mains
la harpé, ou faulx à lame dentelée, et lui recomm
et de l’impuissance causée par une mutilation résultant de sa propre
main
, ou venue d’une main étrangère, divine ou humaine
causée par une mutilation résultant de sa propre main, ou venue d’une
main
étrangère, divine ou humaine. Voici comme il vint
s actes les plus extravagans ; car les prêtres ayant un couteau d’une
main
et une torche allumée de l’autre, couraient çà et
bizarrement variée par des nœuds, des crevés et des rouleaux. Dans sa
main
gauche est une espèce de houlette de berger ou de
e l’arbre dont elle portait une couronne. Elle avait une clé dans une
main
, un sceptre dans l’autre et un tambour ou disque,
mère de Saturne, ou Vesta Prisca, représentée tenant un tambour à la
main
pour montrer que la Terre renferme les vents dans
avait vu s’endormir l’objet de ses desirs ; déjà il le touche de ses
mains
impures, lorsque tout à coup un âne son ami, le c
n voile à la manière espagnole, portant un sceptre ou une hasté d’une
main
, et ayant une sphère dorée ou tour sur la tête. L
gère avec une lampe ou une petite statue de Minerve ou Palladium à la
main
. Saturne. — Passons maintenant à l’histoire de S
présenté avec deux ou quatre visages opposés, tenant une clef dans la
main
droite, pour marquer qu’il ouvrait l’avenir, et u
rte d’un voile, et souvent même surmontée d’un globe, portant dans la
main
droite sa harpé ou faulx dentelée, et dans la gau
ant d’autres, ce Saturne étant convenu, après avoir reçu l’empire des
mains
de Titan, son frère aîné, qu’il ne laisserait viv
e, Agnite ou Hagno, l’Arcadienne, représentée tenant une cruche d’une
main
et une bouteille de l’autre ; Hélice, et sa sœur
e lait d’une chèvre favorite, appelée Ega, qu’elle avait sauvée de la
main
des Titans, ses frères, ou cette chèvre elle-même
estre, représentée sous les traits d’une matrone debout, tenant de la
main
droite un serpent, et dans la gauche le gouvernai
l’a représentée sous la figure d’une femme, tenant une épée nue d’une
main
et une balance de l’autre. Quant à Astrée qu’on l
ux, elle était représentée à Rome avec une branche d’olivier dans une
main
et une corne d’abondance dans l’autre, ou quelque
tres effroyablement contrefaits, ayant chacun cinquante têtes et cent
mains
; leur père, épouvanté à leur naissance de l’imme
dent, par leur présence, les conspirateurs qui n’osent plus porter la
main
sur le protégé des Centimanes. Depuis ce jour, as
unissaient à son père. Aussitôt, profitant des armes qu’il a dans les
mains
, il le frappe, le soumet, puis le mutile avec cet
uns sur les autres. Bientôt ils furent assez élevés pour en venir aux
mains
avec les Dieux. Alors le combat devint des plus a
élevés, elles lançaient au loin des torrens de feu et de flamme ; ses
mains
, toujours agitées, touchaient l’extrémité des deu
s une pluie ascendante de pierres énormes, que lancent ses nombreuses
mains
. Bientôt il escalade le Ciel, et force à s’enfuir
rceaux le pauvre Jupiter, dont il renferme les nerfs des pieds et des
mains
à part dans une peau d’ours ; puis il emporte le
é de fruits ; car ses branches, qui s’inclineront sans cesse vers ses
mains
, se redresseront toutes les fois qu’il cherchera
hommes cachés, afin de faire croire qu’ils avaient été frappés par la
main
invisible du Dieu puissant. Cette farce cruelle d
asant sous des monceaux de pierres tout étranger qui tombait dans ses
mains
; il fut tué dans un combat par Thésée, roi d’Ath
le surprennent endormi sur le mont Cylleunis, et lui coupent les deux
mains
. Jupiter alors, touche du malheur de son messager
pe ; celui qui d’un seul coup assommait un homme, et auquel une seule
main
suffisait pour arrêter un char attelé de six cour
menton est couvert d’une barbe majestueuse. Il tient un sceptre d’une
main
, et lance la foudre de l’autre ; les vertus ou la
toujours couronnée de laurier, et tenait une branche de palmier à la
main
; elle avait à Rome un temple bâti par Sylla, et
e un temple bâti par Sylla, et l’on voyait une de ses statues dans la
main
de la déesse Rome, au sénat et au Capitole ; elle
tient les rènes, Hippie ou la cavalière, Hyperchirias ou qui prend en
main
et bénit sur les bords de l’Eurotas en Laconie, I
t habile dans l’art des augures, au moyen d’un bâton qu’il avait à la
main
, et qui lui servait de baguette magique en supplé
int à mourir ; alors celui-ci doubla sa demande, et l’obtint, avec la
main
d’Iphianasse, qu’il guérit ainsi que sa sœur en l
ent représentée sur un trône, ayant un fuseau ou une grenade dans une
main
, et dans l’autre un sceptre surmonté d’un coucou,
tête couronnée de lys et de roses, et avait toujours le sceptre à la
main
. On consacrait à Junon une brebis ou une truie pl
finesse, caressant l’aigle de Jupiter, ou tenant une coupe d’or à la
main
et versant le nectar aux Dieux. Elle avait un tem
les foudres et ayant un aigle à ses côtés, ou tenant un marteau de la
main
droite, et des tenailles de la gauche. On le repr
t par la manière dont nous verrons s’y prendre Pélops pour obtenir sa
main
. Oxilus, fils de Protogénie ; Pangeus, fils de Cr
appelé Galerus ; ils étaient armés d’une épée ou d’une pique dans la
main
droite, et tenaient le bouclier avec la gauche. P
irasse et d’un casque, son bras est chargé d’un large bouclier, et sa
main
tient, ou une lance, ou une pesante épée : il est
ituellement elle avait les cheveux épars, et tenait un flambeau d’une
main
et un fouet de l’autre. Quelquefois pourtant elle
r la tête une corbeille de fleurs et de fruits avec une baguette à la
main
; quelquefois les modernes la placent avec ses ai
. On représentait Lucine en costume matronal, ayant une coupe dans la
main
droite, et une lance dans la gauche, ou assise, a
roite, et une lance dans la gauche, ou assise, avec une fleur dans la
main
droite et un enfant emmailloté sur le bras gauche
ouraient chez les femmes romaines et leur frappaient le ventre et les
mains
avec une peau de chèvre qu’ils disaient avoir ser
à coups de flèches. Dès ce jour, cette arme devint terrible entre ses
mains
, et dans celles de Diane sa sœur. Ainsi, le géant
Latoïdes, ou Latonides, ou Latonigènes, ses enfans, qui tendent leurs
mains
vers le serpent Python à l’instant qu’il vient po
ée ou de la Thessalie, Amphipyros ou qui porte une torche dans chaque
main
, Angitas de la rivière de ce nom en Thrace, Amphi
uverte alors d’un voile parsemé d’étoiles, et tenant un flambeau à la
main
, Lune ou la Diane du Ciel, Lyda en Sicile, Lycoat
la tête, avec le croissant sur le front, et tenant une bride dans la
main
droite, un flambeau dans la gauche, et un coq sou
u gardienne des enfers, on lui mettait une clé et des cordes dans une
main
et un poignard dans l’autre pour frapper et encha
uefois elle est suivie d’une meute de chiens, ou tenant un lion d’une
main
et de l’autre une panthère, ou bien assise sur un
on de subir la mort, Apollon trompa les Parques et le déroba de leurs
mains
envieuses. Voici comme le fait est rapporté : Adm
efusa. Alors Hercule, inspiré par Apollon, se décida à la retirer des
mains
du dieu des enfers ; à peine avait-il passé le fl
a des pieds de cheval afin d’indiquer sa célérité, une flèche dans la
main
pour indiquer sa capacité, une queue de satyre po
elle avait le front couronné de lauriers, tenait une trompette d’une
main
et un poème de l’autre. Calliope ayant été juge a
vait également une couronne de laurier, tenait une trompette dans une
main
et un livre dans l’autre ; mais, pour mieux la de
élégies ; elle était couronnée de myrtes et de roses avec une lyre en
main
. Auprès d’elle l’amour ailé tenait une torche all
trumens à vent ; elle était couronnée de fleurs, avait une flûte à la
main
, et l’on voyait à ses pieds des papiers et instru
r sérieux, majestueusement vêtue, chaussée de cothurnes, tenant d’une
main
des sceptres et des couronnes, et de l’autre un p
ou Miséricorde, couronnée d’olivier, tenant une branche de cèdre à la
main
droite, ayant le bras gauche déployé et une corne
ie, et on la représentait couronnée de pierreries, vêtue de blanc, la
main
droite étendue afin de commander le silence, et l
e de gaité, couronnée de lierre, chaussée de brodequins, tenant d’une
main
un masque, et ayant quelquefois un singe à ses cô
couronnée d’étoiles, vêtue d’une robe de couleur azur, portant en ses
mains
un globe qu’elle semble mesurer avec le [ILLISIBL
de Delphes. Dans les bas-reliefs il est presque toujours tenant d’une
main
une lyre d’or et de l’autre un plectrum ou un arc
antôt comme on le voyait à Lesbos, il tient une branche de myrte à la
main
; tantôt comme on le voyait à Lesbos, il tient un
antôt comme on le voyait à Lesbos, il tient une branche de myrte à la
main
; tantôt comme il était à Délos, il porte de la m
he de myrte à la main ; tantôt comme il était à Délos, il porte de la
main
droite un arc et de la gauche les trois Graces, a
ar brillant attelé de quatre chevaux lancés au galop ; il tient d’une
main
un fouet ou un sceptre, et dans l’autre un coq ou
eu des Muses, ou bien il est aux jeux pythiques tenant une pomme à la
main
, prix qu’il s’apprête à décerner. C'était toujour
e de Minerve, autrement dit de Pallas, tenant une pique levée dans sa
main
droite et une grenouille dans l’autre, espèce d’a
inistre, sa tunique était de couleur feuille morte, il tenait dans la
main
droite un bâton augural entièrement analogue à la
laquelle on se couchait en tenant une composition de miel dans chaque
main
, et dans laquelle on était entraîné par une force
e sable et demanda de vivre autant d’années qu’elle en tenait dans la
main
seulement elle oublia malheureusement d’ajouter q
