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1 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
a Guerre au front d’airain, Ou le Temps qui s’enfuit une horloge à la main  : Et par-tout, des discours, comme une idolâtrie
l inhumain, Planant d’une aile infatiguable, La faux et le sable à la main  ! Il semble aussi vieux que le monde ; La Mort en
i est consacré. On le représente porté sur un aigle et la foudre à la main . Naissance de Jupiter. L’Aigle et la Colombe.
onts sur monts, escalada l’Éther. Mais le maître des Dieux, armant sa main puissante, Foudroya de leurs monts la menace effr
cour céleste. On figure Apollon tantôt en jeune homme, une lyre à la main , et des instrumens de musique à ses côtés ; tantô
L’Onde a ses Dieux marins, et Prothée, et Triton, Triton la conque en main , et l’énorme Egéon Qui presse entre ses bras une
nge 12.     Où naissent tes rayons, Astre enflammé du jour ? Quelle main te roulant au-dessus de nos têtes, Dans les plain
îné par des Tigres, des Lynx ou des Panthères, tenant un thyrse d’une main , et de l’autre une coupe. Naissance de Bacchus,
o Le refrain de leurs chants bachiques. Dans les tasses, au creux des mains , A flots pourprés le vin ruisselle ; Déjà circule
s, Satyres, Corybantes, Les flambeaux, ou le Thyrse, ou la coupe à la main , De leur foule bruyante inondent le chemin. Les u
au jeune homme, des ailes à la tête et aux talons, et un caducée à la main . Message de Mercure à Calipso.    Mercure se dis
erre ou la plaine liquide. Le Dieu prêt à partir fait briller dans sa main Son Sceptre redouté, dont le charme divin Peut do
vec une couronne d’ébène sur la tête, la clé du séjour des morts à la main , et sur un char traîné par des chevaux noirs.   
L’antre enflammé vomit le fer de ses entrailles. Le Dieu tient d’une main ses mordantes tenailles, De l’autre il bat l’encl
urs de son palais d’airain, Il trace en des lambris, merveilles de sa main , Son enfance difforme, odieuse à son père. Et bie
te, une pique et un fouet, et quelquefois une torche ardente dans les mains .    L’Hyver n’enchaîne plus les foudres de Bello
filets, jeunes cœurs : Fuyez-les ; c’est pour vous surprendre Que sa main les tresse de fleurs33. A un jeune Poëte, sur
e figure en jeune homme blond, couronné de roses, et un flambeau à la main . On donnait aussi le nom d’Hyménée aux vers qu’on
sont par-tout, sont en troupe ; A l’aveugle Plutus les uns tendent la main ,          Les autres le prennent en croupe :     
oulait être aussi de la fête, Vint d’un air insolent lui présenter la main , Le Héros irrité passe en tournant la tête       
t, et que leurs vœux demandent, Leur apparaît en songe, un bâton à la main , Caressant de ses doigts sa longue barbe, enfin T
l est représenté soulevant le masque d’un visage, et une marotte à la main . Curieux et malin, Momus épiait toutes les action
e homme gras et frais, un bonnet de fleurs sur la tête, un vase d’une main et un bassin de l’autre. Festin. Premier service
eprésentait sous la figure d’un jeune homme à demi-nu, une corne à la main et un doigt sur la bouche. Le Silence auquel il p
e représente avec des ailes de papillon, et une plante de pavots à la main , dont il touche les mortels qu’il veut bercer de
es : Loin de toi le fard de Vénus Et le clinquant de l’imposture : Ta main dépouille la Nature De ses ornemens superflus ; L
e-temps abrègent la soirée. J’entends ce jeu bruyant où, le cornet en main , L’adroit joueur calcule un hasard incertain. Cha
t d’un sommeil bien franc l’autre dormant tout haut, Aux battemens de mains se réveille en sursaut. On rit ; on se remet de l
ges de l’orgueil. Le culte de ce Dieu simple et naïf était confié aux mains innocentes des Vestales.    L’âge le plus heureu
les noms de l’urne du destin, De l’enfant sans détour on emprunte la main . L’Enfance, trop souvent, est l’aurore infidelle
en doute pas. Nouvel appui de sa marche timide, Le seul secours d’une main qui le guide Va lui suffire, et bientôt enhardi,
rore annonce un jour serein, Divers prix vous seront dispensés par ma main . Les uns pour le rameur fatiguant l’onde amère ;
mène ; Et d’un peuple nombreux il s’avance entouré. Epanchés par ses mains , le lait, le vin sacré, Et le sang le plus pur on
la représente avec une tour sur la tête, une clé et un disque dans la main , couverte d’une robe parsemée de fleurs, tantôt e
âge, en sa race, il ne doit point renaître.    Cependant sous leurs mains , les tambours effrayans, La flûte, la cymbale, et
joncher tous les chemins, Et des torrens de fleurs, tombant de toutes mains , L’inonder toute entière, elle et sa cour brillan
une troupe, au son vif et tonnant De l’airain, sur l’airain, dans ses mains résonnant, Pour te sauver des dents de ton barbar
apprend aux humains, Qu’il faut que leur famille, au secours de leurs mains , Qu’il faut que leur patrie, à leur noble victoir
où l’éclat d’un or pâle Ranime un fond tendrement azuré, Et dans ses mains brille un sceptre d’opale. Imbert 69. Diane,
est représentée sur un char d’or, traîné par des biches, un arc à la main , un carquois sur l’épaule, et un croissant sur la
rtant sans bruit leurs pas vers ces Dieux homicides, D’une tremblante main saisissent leurs carquois ; Et bientôt des débris
; Le bouton sort du bouquet qui s’effeuille ; Le fruit renaît sous la main qui le cueille : Les Gnidiens que Vénus y conduit
une utile chaussure, Sans l’aveu de Pallas prendra mal la mesure : La main la plus habile à façonner le bois, Perdra sans so
nte vêtue d’une robe longue, un voile sur la tête, une javeline d’une main , et un vase à deux anses de l’autre, ou une lampe
aime à présider à de chastes Vestales ! Vierge, elle se confie à des mains virginales. Ovide. —  Desaintange 77. Cérès,
se célébraient ses mystères. On la représente avec une faucille d’une main , et de l’autre, une gerbe d’épis et de pavots.  
s arbres émondés par le fer des Émiles, Les champs sollicités par les mains des Camilles, De leurs dons à l’envi comblaient l
erre, et Déesse de la Justice. On la figure avec une balance d’une main , un glaive de l’autre, et un bandeau sur les yeux
ine toison compose mes habits ; Et quand le fuseau tourne entre leurs mains légères, Ne blesse pas les doigts de nos jeunes b
s, il s’en fit aimer, et l’épousa. On la représente une serpette à la main , une couronne de fruits sur la tête, avec une cor
me devient insipide, Pourrai-je te le pardonner ? Hélas ! lorsque ta main volage Nous met sur un trône de fleurs, Croit-on
ou les attraits, Soyez plus attendris que vains de ses bienfaits : La main qui les versa peut aussi les détruite. Dorat 91.
Déployant l’azur de leurs ailes, Devancent son cours glorieux : Leurs mains , dans les plaines mobiles, Dirigent les rênes fra
mières naissantes Se brisent dans le champ des airs.    L’Aube de sa main triomphante, Enchaîne le Dieu du sommeil, Et de l
u contour. Sur le plafond on voit les Heures Danser, se tenant par la main  ; Sur les lambris peints par Vulcain, L’on voit l
sprits ainsi que nos corps, Et nos talens sont des ressorts Que leurs mains légères polissent. Les Grâces entourent de fleurs
dont il vit le trépas.    Nouvel ordre ! chaque colonne, Ouvrage des mains d’Apollon, Au lieu d’acanthe se couronne Des rame
: Melpomène à la Tragédie, chaussée d’un cothurne et un poignard à la main  : Thalie à la Comédie, en brodequin et en masque 
sur un globe : et Polymnie à la Rhétorique, le sceptre oratoire à la main . Apollon leur frère, est à leur tête. Elles habit
éris du plus beau106 des mortels. C’est sous ces pins touffus que ses mains innocentes              Vous, ont élevé des autel
Qu’ainsi coulent vos dons répandus à propos,             Mais que la main reste cachée107 ! A une belle Source, à qui l
tait assise sur un trône, couronnée de simples, tenant une coupe à la main , et ayant auprès d’elle un autel où s’entortillai
x Du frais qu’on y respire et de leur doux ombrage,            De mes mains ils furent l’ouvrage ; Et nous y goûterons un tra
de coiffée de serpens, les yeux égarés, une torche et un poignard aux mains , les bras sanglans et la bouche écumante.    Des
forment sa chevelure ; Une robe sanglante est toute sa parure ; Et sa main secouant un flambeau dans les airs, De sa cruelle
be flotte aux vents, sanglante, déchirée ; Elle arme d’un poignard sa main désespérée.    Sur le froid Apennin le monstre s
s connaissent, La tendresse s’éveille, et les remords renaissent. Les mains serrent les mains, les cœurs pressent les cœurs.
tendresse s’éveille, et les remords renaissent. Les mains serrent les mains , les cœurs pressent les cœurs. De leur vieille am
ppui ; Aussi-bien sous mes pas c’est creuser un abîme, Que retenir ma main sur la moitié du crime ; Et, te faisant mon roi,
ient la trame de la vie des hommes, dont la destinée était dans leurs mains . Leur nom était Clotho, Lachésis et Atropos. La p
ec plaisir les beaux jours d’Isabelle ; J’aperçus Atropos, qui, d’une main cruelle, Voulait couper le fil, et la mettre au t
onde insulte à ta soif, ô Tantale ! et le fruit Évite incessamment ta main qui le poursuit. Les filles de Bélus, épouses par
et répand le fiel de ses sucs venimeux. La Furie à leurs yeux, d’une main tournoyante, Roule en cercle de feu sa torche fla
te avec un vêtement noir parsemé d’étoiles, un Sceptre de plomb, à la main , parcourant silencieusement le Ciel, sur un char
en arrière, Lui fait un dôme émaillé de saphyrs. De ses chevaux, une main tient les rênes, L’autre répand des moissons de p
d’une robe noire, des ailes aux épaules, une faux, ou des filets à la main . On lui donne aussi un cœur et des entrailles de
           Ils font de vains efforts. Du Temps qui détruit tout, les mains infatigables Mineront sourdement ces marbres impo
our et à la nuit, et connaissant l’avenir et le passé ; un bâton à la main droite et une clé dans la gauche.    Lorsque Jan
de la peau du lion de Némée.    Terrible et fier, Alcide a dans ses mains Et le repos et l’effroi des humains. Un sourcil n
is savouraient les délices, Les cache en sa caverne ; et cependant sa main , Pour déguiser aux yeux les traces du larcin, Sai
ds la peur donne des ailes : Il fait tomber ce roc que, d’une adroite main , A des chaînes de fer a suspendu Vulcain, S’enfer
 ; Tantôt d’un roc brisé lui lance un large éclat ; Et tantôt, à deux mains , d’un arbre entier l’accable. Alors le monstre, e
ces de son modèle. Il vainquit avec lui les Amazones, et reçut de ses mains leur reine Antiope, de laquelle il eut Hippolyte.
e, Mes essaims ne sont plus ; et vous êtes ma mère ! Achevez : de vos mains ravagez ces coteaux, Embrasez mes moissons, immol
écouter les Nymphes attentives Font tourner leurs fuseaux entre leurs mains actives, Du malheureux Berger la gémissante voix
is ; Sa mère en l’écoutant sourit et le rassure ; Les Nymphes sur ses mains épanchent une eau pure, Offrent pour les sécher d
r ton captif à reprendre ses traits.    Sur son fils, à ces mots, sa main officieuse Répand d’un doux parfum l’essence préc
t fait rouler les antiques sapins,            Et que la rame sous ses mains Frappait à coups pressés le sein des Néréides ;  
Venir briguer l’honneur d’une illustre conquête ; Orphée, un luth en main , sur la poupe, à leur tête,            S’élança l
able Exhalant à ses pieds ses sanglots et ses cris, Et lui baisant la main qui fit périr son fils. Il n’osait sur Achille en
aire Sentit que la pitié pénétrait dans son cœur. Priam lui prend les mains  : ah ! prince, ah ! mon vainqueur ! J’étais père
nos jours sont tissus de regrets et d’alarmes, » Lui dit-il ; par mes mains les Dieux vous ont frappé : » Dans le malheur com
de mort, ces apprêts, ce festin, Ce festin détestable, où le fer à la main , Clytemnestre ! ma mère ! ah ! cette horrible ima
vu votre père, attiré dans le piége, Se débattre, et tomber sous leur main sacrilége. Pammène, aux derniers cris, aux sanglo
toi : Votre cœur affamé de sang et de victimes, M’a fait souiller ma main du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle va
 ? Ah ! c’en est trop, il faut qu’à ma colère… Que vois-je ? Dans ses mains la tête de ma mère ! Quels regards ! où fuirai-je
. C’en est fait ; je succombe à cet affreux supplice : Du crime de ma main mon cœur n’est point complice ; J’éprouve cependa
outrage. J’appris à soutenir mes misérables jours. Mon arc, entre mes mains seul et dernier recours, Servit à me nourrir ; et
briser des rameaux, et pour y recueillir Le feu que des cailloux mes mains faisaient jaillir. Des glaçons dont l’hiver blanc
la lance, Du Pélion sauvage antique rejeton, Jadis elle tomba sous la main de Chiron ; Et des enfans de Mars l’élite infortu
ge entre tous les humains, Daigna m’instruire encore au sortir de ses mains  ; Je ne veux point me peindre avec trop d’avantag
igneur, j’ai, vu votre malheureuse fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il veut les rappeler, et sa voix les e
les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’appelle ; et me tendant la main , Il ouvre un œil mourant, qu’il referme soudain :
ortant son vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la main , et suivi de la malheureuse Créuse son épouse qui
lée) Vénus pour la figure et Mars dans la mêlée, Vient, la hache à la main , la douleur sur le front, D’un funeste hasard ven
reur lui montrant les furies ; De leurs fouets déchirans frappant ses mains impies ; Elle promet aux Dieux d’expier son erreu
sent les Dieux…    D’une dure cuirasse elle presse ses charmes ; Des mains même de Mars elle reçut ces armes. Elle entoure d
té, S’élève un casque d’or d’aigrettes surmonté ; Elle tient dans ses mains la hache redoutable Dont Bellone aiguisa le fer i
ante chaleur. « Quel transport vous saisit, beautés infortunées ! Vos mains aux jeux de Mars ne sont point façonnées ; Qu’a d
de leur mère, c’est-à-dire, des pierres. Ces pierres sortant de leurs mains , furent métamorphosées, celles de Deucalion en ho
lme ses flots ; l’humide Souverain Du trident redoutable a désarmé sa main . Il appelle Triton au dos couvert d’écaille, Trit
u sais si mon cœur t’est soumis : Mais puis-je d’une aïeule, avec des mains profanes, Toucher les os sacrés, et violer les mâ
et l’aïeule des humains. Les pierres sont ses os, qui, lancés par nos mains , Vont du monde désert peupler la solitude. Pyrrha
Ces cailloux amollis sous leurs doigts étonnés, S’échappent de leurs mains à demi-façonnés ; Et perdant par degrés leur rude
ains : La Gloire à la suivre s’empresse, Tenant des lauriers dans ses mains  ; Du Soleil les coursiers s’arrêtent ; Les Heures
vé sur l’horison, que les chevaux du Soleil, se sentant menés par une main étrangère et novice, prirent le mors aux dents, s
xprimé le malheur de son fils : Deux fois il le tenta ; deux fois, sa main glacée Abandonna l’image à peine encor tracée. V
une maison, ayant cour et jardin, Remise et cætera. Le voilà flûte en main ,           Qui souffle et souffle à perdre halein
ant ; Il supplie : Agavé le regarde en hurlant, S’approche ; et d’une main au carnage échauffée, Elle enlève sa tête, et la
e sa tête, et la porte en trophée. Son corps en un instant, par leurs mains lacéré, Se disperse au hasard en pièces déchiré.
entraîne, et le place auprès d’elle. Tout-à-coup de Pyrrhus fuyant la main cruelle, A travers mille dards un dernier fils du
t des nations, et les droits du malheur ; Et rendant mon Hector à mes mains suppliantes, Me laissa librement retourner sous m
orta sur ses épaules hors de la ville, tenant son fils Ascagne par la main , et l’embarqua avec lui sur ses vaisseaux. Anchis
j’embrasse enfin, que j’embrasse mon père ! Que j’ariose de pleurs la main qui m’est si chère ! Il s’efforce trois fois de l
présent vient des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots, de sa main qu’anime un noble effort Un trait part… Mais quel
ois dans le crime incertains, Ils redoutent la nuit, ouvrage de leurs mains  ; Un moment peut les perdre…O funeste vertige ! L
Neptune se plaint dans l’ombre de la nuit, Quand la rame docile, à la main qui la guide, Fend à coups redoublés son domaine
teint leurs voix sur leurs lèvres glacées ; De replis écailleux leurs mains embarrassées Appellent, mais en vain, un secours
rembler : Du sein de ma patrie il fallut m’exiler. Je craignis que ma main malgré moi criminelle, Aux destins ennemis ne fût
as par quel enchantement J’oubliais jusqu’ici ce grand évènement ; La main des Dieux sur moi si long-temps suspendue Semble
ent mes sujets, et faits pour m’obéir. Je marche donc vers eux, et ma main furieuse Arrête des coursiers la fougue impétueus
ois, je reconnais la blessure mortelle Que te fit dans le flanc cette main criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un monstre dét
ne branche chargée de fruits, qui échappaient sans cesse à ses avides mains .     Vers une eau desirée, ou sur un fruit voisi
e, ou sur un fruit voisin, Toujours Tantale avance ou la bouche ou la main  : Toujours le fruit rebelle à la main qui le touc
ntale avance ou la bouche ou la main : Toujours le fruit rebelle à la main qui le touche, Recule, et l’eau perfide a fui loi
ta raison : Triomphant au milieu des dames de Phrygie Et la lyre à la main , tu nourris le poison Qui va trancher le cours d’
sachant tout alors ; quoi ? c’est donc ton amour, Dit-elle, c’est ta main qui t’a privé du jour ? Ma main, ma main aussi pr
st donc ton amour, Dit-elle, c’est ta main qui t’a privé du jour ? Ma main , ma main aussi prouvera ma tendresse. Je n’ai pas
on amour, Dit-elle, c’est ta main qui t’a privé du jour ? Ma main, ma main aussi prouvera ma tendresse. Je n’ai pas moins d’
morts. Rhadamante et Eaque en étaient les seconds.    Mes homicides mains , promptes à me venger, Dans le sang innocent brûl
père y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise en ses sévères mains . Minos juge aux Enfers tous les pâles humains ; A
Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l’urne terrible ? Je crois te voir, cherch
oulut en vain l’épouser : Didon fidèle aux mânes de Sichée, refusa sa main . Iarbe lui ayant déclaré la guerre, elle fut seco
e inconsolable, et sans cesse occupée de son cher Hector, ses chastes mains lui dressèrent un tombeau en Épire, sur les bords
ne superbe essuyant les dédains, Tu pourrais la servir de tes royales mains  ! Et tremblante à ses pieds, tantôt filer ses lai
s me resserre ! »    Il dit, et vers son fils, tend l’une et l’autre main . Mais l’enfant, à l’aspect de l’armure d’airain,
ux cruels, et prévois-tu ta-mort ? Tes pleurs coulent en vain, et tes mains innocentes, Tes baisers redoublés pressent mes ma
en vain, et tes mains innocentes, Tes baisers redoublés pressent mes mains tremblantes. Malheureux ! prétends-tu, caché sous
espérons plus le voir, tel qu’au fort des combats, Nos tyrans, de ses mains recevaient le trépas, Quand du joug de l’Europe a
el, elle marchait tristement vers l’autel ou l’Usurpateur périt de la main d’Egiste.    Me rendrez-vous mon fils, Dieux tém
et enfant malheureux, le seul que j’ai sauvé ? Ecartez loin de lui la main de l’homicide. C’est votre fils, hélas ! c’est le
, l’œil fixe, et d’un front inhumain, Présentait à Mérope une odieuse main  ; Le Prêtre prononçait les paroles sacrées ; Et l
c’était Égiste, il s’élance aux autels ; Il monte, il y saisit d’une main assurée, Pour les fêtes des Dieux la hache prépar
s les crimes, Erox, qui dans son sang voit ce monstre nager, Lève une main hardie, et pense le venger. Egiste se retourne, e
rps penché, déjà paraît le vieux Silène, Aux crins de ce coursier, sa main cherche un appui ; Les Thyades en feu vont, vienn
Dragon veillait jadis Sur le jardin des Hespérides ; Il écartait les mains avides, Les regards même étaient punis. Un jeune
Cahos et l’Univers naquit.    Pour embellir ce globe arrondi par ses mains , Un Dieu forma les lacs, et creusa leurs bassins 
es rives, Roulent en liberté leurs eaux long-temps captives. Enfin la main du Dieu qui régla l’Univers, Revêtit les forêts d
erme divin développé son être, L’homme naquit. Ainsi sous de savantes mains La glèbe s’étonna de former les humains. Mais tan
oux ;               Et le destin jaloux Va m’imposer les fers dont ma main te délivre. Castor .    Le fils de Jupiter doit
 : « O moitié de mon ame ! Ne m’abandonne pas, viens, et prends cette main , Tant qu’il me reste encor quelque chose d’humain
en Cygne par son père. On le représente avec une Lyre ou un Luth à la main . Protée à Aristée    Eurydice fuyait, hélas ! et
mon cher Orphée ; Eurydice expirante, En vain te cherche encor de sa main défaillante ; L’horrible Mort jetant son voile au
gémissant l’oiseleur inhumain Qui, glissant dans son nid une furtive main , Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore,
beautés s’efforçaient de lui plaire, Il dédaigna leurs feux ; et leur main sanguinaire, La nuit, à la faveur des mystères sa
ilà celui qui nous méprise ! Le voilà : vengeons-nous ! et sa barbare main Au prêtre d’Apollon lance un thyrse inhumain. Le
mpunément les farouches Bacchantes Sur le chantre sacré portent leurs mains sanglantes. Tel l’oiseau de Pallas voit mille ois
araient les doux fruits de leurs longues sueurs : L’un, la bêche à la main , le tourne et le remue ; L’autre dans les sillons
ndre, Hector est au rivage, armé pour la défendre. Le premier, par sa main tu meurs, Protésilas ! Combien, parmi les Grecs,
r son char : Guerrier, qui que tu sois, Console-toi ; tu meurs par la main d’Éacide. Un dard suit sa parole ; et le fer homi
ande à Nérée, et règne sur les mers.    Il a parlé : la pique en ses mains balancée A volé contre Achille avec force lancée 
au neuvième cuir le perce tout entier. Achille l’en arrache, et d’une main terrible Lançant un second dard, lui porte un cou
ssée Ont tombé sous mes coups, et témoignent assez Ce qu’a fait cette main , et ce qu’elle peut faire.    Comme s’il eût dou
Ménétès a rougi son armure.    Il saute de son char, et l’épée à la main , Attaque de plus près son ennemi hautain. Il fend
i seule en façonna l’entrée, Dans le tuf qu’elle-même a taillé de ses mains , Imita librement l’art savant des humains ; Et de
Et les siens négligés voltigent au hasard.    Tandis que, l’urne en main , Niphé, Psécas, Hyale, Et la brune Rhanis, et la
oin les tableaux de Zeuxis et d’ Apelle : Ceux-ci furent tracés d’une main immortelle. Nos deux époux surpris, étonnés, conf
dirent-ils, vos moindres créatures ; Aurions-nous bien le cœur et les mains assez pures, Pour présider ici sur les honneurs d
Jupiter exauça leur prière innocente. Hélas ! dit Philémon, si votre main puissante Voulait favoriser jusqu’au bout deux mo
ant vos autels. Cloton ferait d’un coup ce double sacrifice. D’autres mains nous rendraient un vain et triste office. Je ne p
les flancs d’une terre ennemie, Placé dans des rochers où l’a fixé ma main , Il présente la pointe où s’appuîra mon sein. Ce
pis. Vous, filles de la Nuit, Déités implacables, Qui, la torche à la main , poursuivez les coupables, Ministres des Enfers,
s. Insulte à mon trépas : payez-leur en le prix. Qu’ainsi que par mes mains ma vie est terminée, La main de leurs parens tran
z-leur en le prix. Qu’ainsi que par mes mains ma vie est terminée, La main de leurs parens tranche leur destinée ; Que les G
eur ; ses alimens se changeaient en or à l’instant qu’il y portait la main . Il pria Bacchus de lui retirer ce don funeste, e
se cueillis, Debout, et revêtu d’une robe à longs plis, Apollon d’une main tient sa lyre d’ivoire, Et de l’autre l’archet, i
ste, son maintien, sont d’un maître de l’art. Sur les fils inégaux sa main court au hasard : Le Tmole est enchanté des accor
il au Dieu du Pinde. Phébus commence, et devant ce limier, La lyre en main , prélude le premier, A ses accords les chênes rev
phe d’Arcadie. Poursuivie par le Dieu Pan, dont elle refusait la main , elle se sauva sur les bords du fleuve Ladon, qui
’un chaste hymen par nos maux achetés, Quoi ! nous les confions à des mains mercenaires ; Tandis que des forêts les hôtes san
e travaille. Une soudaine écorce enveloppe sa taille. Elle veut de sa main arracher ses cheveux, Et saisit des rameaux qu’el
upière ; L’écorce qui s’élève et s’étend sur mes yeux, Dispense votre main de ce devoir pieux.    En cessant de parler, Dry
ais par elle animé, le tronc qui vient de naître, Sous l’écorce où ma main sent palpiter son cœur, Conserve encor long-temps
Héros Grec, se noya de désespoir. On les représente, l’une ayant à la main une espèce de tablette, l’autre deux flûtes, et l
même, oui, j’ai vu l’inhumain, Saisissant deux de nous de sa terrible main , Les briser contre un roc ; j’ai vu sur les murai
aire, Cherchait de ses troupeaux le pacage ordinaire, Posant sa large main sur un tronc sans rameaux : Seul plaisir qui lui
e départ ; les cables sont coupés : On part ; et l’aviron, sous mille mains rivales, Par le vent secondé, fuit ces rives fata
nt Pélion, Souffler son infecte rage, Contre le naissant ouvrage, Des mains de Deucalion.    Mais, le bras sûr et terrible D
, La cour de Jupiter, et le sénat du Ciel.    Le Dieu, le sceptre en main , se place sur son trône ; L’immortelle assemblée
e Paris enchaîne la mollesse, Riches, qui répandez votre or à pleines mains ,        Pour embellir d’insipides jardins Dont l’
u’il adore, et d’y trouver ses Dieux. Il n’est rien de sacré pour des mains sacriléges, Les Dieux même, les Dieux n’ont point
nées. Il querelle leur crainte, il frémit de courroux, Et le fer à la main porte les premiers coups. Quittez, quittez, dit-i
élodieux, Diane au carquois d’or, Déesse bocagère, Qui la flèche à la main , de sa robe légère, Nouait sur le genou les repli
vains couronnés de rameaux verdoyans ; Les Nymphes, qui sans art, les mains entrelacées, Dansaient aux sons joyeux de leurs v
ntagnes, Dérobait à mes yeux le terme des campagnes. Cybèle à pleines mains y versait ses bienfaits, Les Grâces le paraient d
serein et pur, De l’Olympe brillant nuancèrent l’azur. Ici le soc en main , sur la terre docile, Le laboureur joyeux trace u
ranger qui la couronne Est parsemé de vers luisans. Que Plutus, d’une main fantasque, Orne les bains de Danaé ; Thalie, Euph
, Elle laisse errer son troupeau, La jeune et timide bergère Arme ses mains d’un long roseau : Attentive, silencieuse, Palpit
oudain, dans l’onde transparente, Elle l’a vu se débattant, Et, d’une main impatiente, Je l’aperçois qui, dans l’instant, Ti
Etait prêt d’attacher la palme des héros,            Quand l’un de sa main affaiblie,            Sent échapper les rênes des
ts : Sur un superbe char dont l’orgueil fut le guide, Une torche à la main il parcourait l’Elide, Exigeait les honneurs dûs
oursiers l’impétueux passage, Imitait la tempête, et mettait dans ses mains Les secrets du Tonnerre ignorés des humains. Mais
le, Divinité du sentiment… Il vient brillant comme l’Aurore, Et d’une main il tient encore Le foudre puissant des Césars ; D
andit son fiel dangereux !… Vengez-le, noires Euménides, Venez de vos mains homicides Déchirer ce spectre hideux ; Enfer, reç
er encor sur leurs traces, Les Héros et même les Dieux. Horace d’une main hardie Touchant la lyre d’Ausonie, Rend des sons
Cahos. Il tenait sous ses pieds le Globe Terrestre, et dans ses mains l’Urne fatale, où était contenu le sort des homme
ible Offre en un point l’avenir ramassé. L’Urne des sorts est dans sa main terrible ; L’axe des temps pour lui seul est fixé
s de ta robe flottante Secouant la rosée et versant les couleurs, Tes mains sèment les fruits, la verdure et les fleurs : Les
tes faveurs ! L’insecte, dans la fange, est fier de ses couleurs. Ta main du paon superbe étoila le plumage ; D’un souffle,
C’est Crillon, c’est Sully, c’est toi, divin Caton, Tenant entre les mains un poignard, et Platon, Parlant et combattant, et
tée avec un visage doux et serein ; une petite statue de Plutus d’une main  ; de l’autre, une poignée d’épis et de roses, et
le y figurait en Reine, ou assise sur son trône avec un caducée d’une main et une corne d’abondance de l’autre, ou debout av
ses blessures ; quelquefois couverte d’un crêpe, et un poignard à la main , A la plus sensible et la plus tendre des Mères
emblait encor l’embellir à nos yeux.        Sur le clavier lorsque sa main brillante        Se promenait au gré de ton desir
e Dieu tutélaire             Qui l’arracha de ses forêts.    Sous la main du travail, la Terre fit éclore Les prémices heur
toi seul qui guidais l’essor de Démosthènes : Et quand, la foudre en main , il maîtrisait Athènes,             L’avenir s’of
yrans invisibles,            A tes autels terribles, L’encensoir à la main , fléchissent les genoux. Tu peux, et c’est l’eff
mortelle.            Cette fille de l’Enfer            Porte dans sa main sanglante            Une tenaille brûlante,      
est vrai, simple, et fait pour les Dieux.    De bons Gaulois de leurs mains le fondèrent ;    A l’Amitié leurs cœurs le dédi
Liberté de l’homme est le premier besoin, Mais de l’homme sortant des mains de la Nature, Qui recueille ce germe au sein, d’u
ps soulagent des esclaves Courbés vers les terrestres lieux ! Plus ta main frappe la matière, Plus mon esprit rompt la barri
rlemens affreux : Ce superbe Paris fut plein de malheureux, De qui la main tremblante et la voix affaiblie, Demandaient vain
avait vu, par ces cœurs inhumains, Un reste d’alimens arraché de ses mains . Des biens que lui ravit la fortune cruelle, Un e
d’amour, de regret, de rage, de pitié ; Deux fois le fer échappe à sa main défaillante : La rage enfin l’emporte ; et d’une
achevant ces mots, furieuse, égarée, Dans les flancs de son fils, sa main désespérée Enfonce, en frémissant, le parricide a
oui, monstres inhumains, C’est vous qui dans son sang avez trempé mes mains  : Que la mère et le fils vous servent de pâture !
u céleste ; Et le peuple effrayé de l’horreur de son sort, Levait les mains au Ciel, et demandait la mort. Voltaire 270.
s aux autels la victime tremblante Des prêtres en tombant prévient la main trop lente ; Ou, si d’un coup plus prompt le mini
, tombe, et se débat en vain ; Sa peau rude se sèche, et résiste à la main  ; Il néglige les eaux, renonce au pâturage, Et se
. On vit des malheureux, pour enfouir les graines, Sillonner de leurs mains et déchirer les plaines, Et roidissant leurs bras
crate, à son tour, la Sagesse t’entraîne ;              Et bientôt ta main plus certaine Saisit avec succès la plume de Plat
beau feu la Nature est avare ; Le Temps avec effort l’arrache de ses mains .            Mais ceux qu’anime un feu si rare, Su
           Dans leurs yeux la rage étincelle ; Ils portent dans leurs mains et la flamme et le fer. Un seul homme éloquent s’
des Mers.            Il forme une immense richesse. Le trésor sous sa main s’élève lentement, Vingt siècles entassés le gros
êlant les lauriers et les fleurs, J’en pare l’immortel trophée Que ma main élève aux vainqueurs ; J’entends dans le camp des
usiasme dure, Ma voix commande à la Nature ; Elle s’agrandit sous mes mains  ; Cesse-t-il ? mon trône s’écroule ; Mortel, je r
a vue Tant de grâce et de beauté ? Qui, comme elle peut paraître ? Sa main sème plus de fleurs Que l’Aurore n’en fait naître
la Religion en lui déchirant le sein. Ce monstre a un poignard d’une main , et un flambeau de l’autre.    La discorde atten
Jephté le serment inhumain, Dans le cœur de sa fille il conduisit sa main . C’est lui qui de Calchas ouvrant la bouche impie
igure d’une femme âgée et vénérable, avec une Corne d’Abondance d’une main , et dans l’autre une Baguette qu’elle étend vers
2 (1800) Cours de mythologie pp. -360
a Guerre au front d’airain, Ou le Temps qui s’enfuit une horloge à la main  : Et par-tout, des discours, comme une idolâtrie
i est consacré. On le représente porté sur un aigle et la foudre à la main . Naissance de Jupiter. L’Aigle et la Colombe.
