autels. Amoureux de son esclavage, Le monde offrit un fol hommage Aux
monstres
les plus odieux : L’insecte eut des demeures sain
aux, Il effraya le Parnasse Par des prodiges nouveaux. Le ciel vit ce
monstre
impie, Né de la fange croupie Au pied du mont Pél
ns les vastes forêts ; Votre noble loisir sait imiter la guerre : Les
monstres
dans vos jeux succombent sous vos traits. Jusque
Atalante, princesse d’Arcadie, qui avoit eu la gloire de combattre le
monstre
à la tête de plusieurs princes Grecs, et de lui p
lus doux monumens. La frayeur et la mort vont sans cesse à ta suite,
Monstre
nourri de sang, cœur abreuvé de fiel, Plus digne
aire dont il étoit convenu, Neptune inonda les travaux, et suscita un
monstre
marin, qui désoloit le rivage. Il fit sa paix ave
s, et on les représente ornés de coquillages. Les Harpies étoient des
monstres
qui avoient une tête de femme, des oreilles d’our
d’Eole. Les Syrènes, filles de l’Océan et d’Amphitrite, étoient trois
monstres
, moitié femmes et moitié poissons, qui, par la do
ëtes disent que Scylla, fille de Phorcys, fut changée par Circé en un
monstre
environné de chiens toujours aboyans, et qu’elle
t qu’elle se précipita dans la mer : Il peint cette Scylla, dont les
monstres
avides Engloutissent au fond de leurs gouffres pe
olé des bœufs à Hercule, fut précipitée dans la mer, et changée en un
monstre
qui dévoroit les passans : L’une se cache sous s
age, le désespoir, les remords, et tourmentées sans relâche par mille
monstres
affreux : Et vous, troupe savante en noires barb
déesse aux cent voix : Quelle est cette déesse énorme, Ou plutôt ce
monstre
difforme, Tout couvert d’oreilles et d’yeux. Dont
Marchent sans ordre à ses côtés. Rousseau. Le même poëte dit que ce
monstre
habite un antre creusé au pied du Parnasse. La de
Là, de serpens nourrie et dévorée Veille l’Envie honteuse et retirée,
Monstre
ennemi des mortels et du jour, Qui de soi-même es
et d’un poignard. Elle ne respire que la fureur et les combats : Ce
monstre
impétueux, sanguinaire, inflexible, De ses propre
er Andromède, attachée à un rocher où elle alloit être dévorée par un
monstre
marin, en punition du crime de sa mère Cassiope,
La déesse punit ma fierté criminelle. Quinault. Persée pétrifia le
monstre
, et rendit Andromède à Céphée qui la lui donna po
e, Quand elles sont d’intelligence. Achèvent d’exploits glorieux ! Le
monstre
le plus furieux Leur fait vainement résistance.
en à trois têtes, et par un dragon qui en avoit sept. Hercule tua ces
monstres
, et Gérion lui-même, qui avoit trois corps, à ce
e l’on appelle souvent Alcide, parcourut l’univers pour le purger des
monstres
et des tyrans, et pour soulager les malheureux :
médon, roi de Troie, on exposeroit tous les ans une jeune Troyenne au
monstre
qui désoloit la Troade. Le sort tomba sur Hésione
ce prince de la délivrance d’Hésione ; ce qu’il exécuta, en tuant le
monstre
. Mais le parjure Laomédon, refusant de donner les
es malheureux, et s’appliqua particulièrement à délivrer la rerre des
monstres
qui la désoloient : Résolu de périr par un noble
rchant sur ses pas, J’entrepris de venger et d’affranchir la terre De
monstres
, de méchans échappés au tonnerre. De la Fosse.
membres de Périphète, qui ne se nourrissoit que de chair humaine. Ce
monstre
est connu sous le nom du géant d’Epidaure, ville
Ce héros intrépide Consolant les mortels de l’absence d’Alcide ; Les
monstres
étouffés, et les brigands punis ; Procustes, Cerc
la Crète fumant du sang du Minotaure. Racine. Le Minotaure étoit un
monstre
moitié homme et moitié taureau, que les poëtes fe
eux projet d’affranchir sa patrie de ce tribut honteux et cruel : Ce
monstre
, homme et taureau, qu’un fol amour fit naître, Qu
ute ta colère. Racine. Il ne fut que trop exaucé. Neptune envoya un
monstre
marin, qui par ses mugissemens effraya les chevau
approche, se brise, et vomit à nos yeux. Parmi des flots d’écume, un
monstre
furieux. …………………………………………………… Tout fuit ; et sans
fils d’un héros, Arrête les coursiers, saisit ses javelots, Pousse au
monstre
, et d’un dard lancé d’une main sûre, Il lui fait
l lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le
monstre
bondissant, Vient aux pieds des chevaux tomber en
opposoient à sa gloire. Il entreprit d’abord de combattre la Chimère,
monstre
qui avoit la tête d’un lion, le corps d’une chèvr
t, et qui vomissoit des flammes ; Ah ! prince, songez-vous que trois
monstres
ensemble Sont unis dans ce mons
-vous que trois monstres ensemble Sont unis dans ce
monstre
affreux ? A son aspect il n’est rien qu
. Bellérophon monta le cheval Pégase, et vint à bout d’exterminer ce
monstre
qui désoloit la Lycie, et remplissoit de crainte
e qui désoloit la Lycie, et remplissoit de crainte les habitans : Le
monstre
couvrira de torrens enflammés Nos campagn
e sauroit tromper sa fureur vigilante. Rousseau. Jason vainquit ces
monstres
; mais ce ne fut qu’avec le secours de Médée, fil
a lyre savante, Suspends la rage menaçante De tant de
monstres
furieux. Rousseau. Ce demi-dieu étoit fils de C
rés par un dragon. D’autres prétendent qu’Hermione étoit exposée à ce
monstre
, et que Minerve l’engagea à le tuer ;
passage dans un chemin fort étroit, Thèbes étoit alors désolée par un
monstre
appelé Sphinx : il avoit la tête d’une femme, le
ne la devinoient pas : Né parmi les rochers, au pied de Cithéron, Ce
monstre
à voix humaine, aigle, femme et lion, De la natur
n préserver ces lieux. D’un sens embarassé dans des mots captieux, Le
monstre
, chaque jour, dans Thèbes épouvantée, Proposoit u
eillesse s’appuie sur un bâton qui lui sert d’un troisième pied : Le
monstre
, furieux de se voir entendu, Venge aussi-tôt sur
nt les destins. Déjà même les dieux nous sembloient plus faciles : Le
monstre
, en expirant, laissoit ces murs tranquilles ; Mai
thage, bâtie par Didon, 194 Carybde, punie par Hercule et changée en
monstre
, 96 — Goufre voisin de la Sicile, 95 — Ulysse l
Un des signes du Zodiaque, 89 Chien à trois têtes, 106-134 Chimère,
monstre
vaincue par Bellérophon, 149-150 Chiron le centa
iel céleste poétique, 86 Circé, fameuse magicienne, change Scylla en
monstre
, 95 — Ulysse évite ses enchantemens, 192 Ciseau
unit les Athéniens, 142 — Chef des juges aux Enfers, 107 Minotaure,
monstre
fameux, 142 — Tué par Thésée, 143 Mnémosyne, mè
s, leur mère, 82 Scorpion, signe du Zodiaque, 89 Scylla, changée en
monstre
, 95 — Gouffre voisin de la Sicile, ibid. — Uly
0 — Elle est renversée par Alexandre le Grand, 161 — Désolée par un
monstre
, 163 — Par la famine et la peste, 164 — Et par
L’histoire des Dieux que j’ai déjà donnée, est remplie de crimes, de
monstres
et de fables lugubres ; ce second volume qui cont
e les venger, et ce Dieu fit sortir du fond des gouffres de la mer un
monstre
épouvantable qui fit des ravages affreux. Céphée
ter Ammon, apprit que ce fléau terrible ne cesseroit qu’en livrant au
monstre
sa fille Andromède. Dans ces désastres qui se ren
ur le bord de la mer, on l’attacha avec des chaînes sur un rocher, le
monstre
parut, il alloit s’élancer sur elle et la dévorer
cheval Pégase, vit cette belle Princesse prête à devenir la proie du
monstre
; à l’instant même le héros, avec la vitesse de l
éros, avec la vitesse de l’éclair, abbaisse son vol, et présentant au
monstre
la tête de Méduse devenue bienfaisante pour la pr
pe de gens armés dans l’intention d’attaquer son rival. L’aventure du
monstre
pétrifié auroit dû lui faire connoître combien ce
oit deviner, tuoit tous les jours un nombre prodigieux d habitans. Ce
monstre
, suivant la plus commune opinion, naquit d’Echidn
mmune opinion, naquit d’Echidna et de Typhon père et mère de tous les
monstres
de la fable. Le Sphinx avoit la tête d’une jeune
n visage, sa barbarie surpassoit celle des furies et des gorgones. Ce
monstre
exerçoit ses ravages sur le mont Phicée, d’où s’é
idi et trois le soir ». Œdipe, bravant les artifices et la cruauté du
monstre
, alla le chercher et devina cette énigme qu’il ex
eur excédoit celle de son lit ; il tua la laye de Crommyon, espèce de
monstre
qui causoit de grands ravages ; il descendit aux
arçons et autant de jeunes filles pour servir de pâture au Minotaure,
monstre
demi-homme et demi-taureau, né des amours exécrab
oux de cette infâme Princesse, le sage Minos, au lieu d’exterminer ce