éesse à jouer au disque avec lui, ou pour avoir touché son voile d’un
main
impure. Cependant on dit aussi que Diane voyant s
aient vêtue d’une robe couleur safran, ayant une verge ou torche à la
main
, sortant d’un palais de vermeil et montée sur un
et une étoile sur la tête qui toujours est couronnée de fleurs. D'une
main
elle tient, nous le savons, un flambeau, et de l’
t d’Apollon Amphise et Ambrasce, mais ayant voulu, dit-on, porter une
main
sacrilège sur un arbre consacré aux Dieux, elle f
sous les traits d’une jeune femme voilée ou sans voile, tenant d’une
main
un serpent, buvant dans une coupe qu’elle tient d
d’une main un serpent, buvant dans une coupe qu’elle tient de l’autre
main
. Hygie à Rome s’appelait Salus, et on lui donnait
es bains. Les Apotropes étaient figurés un fouet ou une épée nue à la
main
. Dans leurs fêtes ou atropies, on chantait des hy
cevant de la faiblesse de leur conducteur et ne reconnaissant plus la
main
de leur maître, se détournent de leur route ordin
ritide ou de Stiris en Phocide, localité où sa statue avait en chaque
main
un flambeau, Tœdifera ou portant des torches de p
ion ne l’empêcha pas d’être admis auprès des Dieux et de recevoir des
mains
de Jupiter même le secret d’ensemencer les terres
une, devient une guerre politique, et Erechthée, concentrant dans ses
mains
tout le pouvoir, force Eumolpe à ne plus être aut
nce du Dadouque, couraient dans les rues deux à deux, une torche à la
main
, et faisaient processionnellement, dans le plus g
du temple ; puis, quand on y rentrait, les torches étaient passées de
main
en main au dadouque qui les secouait pour que l’a
e ; puis, quand on y rentrait, les torches étaient passées de main en
main
au dadouque qui les secouait pour que l’ardeur de
on de Sémélée, à le couronner de myrte, à lui mettre un flambeau à la
main
et à le porter en procession depuis le Céramique
courses appelées Oscophories, que faisaient des jeunes gens tenant en
main
des ceps et des grappes de raisin. Ces fêtes étai
ment des épis ou des pavots couronnent sa tête et chargent une de ses
mains
en même temps que l’autre porte une torche ardent
lus d’épis ni bouquets, c’est alors un sceptre qu’elle tient dans les
mains
et un diadème oriental qui la couronne ; d’autres
sur un taureau, porte une corbeille sous un bras et une houe dans la
main
droite ; souvent encore sa longue chevelure vole
ole éparse sur ses épaules, ou bien on la voit avec une faucille à la
main
, ou deux enfans à la mamelle ou traînant à terre
tères et des lois, et une autre tenant une corne d’abondance dans une
main
, un style dans l’autre, et assise sur un siége tr
pagne, on le représentait nu, près d’un autel avec une coupe dans une
main
et des épis dans l’autre ; Bubona, déesse de la c
née de guirlandes de fleurs, drapée d’un manteau qu’elle tenait de la
main
droite, en même temps que de la gauche elle prése
u relief, se mirent à marcher sur des brasiers, et à tenir dans leurs
mains
des barres de fer rouges de feu, sans, disaient-i
fontaine consacrée où les voyageurs ne manquaient pas de se laver les
mains
et le visage, mais qui entourait une chapelle, da
la troupe sacerdotale. On représentait Pomone avec des pommes dans la
main
gauche et un rameau dans la droite, ou ayant dans
es dans la main gauche et un rameau dans la droite, ou ayant dans ses
mains
une corbeille remplie de fruits, ou bien une corn
eurs, couvert d’un habit jusqu’à la ceinture, tenant des fruits de la
main
gauche et de la droite une corne d’abondance. Le
grotte, enveloppé dans des peaux de mouton, et tenant un réchaud à la
main
. Les Romains le représentaient encore par des gén
montrer les charmes séduisans qu’elle ne peut arriver à cacher de ses
mains
gracieuses et délicates. Pour elle, sa naissance
es, et les racommodemens ; sous le revers on apercevait tracés par la
main
des Euménides, les soupçons, la haine, la perfidi
isies. Bientôt tous les dieux se mirent sur les rangs pour obtenir sa
main
, Jupiter ne pouvant y songer par suite de l’allia
fille de Schénée : cette belle avait déclaré qu’elle ne donnerait sa
main
qu’à son vainqueur à la course, mais qu’elle perc
lement à les ramasser ; alors son amant prit de l’avance et obtint sa
main
en arrivant au but avant elle ; mais plus tard ay
pomme et répond par le même serment. Hermocharès fut donc demander la
main
de son amante à son père, qui la lui promit, mais
ux fixés vers le ciel ; quelquefois même elle porte un globe dans une
main
. L'Amour est à ses pieds, les yeux couverts d’un
Mais quand on la représente couronnée de myrte, tenant un miroir à la
main
, les pieds revêtus de sandales tissues d’or et de
nfin, l’on a encore representé Vénus couronnée d’épis, tenant dans la
main
droite trois flèches, et dans la gauche un thyrse
our et couronnée par la persuasion ; à Cnide, nue et cachant avec les
mains
une partie de ses charmes ; à Ephantis avec Cupid
auprès d’elle, et à Sicyone, elle portait une fleur de pavot dans une
main
, une pomme dans l’autre, et sur la tête une couro
rs Vénus pudique, et on la représentait avec des ailes et un lys à la
main
. Cette Vénus pudique était adorée particulièremen
ent sur les épaules des deux voisines ; quelquefois elles tiennent en
main
des fleurs, des dés ou du myrte ; alors ce sont l
e dans le temple de Bacchus de cette ville, une statue de Pitho de la
main
de Praxitèle, et Phidias en avait sculpté une aut
abit de diverses couleurs, garni de grelots, à porter une marote à la
main
, et à servir ainsi de guide à l’Amour. Cependant,
mblé dans le temple de l’Hyménée ; Thétis parut tenant l’Amour par la
main
, et fut le présenter à Jupiter qui, à sa prière e
lus beaux tapis en ornaient les murs ; tout portait l’empreinte d’une
main
divine. Les jardins, les bosquets, étaient planté
eaux s’entr'ouvrent, l’époux terrible se glisse à ses côtés ; mais sa
main
frémissante repousse en tremblant la main qu’il l
lisse à ses côtés ; mais sa main frémissante repousse en tremblant la
main
qu’il lui offre ; et pourtant que cette main est
repousse en tremblant la main qu’il lui offre ; et pourtant que cette
main
est douce ; peut-il être aussi épouvantable qu’on
mais, ô malheur ! elle laisse tomber de la lampe qui tremble dans ses
mains
une goutte brûlante sur le sein de son époux. Tou
eur nouvelle sœur avec des transports de joie. Jupiter la prit par la
main
et lui présenta l’ambrosie. Peu de temps après, P
s pieds la vertu, autour d’elle des parfums, et tenant un miroir à la
main
. Quant à Psyché dont l’allégorie marque si bien t
l’épaule chargée d’un carquois, rempli de flèches, ayant un arc à la
main
et souvent prêt à décocher le trait fatal. Tantôt
mpli de flèches ardentes d’or et de plomb, et tenant son arc dans ses
mains
, pour montrer sa puissance sur les ames. Quelquef
is de défauts dans l’objet aimé ; puis tantôt il tient une rose d’une
main
et un dauphin de l’autre, ou il a un doigt sur sa
la Gloire est un enfant ailé, couronné de lauriers, et tenant en ses
mains
plusieurs couronnes ; celui de la patrie tient un
pieds son arc et ses flèches, il ne tient plus qu’un sablier dans la
main
droite et un plongeon dans la gauche ; l’amour ex
our divin, il n’a plus rien de payen, il est représenté tenant en ses
mains
un cœur enflammé et agenouillé devant un autel en
ou bien une jeune femme portant une besace, qu’elle ferme de la même
main
qu’elle tient une baguette, tandis que de l’autre
n jeune homme couronné de fleurs et surtout de marjolaine, ayant à la
main
un flambeau, sur la tête un flammeum ou voile jau
é d’une robe blanche, également brodée de fleurs, et portant dans ses
mains
un flambeau et un arrosoir. On donne habituelleme
norme, souvent aussi haut que lui. Habituellement il le tient dans sa
main
droite, et porte dans l’autre, soit un sceptre, o
e vigne ou de laurier. Quelquefois, il tenait encore une bourse de la
main
droite, une clochette de la gauche, et il était c
es et d’Anaxo ou de Lysidice ou d’Eurimède ; elle ne voulut donner sa
main
qu’au prince qui vengerait la mort de ses frères
ule et eut la cruelle joie, quoique bien naturelle, de tenir dans ses
mains
la tête d’Eurysthée, son persécuteur, et de lui c
n oracle, que sa couronne lui serait enlevée, et qu’il mourrait de la
main
de son petit-fils, avait fait enfermer Danaé, sa
xprimer sa grande fertilité ; elle a près d’elle un temple et dans la
main
un sceptre. Quelquefois pour expliquer le sens al
pied sur une proue de navire. Mais les Achéens lui mettaient dans une
main
la corne d’abondance, tandis que de l’autre elle
où personne excepté ses prêtresses ne pouvait entrer. Elle avait des
mains
de bronze tenant de longues chevilles et des coin
eignait-on sous la forme d’un vieillard aveugle ayant une bourse à la
main
, boiteux et ailé, venant doucement, mais s’en ret
ec les traits principaux du temps, tenant un sablier ou un globe à la
main
. On lui donne pour symbole un phénix. Les Egyptie
ntée avec les traits d’une belle et majestueuse matrone, tenant d’une
main
l’olivier, la haste, le sceptre ou le caducée dan
a flûte ; Axiopœnas ou celle qui vengea Hippicoon et ses amis par les
mains
d’Hercule à Sparte ; Boarnia ou qui apprit à atte
fixé par le destin pour la ruine de Troie. Elle prit le tonnerre des
mains
de Jupiter et foudroya Ajax fils d’Oilée, pour ve
vaient-ils toujours, tant qu’ils étaient aux Panathénées, porter à la
main
une branche de cet arbre. Les autres fêtes instit
s avait un aspect particulier : elle était debout avec une pique à la
main
; puis à ses pieds, on voyait sur son bouclier un
pposèrent que les murailles de Thèbes ne furent point élevées par des