Voulurent détrôner le Roi de l’Empirée, La foudre vengeresse arma sa main sacrée, Et renversant ces monts l’un sur l’autre
Cour céleste. On figure Apollon tantôt en jeune homme, une lyre à la main , et des instrumens de musique à ses côtés ; tantô
L’Onde a ses Dieux marins, et Prothée et Triton, Triton la conque en main , et l’énorme Ægéon Pressant les larges flancs d’u
ge 15.     Où naissent tes rayons, Astre enflammé du jour ? Quelle main te roulant au-dessus de nos têtes, Dans les plain
îné par des Tigres, des Lynx ou des Panthères, tenant un Thyrse d’une main , et de l’autre une Coupe.     Voici la saison de
o Le refrain de leurs chants bachiques. Dans les tasses, au creux des mains , A flots pourprés, le vin ruisselle ; Déjà circul
s, Satyres, Corybantes, Les flambeaux, ou le Thyrse, ou la coupe à la main , De leur foule bruyante inondent le chemin. Les u
au jeune homme, des ailes à la tête et aux talons, et un caducée à la main . Message de Mercure à Calipso.     Mercure se di
erre ou la plaine liquide. Le Dieu prêt à partir fait briller dans sa main Son Sceptre redouté, dont le charme divin Peut do
vec une couronne d’ébène sur la tête, la clé du séjour des morts à la main , et sur un char traîné par des chevaux noirs.  
L’antre enflammé vomit le fer de ses entrailles. Le Dieu tient d’une main ses mordantes tenailles, De l’autre il bat l’encl
urs de son palais d’airain, Il trace en des lambris, merveilles de sa main , Son enfance difforme, odieuse à son père. Et bie
te, une pique et un fouet, et quelquefois une torche ardente dans les mains .     L’Hiver n’enchaîne plus les foudres de Bell
filets, jeunes cœurs : Fuyez-les ; c’est pour vous surprendre Que sa main les tresse de fleurs33. A un jeune Poète, Su
e figure en jeune homme blond, couronné de roses, et un flambeau à la main . On donnoit aussi le nom d’Hyménée aux vers qu’on
ouloit être aussi de la fête, Vint d’un air insolent lui présenter la main , Le Héros irrité passe en tournant la tête       
ennui dévore ; Et vous, fils de Chiron, élèves d’Epidaure, Venez : la main des Dieux, sensible à tous nos maux, En cacha le
sés apportant le dictame ; D’abord leur sang s’arrête, et docile à sa main Le fer lâche sa proie, et tombe de leur sein. Re
l est représenté soulevant le masque d’un visage, et une Marotte à la main . Curieux et malin, Momus épioit toutes les action
e homme gras et frais, un bonnet de fleurs sur la tête, un vase d’une main et un bassin de l’autre.     Hôte odorant des bo
eprésentoit sous la figure d’un jeune homme à demi-nu, une corne à la main et un doigt sur la bouche. Le Silence auquel il p
e représente avec des ailes de papillon, et une plante de pavots à la main , dont il touche les mortels qu’il veut bercer de
es : Loin de toi le fard de Vénus Et le clinquant de l’imposture : Ta main dépouille la Nature De ses ornemens superflus ; L
ges de l’orgueil. Le culte de ce Dieu simple et naïf étoit confié aux mains innocentes des Vestales.     L’âge le plus heure
les noms de l’urne du destin, De l’enfant sans détour on emprunte la main . L’Enfance, trop souvent, est l’aurore infidelle
li petit Enfant .             Au lieu de fleurs sur ton berceau, Ma main , heureux Enfant, attache ce présage :            
rore annonce un jour serein, Divers prix vous seront dispensés par ma main . Les uns pour le rameur fatiguant l’onde amère ;
mène ; Et d’un peuple nombreux il s’avance entouré. Epanchés par ses mains , le lait, le vin sacré, Et le sang le plus pur on
la représente avec une tour sur la tête, une clé et un disque dans la main , couverte d’une robe parsemée de fleurs, tantôt e
âge, en sa race, il ne doit point renaître.     Cependant sous leurs mains , les tambours effrayans, La flûte, la cymbale, et
joncher tous les chemins, Et des torrens de fleurs, tombant de toutes mains , L’inonder toute entière, elle et sa cour brillan
une troupe, au son vif et tonnant De l’airain, sur l’airain, dans ses mains résonnant, Pour te sauver des dents de ton barbar
apprend aux humains Qu’il faut que leur famille, au secours de leurs mains , Qu’il faut que leur patrie, à leur noble victoir
où l’éclat d’un or pâle Ranime un fond tendrement azuré, Et dans ses mains brille un sceptre d’opale. Imbert 69. Diane
est représentée sur un char d’or, traîné par des biches, un arc à la main , un carquois sur l’épaule, et un croissant sur la
rtant sans bruit leurs pas vers ces Dieux homicides, D’une tremblante main saisissent leurs carquois ; Et bientôt des débris
; Le bouton sort du bouquet qui s’effeuille ; Le fruit renaît sous la main qui le cueille : Les Gnidiens que Vénus y conduit
nte vêtue d’une robe longue, un voile sur la tête, une javeline d’une main , et un vase à deux anses de l’autre, ou une lampe
se célébroient ses mystères. On la représente avec une faucille d’une main , et de l’autre, une gerbe d’épis et de pavots.  
s arbres émondés par le fer des Emiles, Les champs sollicités par les mains des Camilles, De leurs dons à l’envi combloient l
erre, et Déesse de la Justice. On la figure avec une balance d’une main , un glaive de l’autre, et un bandeau sur les yeux
ine toison compose mes habits ; Et quand le fuseau tourne entre leurs mains légères, Ne blesse pas les doigts de nos jeunes b
préside aux fruits et aux vergers. On la représente une serpette à la main , une couronne de fruits sur la tête, avec une cor
me devient insipide, Pourrai-je te le pardonner ? Hélas ! lorsque ta main volage Nous met sur un trône de fleurs, Croit-on
ou les attraits, Soyez plus attendris que vains de ses bienfaits : La main qui les versa peut aussi les détruite. Dorat 89.
Déployant l’azur de leurs ailes, Dévancent son cours glorieux : Leurs mains , dans les plaines mobiles, Dirigent les rênes fra
ières naissantes Se brisent dans le champ des airs.     L’Aube de sa main triomphante, Enchaîne le Dieu du sommeil, Et de l
u contour. Sur le plafond on voit les Heures Danser, se tenant par la main  ; Sur les lambris peints par Vulcain, L’on voit l
prits ainsi que nos corps, Et nos talens sont des ressorts Que leurs mains légères polissent. Les Grâces entourent de fleurs
ont il vit le trépas.     Nouvel ordre ! chaque colonne, Ouvrage des mains d’Apollon, Au lieu d’acanthe se couronne Des rame
: Melpomène à la Tragédie, chaussée d’un cothurne et un poignard à la main  : Thalie à la Comédie, en brodequin et en masque 
sur un globe : et Polymnie à la Rhétorique, le sceptre oratoire à la main . Apollon leur frère, est à leur tête. Elles habit
éris du plus beau103 des mortels. C’est sous ces pins touffus que ses mains innocentes                Vous, ont élevé des aut
Qu’ainsi coulent vos dons répandus à propos,             Mais que la main reste cachée105 ! A une belle Source, à qui le
toit assise sur un trône, couronnée de simples, tenant une coupe à la main , et ayant auprès d’elle un autel où s’entortilloi
frais qu’on y respire et de leur doux ombrage,                De mes mains ils furent l’ouvrage ; Et nous y goûterons un tra
de coiffée de serpens, les yeux égarés, une torche et un poignard aux mains , les bras sanglans et la bouche écumante.     De
forment sa chevelure ; Une robe sanglante est toute sa parure ; Et sa main secouant un flambeau dans les airs, De sa cruelle
be flotte aux vents, sanglante, déchirée \ Elle arme d’un poignard sa main désespérée.     Sur le froid Apennin le monstre
ppui ; Aussi-bien sous mes pas c’est creuser un abyme, Que retenir ma main sur la moitié du crime ; Et, te faisant mon roi,
ient la trame de la vie des hommes, dont la destinée étoit dans leurs mains . Leur nom étoit Clotho, Lachésis et Atropos. La p
c plaisir les beaux jours d’Isabelle ; J’apperçus Atropos, qui, d’une main cruelle, Vouloit couper le fil, et la mettre au t
t d’ambrosie arrose l’Immortelle. La hideuse Alecton, une torche à la main , Se prépare à remplir son barbare dessein ; Des
fond de leurs cœurs porte un trouble fatal. C’est peu : la torche en main , pour égarer leur ame, Elle forme autour d’eux mi
te avec un vêtement noir parsemé d’étoiles, un Sceptre de plomb, à la main , parcourant silencieusement le Ciel, sur un char
en arrière, Lui fait un dôme émaillé de saphyrs. De ses chevaux, une main tient les rênes, L’autre répand des moissons de p
d’une robe noire, des ailes aux épaules, une faux, ou des filets à la main . On lui donne aussi un cœur et des entrailles de
           Ils font de vains efforts. Du temps qui détruit tout, les mains infatigables Mineront sourdement ces marbres impo
our et à la nuit, et connoissant l’avenir et le passé ; un bâton à la main droite et une clé dans la gauche.     Lorsque Ja
e la peau du lion de Némée.     Terrible et fier, Alcide a dans ses mains Et le repos et l’effroi des humains. Un sourcil n
ces de son modèle. Il vainquit avec lui les Amazones, et reçut de ses mains leur reine Antiope, de laquelle il eut Hippolyte.
e, Mes essaims ne sont plus ; et vous êtes ma mère ! Achevez : de vos mains ravagez ces côteaux, Embrasez mes moissons, immol
écouter les Nymphes attentives Font tourner leurs fuseaux entre leurs mains actives, Du malheureux Berger la gémissante voix
is ; Sa mère en l’écoutant sourit et le rassure ; Les Nymphes sur ses mains épanchent une eau pure, Offrent polir les sécher
ton captif à reprendre ses traits.     Sur son fils, à ces mots, sa main officieuse Répand d’un doux parfum l’essence préc
ut fait rouler les antiques sapins,           Et que la rame sous ses mains Frappoit à coups pressés le sein des Néréides ;  
Venir briguer l’honneur d’une illustre conquête ; Orphée, un luth en main , sur la poupe, à leur tête,           S’élança lo
un père malheureux, les lèvres ont pressé Sur le sang de ses fils, la main qui l’a versé.     Achille s’est ému : le nom ch
ri d’un père Réveille une douleur que la pitié tempère. Il retire ses mains , détourne le regard, Repousse doucement le suppli
agée, Et soulevant le poids dont elle étoit chargée, Le Héros tend la main à ce Roi malheureux Dont l’âge et l’infortune ont
éclaireront nos pleurs ; Le dixième verra fumer notre hécatombe ; Nos mains , le jour suivant, élèveront la tombe, Et, si du s
laive du trépas ; Ma parole est sacrée, et tu n’en doutes pas. Que ta main dans la mienne en soit ici le gage. J’y compte, d
ci le gage. J’y compte, dit Priam, touché d’un tel langage : Et leurs mains se serrant par un même transport, Scellent dans l
de mort, ces apprêts, ce festin, Ce festin détestable, où le fer à la main , Clytemnestre ! ma mère ! ah ! cette horrible im
vu votre père, attiré dans le piége, Se débattre, et tomber sous leur main sacrilège. Pammène, aux derniers cris, aux sanglo
toi : Votre cœur affamé de sang et de victimes, M’a fait souiller ma main du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle v
 ? Ah ! c’en est trop, il faut qu’à ma colère… Que vois-je ? Dans ses mains la tête de ma mère ! Quels regards ! où fuirai-je
. C’en est fait ; je succombe à cet affreux supplice : Du crime de ma main mon cœur n’est point complice ; J’éprouve cependa
outrage, J’appris à soutenir mes misérables jours. Mon arc, entre mes mains seul et dernier recours, Servit à me nourrir ; et
briser des rameaux, et pour y recueillir Le feu que des cailloux mes mains faisoient jaillir. Des glaçons dont l’hiver blanc
la lance, Du Pélion sauvage antique rejeton, Jadis elle tomba sous la main de Chiron ; Et des enfans de Mars l’Elite infortu
e         Au sein d’Hector porte enfin la terreur ;         Et que ma main fumante de carnage, De ses flancs déchirés puisse
ge entre tous les humains, Daigna m’instruire encore au sortir de ses mains  ; Je ne veux point me peindre avec trop d’avantag
igneur, j’ai, vu votre malheureuse fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il veut les rappeler, et sa voix les e
les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’appelle ; et me tendant la main , Il ouvre un œil mourant, qu’il referme soudain :
ortant son vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la main , et suivi de la malheureuse Créuse son épouse qui
lée) Vénus pour la figure et Mars dans la mêlée, Vient, la hache à la main , la douleur sur le front, d’un funeste hasard ven
reur lui montrant les furies ; De leurs fouets déchirans frappant ses mains impies ; Elle promet aux Dieux d’expier son erreu
ent les Dieux…     D’une dure cuirasse elle presse ses charmes ; Des mains même de Mars elle reçut ces armes. Elle entoure d
té, S’élève un casque d’or d’aigrettes surmonté ; Elle tient dans ses mains la hache redoutable Dont Bellone aiguisa le fer i
lante chaleur. Quel transport vous saisit., beautés infortunées ! Vos mains aux jeux de Mars ne sont point façonnées ; Qu’a d
de leur mère, c’est-à-dire, des pierres. Ces pierres sortant de leurs mains , furent métamorphosées, celles de Deucalion en ho
tu sais si mon cœur t’est soumis : Mais puis-je d’une aïeule avec des mains profanes, Toucher les os sacrés et violer les mân
t l’aïeule des humains : Les pierres sont les os, qui, lancés par nos mains , Vont de mortels nouveaux repeupler la Nature. L’
Ces cailloux amollis sous leurs doigts étonnés, S’échappent de leurs mains à demi façonnés ; Et perdant par degrés leur rude
ains : La Gloire à la suivre s’empresse, Tenant des lauriers dans ses mains  ; Du Soleil les coursiers s’arrêtent ; Les Heures
vé sur l’horison, que les chevaux du Soleil, se sentant menés par une main étrangère et novice, prirent le mors aux dents, s
xprimé le malheur de son fils : Deux fois il le tenta ; deux fois, sa main glacée Abandonna l’image à peine, encor tracée.
une maison, ayant cour et jardin, Remise et cætera. Le voilà flûte en main ,             Qui souffle et souffle à perdre hale
ant, Il l’implore : Agavé le regarde en hurlant, S’approche, et d’une main au carnage échauffée, Elle enlève sa tête, et la
survivre à son affreux destin, Et veut du moins mourir les armes à la main . Il couvre d’un harnois, dont il n’a plus l’usage
orta sur ses épaules hors de la ville, tenant son fils Ascagne par la main , et l’embarqua avec lui sur ses vaisseaux. Anchis
j’embrasse enfin, que j’embrasse mon père ! Que j’ariose de pleurs la main qui m’est si chère ! Il s’efforce trois fois de l
présent vient des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots, de sa main qu’anime un noble effort Un trait part… Mais quel
ois dans le crime incertains, Ils redoutent la nuit, ouvrage de leurs mains  ; Un moment peut les perdre…O funeste vertige ! L
Neptune se plaint dans l’ombre de la nuit, Quand la rame docile, à la main qui la guide, Fend à coups redoublés son domaine
teint leurs voix sur leurs lèvres glacées ; De replis écailleux leurs mains embarrassées Appellent, mais envain, un secours f
embler : Du sein de ma patrie il fallut m’exiler. Je craignis que ma main malgré moi criminelle, Aux destins ennemis ne fût
as par quel enchantement J’oubliois jusqu’ici ce grand événement ; La main des Dieux sur moi si long-temps suspendue Semble
ent mes sujets, et faits pour m’obéir. Je marche donc vers eux, et ma main furieuse Arrête des coursiers la fougue impétueus
ois, je reconnois la blessure mortelle Que te fit dans le flanc cette main criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un monstre dét
ne branche chargée de fruits, qui échappoient sans cesse à ses avides mains .     Vers une eau désirée, ou sur un fruit voisi
e, ou sur un fruit voisin, Toujours Tantale avance ou la bouche ou la main  : Toujours le fruit rebelle à la main qui le touc
ntale avance ou la bouche ou la main : Toujours le fruit rebelle à la main qui le touche, Recule, et l’eau perfide a fui loi
ta raison : Triomphant au milieu des Dames de Phrygie Et la lyre à la main , tu nourris le poison Qui va trancher le cours d’
quoi, tu meurs pour m’avoir trop aimée ! Tu meurs ! et contre toi ta main s’est donc armée ? Je saurai t’imiter ; la mienne
morts. Rhadamante et Eaque en étoient les seconds.     Mes homicides mains , promptes à me venger, Dans le sang innocent brûl
père y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise en ses sévères mains . Minos juge aux Enfers tous les pâles humains ; A
Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l’urne terrible ? Je crois te voir, cherch
oulut envain l’épouser : Didon fidelle aux mânes de Sichée, refusa sa main . Iarbe lui ayant déclaré la guerre, elle fut seco
e inconsolable, et sans cesse occupée de son cher Hector, ses chastes mains lui dressèrent un tombeau en Epire, sur les bords
ne superbe essuyant les dédains, Tu pourrois la servir de tes royales mains  ! Et tremblante à ses pieds, tantôt filer ses lai
me resserre ! »     Il dit, et vers son fils, tend l’une et l’autre main . Mais l’enfant, à l’aspect de l’armure d’airain,
aux cruels, et prévois-tu ta-mort ? Tes pleurs coulent envain, et tes mains innocentes, Tes baisers redoublés pressent mes ma
t envain, et tes mains innocentes, Tes baisers redoublés pressent mes mains tremblantes. Malheureux ! prétends-tu, caché sous
espérons plus le voir, tel qu’au fort des combats, Nos tyrans, de ses mains recevoient le trépas, Quand du joug de l’Europe a
el, elle marchoit tristement vers l’autel ou l’Usurpateur périt de la main d’Egiste.     Me rendrez-vous mon fils, Dieux té
et enfant malheureux, le seul que j’ai sauvé ? Ecartez loin de lui la main de l’homicide. C’est votre fils, hélas ! c’est le
, l’œil fixe, et d’un front inhumain, Présentoit à Mérope une odieuse main  ; Le Prêtre prononçoit les paroles sacrées ; Et
c’étoit Egiste, il s’élance aux autels ; Il monte, il y saisit, d’une main assurée Pour les fêtes des Dieux la hache préparé
s les crimes, Erox, qui dans son sang voit ce monstre nager, Lève une main hardie, et pense le venger. Egiste se retourne, e
rps penché, déjà paroît le vieux Silène, Aux crins de ce coursier, sa main cherche un apui ; Les Thyades en feu vont, vienne
Dragon veilloit jadis Sur le jardin des Hespérides ; Il écartoit les mains avides, Les regards même étoient punis. Un jeune
ahos et l’Univers naquit.     Pour embellir ce globe arrondi par ses mains , Un Dieu forma les lacs, et creusa leurs bassins 
es rives, Roulent en liberté leurs eaux long-temps captives. Enfin la main du Dieu qui régla l’Univers, Revêtit les forêts d
erme divin développé son être, L’homme naquit. Ainsi sous de savantes mains La glèbe s’étonna de former les humains. Mais ta
oux ;               Et le Destin jaloux Va m’imposer les fers dont ma main te délivre. Castor , Le fils de Jupiter doit l
: « O moitié de mon ame, « Ne m’abandonne pas, viens, et prends cette main , « Tant qu’il me reste encor quelque chose d’huma
n Cygne par son père. On le représente avec une Lyre ou un, Luth à la main . Protée à Aristée.     Eurydice fuyoit, hélas !
, mon cher Orphée ; Eurydice expirante, Envain te cherche encor de sa main défaillante ; L’horrible Mort jetant son voile au
gémissant l’oiseleur inhumain Qui, glissant dans son nid une furtive main , Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore,
beautés s’efforçoient de lui plaire, Il dédaigna leurs feux ; et leur main sanguinaire, La nuit, à la faveur des mystères sa
i seule en façonna l’entrée, Dans le tuf que le Temps a creusé des es mains , Semble avoir imité l’art savant des humains. Au
fille du fleuve Ismène, De ses cheveux tressés a renoué l’ébène : Sa main prompte et légère est habile en cet art, Et cepen
t, Et cependant les siens voltigent au hasard.     Déjà, l’urne à la main , Nyphé, Psécas, Hyale, Et la brune Rhanis, et la
oin les tableaux de Zeuxis et d’ Apelle : Ceux-ci furent tracés d’une main immortelle. Nos deux époux surpris, étonnés, conf
dirent-ils, vos moindres créatures ; Aurions-nous bien le cœur et les mains assez pures, Pour présider ici sur les honneurs d
Jupiter exauça leur prière innocente. Hélas ! dit Philémon, si votre main puissante Vouloit favoriser jusqu’au bout deux mo
ant vos autels. Cloton feroit d’un coup ce double sacrifice. D’autres mains nous rendroient un vain et triste office. Je ne p
les flancs d’une terre ennemie, Placé dans des rochers où fa fixé ma main , Il présente la pointe où s’appuîra mon sein. Ce
pis. Vous, filles de la Nuit, Déités implacables, Qui, la torche à la main , poursuivez les coupables, Ministres des Enfers,
s. Insulte à mon trépas : payez-leur-en le prix. Qu’ainsi que par mes mains ma vie est terminée, La main de leurs parens tran
z-leur-en le prix. Qu’ainsi que par mes mains ma vie est terminée, La main de leurs parens tranche leur destinée ; Que les G
eur ; ses alimens se changeoient en or à l’instant qu’il y portoit la main . Il pria Bacchus de lui retirer ce don funeste, e
il au Dieu du Pinde, Phébus commence, et devant ce limier, La lyre en main , prélude le premier, A ses accords les chênes rev
phe d’Arcadie. Poursuivie par le Dieu Pan, dont elle refusoit la main , elle se sauva sur les bords du fleuve Ladon, qui
’un chaste hymen par nos maux achetés, Quoi ! nous les confions à des mains mercénaires ; Tandisque des forêts les hôtes sang
es mots, du taillis, ardente à s’élancer, Elle accourt, elle tend les mains pour l’embrasser… Fuis, lui dit-il ; je veux me d
lesse, D’une laine grossière adoucir la rudesse, Des flocons, sous sa main , en nuages voler, Ou le fuseau glissant, s’arrond
crimes des Dieux. L’ouvrage, l’ouvrière est coupable à ses yeux Et sa main , d’un fuseau., lui frappe le visage. Sa rivale ne
. Sa rivale ne peut endurer cet outrage ; Furieuse ! au lacet que ses mains ont lié, Elle suspend son cou. Pallas en eût piti
veloppe d’écorce ; Ses bras, libres encor, se tendent avec force ; Sa main , qui sur son front croit saisir ses cheveux, Sais
essée ; Elle monte, se glisse, et me fermant les yeux, Dispense votre main de ce devoir pieux.     Elle cesse à la fois de
Héros grec, se noya de désespoir. On les représente, l’une ayant à la main une espèce de tablette, l’autre deux flûtes, et l
nt Pélion, Souffler son infecte rage, Contre le naissant ouvrage, Des mains de Deucalion.     Mais, le bras sûr et terrible
forces. Boileau 232.     Tandis qu’aux fanges du Parnasse, D’une main criminelle et basse ; Rufus va cherchant des pois
D’une main criminelle et basse ; Rufus va cherchant des poisons : Ta main , délicate et légère, Cueille, aux campagnes de Cy
e Paris enchaîne la mollesse, Riches, qui répandez votre or à pleines mains ,         Pour embellir d’insipides jardins Dont l
u’il adore, et d’y trouver ses Dieux. Il n’est rien de sacré pour des mains sacriléges, Les Dieux même, les Dieux n’ont point
nées. Il querelle leur crainte, il frémit de courroux, Et le fer à la main porte les premiers coups. Quittez, quittez, dit-i
ent leur cime. Ramenons mes regards. Quels sites j’apperçois ! Quelle main a creusé ces abymes terribles !237             M
élodieux, Diane au carquois d’or, Déesse bocagère, Qui la flèche à la main , de sa robe légère, Nouoit sur le genou les repli
vains couronnés de rameaux verdoyans ; Les Nymphes, qui sans art, les mains entrelacées, Dansoient aux sons joyeux de leurs v
ntagnes, Déroboit à mes yeux le terme des campagnes. Cybèle à pleines mains y versoit ses bienfaits, Les Grâces le paroient d
serein et pur, De l’Olympe brillant nuancèrent l’azur. Ici le soc en main , sur la terre docile, Le laboureur joyeux trace u
ranger qui la couronne Est parsemé de vers luisans. Que Plutus, d’une main fantasque, Orne les bains de Danaé ; Thalie, Euph
, Elle laisse errer son troupeau, La jeune et timide bergère Arme ses mains d’un long roseau : Attentive, silencieuse, Palpit
oudain, dans l’onde transparente, Elle l’a vu se débattant, Et, d’une main impatiente, Je l’apperçois qui, dans l’instant, T
prêt d’attacher la palme des Héros,                 Quand l’un de sa main affoiblie,             Sent échapper les rênes de
ts : Sur un superbe char dont l’orgueil fut le guide, Une torche à la main il parcouroit l’Elide, Exigeoit les honneurs dûs
oursiers l’impétueux passage, Imitoit la tempête, et mettoit dans ses mains Les secrets du Tonnerre ignorés des humains. Mais
t, et s’évite sans cesse. L’eau cherche et fuit Tantale, et son avide main Voit le fruit qui s’échappe, insulter à sa faim.
le, Divinité du sentiment… Il vient brillant comme l’Aurore, Et d’une main il tient encore Le foudre puissant des Césars ; D
andit son fiel dangereux !… Vengez-le, noires Euménides, Venez de vos mains homicides Déchirer ce spectre hideux ; Enfer, reç
er encor sur leurs traces, Les Héros et même les Dieux. Horace d’une main hardie Touchant la lyre d’Ausonie, Rend des sons
Cahos. Il tenoit sous ses pieds le Globe Terrestre, et dans ses mains l’Urne fatale, où étoit contenu le sort des homme
ible Offre en un point l’avenir ramassé. L’Urne des sorts est dans sa main terrible ; L’axe des temps pour lui seul est fixé
tes faveurs ! L’insecte, dans la fange, est fier de ses couleurs. Ta main du paon superbe étoila le plumage ; D’un souffle,
C’est Crillon, c’est Sully, c’est toi, divin Caton, Tenant entre les mains un poignard, et Platon, Parlant et combattant, et
tée avec un visage doux et serein ; une petite statue de Plutus d’une main  ; de l’autre, une poignée d’épis et de roses, et
le y figuroit en Reine, ou assise sur son trône avec un caducée d’une main et une corne d’abondance de l’autre ; ou debout a
ses blessures ; quelquefois couverte d’un crêpe, et un poignard à la main , A la plus sensible et la plus tendre des Mères
mbloit encor l’embellir à nos yeux.         Sur le clavier lorsque sa main brillante         Se promenoit au gré de ton dési
Dieu tutélaire             Qui l’arracha de ses forêts.     Sous la main du travail, la Terre fit éclorre Les prémices heu
toi seul qui guidois l’essor de Démosthènes : Et quand, la foudre en main , il maîtrisoit Athènes,             L’avenir s’of
rans invisibles,             A tes autels terribles, L’encensoir à la main , fléchissent les genoux. Tu peux, et c’est l’eff
ortelle.             Cette fille de l’Enfer             Porte dans sa main sanglante             Une tenaille brûlante,     
l’or de sa robe pompeuse, Qui se change en poussière aussitôt dans sa main  : Comme ce papillon, la fortune est trompeuse ; E
ut est vrai, simple, et fait pour les Dieux. De bons Gaulois de leurs mains le fondèrent \ A l’Amitié leurs cœurs le dédière
Liberté de l’homme est le premier besoin, Mais de l’homme sortant des mains de la Nature, Qui recueille ce germe au sein, d’u
ps soulagent des esclaves Courbés vers les terrestres lieux ! Plus ta main frappe la matière, Plus mon esprit rompt la barri
rlemens affreux : Ce superbe Paris fut plein de malheureux, De qui la main tremblante et la voix affoiblie, Demandoient vain
avoit vu, par ces cœurs inhumains, Un reste d’alimens arraché de ses mains . Des biens que lui ravit la Fortune cruelle, Un e
d’amour, de regret, de rage, de pitié ; Deux fois le fer échappe à sa main défaillante : La rage enfin l’emporte ; et d’une
achevant ces mots, furieuse, égarée, Dans les flancs de son fils, sa main désespérée Enfonce, en frémissant, le parricide a
oui, monstres inhumains, C’est vous qui dans son sang avez trempé mes mains  : Que la mère et le fils vous servent de pâture.
u céleste ; Et le Peuple effrayé de l’horreur de son sort, Levoit les mains au Ciel, et demandoit la mort. Voltaire 285.
s aux autels la victime tremblante Des prêtres en tombant prévient la main trop lente ; Ou, si d’un coup plus prompt le mini
e, tombe, et se débat envain ; Sa peau rude se sèche, et résiste à la main  ; Il néglige les eaux, renonce au pâturage, Et se
. On vit des malheureux, pour enfouir les graines, Sillonner de leurs mains et déchirer les plaines, Et roidissant leurs bras
te, à son tour, la Sagesse t’entraîne ;                 Et bientôt ta main plus certaine Saisit avec succès la plume de Plat
beau feu la Nature est avare ; Le Temps avec effort l’arrache de ses mains .                Mais ceux qu’anime un feu si rare
           Dans leurs yeux la rage étincelle ; Ils portent dans leurs mains et la flamme et le fer. Un seul homme éloquent s’
Mers.                Il forme une immense richesse. Le trésor sous sa main s’élève lentement, Vingt siècles entassés le gros
shonore. Au Couchant ténébreux, la ravissante Aurore Brillera sous la main de l’aveugle Hasard ; Les épis verdiront sous l’A
êlant les lauriers et les fleurs, J’en pare l’immortel trophée Que ma main élève aux vainqueurs ; J’entends dans le Camp des
usiasme dure, Ma voix commande à la Nature ; Elle s’agrandit sous mes mains  ; Cesse-t-il ? mon trône s’écroule ; Mortel, je r
a vue Tant de grâce et de beauté ? Qui, comme elle peut paroître ? Sa main sème plus de fleurs Que l’Aurore n’en fait naître
la Religion en lui déchirant le sein. Ce monstre a un poignard d’une main , et un flambeau de l’autre.     La discorde atte
Jephté le serment inhumain. Dans le cœur de sa fille il conduisit sa main . C’est lui qui de Calcas ouvrant la bouche impie,
, il a formé la secte turbulente, Qui sur un Roi trop foible a mis sa main sanglante. Dans Madrid, dans Lisbonne, il allume
igure d’une femme âgée et vénérable, avec une Corne d’Abondance d’une main , et dans l’autre une Baguette qu’elle étend vers
3 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
ons, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa main des fleurs toujours écloses. D. Les anciens reco
ible Offre en un point l’avenir ramassé. L’urne des sorts est dans sa main terrible ; L’axe des temps par lui seul est fixé.