monstre
féroce qui ne se nourrissoit que de chair humaine
que de chair humaine, se plut à perpétuer sa honte et les cruautés du
monstre
, l’enferma dans le labyrinthe construit par Dédal
ite s’embarqua, arriva en Crète, entra dans le labyrinthe, attaqua le
monstre
, le tua, et sortit du labyrinthe au moyen d’un pe
; les souhaits barbares de Thésée furent exaucés, Neptune suscita un
monstre
marin qui mit en pièces le malheureux et chaste H
e renaissoit aussitôt à moins qu’on n’appliquât le feu à la plaie. Ce
monstre
faisoit des ravages effroyables, Hercule, avec l’
fils de Mars nourrissoit ses chevaux de chair humaine. Hercule tua ce
monstre
, c’est le septième de ses travaux. Il dut l’accom
na et le tua. Hercule compléta les derniers travaux en exterminant le
monstre
Gérion, Roi d’Espagne, et géant qui avoit trois c
libérateur, il descendit aux enfers, il vainquit Cerbère, en vain le
monstre
se réfugia sous le trône de Pluton, le héros l’ar
i de faire d’effrayans prodiges, ayant toujours à ses ordres tous les
monstres
de la mer, il en fit paroître un qui ravagea les
aomédon ; les peuples se révoltèrent et forcèrent le Roi d’exposer au
monstre
sa fille Hésione ; Hercule délivra Hésione à cond
Calydon. Les Princes de la contrée s’étant réunis pour exterminer ce
monstre
, firent une partie de chasse à laquelle se trouva
unir que Junon et Neptune envoyèrent les Harpies dans son palais, ces
monstres
infectoient ses viandes et souilloient sa table ;
mmes armés, qu’il falloit exterminer tous18. Enfin, on devoit tuer le
monstre
qui veilloit à la conservation de la toison d’or,
es autres, sans qu’il en restât un seul. Alors, il courut chercher le
monstre
, gardien de la toison ; il l’assoupit avec des he
t à leur secours, et il fut étouffé comme eux dans les replis que ces
monstres
faisoient autour d’eux avec leurs corps. Cette fa
ppe, il en brisa le crâne avec ses dents et en dévora la cervelle. Ce
monstre
fut tué dans une embuscade. Diomède son fils épou
faire mourir ; Bellérophon monta le cheval Pégase, défit la Chimère,
monstre
qu’Iobatès lui ordonna de combattre ; on lui susc
M. de Voltaire a fait sur les ingrats les vers suivans : Ingrats !
monstres
que la nature A formés d’une fange impure Qu’elle
pose jamais, elle parcourt nuit et jour le monde, sous la figure d’un
monstre
ailé, d’une taille gigantesque, tenant une trompe
oreilles et de bouches. Quelle est cette Déesse énorme, Ou plutôt ce
monstre
difforme, Tout couvert d’oreilles et d’yeux, Dont
à, de serpens nourrie et dévorée, Veille l’Envie honteuse et retirée,
Monstre
ennemi des mortels et du jour, Qui de soi-même es
lieu. Pour venger la mort de ses compagnons, le fils d’Agénor tua le
monstre
, et, par l’ordre de Minerve, déesse de la sagesse
craint encor les larcins, A la garde d’Argus livre l’infortunée : Ce
monstre
a de cent yeux la tête environnée ; Ses yeux touj
mouche appelée taon, qui ne cessa de poursuivre Io. Tourmentée par ce
monstre
ailé, elle parcourt plusieurs contrées, traverse
t de Vénus ; il eut pour frère Antéros ou le contre amour. C’était un
monstre
de la figure la plus étrange : il avait les yeux
aux ours, aux sangliers, aux lions ; « Gardez-vous d’irriter tous ces
monstres
félons : « Laissez les animaux qui, fiers et plei
le jeune chasseur oublia les conseils de la déesse : il combattit ce
monstre
, et mourut d’une blessure qu’il reçut à la cuisse
: « Rassurez-vous, vous dirait-il en riant, je suis familier avec ces
monstres
; souvent même je m’amuse à monter des lions ; et
use. Cependant un oracle avait prédit que Psyché serait l’épouse d’un
monstre
affreux : tremblante sur sa destinée, elle n’écou
cruelles ; elle se coucha en tremblant, et dans la cruelle attente du
monstre
annoncé par l’oracle. Le lendemain, la jeune épou
ré les ombres de la Nuit, que son époux n’avait rien de semblable aux
monstres
hideux dont elle avait vu quelquefois la peinture
un poignard et une lampe, et l’engagèrent à profiter du moment où le
monstre
sommeillerait pour voir sa figure hideuse, et pou
erpents. La hideuse retraite des Gorgones était gardée par les Grées,
monstres
épouvantables ; c’étaient trois sœurs qui n’avaie
qu’Andromède allait terminer ses jours sur un rocher, dévorée par un
monstre
marin, il aperçut cette jeune princesse ; et, fra
e Lerne, dragon monstrueux qui avait sept têtes. Dès qu’il eut tué ce
monstre
, Eurysthée lui commanda de lui amener tout en vie
roi de Troie, avait été désignée par le Sort pour être la proie d’un
monstre
marin, à qui les Troyens présentaient tous les an
re de délivrer Hésione, moyennant un attelage de six chevaux. Déjà le
monstre
marin s’approchait pour dévorer sa proie : le hér
tre odieux monument, D’un carnage nouveau sans cesse était fumant. Ce
monstre
horrible à voir, fier de sa taille immense, Devai
morts épouvantés : Tel, effrayé du jour qui malgré lui l’éclaire, Le
monstre
en vain s’agite, et rugit de colère. De la cime d
clat ; Et tantôt, à deux mains, d’un arbre entier l’accable. Alors le
monstre
, en proie à son bras implacable, Se ressouvient d
bras nerveux ; Et, de leur creux profond faisant jaillir ses yeux, Du
monstre
à qui la voix, la lumière est ravie, Arrête dans
t en emportant l’épouse d’Hercule. Furieux de ne pouvoir atteindre ce
monstre
moitié homme et moitié cheval, et qu’aucun mortel
ôté de la triste Vieillesse ; la Peur, la Faim, la honteuse Pauvreté,
monstres
d’un aspect affreux, sont auprès de la Terreur, d
Les poëtes ont présenté des descriptions effrayantes de chacun de ces
monstres
épouvantables, qui, malheureusement pour l’espèce
voyage. A peine a-t-il avancé quelques pas, qu’il trouve de nouveaux
monstres
sous les figures les plus bizarres : là, Géryon m
ieds sont ceux d’un cheval indompté ; plus loin est l’Hydre de Lerne,
monstre
qui présente cent têtes menaçantes ; la Chimère,
re de Lerne, monstre qui présente cent têtes menaçantes ; la Chimère,
monstre
ailé, qui lève trois têtes, l’une de lion, l’autr
agon, et dont tout le corps tient de ces trois animaux différents. Ce
monstre
vomit des torrents de flamme et de fumée. De son
ophon, monté sur le cheval Pégase, et elle vint grossir le nombre des
monstres
infernaux. Dans le même lieu, Énée rencontre les
née rencontre les Gorgones, les Titans, et les Harpyes : ces derniers
monstres
avaient été engendrés par Thaumas, fils de la Ter
armées de griffes : leurs noms étaient Aëllo, Ocypéto, et Céléno. Ces
monstres
exhalaient une odeur infecte. Le fils de Vénus, e
our se défendre mais sa conductrice le rassura, en lui disant que ces
monstres
n’étaient que de vains simulacres. Bientôt ils ap
i faisait retentir ces vastes souterrains de ses longs aboiements. Ce
monstre
naquit d’Échidna, moitié nymphe et moitié serpent
La prêtresse lui ayant jeté un gâteau pétri de miel et de fruits, le
monstre
rentre dans son noir repaire. Alors les deux voya
es divers supplices inventés dans l’affreux Tartare, par le génie des
monstres
des Enfers. Tisiphone, la plus méchante des Furie
çut chez lui, leur servit à souper les membres de son fils Pélops. Ce
monstre
voit toujours autour de lui des fruits délicieux
s, et repoussaient tous les nuages. Les immenses baleines et tous les
monstres
marins, faisant avec leurs narines un flux et un
lyphème, roi des Cyclopes et Cyclope lui-même, faisait sa demeure. Ce
monstre
, qui n’avait qu’un œil, et qui se nourrissait de
i creva son œil unique avec une perche dont le bout était brûlant. Le
monstre
pousse des cris effroyables, et pour ne pas laiss
i à se soustraire à leur terrible ennemi. Avant cette mésaventure, ce
monstre
, qui semblait si peu fait pour l’amour, avait aim
avec de simples mortelles. Hercule, dieu de la force, destructeur des
monstres
, est devenu fils de Jupiter et d’Alcmène. On divi
est le symbole des hommes forts qui ont triomphé de la nature et des
monstres
qui désolaient l’humanité. Les allégories ne repr
hommes née du sang des géants, dont la terre fut arrosée, lorsque ces
monstres
furent vaincus par les dieux, mêla l’impiété à la
endant Jupiter fut pris et renfermé dans un antre, sous la garde d’un
monstre
moitié femme et moitié serpent. Mercure et Pan le
cuta longtemps : Apollon, encore enfant, s’arma de flèches, et tua le
monstre
. Cette victoire lui fit donner le nom de Pythien.