mains
humaines. Amphion les avait construites, disaient
deux cornes, soit à cause de sa force, soit parce qu’il portait à la
main
une corne de taureau remplie de vin. Biformes ou
u la nymphe Dircé, sauva cet enfant des flammes et le remit entre les
mains
de Jupiter, qui le plaça dans sa cuisse, d’où vin
fois retiré de la cuisse du maître des dieux, Bacchus passa entre les
mains
des nourrices, tantôt ce sont les Nyséïdes ou Nys
à deux têtes que le dieu, réveillé à temps, mit à mort de ses propres
mains
; une autre fois, elle le frappa de folie, et l’e
connaissait que les courses vagabondes qui se faisaient, la coupe en
main
, tous les trois ans dans les rues d’Athènes. Alor
On y plaçait encore un ceps de vigne et un figuier. Il tenait dans la
main
droite un thyrse, et il avait pour suivantes les
il est ou vieux, ou jeune et efféminé, ou tout à fait enfant ; d’une
main
il tient une coupe et de l’autre un thyrse ou bag
t et appuyé sur un thyrse, et tenant dans tous les cas une tasse à la
main
. Il eut pour fils, on ne sait trop de quelle nymp
on leur avait confié à garder Bacchus qui s’échappa toujours de leurs
mains
en changeant continuellement de formes ; à la fin
en un bâton recourbé par le haut ou une simple branche de cyprès à la
main
, en mémoire d’une tendre amitié qu’il avait eue p
uronné de roses, la face enluminée de vin, tenant un flambeau dans la
main
droite et s’appuyant de la gauche sur un pieu, ou
droite et s’appuyant de la gauche sur un pieu, ou portant dans cette
main
une coupe d’or ou un plat chargé de fruits. A sa
tristes résultats pour les deux familles, car Lyncée étant mort de la
main
de Castor, celui-ci fut tué par Idas que Pollux f
eul parait, ayant une flamme au dessus de son casque, et tenant d’une
main
une lance et de l’autre la bride d’un cheval au r
me de ses travaux. Ce Géant célèbre par son triple corps, muni de six
mains
, de six pieds, et de six ailes, était fils de Chr
répandre de l’eau sur les pieds d’Hercule, en lui en versant sur les
mains
, cette maladresse fâcha le héros, qui le [ILLISIB
, les Potitiens se lassèrent de ce ministère, et il fut mis entre les
mains
des esclaves. Les fêtes que l’on célébrait en l’h
lamer du fougueux Achille les restes d’Hector. Il délivra Jupiter des
mains
de Typhoé, le Dieu de la guerre des chaînes dont
cocher d’OEnomaüs, roi de Pise ; il fit, par son adresse, obtenir la
main
d’Hippodamie à son maître, mais il le trahit en f
le pétase, est orné d’ailes, ainsi que son caducée qu’il tient d’une
main
. On le représente souvent le doigt sur la bouche
coq. Pour le prendre dans ses spécialités, on lui met une bourse à la
main
, comme Dieu des négocians et des voleurs ; on lui
corps d’homme avec une tête de chien ou d’épervier et un caducée à la
main
, c’était un hermanubis ou un hermosiris ; s’il av
ste humain terminé en colonne carrée, et s’il tenait une massue d’une
main
et une dépouille de lion de l’autre, c’était un h
émies ; et autres lieux de gymnastique ; s’il avait la bourse dans la
main
droite et le caducée dans l’autre, c’était un her
s, pour éviter d’avoir la honte d’être forcé de le remettre entre les
mains
de Minos ; du reste, ce roi de Crète, on le sait,
e, il prit son nom de ce qu’il portait en naissant une épée d’or à la
main
: par la suite il épousa l’Océanide Callirrhoé, d
par cette union, et le trône qu’il convoitait depuis longtemps et la
main
de la princesse qu’il aimait, arrive tout à coup
, habitaient au-delà de l’Océan, près le séjour de la nuit, que leurs
mains
étaient de fer, leurs cheveux hérissés de serpens
é toutes les influences fâcheuses. On le représentait un mortier à la
main
. Il avait pour frère, Iarbas, que nous connaisson
ons et de Néréides, et le dieu avait le front ceint du diadème. D’une
main
, il calmait les flots agités, et de l’autre, il t
ain, proposa, pour faire cesser ce fléau, de donner la couronne et la
main
de sa fille à celui qui délivrerait le pays de ce
nqueur retourna donc à Thèbes et reçut en même temps le sceptre et la
main
de Jocaste. De cette union monstrueuse naquirent
rée. Ce Dieu des vents était toujours représenté avec un sceptre à la
main
pour indiquer sa puissance. Ce qui jette du troub
ent à travers l’espace aérien, en tenant une corbeille de fleurs à la
main
. C’était sous ses ordres que devaient nécessairem
me âgé, avec une queue de serpent, des cheveux blancs et portant à la
main
un plat d’olives, très communes sur le territoire
lui avait volés. Melampe se présenta, retrouva les bœufs et obtint la
main
de la jeune Péro. Nélée soutint ensuite plusieurs
é de ce meurtre, purification que ce prince reçut dans l’île d’Æa des
mains
de la fameuse enchanteresse Circée. Une fois arri
us l’énorme pierre que voilà. Aussitôt, Thésée pousse la pierre d’une
main
et de l’autre saisit la chaussure et l’épée, puis
à l’autel de Jupiter-Milichius, pour avoir été obligé de tremper ses
mains
dans le sang, surtout d’un parent tel que Sinis,
evint des enfers, et ayant été pour voir sa femme, il trouva dans ses
mains
un billet par lequel elle avait la perfidie de dé
donc à Pythie, en Thessalie, à la cour d’Eurytion, qui lui accorda la
main
d’Antigone sa fille, avec le tiers de son royaume
énus à prendre Pâris, fils de Priam, pour juger, en lui promettant la
main
d’Hélène, qui prit la fuite et épousa Ménélas ; p
d’une grandeur extraordinaire, des dents longues, des yeux bleus, des
mains
en forme de griffes et des nageoires à la poitrin
le front surmonté de deux pinces d’écrevisses, portant une pique à la
main
et ayant auprès de lui un monstre marin de forme
ux, des coquilles ou des vases ; quelquefois elles se tiennent par la
main
; leurs traits sont brillans de jeunesse, de fraî
leur corps est toujours sans vêtement. Elles tiennent une hache à la
main
, et la partie inférieure de leur buste est termin
s, la taille élevée, ceintes d’une couronne de roseaux, portant d’une
main
un coquillage et de l’autre une urne dont l’eau s
utre une urne dont l’eau s’échappe ; souvent elles se tiennent par la
main
; d’autres fois, elles ont près d’elles Hercule,
, jouaient ensemble, mais une oie que tenait Hercyne s’échappa de ses
mains
et fut se cacher sous une pierre. Proserpine la d
rin appelé par les Romains Portumnus. Ils le peignaient une clef à la
main
, et en son honneur, ils célébraient une fête le 1
toujours une barbe épaisse et un air sévère, tenant en outre dans sa
main
son sceptre ou fourche à deux pointes, ou une épé
Cerbère et Mercure-Psychopompe ; on lui mettait un sceptre noir à la
main
, ou un pavot, symbole de l’assoupissement éternel
ndroits silencieux. Arrive à la fontaine, il se lavait trois fois les
mains
, puis il s’en retournait en jetant derrière lui d
ne jugeait que les peuples d’Asie. On le représentait un sceptre à la
main
, assis près d’un trône, à l’entrée des Champs Ély
ête de ses victimes. On la représente comme un squelette, tenant à la
main
un glaive ou une faux, ou souvent avec des traits
la chaussure de Vénus. On le représente un masque et une marotte à la
main
. Le Sommeil, fils de la Nuit et de l’Érèbe, résid
s ailes de papillon pour exprimer son passage rapide, et portant à la
main
une tige de pavots dont il touche les yeux des mo
, était une vieille femme, couverte d’un manteau noir, tenant dans la
main
droite une coupe et s’appuyant de la main gauche
anteau noir, tenant dans la main droite une coupe et s’appuyant de la
main
gauche sur un bâton. La Faim ou famine, placée au
re, marchant l’œil en dessous et regardant derrière lui, tenant d’une
main
une tête et de l’autre une épée sanglante. Cædès
’un bandeau, les cheveux épars et les vêtemens déchirés, tenant d’une
main
un poignard et de l’autre une torche allumée, fou
inités infernales : la Calomnie, toujours représentée une torche à la
main
et traìnant par les cheveux l’Innocence, figurée
partout où sa présence est réclamée. On lui mettait souvent dans une
main
une coupe remplie d’une liqueur divine, et une ép
de laurier, la posaient sur une roue et lui mettaient le compas à la
main
. Souvent, on rangeait Némésis parmi les Parques ;
naissance avec ces femmes redoutables. Les Parques, déesses entre les
mains
desquelles se trouvaient le commencement, la duré
ns furieux, dont la gueule béante poussait des hurlemens affreux ; sa
main
droite était ornée d’un flambeau, d’un fouet et d
ux, avec un air furibond et menaçant, des ailes de chauve-souris, des
mains
maigres et crochues, dont l’une est armée d’un fo
de l’Achéron, qu’elle parcourait continuellement un flambeau dans la
main
droite, pour montrer qu’elle savait toujours déco
t toujours découvrir et venger avec justice les crimes, et de l’autre
main
elle tenait un scrutin dans lequel les juges avai
nue jusqu’à son frère Egyptus, celui-ci mit de nouveau les armes à la
main
de ses cinquante fils, qu’il avait également eus
ence ayant régné sur cet évènement, Atrée sollicita du roi d’Épire la
main
de cette princesse qu’il croyait sa fille, et l’o
emps, un fils d’Agamemnon, Oreste, qu’Électre sa sœur avait sauvé des
mains
d’Égisthe et de Clytemnestre, revint à Mycènes et
e temps après qu’Agamemnon eut épousé Clytemnestre, Ménélas obtint la
main
d’Hélène, sœur également des Dioscures Tyndarides
t la main d’Hélène, sœur également des Dioscures Tyndarides ; mais la
main
de cette jeune fille qui déjà avait été enlevée p
sa nourrice ; mais sa sœur Electre, ou sa tante Arsinoé le sauva des
mains
du cruel, et le fit passer en Phocide, chez Strop
sort ayant décidé qu’Oreste serait la victime, on le remit entre les
mains
de la prêtresse Iphigénie, qui déjà balance le co