cesse à ce palais terrible, Et de là sur la terre il verse, à pleines mains , Et les biens et les maux destinés aux humains. S
és. Le mois de janvier lui fut consacré. On lui mettoit une clef à la main droite, pour marquer qu’il ouvroit l’année ; il t
que, représentée sous la figure d’un vieillard, tenant une faux de la main droite, et de l’autre un serpent qui se mord la q
rtel, La cour de Jupiter, et le sénat du ciel. Le dieu, le sceptre en main , se place sur son trône ; L’immortelle assemblée
onts sur monts, escalada l’éther. Mais le maître des dieux, armant sa main puissante, Foudroya de leurs monts la menace effr
es dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodiguant par leur main Touts les présents dont l’Olympe s’honore, Fit mé
menton est couvert d’une barbe majestueuse, il tient le sceptre d’une main  ; de l’autre, il lance la foudre. Les vertus siég
ntée sur un char brillant traîné par deux paons. Elle a le sceptre en main , et le front couronné de lis et de roses. On plac
. On la peint couronnée de fleurs et d’épis, tenant un flambeau d’une main , et de l’autre une gerbe de blé ou une branche de
en bête féroce, et prenoit toute sorte de formes, pour se retirer des mains qui le retenoient ; de là vient qu’on dit d’un ho
ils s’indignent du frein. Au haut de son rocher, assis le sceptre en main , Eole leur commande ; il maîtrise, il tempère Du
et se fit attacher lui-même au mât du navire par les pieds et par les mains . Cette précaution le sauva ; et les Sirènes, de d
vautour, des ailes de chauve-souris, et des griffes aux pieds et aux mains . Elles infectoient tout ce qu’elles touchoient :
de Néréides. Le front ceint du diadème, le souverain des mers, d’une main calmoit les flots agités, de l’autre tenoit le tr
chevaux noirs. Il est couronné d’ébène, de narcisses ou de cyprès. Sa main droite est armée d’une longue fourche ; l’autre t
qui se ronge elle-même ; le désespoir qui se déchire de ses propres, mains  ; l’ambition forcenée qui renverse tout ; la trah
ouvert son tribunal auguste ; Il tient l’urne terrible en ses fatales mains , Et jugé sans retour touts les pâles humains. ( V
ur donne des couleuvres pour cheveux. Elles tiennent une torche d’une main , et de l’autre un fouet armé de serpents. Elles o
te avec, un vêtement noir parsemé d’étoiles, un sceptre de plomb à la main , parcourant silencieusement le ciel, sur un char
a Mort est fille de l’Érèbe et de la Nuit. Une faux sanglante arme sa main décharnée ; une robe noire, parsemée d’étoiles, c
ourir de divers supplices touts les étrangers qui tomboient entre ses mains . Thésée le tua, et les dieux le précipitèrent dan
ux noirs, portant une couronne d’ébène sur la tête, et des clefs à la main . D. Pluton est-il le même que Plutus ? R. Non. P
représente avec des ailes à la tête et aux pieds, et un caducée à la main . D. Qu’étoit-ce que le caducée de Mercure ? R. C
déré comme dieu du commerce ? R. On le peignoit avec une bourse à la main gauche, et à l’autre un rameau d’olivier et une m
ente armée d’une cuirasse, avec un casque sur la tête, une lance à la main , l’égide au bras, et auprès d’elle un hibou, son
char d’acier, chef-d’œuvre de Vulcain, L’Activité tient les rênes en main  ; Fiers tourbillons, ses coursiers indomptables S
nfant nu, avec un sourire malin, un bandeau sur les yeux, un arc à la main et quelquefois un flambeau. Il a des ailes, et po
d’un jeune homme blond, couronné de roses, et tenant un flambeau à la main . On prétend que Vénus eut encore de Bacchus, les
dinairement la cour des Muses. On les peint nues, et se tenant par la main , pour montrer que les Grâces n’empruntent rien de
dieu de la vendange. Il est assis sur un tonneau avec une coupe à la main , ou sur un char traîné par des tigres, des lynx o
char traîné par des tigres, des lynx ou des panthères, et tenant à la main un thyrse, qui est une baguette entourée de pampr
invoquer leur dieu. Elles avoient les cheveux épars, et portoient en main des flambeaux ou des thyrses. Ces fêtes s’appeloi
mont Pélion, Souffler son infecte rage Contre le naissant ouvrage Des mains de Deucalion. Mais le bras sûr et terrible Du die
domptable Phlégon. Enfin, elle aperçoit son père lui-même, qui, de sa main immortelle, tient les rênes étincelâmes. A cette
L’onde a ses dieux marins, et Protée, et Triton, Triton la conque en main , et l’énorme Égéon Qui presse entre ses bras une
s’aperçoivent bientôt du changement de conducteur. Ne sentant plus la main de leur maître, ils se détournent de la route ord
une branche ; et sa tige et sa feuille Se jaunit d’un or pur dans la main qui la cueille. S’il ramasse une pierre, il ramas
Il change en gerbe d’or l’épi des champs arides ; La pomme est en ses mains un fruit des Hespérides. Aux battants d’une porte
pur en longs reflets rayonne sur le bois. Si d’une eau qu’on épand sa main est arrosée, On voit autour de lui l’or pleuvoir
don peu desirable, Des mets les plus exquis on a chargé sa table : Sa main change en métal les présents de Cérès. C’est en v
ède ; L’or qu’il a desiré punit ses vains desirs. Il lève au ciel les mains , il pousse des soupirs, Il s’écrie : ô Bacchus !
homme avec des cheveux blonds, un carquois sur l’épaule, un arc à la main , sur la tête une couronne de laurier ; ou bien da
nieux, Célèbre les exploits des héros et des dieux. Un poignard à la main , la triste Melpomène Tient du malheur des grands
ée ? R. On la représente chaussée d’un cothurne, tenant un arc d’une main , et de l’autre une flèche ; elle porte un carquoi
ésentoit avec des cornes sur la tête, une face rubiconde et tenant en main une espèce de flûte composée de plusieurs tuyaux,
ine toison compose mes habits ; Et quand le fuseau tourne entre leurs mains légères, Ne blesse pas les doigts de nos jeunes b
se de Vertumne, dieu de l’automne. On la représente une serpette à la main une couronne de fruits sur la tête, avec une corn
Sylvain présidoit aux forêts. On le représente tenant un cyprès à la main . On le confond souvent avec le dieu Pan et avec l
e homme gras et frais, un bonnet de fleurs sur la tête, un vase d’une main et un bassin de l’autre. Momus. D. A quoi p
sser du ciel : on le représente démasquant un visage ; et tenant à la main une marotte, symbole de folie. Morphée, Songes
avec des ailes de papillon, pour exprimer sa légèreté ; il tient à la main une plante de pavots, dont touche ceux qu’il veut
et de la Terre. On la représente ordinairement avec une balance à la main et un bandeau sur les yeux. Quelques-uns la repré
ndeau sur les yeux. Quelques-uns la représentent tenant une épée à la main . Je vois une auguste déesse, De qui la droite ve
ouches. On la représente avec des ailes au dos, et une trompette à la main . Déjà la Renommée, en traversant les airs, En a
foncés, un teint livide, une horrible maigreur, des serpents dans les mains , et un autre qui lui ronge le sein. Sur son fron
des dents, et distille de sa langue un venin infect. Elle tient à la main un poignard ou un flambeau. D. Quel portrait Volt
ortels il borne ses desseins. Le sang de son parti rougit souvent ses mains . Il habite en tyran dans les cœurs qu’il déchire,
Acrisius, roi d’Argos, avoit appris de l’oracle, qu’il périroit de la main d’un fils que Danaé, sa fille, mettroit au monde.
une dent plus longue que les défenses des plus forts sangliers. Leurs mains étoient d’airain, et leurs cheveux hérissés de se
évorer touts les étrangers qui avoient le malheur de tomber entre ses mains . Hercule, par ordre d’Eurysthée, se saisit de ces
en cygne par son père. On le représente avec une lyre ou un luth à la main , D. Faites-nous connoître Aristée ? R. Aristée é
e, Mes essaims ne sont plus ; et vous êtes ma mère ! Achevez ; de vos mains ravagez ces coteaux, Embrasez mes moissons, immol
is. Sa mère en l’écoutant sourit, et le rassure ; Les nymphes sur ses mains épanchent une eau pure, Offrent pour les sécher d
rcer ton captif à reprendre ses traits. Sur son fils, à ces mots, sa main officieuse Répand d’un doux parfum l’essence préc
, mon cher Orphée ; Eurydice expirante En vain te cherche encor de sa main défaillante ; L’horrible Mort, jetant son voile a
gémissant l’oiseleur inhumain Qui, glissant dans son nid une furtive main , Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore,
beautés s’efforçoient de lui plaire, Il dédaigna leurs feux ; et leur main sanguinaire, La nuit, à la faveur des mystères sa
nt que le sort ne trompe son attente ; Les yeux au labyrinthe, et les mains vers les oiseaux Au secours de Thésée elle appell
oix, Par degrés à leur rang se placent sous ses doigts. Tels, sous la main de Pan, l’Arcadie a vu naître Les tubes inégaux d
r ses jeux enfantins ; Quand l’ouvrage eut cent fois repassé sous ses mains . Dédale, qui dans l’air en suspens se balance, De
e son vol il hâte les apprêts, Des pleurs mouillent ses yeux ; et ses mains paternelles, Ses mains tremblent deux fois, en at
pprêts, Des pleurs mouillent ses yeux ; et ses mains paternelles, Ses mains tremblent deux fois, en attachant ses ailes. Il e
u moment qu’à la ligne il suspend l’hameçon, Le conducteur du soc, la main sur sa charrue, Le pasteur, immobile et les yeux
tour de lui rangés : Il suivoit tout pensif le chemin de Mycènes ; Sa main sur les chevaux laissoit flotter les rênes Ces su
rs, saisit les javelots, Pousse au monstre, et, d’un dard lancé d’une main sûre, Il lui fait dans le flanc une large blessur
Seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il veut les rappeler, et sa voix les e
les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’appelle ; et me tendant la main , Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain :
elle proposoit aux prétendants de courir avec elle, et promettoit sa main à celui qui seroit son vainqueur ; mais elle se r
s, roi de Thèbes. Laïus avoit appris de l’oracle qu’il périroit de la main de son propre fils ; et ordonna à Jocaste sa femm
ance douteuse Sous le nom de son fils vous fûtes élevé Par cette même main qui vous avoit sauvé. ( Voltaire.) D. Que fît Œd
n ton de hauteur de lui laisser le passage libre ; ils en vinrent aux mains sans se connoître, et Laïus fut tué. D. Dans quel
s, fit publier dans toute la Grèce, qu’il donneroit la couronne et la main de Jocaste à celui qui expliqueroit l’énigme. Œdi
me lui-même qui, dans son enfance, se traîne sur les pieds et sur les mains , ensuite, parvenu à un âge plus avancé, marche de
ois, je reconnois la blessure mortelle Que te fit dans le flanc cette main criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un monstre dét
« Et tu meurs, lui dit-il, et moi je vais régner. » Regarde dans mes mains l’empire et la victoire : » Va rougir aux enfers
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenoit à la main , Il lui perce le cœur ; et son ame ravie, En ache
e grotte obscure ? C’est qu’à son frère mort donnant la sépulture, Sa main religieuse à la tombe a remis Ces restes qu’aux v
acontez l’histoire de Pélops. R. Pélops, fils de Tantale, demanda la main d’Hippodamie, fille d’Œnomaüs, roi d’Élide et de
ayant fait entr’eux une ligue puissante, ils vinrent, les armes à la main , redemander Hélène devant Troie, qu’ils tinrent a
s les yeux, et remuoit de temps en temps la lance qu’elle tenoit à la main . Le palladium fut enlevé par Diomède et Ulysse. 4
élèphe. Un oracle déclara que la blessure ne seroit guérie que par la main même qui l’avoit faite. Achille, regardant Télèph
abits et ses muettes ombres, Elle embrasse le monde ; et ses lugubres mains D’un grand voile ont couvert les travaux des huma
injure. Après la prise de Troie, les Grecs remirent Hélène entre les mains de Ménélas, et le laissèrent maître de la destiné
e souscrire à cet ordre inhumain N’a pas, en le traçant, arrêté votre main  ? Pourquoi feindre à nos yeux une fausse tristess
ois vous servir et vous craindre. Touts les droits de l’empire en vos mains confiée, Cruel ! c’est à ces dieux que vous sacri
n. Un prêtre, environné d’une foule cruelle, Portera sur ma fille une main criminelle ! Déchirera son sein, et d’un œil curi
toi ! Votre cœur affamé de sang et de victimes, M’a fait souiller ma main du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle va
 ! ah ! c’en est trop, il faut qu’à ma colère… Que vois-je ! dans ses mains la tête de ma mère ! Quels regards ! où fuirai-je
! C’en est fait ; je succombe à cet affreux supplice : Du crime de ma main mon cœur n’est point complice ; J’éprouve cependa
tages continuels sur les Grécs. Il demanda à son ami de lui prêter du mains ses armes, et de lui permettre de conduire les Th
ble, Exhalant à ses pieds ses sanglots et ses cris, Et lui baisant la main qui fit périr son fils. Il n’osoit sur Achille en
aire Sentit que la pitié pénétroit dans son cœur. Priam lui prend les mains  : « Ah ! Prince, ah ! mon vainqueur ! » J’étois p
nos jours sont tissus de regrets et d’alarmes, » Lui dit-il ; par mes mains les dieux vous ont frappé : » Dans le malheur com
r : Chacun se disputoit la gloire de l’abattre. Je l’ai vu dans leurs mains quelque temps se débattre, Tout sanglant à leurs
Ils ont, je le vois bien, trahi votre vengeance ; Vous vouliez que ma main portât les premiers coups ; Qu’il sentît en moura
uels serpents traîne-t-elle après soi ! Hé bien ! Filles d’enfer, vos mains sont-elles prêtes ? Pour qui sont ces serpents qu
outrage. J’appris à soutenir mes misérables jours. Mon arc, entre mes mains , seul et dernier recours, Servit à me nourrir ; e
briser des rameaux, et pour y recueillir Le feu que des cailloux mes mains faisoient jaillir. Des glaçons dont l’hiver blanc
dangers courut Ulysse dans l’île de Sicile ? R. Il y tomba entre les mains de Polyphème, fils de Neptune, le plus grand et l
se ayant remarqué que le monstre, en marchant à tâtons, ne portoit la main que sur le dos de ses brebis, attacha sous le ven
son troupeau. Chaque mouton, en passant entre ses jambes et sous ses mains , emporta un soldat grec, et le chef passa le dern
e flèche empoisonnée : Tirésias lui avoit prédit qu’il mourroit de la main de son fils. Minerve ordonna à Télégone d’épouser
suit par-tout. C’est par son secours, qu’il tue plusieurs rois de sa main , qu’il soutient des combats singuliers contre Hec
entraîne et le place auprès d’elle. Tout à coup, de Pyrrhus fuyant la main cruelle, A travers mille dards, un dernier fils d
Hector résiste ; mais soudain Son fer se brise, éclate, échappe de sa main … Que pouvoit sa vaillance ?… Il est atteint !… il
: Ulysse, Ulysse même en est épouvanté. Achille, l’œil terrible et la main menaçante, Presse, à coups redoublés, vers les ri
maque, entre la crainte de perdre son fils, et l’horreur de donner sa main à Pyrrhus. R. Céphise, confidente d’Andromaque,
utels, L’engager à mon fils par des nœuds immortels. Mais aussitôt ma main , à moi seule funeste, D’une infidelle vie abréger
uts les dieux invités Partageoient le bonheur des époux enchantés. La main de la Discorde, entr’ouvrant un nuage, Du désordr
de sculpture grecque, que nous possédions. Ce chef-d’œuvre est de la main de Polydore, d’ Athénodore et d’ Agésandre, trois
présent vient des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots, de sa main qu’anime un noble effort, Un trait part… Mais que
ois dans le crime incertains, Ils redoutent la nuit, ouvrage de leurs mains  ; Un moment peut les perdre… ô funeste vertige !
Neptune se plaint dans l’ombre de la nuit, Quand la rame docile à la main qui la guide, Fend à coups redoublés-son domaine
teint leurs voix sur leurs lèvres glacées ; De replis écailleux leurs mains embarrassées Appellent, mais en vain, un secours
on père Anchise, avec ses dieux pénates, prit son fils Ascagne par la main , et se retira sur le mont Ida, avec ce qu’il put
aux la mer pour sépulture, » Ou massacrer son peuple, ou de ma propre main » Lui faire de son fils un horrible festin » Mais
une couronne qui sembloit être de branches d’olivier. Il tenoit à la main droite une victoire d’or et d’ivoire ; à la gauch
. J’ai déposé la cendre, et qu’à cette ombre chère J’ai dressé de mes mains un autel funéraire. Voici même, je crois, ce jour
les sirtes déserts ou sur les mers d’Argos, Ce grand jour reverra mes mains religieuses Honorer son retour par des pompes pie
Repartit le vieillard. Tout établissement Vient tard et dure peu. La main des parques blêmes. De vos jours et des miens se
ar conséquent du bonheur ou du malheur de toute la vie. Or, à quelles mains plus sûres cette première éducation peut-elle êtr
ins plus sûres cette première éducation peut-elle être confiée qu’aux mains d’une mère ? Un père, entraîné par le soin de ses
enseigner l’histoire d’un peuple, le professeur doit mettre entre les mains de ses élèves un livre élémentaire qui contienne
. En répandant ses dons, une ame vertueuse Sait cacher avec soin une main généreuse ; D’un cœur né vraiment grand, c’est la
nts sans en recevoir la valeur ; ne laissons sortir les heures de nos mains qu’avec épargne, qu’avec fruit, qu’avec autant de
’oût ; Creusez, fouillez, bêchez, ne laissez nulle place        Où la main ne passe et repasse. Le père mort, les fils vous
4 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
ée de fleurs, le front couronné de créneaux et de tours, portant à la main un disque et une clef, assise sur un char traîné
barbe, assis sur un trône d’or ou d’ivoire, tenant la foudre dans la main droite ; à ses pieds on place ordinairement un ai
jestueux et fiers, portant un diadème sur le front et un sceptre à la main  ; elle est assise sur un trône, ou dans un char t
ésomption fut cruellement punie. Les chevaux, ne reconnaissant pas la main de leur guide accoutumé, s’emportent et entraînen
vêtue d’une robe couleur d’azur, couronnée d’étoiles, soutenant d’une main un globe céleste, et de l’autre une baguette au m
histoire, est couronnée de laurier ; elle tient une trompette dans la main droite, et dans la gauche un livre où sont inscri
fille couronnée de lierre et chaussée de brodequins, qui tenait d’une main un masque, emblème de la comédie de caractère, et
t sérieux et sévère ; elle est chaussée de cothurnes, et l’une de ses mains tient des sceptres et des couronnes, tandis que l
une jeune fille enjouée, couronnée de myrte et de rose, tenant d’une main une lyre et de l’autre un archet. Euterpe, déess
, déesse de la musique, est couronnée de fleurs ; elle tient dans les mains un cahier de musique, des flûtes, des hautbois et
exprimer les grâces et les figures qui doivent orner le discours. Sa main droite semble gesticuler, et de la gauche elle so
avec l’apparence de l’enjouement et de la vivacité, tenant entre ses mains une harpe au son de laquelle elle dirige ses pas
arbe, parfaitement beau, couronné de laurier, et tenant une lyre à la main  ; quand on veut peindre le Dieu de la lumière, on
les cheveux noués derrière la tête et un croissant sur le front ; sa main tient un arc, et un carquois est attaché à son ép
vait être supporté par de simples mortels ; la foudre qu’il tenait en main mit le feu au palais de Sémélé, qui périt dans l’
cornes sur la tête ; il est couvert d’une peau de bouc, et tient à la main une coupe et un thyrse ; il est assis sur un tonn
airs : il porte des ailes aux talons et à son bonnet ; il tient d’une main son caducée et une bourse dans l’autre. Quelquefo
; sa tête est couverte d’un bonnet, sa poitrine nue, et il tient à la main des tenailles et un marteau. Questions. Qu’e
vautour, des ailes de chauve-souris, et des griffes aux pieds et aux mains . Les plus connues se nommaient Aello, Ocypète et
u sur un char traîné par des chevaux noirs. Sa couronne est noire, sa main droite soutient un sceptre terminé par une fourch
terminé par une fourche à deux pointes ; on lui met une clef dans la main gauche. On ne lui éleva jamais aucun temple, et o
respirent une douce majesté ; son front est couvert d’un casque ; sa main droite tient une lance, sa main gauche s’appuie s
on front est couvert d’un casque ; sa main droite tient une lance, sa main gauche s’appuie sur un bouclier ; sa poitrine est
es traits menaçants et armé de pied en cap ; il tient une lance d’une main et un bouclier de l’autre. Quelquefois on le plac
aîné par deux dragons, couronnée d’épis, tenant une faucille dans une main , et dans l’autre une gerbe d’épis et de pavots34.
it la Déesse de la justice. On la représente tenant une balance d’une main et un glaive de l’autre ; elle a sur les yeux un
Plutus sous les traits d’un vieillard aveugle tenant une bourse à la main  ; ils disaient qu’il était boiteux pour venir et
satirique. On représente ce Dieu avec une figure riante, tenant d’une main une marotte, symbole de la folie, et de l’autre u
minée ; il est coiffé d’un bonnet conique orné de fleurs ; une de ses mains tient un flambeau renversé, tandis que l’autre s’
andeau et les épaules chargées d’un carquois plein de flèches ; d’une main il tient un arc et de l’autre un flambeau allumé.
ts d’un jeune homme blond, couronné de roses, tenant un flambeau à la main . Questions. Qu’était-ce que l’Hymen ? — Comm
Elle porte des ailes, et une étoile brille au-dessus de sa tête ; ses mains répandent des roses dans l’espace. Questions.
point d’épouser la nymphe Pitys ; mais Borée, qui aspirait aussi à sa main , jaloux de la préférence accordée à son rival, en
rémité inférieure du corps semblable à celle d’un bouc. Il tient à la main la flûte à sept chalumeaux, dont il est l’invente
onne de laurier et de romarin mêlée à ses cheveux, et tenant dans ses mains un faisceau de paille. Questions. Qu’était-c
es Faunes. On représente Sylvain sous la figure d’un Satyre tenant en main un jeune cyprès. Cet arbre lui est consacré, soit
odèles des époux, et on les représente ordinairement se tenant par la main . Vertumne est un jeune homme couronné d’épis et d
jeune homme couronné d’épis et de grappes de raisin, tenant dans ses mains des fruits et une corne d’abondance. Pomone porte
e. Pomone porte une couronne de fruits ; elle tient une serpette à la main , et a près d’elle des corbeilles remplies de fleu
ieillard à longue barbe, assis sur les flots et tenant une pique à la main  ; auprès de lui on place habituellement un monstr
forme de coquille traîné par des dauphins et entouré de Tritons ; sa main droite soutient un sceptre d’or. Questions.
e si grande beauté, que Jupiter, Neptune et Apollon se disputèrent sa main  ; mais le Destin ayant déclaré que le fils qui na
naçante les aquilons furieux qui s’agitent autour de lui. Il tient en main un sceptre de fer. Questions. Qu’était-ce qu
es traits d’un jeune homme à la figure riante, tenant une coupe d’une main , et de l’autre une corne d’abondance. Le mauvais
a Nuit, était un vieux nautonier rude et grossier, qui, l’aviron à la main , faisait traverser les fleuves infernaux aux ombr
phone ; on les représentait coiffées de couleuvres et tenant en leurs mains des serpents et des torches ardentes. Tisiphone,
portée ; mais les branches se redressaient dès qu’il en approchait la main , et échappaient constamment aux efforts qu’il fai
le représente tenant sous ses pieds le globe de la terre, et dans ses mains l’urne qui contient le sort des hommes. Questio
les traits d’une femme ailée qui parcourt l’espace une trompette à la main . Questions. Qu’était-ce que la Renommée ? — 
ésente sous les traits d’une femme couronnée de laurier, tenant d’une main une petite statue de Plutus, une gerbe d’épis mêl
de cheveux, un teint livide, des yeux égarés, la bouche écumante, les mains ensanglantées et les vêtements déchirés ; d’une m
e écumante, les mains ensanglantées et les vêtements déchirés ; d’une main elle agite une torche ardente, dans l’autre elle
n front ridé, des joues creuses et une coiffure de couleuvres ; d’une main elle porte trois vipères, de l’autre une hydre à
sses seules avaient le droit de pénétrer. On la représentait avec des mains de bronze, dans lesquelles elle tenait de longues
té sous les traits d’un jeune homme ou d’une jeune femme tenant d’une main une corne, et posant l’index de l’autre main sur
jeune femme tenant d’une main une corne, et posant l’index de l’autre main sur ses lèvres. On plaçait ordinairement sa statu
us les traits d’une jeune fille enjouée, avec des ailes, tenant d’une main une couronne d’olivier et de laurier, et de l’aut
ère, un pied en l’air et l’autre sur une roue, tenant un rasoir d’une main et un voile de l’autre ; quelquefois on la montra
isius, roi d’Argos41, avait appris de l’oracle qu’il serait tué de la main de son petit-fils. Pour échapper à cette funeste
ses compagnons troubler la fête du mariage et réclamer les armes à la main celle qui lui avait été promise. Persée allait su
pents pour le dévorer ; mais Hercule les saisit et les étouffa de ses mains enfantines. L’intrépidité précoce du jeune Demi-D
son sein, Hercule se précipita sur le bûcher qu’il avait élevé de ses mains , et ordonna à son ami Philoctète d’y mettre le fe
use au milieu du palais incendié. Jason courut vers Médée l’épée à la main pour punir cette nouvelle trahison ; mais en ce m
ayant appris de l’oracle qu’il devait un jour recevoir la mort de la main du fils que Jocaste, sa femme, allait lui donner,
le jeune voyageur répondit à cette injonction en mettant l’épée à la main , et son adversaire eut bientôt succombé. Cet inco
e que Laïus, et la prédiction suivant laquelle il devait mourir de la main de son fils se trouva ainsi accomplie. Parvenu à
e Sphinx. Ce monstre, né d’Echidne et de Typhon, avait la tête et les mains d’une jeune fille, le corps d’un chien, la queue
st l’homme, qui, dans son enfance, se traîne sur les pieds et sur les mains , qui marche sur deux pieds au milieu de son âge,
du monstre, c’est-à-dire qu’il fut proclamé roi du pays, et obtint la main de Jocaste, la veuve de Laïus. Ainsi Œdipe, pours
temps de reconnaître Pélops pour son vainqueur et de lui accorder la main d’Hippodamie. Pélops, dès lors roi d’Élide, étend
guerrier grec une épée avec laquelle il se donna la mort de sa propre main . Après la mort d’Achille, Ajax et Ulysse se dispu
dans un tel accès de rage, que pendant la nuit il se jeta l’épée à la main sur les troupeaux du camp et en fit un carnage te
on impiété. Lors de l’embrasement de Troie, il pénétra les armes à la main dans le temple de Minerve et en arracha la prêtre
mportant sur ses épaules son père et ses Dieux Pénates, tenant par la main son fils Ascagne, et suivi de sa femme Créuse, qu
u’elle avait consacré une statue d’airain qui tenait un fouet dans sa main et qui, lorsqu’elle était agitée par le vent, all
de poing ; ceux qui se livraient à ce dernier exercice s’armaient les mains de grosses courroies et d’une espèce de brassard.
ux publics. Polydamas, de Scétuse, en Thessalie, arrêtait d’une seule main un char attelé de plusieurs chevaux. Il mourut pa
tions ou par leur beauté, les plus étonnants qui fussent sortis de la main des hommes. Ces monuments étaient : les murs et l
herches des voyageurs modernes ont prouvé qu’il n’a pas été creusé de main d’homme, comme on l’avait cru longtemps. 93. Rho
5 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
on travaillât à une Histoire de la Fable, qui pût être mise entre les mains de tout le monde, et qui fût faite exprès pour le
’élève au sacré vallon, Son enthousiasme est la lyre Qu’il reçoit des mains d’Apollon. Ainsi consacrant le système De la sub
ons, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa main des fleurs toujours écloses. Boileau. Les Poëte
, représentée tenant sous ses pieds le globe de la terre, et dans ses mains une urne dans laquelle est renfermé le sort des h
ible Offre en un point l’avenir ramassé. L’urne des Sorts est dans sa main terrible : L’axe des tems pour lui seul est fixé.
cesse à ce palais terrible ; Et de-là sur la terre il verse à plaines mains Et les biens et les maux destinés aux humains. Su
nt d’airain ; La rage en ses yeux étincelle, Et le fer brille dans sa main  ; Par le faux honneur qui la guide, Bientôt, dans
nte ; j’en frémis ! Le frère meurt des coups du frère, Le père, de la main du fils ! L’honneur fuit, l’intérêt l’immole ; De
J’y vois de toutes parts, prodigue en ses largesses, Cybèle à pleines mains répandre ses richesses ; De ses bienfaits nouveau
os prés. Rousseau. On la représente avec un disque et une clef à la main , un habit parsemé de fleurs, une couronne composé
                Jupiter est victorieux, Et tout cède à l’effort de sa main foudroyante. Jupiter, n’ayant plus d’ennemis à c
es dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodiguant par leur main Tous les présens dont l’Olympe s’honore, Fît méri
ssons. Gresset. Jupiter est ordinairement représenté la foudre à la main , et porté sur un aigle. Le chêne lui étoit consac
e sur un char traîné par deux paons, ou assise tenant un sceptre à la main , et toujours un paon placé auprès d’elle. Quelque
eine est-il sur l’horizon, que les chevaux, ne reconnoissant point la main qui les conduisoit ordinairement, prennent le mor
s : il porte une couronne de laurier sur la tête, tient une lyre à la main  ; et auprès de lui sont tous les instrumens propr
mont Pélion, Souffler son infecte rage Contre le naissant ouvrage Des mains de Deucalion. Mais le bras sûr et terrible Du di
rtisans de la gloire, D’assurer à vos noms un heureux souvenir. Si la main des neuf Sœurs ne pare vos trophées,             
née de lauriers, et parée de guirlandes de fleurs. Elle tient dans la main droite une trompette, et un livre dans la gauche.
le est chaussée d’un cothurne, et superbement vécue. Elle tient d’une main des sceptres et des couronnes, et de l’autre un p
e couronnée de lierre, chaussée de brodequins, tenant un masque d’une main , et de l’autre un bâton recourbé, qui est la houl
 : on la représente vêtue de blanc, et couronnée de perles. Elle a la main droite en action pour haranguer, et tient un scep
tre dans la gauche : les anciens la représentoient avec l’index de la main droite sur la bouche, sans aucun attribut : De t
es-tu donc la maîtresse ?                Tiens-tu notre cœur dans tes mains  ? Tu feins le désespoir, la haine, la tendresse ;
é. Elle est couronnée de myrte et de roses. Elle tient une lyre d’une main , et de l’autre une sorte d’archet. Elle a auprès
oésie pastorale. On la représente couronnée de fleurs, et tenant à la main un livre de musique. Elle a auprès d’elle des flû
s, avec une robe couleur d’azur. Elle soutient un globe céleste d’une main , et tient de l’autre une baguette avec laquelle e
ide à l’histoire. On la représente couronnée de laurier, tenant de la main droite une trompette, et un livre dans la gauche 
danse. On la représente couronnée de fleurs, avec une harpe entre les mains , et des instrumens de musique autour d’elle : No
chasse : on la représente chaussée d’un cothurne, tenant un arc d’une main , et de l’autre une flèche. Elle porte un croissan
e, Nous te venons d’un fils annoncer la naissance ; Eteins, et de nos mains prends ce flambeau fatal, Ses jours sont attachés
la chaussure et le manteau étoient aussi d’or ; le dieu tenoit de la main droite une victoire d’or et d’ivoire, et de la ga
d’un bouc ; et quelquefois assis sur un tonneau, avec une coupe à la main , ou sur un char traîné par des tigres, des lynx o
char traîné par des tigres, des lynx ou des panthères, et tenant à la main un thyrse, qui est une baguette entourée de pampr
e peaux de tigres, et avoient les cheveux épars ; chacune tenoit à la main un thyrse et une torche ardente. Ces fêtes s’appe
lé en coureur, avec des aîles à la tête et aux talons : il porte à la main un caducée. C’est une baguette qu’il avoit reçue
 : voulant les séparer, il mit entr’eux la baguette qu’il tenoit à la main  : les deux serpens s’y attachèrent ; et Mercure p
Vénus lui donne alors sa divine ceinture, Ce chef-d’œuvre sorti des mains de la nature. ……………………………………………… …………………………………………
us les dieux invités, Partageoient le bonheur des époux enchantés, La main de la Discorde, entr’ouvrant un nuage, Du désordr
sous la figure d’un enfant, avec un bandeau sur les yeux, un arc à la main , et quelquefois un flambeau. Il porte des aîles e
:     Ce dangereux enfant, si tendre et si cruel, Porte en sa foible main les destins de la terre ; Donne avec un souris, o
x profonde, Tout ce que la nature, aux premiers jours du monde. De sa main bienfaisante accordoit aux humains, Un éternel re
roux, répandant leur venin, Marchant devant ses pas, un poignard à la main . La malice les voit, et, d’un souris perfide, App
orme, avec les yeux et le visage enflammés, et tenant un marteau à la main . Minerve. Minerve, ou Pallas, sortit du cer
est représentée avec un air de douceur et de majesté. Elle tient à la main une branche d’olivier ; et des instrumens de math
rreur Devancent leurs flots redoutables ; Et la mort remet dans leurs mains Ces tonnerres épouvantables Dont elle écrase les
ente armée d’une cuirasse, avec un casque sur la tête, une lance à la main , l’égide au bras, et auprès d’elle un hibou. L’ég
char d’acier, chef-d’œuvre de Vulcain, L’activité tient les rênes en main  ; Fiers tourbillons, ses coursiers indomptables S
’avoir mis. Il lui avoit déjà rendu le même service, en le tirant des mains des fils d’Aloüs : Ah ! lorsque ton orgueil lang
vautour, des aîles de chauve-souris, et des griffes aux pieds et aux mains . Elles infectoient tout ce qu’elles touchoient :
il gouvernoit à son gré. On le représente avec un sceptre de fer à la main , assis ou appuyé sur un rocher d’où les vents che
comme moi, sur ton fils, sur sa mère, Porter, sans les connoître, une main sanguinaire ! Que la reine des deux, dont le bras
ux noirs, portant une couronne d’ébène sur la tête, et des clefs à la main . Quelquefois on lui donne pour sceptre un bident.