r venger sa mère, mais pour délivrer la terre. Quoi qu’il en soit, le
monstre
succomba sous ses coups, et le triomphe du dieu f
t le centaure Chiron, précepteur d’Achille. Les Centaures étaient des
monstres
composés d’un corps de cheval terminé par le bust
on se rie après de ma puissance ! » Il n’eut pas dit, qu’on vit trois
monstres
au plancher, Ailés, noirs et velus, en un coin s’
ais sa proie ; il tient une pique à la main. A côté de lui on voit un
monstre
marin. Téthys, épouse et sœur d’Océan, représente
guèrent pour punir ce parjure. Apollon envoya la peste, et Neptune un
monstre
marin qui dévorait les habitants de la ville et d
Troyens effrayés consultèrent l’oracle, qui leur ordonna de livrer au
monstre
la fille même de Laomédon, Hésione. Hésione, ench
t saisie de fureur, et se précipita dans les flots, où elle devint un
monstre
terrible aux vaisseaux. C’est elle qui, avec Char
ont rendu si fameux le détroit de Messine. Ce dieu est le symbole des
monstres
marins. Les Sirènes, nymphes célèbres par la douc
t dans la mer. Les Harpyes sont moins des divinités de la mer que des
monstres
marins. On les dit filles de Neptune et de la mer
Neptune et de la mer ; la plus célèbre d’entre elles est Céléno. Ces
monstres
, au visage de femme, au corps de vautour, aux ong
e de serpents. Les lits de fer des Furies sont à côté, et cent autres
monstres
assiégent l’entrée de ce fatal séjour. Ce vestibu
imée de Cupidon. Un oracle avait annoncé qu’elle serait l’épouse d’un
monstre
, tyran des dieux et des hommes, et avait ordonné
uiète et curieuse, voulut voir son époux, dont l’oracle avait fait un
monstre
. Profitant de son sommeil, elle allume une lampe,
avageait la forêt de Némée ; Hercule s’avança contre lui : en vain le
monstre
vomit-il des tourbillons de flamme et de fumée, H
de sa victoire. Les marais de Lerne nourrissaient depuis longtemps un
monstre
né de Typhon et d’Échidna, l’hydre aux sept têtes
sitôt plus terrible. Hercule les abattit toutes d’un seul coup, et le
monstre
fut vaincu. Hercule trempa ses flèches dans le sa
. Le sanglier d’Érymanthe eut le même sort. Eurysthée, à la vue de ce
monstre
, se cacha d’effroi dans une cuve d’airain. Le lac
ns cette expédition. Géryon, roi de l’île d’Érithie ou Gadès (Cadix),
monstre
à trois corps, nourrissait ses bœufs de la chair
iomède, roi de Thrace, qui nourrissait ses cavales de sang humain. Ce
monstre
, vaincu par Hercule, servit à son tour de pâture
e, il trancha d’un coup de son épée la tête de Méduse ; du sang de ce
monstre
naquit Pégase, cheval ailé qui s’éleva aussitôt d
lle de Céphée, attachée à un rocher, et près de devenir la proie d’un
monstre
marin. Persée promit de la délivrer, si son père
père consentait à la lui donner en mariage. Le héros s’élança sur le
monstre
et lui trancha la tête. Phinée, oncle d’Andromède
ne pouvant se décider à le frapper, il l’envoya combattre la Chimère,
monstre
terrible, formé d’une tête de lion, d’un corps de
cision de son père, se présenta dans l’intention d’aller combattre le
monstre
et de délivrer sa patrie de ce honteux tribut. Ar
appela sur son fils la colère de Neptune. Le dieu des mers envoya un
monstre
marin qui effraya les chevaux d’Hippolyte : le je
le portèrent vers Thèbes, que désolaient alors les ravages du Sphinx,
monstre
à trois formes, aigle, femme et lion, qui proposa
vait promis son trône et sa main à celui qui délivrerait Thèbes de ce
monstre
. Œdipe se présente, devine l’énigme, triomphe du
ce humaine. Le lion divin, sortant d’une colonne, se précipita sur le
monstre
, et mit son corps en lambeaux. Après ces premiers
ts. Thor est le dieu de la force, le maître du tonnerre, le fléau des
monstres
et des génies ; le bruit de la foudre est le pass
ux enfers, et le loup Fenris. Les dieux sont parvenus à enchaîner ces
monstres
; mais un jour viendra où l’ébranlement du monde
e des Titans. 3. Ce sanglier fut l’occasion d’une chasse célèbre. Ce
monstre
, blessé par Atalante, princesse d’Arcadie, fut tu
autels. Amoureux de son esclavage, Le monde offrit un fol hommage Aux
monstres
les plus odieux : L’insecte eut des demeures sain
’il vint à bout de ressusciter le jeune Hyppolite, mis à mort par des
monstres
marins. Jupiter, indigné qu’un mortel empiétât su
ur lequel elle se tenoit, étoit couvert de la peau du serpent Python,
monstre
horrible qu’Apollon avoit tué dans son enfance. D
ns les vastes forêts3 ; Votre noble loisir sait imiter la guerre. Les
monstres
, dans vos jeux, succombent sous vos traits. Jusqu
ide de Minerve ? R. L’égide étoit un bouclier couvert de la peau d’un
monstre
de ce nom qui vomissoit feu et flammes, que Miner
lus doux monumens. La frayeur et la mort vont sans cesse à ta suite,
Monstre
nourri de sang, cœur abreuvé de fiel, Plus digne
Harpies. D. Qu’étoient les Harpies ? R. Les Harpies étoient des
monstres
qui avoient une tête de femme, des oreilles d’our
R. Les Syrènes, filles de l’Océan Arènes et d’Amphitrite, étoient des
monstres
, moitié femmes et moitié poissons, qui, par la do
e Déesse aux cent voix. Quelle est cette Déesse énorme, Ou plutôt ce
monstre
difforme, Tout couvert d’oreilles et d’yeux, Dont
t et d’un poignard. Elle ne respire que la fureur et les combats. Ce
monstre
impérieux, sanguinaire, inflexible ; De ses propr
a Andromède qui étoit exposée sur un rocher, pour être dévorée par un
monstre
marin. Il pétrifia ce monstre. Céphée, père de la
sur un rocher, pour être dévorée par un monstre marin. Il pétrifia ce
monstre
. Céphée, père de la princesse, la lui accorda pou
ence, Achèvent d’exploits glorieux ! Le
monstre
le plus furieux Leur fait vainemen
un monument de sa première victoire. 2.° Il tua l’hydre de Lerne : ce
monstre
épouvantable avoit sept têtes ; quand on lui en c
ommandés par Eurysthée ? R. II parcourut l’univers pour le purger des
monstres
et des tyrans, et pour soulager les malheureux.