onneurs funèbres aux mânes de Patrocle, son ami, puis il immole de sa
main
douze captifs sur son bûcher, et célèbre des jeux
chez son père, qui le reçut avec bonté. Il fut un des prétendans à la
main
d’Hélène, suivit Nestor à Troie et se lia d’amiti
ée par une peste, se leva devant les rois assemblés et annonça que la
main
d’Apollon cesserait de s’appesantir sur eux, quan
i consentirent à s’associer à sa fortune. D'abord, il tomba entre les
mains
de Lycus, fils de Mars et roi d’une portion de l’
ède emportant le palladium. Il est assis sur un autel, tenant dans sa
main
droite une épée et de l’autre l’idole sacrée. Eu
et une jeune fille, virent le fer sacré demeurer suspendu dans leurs
mains
à l’arrivée d’Eurypyle et de la châsse. Aussitôt,
fils de Môle et de Melphis, fut un des concurrens de Ménélas. Pour la
main
d’Hélène, il alla au siège de Troie, où il eut en
la cire, et se fit attacher au mât du navire par les pieds et par les
mains
. Le charme alors n’ayant pu exercer son pouvoir s
nt Télémaque en ordonne autrement ; aussitôt, Ulysse reçoit l’arc des
mains
d’Eumée, le tend avec la plus grande facilité, et
aient le temps de se reconnaître, car une autre flèche, lancée d’une
main
aussi sûre, va percer le cœur d’Antinoüs, qui tom
ent d’un oracle de Tirésias qui lui avait prédit qu’il mourrait de la
main
de son fils ; car, craignant alors Télémaque, il
sien, tué par Ajax le Télamonide ; Idée, fils de Darès, fut sauvé des
mains
de Diomède par Vulcain ; Imbrase, père de Pirus,
ue par Teucer ; Orthée ; Othryonée, prince Thrace, qui prétendit à la
main
de Cassandre ; Palmis, fils d’Hippotion et auxili
la purifia de ce fratricide et lui légua son empire en lui donnant la
main
de sa fille. Ce Dardanus passait pour fils de Jup
irasse, la tête couverte d’un casque, monté sur un char, tenant d’une
main
une lance et un bouclier, et de l’autre, les rêne
nom que sa mère. On représente Pâris, berger de Priam, tenant dans sa
main
le pédum, autrement dit la houlette. D'autres le
ux Grecs. Par reconnaissance, à la mort de Pâris, elle lui accorda sa
main
; mais quand Troye fut prise, cette perfide épous
mprit toute la honte de sa conduite, et, craignant de tomber dans les
mains
de Télèphe, elle se précipita du haut des murs et
représente Anchise porté sur les épaules de son fils, tenant dans ses
mains
une boîte qui renferme ses pénates ; d’autres le
sa tête est coiffée d’un piléus en forme de calotte, et il tient à la
main
une béquille. Énée va donc nous apparaître à la
avager cette malheureuse ville, il prit son jeune fils Ascagne par la
main
, chargea sur ses épaules son père Anchise, accabl
lle ne peut la lui dissimuler, et même elle lui offre son trône et sa
main
. Énée refuse, et se contente d’être son amant heu
meurtrier et pour empêcher les restes de Camille de tomber entre les
mains
des Troyens. Dieux divers. Chez les Grecs et sur
la poitrine découverte jusqu’à la place du cœur, et embrassait de la
main
gauche un orme sec, entouré d’un cep de vigne cha
à Athènes ; Ancarie, déesse Etrusque de la vengeance, représentée les
mains
collées contre le corps, les pieds joints l’un co
ngues, larges et plates, pendantes le long du visage, et portant à la
main
une hache à deux tranchans, et des cothurnes à se
mple de Volupie ou le plaisir, avait, comme l’Harpocrate Egyptien, la
main
ou une bague posée sur sa bouche ; Animales Du ou
ésentait Juin comme un jeune homme sans habits, ayant une torche à la
main
, signe de la chaleur, et montrant du doigt une ho
visage riant, couronné de pampres, vêtu de pourpre, et portant d’une
main
des balances, signe de l’équinoxe d’automne, part
iens par un esclave, jouant aux dés et tenant une torche ardente à la
main
, pour rappeler les saturnales qui se célébraient
ns couronne, mais couverte d’un bonnet de la liberté, et portant à la
main
le signe du capricorne, pour indiquer que les jou
es en font une femme vêtue de bleu et tenant un oiseau aquatique à la
main
. L'année grecque ne se divisait pas tout-à-fait c
eprésentaient sous la forme d’un jeune homme nu, debout, tenant d’une
main
des pavots et des épis, et de l’autre une coupe.
ié. Chagrin ou Mœror. Chasteté, déesse Romaine, ayant un sceptre à la
main
et deux colonnes à ses pieds. Ciones ou colonnes,
er ou de laurier, ou bien, assise sur un lion, tenant une pique d’une
main
, jetant de l’autre une flèche et foulant des arme
sur un trône, environnée de l’Ignorance et du Soupçon, et tendant une
main
à la calomnie. Crepitus, dieu des éruptions sonor
x vêtemens gouflés par les vents, couronnée de fleurs et portant à la
main
des fleurs, des épis ou une corne d’abondance. Em
comme l’ Amitié ; on l’habille d’une robe blanche, et on lui met à la
main
le plus ordinairement une clef, ou un cachet ou u
à ses pieds un chien. Quelquefois on la symbolise simplement par deux
mains
, enlacées l’une dans l’autre. Fidius, Sancus ou S
vieillard avec une barbe longue, des cheveux courts, et portant à la
main
un hibou. Grundules, Lares présidant à l’étable
les traits d’une nymphe, debout, couronnée de lauriers et tenant à la
main
ou une lyre ou une haste, ou un bouclier ou un gl
un globe, surmonté d’une victoire, ou bien tenant une patère dans la
main
gauche, et semant avec la droite des grains d’enc
is sacré, en la priant sans remuer les lèvres et on lui consacrait la
main
gauche, regardée chez les anciens comme la plus a
, mais dont la pointe portait sur un globe ; il tenait une bride à la
main
et n’avait de longs cheveux que sur les tempes, O
les empereurs romains, une déesse aux traits vénérables, tenant à la
main
une corne d’abondence et touchant de l’autre un g
igurant l’univers. Prudence, déesse que l’on représentait tenant à la
main
ou une lampe ou un miroir entouré d’un serpent. P
t sur la tête un petit garçon tout nu et une grappe de raisin dans la
main
; du reste, pour la conservation de la vie, la pr
s cornes d’une vache, symbole des phases de la lune et tenant dans la
main
droite un sistre, emblème du mouvement de la natu
ntôt d’un long manteau, sa chaussure lui monte jusqu’à mi-jambe d’une
main
, il tient un sistre, et de l’autre, un caducée av
it le fruit, il fut bientôt convaincu de mensonge, et ne se sauva des
mains
d’Haroéri qu’en prenant la forme d’un crocodile ;
sous la forme d’un génie à tête de chakal, et de plus, il porte à la
main
, dans le zodiaque rectangulaire, le sceptre des d
re, il n’a qu’un disque pour coiffure, et porte le bâton augural à la
main
; il correspond aux 1, 3, 12, 13, 14, 30 et 31e d
s s’élève une espèce de mitre, et il ne tient qu’un simple bâton à la
main
; il correspond aux 4, 5, 22 et 31e dynastes. Hé
s le zodiaque rectangulaire, nu, s[ILLISIBLE]s sceptre, et portant la
main
vers la bo[ILLISIBLE]ne, pour exprimer un signe d
de la vierge, représenté dans le zodiaque rectangulaire, portant à la
main
le sceptre des dieux bienfaisans, et pour coiffur
me humaine, et porte le bâton augural, et dans les deux zodiaques, sa
main
droite tient le van mystique, et le pcheut décore
ouré de trois ou quatre rangs d’un collier très-riche, ayant dans les
mains
, comme Fta, pour emblème le vase sacré avec leque
e feuilles de palmier, et tient un sceptre à fleurs de lotos dans ses
mains
; on la voyait à Éléphantine, seule avec Pharaon
i présentant une corbeille de fleurs, tandis qu’elle élève une de ses
mains
sur lui en signe de protection. Surot, ou le qua
prophétie et ils rendent des oracles. On l’honore en se frappant les
mains
à plusieurs reprises. Les Kissi sont des fétiches
mple, était la statue de la déesse. Cette idole fut renversée par les
mains
mêmes de Mahomet. Passant ensuite de l’Arabie en
ieu matin et soir, en jetant trois fois de l’eau avec les creux de la
main
sur la terre et vers le soleil, qu’ils adorent en
ours Brahmâ avec quatre têtes, ayant de longues barbes et avec quatre
mains
, tenant dans l’une la chaîne mystérieuse à laquel
t la parole divine sur une feuille de palmier ; dans une autre de ses
mains
, il porte un vase recouvert ; souvent il tient mo
bras de son époux, ou bien seule, tenant un livre ou une lyre dans la
main
. Menou ou Manou, fils de Brahmâ, est un être tou
sente avec quatre bras, ayant un bandeau sur les yeux et un croc à la
main
, habilllé de rouge, et monté sur un éléphant nomm
ravat, qui semble fier de ce divin fardeau, quelquefois il tient à la
main
une fleur de lotos. Quant à Dévani, fille d’Indra
e avoir des enfans aux gens mariés. On lui donne un corps jaune, deux
mains
seulement, avec de riches bracelets et autres orn
bras, au nez, au cou, aux pieds, et autour du corps ; elle tient à la
main
la fleur appelée Tchankarinirpou. Son image, ains
offes de couleur jaune orange, et porté sur un buffle, en tenant à la
main
ou un bâton, ou un fléau, ou un glaive, attributs
és ; il est habillé de rose, sa tête est ceinte d’une couronne, et sa
main
porte le sceptre. Pavana, ou Vaiou, ou Vahgon, o
me conduite de Sambara, s’empare de lui et l’extermine de ses propres
mains
. Après les Daitias, viennent les Danavas ou Danou
ppe d’eau surabondante ; elle porte un vina ou espèce de lyre dans sa
main
droite, une balance ayant deux urnes en guise de
main droite, une balance ayant deux urnes en guise de bassins dans la
main
gauche ; on voit à ses pieds l’Emyde ou carapace
voix harmonieuses toutes les sphères. C'est Gandharva qui reçoit des
mains
de Souaiambhouva, la fiancée, et la remet au dieu
ayant connu ensuite qu’il était sorti d’une noble origine, refusa la
main
de la fille de Soukra. Cette vierge, indignée de
eu. Ce fut lui qui se lança de la cime du mont Mérou, tenant dans ses