Nuit. La vie des hommes, dont elles filent la trame, est entre leurs mains . Les différentes soies qu’elles emploient dans le
, on prétend même que le sort des empires er des âges est entre leurs mains , et qu’elles en filent aussi les destinées : Déj
tardez-vous ? venez, troupe infernale, Puisque le Ciel a remis en vos mains Le châtiment des coupables humains. Rousseau. L
isant un usage éclairé de ses dons :         Aimable dieu, de qui la main dispense             Ce qui rend les mortels heur
nt dans ses courses. On la représente couronnée d’épics, tenant d’une main une faucille, et de l’autre une poignée d’épis mê
te avec la barbe et la chevelure fort négligées, et une faucille à la main  : Tous les ans, d’un lait pur une coupe t’est du
s on le représente : il démasque un visage, et tient une marotte à la main . La Nuit est la déesse des ténèbres, et fille du
la représente avec un bandeau sur les yeux, tenant une balance d’une main , et de l’autre une épée : Je vois une auguste dé
Lamotte. La Paix est représentée couronnée de laurier, portant d’une main une petite statue de Plutus, et de l’autre une br
e regard inquiet, des vipères au lieu de cheveux, trois serpens d’une main , une hydre de l’autre, et un serpent monstrueux a
urs les savantes leçons Qui de leurs voix régissent tous les sons, La main du Tems creusa les voûtes sombres D’un antre noir
ortels il borne ses desseins. Le sang de son parti rougit souvent ses mains , Il habite en tyran dans les cœurs qu’il déchire 
vices, toutes les passions et toutes les vertus deviennent, entre les mains des poëtes, autant de divinités allégoriques, don
résidoit aux bois et aux forêts. On le représente avec un cyprès à la main . Faune, fils de Picus, roi des Latins, fut mis au
ercule, alloient le dévorer, mais il les mit en pièces de ses propres mains  : Les premiers instans de sa vie, De la Discorde
avoit promis, fut tué ; et les murs de Troie furent renversés par la main d’Hercule : L’ingrat Laomédon, digne de son malh
ient-il plus du voile inestimable Que Nessus expirant remit entre tes mains  ? Du sang dont il est teint la vertu redoutable  
le sort cruel ne trompe son attente ; Les yeux au labyrinthe, et les mains vers les cieux, Au secours de Thésée elle appelle
es dards du Centaure sauvage Ne doivent point souiller nos innocentes mains . Rousseau. Les Centaures étoient si bons cavali
ers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d’un dard lancé d’une main sûre, Il lui fait dans le flanc une large blessur
Seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris ; Il veut les rappeller, et sa voix les
n’est bientôt qu’une plaie. J’arrive ; j’appelle ; et, me tendant la main , Il ouvre un œil mourant, qu’il referme soudain.
bientôt les efforts de son bras ; et ses victoires lui méritèrent la main de Philoné, fille d’Iobates, roi de Lycie : Aprè
péri par un coup inhumain, Dans leur flanc innocent tu conduisois sa main . Gresset. Médée échappa à la colère de Jason, e
ses rois, nommé Laïus, avoit appris de l’Oracle qu’il périroit de la main du fils qu’il venoit d’avoir. Il ordonna à Jocast
ce douteuse. Sous le nom de son fils, vous fûtes élevé Par cette même main qui vous avoit sauvé. Voltaire. Œdipe ayant déc
al est l’homme, qui dans l’enfance se traîne sur les pieds et sur les mains , dans l’âge viril se soutient sur les deux pieds,
vertueux et si sage : Hélas ! nous nous flattions que ses heureuses mains Pour jamais à son trône enchaînoient les destins.
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenoit à la main , Il lui perce le cœur ; et son ame ravie, En ache
aux autels j’en eus formé les nœuds, Qu’à ces mêmes autels, et par la main d’un frère, Je me vis enlever une épouse si chère
éros que demande la Grèce ; Et d’un glaive terrible armant ces jeunes mains , Par ce discours guerrier, d’un fils d’une déesse
gre barbare. Il insulte au cadavre ; il lui perce les piés, Qui de sa main sanglante à son char sont liés ; Le traîne, et du
urs les yeux, et remuoit de tems en tems la lance qu’elle tenoit à la main . Cependant les Grecs, ne pouvant se rendre maître
eureux, De haïr une mère il eut le droit affreux. Né pour souiller sa main du sang qui l’a fait naître, Tel fut le sort d’Or
………………………………………………… …………………………………………………… Hé bien, filles d’enfer, vos mains sont-elles prêtes ? Pour qui sont ces serpens qui
s. J’appris que, pour venger le trépas de son père, Ayant trempé ses mains dans le sang de sa mère, Tourmenté, déchiré de ce
Au sein de vos Etats, au fond de votre cœur, Portant au sacrilège une main résolue, Il venoit de Diane enlever la statue. L
u’il montoit. Après avoir évité Carybde et Scylla, il tomba entre les mains de Poliphême, qui l’enferma dans un antre avec se
ems heureux. Il remit ses Etats à son fils Télémaque, et périt par la main de Télégone, qu’il avoit eu de Circé. Ainsi s’acc
rgea son père sur ses épaules, prit son fils Iüle, ou Ascagne, par la main , et emporta les dieux tutélaires de sa patrie. Il
non, 181 — Tue Hector, 181 — Veut épouser Polixène, et périt par la main de Paris, ibid. — Les Grecs lui élèvent un tomb
les Grecs, 180-181 — Redemande Hector à Achille, 182 — Meurt de la main de Pyrrhus, 184 Printemps, déesse qui préside à
6 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
tenir dans ma tâche, l’ardent désir d’être utile à cette jeunesse aux mains de laquelle on a trop souvent confié des Mytholog
sec et décharné, dont le visage est triste, la tête courbée. Dans sa main est une faux, qui signifie que le temps détruit t
ent les villes qui sont sous sa garde ; et la clef qu’elle tient à la main désigne les trésors que le sein de la terre renfe
ortait Deucalion et Pyrrha, époux fidèles et vertueux. Guidés par une main protectrice, ils abordèrent sur la cime du Parnas
e figure humaine et devinrent des hommes ; les cailloux lancés par la main de Pyrrha se changèrent en femmes, et le monde fu
On représente Jupiter assis sur un trône d’or, tenant la foudre d’une main , un sceptre de l’autre, et ayant à ses pieds un a
barbarie jusqu’à lui attacher une enclume à chaque pied, lui lier les mains avec une chaîne d’or, et la suspendre à la voûte
ise sur un trône, avec un diadème sur la tête et un sceptre d’or à la main  ; un ou plusieurs paons sont à ses pieds. Quelque
. — On la représente vêtue d’une longue robe et le front voilé. De la main droite elle tient une lampe ou un flambeau, et de
us secrets, les choses les plus saintes, étaient déposées entre leurs mains . Elles avaient une place d’honneur au cirque ; el
dompter ; il apprivoisa ce quadrupède fougueux, et l’assujettit à la main et à la voix du cavalier. Tous les peuples honorè
Minos, plus éclairé que ses collègues, a la prééminence, et tient en main un sceptre d’or. Quand la sentence a été lue, les
Alecton, Mégère et Tisiphone, en sont les geôlières ; et tenant d’une main une torche brûlante, de l’autre un fouet sanglant
e, des sourcils épais, des yeux rouges et un regard menaçant. Dans sa main droite est un sceptre, ou une fourche à deux poin
sur un trône d’ébène, ou sur un char traîné par des chevaux noirs. Sa main tient des fleurs de narcisse. Sous le nom d’Hécat
nir un peuple nombreux. Ils se couronnaient de myrte, se lavaient les mains , écoutaient la lecture des lois de Cérès, prenaie
autres symboles. — On représente Cérès couronnée d’épis, tenant d’une main une torche allumée, et de l’autre un pavot. Le po
 On la représente avec un air grave et sévère, tenant une pique de la main droite et un bouclier de la gauche. Elle a sur sa
et modestes, les cheveux négligemment noués, elles se tiennent par la main dans l’attitude de la danse, ou bien elles élèven
et de la tête, tandis que l’autre, élégamment courbé, va chercher la main de la Grâce voisine. Elles président aux bienfait
ge, tout couvert de sueur, le front noirci par la fumée, tenant d’une main un marteau et de l’autre un foudre. Sa poitrine e
poitrine découverte semble provoquer les atteintes de l’ennemi. De la main droite il brandit une lance énorme ; de la gauche
leur déesse, ils parcouraient les rues comme des furieux, tenant à la main un glaive ou un rasoir, avec lequel ils se déchir
sente coiffée de serpents au lieu de cheveux, tenant une torche d’une main , et de l’autre une couleuvre ou un poignard. §
ternit la gloire de son triomphe. Il fit saisir Marsyas, lui lia les mains derrière le dos, l’attacha au tronc d’un sapin, e
re d’un jeune homme sans barbe, la chevelure flottante, une lyre à la main , et le front ceint de laurier. Comme dieu de la l
us la voûte azurée. Les coursiers impétueux, ne reconnaissant plus la main de leur maître, se détournent de la route accoutu
ndigne contre le téméraire chasseur ; et puisant, avec le creux de sa main , de l’eau dans la source, la lui jette à la tête.
orateur enchaîne les volontés de ceux qui l’écoutent ; il tient de la main droite le caducée, emblème d’un ministre plénipot
ducée, emblème d’un ministre plénipotentiaire et conciliateur ; de la main gauche, il présente une bourse, symbole du dieu q
, joufflu, couronné de lierre ou de pampre, tenant le thyrse dans une main , et des grappes de raisin ou une coupe dans l’aut
us comme un jeune homme qui a deux ou quatre visages ; il tient de la main droite une clef, parce qu’il inventa les portes,
, assises à l’ombre d’un laurier ou d’un palmier, et se tenant par la main  : Les Muses, filles du Ciel, Sont des sœurs sans
Poésie héroïque. On la représente couronnée de laurier, tenant de la main droite une trompette et de l’autre les trois meil
e, (comme Calliope), couronnée de laurier, tenant une trompette de la main droite, et de la gauche un livre ouvert. Melpomè
est riche, son maintien grave, son visage sérieux ; elle tient d’une main un poignard ensanglanté, de l’autre un sceptre ou
ination vigoureuse. Thalie, muse de la Comédie, tient un masque à la main . Elle a l’air vif et le regard moqueur ; sa tête
usique. On la représente couronnée de fleurs et tenant une flûte à la main . Terpsichore présidait à la Danse. L’air enjoué,
e. On la représente le front ceint de myrte et de roses, tenant de la main gauche un luth, instrument à cordes dont elle fut
On la représente couronnée de perles, et vêtue d’une robe blanche. Sa main droite est toujours en action, comme celle d’un o
oir qu’exerce l’éloquence. Uranie, muse de l’Astronomie, tient d’une main le globe du monde, et de l’autre un compas. Sa co
t de la Nuit. Il tient sous ses pieds le globe terrestre, et dans ses mains l’urne fatale où est contenu le sort des mortels.
is ou la Justice, fille du Ciel et de la Terre, tient un glaive d’une main et une balance de l’autre. Elle a un bandeau sur
s et des fleurs. — On la représente couronnée de roses et tenant à la main une corne d’abondance. Tatius lui éleva le premie
son culte ; ses cheveux sont couronnés de laurier et de romarin ; sa main tient une poignée de paille, litière des bestiaux
r une corbeille pleine de fleurs et de fruits, tenant un rameau d’une main et des pommes de l’autre. Vertumne est l’emblème
a mère !… Eh bien ! achève ; arrache, détruis toi-même de tes propres mains les arbres que j’ai plantés ; livre mes bergeries
re d’un vieillard assis sur les ondes, et qui tient une pique dans sa main . Près de lui est un monstre marin d’une forme biz
ée assise sur un char qui a la forme d’une coquille. Elle tient d’une main un sceptre d’or, pour commander aux vagues ; de l
de jeunes filles portées sur des chevaux marins, et tenant dans leurs mains le trident de Neptune, ou une couronne, ou un pet
s et jolies, appuyées sur une urne qui verse de l’eau, ou tenant à la main un coquillage et des perles. Une couronne de rose
Euryale et Méduse. Elles avaient des serpents au lieu de cheveux, des mains de fer, des ailes d’or, le corps couvert d’écaill
tât un climat aussi rude et aussi désert que la Thrace, lui refusa la main de cette princesse. Borée, qui chérissait Orithyi
dont la barbe est épaisse et les cheveux courts, et qui porte sur sa main un hibou, oiseau de mauvais augure. § 19. Hyme
re d’un jeune homme décemment vêtu, couronné de roses et tenant de la main droite un flambeau. Des hymnes étaient chantés à
entent Plutus sous la figure d’un vieillard qui tient une bourse à la main . Il arrive à pas lents et en boitant, et s’en ret
ée, et pouvant à peine soutenir sa tête appesantie. Il s’appuie d’une main sur une longue pique de chasseur ; de l’autre il
s. Sa tête est surmontée d’un bonnet orné de grelots : il tient d’une main un masque, et de l’autre une marotte, sorte de po
a Fortune avec un bandeau sur les yeux, et une corne d’abondance à la main . Un de ses pieds reste en l’air, tandis que l’aut
Un de ses pieds repose sur une roue rapide, l’autre est en l’air. Sa main droite tient un rasoir. Ces emblèmes signifient q
comme une femme ailée qui fend les airs, et tient une trompette à la main . § 28. La Paix. Toute l’antiquité païenne é
la Paix sous la figure d’une femme couronnée de fleurs, tenant d’une main une branche d’olivier et de l’autre une corne d’a
ux, plein de force, d’une haute taille et d’un teint coloré. Dans ses mains et près de lui sont des instruments propres à dif
Mort sous la figure d’un squelette couvert d’un manteau noir. Dans sa main droite est un glaive ou une faux ; dans sa gauche
le dévorer ; mais à peine les eut-il aperçus, qu’il les saisit de sa main enfantine, et les étouffa. Hercule eut plusieurs
ssue, brise ses flèches, l’habille d’une robe de femme, met entre ses mains une quenouille et des fuseaux, et lui commande de
e quenouille et des fuseaux, et lui commande de travailler… Des mêmes mains dont il terrassait les monstres, Hercule file de
ndormie ; les couleuvres de sa tête dormaient aussi. Minerve guida la main du héros, et tint à côté de lui le bouclier où se
st couverte d’un bonnet en forme d’œuf surmonté d’une étoile, et leur main brandit une lance. § 7. Esculape. Esculape
ous la figure d’un homme pensif, couvert d’un manteau, et tenant à la main un bâton autour duquel s’entortille un serpent. U
, votre mort sera vengée, ou je périrai comme vous ! » Aussitôt d’une main ferme il lance au monstre son javelot, l’atteint
croyait injuste ou exagéré, Hercule leva contre son maître sa pesante main armée de la lyre, et lui en asséna sur la tête un
uer une sorte de république, il résigna ses pouvoirs civils entre les mains d’un Conseil ou Sénat, et ne se réserva que le co
ce, ils furent saisis d’une mutuelle admiration : Pirithoüs tendit la main à Thésée en signe d’amitié, et lui promit de répa
ntrée : c’était le Sphinx. Ce monstre avait la tête, le visage et les mains d’une jeune fille, la voix d’un homme, le corps d
mme, qui, dans son enfance, marche à la fois sur ses pieds et sur ses mains , dans l’âge viril sur ses deux pieds, et, dans sa
cle et Polynice, et demandé au Ciel que ces ingrats se disputassent à main armée le sceptre qu’ils lui arrachaient. Pour pré
e la fatale nouvelle, exécuta l’ordre qu’il avait reçu, et trempa ses mains sacrilèges dans le sein de sa mère. Amphiaraüs re
Il avait pour emblème, sur son bouclier, un homme désarmé tenant à la main un flambeau, avec cette devise en lettres d’or :
t sanglant, où le roi ennemi, Laodamas, fils d’Étéocle, fut tué de la main même d’Alcméon. Consternés de cette perte, les Th
petite statue qui représentait Minerve assise, tenant une pique de la main droite, et de la gauche une quenouille et un fuse
vant la porte de Scée, attendant Achille, et impatient d’en venir aux mains avec lui. Hécube et Priam, tremblant pour la vie
s pâlir le redoutable fils de Pélée. Achille s’approche la pique à la main . Le combat s’engage et devient terrible ; la vict
ment, des bergers phrygiens avec de grands cris amenaient au roi, les mains liées derrière le dos, un jeune inconnu, qui, loi
la muraille pour ouvrir passage à la fatale machine. Tous mettent la main à l’œuvre ; tous se font une gloire de toucher au
chille ; il tue le jeune Politès, fils de Priam, se jette l’épée à la main sur Priam lui-même, et malgré ses cheveux blancs,
ment du sac de Troie, il pénétra dans le temple de Minerve, et, d’une main fumante de carnage, arracha du sanctuaire la prêt
ant la traversée, une des flèches qu’il maniait lui ayant échappé des mains , il en fut blessé au pied, et, la plaie empirant,
ilote annonça un naufrage prochain et inévitable. Idoménée levant les mains au ciel, invoquait Neptune : « Puissant dieu, s’é
 ; voyant ensuite que le cyclope, en marchant à tâtons, ne portait la main que sur le dos des brebis, ils s’attachent sous l
Aucun d’eux en effet n’en vint à bout ; l’arc rebelle résista à leurs mains débiles. Un homme mal vêtu, d’un extérieur peu im
galait celle des plus grands héros. Oreste fit valoir ses droits à la main d’Hermione, mais en vain. Pyrrhus l’épousa, l’emm
Le meurtre est consommé ; et Oreste reçoit pour prix de son crime la main d’Hermione et la couronne de Sparte59. § 22. C
ortant son vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la main , et suivi de Créuse, son épouse, qui disparut dan
plir l’oracle dans la personne de cet illustre fugitif, lui offrit la main de sa fille, et le désigna pour son successeur au
e princesse, résolut de la contraindre par la force à lui accorder sa main  : il fit marcher contre Carthage de nombreux esca
lui offre des herbes fleuries, flatte mollement son cou de sa blanche main , et ose enfin s’asseoir sur son dos. Ses compagne
 : à moins que tu n’aimes mieux, esclave avilie, filer de tes royales mains la tâche qu’il plaira à une étrangère de t’impose
z au ciel. » A ces mots Tisiphone revêt sa robe ensanglantée, arme sa main droite de serpents, prend de la gauche une torche
veulent fuir : la Furie les arrête, et, secouant les serpents dont sa main est entrelacée, elle en jette un contre Ino, un a
l’emporte sur l’amour, saisit Philomèle par les cheveux, lui lie les mains derrière le dos, et tandis qu’elle implore la pit
sortit du palais pendant la nuit, vêtue en bacchante, un thyrse à la main et couronnée de pampre. Confondue avec les autres
ce paraît. Qu’on juge de sa confusion ! Il la rassure, et lui tend la main avec bonté. Psyché est si interdite qu’elle ne pe
lante leur annonça, de concert avec son père, qu’elle ne donnerait sa main qu’à celui d’entre eux qui pourrait la vaincre à
mme elles, leur corps se terminait en queue de poisson, et au lieu de mains elles avaient des griffes. Quand les voyageurs, a
ême jour. Lorsque, appuyant son coude sur sa hanche, il présentait la main droite ouverte et les doigts serrés les uns contr
e, qui s’était entr’ouvert à la première secousse, se referma, et les mains de Milon se trouvèrent si étroitement serrées qu’
mal, malgré toute sa fureur et ses efforts, ne put se débarrasser des mains de Polydamas qu’en lui laissant la corne du pied
ar lequel il était tenu. D’un seul coup il assommait un homme ; d’une main il arrêtait un chariot attelé de six chevaux. Tro
r’ouvrir, et les convives prirent la fuite. Lui seul resta, et de ses mains nerveuses, voulut soutenir la roche qui se détach
ourageusement dans le palais de Circé, et la contraignit, l’épée à la main , de rendre à ses compagnons leur forme première.
moins froide ; déjà le sang circule dans ses veines. Il lui presse la main , il y imprime ses lèvres… Ce n’est plus une statu
ble, demanda de vivre autant d’années qu’elle avait de grains dans la main . Son souhait lui fut accordé ; mais alors elle se
oing. Les deux athlètes avant de combattre armaient leurs vigoureuses mains d’un ceste, ou gantelet de cuir garni de plomb, f
st ordinairement représenté comme un personnage robuste, tenant de la main gauche un bâton recourbé comme une crosse, et de
ornes, entre lesquelles s’élève un-globe ou une espèce de disque ; sa main gauche s’appuie sur un bâton, sa droite porte la
, il tua le géant Typhon, meurtrier d’Osiris, et périt lui-même de la main des Titans. Isis, sa mère, le ressuscita, le rend
chacal), vêtu d’une cuirasse et d’une cotte de mailles, tenant d’une main un caducée et de l’autre un sistre égyptien. (Le
ait Jupiter couronné d’olivier, assis sur un trône d’or, tenant de la main droite une Victoire et de la gauche un sceptre su
nts, ils l’enrichirent de fictions riantes, ils y versèrent à pleines mains les charmes de leur imagination. A leurs yeux, to
7 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
cririus, roi d’Argos, ayant appris par l’oracle, qu’il périroit de la main de l’enfant que sa fille Danaë mettroit au monde,
et sœur de Créon. L’Oracle ayant prédit à Layus qu’il périroit de la main de son fils, il fit exposer son enfant sur le mon
est l’homme, qui dans son enfance rampe et se traîne à l’aide de ses mains ainsi que de ses pieds : qui dans la force de l’â
bles. Œdipe, libérateur de Thèbes, épousa Jocaste qui avoit promis sa main au vainqueur du Sphinx. Ainsi l’infortuné Œdipe é
s expiations, afin d’être délivré des furies ; ce qu’il fit entre les mains de Phégée, dont il épousa la fille Arsinoé ou Alp
le toucher sans offenser le soleil qui, dès qu’on vouloit y porter la main , élevoit à l’instant des tempêtes terribles. T
ù il se trouvoit, vint elle-même se remettre volontairement entre les mains d’Acaste, qui aussitôt rendit la liberté à Admète
rs de l’Olympe10, condamnés à vivre sur la terre, du travail de leurs mains , se mirent à son service pour un temps et un sala
e blessa la première le sanglier dont elle reçut les dépouilles de la main de Méléagre, fils d’Œnée, mais les frères d’Althé
a à la Cour de son père un grand nombre de Princes qui demandèrent sa main . Œnée invita ces Princes à combattre entre eux en
confia sa première éducation aux Nymphes, ensuite il le mit dans les mains de Chiron, instituteur de tous les demi-Dieux et
e. Ce rapt coûta la vie à Castor, qui périt quelque temps après de la main d’un des époux. Pollux, qui avoit reçu l’immortal
mes. Ménélas et Ajax combattirent long-temps encore pour arracher des mains des ennemis le corps de Patrocle, ils y parvinren
alloit l’épouser, Pâris lui décocha une flèche, qui, conduite par la main d’Apollon, l’atteignit au talon, Achille mourut d
eune Ascagne, elle leur donna des tissus merveilleux, ouvrages de ses mains . Ces détails, ces images douces et charmantes n’a
e. Quelques années après, tous les Princes de la Grèce demandèrent la main d’Hélène, Tyndare leur fit jurer solemnellement d
ns de siége, Troye fut prise, Pâris reçut une blessure mortelle de la main de Philoctète ; il se fit porter sur le mont Ida,
voir horriblement mutilé, ils lui coupèrent le nez, les oreilles, les mains , et le laissèrent sans sépulture. Enée le vit en
e donna son nom. Après la prise de Troye, Hécube, furieuse, tua de sa main cette innocente et jeune Hélène. Toute la famille
ea son père Anchise sur ses épaules et tenoit son fils Ascagne par la main . Creüse sa femme le suivoit, elle disparut tout-à
uvrit cet affreux secret, et saisie d’horreur elle arracha l’épée des mains de son fils et se la plongea dans le cœur ; aussi
action de grâce ; pendant cette cérémonie Egisthe le tua de sa propre main , il tira son père de prison, le mit sur le trône,
ami et quelques soldats, tout-a-coup il écarta la garde et tua, de sa main , sa mère et l’usurpateur régicide. Dans les Coëph
se lia avec Iphitus, qui lui donna l’arc devenu si célèbre entre ses mains lorsqu’il le dirigea contre les poursuivans de Pé
t remettre ensuite une lettre supposée de Priam à Palamède, entre les mains d’un Phrygien gagné par lui, qui la montra, et qu
ses dangers dans l’île du Soleil ou ses compagnons osèrent porter une main sacrilége sur les troupeaux consacrés à ce Dieu,
se trouva au siége de Troie, et dans un combat il y blessa Vénus à la main  ; il tua l’espion Dolon ; et il aida à enlever le
acrèrent impitoyablement tous les naufragés qui tombèrent entre leurs mains .   Tels sont les héros les plus fameux de la Myth
ace, ayant une urne sur la tête, une quenouille et un fuseau dans les mains , et traînant derrière elle un cheval attaché par
i, (dit Homère), formoit le double tissu d’une robe éclatante que sa main embellissoit de tableaux lorsqu’on vint lui anno
rsonne ayant sur la tête une couronne de genièvre, un grand clou à la main , et debout entre un bon et un aigle. Pline dit q
la ville de Smyrne, elle avoit une étoile sur la tête et tenoit à la main une corne d’abondance. Communément on la représen
toit représentée sous la figure d’une jeune fille ailée, tenant d’une main une couronne d’olivier et de laurier, et de l’aut
vec un air majestueux, magnifiquement habillée, tenant un style d’une main et un livre de l’autre. On pourroit ajouter à cet
ure d’une femme âgée et vénérable, tenant une corne d’abondance d’une main , et de l’autre main, tenant une baguette qu’elle
et vénérable, tenant une corne d’abondance d’une main, et de l’autre main , tenant une baguette qu’elle étend vers un globe
ivide, elle est coëffée de couleuvres, elle tient trois serpens d’une main , un hydre à sept têtes de l’autre, un aspic lui d
urs les savantes leçons Qui de leurs voix régissent tous les sons, La main du temps creusa les voûtes sombres D’un antre noi
t assis un homme à grandes oreilles comme Midas, cet homme tendoit la main à la calomnie qui s’avançoit ; il avoit près de l
ie. C’étoit une belle femme qui paroissoit irritée, elle tenoit de sa main gauche une torche ardente, et de la droite elle t
droite elle traînoit par les cheveux un jeune garçon, qui tendoit les mains vers le ciel. Devant elle marchoit une figure hyd
lle est coiffée avec des serpens, elle tient une torche ardente d’une main , une couleuvre et un poignard de l’autre. Elle a
çoient la même idée, sous la figure d’une femme hideuse, tenant d’une main un frein brisé, de l’autre un fouet et des couleu
te, couronnée de lauriers, les yeux élevés vers le ciel, tenant d’une main un verre ardent qu’elle échauffe aux rayons du so
a vue Tant de graces et de beauté ? Qui comme elle peut paroître ? Sa main sème plus de fleurs Que l’aurore n’en fait naître
stition. Une vieille ayant sur la tête un chat huant tenant d’une main un cercle d’étoiles, de l’autre une chandelle all
ragilité. Une femme couverte d’un voile transparant, tenant d’une main un bouquet de fleurs et de l’autre, une phiole de
conventions fondées sur la bonne foi, ce que la figure indique par sa main gauche portée sur sa poitrine en signe d’assuranc
r sa poitrine en signe d’assurance, et par l’épée qu’elle tient de la main droite et dont la pointe est baissée vers la terr
   Du Dieu d’Épidaure enchaîné. La Clémence. Elle tient d’une main une brandie de laurier, et de l’autre, une lance.
sente aussi sous la figure d’une femme revêtue de blanc, tenant d’une main un cachet, de l’autre une clef et ayant à ses pie
zes signes du Zodiaque et une petite figure qui tient une palme d’une main , et de l’autre, une guirlande. Sur plusieurs méda
ous les traits d’une Amazone assise sur des dépouilles, portant de la main droite un globe surmonté d’une petite victoire, e
t de la main droite un globe surmonté d’une petite victoire, et de la main gauche tenant un hast. Mais, dans un tableau, le
e sous les traits d’un enfant ailé, couronné de laurier, tenant d’une main une couronne civique, (faite de feuilles de chêne
a représentoient sous la figure bizarre d’un jeune homme ayant quatre mains , quatre oreilles55, portant un carquois et tenant
lumé, s’avançant devant un épais tourbillon de fumée, tenant dans ses mains , comme l’Amour de la gloire, une couronne de chên
L’Expérience. Une vieille femme vêtue de gaze d’or, tenant d’une main un carré géométrique, de l’autre, une baguette av
mas nous a laissé une belle Ode sur le Temps. Le Temps enlevant d’une main la Jeunesse, et de l’autre, répandant les attribu
emportent la balance. La Persévérance. Une femme tenant d’une main une mèche allumée et de l’autre, un serpent qui m
la caractériser ainsi : une femme couronnée d’olivier, portant d’une main le flambeau de la foi, et de l’autre, le voile de
L’Innocence. Une jeune fille couronnée de palmes, ayant les mains et les bras dans une eau pure et un agneau près d
8 (1845) Mythologie de la jeunesse
tout lui était soumis : le ciel, la terre et les enfers. Il tenait en main un livre ou une urne qui renfermait le sort de to
n le représentait sous les traits d’un vieillard chauve, tenant d’une main une faux, et de l’autre un sablier, pour montrer
, une longue barbe, assis sur un trône d’or ou d’ivoire, tenant d’une main la foudre et de l’autre un sceptre, et ayant à se
amos, à Carthage et à Rome. Appuyée sur un arc-en-ciel, le sceptre en main , la tête couronnée de lis, elle avait à ses pieds
orps de vautour, des oreilles d’ours, et des griffes aux pieds et aux mains . Elles causaient la famine partout où elles passa
en forme de coquille, traîné par des chevaux marins, et tenant en sa main un trident [Fig. 32]. [Fig. 32] Il attelle so
’ébène, tantôt sur un char traîné par des chevaux noirs, tenant de la main droite une espèce de fourche ou des clefs [Fig. 3
les Champs-Élysées, et celles des méchants étaient entraînées par une main invisible dans le Tartare, où les attendaient les
ensanglantés, des serpents entrelacés autour de la tête, tenant d’une main une torche ardente, et de l’autre un fouet de cou
un char, et couverte d’un voile noir parsemé d’étoiles [Fig. 44]. Sa main tenait un flambeau renversé. [Fig. 44] Elle av
pâle et les yeux fermés, couverte d’un voile, et tenant une faux à la main . Le coq, l’if et le cyprès lui étaient consacrés.
nt les branches se redressaient chaque fois qu’il voulait y porter la main [Fig. 47] ; et les cinquante filles de Danaüs, co
une belle femme, couronnée d’une guirlande d’épis, et tenant dans ses mains une gerbe de blé et une faucille [Fig. 49]. [Fi
représentée vêtue d’une longue robe, le front voilé, et tenant de la main droite une lampe [Fig. 51]. [Fig. 51] Mercu
t aux talons, la tête ornée d’une espèce de chapeau ailé, tenant à la main le caducée, symbole de la paix [Fig. 52]. Ce cadu
déesse. On la représentait avec un casque à visière, une lance d’une main , un bouclier de l’autre, et l’égide22 sur la poit
sans barbe, la tête ceinte d’une couronne de laurier et une lyre à la main [Fig. 61]. Le souvenir de sa victoire sur le serp
e tunique légère, un carquois sur l’épaule, un arc et une flèche à la main , un chien ou une biche à ses côtés [Fig. 63]. Pri
e riant et sans barbe, couronné de pampres et de lierre, tenant d’une main des grappes de raisin ou une coupe, et de l’autre
Fig. 66], quelquefois avec un bandeau sur les yeux et une torche à la main . [Fig. 66] Il épousa Psyché, malgré sa mère, q
de la poésie héroïque. Le front ceint de lauriers, elle tenait d’une main une trompette, et de l’autre un livre. Clio, mus
die. On la, représentait appuyée sur une colonne, avec un masque a la main  ; elle était chaussée de brodequins. Melpomène,
ait avec une lyre. Euterpe présidait à la musique ; elle tenait à la main une flûte. Uranie, muse de l’astronomie et des m
e, tantôt ailé, tantôt sans ailes, et presque toujours une coupe à la main . Comus. Comus, dieu de la bonne chère et d
Jeune, gras, la tête couronnée de roses, il tenait un flambeau de la main droite, et de la gauche s’appuyait sur un pieu [F
le représentait sous la figure d’un jeune homme demi-nu, tenant d’une main une corne, et ayant un doigt sur la bouche [Fig. 
les plis de sa robe. Vertumne était couronné d’herbes, et tenait à la main des fruits et une corne d’abondance [Fig. 74].