r sur ses pas, et s’appliqua particulièrement à délivrer la terre des
monstres
qui la désoloient. Résolu de périr par un noble
rchant sur ses pas, J’entrepris de venger et d’affranchir la terre De
monstres
, de méchans échappés an tonnerre. (Racine.) D. Q
Ce Héros intrépide, Consolant les mortels de l’absence d’Alcide ; Les
monstres
étouffés, et les brigands punis ; Procuste, Cercy
mots comment Thésée a vaincu le Minotaure ? R. Le Minotaure étoit un
monstre
moitié homme, moitié taureau, né, selon les Poëte
reux projet d’affranchir sa patrie de ce tribut honteux et cruel. Ce
monstre
, homme et taureau, qu’un fol amour fit naître, Qu
te ta colère. (Racine.) Il ne fut que trop exaucé. Neptune envoya un
monstre
marin qui, par ses mugissemens, effraya les cheva
de approche, se brise, et vomit à nos yeux Parmi des flots d’écume un
monstre
furieux. …………………………………………………… Tout fuit, et sans
fils d’un Héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au
monstre
, et d’un dard lancé d’une main sûre, Il lui fait
l lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le
monstre
bondissant, Vient aux pieds des chevaux tomber en
a-t-il fait de remarquable ? R. Il entreprit de combattre la Chimère,
monstre
qui avoit la tête d’un lion, le corps d’une chèvr
int à bout d’exterminer cet animal affreux qui désoloit la Lycie. Le
monstre
couvrira de torrens enflammés Nos campa
ne sédition populaire. Dans ce même temps Thèbes étoit désolée par un
monstre
appelé Sphinx : il avoit la tête d’une femme, le
ne la devinoient pas. Né parmi les rochers, au pied de Cithéron, Ce
monstre
à voix humaine, aigle, femme et lion, De la natur
préserver ces lieux. D’un sens embarrassé, dans des mots captieux, Le
monstre
, chaque jour, dans Thèbes épouvantée, Proposoit u
vieillesse s’appuie sur un bâton qui lui sert de troisième pied : Le
monstre
furieux de se voir entendu, Venge aussitôt sur lu
autels. Amoureux de son esclavage, Le monde offrit un fol hommage Aux
monstres
les plus odieux : L’insecte eut des demeures sain
voit promise. Pour s’en venger, Neptune inonda la ville et suscita un
monstre
marin qui désoloit tout le rivage. Apollon y envo
nsés, il falloit exposer touts les ans une jeune fille à la fureur du
monstre
. Bientôt le sort désigna pour victime Hésione, fi
irènes, filles du fleuve Achéloüs et de la muse Calliope, étoient des
monstres
moitié femmes et moitié oiseaux. Elles habitoient
oue du luth. D. Qu’appelez-vous Harpies ? R. Les Harpies étoient des
monstres
qui avoient une tête de femme, des oreilles d’our
er. A peine la nymphe y fut-elle entrée, qu’elle se vit changée en un
monstre
effroyable, dont la partie inférieure ressembloit
ntables ! Quels torrents de fumée ! et quels feux effroyables ! Quels
monstres
, dit Bourbon, volent dans ces climats ? Quels gou
l’Égide de Minerve ? R. C’étoit un bouclier couvert de la peau d’un
monstre
nommé Égiès, qui vomissoit feu et flammes, et que
arrivée au bord de la mer, ne pouvoit plus échapper aux poursuites du
monstre
; mais Neptune vint au secours de l’infortunée La
aux, Il effraya le Parnasse Par des prodiges nouveaux. Le ciel vit ce
monstre
impie, Né de la fange croupie Au pied du mont Pél
t si habile, qu’il rendit la vie à Hippolyte, fils de Thésée, que des
monstres
marins avoient mis en pièces. Jupiter, indigné qu
ns les vastes forêts ; Votre noble loisir sait imiter la guerre : Les
monstres
dans vos jeux succombent sons vos traits. Jusque
t peuples divers. Foible dans sa naissance, et timide à sa source, Ce
monstre
s’enhardit, et s’accroît dans sa course. La Terre
ol impétueux : Pour voir, pour écouter, pour semer les merveilles, Ce
monstre
ouvre à la fois d’innombrables oreilles, Par d’in
, trad. de Saintange.) Quelle est cette déesse énorme, Ou plutôt ce
monstre
difforme, Tout couvert d’oreilles et d’yeux, Dont
ait de la Discorde ? R. Il dépeint ainsi cette affreuse déesse : Ce
monstre
impérieux, sanguinaire, inflexible, De ses propre
Cassiopée, avoit été exposée sur un rocher, pour être dévorée par un
monstre
marin. Persée, monté sur Pégase, vint la délivrer
tre marin. Persée, monté sur Pégase, vint la délivrer, et pétrifia le
monstre
en lui présentant la tête fatale. Céphée donna sa
pents horribles, pour le dévorer dans son berceau. Hercule saisit ces
monstres
et les mit en pièces. La déesse, se radoucit alor
toit dans la forêt de Némée, et dévastoit le pays. Hercule attaqua ce
monstre
, l’obligea d’entrer dans une caverne d’où il ne p
dans les campagnes des environs du marais de Lerne, près d’Argos. Ce
monstre
avoit sept têtes, et quand on en coupoit une, il
é envoyé par Neptune dans les états de Minos. Hercule se saisit de ce
monstre
, et le conduisit à son frère Eurysthée. 11°. Eury
ent ses douze travaux ? R. Il parcourut l’univers pour le purger des
monstres
et des tyrans, et pour soulager les malheureux.
lui que nous voyons, sur ces mers qu’il habite Atteler à son char les
monstres
d’Amphitrite. Pallène17 est sa patrie ; et, dans
des mers Bondit, et fait au loin jaillir les flots amers : Touts ces
monstres
épars s’endorment sur la rive. Alors, tel qu’un b
her sur les traces de ce héros, et entreprit de délivrer la terre des
monstres
qui la désoloient. Résolu de périr par un noble
rchant sur ses pas, J’entrepris de venger et d’affranchir la terre De
monstres
, de méchants échappés au tonnerre. ( Racine.) D.
e qu’elles en atteignissent la longueur. Thésée purgea la terre de ce
monstre
. Scyron étoit un fameux brigand qui désoloit l’A
. Diane, irritée de ce qu’on avoit négligé son culte, avoit envoyé ce
monstre
pour punir les Étoliens et les habitants de la vi
notaure. D. Qu’étoit-ce que le Minotaure ? R. Le Minotaure étoit un
monstre
moitié homme et moitié taureau, né, selon les poë
noit dans le labyrinthe que Dédale avoit construit pour y enfermer ce
monstre
. Le Minotaure ne vivoit que de chair humaine. Les
cchus vint la consoler de l’infidélité de son amant, et l’épousa. Ce
monstre
, homme et taureau, qu’un fol amour fit naître, Qu
qui a donné lieu aux poëtes, de feindre que les Centaures étoient des
monstres
demi-hommes et demi-chevaux. D. Quel dessein conç
aucés par Neptune ? R. Ils ne le furent que trop. Neptune suscita un
monstre
marin qui effaroucha les chevaux d’Hippolyte. Le
approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d’écume, un
monstre
furieux. Son front large est armé de cornes menaç
ngs mugissements font trembler le rivage Le ciel avec horreur voit ce
monstre
sauvage ; La terre s’en émeut, l’air en est infec
fils d’un héros, Arrête les coursiers, saisit les javelots, Pousse au
monstre
, et, d’un dard lancé d’une main sûre, Il lui fait
l lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le
monstre
bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en
combattre la Chimère. D. Qu’étoit-ce que la Chimère ? R. C’étoit un
monstre
né en Lycie. Il avoit la tête d’un lion, la queue
mmes armés qu’il falloit exterminer jusqu’au dernier ; enfin, tuer le
monstre
qui veilloit à la conservation du précieux dépôt.