mains
un baril rempli de la divine liqueur nommée Amrit
, dont la tête est ornée d’épis et de pierres précieuses, tenant à la
main
un lotos, emblème de l’abondance. On va vers le r
C'est lui qui, sous la forme de la ravissante Mohanimaïa, enlève des
mains
des Açouras la fiole divine qui contient l’Amrita
Lakchmi, qu’il enlace dans ses bras. Son teint est bleu et ses quatre
mains
tiennent tantôt le Padma, ou Lotos, tantôt le San
mes semblable à la foudre, ou la massue des Ramas ; d’autres fois ses
mains
sont élevées et vides, répandant des bénédictions
s, et consacra à Siva cent ans de son existence, ses dix têtes et dix
mains
. Siva les lui rendit et lui donna le privilége de
reine et voulut la noyer ; mais Vichnou, on le sait, l’arracha de ses
mains
, s’incarna sous les traits de Rama, et précipita
-six ans après la mort de Krichna. On le représente enfant, ayant une
main
et deux pieds à terre ; tantôt il est dansant, ta
nka. Quand on le représente seul, il a ordinairement un éventail à la
main
ou une lyre. Il est quelquefois moitié homme et m
On la représente, la poitrine nue, la tête coiffée d’une mitre et la
main
chargée d’un lotos. Elle tient quelquefois un enf
a mort. On la représente de couleur verte ; sa monture est l’âne ; sa
main
porte une bannière au milieu de laquelle un corbe
pieds la racine d’une plante chargée de fruits qui passe par ses deux
mains
. On célèbre tous les ans deux grandes fêtes en so
nt deux formaient l’oreiller de Vichnou, deux autres supportaient ses
mains
, et la cinquième lui servait de siége. Plus tard,
ème tête : aussitôt Vichnou pose sur cette nouvelle tête une nouvelle
main
; bientôt l’un et l’autre se multiplièrent jusqu’
saisons et de l’année et Içania. On donne à Siva cinq têtes, quatre
mains
et trois yeux à sa tête principale. Il est porté
a tête principale. Il est porté sur le taureau Nandi ; il tient d’une
main
le trident, de l’autre le Padma ; l’eau céleste t
diadême formé de crânes humains ; son corps est ceint de serpens, ses
mains
sont armées de l’épée et de la flamme ; le tigre
ue appelée Bhadrakali, ou Pétrakari Pagoda, ayant huit visages, seize
mains
noires comme du charbon, de grands yeux, des défe
de son corps pour vêtemens, et des plumes de paon pour chevelure. Ses
mains
sont armées d’une épée, d’un trident, d’une jatte
flammes dansantes, des clochettes garnissent ses pieds et ses quatre
mains
tiennent la tchankra, ou roue flamboyante, le tid
merce. On le représente assis sur un ballot de riz et un marteau à la
main
; en face de lui est un sac qu’il remplit de ce q
ié-Pandaroux, il ne parle jamais, demande l’aumône en se frappant les
mains
, va presque nu et mange sur place tout ce qu’on l
n pièces son neveu ; mais celui-ci n’eut qu’à lever cinq doigts de sa
main
, et soudain l’éléphant se calmant, se coucha humb
t couverte d’une mitre, et les deux autres d’un petit bonnet rond. Sa
main
gauche tient un sceptre couché, et sa droite un c
s yeux dont l’un est au milieu du front, un autre dans la paume de la
main
, puis le troisième à la plante des pieds ; elle t
e la main, puis le troisième à la plante des pieds ; elle tient d’une
main
une fleur sur laquelle est un enfant. Tordchipam
sente avec seize bras, assise sur une fleur de Padma, tenant dans ses
mains
des couteaux, des livres, des épées, des fruits e
-Pou-Tsa, déesse de l’abondance ; elle est représentée avec plusieurs
mains
, comme pour prodiguer ses dons. Lao-Kioum, dieu
; il naquit sous un arbre nommé Li, et s’écria, en le montrant de la
main
, voilà mon nom de famille. Manipa est un dieu de
ppé d’une large robe à grandes manches ; il tient un éventail dans sa
main
; il a la barbe longue et le front ridé. Topan,
le représente parcourant l’espace, la tête couverte d’un casque et la
main
armée d’une massue. Quand le tonnerre gronde, Top
et à la richesse. On le représente assis sur un sac de riz, tenant en
main
le marteau du bonheur ; près de lui est un sac qu
ssons. On le représente assis sur un rocher, tenant une ligne dans la
main
droite et dans sa gauche le poisson Taï. Jacous
s. On le représente avec quatre faces et quatre bras ; il tient d’une
main
un sceptre terminé par un brillant soleil ; d’une
rayons d’or, que surmontent des images de divinités inférieures ; ses
mains
en portent aussi quelques-unes. Elle a des oreill
d’une couronne brillante de pierreries, son corps est armé de quatre
mains
, dont l’une tient un sceptre ; l’autre une tête d
pèce d’étoffe, et monté sur un cheval à sept têtes. Il tient dans ses
mains
un anneau d’or, qu’il serre entre ses dents. Amid
nt deux sont élevés en l’air, et les deux autres tombant ; une de ces
mains
est fermée, les trois autres portent une lance, u
uille remplie à moitié de grains de riz ; il tient un sceptre dans sa
main
gauche. Les Japonais ont tant de respect pour lui
ou retentir un vase, ils lui adressent leurs prières en se tenant les
mains
devant la bouche. Inga, saint que les Japonais o
r la terre ; c’est lui qui est chargé de recevoir les ames justes des
mains
de Seroch, autre Ized, et de les remettre dans le
sur la vache Pourmadje ; sa tête est ornée de la mitre solaire, et sa
main
est armée de la massue à tête de bœuf. Il régna c
t le prophète de la Perse. On le voit tantôt recevoir l’arbre-Hom des
mains
d’Ormuzd, tantôt il est Hom lui-même ; il était s
et aimables, et sont presque tous assis sur des nattes, tenant d’une
main
un sceptre, et de l’autre une cloche. Les méchans
barbe et à longue chevelure. Il était ceint d’une bande de toile, sa
main
gauche tenait une roue, et sa droite un panier re
têtes ; il avait en outre un visage sur la poitrine et tandis que sa
main
droite tenait son menton, de la gauche il touchai
ait la divinité tutélaire de leur capitale. Il tenait une lance de la
main
gauche ; sur sa tête était un coq aux ailes déplo
t surtout adorée par les Varégues, qui la représentaient tenant d’une
main
une pomme, de l’autre une grappe de raisin. On lu
est, sud et nord. Alors les trois fils de Bore firent surgir de leurs
mains
le premier homme appelé Aske ou Askour ; c’est-à-
nte salles ; ce dieu est porté sur un char traîné par deux boucs, ses
mains
sont couvertes de gants de fer, l’une d’elles est
dit-on, les ames des justes. Ceux qu’ils abandonnent tombent dans les
mains
des Saivos, esprits des cavernes. Raguar-Lodbrok
’aller lui présenter douze pommes d’or pour la déterminer à donner sa
main
à Fréi, mais il ne put jamais en obtenir qu’un si
un pouce de hauteur, elle était creuse et percée à la bouche et à la
main
droite qui se trouvait placée sur sa tête. Ses pr
ivâtre, les épaules chargées de l’arc et du carquois, tenant dans ses
mains
une massue ; de sa langue partaient des fils d’or
le-toi, Hennil. On le représentait sous la forme d’un bâton, avec une
main
et un anneau de fer. Heu ou Heus, dieu de la gue
barbe, assis au pied d’un massif de montagnes, tenant un roseau à la
main
; tantôt, penchant une corne pleine d’eau ; tantô
une tunique sans manches, les pieds croisés et la tête penchée sur sa
main
droite. Bergine, dieu des Cénomans ou manceaux,
yant une peau de lion sur les épaules, en même temps qu’un bâton à la
main
. Radégaste, idole de la même contrée, portait une
trouvons : Eirgeadmhar ou Airgiomdhar, fils de Slirlamb à la longue
main
, ainsi nommé à cause de son habileté dans les art
dan ; il était fils d’Eibtéar-Fionn. Il avait les bras et surtout les
mains
si longues que, quoique debout, il pouvait touche
sévère, une ligne bleue était peinte sur son front et sur son nez. Sa
main
droite s’appuyait sur une couleuvre ondoyante, la
rgés de chaînes d’or ; il avait sur le nombril une large émeraude, sa
main
droite portait quatre flèches ou un javelot, et s
sacrifices à Cusco de jeunes enfans. On la représentait tenant d’une
main
une fronde ou une massue, et de l’autre la pluie,
pl. 22 en regard de la page 353 représente le cyclope Polyphème, des
mains
duquel Ulysse s’échappe. La pl. 20 en regard de l
Phénicie. Une grande sécheresse étant survenue, ils étendirent leurs
mains
vers le soleil, qu’ils regardèrent comme le seul
dant de le représenter sous la forme d’un vieillard, tenant entre ses
mains
l’urne qui renferme le sort des humains. On plaça
s dieux indigètes. Dans ses tableaux, on plaçait une baguette dans sa
main
, parce qu’il présidait aux chemins publics ; il t
rès la bataille d’Actium. Les statues de Janus marquent souvent de la
main
droite le nombre de trois cents, et de la gauche
la grosseur d’une femme près d’accoucher. On place des clefs dans ses
mains
, pour exprimer que pendant l’hiver elle conserve
doigts, parce qu’ils étaient au nombre de dix comme les doigts de la
main
. Les fêtes de la grande déesse se célébraient au
c les Titans, sous la garde des Hécatonchires, géans qui avaient cent
mains
. Ce fut après cette victoire que les trois frères
e parti de Jupiter, donna lieu de dire que Typhon lui avait coupé les
mains
avec la même faux de diamant dont Jupiter s’était
portaient ces diverses figures à leurs proues. Typhon ayant coupé les
mains
et les jambes de Jupiter avec la faux de diamant,
Pan ayant surpris la vigilance de ce gardien, rendirent à Jupiter ses
mains
et ses jambes, c’est-à-dire sa liberté ; et ce di
ce dieu avec la foudre, symbole du dieu du ciel ; il la tient dans sa
main
droite ; dans sa gauche il tient un trident, symb
me majestueux avec de la barbe. Un trône lui servait de siége ; de sa
main
droite il tenait la foudre, et dans sa main gauch
servait de siége ; de sa main droite il tenait la foudre, et dans sa
main
gauche on remarquait une victoire et un sceptre.