rre, présidait à la justice. On la représentait avec une balance à la main et un bandeau sur les yeux [Fig. 78]. [Fig. 78]
Jupiter lui-même était forcé de lui obéir. Horace la dépeint avec des mains de bronze, dans lesquelles elle tenait de longues
yeux hagards et enflammés, la tête entourée de serpents, tenant d’une main une torche ardente, et de l’autre une couleuvre e
regard louche et sombre, au teint livide, tenant des vipères dans ses mains , et entourée d’un serpent qui lui rongeait le sei
s. On la représentait sous les traits d’une amazone, embrassant d’une main une colonne, et tenant de l’autre un rameau de ch
lle était représentée sous les traits d’une belle femme, tenant d’une main une branche d’olivier, et de l’autre un caducée [
de langues que de plumes. La Victoire. La Victoire tenait d’une main une couronne, une palme de l’autre, et s’appuyait
ne vierge, vêtue de blanc, ayant une contenance modeste, tenant de la main gauche un livre ouvert, et de la droite un miroir
Tantôt c’était une femme voilée, tantôt une vierge qui approchait sa main de son visage, pour montrer qu’elle n’a aucun suj
ient sous la figure d’une femme qui se tient debout, et qui a dans sa main un bonnet, symbole de la liberté [Fig. 89], car l
la lettre de Prœtus. Cependant, Iobate lui-même, n’osant souiller ses mains du sang de son hôte, le pria de délivrer le pays
ux à midi, et trois le soir ? On avait promis le trône de Laïus et la main de Jocaste à celui qui devinerait le sens de ces
st l’homme, qui, dans son enfance, se traîne sur ses pieds et sur ses mains  ; qui, dans la force de l’âge, se tient debout su
bsorbée par la douleur que lui causait la perte de sa fille, porta la main à cet exécrable mets et en mangea une épaule. Jup
disgrâce de ses compagnons. Le héros arrive et se jette, l’épée à la main , sur la déesse, comme pour lui ôter la vie. Celle
rse, et suis le droit chemin. Phaéton, à ces mots, prend les rênes en main  ; De ses chevaux ailés il bat les flancs agiles ;
oileau] Cependant les chevaux du Soleil, se sentant conduire par une main étrangère, se détournent de la route ordinaire ;
a déesse, honteuse de se voir ainsi surprise, puise de l’eau dans ses mains et en jette au visage du chasseur [Fig. 108]. Act
pelant à son secours toutes les Furies des Enfers, court, l’épée à la main , sur Philomèle et Progné ; mais elles fuyaient av
manquait jamais son but et avait en outre la vertu de revenir dans la main qui l’avait lancé. Quelque temps après, Procris s
chée en mariage par plusieurs jeunes princes, son père déclara que sa main serait le prix de celui qui la vaincrait à la cou
Suivant le récit de Moïse, l’univers ne sortit pas tout d’un coup des mains de Dieu avec sa forme et sa beauté. La création f
umaine, c’est le premier homme, qui, voulant tout connaître, porte la main à l’arbre de la science du bien et du mal et enco
à tour. Toutes trois avaient les cheveux entrelacés de serpents, les mains d’airain, et leur regard pétrifiait. 35. On croy
9 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
eillard aveugle, ayant sous ses pieds le globe de la terre, entre les mains l’urne qui renfermait le sort des mortels, et dev
es. Il porte des ailes, qui indiquent sa marche rapide. Il tient à la main un sablier, dont les anciens se servaient comme d
sein. Elle porte sur la tête une couronne de tours et des clefs à la main . Des lions sont attelés à son char. Ses temples a
urante :        Jupiter est victorieux, Et tout cède à l’effort de sa main froudoyante. Les anciens croyaient que les érupt
honteusement chassé du ciel. On le représente tenant un masque d’une main , et de l’autre une marotte, espèce de sceptre sur
ec de l’argile le corps d’une jeune fille. Dès qu’elle fut sortie des mains de l’artiste, tous les dieux la comblèrent de pré
l’Olympe. On le représente assis sur un trône d’or ou d’ivoire. D’une main il tient la foudre, et de l’autre un sceptre ; à
se sur un trône, la tête ceinte d’un diadème, tenant un sceptre d’une main , et de l’autre un fuseau. Auprès d’elle est un pa
grave, simple et majestueux. Sa tête est couverte d’un casque ; d’une main elle tient une lance, de l’autre son égide ou bou
édon, qui élevait alors les murailles de Troie. Il y travailla de ses mains avec Neptune, chassé comme lui du ciel. Le prince
u’il aimait tendrement, Zéphire jaloux détourna le palet lancé par la main du dieu, et le dirigea contre la tête de son ami,
lié par un serment irrévocable, consentit, mais à regret. Bientôt la main faible et inexpérimentée de Phaéton laissa dévier
n le représente la tête environnée de rayons, et tenant un globe à la main , tandis qu’Apollon, qui est alors appelé Phœbus,
sous la forme d’un jeune homme d’une beauté éclatante, une lyre à la main , et la tête ceinte d’une couronne de laurier. La
gère, chaussée d’un cothurne, un carquois sur l’épaule et un arc à la main  ; un chien est à ses côtés. Quelquefois elle est
le jeune dieu poussa trop loin ses licences : il essaya de porter la main sur la foudre de Jupiter, qui l’envoya partager l
rs la tête couverte. Comme dieu du commerce, il porte une bourse à la main . Enfin, comme dieu de l’éloquence, on lui voit so
dansant en cercle et ornées de guirlandes de fleurs. L’une tient à la main une rose, l’autre une branche de myrte, la troisi
robuste, pour indiquer la fertilité de la terre. Elle tient dans ses mains une gerbe et une faucille, sa tête est ceinte d’u
Éducation de Bacchus ; Silène. Bacchus fut d’abord remis entre les mains d’Ino, sa tante, qui l’éleva avec le secours des
Il est représenté portant sur la tête une couronne de lierre, et à la main une coupe qui s’emplit et se vide sans cesse. Il
eil, un serpent à deux têtes ; mais le jeune dieu l’étouffa entre ses mains . Alors elle le frappa d’une folie qui le fit voya
buveurs, Bacchus est représenté assis sur un tonneau, une coupe à la main . On lui avait consacré la pie, comme symbole de l
c’étaient des courses dans lesquelles les concurrents se passaient de main en main une torche qui ne devait s’éteindre qu’au
t des courses dans lesquelles les concurrents se passaient de main en main une torche qui ne devait s’éteindre qu’au bout de
n est représenté à demi nu, la barbe et la chevelure négligées. De la main gauche il tient des tenailles, et de la droite un
de fruits et Vertumne couronné de fleurs, ayant l’une et l’autre à la main une corne d’abondance. Priape, dieu des jardins,
ne, et une couronne de feuilles de vigne ou de laurier. Il tient à la main une baguette pour écarter les oiseaux et une mass
amps. On le représente avec une tête d’homme, mais sans pieds et sans mains , comme emblème de l’immobilité. Sylvain était le
ondes de la mer, le front armé de deux pinces d’écrevisse, ayant à la main une pique et à ses côtés un monstre marin. 72.
ous les traits de jeunes filles assises sur des dauphins, tenant à la main le trident du dieu des mers et quelquefois des gu
char en forme de conque, traîné par des chevaux marins. Il tient à la main un trident : les Tritons et les Néréides l’accomp
s. Proserpine est à sa gauche, et Cerbère à ses pieds. Il tient de la main droite tantôt un sceptre à deux pointes, tantôt u
nduites par Mercure. Minos présidait la cour infernale et tenait à la main un sceptre, emblème de son autorité souveraine. C
enaçant, la bouche béante, la tête hérissée de serpents, tenant d’une main une torche enflammée et de l’autre un fouet de co
vieillard robuste, qui se tient debout dans une barque, une rame à la main . Sa barbe est blanche et touffue, son front trist
ailes, la roue et le gouvernail avec lesquels on la représente. D’une main elle tient un flambeau qui éclaire les conscience
hées ; il veut manger, les branches de l’arbre se retirent lorsque sa main croit les saisir. Les poëtes ont fait du supplice
ombien il est difficile de la découvrir . Quelquefois elle porte à la main un miroir accompagné de fleurs et de pierreries,
e était chez les anciens l’emblème de la perfection.) Elle tient à la main une couronne de laurier. Un poëte a dit : Adorab
cine fils.) L’Honneur est figuré par un homme tenant une pique de la main droite et de l’autre une corne d’abondance. La pi
vers les dieux, est figurée par une vierge ayant des ailes ; dans une main une cassolette fumante qu’elle élève vers le ciel
omère, sont filles de Jupiter. Boiteuses, timides, elles marchent les mains jointes, les yeux baissés, à la suite d’Até, ou l
les Grecs, est représentée sous les traits d’une vierge, tenant d’une main un glaive et de l’autre une balance, dont les pla
t la vie ; sur son front étaient ceux-ci : hiver et été ; enfin de la main droite elle montrait son côté ouvert jusqu’au cœu
Tempérance, est représentée sous les traits d’une Amazone, qui d’une main embrasse une colonne et de l’autre tient un ramea
s voltigent autour de lui, et Orphée, son ministre, une baguette à la main , veille à ce qu’aucun bruit ne trouble le silence
géant Pallas, est représentée avec des ailes, tenant une palme d’une main et de l’autre une couronne de laurier. La Paix ét
s travaux. On représente cette déesse avec un air doux, portant d’une main une corne d’abondance, de l’autre une branche d’o
Elle est représentée sous la figure d’une femme romaine tenant d’une main un sceptre brisé, de l’autre une pique surmontée
sous la figure d’une belle femme, couronnée de fleurs et tenant à la main une corne remplie de fruits, appelée corne d’abon
plement sous la figure d’une femme ailée qui tient une trompette à la main . Voici le portrait qu’en a fait Virgile au quatri
ché de fleurs, sous lesquelles s’agitent des serpents. Il tient d’une main un masque riant, de l’autre un hameçon et un file
ouchée nonchalamment, appuyée sur l’un de ses bras, tenant de l’autre main un sablier renversé, symbole du temps perdu. La P
rtels il borne ses desseins ; Le sang de son parti rougit souvent ses mains  ; Il habite en tyran dans les cœurs qu’il déchire
lle s’y montrait elle-même les cheveux épars, tenant une torche d’une main et de l’autre un fouet dont elle animait les comb
es yeux caves et louches, un teint livide, une horrible maigreur, les mains pleines de serpents, dont un lui ronge le sein. V
s, père de cette princesse, averti par un oracle qu’il périrait de la main de son petit-fils, enferma sa fille dans une tour
rytus, qui lui avait appris à tirer de l’arc. Eurytus avait promis la main de sa fille à celui qui le vaincrait dans cet art
e toi ? Mes membres t’offrent-ils quelques restes de moi ? Non, cette main si faible et presque inanimée N’est plus la main
de moi ? Non, cette main si faible et presque inanimée N’est plus la main fatale au lion de Némée. Est-ce donc là ce bras d
t de le faire renaître plein de vigueur. Le vieillard périt ainsi des mains de ses filles. Après ce crime, Jason, ayant horre
ient mes sujets et faits pour m’obéir. Je marche donc vers eux, et ma main furieuse Arrête des coursiers la fougue impétueus
ait découvert. Jocaste, veuve de Laïus, avait proposé son trône et sa main à celui qui obtiendrait cette victoire. Œdipe se
cis, Œdipe chez Admète.) Elle-même s’écrie en arrosant de pleurs les mains d’Œdipe.                                      Mo
leur avait prédit, qu’ils se partageraient son héritage, le fer à la main , et se donneraient mutuellement la mort. Devenus
yables. Près d’un taureau mourant qu’ils viennent d’égorger, Tous, la main dans le sang, jurent de se venger : Ils en jurent
l se sent percer lui-même, et tous deux expirent en même temps par la main l’un de l’autre. Mais voyons dans Racine cette sc
« Et tu meurs, lui dit-il, et moi je vais régner ! « Regarde dans mes mains l’empire et la victoire ; « Va rougir aux enfers
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenait à la main , Il lui perce le cœur ; et son âme ravie En achev
Bientôt, épris des charmes de Polyxène, fille de Priam, il obtient sa main  ; mais tandis qu’il la conduit à l’autel, Pâris l
ux le tableau de la mort de Priam : Tout à coup de Pyrrhus fuyant la main cruelle A travers mille dards, un dernier fils du
ve son trône et son lit souillés par Egisthe, et reçoit la mort de la main de Clytemnestre, son épouse. Cassandre, fille de
st toi que l’on peignait ainsi qu’un fleuve immense Où, la coupe à la main , venaient puiser les arts. Virgile sur toi seul
sent : Ou tel que tu peignais ce souverain des cieux, De sa puissante main enlevant tous les dieux, Les maîtres du pinceau,
meut l’univers. Que tu m’offres du cœur des peintures savantes ! Les mains du sang d’Hector encore toutes fumantes, Achille
uelle promesse Tyndare, son père, avait-il exigé des prétendants à la main d’Hélène ? Quels furent ceux auxquels Ménélas rap
uit Typhon, et après l’avoir vaincu dans deux batailles, le tue de sa main . Le jeune prince monte alors sur le trône paterne
il créa fut la déesse Bhavani. De trois œufs qui se formèrent sur les mains de celle-ci, sortirent trois dieux, qui composent
uit la source limpide où se peint son image, Les doux fruits que leur main de l’arbre a détachés Ou que d’un souffle impur l
ont elle ne se sépare pas. On représente Siva avec cinq têtes, quatre mains et trois yeux à sa tête principale. Il est monté
ien n’oserait pas écraser un insecte, et cependant ne tendrait pas la main à un paria pour l’empêcher de tomber dans un préc
s, sur les bords solitaires de l’Océan, dans les lieux incultes où la main de l’homme n’avait pas pénétré. Leurs prêtres s’a
nt paisibles ; cette baguette, qu’il ne cessa dès lors de porter à la main , fut appelée caducée, et devint un symbole de pai
Cet animal est l’homme. Dans l’enfance il marche sur les pieds et les mains , se tient droit dans la jeunesse et l’âge mûr, et
10 (1850) Précis élémentaire de mythologie
nt de la première édition. La mythologie n’est plus mise entre les mains des enfants dans un certain nombre de maisons d’é
ons, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa main des fleurs toujours écloses. 6. L’étude de la m
le représentait sous la figure d’un vieillard aveugle tenant dans ses mains une urne où était renfermé le sort de tous les hu
nuit le retour du jour. On représentait la Nuit avec un flambeau à la main , des ailes de chauve-souris et un manteau parsemé
assé et l’autre vers l’avenir. On lui mettait aussi une baguette à la main , parce qu’il présidait aux chemins publics, et un
es villes placées sous sa protection ; elle tenait des clefs dans ses mains pour marquer les trésors que la terre renferme da
ctyles (daktyles), parce qu’ils étaient dix comme les doigts des deux mains . Dans les fêtes de leur déesse, ils frappaient le
es dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodiguant par leur main Tous les présents dont l’Olympe s’honore, Fit mér
dirent-ils, vos moindres créatures : Aurions-nous bien le cœur et les mains assez pures Pour présider ici sur les honneurs di
Jupiter exauça leur prière innocente. Hélas ! dit Philémon, si votre main puissante Voulait favoriser jusqu’au bout deux mo
vos autels ; Clothon ferait d’un coup ce double sacrifice ; D’autres mains nous rendraient en vain ce triste office. Je ne p
ayant une barbe touffue, des sourcils noirs et épais, portant dans sa main droite la foudre et dans la gauche une victoire.
assise sur un trône, un diadème sur la tête, un sceptre d’or dans une main et dans l’autre un fuseau ; à ses pieds un paon,
ou de pavots, ses cheveux sont blonds ; elle tient une faucille d’une main ou une gerbe de blé, et de l’autre des pavots. On
l’avoir vaincu en présence des hommes et des Muses, lui fit lier les mains derrière le dos, et l’écorcha tout vif, donnant u
de. A ses pieds étaient les emblèmes de tous les arts. Il tenait à la main sa lyre d’or dont les sons charmaient les dieux e
ommes. — Quand il est pris pour le dieu du soleil, il a un coq sur la main , il est couronné de rayons de lumière et parcourt
e d’un cothurne, portant un carquois sur l’épaule, tenant un arc à la main et ayant un chien à ses côtés. On lui met un croi
rs. Comme divinité tutélaire des marchands, il tient une bourse d’une main et de l’autre un rameau d’olivier et une massue.
figure d’un jeune homme, la taille svelte et dégagée, et tenait à la main le merveilleux caducée. 6. On lui donnait des nom
e qu’il présidait aux chemins. Ses statues, qui n’avaient ni pieds ni mains , s’appelaient hermès. On plaçait son image au-des
n casque sur la tête, une égide sur la poitrine, et elle tenait d’une main sa lance et de l’autre son bouclier. Auprès d’ell
tête, les cheveux épars, l’œil en feu et une torche ensanglantée à la main . On immolait sur ses autels des loups et quelquef
x où les jouteurs couraient avec des flambeaux qu’ils se passaient de main en main, curieux et touchant symbole de la vie qu
jouteurs couraient avec des flambeaux qu’ils se passaient de main en main , curieux et touchant symbole de la vie qui se tra
, un bonnet rond et pointu, des jambes cagneuses, un marteau dans une main et dans l’autre des tenailles. Questionnaire.
ouvert de lie et la tête couronnée de pampres de vigne. Il tient à la main une coupe qu’il vide sans cesse et qui se remplit
le corps vêtu de peaux de tigres ou de panthères, portant dans leurs mains des thyrses ou des flambeaux, et mettant en pièce
in Bacchus entre avec son cortége. « Où sont, dit-il, ces sœurs à la main sacrilége ? Que Pallas les défende et vienne en l
flottante ; il est couronné de pampres ou de lierres, et tient d’une main des grappes de raisin ou une coupe, tandis que de
té sous la figure d’un jeune homme couronné de fleurs, tenant dans sa main droite un flambeau et dans sa gauche un voile nup
pour montrer qu’il ne lâche jamais sa proie. Il tenait une pique à la main , et avait un monstre à ses côtés. Téthys était po
e chauves-souris, un corps de vautour et des griffes aux pieds et aux mains . Elles étaient excessivement sales, et elles infe
n fils s’appelait Portumnus, et on le représentait avec une clef à la main parce qu’il était reconnu comme le protecteur des
comme les eaux de l’Océan. 15. On représente Neptune un trident à la main , debout sur les flots de la mer ou monté sur un c
es aventures sur terre ? 4. Qui épousa Neptune ? Comment obtint-il la main d’Amphitrite ? Quels enfants eut-il de ce mariage
iles de chauve-souris, des serpents pour cheveux, et des torches à la main . 7. Outre ces divinités vengeresses, il y avait e
ier que les richesses s’évanouissent rapidement. Il a une bourse à la main et il est aveugle, parce que la fortune répand se
’une jeune lionne qu’il avait tuée dans les forêts. Il tenait dans sa main une houlette courbée et noueuse. Sa queue paraiss
dieu Pan, avec cette différence qu’il tenait une branche de pin à la main . On donne généralement les noms de Sylvains, de F
e les fruits parviennent à leur maturité. Cette déesse tient dans ses mains une corne d’abondance, en signe des bienfaits qu’
ionomie d’un vieillard chagrin, à la barbe longue et négligée. Sur la main il avait un hibou, oiseau de mauvais augure. Qu
age enluminé par le vin et le front couronné de roses. Il tient, à la main droite un flambeau et s’appuie de la gauche sur u
e que la raillerie démasque les vices des hommes, et une marotte à la main en signe de folie. 5. L’Aurore était fille du Sol
e feu que traînaient les chevaux Lampus et Phaéton. Elle portait à sa main une torche, et était vêtue d’une longue robe de s
comme des astres. Elle tenait un livre ouvert avec une palme dans une main et de l’autre un miroir orné de fleurs et de pier
la figure d’une femme au regard terrible et sévère. Elle tient d’une main une balance et de l’autre une épée. Ses yeux sont
t le lion, le roi des animaux. Elle est représentée en amazone. D’une main elle embrasse une colonne et de l’autre elle tien
e déesse sous la figure d’une femme voilée ou d’une vierge portant la main droite au visage et un de ses doigts au front, po
et modeste, ayant sur la tête une couronne de lauriers et tenant à la main une corne d’abondance, Quelquefois elle portait u
s l’image d’une jeune fille couronnée de guirlandes, portant dans ses mains des cornes d’abondance. Quelquefois elle tenait u
acèrent au Capitole et la représentèrent avec des ailes, tenant d’une main une couronne de laurier et de l’autre une palme e
femme vêtue de blanc, symbole de l’innocence, tenant un bonnet de la main droite en signe d’affranchissement et une pique d
rte de serpents au lieu de cheveux ; elle tenait trois serpents d’une main et de l’autre une hydre. Un reptile monstrueux lu
t un air hagard, des vêtements déchirés, et lui faisaient tenir d’une main des torches enflammées ou un poignard et de l’aut
ortels il borne ses desseins, Le sang de son parti rougit souvent ses mains  : Il habite en tyran dans les cœurs qu’il déchire
erpents s’agitent. Il avait pour attribut un masque qu’il tenait à la main , des hameçons et des filets. Le Mensonge, la Frau
pour ce motif entourée de chaînes, de clous et de marteaux, avec des mains de bronze. A Corinthe, elle avait un temple où pe
taquer. Après de grands efforts le héros le saisit, le déchira de ses mains , et se fit de sa peau une espèce de bouclier et d
e, les épaules couvertes de la peau du lion de Némée, une massue à la main . Quelquefois il a son arc et son carquois rempli
utour de lui rangés. Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes ; Sa main sur les chevaux laissait flotter les rênes ; Ces
s, saisit ses javelots, Pousse au monstre ; et, d’un dard lancé d’une main sûre, Il lui fait dans le flanc une large blessur
Seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il veut les rappeler, et sa voix les e
les dépouilles sanglantes. J’arrive, je l’appelle, et, me tendant la main , Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain. «
roi d’Argos. Un oracle ayant annoncé à ce tyran qu’il périrait de la main d’un de ses petits-fils, ce barbare mit Danaé et
aient de Neptune par Phorcys et Céto, deux divinités maritimes. Leurs mains étaient d’airain, leur chevelure de serpents, et
’accusation contre Bellérophon. Il ne voulut pourtant pas tremper ses mains dans le sang de ce héros illustre. Il prit le par
e crime d’Andromède ? Quel combat eut à livrer Persée pour obtenir sa main  ? A qui consacra-t-il la tête de Méduse ? 6. Quel
gémissant l’oiseleur inhumain Qui, glissant dans son nid une furtive main , Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore
le représente le front couronné de lauriers, un luth ou une lyre à la main , et autour de lui on voit des animaux féroces cha
de ses sons. Ne pouvant y réussir, il se jeta à la mer, sa lyre à la main . Un dauphin, que ses sons harmonieux avaient atti
s, et pour comble de malheur l’oracle lui apprit qu’il périrait de la main de l’enfant que Jocaste sa femme était sur le poi
déjà parricide. Jocaste restée veuve promit aussitôt son trône et sa main à celui qui triompherait du Sphinx. C’était un mo
ait l’homme qui, dans son enfance, se traîne sur ses pieds et sur ses mains , au milieu de sa carrière marche sur deux pieds,
ner, Et tu meurs, lui dit-il, et moi je vais régner. Regarde dans mes mains l’empire et la victoire, Va rougir aux enfers de
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenait à la main , Il lui perce le cœur ; et son âme ravie, En ache
marcher à l’ennemi avec ses troupes. Patrocle fut vaincu et tué de la main d’Hector. Ce malheur remplit de chagrin le bouill
res aux mânes de Patrocle. Il lui éleva un grand bûcher, immola de sa main douze captifs, et célébra des jeux magnifiques. L
aux genoux d’Achille, lui parla au nom de son père, et lui baissa la main en prononçant ces belles paroles : Juge de mon ma
nçant ces belles paroles : Juge de mon malheur en me voyant baiser la main qui a tué mon fils. Achille avait juré de laisser
son dos les dieux pénates de sa patrie, prit son fils Ascagne par la main , et se retira avec lui sur le mont Ida. Il y cons
leur oncle. Oreste revint après douze ans d’exil, et tua de sa propre main sa mère Clytemnestre et Egisthe, son beau-père. L
croyait mort depuis longtemps. Une foule de princes se disputaient la main de Pénélope, sa fidèle épouse. Cette princesse av
le défaisait la nuit ce qu’elle faisait le jour. Enfin elle promit sa main et sa couronne à celui qui se servirait de l’arc
sa taille et de ses bras ; la lance, l’épée, la flamme sont dans ses mains  ; le tigre a remplacé le taureau, enfin son corps
ue c’était le vrai Dieu qu’ils adoraient ainsi dans les œuvres de ses mains . Parmi les Pères, Minucius Félix et saint Cyprien
leurs études. Tous les phénomènes de la nature devenaient entre leurs mains autant de pronostics que la crédulité du peuple a
et préparées. « Ainsi il fallait cueillir le samolus à jeun et de la main gauche, l’arracher de terre sans le regarder, et
it aperçu la plante, on se baissait comme par hasard, et, glissant la main droite sous le bras gauche, on l’arrachait sans j
ué, un druide en robe blanche montait sur l’arbre, la serpe d’or à la main , et tranchait la racine de la plante que d’autres
11 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
ne est représenté sous la figure d’un vieillard tenant une faux de la main droite. Tout le temps que ce Dieu passa en Italie
                         Prodigue en ses largesses, Cybèle, à pleines mains (nous) répand ses richesses, De ses bienfaits nou
. Son front est couronné de tours, de chapiteaux,         Et dans ses mains sont les trousseaux         Des clés de tous les
t six mois sur la terre. Quelquefois, on représente Cérès tenant à la main un flambeau ou des pavots, et montée sur un char
es vierges qui président aux fêtes Eleusines. On la voit tenant d’une main une faucille, et de l’autre des épis dont elle es
es dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel, prodiguant par leur main Tous les présens dont l’Olympe s’honore, Fit méri
r avec des sourcils noirs, le front couvert de nuages, la foudre à la main , et l’aigle à ses pieds. Le respect et l’équité s
r la tête suffisait pour assommer. Le Saut se faisait quelquefois les mains vides, ou bien avec des poids de plomb, qu’on por
ins vides, ou bien avec des poids de plomb, qu’on portait ou dans ses mains ou sur la tête et les épaules. Le Disque était un
n trou qu’on perçait au milieu. Celui qui le lançait avait une de ses mains approchée contre sa poitrine, tandis que l’autre
tans, excepté un, qui, par un tour d’adresse, le saisit au cou à deux mains  ; Arrachion, presque étranglé et près de mourir,
mmer d’un coup de poing, et le manger le même jour. Il tenait dans sa main fermée, une orange ou une grenade, que personne n
rra si fort que l’animal ne put lui échapper. Il arrêtait d’une seule main un chariot attelé de plusieurs chevaux. Darius, f
t attacher sous les deux pieds deux enclumes, après lui avoir lié les mains derrière le dos avec une chaîne d’or. Vulcain fut
, il paraît barbu, les cheveux négligés, en habit court, tenant de la main droite un marteau, et de la gauche des tenailles.
que Mercure, instruit de son sort par la belle Héribée, l’arracha des mains de ses persécuteurs. Mars est blessé par Diomèd
Bellone, le regard furieux, les cheveux épars, tenait les rênes d’une main , et de l’autre un fouet ensanglanté. Le dieu, le
he, d’où Pallas sortit tout armée, le casque en tête et la lance à la main . L’idée de cette génération toute poétique semble
sse ayant sur la tête un casque surmonté d’une chouette, tenant d’une main une pique, et l’égide de l’autre ; c’était un bou
ite des os de Pélops, ancien roi du Péloponèse, tenait une pique à la main droite, une quenouille et un fuseau à la gauche ;
mettre : En voyant ces œillets, qu’un illustre guerrier Arrosa d’une main qui gagna des batailles, Souviens-toi qu’Apollon
s d’Apollon et de la nymphe Caronis, fut mis de bonne heure entre les mains du centaure Chiron qui lui donna la connaissance
le magnifique. Il y était représenté assis sur un trône, tenant d’une main un bâton, et appuyant l’autre sur la tête d’un se
, Esculape apparut en songe au chef de l’ambassade ; il avait dans la main gauche un bâton autour duquel était un serpent, e
. Les chevaux allaient plus vite que le vent. Ne reconnaissant pas la main novice qui les guidait, ils prirent l’écart, et e
order autant d’années qu’elle tenait alors de grains de sable dans la main  ; mais elle oublia de demander la faveur de ne po
igres et de panthère, et tout échevelées ; elles portaient dans leurs mains des flambeaux ou des thyrses, grimpaient sur les
les servaient à indiquer la route : ces statues n’avaient ni pieds ni mains  ; on les nommait Hermoe, Hermès. Mercure inventa
esse, on lui attacha des ailes aux talons et à la tête. Il portait en main un caducée, baguette autour de laquelle étaient d
que, la nuit, à l’heure où chacun repose, il allât, une baguette à la main , conduire les morts aux enfers et assister à leur
ttaient point. On les peint nues, jeunes, riantes et se tenant par la main . Elles sont nues pour montrer que les grâces n’em
Elles sont dans l’attitude de personnes qui dansent, se tenant par la main sans se quitter, pour nous apprendre que nous dev
er nos vœux     « Et signaler son auguste alliance, « Il confie à vos mains le dépôt précieux     « Des trésors de sa bienfai
leurs épaules et flottaient au gré des vents ; la déesse tenait d’une main un sceptre d’or pour commander aux vagues ; de l’
de fille, un corps de vautour, des ailes aux côtés et des griffes aux mains . On les appelait aussi oiseaux stymphalides ; tou
, des sourcils épais, des yeux rouges et un regard menaçant ; dans sa main droite est une longue fourche ; l’autre tient une
s la favorite de Pluton et son ministre : une faulx sanglante arme sa main décharnée ; une robe noire parsemée d’étoiles cou
et Pélée. On le représente, ainsi que Rhadamanthe, une houssine à la main . Les Champs-Elysées. Les Champs-Elysées ét
er. Sur un rapide char, dont l’orgueil fut le guide, Une torche à la main  ; il parcourait l’Elide, Exigeait les honneurs du
coursiers l’impétueux passage Imitait la tempête, et mettait dans ses mains Les secrets du tonnerre, ignorés des humains ! Ma
gés de fruits ombragent le cristal d’une onde pure, ses lèvres et ses mains essaient vainement d’atteindre ces objets de ses
i donnent des ailes, d’autres la représentent sans char, tenant d’une main un grand voile, et tournant de l’autre un flambea
s enfans du Sommeil. On peint toujours Morphée tenant des pavots à la main . Son nom signifie Figure ou Image ; parce que, du
l’on voit les hommes réunis avec les animaux. On lui fait tenir à la main une sorte de flûte à plusieurs tuyaux, pour marqu
uronnée de guirlandes et couverte d’une draperie qu’elle tenait de la main droite ; de l’autre elle présentait une poignée d
e, qui avait passé dans ce canton, dit qu’il se lava le visage et les mains à la fontaine sacrée qui coulait à l’entrée du bo
d panier plein de fleurs et de fruits, tenant quelques pommes dans la main gauche et un rameau dans la droite, sa longue rob
éral d’armée prêt à livrer bataille ; en pêcheur avec des filets à la main . Quelquefois il portait une échelle sur ses épaul
es fruits. Tantôt c’était un véritable vigneron, ayant une serpe à la main  ; tantôt un faucheur, la tête couronnée de foin e
on le voyait comme un bouvier qui quitte la charrue, l’aiguillon à la main . A la faveur de tous ces déguisemens, il avait le
s Pénates ! mes dieux Lares ! Chers protecteurs de mon foyer ! Si mes mains , pour vous fétoyer, De gâteaux ne sont point avar
orage, Quêtant pour lui sur son passage, Dans son casque ou sa faible main , Avec les grâces de son âge, De quoi ne pas mouri
it ces petites divinités sous la figure d’un jeune homme tenant d’une main un vase à boire, et de l’autre une corne d’abonda
était écrit, et que les autres dieux consultaient ; il tient dans ses mains l’urne qui renferme le sort des mortels. Voici la
ble Offre en un point l’avenir ramassé ; L’urne des sorts est dans sa main terrible ; L’âge des temps pour lui seul est fixé
esse à ce palais terrible ; Et de là, sur la terre il verse à pleines mains Et les biens et les maux destinés aux humains : S
représente par deux jeunes filles qui se donnent la main, ou par deux mains passées l’une dans l’autre, comme on se les donne
qu’ils agissaient, avec une extrême sincérité, avaient la tête et les mains couvertes d’un voile blanc. La Fortune Qu
urquoi on la dépeint sous la forme d’une vieille, avec du feu dans la main droite et de l’eau dans la gauche, quelquefois on
: il la représentait portant le ciel sur sa tête ; et tenant dans une main la corne d’abondance. Chaque poète s’est plu à lu
ssé une belle ode, dont voici la première strophe : Fortune, dont la main couronne Les forfaits les plus inouïs, Du faux éc
commande encore avec plus d’empire. On la représente tenant dans ses mains de bronze de longues chevilles et du plomb fondu,
épaules, et descend à longs plis jusqu’à terre ; elle tient dans ses mains un frein et un compas, l’un pour maîtriser la fou
déesse avec une couronne taillée en bois de cerf ; elle avait dans la main une branche de frêne. On la peignait avec des ail
ampagne parmi les laboureurs. On représente cette déesse tenant d’une main une balance et de l’autre une épée. D’autres lui
ndeau sur les yeux, lui ont bouché les oreilles, et l’ont peinte sans mains , pour signifier que la justice ne doit se laisser
nter levant le masque de dessus le visage, et tenant une marotte à la main . La Marotte est un petit bâton ayant une petite f
nneur est représenté sous la figure d’un homme tenant une pique de la main droite, et la corne d’abondance de la main gauche
mme tenant une pique de la main droite, et la corne d’abondance de la main gauche. Sur quelques-unes il tient une pique et u
touffer ; mais le héros, déjà d’une force prodigieuse, prit entre ses mains les deux serpens et les mit en pièces. Hercule ap
, mon cher Orphée ; Eurydice expirante En vain te cherche encor de sa main défaillante. …………………………………………………… ………………………………………
nce douteuse. Sous le nom de son fils vous fûtes élevé Par cette même main qui vous avait sauvé. Voltaire. Œdipe, devenu g
re de son père, il se rendit secrètement à Argos, et tua de sa propre main Egisthe et Clytemnestre. Tourmenté par les Furies
réserva de ses enchantemens ; de plus, il la contraignit, l’épée à la main , de lui rendre ses gens sous leur première forme.