lla à Thèbes, et trouva cette ville désolée par le Sphinx. C’étoit un
monstre
qui avoit la tête d’une fille, le corps d’un chie
Thèbes étoit déserte. Né parmi les rochers, au pied de Cithéron, Ce
monstre
à voix humaine, aigle, femme et lion, De la natur
préserver ces lieux. D’un sens embarrassé dans des mots captieux, Le
monstre
chaque jour, dans Thèbe épouvantée, Proposoit une
Voltaire.) D. Quelle étoit l’énigme proposée par le Sphinx ? R. Le
monstre
demandoit : « Quel est l’animal qui a quatre pied
e. Œdipe se présenta, et fut assez heureux pour la deviner. Il dit au
monstre
, que son animal étoit l’homme lui-même qui, dans
er, Œdipe fut proclamé roi de Thèbes, et épousa la reine Jocaste. Le
monstre
, furieux de se voir entendu, Venge aussitôt sur l
te fit dans le flanc cette main criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un
monstre
détesté, D’un monstre qui souilla les flancs qui
ette main criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un monstre détesté, D’un
monstre
qui souilla les flancs qui l’ont porté. Approche,
ns ses mains la tête de ma mère ! Quels regards ! où fuirai-je ? ah !
monstre
furieux, Quel spectacle oses-tu présenter à mes y
uel spectacle oses-tu présenter à mes yeux ? Je ne souffre que trop ;
monstre
cruel, arrête ! A mes yeux effrayés dérobe cette
ma famille ; et c’est assez pour moi, Traître, qu’elle ait produit un
monstre
tel que toi. D. Dites encore comment le même poë
hème, fils de Neptune, le plus grand et le plus fort des Cyclopes. Le
monstre
enferma Ulysse avec touts ses compagnons dans son
s que les autres animaux de leur espèce. Ulysse ayant remarqué que le
monstre
, en marchant à tâtons, ne portoit la main que sur
la plaine, Ulysse et ses compagnons qui couroient vers le rivage. Le
monstre
, écumant de rage, les poursuivit, et leur lança à
donc la puissance invincible ? Ce géant redouté, ce Cyclope terrible,
Monstre
hideux, l’horreur des monstres des forêts, Que sa
Ce géant redouté, ce Cyclope terrible, Monstre hideux, l’horreur des
monstres
des forêts, Que sans trouver la mort nul n’aborda
rcé ; et l’île d’Œa devint sa résidence. Ce fut là qu’elle changea en
monstre
la jeune Scylla, parce qu’elle étoit aimée de Gla
t arrêt des cieux. La hache cependant porte un coup plus heureux : Le
monstre
est ébranlé. Ses entrailles mugissent ; Sous leur
reuse Didon ! tu le hais, le barbare : » II falloit le haïr, quand ce
monstre
imposteur » Vint partager ton trône et séduire to
ux de Didon mourante, écoutez donc mes vœux ! » S’il faut qu’enfin ce
monstre
, échappant au naufrage, » Soit poussé dans le por
r la flatterie au nombre des sept sages de la Grèce. Ce sage étoit un
monstre
. Mais les historiens n’ont vu en lui que le polit
ôté du maître des dieux, et contribua par son courage à la défaite du
monstre
qui fut enseveli sous l’île d’Ischya. 4. Jupiter
suscité contre elle le serpent Python et la faisait poursuivre par ce
monstre
énorme de contrée en contrée. Apollon, devenu gra
e de ressusciter Hippolyte, le fils de Thésée, roi d’Athènes, que des
monstres
marins avaient fait périr. Jupiter regarda cette
née une jeune Troyenne sur des rochers où elle serait dévorée par des
monstres
marins. Le sort avait désigné Hésione, la fille d
nte attendait son trépas, lorsque Hercule la délivra en combattant le
monstre
, qu’il étendit mort à ses pieds. 5. Après toutes
ment Apollon tua-t-il le serpent Python ? Que fit-il de la peau de ce
monstre
? 2. Qu’était Esculape ? Pourquoi Jupiter le foud
ans nos vastes forêts ; Votre noble loisir sait imiter la guerre. Les
monstres
, dans vos jeux, succombent sous vos traits. Jusqu
sa victoire. Elle alla encore sous les ordres de Jupiter combattre un
monstre
épouvantable, appelé Egide. Ce monstre vomissait
ordres de Jupiter combattre un monstre épouvantable, appelé Egide. Ce
monstre
vomissait le feu et la flamme et ravageait l’Egyp
lus doux monuments. La frayeur et la mort vont sans cesse à ta suite,
Monstre
nourri de sang, cœur abreuvé de fiel, Plus digne
on se rie après de ma puissance ! » Il n’eut pas dit, qu’on vit trois
monstres
au plancher, Ailés, noirs et velus, en un coin s’
ne lâche jamais sa proie. Il tenait une pique à la main, et avait un
monstre
à ses côtés. Téthys était portée sur un char form
élèbres furent les Tritons et les Harpies. 3. Les Tritons étaient des
monstres
qui ressemblaient à l’homme par la partie supérie
uent le pouvoir de câliner les flots. 6. Les Harpies étaient d’autres
monstres
qui avaient un visage de femme, des oreilles d’ou
té cette fable dans ses Géorgiques. 9. Les Sirènes étaient encore des
monstres
moitié filles et moitié poissons comme les Harpie
’ont rempli de tours de fer et d’airain, de fournaises ardentes et de
monstres
horribles. Là étaient les Furies ou Euménides, di
t querelles. Voltaire a fait de cette déesse un affreux tableau : Ce
monstre
impérieux, sanguinaire, inflexible, De ses propre
annoncer ses nouvelles. Quelle est cette déesse énorme, Ou plutôt ce
monstre
difforme Tout couvert d’oreilles et d’yeux, Dont
sa massue, et envenima ses flèches en les trempant dans le sang de ce
monstre
épouvantable. 3º Une biche consacrée à Diane, et
aussi ses bœufs de chair humaine. Les poëtes ont fait de ce tyran un
monstre
à trois corps qui faisait garder ses troupeaux pa
sa gloire. Il se mit à parcourir l’univers pour le purger de tous les
monstres
et de tous les brigands qui l’infestaient. Cacus,
Questionnaire. 1. Quel fut le plus célèbre des Argonautes ? Quels
monstres
la jalousie de Junon suscita contre Hercule encor
re à Athènes il voulut se signaler en exterminant les brigands et les
monstres
qui infestaient l’Attique. 2. Quand il arriva à A
er le même supplice. 4. Ce prince combattit également avec succès les
monstres
les plus affreux. Il tua un taureau qui ravageait
le plus célèbre de tous ses exploits fut le meurtre du Minotaure. Ce
monstre
était moitié homme et moitié taureau. Il avait re
it sortir du labyrinthe après avoir tué le Minotaure. Le héros tua ce
monstre
, et se hâta tellement de retourner dans sa patrie
promis d’exaucer tous ses vœux. Aussitôt Hippolyte fut dévoré par des
monstres
marins. Racine a raconté ainsi sa mort : A peine
approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d’écume, un
monstre
furieux. Son front large est armé de cornes menaç
gs mugissements font trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce
monstre
sauvage ; La terre s’en émeut, l’air en est infec
fils d’un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au
monstre
; et, d’un dard lancé d’une main sûre, Il lui fai
l lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le
monstre
bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en
pirates qui l’infestaient et de délivrer les côtes du Péloponèse des
monstres
qui les désolaient. Ces exploits les firent regar
de tous les autres demi-dieux. Comme eux, ils purgèrent la terre des
monstres
et des brigands qui la remplissaient de crimes et
forgea son cimeterre. A l’aide de ces armes divines, il vainquit ces
monstres
et coupa la tête de Méduse. Du sang qui sortit de
ur la punir de sa présomption, elle avait été livrée aux fureurs d’un
monstre
marin suscité par Neptune. Persée, monté sur Péga
stre marin suscité par Neptune. Persée, monté sur Pégase, pétrifia le
monstre
, brisa les chaînes d’Andromède et la rendit à son
ne pourrait échapper et l’envoya combattre la Chimère. 8. C’était un
monstre
qui faisait depuis longtemps l’effroi du pays. Il
billons de flammes et de fumée. Minerve aida Bellérophon à vaincre ce
monstre
terrible et lui amena le cheval Pégase. Le héros,
a lyre savante, Suspends la rage menaçante De tant de
monstres
furieux. Rousseau . 2. Il épousa la nymphe Eur
un dragon fils de Mars et de Vénus. Minerve engagea Cadmus à tuer ce
monstre
et à en semer les dents dans un champ voisin. Il
t son trône et sa main à celui qui triompherait du Sphinx. C’était un
monstre
qui troublait les environs de Thèbes. Il avait la
s, à deux sur le midi, et à trois le soir ? L’oracle avait dit que ce
monstre
périrait aussitôt qu’on aurait trouvé le mot de s
aste à celui qui ferait périr le Sphinx ? Quelle était la forme de ce
monstre
? Quelle énigme proposa-t-il aux Thébains ? Quel
ole qu’il s’endormit. Ulysse profita de l’ivresse et du sommeil de ce
monstre
pour lui crever l’œil avec un pieu dont le bout a
re de Bérénice, const., 60. Chienne, métam. d’Hécube, 148. Chimère,
monstre
, 130. Chine, 169. Chiron, centaures, 110. Chou
lirrothius, fils de Neptune, 48. Hamadryades, nymphes, 62. Harpies,
monstres
, 63, 106. Harpocrate, ou le Silence, 100. Hasar
Midgard, serpent, 195. Milytta, div. des Chaldéens. 173. Minotaure,
monstre
, 120. Minée, roi de Thèbes ; ses filles, 54. Mi
parte, v. de la Grèce, 156. Sphère, inventée par Atlas, 41. Sphinx,
monstre
, 138. Stade, mesure de longueur, 157. Statue de
ant Jupiter, monté sur un char attelé de chevaux ailés, poursuivit le
monstre
à coups de foudre, et l’atteignit en Sicile, où i
Apollon ravagea la ville par une peste cruelle, et Neptune envoya un
monstre
qui dévorait les habitants. Le fils de Latone ne
t le centaure Chiron, précepteur d’Achille. Les centaures étaient des
monstres
ayant la tête, les bras et le buste d’un homme, t
deux pinces d’écrevisse, ayant à la main une pique et à ses côtés un
monstre
marin. 72. Nérée. — Les Néréides. De l’unio
ent pour punir ce roi parjure. Apollon envoya la peste, et Neptune un
monstre
marin qui dévorait les habitants. Les Troyens, co
ns, consternés, interrogèrent l’oracle, qui leur ordonna de livrer au
monstre
Hésione, la fille même de Laomédon. L’infortunée
aigna dans une fontaine empoisonnée, et se vit aussitôt changée en un
monstre
affreux, ayant douze griffes, six têtes et six gu
Charybde, est devenu fameux par les naufrages que causaient ces deux
monstres
ou plutôt ces deux écueils. Charybde, selon la fa
Les Harpies, que l’on dit filles de Neptune et de la Mer, étaient des
monstres
marins, ayant un visage de femme, un corps du vau
iscorde furieuse, levant sa tête hérissée de serpents, et cent autres
monstres
affreux qui remplissent le vestibule des Enfers.