out l’Olympe d’un seul mouvement de son front ; la foudre est dans sa
main
; l’aigle est à ses pieds ; le Respect et l’Équit
dié à Jupiter Vengeur. Le dieu était représenté avec des flèches à la
main
pour montrer qu’il était toujours prêt à punir le
e l’air par deux pierres d’aimant : et, après lui avoir fait lier les
mains
derrière le dos, il fit attacher deux enclumes so
re d’une femme assise sur un trône, tenant un sceptre dans une de ses
mains
, dans l’autre un fuseau, et portant sur sa tête u
sentait remplissant cette fonction, on la voyait assise, tenant d’une
main
un enfant emmaillotté, et une fleur dans l’autre,
un beau jeune homme couronné de fleurs et de marjolaine, tenant de sa
main
droite un flambeau, et de sa gauche un voile coul
elle en avertit Cérès, qui courait le monde avec deux flambeaux à la
main
pour retrouver sa fille. Aréthuse, fille de Nérée
lon sous la figure d’un jeune homme qui tient un arc ou une lyre à la
main
, tandis que le soleil est représenté avec la tête
t représenté avec la tête environnée de rayons, tenant un globe d’une
main
(fig. 10) ; ce que l’on n’observe jamais dans les
seils au téméraire ; les chevaux sentirent bientôt la faiblesse de la
main
qui les conduisait : ils s’écartèrent du juste mi
s ; et, pour exprimer qu’il était apaisé, on mettait une lyre dans sa
main
. Pendant les maladies contagieuses, on plaçait de
roit inventrice de la guitare : on en place ordinairement une dans sa
main
droite : et dans sa main gauche on remarque un pl
tare : on en place ordinairement une dans sa main droite : et dans sa
main
gauche on remarque un plectre au lieu d’archet. O
voix. On la représente appuyée sur une colonne, tenant un masque à la
main
. (Fig. 13.) 3. Melpomène préside à la tragédie. O
Melpomène préside à la tragédie. On la voit ordinairement reposant sa
main
sur la massue d’Hercule, parce que l’objet de la
ventrice de l’astronomie et des sciences. Elle tient un globe dans sa
main
; quelquefois ce globe paraît posé sur un trépied
osé sur un trépied ; on remarque alors l’équerre ou le compas dans sa
main
. (Fig. 19) 9. Calliope doit son nom à la majesté
conseilla d’exiger de Jupiter qu’il se fît voir à elle la foudre à la
main
, et dans tout l’appareil qui l’environnait lorsqu
ue donne le vin, vivacité qu’il fait éprouver même aux vieillards. Sa
main
est armée d’un thyrse, espèce de baguette environ
elles invoquaient le dieu, leurs cheveux étaient épars, et dans leurs
mains
on voyait des thyrses et des flambeaux. Ces fêtes
aveugle, qu’elle se fit suivre par les bacchantes, et déchira de ses
mains
son malheureux fils. Cet exemple funeste ne produ
réside. On voit sur sa tête un casque surmonté d’un hibou. Une de ses
mains
tient une pique, et l’autre l’égide, espèce de bo
s. On la représentait aussi les cheveux épars, tenant une torche à la
main
. (Fig. 24.) Bellone avait un temple à Rome auprès
et les médailles, on la voit, volant dans les airs, et tenant dans sa
main
une couronne ou une palme. Les Égyptiens la repré
é. Le génie de la peinture croit lui devoir un tribut ; il conduit la
main
d’ Apelles ; et ce peintre immortalise son nom, e
e variaient autant que les fables. Lorsqu’elle tient un globe dans sa
main
, elle représente la Vénus céleste, ou la planète
t de feuilles de raisin ; on remarque trois flèches dans l’une de ses
mains
. On a voulu désigner par-là qu’elle lance plus sû
traîné par deux lions ; un voile voltige au-dessus de sa tête, et sa
main
gauche est armée d’une flèche ; un Cupidon volant
feuillage vert. Il existe des statues antiques d’Apollon, tenant à sa
main
quatre petites Grâces. Quelques auteurs ajoutaien
et non pas courtisanes. Dans leurs danses, elles se tenaient par la
main
, pour apprendre aux hommes qu’ils devaient s’unir
raient jusqu’au bout de la carrière avec une torche allumée dans leur
main
. Lorsqu’elle s’éteignait, on était chassé de l’ar
d jusqu’au-dessus des genoux ; il porte un bonnet rond et pointu ; sa
main
droite tient un marteau, et sa gauche des tenaill
ières. Pour marquer son talent à négocier la paix, on plaçait dans sa
main
le caducée, baguette autour de laquelle, on voyai
aux grands chemins. Ses statues, dans ces cas, n’avaient ni pieds ni
mains
: c’est ce que nous appelons des bustes. Mercure
x, dans une conque à laquelle sont attelés deux chevaux marins. D’une
main
il tient son trident, et de l’autre il s’appuie s
é, et Mélicerte fut appelé Palémon. On le peignait avec une clef à la
main
droite, pour désigner que les ports étaient sous
Vertumnus sous la figure d’un jeune homme, tenant des fruits dans une
main
, et dans l’autre urne corne d’abondance. Son habi
e Pénélope. On le représentait sous la forme d’un Satyre, tenant à sa
main
une flûte que l’on nommait Syrinx. (Fig. 37.) Les
a demande fut accordée, mais bientôt elle lui devint funeste. Sous sa
main
, les arbres et les pierres devinrent or ; mais il
é par la faim, il recourut à Bacchus. Le dieu lui dit de se laver les
mains
dans le Pactole, et depuis ce temps ce fleuve rou
ts l’or qu’entraînait ce fleuve : ce qui fit dire qu’en se lavant les
mains
dans le Pactole, il lui avait communiqué la propr
ste. On les représentait sous la forme de jeunes hommes, tenant d’une
main
un vase à boire, et de l’autre une corne d’abonda
rtant de ce bois, on trouve la demeure des héros morts les armes à la
main
. Près de là s’aperçoit le tribunal où Minos, Éaqu
eptre de Pluton était une fourche à deux pointes ; il tenait dans ses
mains
les clefs de son empire, pour annoncer qu’on n’en
a supériorité de Minos était marquée par un sceptre qu’il tenait à sa
main
, et l’on voyait près de lui l’urne qui renfermait
e, carnage, envie. On les représentait avec des flambeaux ardens à la
main
, des serpens pour cheveux, et un fouet de serpens
érentes couleurs, portait une couronne de sept étoiles, et avait à la
main
une quenouille, qui tenait au ciel et touchait à
e s’approchait de la terre pour éteindre la torche qu’elle tient à la
main
. (Fig. 43.) Le Sommeil, fils de la Nuit et frè
eprésente sous la figure d’un enfant dormant profondément. Une de ses
mains
tient des pavots, qui servent aussi à reposer sa
nnées. Lorsque les dieux juraient par le Styx, ils devaient avoir une
main
sur la terre et l’autre sur la mer. Le nom de Sty
d’une couleur noire. Les pontifes, pendant les prières, baissaient la
main
vers la terre, au lieu de l’élever vers le ciel.