un met, et la poursuit en vain : La volatille échappe à sa tremblante main  ; Entre les pieds des dieux elle cherche un asile
in les tableaux de Zeuxis et d’ Appelle ! Ceux-ci furent tracés d’une main immortelle. Nos deux époux, surpris, étonnés, con
dirent-ils, vos moindres créatures : Aurions-nous bien le cœur et les mains assez pures Pour présider ici sur les honneurs di
Jupiter exauça leur prière innocente. Hélas ! dit Philémon, si votre main puissante Voulait favoriser jusqu’au bout deux mo
t vos autels, Clothon ferait d’un coup ce double sacrifice ; D’autres mains nous rendraient un vain et triste office : Je ne
12 (1823) Mythologie des dames
elle un cygne poursuivi par un aigle aux serres cruelles ; Léda d’une main caressante flatte le col d’albâtre du bel oiseau
nsemble. Ce dieu, père des dieux, devant qui le ciel tremble, Dont la main flamboyante étincelle d’éclairs, Oubliant ce haut
on poil si doux la neige éblouissante. Elle cueille des fleurs que sa main lui présente. De ces soins en secret le dieu s’en
ces soins en secret le dieu s’enorgueillit ; Il baise avec respect la main qui les cueillit ; Il triomphe, il jouit du bonhe
 ; Sur l’arène tantôt, couché nonchalamment, Il présente son dos à la main délicate, Qui, moins timide alors, le caresse et
rde en vain : Assise sur le dos de ce taureau divin, Elle attache une main à sa corne puissante ; L’autre dispute aux vents
lossale, et l’aigle reposait sur le bout du sceptre qu’il tenait à la main . Tous les peuples de l’univers accouraient pour a
put résister à cette demande. Peu contente d’avoir sa rivale en ses mains , Junon, qui d’un époux craint encor les larcins,
à la voûte de l’Olympe, les pieds chargés d’une lourde enclume et les mains d’une chaîne d’or non moins pesante. On ajoute qu
ton analysa l’essence de la lumière. Il découvre à mes yeux, par une main savante, De l’astre des saisons la robe étincelan
ervices ne doivent point se faire attendre ; elles se tiennent par la main , pour montrer que nous devons nous unir par des s
me à se couvrir les yeux d’un bandeau, et à tenir un flambeau dans sa main . Il est craint de tous les dieux et de toutes les
s lions ; et le coursier le plus docile n’est pas plus obéissant à la main du cavalier qu’ils ne le sont à la mienne. » Il n
vit le plus charmant des êtres ! Elle laisse échapper le poignard. Sa main tremblante tient la lampe qui lui montre tant de
nnée de fleurs, sur-tout de marjolaine : il tient quelquefois dans sa main un voile de couleur jaune ; car la couleur jaune
tinuons notre voyage dans l’Olympe : Apollon se présente la lyre à la main , et le front environne de rayons éclatants… Que d
elle est un arbre enfin, Apollon l’aime encore ; il l’embrasse, et sa main Sent palpiter un cœur sous l’écorce nouvelle. Qua
arbe, tenant un bâton entouré d’un serpent ; quelquefois tenant d’une main un bâton, et s’appuyant de l’autre sur la tête d’
squ’aux aliments, tout se changeait en métal sitôt qu’il y portait la main . Au milieu des richesses, exposé à mourir de faim
ernes où elle s’était cachée pour éviter l’incendie général, lève ses mains vers le ciel, et implore Jupiter, qui met fin à c
mon cher Orphée ; Eurydice expirante « En vain te cherche encor de sa main défaillante ; « L’horrible Mort, jetant son voile
gémissant l’oiseleur inhumain Qui, glissant dans son nid une furtive main , Ravit ces tendres fruits que l’amour fit éclore,
beautés s’efforçaient de lui plaire, Il dédaigna leurs feux ; et leur main sanguinaire, La nuit, à la faveur des mystères sa
couvert de fleurs, brille de rayons doux et modérés ; avec ses belles mains , dont les doigts ont la couleur des boutons de la
ut roi d’Éthiopie : s’étant rendu au siège de Troie, il y périt de la main d’Achille. Les Égyptiens lui élevèrent une statue
i seule en façonna l’entrée, Dans le tuf qu’elle-même a taillé de ses mains , Imita librement l’art savant des humains ; Et de
e chasseur : ses compagnes l’entourent ; elle cache son sein avec ses mains , et détourne la tête. Toutefois, au défaut de ses
conseils de Jupiter. La lance et le bouclier qu’elle portait dans ses mains annonçait son amour pour l’art de.la guerre, qui
aît une statue de Méduse assise sur un rocher, sa tête appuyée sur sa main gauche ; accablée de la douleur de voir ses cheve
nstrueuses : leur corps était couvert d’écailles impénétrables, leurs mains étaient d’airain ; elles avaient des ailes couleu
ille de Troie, connue sous le nom de Palladium, tenait la pique de la main droite et une quenouille de la gauche. Lorsque Mi
Mars. Il se présente le casque en tête, tenant une pique d’une main et un bouclier de l’autre. Quelquefois, il monte
de pourpre, couronné de pampres et de raisins, tenant un thyrse à la main , et ayant à ses pieds des brodequins brochés d’or
gone à ses plus joyeuses fêtes et à tous ses mystères. Un thyrse à la main , et le front couronné de lierre, elle suivait le
toison compose mes habits ; « Et quand le fuseau tourne, entre leurs mains légères, « Ne blesse pas les doigts de nos jeunes
était représentée avec une couronne d’épis sur la tête, tenant d’une main une torche allumée, et de l’autre un pavot. Quelq
ntroduisait de nuit dans le temple, et après lui avoir fait laver les mains en entrant, on le couronnait de myrte ou d’if ; e
bras s’étend soudain ; Les doigts, en s’allongeant, vont dessiner la main . Bientôt de ce beau corps la taille souple et lib
ls de Jupiter, se levant, sur ses pieds, saisit les serpents dans ses mains et les étouffa. Cette circonstance de la vie d’He
is savouraient les délices, Les cache en sa caverne ; et cependant sa main , Pour déguiser aux yeux les traces du larcin, Sai
ds la peur donne des ailes : Il fait tomber ce roc que, d’une adroite main , A des chaînes de fer a suspendu Vulcain, S’enfer
 ; Tantôt d’un roc brisé lui lance un large éclat ; Et tantôt, à deux mains , d’un arbre entier l’accable. Alors le monstre, e
rêt voisine. Le fils de Vénus vit ce rameau s’offrir de lui-même à sa main , et tout aussitôt être remplacé par un autre rame
de fille que la Faim rendait toujours pâle, de grandes ailes, et des mains armées de griffes : leurs noms étaient Aëllo, Ocy
i qui le portait, et ils en firent présent à Pluton. Ce dieu tient en main un sceptre à deux pointes, et quelquefois des cle
diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible ? « Je crois voir de tes mains tomber l’urne terrible. » Éaque, fils de Jupiter
x, autant que j’ai pu le remarquer, sont verdâtres. Ils ont aussi des mains , des doigts, et des ongles qui ressemblent à l’éc
r leurs épaules, et flottaient au gré du vent. La déesse tenait d’une main un sceptre d’or pour commander aux vagues, de l’a
sein était couvert de deux rangs de mamelles ; tenant une clef d’une main , et un sceptre de l’autre ; portant sur sa tête u
. Bientôt il courut auprès de la magicienne, et la força, l’épée à la main , de rendre à ses compagnons leur première forme.
voyait sans cesse occupées à plonger, ou à jeter de l’eau avec leurs mains pour se mouiller la chevelure et les épaules. Cha
des nymphes qui dansaient au bord des fontaines, en se tenant par la main et en s’entrelaçant de fleurs. Souvent au leve
x ; sa tête est couronnée de fleurs ; quelquefois elle tient dans ses mains des guirlandes, ou une corne d’abondance remplie
é de feuilles de laurier, ou de vigne, ou de roquette, et tenant à la main une baguette, ou une massue, ou une faucille, sel
senté sous la figure d’un jeune homme couronné d’herbes, tenant d’une main des fruits, et de l’autre la corne d’abondance ;
une grande corbeille de fleurs et de fruits, et tient un rameau d’une main , et quelques pommes de l’autre. C’était aussi sou
leurs ; l’Été avait le front chargé d’épis de blé, et tenait dans ses mains un faisceau d’épis et une faucille ; l’Automne po
vêtue d’une longue robe, son visage était couvert d’un voile, et ses mains portaient un vase à deux anses, et quelquefois un
; les doigts sous celle de Minerve : que dis-je ! chaque partie de la main , chaque phalange des doigts était en rapport avec
ou l’art de connaître les destinées des hommes par l’inspection de la main . La Métoposcopie, pour annoncer ce que les dieux
trop long-temps occupé nos ancêtres eux-mêmes, prétendait lire sur la main d’une jeune personne qu’il chérissait ses futures
chérissait ses futures destinées, et s’exprimait ainsi, en tenant la main de son amante : Lorsque, d’un air de confiance,
son amante : Lorsque, d’un air de confiance, Vous m’abandonnez votre main , Je l’observe, et souvent je pense Qu’avec un peu
traits joints ensemble Qui composent un M ; j’ai cru Qu’en cela votre main jolie Veut prouver que vous avez su Que chaque do
aimable amie, Que la candeur à l’œil serein Présente son cœur sur sa main  ; Et prête à la sorcellerie, Sans qu’on ait recou
13 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
ons, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sons sa main des fleurs toujours écloses. Nombre des Dieux
on ne lui érigea jamais aucune statue. On le peignoit ayant entre tes mains l’urne qui contient le sort des humains ; on lui
cesse à ce palais terrible ; Et de là sur la terre il verse à pleines mains Et les biens et les maux destinés aux humains. Su
nt d’airain ; La rage en ses yeux étincelle, Et le fer brille dans sa main  : Par le faux Honneur qui la guide, Bientôt, dans
fante ; j’en frémis. Le frère meurt des coups du frère, Le père de la main du fils. L’Honneur fuit, l’Intérêt l’immole ; Des
e avec les sourcils noirs, le front couvert de nuages, la foudre à la main , et l’aigle à ses pieds. Le Respect et l’Équité s
rage mourante. Jupiter est victorieux, Et tout cède à l’effort de sa main foudroyante. D. Quelles ont été les principales
des Dieux, chef-d’œuvre de Vulcain, A qui le ciel prodiguant par leur main Tous les présens dont l’Olympe s’honore Fit mérit
s barbe, tantôt avec un arc et des flèches, tantôt avec une lyre à la main , sur la tête une couronne de laurier, et sur un c
-on ? R. On la représente chaussée d’un cothurne, tenant un arc d’une main , et de l’autre une flèche ; elle porte un carquoi
faire voir à elle dans toute sa gloire, c’est-à-dire, la foudre à la main . Jupiter se rendit avec peine à sa demande. Ayant
Dieu de la vendange. Il est assis sur un tonneau avec une coupe à la main , ou sur un char traîné par des tygres, des lynx o
char traîné par des tygres, des lynx ou des panthères, et tenant à la main un thyrse, qui est une baguette entourée de pampr
llé en coureur, avec des ailes à la tête et aux talons. Il porte à la main un caducée ; c’étoit une baguette où étoient deux
ec un sourire malin, et un bandeau sur les yeux. Il tient un arc à la main et quelquefois un flambeau. Il porte des ailes, e
orme, avec les yeux et le visage enflammés, et tenant un marteau à la main . Minerve. D. Comment les Poëtes font-ils n
rreur Devancent leurs flots redoutables ; Et la mort remet dans leurs mains Ces tonnerres épouvantables Dont elle écrase les
ente armée d’une cuirasse, avec un casque sur la tête, une lance à la main , l’égide au bras, et auprès d’elle un hibou. D. D
vautour, des ailes de chauve-souris, et des griffes aux pieds et aux mains . Elles infectoient tout ce qu’elles, touchoient.
ide plaine. (Rousseau.) On le représente avec un sceptre de fer à la main , assis ou appuyé du premier sur un rocher, d’où l
ux noirs, portant une couronne d’ébène sur la tête, et des clefs à la main . Son royaume est communément appelé le royaume de
ôt faisant un usage éclairé de ses dons :    Aimable Dieu, de qui la main dispense       Ce qui rend les mortels heureux,  
sente-t-on Cérès ? R. On la représente couronnée d’épis, tenant d’une main une faucille, et de l’autre une poignée d’épis mê
te avec la barbe et la chevelure fort négligées, et une faucille à la main . Tous les ans, d’un lait pur une coupe t’est due
tyrique et bouffon : il démasque un visage, et tient une marotte à la main . La Nuit. D. La nuit n’est-elle pas considé
la représente avec un bandeau sur les yeux, tenant une balance d’une main , et de l’autre une épée. Je vois une auguste Dée
(Lamotte.) Elle est représentée couronnée de laurier, portant d’une main une petite statue de Plutus, et de l’autre une br
le regard inquiet des vipères au lieu de cheveux, trois serpens d’une main , une hydre de l’autre, et un serpent monstrueux a
ortels il borne ses desseins. Le sang de son parti rougit souvent ses mains . Il habite en tyran dans les cœurs qu’il déchire,
nes sur la tête, des pieds de chèvre, la face rubiconde, et tenant en main une espèce de flûte, que les Grecs nommoient Syri
bituellement son cortège. On représentoit Sylvain avec un cyprès à la main , parce que la Nymphe Cyparis, sa maîtresse, avoit
é, Acrise, roi d’Argos, ayant appris de l’Oracle qu’il périroit de la main de son petit-fils, fit enfermer Danaé sa fille un
e le sort cruel ne trompe son attente ; Les yeux au labyrinthe et les mains vers les cieux, Au secours de Thésée elle appelle
ers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d’un dard lancé d’une main sûre, Il lui fait dans le flanc une large blessur
Seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris ; Il veut les rappeler, et sa voix les
n’est bientôt qu’une plaie. J’arrive ; je l’appelle, et me tendant la main , Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain. (
up de part à la défaite des Amazones. Ses victoires lui méritèrent la main de Philoné, fille d’Iobates, roi de Lycie. Orp
s, roi de Thèbes. Laïus avoit appris de l’Oracle qu’il périroit de la main de son fils ; il ordonna à Jocaste, son épouse, d
, à quatre pieds, deux à midi, et trois le soir ? » La couronne et la main de la Reine étoit promise à celui qui expliqueroi
est l’homme qui, dans son enfance, se traîne sur les pieds et sur les mains , dans l’âge viril se soutient sur ses deux pieds,
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenoit à la main , Il lui perce le cœur, et son ame ravie, En achev
? R. Il échappa par son adresse à la fureur des Lestrigons. Entre les mains et à la merci de Polyphême, le plus fameux des Cy
mps heureux. Il remit ses états à son fils Télémaque, et périt par la main de Télégone, qu’il avoit eu de Circé. Pénélope, s
rgea son père sur ses épaules, prit son fils Iüle, ou Ascagne, par la main , et emporta les Dieux tutélaires de sa patrie. D.
s les yeux, et remuoit de temps en temps la lance qu’elle tenoit à la main . Il fut enlevé par Diomède et Ulysse. Troye fût p
 Fut Précepteur du genre humain.       Qu’un lecteur est bien sous sa main  ! Il l’amuse en enfant » mais pour en faire un ho
avec un naturel et des grâces inimitables ; tout devient or entre ses mains . Tout fleurit dans ses vers ; le plus vil animal
liront pas, par d’indignes procédés, l’auguste qualité d’homme que la main du suprême Créateur a imprimée sur leur front ; i
réciateur des choses. Les richesses sont un dépôt sacré mis entre les mains de l’homme opulent, pour soulager l’indigent, et
la chaussure et le manteau étoient aussi d’or ; le Dieu tenoit de la main droite une victoire d’or et d’ivoire, et de la ga
14 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
e familles et des membres du clergé nous ont félicité d’avoir mis aux mains de l’enfance un livre qui l’instruit sans danger,
ient commencé. Le Destin commande à tous les dieux, et tient dans ses mains le sort de tous les mortels ; ses décrets sont in
veugle, ayant sous ses pieds le globe de la terre, et tenant dans ses mains l’urne qui renferme le sort des humains. On lui d
marier parcourent l’âpre sentier de la vieillesse sans l’appui d’une main tendre et amie. Il avoue, d’ailleurs, qu’on trouv
d’offrir aux deux étrangers un repas frugal que Baucis apprêta de ses mains . Écoutons La Fontaine, qui a raconté cette histoi
dinairement Jupiter assis sur un trône d’or ou d’ivoire, tenant d’une main la foudre, signe de la puissance qui frappe, et d
e. On la représente assise sur un trône, un diadème sur la tête, à la main un sceptre d’or. Quelquefois elle traverse les ai
avoir vaincu en présence des hommes et des Muses, il lui fit lier les mains derrière le dos, l’attacha à un arbre et l’écorch
e fut pas le terme des misères d’Apollon : forcé de travailler de ses mains pour vivre, il offrit ses services à Laomédon, ro
ante beauté, la tête ceinte d’une couronne de laurier et la lyre à la main . Les Muses. Pégase, Pyrénée, les filles de Pi
irement chaussée du cothurne, vêtue d’une tunique légère, un arc à la main et un carquois sur les épaules. Une biche est à g
rvales. On représente Minerve avec un air grave et majestueux ; d’une main elle tient la lance, et de l’autre s’appuie sur s
r un ormeau se plaint la tourterelle Quand l’adroit giboyeur a, d’une main cruelle, Fait mourir à ses yeux l’objet de ses am
aite du ravisseur. Elle se mit alors à sa recherche, un flambeau à la main , et parcourut la terre en demandant partout des n
le Métra, qui, douée par Neptune du don de se transformer, passait de main en main sous diverses figures, toujours vendue à
, qui, douée par Neptune du don de se transformer, passait de main en main sous diverses figures, toujours vendue à de nouve
ries. Cérès est représentée tenant une faucille et une gerbe dans ses mains  ; son front est ceint d’une couronne d’épis. On v
hoses de Stellio et d’Ascalaphe. On la peint souvent un flambeau à la main et marchant à grands pas, en souvenir du voyage q
ne, et qui supporte le poids de son ventre. La coupe qu’il tient à la main se vide et se remplit toujours. Bacchus signala s
pria-t-il le dieu de l’en débarrasser. Il y parvint en se lavant les mains dans le Pactole, qui, depuis cette époque, roule
et sa cour, confus et long cortége « Où sont, dit-il, ces sœurs à la main sacrilége ? Que Pallas les défende et vienne en l
omme à la chevelure flottante, couronné de pampre et de lierre. D’une main il tient le thyrse, baguette surmontée d’une pomm
Il serait trop long de compter tous les ouvrages qui sortirent de ses mains et dans lesquels brillait son infatigable et ingé
appelées Lampadophories, dans lesquelles les coureurs se passaient de main en main un flambeau qui ne devait pas s’éteindre.
Lampadophories, dans lesquelles les coureurs se passaient de main en main un flambeau qui ne devait pas s’éteindre. Les poë
amps. On le représente avec une tête d’homme, mais sans pieds et sans mains , pour marquer son immobilité. Il faut ajouter à c
’une jeune lionne qu’il avait tuée dans les forêts. Il tenait dans sa main une houlette courbée et noueuse. Sa queue paraiss
our indiquer qu’il ne lâche jamais sa proie ; il tient une pique à la main . A côté de lui on voit un monstre marin. Téthys,
ar en forme de conque et traîné par des chevaux marins. Il tient à la main un trident. Les Tritons et les Néréides l’accompa
s Furies et les Parques, et d’où découlent les fleuves des Enfers. Sa main droite est armée d’un sceptre à deux pointes ; qu
décidait souverainement du sort des ombres. Il tenait un sceptre à la main , et agitait l’urne fatale qui renfermait les dest
rpents entrelacés sifflent autour de leur tête ; elles tiennent d’une main une torche enflammée et de l’autre un fouet de co
’épais sourcils. Il est debout dans sa barque, il tient une rame à la main . Némésis. Némésis, terrible divinité des En
une roue, pour exprimer la sûreté et la rapidité de sa course ; d’une main , elle tient un flambeau qui éclaire les conscienc
sséchées ; il veut manger, les branches de l’arbre se retirent, et sa main essaye en vain de les saisir. C’est Tantale, roi
rait dans les combats, les cheveux épars, une torche et un fouet à la main . La Discorde, dont le nom explique suffisamment l
s vêtements et retirée au fond d’un puits : elle tient un miroir à la main . La Pudeur avait des temples à Rome et à Athènes.
stice est représentée sous les traits d’une jeune fille, tenant d’une main une balance dont les plateaux n’inclinent d’aucun
te Esculape avec une longue barbe, un coq à ses côtés, et tenant à la main un bâton entouré d’un serpent. Le serpent lui ava
ous allons bientôt raconter. L’éducation d’Hercule fut mise en bonnes mains . Euryte, roi d’Œchalie, lui enseigna à tirer de l
retint une partie de l’armée ennemie prisonnière dans le creux de sa main . En Espagne, Hercule laissa des traces de son pas
, qu’on représente sous les traits d’un homme robuste ; il tient à la main la redoutable massue, instrument de ses exploits 
ccomplissement de l’oracle qui lui avait annoncé qu’il périrait de la main de son petit-fils. Ayant pris la résolution de fa
e, roi de Sériphe, fit élever Persée avec ses enfants ; aspirant à la main de Danaé, il voulut éloigner Persée. Il convia à
étacha en sa faveur les ailes de sa tête et de ses talons, et arma sa main d’une épée de diamant. Le jeune héros ainsi équip
iers qui s’entre-tuèrent, et dont la mort permit à Jason de mettre la main sur la toison d’or. Maître de ce trésor, Jason s’
donner le mot. Jocaste, veuve de Laïus, avait promis son trône et sa main à celui qui délivrerait Thèbes de ce monstre. Œdi
Thèbes, et l’événement justifia sa prédiction. On en vint bientôt aux mains  ; les Thébains, ayant perdu la bataille, abandonn
ira auprès d’elle tous les princes de la Grèce, qui se disputaient sa main . Lorsqu’ils furent réunis, Tyndare leur fit jurer
mes parmi des parures de femmes, et Achille se trahit en y portant la main . Lorsque toute l’armée fut rassemblée, on en défé
es charmes de Polyxène, il s’avançait vers l’autel pour y recevoir sa main , lorsqu’un trait, lancé par Pâris, le frappa au t
ille fut livrée aux flammes et au pillage. Le vieux Priam périt de la main de Pyrrhus, fils d’Achille, et son empire fut dét
e en butte aux attaques de nombreux prétendants qui se disputaient sa main . Elle avait trompé leur impatience en ajournant s
ns cesse l’œuvre de la création. « On donne à Siva cinq têtes, quatre mains et trois yeux à sa tête principale. Il est porté
sa taille et de ses bras ; la lance, l’épée, la flamme sont dans ses mains  ; le tigre a remplacé le taureau ; enfin son corp
u Muspelheim formèrent les étoiles. Odin et ses frères avaient mis la main à cet ouvrage ; le monde créé, ils en devinrent l
, la tête couverte d’un casque d’or, les cheveux épars, la lance à la main , et montées sur des chevaux ardents. Thor est le
15 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
us, qu’il voulut les précipiter, enchaînés dans le Tartare, entre les mains de ce dieu ténébreux, que l’on supposait devoir s
nouveau, elle appelle Chrone, autrement dit Saturne, lui met dans les mains la harpé, ou faulx à lame dentelée, et lui recomm
et de l’impuissance causée par une mutilation résultant de sa propre main , ou venue d’une main étrangère, divine ou humaine
causée par une mutilation résultant de sa propre main, ou venue d’une main étrangère, divine ou humaine. Voici comme il vint
s actes les plus extravagans ; car les prêtres ayant un couteau d’une main et une torche allumée de l’autre, couraient çà et
bizarrement variée par des nœuds, des crevés et des rouleaux. Dans sa main gauche est une espèce de houlette de berger ou de
e l’arbre dont elle portait une couronne. Elle avait une clé dans une main , un sceptre dans l’autre et un tambour ou disque,
mère de Saturne, ou Vesta Prisca, représentée tenant un tambour à la main pour montrer que la Terre renferme les vents dans
avait vu s’endormir l’objet de ses desirs ; déjà il le touche de ses mains impures, lorsque tout à coup un âne son ami, le c
n voile à la manière espagnole, portant un sceptre ou une hasté d’une main , et ayant une sphère dorée ou tour sur la tête. L
gère avec une lampe ou une petite statue de Minerve ou Palladium à la main . Saturne. — Passons maintenant à l’histoire de S
présenté avec deux ou quatre visages opposés, tenant une clef dans la main droite, pour marquer qu’il ouvrait l’avenir, et u
rte d’un voile, et souvent même surmontée d’un globe, portant dans la main droite sa harpé ou faulx dentelée, et dans la gau
ant d’autres, ce Saturne étant convenu, après avoir reçu l’empire des mains de Titan, son frère aîné, qu’il ne laisserait viv
e, Agnite ou Hagno, l’Arcadienne, représentée tenant une cruche d’une main et une bouteille de l’autre ; Hélice, et sa sœur
e lait d’une chèvre favorite, appelée Ega, qu’elle avait sauvée de la main des Titans, ses frères, ou cette chèvre elle-même
estre, représentée sous les traits d’une matrone debout, tenant de la main droite un serpent, et dans la gauche le gouvernai
l’a représentée sous la figure d’une femme, tenant une épée nue d’une main et une balance de l’autre. Quant à Astrée qu’on l
ux, elle était représentée à Rome avec une branche d’olivier dans une main et une corne d’abondance dans l’autre, ou quelque
tres effroyablement contrefaits, ayant chacun cinquante têtes et cent mains  ; leur père, épouvanté à leur naissance de l’imme
dent, par leur présence, les conspirateurs qui n’osent plus porter la main sur le protégé des Centimanes. Depuis ce jour, as
unissaient à son père. Aussitôt, profitant des armes qu’il a dans les mains , il le frappe, le soumet, puis le mutile avec cet
uns sur les autres. Bientôt ils furent assez élevés pour en venir aux mains avec les Dieux. Alors le combat devint des plus a
élevés, elles lançaient au loin des torrens de feu et de flamme ; ses mains , toujours agitées, touchaient l’extrémité des deu
s une pluie ascendante de pierres énormes, que lancent ses nombreuses mains . Bientôt il escalade le Ciel, et force à s’enfuir
rceaux le pauvre Jupiter, dont il renferme les nerfs des pieds et des mains à part dans une peau d’ours ; puis il emporte le
é de fruits ; car ses branches, qui s’inclineront sans cesse vers ses mains , se redresseront toutes les fois qu’il cherchera
hommes cachés, afin de faire croire qu’ils avaient été frappés par la main invisible du Dieu puissant. Cette farce cruelle d
asant sous des monceaux de pierres tout étranger qui tombait dans ses mains  ; il fut tué dans un combat par Thésée, roi d’Ath
le surprennent endormi sur le mont Cylleunis, et lui coupent les deux mains . Jupiter alors, touche du malheur de son messager
pe ; celui qui d’un seul coup assommait un homme, et auquel une seule main suffisait pour arrêter un char attelé de six cour
menton est couvert d’une barbe majestueuse. Il tient un sceptre d’une main , et lance la foudre de l’autre ; les vertus ou la
toujours couronnée de laurier, et tenait une branche de palmier à la main  ; elle avait à Rome un temple bâti par Sylla, et
e un temple bâti par Sylla, et l’on voyait une de ses statues dans la main de la déesse Rome, au sénat et au Capitole ; elle
tient les rènes, Hippie ou la cavalière, Hyperchirias ou qui prend en main et bénit sur les bords de l’Eurotas en Laconie, I
t habile dans l’art des augures, au moyen d’un bâton qu’il avait à la main , et qui lui servait de baguette magique en supplé
int à mourir ; alors celui-ci doubla sa demande, et l’obtint, avec la main d’Iphianasse, qu’il guérit ainsi que sa sœur en l
ent représentée sur un trône, ayant un fuseau ou une grenade dans une main , et dans l’autre un sceptre surmonté d’un coucou,
tête couronnée de lys et de roses, et avait toujours le sceptre à la main . On consacrait à Junon une brebis ou une truie pl
finesse, caressant l’aigle de Jupiter, ou tenant une coupe d’or à la main et versant le nectar aux Dieux. Elle avait un tem
les foudres et ayant un aigle à ses côtés, ou tenant un marteau de la main droite, et des tenailles de la gauche. On le repr
t par la manière dont nous verrons s’y prendre Pélops pour obtenir sa main . Oxilus, fils de Protogénie ; Pangeus, fils de Cr
appelé Galerus ; ils étaient armés d’une épée ou d’une pique dans la main droite, et tenaient le bouclier avec la gauche. P
irasse et d’un casque, son bras est chargé d’un large bouclier, et sa main tient, ou une lance, ou une pesante épée : il est
ituellement elle avait les cheveux épars, et tenait un flambeau d’une main et un fouet de l’autre. Quelquefois pourtant elle
r la tête une corbeille de fleurs et de fruits avec une baguette à la main  ; quelquefois les modernes la placent avec ses ai
. On représentait Lucine en costume matronal, ayant une coupe dans la main droite, et une lance dans la gauche, ou assise, a
roite, et une lance dans la gauche, ou assise, avec une fleur dans la main droite et un enfant emmailloté sur le bras gauche
ouraient chez les femmes romaines et leur frappaient le ventre et les mains avec une peau de chèvre qu’ils disaient avoir ser
à coups de flèches. Dès ce jour, cette arme devint terrible entre ses mains , et dans celles de Diane sa sœur. Ainsi, le géant
Latoïdes, ou Latonides, ou Latonigènes, ses enfans, qui tendent leurs mains vers le serpent Python à l’instant qu’il vient po
ée ou de la Thessalie, Amphipyros ou qui porte une torche dans chaque main , Angitas de la rivière de ce nom en Thrace, Amphi
uverte alors d’un voile parsemé d’étoiles, et tenant un flambeau à la main , Lune ou la Diane du Ciel, Lyda en Sicile, Lycoat
la tête, avec le croissant sur le front, et tenant une bride dans la main droite, un flambeau dans la gauche, et un coq sou
u gardienne des enfers, on lui mettait une clé et des cordes dans une main et un poignard dans l’autre pour frapper et encha
uefois elle est suivie d’une meute de chiens, ou tenant un lion d’une main et de l’autre une panthère, ou bien assise sur un
on de subir la mort, Apollon trompa les Parques et le déroba de leurs mains envieuses. Voici comme le fait est rapporté : Adm
efusa. Alors Hercule, inspiré par Apollon, se décida à la retirer des mains du dieu des enfers ; à peine avait-il passé le fl
a des pieds de cheval afin d’indiquer sa célérité, une flèche dans la main pour indiquer sa capacité, une queue de satyre po
elle avait le front couronné de lauriers, tenait une trompette d’une main et un poème de l’autre. Calliope ayant été juge a
vait également une couronne de laurier, tenait une trompette dans une main et un livre dans l’autre ; mais, pour mieux la de
élégies ; elle était couronnée de myrtes et de roses avec une lyre en main . Auprès d’elle l’amour ailé tenait une torche all
trumens à vent ; elle était couronnée de fleurs, avait une flûte à la main , et l’on voyait à ses pieds des papiers et instru
r sérieux, majestueusement vêtue, chaussée de cothurnes, tenant d’une main des sceptres et des couronnes, et de l’autre un p
ou Miséricorde, couronnée d’olivier, tenant une branche de cèdre à la main droite, ayant le bras gauche déployé et une corne
ie, et on la représentait couronnée de pierreries, vêtue de blanc, la main droite étendue afin de commander le silence, et l
e de gaité, couronnée de lierre, chaussée de brodequins, tenant d’une main un masque, et ayant quelquefois un singe à ses cô
couronnée d’étoiles, vêtue d’une robe de couleur azur, portant en ses mains un globe qu’elle semble mesurer avec le [ILLISIBL
de Delphes. Dans les bas-reliefs il est presque toujours tenant d’une main une lyre d’or et de l’autre un plectrum ou un arc
antôt comme on le voyait à Lesbos, il tient une branche de myrte à la main  ; tantôt comme on le voyait à Lesbos, il tient un
antôt comme on le voyait à Lesbos, il tient une branche de myrte à la main  ; tantôt comme il était à Délos, il porte de la m
he de myrte à la main ; tantôt comme il était à Délos, il porte de la main droite un arc et de la gauche les trois Graces, a
ar brillant attelé de quatre chevaux lancés au galop ; il tient d’une main un fouet ou un sceptre, et dans l’autre un coq ou
eu des Muses, ou bien il est aux jeux pythiques tenant une pomme à la main , prix qu’il s’apprête à décerner. C'était toujour
e de Minerve, autrement dit de Pallas, tenant une pique levée dans sa main droite et une grenouille dans l’autre, espèce d’a
inistre, sa tunique était de couleur feuille morte, il tenait dans la main droite un bâton augural entièrement analogue à la
laquelle on se couchait en tenant une composition de miel dans chaque main , et dans laquelle on était entraîné par une force
e sable et demanda de vivre autant d’années qu’elle en tenait dans la main seulement elle oublia malheureusement d’ajouter q
éesse à jouer au disque avec lui, ou pour avoir touché son voile d’un main impure. Cependant on dit aussi que Diane voyant s
aient vêtue d’une robe couleur safran, ayant une verge ou torche à la main , sortant d’un palais de vermeil et montée sur un
et une étoile sur la tête qui toujours est couronnée de fleurs. D'une main elle tient, nous le savons, un flambeau, et de l’
t d’Apollon Amphise et Ambrasce, mais ayant voulu, dit-on, porter une main sacrilège sur un arbre consacré aux Dieux, elle f
sous les traits d’une jeune femme voilée ou sans voile, tenant d’une main un serpent, buvant dans une coupe qu’elle tient d
d’une main un serpent, buvant dans une coupe qu’elle tient de l’autre main . Hygie à Rome s’appelait Salus, et on lui donnait
es bains. Les Apotropes étaient figurés un fouet ou une épée nue à la main . Dans leurs fêtes ou atropies, on chantait des hy
cevant de la faiblesse de leur conducteur et ne reconnaissant plus la main de leur maître, se détournent de leur route ordin
ritide ou de Stiris en Phocide, localité où sa statue avait en chaque main un flambeau, Tœdifera ou portant des torches de p
ion ne l’empêcha pas d’être admis auprès des Dieux et de recevoir des mains de Jupiter même le secret d’ensemencer les terres
une, devient une guerre politique, et Erechthée, concentrant dans ses mains tout le pouvoir, force Eumolpe à ne plus être aut
nce du Dadouque, couraient dans les rues deux à deux, une torche à la main , et faisaient processionnellement, dans le plus g
du temple ; puis, quand on y rentrait, les torches étaient passées de main en main au dadouque qui les secouait pour que l’a
e ; puis, quand on y rentrait, les torches étaient passées de main en main au dadouque qui les secouait pour que l’ardeur de
on de Sémélée, à le couronner de myrte, à lui mettre un flambeau à la main et à le porter en procession depuis le Céramique
courses appelées Oscophories, que faisaient des jeunes gens tenant en main des ceps et des grappes de raisin. Ces fêtes étai
ment des épis ou des pavots couronnent sa tête et chargent une de ses mains en même temps que l’autre porte une torche ardent
lus d’épis ni bouquets, c’est alors un sceptre qu’elle tient dans les mains et un diadème oriental qui la couronne ; d’autres
sur un taureau, porte une corbeille sous un bras et une houe dans la main droite ; souvent encore sa longue chevelure vole
ole éparse sur ses épaules, ou bien on la voit avec une faucille à la main , ou deux enfans à la mamelle ou traînant à terre
tères et des lois, et une autre tenant une corne d’abondance dans une main , un style dans l’autre, et assise sur un siége tr
pagne, on le représentait nu, près d’un autel avec une coupe dans une main et des épis dans l’autre ; Bubona, déesse de la c
née de guirlandes de fleurs, drapée d’un manteau qu’elle tenait de la main droite, en même temps que de la gauche elle prése
u relief, se mirent à marcher sur des brasiers, et à tenir dans leurs mains des barres de fer rouges de feu, sans, disaient-i
fontaine consacrée où les voyageurs ne manquaient pas de se laver les mains et le visage, mais qui entourait une chapelle, da