rdaient dans ses Etats. Thésée, roi d’Athènes, délivra la Grèce de ce
monstre
, en le perçant d’une flèche. Sisyphe expirant rec
vre de l’Enéide : Faible dans sa naissance et timide à sa-source, Ce
monstre
s’enhardit et s’accroît dans sa course. La terre
ol impétueux : Pour voir, pour écouter, pour semer les merveilles, Ce
monstre
ouvre à la fois d’innombrables oreilles, Par d’in
la ceinture. Voici le portrait qu’on en trouve dans la Henriade : Ce
monstre
impétueux, sanguinaire, inflexible, De ses propre
parcouraient la terre et principalement la Grèce, en la délivrant des
monstres
de tout genre, hommes et animaux, qui la désolaie
proche de Méduse et lui tranche la tête d’un seul coup. Du sang de ce
monstre
naquit Pégase, cheval ailé, qui s’éleva dans les
mède, fille de Céphée, exposée sur un rocher, pour être la proie d’un
monstre
marin, parce que Cassiopée, sa mère, avait osé di
u’il l’obtiendra pour épouse. Bientôt du haut des airs il fond sur le
monstre
au moment où celui-ci allait dévorer sa victime,
a Bellérophon combattre la Chimère, qui désolait la Lycie. C’était un
monstre
affreux, ayant la tête d’un lion, le corps d’un b
phé de la Chimère, nom devenu général pour désigner non-seulement les
monstres
chez les anciens, mais encore, chez les modernes,
ydre affreuse désolait les environs du lac de Lerne, près d’Argos. Ce
monstre
, né de Typhon et d’Echidna, avait sept têtes, qui
taureau qui soufflait des flammes par les narines. Hercule dompta ce
monstre
et l’apporta aux pieds d’Eurysthée. 7° Diomède, r
le sommeil ne fermait jamais les yeux, Selon les uns, Hercule tua le
monstre
, et s’empara de son précieux trésor ; selon d’aut
Eurysthée, Hercule continua de parcourir la terre pour la purger des
monstres
de tout genre, hommes et animaux qui la désolaien
il délivra Hésione, fille de Laomédon, condamnée à être la proie d’un
monstre
marin (n° 71). En Libye, Hercule vainquit le géan
nquit le géant Antée, fils de Neptune et de la Terre, roi d’Irasa. Ce
monstre
avait fait vœu d’élever un temple en l’honneur de
bras, dont le centaure éprouva la vigueur ? Ce bras qui fit tomber le
monstre
d’Erymanthe, L’hydre contre mes coups sans cesse
Athènes, où il devait régner un jour. La route était infestée par des
monstres
qui fournirent au jeune héros l’occasion de signa
ix jeunes gens et six jeunes filles, que devait dévorer le Minotaure,
monstre
affreux, moitié homme et moitié taureau. Thésée,
ppolyte partant pour l’exil conduisait son char le long du rivage, un
monstre
marin s’élance de la mer, effraie les chevaux, qu
unir le meurtre de Laïus. Rampant sans cesse sur la voie publique, ce
monstre
affreux proposait aux passants l’énigme suivante,
i sur deux, et le soir sur trois63 ? » L’oracle avait annoncé que le
monstre
cesserait de vivre aussitôt que le sens de l’énig
onter ces événements : Né parmi les rochers, au pied du Cithéron, Ce
monstre
à face humaine, aigle, femme, lion, De la nature
préserver ces lieux : D’un sens embarrassé dans des mots captieux. Le
monstre
, chaque jour, dans Thèbe épouvantée Proposait une
ertée ; Et si quelque mortel voulait nous secourir, Il devait voir le
monstre
et l’entendre, ou périr. A cette loi terrible il
séduits par l’espérance, Osèrent, sur la foi d’une vaine science, Du
monstre
impénétrable affronter le courroux : Nul d’eux ne
inte, Guidé par la Fortune en ces lieux pleins d’effroi, Vint, vit le
monstre
affreux, l’entendit et fut roi. ( Voltaire, Œdipe
nx et l’énigme qu’il proposait. Récitez la description poétique de ce
monstre
. Quel nouveau fléau vint affliger Thèbes ? Racont
us des lois, leurs jours sont à ses yeux Comme ceux du reptile ou des
monstres
immondes Que le limon du Gange enfante sous ses o
té orgueilleuse. Vichnou prit la forme d’un lion, se précipita sur le
monstre
, et le mit en pièces. Dans les cinq incarnations
t dans le Lutrin : Cependant cet oiseau qui prône les merveilles, Ce
monstre
composé de bouches et d’oreilles, Qui sans cesse
r attelé de panthères agiles, De lynx obéissans et de tigres dociles,
Monstres
que de Bacchus les charmes ont soumis, Le Dieu gu
alaire, Neptune le punit de son injustice, en livrant la Phrygie à un
monstre
marin. D’un coup de trident, il fit sortir de la
terminent leur course ! Tantôt avec effroi vous y suivez de l’œil Ces
monstres
qui de loin semblent un vaste écueil. Souvent ave
rait de lumière Des sept couleurs d’iris peint les voûtes du ciel. Le
monstre
doucement s’approche de l’autel, Parmi les vases
r deux lions. Sans base, au sein des airs, mollement balancée, De ces
monstres
altiers l’audace au frein dressée, Attestait que
rle tous les matins une Sybille étique ; On l’appelle Chicane ; et ce
monstre
odieux Jamais pour l’équité n’eut d’oreilles ni d
ans cesse feuilletant les lois et la coutume, Pour consumer autrui le
monstre
se consume ; Et dévorant liaisons, palais, châtea
t peuples divers. Faible dans sa naissance, et timide à sa source, Ce
monstre
s’enhardit, et s’accroît dans sa course. La Terre
ol impétueux : Pour voir, pour écouter, pour semer les merveilles, Ce
monstre
ouvre à la fois d’innombrables oreilles, Par d’in
— Desaintange 113. Quelle est cette Déesse énorme, Ou plutôt ce
monstre
difforme, Tout couvert d’oreilles et d’yeux, Dont
le arme d’un poignard sa main désespérée. Sur le froid Apennin le
monstre
s’est assis. Déjà, dans sa pensée, entouré de déb
Elle préside aux Ténèbres. C’est d’elle que naquirent les divers
monstres
qui assiègent la porte des enfers. On la représen
avoir étouffé deux serpens dans son berceau, il tua l’Hydre de Lerne,
monstre
à plusieurs têtes ; la Biche aux cornes d’or, et
lui rendit ensuite en échange d’Amalthée. Plusieurs Géans, plusieurs
Monstres
succombèrent sous ses coups. L’horrible Antée, le
tre odieux monument, D’un carnage nouveau sans cesse était fumant. Ce
monstre
horrible à voir, fier de sa taille immense, Devai
morts épouvantés : Tel, effrayé du jour qui malgré lui l’éclaire, Le
monstre
en vain s’agite, et rugit de colère. De la cime d
clat ; Et tantôt, à deux mains, d’un arbre entier l’accable. Alors le
monstre
, en proie à son bras implacable, Se ressouvient d
bras nerveux ; Et, de leur creux profond faisant jaillir ses yeux, Du
monstre
à qui la voix, la lumière est ravie, Arrête dans
n du seuil fatal le roc tombe arraché ; On entre, et du repaire où le
monstre
est caché On contemple, on parcourt la voûte téné
ce héros intrépide, Consolant les mortels de l’absence d’Alcide, Les
monstres
étouffés, et les brigands punis, Procuste, Cercyo
ui que nous voyons, sur ces mers qu’il habite, Atteler à son char les
monstres
d’Amphitrite. Pallène est sa patrie ; et dans ce
Roi de la contrée, et à laquelle il s’était attaché, assoupit, tua le
monstre
, et enleva la Toison. Il emmena Médée avec lui ;
ns ses mains la tête de ma mère ! Quels regards ! où fuirai-je ? ah !