mme, avec une légende qui portait son nom, Éternité. Elle tenait à la
main
une tête de soleil rayonnant, ou une tête de lune
e d’une femme couronnée de laurier, d’olivier, de roses, tenant d’une
main
des épis, symbole de l’abondance qu’elle procure,
n la représentait appuyée sur une table des lois, ayant une épée à la
main
pour les défendre, avec cette légende : Elles ass
était représentée par une femme appuyée sur une colonne, tenant de la
main
gauche une corne d’abondance, et montrant un glob
de la main gauche une corne d’abondance, et montrant un globe avec sa
main
droite, pour apprendre qu’elle étend ses soins su
lle, tenant une balance égale des deux côtés, ayant une épée nue à la
main
et un bandeau sur les yeux ; elle est assise sur
s plus petite de moitié. Il est représenté sur un trône, tenant d’une
main
un bâton, et appuyant l’autre sur la tête d’un se
ort et la vie. Sur son front on lisait : L’hiver et l’été. Une de ses
mains
tenait une légende, sur laquelle était écrit : De
caché pour lui. Cette dernière pensée était exprimée par l’une de ses
mains
, appuyée sur son cœur. Cette peinture, toute éloq
mière édition de cet ouvrage, une foule de dessins, tous dignes de la
main
qui a tracé ceux que nous venons de citer, a fait
are, dont les notes cristallisées en étoiles semblaient fixées par la
main
d’Uranie dans l’azur immobile et profond d’une nu
son embarras, elle nous appelle à son aide, et, notre dictionnaire en
main
, attaque une à une les difficultés du morceau. 1r
ces voûtes froides, où je marchais à tâtons, appuyant à chaque pas ma
main
sur les parois humides et gluantes, quand nous ar
s console. » Plus loin, le Temps, assis, repassait sur la paume de la
main
une faulx ébréchée ; à côté de lui gisait une vie
détachai de la panoplie la massue d’Hercule, et, la soulevant à deux
mains
, je donnai sur la troupe féroce, qui s’évanouit c
s religieux était précédé d’une ablution. On se lavait trois fois les
mains
dans l’eau pure, on lavait le lieu du sacrifice e
, c’est-à-dire sans en offrir aux dieux une partie, et il n’a pas les
mains
pures. Admirons la sollicitude paternelle des anc
une voûte solide, qui tournait sur nos têtes avec les étoiles que la
main
du grand décorateur y avait attachées, il fallait
ourbe leur corps, creuse leurs joues, fait trembler avant l’âge leurs
mains
et leurs genoux. Il en fait des cadavres. C’est u
dans le palais de l’empereur. Sa mine était extrêmement farouche, ses
mains
et ses doigts étaient velus. Ses flancs se joigna
recherche de sa fille, et, déguisée en vieille femme, une torche à la
main
, parcourt tout l’univers. A cette époque, les hom
rds pour les beaux esclaves, pour le fin travail de l’argenterie ; sa
main
ne se porte plus vers les plats ; les couronnes m
rête à tomber, jusqu’à ce que la mort vienne enfin le trancher de ses
mains
secourables. On a tant abusé de ce souvenir de Da
tragique de son fils ; deux fois le ciseau de l’artiste s’échappa des
mains
tremblantes du père. » Entre toutes les œuvres d
is, mon fils éternuait à tout propos ? C’est bon signe. A coup sûr la
main
des Parques est sur les prétendants ; pas un seul
. Aux pieds du dieu veillaient un coq et un chien. Lui-même tenait en
main
un bâton où s’enroulaient deux serpents. Pourquoi
ends des hauteurs, Faune aux pieds légers ! Epands les trésors de tes
mains
fécondes Sur mes moissons blondes, Peuple
lgents ne regardent pas au prix de l’offrande ; ils n’exigent que des
mains
pures. Des gâteaux, du lait, des guirlandes de vi
’hui à un paysan des armures du moyen âge et ces grandes épées à deux
mains
dont jouaient nos aïeux, si vous ne le détrompez
dant son sommeil et lui donnent l’assaut. Le héros se réveille, d’une
main
se couvre les yeux et de l’autre jette sa peau de
nous coûtera rien d’admettre qu’il se promène sur terre un sapin à la
main
. Je tiens d’un pèlerin qu’entrant sous le portail
oiseaux avec des têtes de femmes, — un flux de ventre dégoûtant, des
mains
crochues, — le visage livide et famélique. » At
prévenez la rencontre des ombres frêles. Trois fois vous purifiez vos
mains
dans l’eau claire, vous vous retournez : dans la
rpents sur la tête, des serpents à la ceinture, des serpents dans les
mains
. L’épouse, en habit d’Alecton, Masq
re y tient l’urne fatale ; Le sort, dit-on, l’a mise en ses sévères
mains
: Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
ie. Elle était chaussée du cothurne et portait le masque héroïque. Sa
main
agitait le poignard, poignard classique, auquel e
e était un protecteur de l’art de Terpsichore. Uranie, le compas à la
main
, une sphère sur les genoux, observait les mouveme
placer Ganymède ; mais à le voir entrer clopin-clopant, la coupe à la
main
, dans la salle des banquets, les Immortels furent
ges matériels de l’affection des vivants. Ainsi Achille met entre les
mains
de Patrocle mort les boucles de ses cheveux. Enfi
bêtes fauves parmi les champs d’asphodèles ; Hercule marche l’arc en
main
, la flèche sur la corde, toujours dans l’attitude
veux qu’elle soit toute blanche, portant cuirasse dorée, sceptre à la
main
et couronne en tête. Il ne faut pas que Ninus soi
erait dans le Pactole, d’un comptable suspect qu’il ne peut mettre la
main
dans le Pactole de sa caisse sans en retirer des
is, tout ce qu’il touche aussitôt devient or ; l’or, au contact de sa
main
, se multiplie sous les formes les plus variées :
qu’à ouvrir le premier traité de mythologie qui leur tombera sous la
main
. Ils y verront comment la Discorde s’invita elle-
incipe de la vie et le communiqua à un morceau d’argile pétri par ses
mains
. Cette argile, c’est l’homme. Aucuns disent qu’ap
conservation. Car nu, désarmé, frileux comme il était en sortant des
mains
de l’ouvrier, il n’aurait pas tardé à rentrer dan
dont l’homme était formé. A peine cette créature fut-elle sortie des
mains
du forgeron divin, que les dieux l’ornèrent de to
la vie ? Il échappait, par une suite de métamorphoses soudaines, aux
mains
qui croyaient le saisir : « tour à tour lion à la
qui écoutait leur chant perfide était perdu. La rame glissait de ses
mains
; il tombait éperdu aux bras des divines chanteus
ion, j’irais droit aux caveaux de Saint-Denis, et je prendrais par la
main
non pas Clovis, ni saint Louis, ni même Henri IV,
eau qui fuyait ses lèvres brûlantes, les fruits qui échappaient à ses
mains
avides. Sisyphe, sur une pente escarpée, roulait
le même sujet. Enfin on pourra sans inconvénient le laisser entre les
mains
de la jeunesse ; et je ne connois point d’ouvrage
e d’une figure humaine, placée sur le bord d’un abyme, un glaive à la
main
, parce qu’elle ne produit rien et ne peut que dét
lé cet oracle fut délivré de son supplice. Les Dieux renoncèrent à la
main
de Thétis qui fut demandée par Pélée, roi de Thes
es Dieux. En jurant par le Styx, il falloit que les Dieux eussent une
main
étendue sur la terre et l’autre sur les mers. Le
res et parcouroit toute la maison, en faisant un peu de bruit avec la
main
, pour écarter les ombres qui ne se plaisent que d
se plaisent que dans les lieux silencieux ; ensuite il se lavoit les
mains
afin de les purifier, parce qu’elles avoient disp
victimes noires. La Fable dit que le Mensonge recevoit les ombres des
mains
de Caron pour les conduire devant les juges infer
brebis noire d’un an, et le sang de la victime servoit à purifier les
mains
du meurtrier. On faisoit ensuite des libations, l
oit à ses mânes le moyen de s’en venger en lui coupant les pieds, les
mains
, le nez et les oreilles ; c’est ainsi que fut tra
n recevoit, de nuit, le récipiendaire. Après lui avoir fait laver les
mains
, à l’entrée du temple, et l’avoir couronné de myr
e de férule. On le représente quelquefois avec une de ces cannes à la
main
, peut-être parce que cette plante étoit révérée c
aires des testamens et des actes les plus secrets : ce fut dans leurs
mains
que César et Auguste remirent l’écrit qui conteno
cuteur ouvroit la bière et délioit la vestale ; le pontife levoit les
mains
vers le ciel et adressoit aux Dieux une prière se
jurant le pontife de défendre sa mémoire. Elle refusa avec horreur la
main
que le bourreau lui présentoit pour l’aider à des
vieillards et les guerriers blessés ? Qu’elles sont respectables ces
mains
si pures, que l’or n’a jamais souillées, et qui n
en rochers. Vénus se vengea en ce genre de Diomède qui la blessa à la
main
au siége de Troie ; elle inspira à Egialée, épous
, il lui attacha sous les pieds deux enclumes après lui avoir lié les
mains
derrière le dos avec une chaîne d’or ; que les Di
il n’en dévoroit pas moins tous les étrangers qui tomboient entre ses
mains
. Il fut très-amoureux de la nymphe Galatée ; Ovid
tues des trois Grâces représentées de cette sorte : l’une tenant à la
main
une rose, l’autre une branche de myrte et la troi
ns leurs repas ; on les honoroit les unes et les autres le verre à la
main
. Pour s’attirer la faveur des Muses, on buvoit ne
crochus, un ventre énorme, le corps couvert de plumes hérissées, des
mains
et des pieds d’hommes et des oreilles d’ours. Ell
rder autant d’années de vie qu’elle tenoit de grains de sable dans sa
main
, et quand elle eut obtenu cette grâce, elle ne mo
homme avec des cheveux blonds, un carquois sur l’épaule, un arc à la
main
, ou dans son char d’or traîné par quatre chevaux
et des poëtes ; enfin elle est couronnée de fleurs, elle tient de la
main
gauche un flambeau, et de l’autre elle répand des
étoit représentée sur les médailles par une femme assise qui porte la
main
droite et le doigt index vers son visage, pour mo
dans les prairies de la Sicile, que là, elles travaillèrent de leurs
mains
, un voile de fleurs dont elles firent présent à J
dèle, et le peuple, reconnaissant, laissa tout le pouvoir entre leurs
mains
. Trois générations après Pélasgus, une immense po
val Pégase. Chrysaor tirait son nom d’une épée d’or qu’il tenait à la
main
au moment de sa naissance. Il épousa Callirhoé, f
ette dent surpassait les plus fortes défenses des sangliers, et leurs
mains
étaient d’airain ; des serpens formaient leur che
xe Thésée se rendit à l’île de Délos, où il consacra une statue de la
main
de Dédale, qui lui avait été donnée par Ariadne,
vœu. Ce père trop crédule et désespéré, ne voulant point tremper ses
mains
dans le sang de son fils, l’abandonna au courroux
ultant que sa tendresse pour son époux, offrit de se livrer entre les
mains
d’Acaste, afin d’obtenir la liberté d’Admète. L’é
t, et la combattit ; il trouva moyen de la vaincre et de lui lier les
mains
avec des chaînes de diamant. Il ne consentit à lu
que l’ami d’Hercule touchait ses flèches, une d’elles s’échappa de sa
main
, et tomba sur le pied qui avait décelé le dépôt.