la troupe sacerdotale. On représentait Pomone avec des pommes dans la main gauche et un rameau dans la droite, ou ayant dans
es dans la main gauche et un rameau dans la droite, ou ayant dans ses mains une corbeille remplie de fruits, ou bien une corn
eurs, couvert d’un habit jusqu’à la ceinture, tenant des fruits de la main gauche et de la droite une corne d’abondance. Le
grotte, enveloppé dans des peaux de mouton, et tenant un réchaud à la main . Les Romains le représentaient encore par des gén
montrer les charmes séduisans qu’elle ne peut arriver à cacher de ses mains gracieuses et délicates. Pour elle, sa naissance
es, et les racommodemens ; sous le revers on apercevait tracés par la main des Euménides, les soupçons, la haine, la perfidi
isies. Bientôt tous les dieux se mirent sur les rangs pour obtenir sa main , Jupiter ne pouvant y songer par suite de l’allia
fille de Schénée : cette belle avait déclaré qu’elle ne donnerait sa main qu’à son vainqueur à la course, mais qu’elle perc
lement à les ramasser ; alors son amant prit de l’avance et obtint sa main en arrivant au but avant elle ; mais plus tard ay
pomme et répond par le même serment. Hermocharès fut donc demander la main de son amante à son père, qui la lui promit, mais
ux fixés vers le ciel ; quelquefois même elle porte un globe dans une main . L'Amour est à ses pieds, les yeux couverts d’un
Mais quand on la représente couronnée de myrte, tenant un miroir à la main , les pieds revêtus de sandales tissues d’or et de
nfin, l’on a encore representé Vénus couronnée d’épis, tenant dans la main droite trois flèches, et dans la gauche un thyrse
our et couronnée par la persuasion ; à Cnide, nue et cachant avec les mains une partie de ses charmes ; à Ephantis avec Cupid
auprès d’elle, et à Sicyone, elle portait une fleur de pavot dans une main , une pomme dans l’autre, et sur la tête une couro
rs Vénus pudique, et on la représentait avec des ailes et un lys à la main . Cette Vénus pudique était adorée particulièremen
ent sur les épaules des deux voisines ; quelquefois elles tiennent en main des fleurs, des dés ou du myrte ; alors ce sont l
e dans le temple de Bacchus de cette ville, une statue de Pitho de la main de Praxitèle, et Phidias en avait sculpté une aut
abit de diverses couleurs, garni de grelots, à porter une marote à la main , et à servir ainsi de guide à l’Amour. Cependant,
mblé dans le temple de l’Hyménée ; Thétis parut tenant l’Amour par la main , et fut le présenter à Jupiter qui, à sa prière e
lus beaux tapis en ornaient les murs ; tout portait l’empreinte d’une main divine. Les jardins, les bosquets, étaient planté
eaux s’entr'ouvrent, l’époux terrible se glisse à ses côtés ; mais sa main frémissante repousse en tremblant la main qu’il l
lisse à ses côtés ; mais sa main frémissante repousse en tremblant la main qu’il lui offre ; et pourtant que cette main est
repousse en tremblant la main qu’il lui offre ; et pourtant que cette main est douce ; peut-il être aussi épouvantable qu’on
mais, ô malheur ! elle laisse tomber de la lampe qui tremble dans ses mains une goutte brûlante sur le sein de son époux. Tou
eur nouvelle sœur avec des transports de joie. Jupiter la prit par la main et lui présenta l’ambrosie. Peu de temps après, P
s pieds la vertu, autour d’elle des parfums, et tenant un miroir à la main . Quant à Psyché dont l’allégorie marque si bien t
l’épaule chargée d’un carquois, rempli de flèches, ayant un arc à la main et souvent prêt à décocher le trait fatal. Tantôt
mpli de flèches ardentes d’or et de plomb, et tenant son arc dans ses mains , pour montrer sa puissance sur les ames. Quelquef
is de défauts dans l’objet aimé ; puis tantôt il tient une rose d’une main et un dauphin de l’autre, ou il a un doigt sur sa
la Gloire est un enfant ailé, couronné de lauriers, et tenant en ses mains plusieurs couronnes ; celui de la patrie tient un
pieds son arc et ses flèches, il ne tient plus qu’un sablier dans la main droite et un plongeon dans la gauche ; l’amour ex
our divin, il n’a plus rien de payen, il est représenté tenant en ses mains un cœur enflammé et agenouillé devant un autel en
ou bien une jeune femme portant une besace, qu’elle ferme de la même main qu’elle tient une baguette, tandis que de l’autre
n jeune homme couronné de fleurs et surtout de marjolaine, ayant à la main un flambeau, sur la tête un flammeum ou voile jau
é d’une robe blanche, également brodée de fleurs, et portant dans ses mains un flambeau et un arrosoir. On donne habituelleme
norme, souvent aussi haut que lui. Habituellement il le tient dans sa main droite, et porte dans l’autre, soit un sceptre, o
e vigne ou de laurier. Quelquefois, il tenait encore une bourse de la main droite, une clochette de la gauche, et il était c
es et d’Anaxo ou de Lysidice ou d’Eurimède ; elle ne voulut donner sa main qu’au prince qui vengerait la mort de ses frères
ule et eut la cruelle joie, quoique bien naturelle, de tenir dans ses mains la tête d’Eurysthée, son persécuteur, et de lui c
n oracle, que sa couronne lui serait enlevée, et qu’il mourrait de la main de son petit-fils, avait fait enfermer Danaé, sa
xprimer sa grande fertilité ; elle a près d’elle un temple et dans la main un sceptre. Quelquefois pour expliquer le sens al
pied sur une proue de navire. Mais les Achéens lui mettaient dans une main la corne d’abondance, tandis que de l’autre elle
où personne excepté ses prêtresses ne pouvait entrer. Elle avait des mains de bronze tenant de longues chevilles et des coin
eignait-on sous la forme d’un vieillard aveugle ayant une bourse à la main , boiteux et ailé, venant doucement, mais s’en ret
ec les traits principaux du temps, tenant un sablier ou un globe à la main . On lui donne pour symbole un phénix. Les Egyptie
ntée avec les traits d’une belle et majestueuse matrone, tenant d’une main l’olivier, la haste, le sceptre ou le caducée dan
a flûte ; Axiopœnas ou celle qui vengea Hippicoon et ses amis par les mains d’Hercule à Sparte ; Boarnia ou qui apprit à atte
fixé par le destin pour la ruine de Troie. Elle prit le tonnerre des mains de Jupiter et foudroya Ajax fils d’Oilée, pour ve
vaient-ils toujours, tant qu’ils étaient aux Panathénées, porter à la main une branche de cet arbre. Les autres fêtes instit
s avait un aspect particulier : elle était debout avec une pique à la main  ; puis à ses pieds, on voyait sur son bouclier un
pposèrent que les murailles de Thèbes ne furent point élevées par des mains humaines. Amphion les avait construites, disaient
deux cornes, soit à cause de sa force, soit parce qu’il portait à la main une corne de taureau remplie de vin. Biformes ou
u la nymphe Dircé, sauva cet enfant des flammes et le remit entre les mains de Jupiter, qui le plaça dans sa cuisse, d’où vin
fois retiré de la cuisse du maître des dieux, Bacchus passa entre les mains des nourrices, tantôt ce sont les Nyséïdes ou Nys
à deux têtes que le dieu, réveillé à temps, mit à mort de ses propres mains  ; une autre fois, elle le frappa de folie, et l’e
connaissait que les courses vagabondes qui se faisaient, la coupe en main , tous les trois ans dans les rues d’Athènes. Alor
On y plaçait encore un ceps de vigne et un figuier. Il tenait dans la main droite un thyrse, et il avait pour suivantes les
il est ou vieux, ou jeune et efféminé, ou tout à fait enfant ; d’une main il tient une coupe et de l’autre un thyrse ou bag
t et appuyé sur un thyrse, et tenant dans tous les cas une tasse à la main . Il eut pour fils, on ne sait trop de quelle nymp
on leur avait confié à garder Bacchus qui s’échappa toujours de leurs mains en changeant continuellement de formes ; à la fin
en un bâton recourbé par le haut ou une simple branche de cyprès à la main , en mémoire d’une tendre amitié qu’il avait eue p
uronné de roses, la face enluminée de vin, tenant un flambeau dans la main droite et s’appuyant de la gauche sur un pieu, ou
droite et s’appuyant de la gauche sur un pieu, ou portant dans cette main une coupe d’or ou un plat chargé de fruits. A sa
tristes résultats pour les deux familles, car Lyncée étant mort de la main de Castor, celui-ci fut tué par Idas que Pollux f
eul parait, ayant une flamme au dessus de son casque, et tenant d’une main une lance et de l’autre la bride d’un cheval au r
me de ses travaux. Ce Géant célèbre par son triple corps, muni de six mains , de six pieds, et de six ailes, était fils de Chr
répandre de l’eau sur les pieds d’Hercule, en lui en versant sur les mains , cette maladresse fâcha le héros, qui le [ILLISIB
, les Potitiens se lassèrent de ce ministère, et il fut mis entre les mains des esclaves. Les fêtes que l’on célébrait en l’h
lamer du fougueux Achille les restes d’Hector. Il délivra Jupiter des mains de Typhoé, le Dieu de la guerre des chaînes dont
cocher d’OEnomaüs, roi de Pise ; il fit, par son adresse, obtenir la main d’Hippodamie à son maître, mais il le trahit en f
le pétase, est orné d’ailes, ainsi que son caducée qu’il tient d’une main . On le représente souvent le doigt sur la bouche
coq. Pour le prendre dans ses spécialités, on lui met une bourse à la main , comme Dieu des négocians et des voleurs ; on lui
corps d’homme avec une tête de chien ou d’épervier et un caducée à la main , c’était un hermanubis ou un hermosiris ; s’il av
ste humain terminé en colonne carrée, et s’il tenait une massue d’une main et une dépouille de lion de l’autre, c’était un h
émies ; et autres lieux de gymnastique ; s’il avait la bourse dans la main droite et le caducée dans l’autre, c’était un her
s, pour éviter d’avoir la honte d’être forcé de le remettre entre les mains de Minos ; du reste, ce roi de Crète, on le sait,
e, il prit son nom de ce qu’il portait en naissant une épée d’or à la main  : par la suite il épousa l’Océanide Callirrhoé, d
par cette union, et le trône qu’il convoitait depuis longtemps et la main de la princesse qu’il aimait, arrive tout à coup
, habitaient au-delà de l’Océan, près le séjour de la nuit, que leurs mains étaient de fer, leurs cheveux hérissés de serpens
é toutes les influences fâcheuses. On le représentait un mortier à la main . Il avait pour frère, Iarbas, que nous connaisson
ons et de Néréides, et le dieu avait le front ceint du diadème. D’une main , il calmait les flots agités, et de l’autre, il t
ain, proposa, pour faire cesser ce fléau, de donner la couronne et la main de sa fille à celui qui délivrerait le pays de ce
nqueur retourna donc à Thèbes et reçut en même temps le sceptre et la main de Jocaste. De cette union monstrueuse naquirent
rée. Ce Dieu des vents était toujours représenté avec un sceptre à la main pour indiquer sa puissance. Ce qui jette du troub
ent à travers l’espace aérien, en tenant une corbeille de fleurs à la main . C’était sous ses ordres que devaient nécessairem
me âgé, avec une queue de serpent, des cheveux blancs et portant à la main un plat d’olives, très communes sur le territoire
lui avait volés. Melampe se présenta, retrouva les bœufs et obtint la main de la jeune Péro. Nélée soutint ensuite plusieurs
é de ce meurtre, purification que ce prince reçut dans l’île d’Æa des mains de la fameuse enchanteresse Circée. Une fois arri
us l’énorme pierre que voilà. Aussitôt, Thésée pousse la pierre d’une main et de l’autre saisit la chaussure et l’épée, puis
à l’autel de Jupiter-Milichius, pour avoir été obligé de tremper ses mains dans le sang, surtout d’un parent tel que Sinis,
evint des enfers, et ayant été pour voir sa femme, il trouva dans ses mains un billet par lequel elle avait la perfidie de dé
donc à Pythie, en Thessalie, à la cour d’Eurytion, qui lui accorda la main d’Antigone sa fille, avec le tiers de son royaume
énus à prendre Pâris, fils de Priam, pour juger, en lui promettant la main d’Hélène, qui prit la fuite et épousa Ménélas ; p
d’une grandeur extraordinaire, des dents longues, des yeux bleus, des mains en forme de griffes et des nageoires à la poitrin
le front surmonté de deux pinces d’écrevisses, portant une pique à la main et ayant auprès de lui un monstre marin de forme
ux, des coquilles ou des vases ; quelquefois elles se tiennent par la main  ; leurs traits sont brillans de jeunesse, de fraî
leur corps est toujours sans vêtement. Elles tiennent une hache à la main , et la partie inférieure de leur buste est termin
s, la taille élevée, ceintes d’une couronne de roseaux, portant d’une main un coquillage et de l’autre une urne dont l’eau s
utre une urne dont l’eau s’échappe ; souvent elles se tiennent par la main  ; d’autres fois, elles ont près d’elles Hercule,
, jouaient ensemble, mais une oie que tenait Hercyne s’échappa de ses mains et fut se cacher sous une pierre. Proserpine la d
rin appelé par les Romains Portumnus. Ils le peignaient une clef à la main , et en son honneur, ils célébraient une fête le 1
toujours une barbe épaisse et un air sévère, tenant en outre dans sa main son sceptre ou fourche à deux pointes, ou une épé
Cerbère et Mercure-Psychopompe ; on lui mettait un sceptre noir à la main , ou un pavot, symbole de l’assoupissement éternel
ndroits silencieux. Arrive à la fontaine, il se lavait trois fois les mains , puis il s’en retournait en jetant derrière lui d
ne jugeait que les peuples d’Asie. On le représentait un sceptre à la main , assis près d’un trône, à l’entrée des Champs Ély
ête de ses victimes. On la représente comme un squelette, tenant à la main un glaive ou une faux, ou souvent avec des traits
la chaussure de Vénus. On le représente un masque et une marotte à la main . Le Sommeil, fils de la Nuit et de l’Érèbe, résid
s ailes de papillon pour exprimer son passage rapide, et portant à la main une tige de pavots dont il touche les yeux des mo
, était une vieille femme, couverte d’un manteau noir, tenant dans la main droite une coupe et s’appuyant de la main gauche
anteau noir, tenant dans la main droite une coupe et s’appuyant de la main gauche sur un bâton. La Faim ou famine, placée au
re, marchant l’œil en dessous et regardant derrière lui, tenant d’une main une tête et de l’autre une épée sanglante. Cædès
’un bandeau, les cheveux épars et les vêtemens déchirés, tenant d’une main un poignard et de l’autre une torche allumée, fou
inités infernales : la Calomnie, toujours représentée une torche à la main et traìnant par les cheveux l’Innocence, figurée
partout où sa présence est réclamée. On lui mettait souvent dans une main une coupe remplie d’une liqueur divine, et une ép
de laurier, la posaient sur une roue et lui mettaient le compas à la main . Souvent, on rangeait Némésis parmi les Parques ;
naissance avec ces femmes redoutables. Les Parques, déesses entre les mains desquelles se trouvaient le commencement, la duré
ns furieux, dont la gueule béante poussait des hurlemens affreux ; sa main droite était ornée d’un flambeau, d’un fouet et d
ux, avec un air furibond et menaçant, des ailes de chauve-souris, des mains maigres et crochues, dont l’une est armée d’un fo
de l’Achéron, qu’elle parcourait continuellement un flambeau dans la main droite, pour montrer qu’elle savait toujours déco
t toujours découvrir et venger avec justice les crimes, et de l’autre main elle tenait un scrutin dans lequel les juges avai
nue jusqu’à son frère Egyptus, celui-ci mit de nouveau les armes à la main de ses cinquante fils, qu’il avait également eus
ence ayant régné sur cet évènement, Atrée sollicita du roi d’Épire la main de cette princesse qu’il croyait sa fille, et l’o
emps, un fils d’Agamemnon, Oreste, qu’Électre sa sœur avait sauvé des mains d’Égisthe et de Clytemnestre, revint à Mycènes et
e temps après qu’Agamemnon eut épousé Clytemnestre, Ménélas obtint la main d’Hélène, sœur également des Dioscures Tyndarides
t la main d’Hélène, sœur également des Dioscures Tyndarides ; mais la main de cette jeune fille qui déjà avait été enlevée p
sa nourrice ; mais sa sœur Electre, ou sa tante Arsinoé le sauva des mains du cruel, et le fit passer en Phocide, chez Strop
sort ayant décidé qu’Oreste serait la victime, on le remit entre les mains de la prêtresse Iphigénie, qui déjà balance le co
onneurs funèbres aux mânes de Patrocle, son ami, puis il immole de sa main douze captifs sur son bûcher, et célèbre des jeux
chez son père, qui le reçut avec bonté. Il fut un des prétendans à la main d’Hélène, suivit Nestor à Troie et se lia d’amiti
ée par une peste, se leva devant les rois assemblés et annonça que la main d’Apollon cesserait de s’appesantir sur eux, quan
i consentirent à s’associer à sa fortune. D'abord, il tomba entre les mains de Lycus, fils de Mars et roi d’une portion de l’
ède emportant le palladium. Il est assis sur un autel, tenant dans sa main droite une épée et de l’autre l’idole sacrée. Eu
et une jeune fille, virent le fer sacré demeurer suspendu dans leurs mains à l’arrivée d’Eurypyle et de la châsse. Aussitôt,
fils de Môle et de Melphis, fut un des concurrens de Ménélas. Pour la main d’Hélène, il alla au siège de Troie, où il eut en
la cire, et se fit attacher au mât du navire par les pieds et par les mains . Le charme alors n’ayant pu exercer son pouvoir s
nt Télémaque en ordonne autrement ; aussitôt, Ulysse reçoit l’arc des mains d’Eumée, le tend avec la plus grande facilité, et
aient le temps de se reconnaître, car une autre flèche, lancée d’une main aussi sûre, va percer le cœur d’Antinoüs, qui tom
ent d’un oracle de Tirésias qui lui avait prédit qu’il mourrait de la main de son fils ; car, craignant alors Télémaque, il
sien, tué par Ajax le Télamonide ; Idée, fils de Darès, fut sauvé des mains de Diomède par Vulcain ; Imbrase, père de Pirus,
ue par Teucer ; Orthée ; Othryonée, prince Thrace, qui prétendit à la main de Cassandre ; Palmis, fils d’Hippotion et auxili
la purifia de ce fratricide et lui légua son empire en lui donnant la main de sa fille. Ce Dardanus passait pour fils de Jup
irasse, la tête couverte d’un casque, monté sur un char, tenant d’une main une lance et un bouclier, et de l’autre, les rêne
nom que sa mère. On représente Pâris, berger de Priam, tenant dans sa main le pédum, autrement dit la houlette. D'autres le
ux Grecs. Par reconnaissance, à la mort de Pâris, elle lui accorda sa main  ; mais quand Troye fut prise, cette perfide épous
mprit toute la honte de sa conduite, et, craignant de tomber dans les mains de Télèphe, elle se précipita du haut des murs et
représente Anchise porté sur les épaules de son fils, tenant dans ses mains une boîte qui renferme ses pénates ; d’autres le
sa tête est coiffée d’un piléus en forme de calotte, et il tient à la main une béquille. Énée va donc nous apparaître à la
avager cette malheureuse ville, il prit son jeune fils Ascagne par la main , chargea sur ses épaules son père Anchise, accabl
lle ne peut la lui dissimuler, et même elle lui offre son trône et sa main . Énée refuse, et se contente d’être son amant heu
meurtrier et pour empêcher les restes de Camille de tomber entre les mains des Troyens. Dieux divers. Chez les Grecs et sur
la poitrine découverte jusqu’à la place du cœur, et embrassait de la main gauche un orme sec, entouré d’un cep de vigne cha
à Athènes ; Ancarie, déesse Etrusque de la vengeance, représentée les mains collées contre le corps, les pieds joints l’un co
ngues, larges et plates, pendantes le long du visage, et portant à la main une hache à deux tranchans, et des cothurnes à se
mple de Volupie ou le plaisir, avait, comme l’Harpocrate Egyptien, la main ou une bague posée sur sa bouche ; Animales Du ou
ésentait Juin comme un jeune homme sans habits, ayant une torche à la main , signe de la chaleur, et montrant du doigt une ho
visage riant, couronné de pampres, vêtu de pourpre, et portant d’une main des balances, signe de l’équinoxe d’automne, part
iens par un esclave, jouant aux dés et tenant une torche ardente à la main , pour rappeler les saturnales qui se célébraient
ns couronne, mais couverte d’un bonnet de la liberté, et portant à la main le signe du capricorne, pour indiquer que les jou
es en font une femme vêtue de bleu et tenant un oiseau aquatique à la main . L'année grecque ne se divisait pas tout-à-fait c
eprésentaient sous la forme d’un jeune homme nu, debout, tenant d’une main des pavots et des épis, et de l’autre une coupe.
ié. Chagrin ou Mœror. Chasteté, déesse Romaine, ayant un sceptre à la main et deux colonnes à ses pieds. Ciones ou colonnes,
er ou de laurier, ou bien, assise sur un lion, tenant une pique d’une main , jetant de l’autre une flèche et foulant des arme
sur un trône, environnée de l’Ignorance et du Soupçon, et tendant une main à la calomnie. Crepitus, dieu des éruptions sonor
x vêtemens gouflés par les vents, couronnée de fleurs et portant à la main des fleurs, des épis ou une corne d’abondance. Em
comme l’ Amitié ; on l’habille d’une robe blanche, et on lui met à la main le plus ordinairement une clef, ou un cachet ou u
à ses pieds un chien. Quelquefois on la symbolise simplement par deux mains , enlacées l’une dans l’autre. Fidius, Sancus ou S
vieillard avec une barbe longue, des cheveux courts, et portant à la main un hibou. Grundules, Lares présidant à l’étable
les traits d’une nymphe, debout, couronnée de lauriers et tenant à la main ou une lyre ou une haste, ou un bouclier ou un gl
un globe, surmonté d’une victoire, ou bien tenant une patère dans la main gauche, et semant avec la droite des grains d’enc
is sacré, en la priant sans remuer les lèvres et on lui consacrait la main gauche, regardée chez les anciens comme la plus a
, mais dont la pointe portait sur un globe ; il tenait une bride à la main et n’avait de longs cheveux que sur les tempes, O
les empereurs romains, une déesse aux traits vénérables, tenant à la main une corne d’abondence et touchant de l’autre un g
igurant l’univers. Prudence, déesse que l’on représentait tenant à la main ou une lampe ou un miroir entouré d’un serpent. P
t sur la tête un petit garçon tout nu et une grappe de raisin dans la main  ; du reste, pour la conservation de la vie, la pr
s cornes d’une vache, symbole des phases de la lune et tenant dans la main droite un sistre, emblème du mouvement de la natu
ntôt d’un long manteau, sa chaussure lui monte jusqu’à mi-jambe d’une main , il tient un sistre, et de l’autre, un caducée av
it le fruit, il fut bientôt convaincu de mensonge, et ne se sauva des mains d’Haroéri qu’en prenant la forme d’un crocodile ;
sous la forme d’un génie à tête de chakal, et de plus, il porte à la main , dans le zodiaque rectangulaire, le sceptre des d
re, il n’a qu’un disque pour coiffure, et porte le bâton augural à la main  ; il correspond aux 1, 3, 12, 13, 14, 30 et 31e d
s s’élève une espèce de mitre, et il ne tient qu’un simple bâton à la main  ; il correspond aux 4, 5, 22 et 31e dynastes. Hé
s le zodiaque rectangulaire, nu, s[ILLISIBLE]s sceptre, et portant la main vers la bo[ILLISIBLE]ne, pour exprimer un signe d
de la vierge, représenté dans le zodiaque rectangulaire, portant à la main le sceptre des dieux bienfaisans, et pour coiffur
me humaine, et porte le bâton augural, et dans les deux zodiaques, sa main droite tient le van mystique, et le pcheut décore
ouré de trois ou quatre rangs d’un collier très-riche, ayant dans les mains , comme Fta, pour emblème le vase sacré avec leque
e feuilles de palmier, et tient un sceptre à fleurs de lotos dans ses mains  ; on la voyait à Éléphantine, seule avec Pharaon
i présentant une corbeille de fleurs, tandis qu’elle élève une de ses mains sur lui en signe de protection. Surot, ou le qua
prophétie et ils rendent des oracles. On l’honore en se frappant les mains à plusieurs reprises. Les Kissi sont des fétiches
mple, était la statue de la déesse. Cette idole fut renversée par les mains mêmes de Mahomet. Passant ensuite de l’Arabie en
ieu matin et soir, en jetant trois fois de l’eau avec les creux de la main sur la terre et vers le soleil, qu’ils adorent en
ours Brahmâ avec quatre têtes, ayant de longues barbes et avec quatre mains , tenant dans l’une la chaîne mystérieuse à laquel
t la parole divine sur une feuille de palmier ; dans une autre de ses mains , il porte un vase recouvert ; souvent il tient mo
bras de son époux, ou bien seule, tenant un livre ou une lyre dans la main . Menou ou Manou, fils de Brahmâ, est un être tou
sente avec quatre bras, ayant un bandeau sur les yeux et un croc à la main , habilllé de rouge, et monté sur un éléphant nomm
ravat, qui semble fier de ce divin fardeau, quelquefois il tient à la main une fleur de lotos. Quant à Dévani, fille d’Indra
e avoir des enfans aux gens mariés. On lui donne un corps jaune, deux mains seulement, avec de riches bracelets et autres orn
bras, au nez, au cou, aux pieds, et autour du corps ; elle tient à la main la fleur appelée Tchankarinirpou. Son image, ains
offes de couleur jaune orange, et porté sur un buffle, en tenant à la main ou un bâton, ou un fléau, ou un glaive, attributs
és ; il est habillé de rose, sa tête est ceinte d’une couronne, et sa main porte le sceptre. Pavana, ou Vaiou, ou Vahgon, o
me conduite de Sambara, s’empare de lui et l’extermine de ses propres mains . Après les Daitias, viennent les Danavas ou Danou
ppe d’eau surabondante ; elle porte un vina ou espèce de lyre dans sa main droite, une balance ayant deux urnes en guise de
main droite, une balance ayant deux urnes en guise de bassins dans la main gauche ; on voit à ses pieds l’Emyde ou carapace
voix harmonieuses toutes les sphères. C'est Gandharva qui reçoit des mains de Souaiambhouva, la fiancée, et la remet au dieu
ayant connu ensuite qu’il était sorti d’une noble origine, refusa la main de la fille de Soukra. Cette vierge, indignée de
eu. Ce fut lui qui se lança de la cime du mont Mérou, tenant dans ses mains un baril rempli de la divine liqueur nommée Amrit
, dont la tête est ornée d’épis et de pierres précieuses, tenant à la main un lotos, emblème de l’abondance. On va vers le r
C'est lui qui, sous la forme de la ravissante Mohanimaïa, enlève des mains des Açouras la fiole divine qui contient l’Amrita
Lakchmi, qu’il enlace dans ses bras. Son teint est bleu et ses quatre mains tiennent tantôt le Padma, ou Lotos, tantôt le San
mes semblable à la foudre, ou la massue des Ramas ; d’autres fois ses mains sont élevées et vides, répandant des bénédictions
s, et consacra à Siva cent ans de son existence, ses dix têtes et dix mains . Siva les lui rendit et lui donna le privilége de
reine et voulut la noyer ; mais Vichnou, on le sait, l’arracha de ses mains , s’incarna sous les traits de Rama, et précipita
-six ans après la mort de Krichna. On le représente enfant, ayant une main et deux pieds à terre ; tantôt il est dansant, ta
nka. Quand on le représente seul, il a ordinairement un éventail à la main ou une lyre. Il est quelquefois moitié homme et m
On la représente, la poitrine nue, la tête coiffée d’une mitre et la main chargée d’un lotos. Elle tient quelquefois un enf
a mort. On la représente de couleur verte ; sa monture est l’âne ; sa main porte une bannière au milieu de laquelle un corbe
pieds la racine d’une plante chargée de fruits qui passe par ses deux mains . On célèbre tous les ans deux grandes fêtes en so
nt deux formaient l’oreiller de Vichnou, deux autres supportaient ses mains , et la cinquième lui servait de siége. Plus tard,
ème tête : aussitôt Vichnou pose sur cette nouvelle tête une nouvelle main  ; bientôt l’un et l’autre se multiplièrent jusqu’
saisons et de l’année et Içania. On donne à Siva cinq têtes, quatre mains et trois yeux à sa tête principale. Il est porté
a tête principale. Il est porté sur le taureau Nandi ; il tient d’une main le trident, de l’autre le Padma ; l’eau céleste t
diadême formé de crânes humains ; son corps est ceint de serpens, ses mains sont armées de l’épée et de la flamme ; le tigre
ue appelée Bhadrakali, ou Pétrakari Pagoda, ayant huit visages, seize mains noires comme du charbon, de grands yeux, des défe
de son corps pour vêtemens, et des plumes de paon pour chevelure. Ses mains sont armées d’une épée, d’un trident, d’une jatte
flammes dansantes, des clochettes garnissent ses pieds et ses quatre mains tiennent la tchankra, ou roue flamboyante, le tid
merce. On le représente assis sur un ballot de riz et un marteau à la main  ; en face de lui est un sac qu’il remplit de ce q
ié-Pandaroux, il ne parle jamais, demande l’aumône en se frappant les mains , va presque nu et mange sur place tout ce qu’on l
n pièces son neveu ; mais celui-ci n’eut qu’à lever cinq doigts de sa main , et soudain l’éléphant se calmant, se coucha humb
t couverte d’une mitre, et les deux autres d’un petit bonnet rond. Sa main gauche tient un sceptre couché, et sa droite un c
s yeux dont l’un est au milieu du front, un autre dans la paume de la main , puis le troisième à la plante des pieds ; elle t
e la main, puis le troisième à la plante des pieds ; elle tient d’une main une fleur sur laquelle est un enfant. Tordchipam
sente avec seize bras, assise sur une fleur de Padma, tenant dans ses mains des couteaux, des livres, des épées, des fruits e
-Pou-Tsa, déesse de l’abondance ; elle est représentée avec plusieurs mains , comme pour prodiguer ses dons. Lao-Kioum, dieu
 ; il naquit sous un arbre nommé Li, et s’écria, en le montrant de la main , voilà mon nom de famille. Manipa est un dieu de
ppé d’une large robe à grandes manches ; il tient un éventail dans sa main  ; il a la barbe longue et le front ridé. Topan,
le représente parcourant l’espace, la tête couverte d’un casque et la main armée d’une massue. Quand le tonnerre gronde, Top
et à la richesse. On le représente assis sur un sac de riz, tenant en main le marteau du bonheur ; près de lui est un sac qu
ssons. On le représente assis sur un rocher, tenant une ligne dans la main droite et dans sa gauche le poisson Taï. Jacous
s. On le représente avec quatre faces et quatre bras ; il tient d’une main un sceptre terminé par un brillant soleil ; d’une
rayons d’or, que surmontent des images de divinités inférieures ; ses mains en portent aussi quelques-unes. Elle a des oreill
d’une couronne brillante de pierreries, son corps est armé de quatre mains , dont l’une tient un sceptre ; l’autre une tête d
pèce d’étoffe, et monté sur un cheval à sept têtes. Il tient dans ses mains un anneau d’or, qu’il serre entre ses dents. Amid
nt deux sont élevés en l’air, et les deux autres tombant ; une de ces mains est fermée, les trois autres portent une lance, u
uille remplie à moitié de grains de riz ; il tient un sceptre dans sa main gauche. Les Japonais ont tant de respect pour lui
ou retentir un vase, ils lui adressent leurs prières en se tenant les mains devant la bouche. Inga, saint que les Japonais o
r la terre ; c’est lui qui est chargé de recevoir les ames justes des mains de Seroch, autre Ized, et de les remettre dans le
sur la vache Pourmadje ; sa tête est ornée de la mitre solaire, et sa main est armée de la massue à tête de bœuf. Il régna c
t le prophète de la Perse. On le voit tantôt recevoir l’arbre-Hom des mains d’Ormuzd, tantôt il est Hom lui-même ; il était s
et aimables, et sont presque tous assis sur des nattes, tenant d’une main un sceptre, et de l’autre une cloche. Les méchans
barbe et à longue chevelure. Il était ceint d’une bande de toile, sa main gauche tenait une roue, et sa droite un panier re
têtes ; il avait en outre un visage sur la poitrine et tandis que sa main droite tenait son menton, de la gauche il touchai
ait la divinité tutélaire de leur capitale. Il tenait une lance de la main gauche ; sur sa tête était un coq aux ailes déplo
t surtout adorée par les Varégues, qui la représentaient tenant d’une main une pomme, de l’autre une grappe de raisin. On lu
est, sud et nord. Alors les trois fils de Bore firent surgir de leurs mains le premier homme appelé Aske ou Askour ; c’est-à-
nte salles ; ce dieu est porté sur un char traîné par deux boucs, ses mains sont couvertes de gants de fer, l’une d’elles est
dit-on, les ames des justes. Ceux qu’ils abandonnent tombent dans les mains des Saivos, esprits des cavernes. Raguar-Lodbrok
’aller lui présenter douze pommes d’or pour la déterminer à donner sa main à Fréi, mais il ne put jamais en obtenir qu’un si
un pouce de hauteur, elle était creuse et percée à la bouche et à la main droite qui se trouvait placée sur sa tête. Ses pr
ivâtre, les épaules chargées de l’arc et du carquois, tenant dans ses mains une massue ; de sa langue partaient des fils d’or
le-toi, Hennil. On le représentait sous la forme d’un bâton, avec une main et un anneau de fer. Heu ou Heus, dieu de la gue
barbe, assis au pied d’un massif de montagnes, tenant un roseau à la main  ; tantôt, penchant une corne pleine d’eau ; tantô
une tunique sans manches, les pieds croisés et la tête penchée sur sa main droite. Bergine, dieu des Cénomans ou manceaux,
yant une peau de lion sur les épaules, en même temps qu’un bâton à la main . Radégaste, idole de la même contrée, portait une
trouvons : Eirgeadmhar ou Airgiomdhar, fils de Slirlamb à la longue main , ainsi nommé à cause de son habileté dans les art
dan ; il était fils d’Eibtéar-Fionn. Il avait les bras et surtout les mains si longues que, quoique debout, il pouvait touche
sévère, une ligne bleue était peinte sur son front et sur son nez. Sa main droite s’appuyait sur une couleuvre ondoyante, la
rgés de chaînes d’or ; il avait sur le nombril une large émeraude, sa main droite portait quatre flèches ou un javelot, et s
sacrifices à Cusco de jeunes enfans. On la représentait tenant d’une main une fronde ou une massue, et de l’autre la pluie,
pl. 22 en regard de la page 353 représente le cyclope Polyphème, des mains duquel Ulysse s’échappe. La pl. 20 en regard de l
16 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
Phénicie. Une grande sécheresse étant survenue, ils étendirent leurs mains vers le soleil, qu’ils regardèrent comme le seul
dant de le représenter sous la forme d’un vieillard, tenant entre ses mains l’urne qui renferme le sort des humains. On plaça
s dieux indigètes. Dans ses tableaux, on plaçait une baguette dans sa main , parce qu’il présidait aux chemins publics ; il t
rès la bataille d’Actium. Les statues de Janus marquent souvent de la main droite le nombre de trois cents, et de la gauche
la grosseur d’une femme près d’accoucher. On place des clefs dans ses mains , pour exprimer que pendant l’hiver elle conserve
doigts, parce qu’ils étaient au nombre de dix comme les doigts de la main . Les fêtes de la grande déesse se célébraient au
c les Titans, sous la garde des Hécatonchires, géans qui avaient cent mains . Ce fut après cette victoire que les trois frères
e parti de Jupiter, donna lieu de dire que Typhon lui avait coupé les mains avec la même faux de diamant dont Jupiter s’était
portaient ces diverses figures à leurs proues. Typhon ayant coupé les mains et les jambes de Jupiter avec la faux de diamant,
Pan ayant surpris la vigilance de ce gardien, rendirent à Jupiter ses mains et ses jambes, c’est-à-dire sa liberté ; et ce di
ce dieu avec la foudre, symbole du dieu du ciel ; il la tient dans sa main droite ; dans sa gauche il tient un trident, symb
me majestueux avec de la barbe. Un trône lui servait de siége ; de sa main droite il tenait la foudre, et dans sa main gauch
servait de siége ; de sa main droite il tenait la foudre, et dans sa main gauche on remarquait une victoire et un sceptre.