monstre
furieux, Quel spectacle oses-tu présenter à mes y
uel spectacle oses-tu présenter à mes yeux ? Je ne souffre que trop ;
monstre
cruel, arrête ! A mes yeux effrayés dérobe cette
lyte se promenant dans un char sur les bords de la mer de Trézène, un
monstre
marin sorti tout-à-coup du sein des ondes, effray
utonoë ; Un sanglier farouche erre dans nos campagnes. Exterminons le
monstre
, accourez, mes compagnes. Les Bacchantes qu’e
t enchaîner les mortels, Et désarmer la furie Des
monstres
les plus cruels. Les élémens t’obéi
t arrêt des Cieux. La hache cependant porte un coup plus heureux : Le
monstre
est ébranlé. Ses entrailles mugissent ; Sous leur
bes, l’énigme du Sphinx. Jocaste doit être le prix du vainqueur de ce
monstre
; elle devient le sien. Cet affreux hymen excite
te fit dans le flanc cette main criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un
monstre
détesté, D’un monstre qui souilla les flancs qui
ette main criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un monstre détesté, D’un
monstre
qui souilla les flancs qui l’ont porté. Approche,
autels, pour s’emparer de son trésor, Didon se déroba à la fureur du
monstre
, et se sauva en Afrique avec Anne, sa tendre sœur
ée du Dieu Glaucus ; et à Picus, Roi d’Italie ; elle changea l’une en
monstre
marin, et l’autre en pivert. Ulysse jeté par la t
jeunes fils. Egiste, sauvé par Narbas, avait échappé à sa fureur. Le
monstre
faisait chercher cet enfant par toute la Grèce :
nt moins prompts ; je l’ai vu de mes yeux, Je l’ai vu qui frappait ce
monstre
audacieux. Meurs, tyran, disait-il : Dieux ! pren
e son maître a servi tous les crimes, Erox, qui dans son sang voit ce
monstre
nager, Lève une main hardie, et pense le venger.
byrinthe et l’en fit sortir heureusement, après que Thésée eut tué le
monstre
. Le Héros enleva sa tendre Libératrice ; mais bie
ice aux Dieux, mais ils y furent dévorés par un Dragon. Cadmus tua le
monstre
, et en ayant semé les dents, il en naquit des hom
Qui sut prêter une ame à la pierre mouvante, Qui sut apprivoiser les
monstres
des enfers, Pousse un dernier soupir exhalé dans
ncor long-temps un reste de chaleur. Ovide. — Desaintange 217.
Monstres
fabuleux. Sirènes, Filles de l’Océan et d’A
Sirènes, Filles de l’Océan et d’Amphitrite. C’étaient trois
monstres
marins, moitié filles, et moitié poissons ou oise
s rives fameuses, Où les Sirènes dangereuses,
Monstres
de carnage affamés, Dévoraient les Mortels qu’ell
. La mer a des écueils horribles, Elle a des
monstres
furieux ; Craignez moins ses dangers
leurs chants sont changés en d’affreux hurlemens, Et ces
monstres
de sang avides, En se précipitant dans leurs gouf
J’en tremble encor d’horreur) rejaillir leurs entrailles ; J’ai vu le
monstre
affreux dans son antre étendu, S’abreuver par tor
son corps monstrueux déployé la longueur ; Tandis que, rejetés par ce
monstre
farouche, La chair, le vin, le sang jaillissaient
ons les Dieux, nous l’entourons : soudain Chacun fond à l’envi sur le
monstre
inhumain. Une poutre à l’instant a crevé l’œil én
tre à l’instant a crevé l’œil énorme Qui brillait seul au front de ce
monstre
difforme. Moins grand nous apparaît, dans son vas
it ce récit incroyable, Sur la cime du mont nous voyons se mouvoir Un
monstre
immense, informe, aveugle, horrible à voir, Qui,
île de Délos, pour lui servir d’asile. Apollon son fils tua depuis le
monstre
à coups de flèches, et consacra sa victoire sur l
ux, Il effraya le Parnasse Par des prodiges nouveaux : Le Ciel vit ce
monstre
impie, Né de la fange croupie, Au pied du mont Pé
la mort. Rousseau 222. Chimère. Elle était fille d’Echidna,
monstre
moitié femme et moitié serpent, et sœur du chien
es légers de ses feuilles légères. Là, sont tous ces fléaux, tous ces
monstres
divers Qui vont épouvanter l’air, la terre et les
O toi, victime de l’envie, Ovide, chantre ingénieux… Hélas ! ce
monstre
sur ta vie, Répandit son fiel dangereux !… Vengez
doux monumens. La frayeur et la mort vont sans cesse à ta suite,
Monstre
nourri de sang, cœur abreuvé de fiel, Plus digne
e égarée, et de sang dégouttante. « Oui, c’est mon propre fils ; oui,
monstres
inhumains, C’est vous qui dans son sang avez trem
ur elle enfonce. De crainte, à ce spectacle, et d’horreur agités, Ces
monstres
confondus courent épouvantés. Ils n’osent regarde
les dans l’ombre de la nuit, et les infectant de son venin mortel. Ce
monstre
habite les Enfers : c’est la plus horrible compag
iait des victimes humaines. Peste des hommes. Du fond des bois un
monstre
destructeur, L’affreuse Peste, exerce son ravage
sonna les lacs, infecta les herbages, Fit mourir les troupeaux et les
monstres
sauvages. Mais quelle affreuse mort ! d’abord des
le daim si léger, s’étonnait de languir. La Mer ne sauva pas ses
monstres
du ravage ; Leurs cadavres épars flottent sur le
dont la bercent à l’envi l’Intérêt et le Mensonge. Long-temps un
Monstre
affreux, qui, du milieu des nues, Tenait sur l’Un
glantant la Terre, et chérit la Religion en lui déchirant le sein. Ce
monstre
a un poignard d’une main, et un flambeau de l’aut
lorsqu’il eut acquis des forces fut la destruction du serpent Python,
monstre
énorme né du limon de la terre, et que Junon avai
tune, irrité de cette mauvaise foi, souleva des orages et suscita des
monstres
marins qui détruisirent tous ses ouvrages, et rép
remarque les Tritons, dont nous parlerons plus tard, et les Harpies,
monstres
hideux qui portaient la famine partout où ils pas
tenant une pique à la main ; auprès de lui on place habituellement un
monstre
marin. Questions. Qu’était-ce que l’Océan ?