es. Alcimède porta son fils sur le mont Pélion, et le remit entre les
mains
de Chiron, l’homme le plus sage et le plus instru
t, ne se croyant pas encore assez vengée, elle déchire de ses propres
mains
ses deux fils, Phérès et Mémercus. Épouvantée de
s tours de la ville, se présentent aux avenues du palais ; déjà leurs
mains
sont armées de torches pour l’embraser : ce fut a
ecevoir le coup mortel. Corésus jette sur elle un dernier regard ; sa
main
semble hésiter ; les murmures des Calydoniens se
us ses coups. « Après ce funeste accident, le royaume de Thèbes et la
main
de Jocaste furent promis à celui qui délivrerait
formidable, sur les terres de leurs ennemis. « On en vint bientôt aux
mains
, et les Thébains ayant perdu la bataille, abandon
ar des jeux funèbres. La trêve expirait, et l’on en venait encore aux
mains
. « Souvent, au plus fort de la mêlée, un guerrier
raits ou d’énormes quartiers de pierre, tantôt se joindre l’épée à la
main
, et presque toujours s’insulter mutuellement pour
rgos se couvrit de forfaits, et déchira ses entrailles de ses propres
mains
: Agamemnon trouva son trône et son lit profanés
ans après la ruine de Troie, une partie du Péloponèse passa entre les
mains
des Héraclides, ou descendans d’Hercule. » L’ann
de cuivre auprès d’une statue de même métal, qui tenait un fouet à la
main
, et qui était également suspendue. Lorsque le ven
bélisques d’airain. Dans cette enceinte paraît une caverne taillée de
main
d’homme, ayant la forme d’un four. Là se voit un
averne se présente ; il faut se coucher à terre, et tenir dans chaque
main
une composition de miel nécessaire à porter ; on
ra de vivre autant d’années qu’elle tenait de grains de sable dans sa
main
; elle oublia, malheureusement pour elle, de dema
ceste, ou l’escrime à coups de poings. Pour le ceste, on s’armait les
mains
de grosses courroies de cuir de bœuf, et d’une es
i avaient remporté les prix dans ces jeux. Elles étaient toutes de la
main
des sculpteurs les plus célèbres de la Grèce. Les
intrépidement exposés dans les combats, seraient morts les armes à la
main
. Dès qu’il eut rendu le dernier soupir, on porta
engeur des dieux. Outre cette massue qui revenait d’elle-même dans la
main
qui l’avait lancée, et qu’il tenait avec des gant
croitre les herbes des prés et la laine des brebis ; il portait d’une
main
une épée, et de l’autre une trompette dont le bru
et de sa cuirasse resplendissante ; son large cimeterre est dans ses
mains
; il attaque le loup Fenris ; il en est dévoré, e
érisées par leurs symboles particuliers. Odin tenait une épée dans sa
main
. Thor, à la gauche d’Odin, avait une couronne sur
la gauche d’Odin, avait une couronne sur la tête, un sceptre dans une
main
, et une massue dans l’autre. Quelquefois on le pe
t à l’exécution des lois ; mais le pouvoir législatif était entre les
mains
des druides. Les peuples regardaient comme les or
s cueillaient la selage ; il fallait l’arracher sans couteau et de la
main
droite, qui devait être couverte d’une partie de
uverte d’une partie de la robe ; on la faisait ensuite passer dans la
main
gauche avec vitesse, comme si on l’avait dérobée
now unnumbered woes o’er mortals reign Alike infected is the land and
main
; O’er human race distempers silent stray, And mul
l steeds the slackened rein, And strikes his iron sceptre through the
main
; The depths profound thro’ yielding waves he clea
Gods. ——— “Great Neptune! I would be Advanced to the freedom of the
main
, And stand before your vast creation’s plain, And
in thy treasure-caves and cells? Thou hollow-sounding, and mysterious
main
! Pale glistening pearls, and rainbow-coloured she
housand royal argosies; Sweep o’er thy spoils, thou wild and wrathful
main
; Earth claims not
ul at the bow, nor at the race; Of all the blue-eyed daughters of the
main
, The only stranger to Diana’s train; Her sisters
d founts I have loosed the chain, They are sweeping on to the silvery
main
, They are flashing down from the mountain brows,
er in their luscious cells; “The swallows all have winged across the
main
; But here the Autumn melancholy dwells, A
sea. “The shepherd of the seas, a prophet, and a god, High o’er the
main
, in watery pomp he rides, His azure car and finny
Thessalia’s inauspicious plain, Received the matron-heroine from the
main
; While hours of triumph sound, and altars burn. A
his Theseus was untimely slain, He rashly plunged himself beneath the
main
!” His ascension to his father’s throne was recei
e thick ribs of the echoing horse; Two serpent forms incumbent on the
main
Lashing the white waves with their redundant trai
passion, darkened angrily, And gusts of wind swept o’er the troubled
main
Like hasty threats, and then were calm again; Tha
f air his flight sustain, O’er the wide earth, and o’er the boundless
main
. He grasps the wand that causes sleep to fly, Or
s totter on the rocking plain; And the toss’d navies beat the heaving
main
. Deep in the dismal regions of the dead, Th’ infe
he cleansed the gather’d blood From his bor’d eye-ball, in the briny
main
, And, bellowing, grinds his teeth in agonizing pa
from the storm, the Stromphades I gain, Encircled by the vast Ionian
main
, Where dwelt Cœlene, with her Harpy train. Such f
though round and prominent, yet not one of them is detached from the
main
rock. Some of these statues wear a kind of helmet
efore the sun’s bright face is held; Screening from flame, the liquid
main
, Each shadowy hill and grassy plain. Helga. The
en everlasting chain, Whose strong embrace holds heaven and earth and
main
: Strive all, of mortal and immortal birth, To dra
in one hand and a votive bowl in the other — were carried through the
main
streets of the city on all solemn occasions.
ome and to her father. “‘Stay thy rash flight! and, from the distant
main
, — For oh! thou canst, my daughter, — turn again.
all the brave men of the country, and instituted a great hunt, whose
main
object was the capture or death of the obnoxious
hose hollow sides a number of brave warriors might lie concealed. The
main
army feigned weariness of the endless enterprise,
, and force, And craft of curious toil.” Hesiod ( Elton’s tr.). The
main
part of the fleet was stationed at another island
re, The plains where Ilium stood before, And homeless launch upon the
main
, Son, friends, and home gods in my train.” Virgi
e Mythological or Mythopœic age.” It was during this period that the
main
part of the vast fund of mythic lore is supposed
f the dawn, are probably more numerous than any others, and have some
main
features of resemblance in all cases. The first s
e Hesperides, — a symbol of the western sky and clouds at sunset. The
main
part of his life is spent with Deianeira (“the de
nes, the Gorgons, Grææ, Minotaur, Sphinx, Chimæra, &c.; but their
main
personifications were Cerberus (the grim three-he
t see the Gorgons without looking at them. When Perseus came into the
main
hall, the three Gorgons were there. Two of them w
, And the sweet new wine is glowing. A cheer, — a cheer across the
main
! A shout comes from the billow! Theseus, These
e god would soothe her heart’s alarms. “Be safe with me across the
main
.” “Nay let me die ere to thy charms I lend,” s
f air his flight sustain, O’er the wide earth, and o’er the boundless
main
. He grasps the wand that causes sleep to fly, Or
gods, and all the ethereal train, On the warm limits of the farthest
main
, Now mix with mortals, nor disdain to grace The f
defrauding who vouchsafed to save. This heard the raging ruler of the
main
; His spear, indignant for such high disdain, He l
though round and prominent, yet not one of them is detached from the
main
rock. Some of these statues wear a kind of helmet
s of the sea, the former denoting the strong billows of the wide open
main
, and the latter the white-crested waves that dash
rain, While Argo saw her kindred trees Descend from Pelion to the
main
. Transported demigods stood round, And men grew h
“The winds are high, and Helle’s tide Rolls darkly heaving to the
main
; And night’s descending shadows hide That fie
all thoughts of home and wished to remain in that country. It was by
main
force that Ulysses dragged these men away, and he
what their flocks yielded, for they were shepherds. Ulysses left the
main
body of his ships at anchor, and with one vessel
la scours the plain, Flies o’er th’ unbending corn or skims along the
main
.” Essay on Criticism. Chapter XXXIV. Pythag
all splendor in our isle at last. Thus lovely Halcyons dive into the
main
, Then show far off their shining plumes again.”
he announcement in his Constitutional History of Iceland.40 While the
main
treatises on the poetic art are, in general, Snor
With the brackish Dorian stream: — Like a gloomy stain On the emerald
main
, Alpheus rushed behind, — As an eagle pursuing A
into a stone, and Myrrha into a myrtle-tree.193 Her influence in the
main
was of mingled bane and blessing; as in the cases
t all thought of home and wished to remain in that country. It was by
main
force that Ulysses dragged these men away, and he
what their flocks yielded, for they were shepherds. Ulysses left the
main
body of his ships at anchor, and with one vessel
htingale sings to the dewy cedar, The cedar scatters his scent to the
main
. The strange flowers’ perfume turns to singing,
— “The winds are high, and Helle’s tide Rolls darkly heaving to the
main
; And night’s descending shadows hide That field w
la scours the plain, Flies o’er th’ unbending corn or skims along the
main
.” — Essay on Criticism. §§ 177-184. On Norse myt
g to Jordanes, the Anses were demigods, ancestors of royal races. The
main
cult of the older religion was ancestor-worship,
n passage, mais tout à coup Télémaque, prompt, comme la foudre que la
main
du pére des dieux lance du haut de l’Olympe sur l
les têtes coupables, vient fondre sur son ennemi : il le saisit d’une
main
victorieuse, il le renverse comme le cruel aquilo
andato. Les oracles cruel enfin sont accomplis : Et je meurs par les
mains
, quand je retruove un fils ! Le ciel est juste.
: D’un incurable amour remèdes impuissants En vain sur les autels ma
main
brûloit l’enncens : Quand ma bouche imploroit le
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenoit à la
main
Il lui perce le coeur, et son âme ravie En acheva
erchaient : … Déjà ils se voient l’un l’autre, et Philoctète tient en
main
une de ces fléches terribles qui n’ont jamais man
e de ces fléches terribles qui n’ont jamais manqué leur coup dans ses
mains
. et dont les blessures sont irremédiables : ……………
sse. Mollement elles y posèrent Ces membres delicats, et ces débiles
mains
Qui dans la suite terrassèrent Le peuple des Tita
d founts I have loosed the chain; They are sweeping on to the silvery
main
, They are flashing down from the mountain brows,
e west. “Gorgona dwelling on the brink of night, Beyond Die Hounding
main
: where, silver-voiced, The Hesperian maidens in t
g her that, if she pleases, she may boast of having vanquished him by
main
strength832. When the corse of Hectôr was exposed
he sea, the former denoting the large strong billows of the wide open
main
, the latter the white-crested waves that dash aga
all thoughts of home, and wished to remain in that country. It was by
main
force that Odysseus dragged these men away, and h
aps approach to probability. The cutting off the Gorgon’s head is the
main
action of the mythe, and Pallas-Athene aids the h
oo, Torn up with ‘t; that rains back on him that threw; Some from the
main
to pluck whole islands try; The sea boils round w
f air his flight sustain, O’er the wide earth, and o’er the boundless
main
: He grasps the wand that causes sleep to fly, Or
“Neither the redskin nor the Indo-European had any choice as to the
main
features of the career of his solar divinity. He
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