out l’Olympe d’un seul mouvement de son front ; la foudre est dans sa main  ; l’aigle est à ses pieds ; le Respect et l’Équit
dié à Jupiter Vengeur. Le dieu était représenté avec des flèches à la main pour montrer qu’il était toujours prêt à punir le
e l’air par deux pierres d’aimant : et, après lui avoir fait lier les mains derrière le dos, il fit attacher deux enclumes so
re d’une femme assise sur un trône, tenant un sceptre dans une de ses mains , dans l’autre un fuseau, et portant sur sa tête u
sentait remplissant cette fonction, on la voyait assise, tenant d’une main un enfant emmaillotté, et une fleur dans l’autre,
un beau jeune homme couronné de fleurs et de marjolaine, tenant de sa main droite un flambeau, et de sa gauche un voile coul
elle en avertit Cérès, qui courait le monde avec deux flambeaux à la main pour retrouver sa fille. Aréthuse, fille de Nérée
lon sous la figure d’un jeune homme qui tient un arc ou une lyre à la main , tandis que le soleil est représenté avec la tête
t représenté avec la tête environnée de rayons, tenant un globe d’une main (fig. 10) ; ce que l’on n’observe jamais dans les
seils au téméraire ; les chevaux sentirent bientôt la faiblesse de la main qui les conduisait : ils s’écartèrent du juste mi
s ; et, pour exprimer qu’il était apaisé, on mettait une lyre dans sa main . Pendant les maladies contagieuses, on plaçait de
roit inventrice de la guitare : on en place ordinairement une dans sa main droite : et dans sa main gauche on remarque un pl
tare : on en place ordinairement une dans sa main droite : et dans sa main gauche on remarque un plectre au lieu d’archet. O
voix. On la représente appuyée sur une colonne, tenant un masque à la main . (Fig. 13.) 3. Melpomène préside à la tragédie. O
Melpomène préside à la tragédie. On la voit ordinairement reposant sa main sur la massue d’Hercule, parce que l’objet de la
ventrice de l’astronomie et des sciences. Elle tient un globe dans sa main  ; quelquefois ce globe paraît posé sur un trépied
osé sur un trépied ; on remarque alors l’équerre ou le compas dans sa main . (Fig. 19) 9. Calliope doit son nom à la majesté
conseilla d’exiger de Jupiter qu’il se fît voir à elle la foudre à la main , et dans tout l’appareil qui l’environnait lorsqu
ue donne le vin, vivacité qu’il fait éprouver même aux vieillards. Sa main est armée d’un thyrse, espèce de baguette environ
elles invoquaient le dieu, leurs cheveux étaient épars, et dans leurs mains on voyait des thyrses et des flambeaux. Ces fêtes
aveugle, qu’elle se fit suivre par les bacchantes, et déchira de ses mains son malheureux fils. Cet exemple funeste ne produ
réside. On voit sur sa tête un casque surmonté d’un hibou. Une de ses mains tient une pique, et l’autre l’égide, espèce de bo
s. On la représentait aussi les cheveux épars, tenant une torche à la main . (Fig. 24.) Bellone avait un temple à Rome auprès
et les médailles, on la voit, volant dans les airs, et tenant dans sa main une couronne ou une palme. Les Égyptiens la repré
é. Le génie de la peinture croit lui devoir un tribut ; il conduit la main d’ Apelles ; et ce peintre immortalise son nom, e
e variaient autant que les fables. Lorsqu’elle tient un globe dans sa main , elle représente la Vénus céleste, ou la planète
t de feuilles de raisin ; on remarque trois flèches dans l’une de ses mains . On a voulu désigner par-là qu’elle lance plus sû
traîné par deux lions ; un voile voltige au-dessus de sa tête, et sa main gauche est armée d’une flèche ; un Cupidon volant
feuillage vert. Il existe des statues antiques d’Apollon, tenant à sa main quatre petites Grâces. Quelques auteurs ajoutaien
et non pas courtisanes. Dans leurs danses, elles se tenaient par la main , pour apprendre aux hommes qu’ils devaient s’unir
raient jusqu’au bout de la carrière avec une torche allumée dans leur main . Lorsqu’elle s’éteignait, on était chassé de l’ar
d jusqu’au-dessus des genoux ; il porte un bonnet rond et pointu ; sa main droite tient un marteau, et sa gauche des tenaill
ières. Pour marquer son talent à négocier la paix, on plaçait dans sa main le caducée, baguette autour de laquelle, on voyai
aux grands chemins. Ses statues, dans ces cas, n’avaient ni pieds ni mains  : c’est ce que nous appelons des bustes. Mercure
x, dans une conque à laquelle sont attelés deux chevaux marins. D’une main il tient son trident, et de l’autre il s’appuie s
é, et Mélicerte fut appelé Palémon. On le peignait avec une clef à la main droite, pour désigner que les ports étaient sous
Vertumnus sous la figure d’un jeune homme, tenant des fruits dans une main , et dans l’autre urne corne d’abondance. Son habi
e Pénélope. On le représentait sous la forme d’un Satyre, tenant à sa main une flûte que l’on nommait Syrinx. (Fig. 37.) Les
a demande fut accordée, mais bientôt elle lui devint funeste. Sous sa main , les arbres et les pierres devinrent or ; mais il
é par la faim, il recourut à Bacchus. Le dieu lui dit de se laver les mains dans le Pactole, et depuis ce temps ce fleuve rou
ts l’or qu’entraînait ce fleuve : ce qui fit dire qu’en se lavant les mains dans le Pactole, il lui avait communiqué la propr
ste. On les représentait sous la forme de jeunes hommes, tenant d’une main un vase à boire, et de l’autre une corne d’abonda
rtant de ce bois, on trouve la demeure des héros morts les armes à la main . Près de là s’aperçoit le tribunal où Minos, Éaqu
eptre de Pluton était une fourche à deux pointes ; il tenait dans ses mains les clefs de son empire, pour annoncer qu’on n’en
a supériorité de Minos était marquée par un sceptre qu’il tenait à sa main , et l’on voyait près de lui l’urne qui renfermait
e, carnage, envie. On les représentait avec des flambeaux ardens à la main , des serpens pour cheveux, et un fouet de serpens
érentes couleurs, portait une couronne de sept étoiles, et avait à la main une quenouille, qui tenait au ciel et touchait à
e s’approchait de la terre pour éteindre la torche qu’elle tient à la main . (Fig. 43.) Le Sommeil, fils de la Nuit et frè
eprésente sous la figure d’un enfant dormant profondément. Une de ses mains tient des pavots, qui servent aussi à reposer sa
nnées. Lorsque les dieux juraient par le Styx, ils devaient avoir une main sur la terre et l’autre sur la mer. Le nom de Sty
d’une couleur noire. Les pontifes, pendant les prières, baissaient la main vers la terre, au lieu de l’élever vers le ciel.
mme, avec une légende qui portait son nom, Éternité. Elle tenait à la main une tête de soleil rayonnant, ou une tête de lune
e d’une femme couronnée de laurier, d’olivier, de roses, tenant d’une main des épis, symbole de l’abondance qu’elle procure,
n la représentait appuyée sur une table des lois, ayant une épée à la main pour les défendre, avec cette légende : Elles ass
était représentée par une femme appuyée sur une colonne, tenant de la main gauche une corne d’abondance, et montrant un glob
de la main gauche une corne d’abondance, et montrant un globe avec sa main droite, pour apprendre qu’elle étend ses soins su
lle, tenant une balance égale des deux côtés, ayant une épée nue à la main et un bandeau sur les yeux ; elle est assise sur
s plus petite de moitié. Il est représenté sur un trône, tenant d’une main un bâton, et appuyant l’autre sur la tête d’un se
ort et la vie. Sur son front on lisait : L’hiver et l’été. Une de ses mains tenait une légende, sur laquelle était écrit : De
caché pour lui. Cette dernière pensée était exprimée par l’une de ses mains , appuyée sur son cœur. Cette peinture, toute éloq
mière édition de cet ouvrage, une foule de dessins, tous dignes de la main qui a tracé ceux que nous venons de citer, a fait
17 (1866) Dictionnaire de mythologie
are, dont les notes cristallisées en étoiles semblaient fixées par la main d’Uranie dans l’azur immobile et profond d’une nu
son embarras, elle nous appelle à son aide, et, notre dictionnaire en main , attaque une à une les difficultés du morceau. 1r
ces voûtes froides, où je marchais à tâtons, appuyant à chaque pas ma main sur les parois humides et gluantes, quand nous ar
s console. » Plus loin, le Temps, assis, repassait sur la paume de la main une faulx ébréchée ; à côté de lui gisait une vie
détachai de la panoplie la massue d’Hercule, et, la soulevant à deux mains , je donnai sur la troupe féroce, qui s’évanouit c
s religieux était précédé d’une ablution. On se lavait trois fois les mains dans l’eau pure, on lavait le lieu du sacrifice e
, c’est-à-dire sans en offrir aux dieux une partie, et il n’a pas les mains pures. Admirons la sollicitude paternelle des anc
une voûte solide, qui tournait sur nos têtes avec les étoiles que la main du grand décorateur y avait attachées, il fallait
ourbe leur corps, creuse leurs joues, fait trembler avant l’âge leurs mains et leurs genoux. Il en fait des cadavres. C’est u
dans le palais de l’empereur. Sa mine était extrêmement farouche, ses mains et ses doigts étaient velus. Ses flancs se joigna
recherche de sa fille, et, déguisée en vieille femme, une torche à la main , parcourt tout l’univers. A cette époque, les hom
rds pour les beaux esclaves, pour le fin travail de l’argenterie ; sa main ne se porte plus vers les plats ; les couronnes m
rête à tomber, jusqu’à ce que la mort vienne enfin le trancher de ses mains secourables. On a tant abusé de ce souvenir de Da
tragique de son fils ; deux fois le ciseau de l’artiste s’échappa des mains tremblantes du père. » Entre toutes les œuvres d
is, mon fils éternuait à tout propos ? C’est bon signe. A coup sûr la main des Parques est sur les prétendants ; pas un seul
. Aux pieds du dieu veillaient un coq et un chien. Lui-même tenait en main un bâton où s’enroulaient deux serpents. Pourquoi
ends des hauteurs, Faune aux pieds légers ! Epands les trésors de tes mains fécondes         Sur mes moissons blondes, Peuple
lgents ne regardent pas au prix de l’offrande ; ils n’exigent que des mains pures. Des gâteaux, du lait, des guirlandes de vi
’hui à un paysan des armures du moyen âge et ces grandes épées à deux mains dont jouaient nos aïeux, si vous ne le détrompez
dant son sommeil et lui donnent l’assaut. Le héros se réveille, d’une main se couvre les yeux et de l’autre jette sa peau de
nous coûtera rien d’admettre qu’il se promène sur terre un sapin à la main . Je tiens d’un pèlerin qu’entrant sous le portail
oiseaux avec des têtes de femmes, — un flux de ventre dégoûtant, des mains crochues, — le visage livide et famélique. » At
prévenez la rencontre des ombres frêles. Trois fois vous purifiez vos mains dans l’eau claire, vous vous retournez : dans la
rpents sur la tête, des serpents à la ceinture, des serpents dans les mains .              L’épouse, en habit d’Alecton, Masq
re y tient l’urne fatale ; Le sort, dit-on, l’a mise en ses sévères mains  : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
ie. Elle était chaussée du cothurne et portait le masque héroïque. Sa main agitait le poignard, poignard classique, auquel e
e était un protecteur de l’art de Terpsichore. Uranie, le compas à la main , une sphère sur les genoux, observait les mouveme
placer Ganymède ; mais à le voir entrer clopin-clopant, la coupe à la main , dans la salle des banquets, les Immortels furent
ges matériels de l’affection des vivants. Ainsi Achille met entre les mains de Patrocle mort les boucles de ses cheveux. Enfi
bêtes fauves parmi les champs d’asphodèles ; Hercule marche l’arc en main , la flèche sur la corde, toujours dans l’attitude
veux qu’elle soit toute blanche, portant cuirasse dorée, sceptre à la main et couronne en tête. Il ne faut pas que Ninus soi
erait dans le Pactole, d’un comptable suspect qu’il ne peut mettre la main dans le Pactole de sa caisse sans en retirer des
is, tout ce qu’il touche aussitôt devient or ; l’or, au contact de sa main , se multiplie sous les formes les plus variées :
qu’à ouvrir le premier traité de mythologie qui leur tombera sous la main . Ils y verront comment la Discorde s’invita elle-
incipe de la vie et le communiqua à un morceau d’argile pétri par ses mains . Cette argile, c’est l’homme. Aucuns disent qu’ap
conservation. Car nu, désarmé, frileux comme il était en sortant des mains de l’ouvrier, il n’aurait pas tardé à rentrer dan
dont l’homme était formé. A peine cette créature fut-elle sortie des mains du forgeron divin, que les dieux l’ornèrent de to
la vie ? Il échappait, par une suite de métamorphoses soudaines, aux mains qui croyaient le saisir : « tour à tour lion à la
qui écoutait leur chant perfide était perdu. La rame glissait de ses mains  ; il tombait éperdu aux bras des divines chanteus
ion, j’irais droit aux caveaux de Saint-Denis, et je prendrais par la main non pas Clovis, ni saint Louis, ni même Henri IV,
eau qui fuyait ses lèvres brûlantes, les fruits qui échappaient à ses mains avides. Sisyphe, sur une pente escarpée, roulait
18 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
le même sujet. Enfin on pourra sans inconvénient le laisser entre les mains de la jeunesse ; et je ne connois point d’ouvrage
e d’une figure humaine, placée sur le bord d’un abyme, un glaive à la main , parce qu’elle ne produit rien et ne peut que dét
lé cet oracle fut délivré de son supplice. Les Dieux renoncèrent à la main de Thétis qui fut demandée par Pélée, roi de Thes
es Dieux. En jurant par le Styx, il falloit que les Dieux eussent une main étendue sur la terre et l’autre sur les mers. Le
res et parcouroit toute la maison, en faisant un peu de bruit avec la main , pour écarter les ombres qui ne se plaisent que d
se plaisent que dans les lieux silencieux ; ensuite il se lavoit les mains afin de les purifier, parce qu’elles avoient disp
victimes noires. La Fable dit que le Mensonge recevoit les ombres des mains de Caron pour les conduire devant les juges infer
brebis noire d’un an, et le sang de la victime servoit à purifier les mains du meurtrier. On faisoit ensuite des libations, l
oit à ses mânes le moyen de s’en venger en lui coupant les pieds, les mains , le nez et les oreilles ; c’est ainsi que fut tra
n recevoit, de nuit, le récipiendaire. Après lui avoir fait laver les mains , à l’entrée du temple, et l’avoir couronné de myr
e de férule. On le représente quelquefois avec une de ces cannes à la main , peut-être parce que cette plante étoit révérée c
aires des testamens et des actes les plus secrets : ce fut dans leurs mains que César et Auguste remirent l’écrit qui conteno
cuteur ouvroit la bière et délioit la vestale ; le pontife levoit les mains vers le ciel et adressoit aux Dieux une prière se
jurant le pontife de défendre sa mémoire. Elle refusa avec horreur la main que le bourreau lui présentoit pour l’aider à des
vieillards et les guerriers blessés ? Qu’elles sont respectables ces mains si pures, que l’or n’a jamais souillées, et qui n
en rochers. Vénus se vengea en ce genre de Diomède qui la blessa à la main au siége de Troie ; elle inspira à Egialée, épous
, il lui attacha sous les pieds deux enclumes après lui avoir lié les mains derrière le dos avec une chaîne d’or ; que les Di
il n’en dévoroit pas moins tous les étrangers qui tomboient entre ses mains . Il fut très-amoureux de la nymphe Galatée ; Ovid
tues des trois Grâces représentées de cette sorte : l’une tenant à la main une rose, l’autre une branche de myrte et la troi
ns leurs repas ; on les honoroit les unes et les autres le verre à la main . Pour s’attirer la faveur des Muses, on buvoit ne
crochus, un ventre énorme, le corps couvert de plumes hérissées, des mains et des pieds d’hommes et des oreilles d’ours. Ell
rder autant d’années de vie qu’elle tenoit de grains de sable dans sa main , et quand elle eut obtenu cette grâce, elle ne mo
homme avec des cheveux blonds, un carquois sur l’épaule, un arc à la main , ou dans son char d’or traîné par quatre chevaux
et des poëtes ; enfin elle est couronnée de fleurs, elle tient de la main gauche un flambeau, et de l’autre elle répand des
étoit représentée sur les médailles par une femme assise qui porte la main droite et le doigt index vers son visage, pour mo
dans les prairies de la Sicile, que là, elles travaillèrent de leurs mains , un voile de fleurs dont elles firent présent à J
19 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
dèle, et le peuple, reconnaissant, laissa tout le pouvoir entre leurs mains . Trois générations après Pélasgus, une immense po
val Pégase. Chrysaor tirait son nom d’une épée d’or qu’il tenait à la main au moment de sa naissance. Il épousa Callirhoé, f
ette dent surpassait les plus fortes défenses des sangliers, et leurs mains étaient d’airain ; des serpens formaient leur che
xe Thésée se rendit à l’île de Délos, où il consacra une statue de la main de Dédale, qui lui avait été donnée par Ariadne,
vœu. Ce père trop crédule et désespéré, ne voulant point tremper ses mains dans le sang de son fils, l’abandonna au courroux
ultant que sa tendresse pour son époux, offrit de se livrer entre les mains d’Acaste, afin d’obtenir la liberté d’Admète. L’é
t, et la combattit ; il trouva moyen de la vaincre et de lui lier les mains avec des chaînes de diamant. Il ne consentit à lu
que l’ami d’Hercule touchait ses flèches, une d’elles s’échappa de sa main , et tomba sur le pied qui avait décelé le dépôt.
es. Alcimède porta son fils sur le mont Pélion, et le remit entre les mains de Chiron, l’homme le plus sage et le plus instru
t, ne se croyant pas encore assez vengée, elle déchire de ses propres mains ses deux fils, Phérès et Mémercus. Épouvantée de
s tours de la ville, se présentent aux avenues du palais ; déjà leurs mains sont armées de torches pour l’embraser : ce fut a
ecevoir le coup mortel. Corésus jette sur elle un dernier regard ; sa main semble hésiter ; les murmures des Calydoniens se
us ses coups. « Après ce funeste accident, le royaume de Thèbes et la main de Jocaste furent promis à celui qui délivrerait
formidable, sur les terres de leurs ennemis. « On en vint bientôt aux mains , et les Thébains ayant perdu la bataille, abandon
ar des jeux funèbres. La trêve expirait, et l’on en venait encore aux mains . « Souvent, au plus fort de la mêlée, un guerrier
raits ou d’énormes quartiers de pierre, tantôt se joindre l’épée à la main , et presque toujours s’insulter mutuellement pour
rgos se couvrit de forfaits, et déchira ses entrailles de ses propres mains  : Agamemnon trouva son trône et son lit profanés
ans après la ruine de Troie, une partie du Péloponèse passa entre les mains des Héraclides, ou descendans d’Hercule. » L’ann
de cuivre auprès d’une statue de même métal, qui tenait un fouet à la main , et qui était également suspendue. Lorsque le ven
bélisques d’airain. Dans cette enceinte paraît une caverne taillée de main d’homme, ayant la forme d’un four. Là se voit un
averne se présente ; il faut se coucher à terre, et tenir dans chaque main une composition de miel nécessaire à porter ; on
ra de vivre autant d’années qu’elle tenait de grains de sable dans sa main  ; elle oublia, malheureusement pour elle, de dema
ceste, ou l’escrime à coups de poings. Pour le ceste, on s’armait les mains de grosses courroies de cuir de bœuf, et d’une es
i avaient remporté les prix dans ces jeux. Elles étaient toutes de la main des sculpteurs les plus célèbres de la Grèce. Les
intrépidement exposés dans les combats, seraient morts les armes à la main . Dès qu’il eut rendu le dernier soupir, on porta
engeur des dieux. Outre cette massue qui revenait d’elle-même dans la main qui l’avait lancée, et qu’il tenait avec des gant
croitre les herbes des prés et la laine des brebis ; il portait d’une main une épée, et de l’autre une trompette dont le bru
et de sa cuirasse resplendissante ; son large cimeterre est dans ses mains  ; il attaque le loup Fenris ; il en est dévoré, e
érisées par leurs symboles particuliers. Odin tenait une épée dans sa main . Thor, à la gauche d’Odin, avait une couronne sur
la gauche d’Odin, avait une couronne sur la tête, un sceptre dans une main , et une massue dans l’autre. Quelquefois on le pe
t à l’exécution des lois ; mais le pouvoir législatif était entre les mains des druides. Les peuples regardaient comme les or
s cueillaient la selage ; il fallait l’arracher sans couteau et de la main droite, qui devait être couverte d’une partie de
uverte d’une partie de la robe ; on la faisait ensuite passer dans la main gauche avec vitesse, comme si on l’avait dérobée 
20 (1842) Heathen mythology
now unnumbered woes o’er mortals reign Alike infected is the land and main ; O’er human race distempers silent stray, And mul
l steeds the slackened rein, And strikes his iron sceptre through the main ; The depths profound thro’ yielding waves he clea
Gods. ——— “Great Neptune! I would be Advanced to the freedom of the main , And stand before your vast creation’s plain, And
in thy treasure-caves and cells? Thou hollow-sounding, and mysterious main ! Pale glistening pearls, and rainbow-coloured she
housand royal argosies; Sweep o’er thy spoils, thou wild and wrathful main ;                                Earth claims not
ul at the bow, nor at the race; Of all the blue-eyed daughters of the main , The only stranger to Diana’s train; Her sisters
d founts I have loosed the chain, They are sweeping on to the silvery main , They are flashing down from the mountain brows,
er in their luscious cells; “The swallows all have winged across the main ; But here the Autumn melancholy dwells,         A
sea. “The shepherd of the seas, a prophet, and a god, High o’er the main , in watery pomp he rides, His azure car and finny
Thessalia’s inauspicious plain, Received the matron-heroine from the main ; While hours of triumph sound, and altars burn. A
his Theseus was untimely slain, He rashly plunged himself beneath the main !” His ascension to his father’s throne was recei
e thick ribs of the echoing horse; Two serpent forms incumbent on the main Lashing the white waves with their redundant trai
passion, darkened angrily, And gusts of wind swept o’er the troubled main Like hasty threats, and then were calm again; Tha
21 (1836) The new pantheon; or, an introduction to the mythology of the ancients
f air his flight sustain, O’er the wide earth, and o’er the boundless main . He grasps the wand that causes sleep to fly, Or
s totter on the rocking plain; And the toss’d navies beat the heaving main . Deep in the dismal regions of the dead, Th’ infe
he cleansed the gather’d blood From his bor’d eye-ball, in the briny main , And, bellowing, grinds his teeth in agonizing pa
from the storm, the Stromphades I gain, Encircled by the vast Ionian main , Where dwelt Cœlene, with her Harpy train. Such f
though round and prominent, yet not one of them is detached from the main rock. Some of these statues wear a kind of helmet
efore the sun’s bright face is held; Screening from flame, the liquid main , Each shadowy hill and grassy plain. Helga. The
22 (1909) The myths of Greece and Rome
en everlasting chain, Whose strong embrace holds heaven and earth and main : Strive all, of mortal and immortal birth, To dra
in one hand and a votive bowl in the other — were carried through the main streets of the city on all solemn occasions.    
ome and to her father. “‘Stay thy rash flight! and, from the distant main , — For oh! thou canst, my daughter, — turn again.
all the brave men of the country, and instituted a great hunt, whose main object was the capture or death of the obnoxious
hose hollow sides a number of brave warriors might lie concealed. The main army feigned weariness of the endless enterprise,
, and force, And craft of curious toil.” Hesiod ( Elton’s tr.). The main part of the fleet was stationed at another island
re, The plains where Ilium stood before, And homeless launch upon the main , Son, friends, and home gods in my train.” Virgi
e Mythological or Mythopœic age.” It was during this period that the main part of the vast fund of mythic lore is supposed
f the dawn, are probably more numerous than any others, and have some main features of resemblance in all cases. The first s
e Hesperides, — a symbol of the western sky and clouds at sunset. The main part of his life is spent with Deianeira (“the de
nes, the Gorgons, Grææ, Minotaur, Sphinx, Chimæra, &c.; but their main personifications were Cerberus (the grim three-he
23 (1900) Myths of old Greece in story and song
t see the Gorgons without looking at them. When Perseus came into the main hall, the three Gorgons were there. Two of them w
,    And the sweet new wine is glowing. A cheer, — a cheer across the main !    A shout comes from the billow! Theseus, These
e god would soothe her heart’s alarms.    “Be safe with me across the main .” “Nay let me die ere to thy charms    I lend,” s
24 (1860) Elements of Mythology, or, Classical Fables of the Greeks and the Romans
f air his flight sustain, O’er the wide earth, and o’er the boundless main . He grasps the wand that causes sleep to fly, Or
gods, and all the ethereal train, On the warm limits of the farthest main , Now mix with mortals, nor disdain to grace The f
defrauding who vouchsafed to save. This heard the raging ruler of the main ; His spear, indignant for such high disdain, He l
though round and prominent, yet not one of them is detached from the main rock. Some of these statues wear a kind of helmet
25 (1855) The Age of Fable; or, Stories of Gods and Heroes
s of the sea, the former denoting the strong billows of the wide open main , and the latter the white-crested waves that dash
rain, While Argo saw her kindred trees     Descend from Pelion to the main . Transported demigods stood round, And men grew h
“The winds are high, and Helle’s tide     Rolls darkly heaving to the main ; And night’s descending shadows hide     That fie
all thoughts of home and wished to remain in that country. It was by main force that Ulysses dragged these men away, and he
what their flocks yielded, for they were shepherds. Ulysses left the main body of his ships at anchor, and with one vessel
la scours the plain, Flies o’er th’ unbending corn or skims along the main .” Essay on Criticism. Chapter XXXIV. Pythag
all splendor in our isle at last. Thus lovely Halcyons dive into the main , Then show far off their shining plumes again.”
26 (1898) Classic myths in english literature
he announcement in his Constitutional History of Iceland.40 While the main treatises on the poetic art are, in general, Snor
With the brackish Dorian stream: — Like a gloomy stain On the emerald main , Alpheus rushed behind, — As an eagle pursuing A
into a stone, and Myrrha into a myrtle-tree.193 Her influence in the main was of mingled bane and blessing; as in the cases
t all thought of home and wished to remain in that country. It was by main force that Ulysses dragged these men away, and he
what their flocks yielded, for they were shepherds. Ulysses left the main body of his ships at anchor, and with one vessel
htingale sings to the dewy cedar, The cedar scatters his scent to the main . The strange flowers’ perfume turns to singing,
— “The winds are high, and Helle’s tide Rolls darkly heaving to the main ; And night’s descending shadows hide That field w
la scours the plain, Flies o’er th’ unbending corn or skims along the main .” — Essay on Criticism. §§ 177-184. On Norse myt
g to Jordanes, the Anses were demigods, ancestors of royal races. The main cult of the older religion was ancestor-worship,
27 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
n passage, mais tout à coup Télémaque, prompt, comme la foudre que la main du pére des dieux lance du haut de l’Olympe sur l
les têtes coupables, vient fondre sur son ennemi : il le saisit d’une main victorieuse, il le renverse comme le cruel aquilo
andato. Les oracles cruel enfin sont accomplis : Et je meurs par les mains , quand je retruove un fils ! Le ciel est juste.
 : D’un incurable amour remèdes impuissants En vain sur les autels ma main brûloit l’enncens : Quand ma bouche imploroit le
nt fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenoit à la main Il lui perce le coeur, et son âme ravie En acheva
erchaient : … Déjà ils se voient l’un l’autre, et Philoctète tient en main une de ces fléches terribles qui n’ont jamais man
e de ces fléches terribles qui n’ont jamais manqué leur coup dans ses mains . et dont les blessures sont irremédiables : ……………
sse. Mollement elles y posèrent Ces membres delicats, et ces débiles mains Qui dans la suite terrassèrent Le peuple des Tita
28 (1897) Stories of Long Ago in a New Dress
d founts I have loosed the chain; They are sweeping on to the silvery main , They are flashing down from the mountain brows,
29 (1833) Classic tales : designed for the instruction and amusement of young persons
e west. “Gorgona dwelling on the brink of night, Beyond Die Hounding main : where, silver-voiced, The Hesperian maidens in t
30 (1838) The Mythology of Ancient Greece and Italy (2e éd.) pp. -516
g her that, if she pleases, she may boast of having vanquished him by main strength832. When the corse of Hectôr was exposed
he sea, the former denoting the large strong billows of the wide open main , the latter the white-crested waves that dash aga
all thoughts of home, and wished to remain in that country. It was by main force that Odysseus dragged these men away, and h
aps approach to probability. The cutting off the Gorgon’s head is the main action of the mythe, and Pallas-Athene aids the h
31 (1832) A catechism of mythology
oo, Torn up with ‘t; that rains back on him that threw; Some from the main to pluck whole islands try; The sea boils round w
f air his flight sustain, O’er the wide earth, and o’er the boundless main : He grasps the wand that causes sleep to fly, Or
32 (1883) A Hand-Book of Mythology for the Use of Schools and Academies
“Neither the redskin nor the Indo-European had any choice as to the main features of the career of his solar divinity. He
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