r se baigner. Celle-ci, en sortant de l’eau, se vit transformée en un
monstre
hideux. Elle en ressentit un si violent désespoir
rois sœurs, filles de Phorcus, nommées Méduse, Euryale et Sthéno. Ces
monstres
, coiffés de couleuvres et portés sur de grandes a
rité de se dire plus belle que Junon et que les Néréides, avait vu un
monstre
marin désoler les rivages de son royaume. L’oracl
it qu’un moyen de calmer le courroux des Dieux : c’était de livrer au
monstre
Andromède, fille de Cassiope ; cette jeune fille
Monté sur Pégase, cheval ailé né du sang de Méduse, il fondit sur le
monstre
au moment où celui-ci allait saisir sa proie, et
s. Quels incidents signalèrent la naissance de Persée ? — De quels
monstres
délivra-t-il la terre ? — Que raconte-t-on de son
cie envoya Bellérophon combattre la Chimère, qui désolait le pays. Ce
monstre
passait pour invincible ; il avait la tête d’un l
du roi d’Argos ? — Comment fut-il accueilli chez Iobates ? — De quel
monstre
fut-il vainqueur ? — Comment se terminèrent ses a
les épreuves, Hercule se mit à parcourir la terre pour exterminer les
monstres
et les tyrans qui la désolaient. C’est ainsi qu’e
ous lequel Cacus se cachait, et l’étrangla, malgré les flammes que ce
monstre
vomissait. En Libye il rencontra Antée, fils de l
e à la gloire de Thésée, ce fut la destruction du Minotaure de Crète,
monstre
moitié homme et moitié taureau. Minos, vainqueur
nt affranchir sa patrie de ce honteux tribut, résolut de combattre le
monstre
. Sa bravoure et sa jeunesse touchèrent les filles
ux instructions d’Ariane, Thésée sortit vainqueur de sa lutte avec le
monstre
, et ramena en triomphe ses compagnons dans leur p
ux. Au moment où le jeune prince se disposait à quitter l’Attique, un
monstre
épouvantable, vomi par les flots, effraya telleme
orés par un énorme dragon ; Cadmus les vengea, et, après avoir tué le
monstre
, il s’empara de ses dents, suivant le conseil de
dipe trouva cette ville dans un grand trouble causé par le Sphinx. Ce
monstre
, né d’Echidne et de Typhon, avait la tête et les
rait tous ceux qui ne pouvaient l’expliquer. La question posée par le
monstre
était celle-ci : « Quel est l’animal qui marche l
e, et reçut la récompense que le peuple avait promise au vainqueur du
monstre
, c’est-à-dire qu’il fut proclamé roi du pays, et
propre fille sur le bord de la mer, où elle devait être la proie d’un
monstre
marin. Hercule, se rendant à la conquête de la To
re marin. Hercule, se rendant à la conquête de la Toison d’or, tua le
monstre
, et délivra la fille du roi. Mais Laomédon l’ayan
Sicile, où il n’échappa à la férocité de Polyphème qu’en enivrant ce
monstre
et en lui crevant son œil unique. Il visita ensui
ses qu’on lui prête doivent être entendues des différentes figures de
monstres
et d’animaux dont on avait coutume de décorer la
Anatolie à l’est, la Morée à l’ouest, et l’île de Candie au sud. 57.
Monstres
habitant une contrée de la Thessalie, qui avaient
mme et demi-serpent, qui, de sa tête atteignait le ciel. La vue de ce
monstre
épouvanta tellement les dieux qui étaient accouru
, et l’égide de l’autre ; c’était un bouclier couvert de la peau d’un
monstre
nommé Égide, qui vomissait des tourbillons de fla
unon suscita contre sa rivale un serpent effroyable, nommé Python. Ce
monstre
s’était formé du limon resté sur la terre après l
re Chiron, qu’il ressuscita le jeune Hippolyte, fils de Thésée, qu’un
monstre
marin avait mis en pièces. Jupiter regardant cett
née, une fille troyenne sur une montagne, pour y être dévorée par des
monstres
marins. Une fois, le sort tomba sur Hésione, sa f
rie : le roi y consentit ; mais, lorsque sa fille fut délivrée et les
monstres
détruits, il renvoya Hercule sans récompense, ajo
rêts ; Votre noble loisir sait imiter la guerre, Les
monstres
dans vos jeux succombent sous vos traits
ne vapeur pestilentielle, et Neptune, par une inondation, suscita des
monstres
marins qui ravagèrent cette malheureuse contrée.
s, et repoussaient tous les nuages. Les immenses baleines et tous les
monstres
marins, faisant un flux et reflux de l’onde amère
ne et de la Terre. Elles étaient trois, Céléno, Ocypéto et Aëlo : ces
monstres
voraces avaient un visage de fille, un corps de v
fit engagea Calaïs et Zétès, fils ailés de Borée de le défaire de ces
monstres
. Nymphes. L’Océan, fils de Neptune et d’Am
’il se noya. Charybde et Scylla Charybde et Scylla sont deux
monstres
marins que les poètes placent dans le petit détro
éroba quelques bœufs à Hercule, qui la tua, et elle fut changée en un
monstre
marin, ou plutôt en un gouffre, qui est à l’oppos
rendit surtout son nom célèbre par la victoire qu’il remporta sur un
monstre
marin qui allait dévorer Andromède. Cette princes
roire plus belle que Junon. Neptune, pour venger la déesse, envoya un
monstre
épouvantable qui ravagea les états de Céphée. L’o
a princesse fut conduite sur une haute montagne pour être la proie du
monstre
marin. Persée, qui passait aux environs sur le ch
secours, rompit ses fers, et, avec la tête de Méduse, il pétrifia le
monstre
, ensuite, il épousa la princesse. Phinée, à qui e
onstellations d’Andromède, de Cassiopée, etc. Il n’y eut pas jusqu’au
monstre
qui n’y trouvât sa place sous le signe de la bale
sseins de Prétus, ordonna à Bellérophon d’aller combattre la Chimère,
monstre
qui ravageait la Lycie. La Chimère avait la tête
montagne jetait quelquefois des flammes, les poètes ajoutèrent que le
monstre
vomissait des torrens de feu et de fumée. Belléro
, loin de songer à la vengeance, ne s’occupa qu’à purger le monde des
monstres
et des tyrans qui le désolaient, il extermina les
Après tant de glorieux travaux, Hercule, vainqueur des tyrans et des
monstres
, devint l’esclave de ses passions. On raconte qu’
de des brigands qui le désolaient, Thésée tourna sa valeur contre les
monstres
: il combattit entre autre le Taureau de Marathon
le plus célèbre fut la victoire que Thésée remporta sur le Minotaure,
monstre
moitié homme et moitié taureau. Minos, roi de Crè
du nombre de ceux qu’on envoyait en Crète. Le labyrinthe où était le
monstre
formait mille détours, et une fois entré, il étai
er son injure et de punir son fils. Hippolyte était sur le rivage, un
monstre
marin sortit de la mer, le traîna à travers les r
uite Œdipe retourna à Thèbes. Près de cette ville était le Sphinx. Ce
monstre
, retiré dans les montagnes, se jetait sur les pas
le pays était désert. Né parmi les rochers, au pied du Cithéron, Ce
monstre
à voix humaine, aigle, femme, lion, De la nature
préserver ces lieux : D’un sens embarrassé dans des mots captieux, Le
monstre
, chaque jour, dans Thèbes épouvantée, Proposait u
oyes Hercule, après avoir enlevé Hésione, qu’il avait délivrée du
monstre
auquel Laomédon, son père, l’avait exposée par or
te pas aux dieux la naissance d’un traître, Non, du sang des héros un
monstre
n’a pu naître. [Delille] Enée aborda en Italie,
r attelé de panthères agiles, De lynx obéissans et de tigres dociles,
Monstres
que de Bacchus les charmes ont soumis, Le Dieu gu
alaire, Neptune le punit de son injustice, en livrant la Phrygie à un
monstre
marin. D’un coup de trident, il fit sortir de la
rait de lumière Des sept couleurs d’iris peint les voûtes du ciel. Le
monstre
doucement s’approche de l’autel, Parmi les vases
r deux lions. Sans base, au sein des airs, mollement balancée, De ces
monstres
altiers l’audace au frein dressée, Attestoit que
rle tous les matins une Sybille étique ; On l’appelle Chicane ; et ce
monstre
odieux Jamais pour l’équité n’eut d’oreilles ni d
ans cesse feuilletant les lois et la coutume, Pour consumer autrui le
monstre
se consume ; Et dévorant liaisons, palais, châtea
e arme d’un poignard sa main désespérée. Sur le froid Apennin le
monstre
s’est assis. Déjà, dans sa pensée, entouré de déb
Elle préside aux Ténèbres. C’est d’elle que naquirent les divers
monstres
qui assiègent la porte des Enfers. On la représen
avoir étouffé deux serpens dans son berceau, il tua l’Hydre de Lerne,
monstre
à plusieurs têtes ; la Biche aux cornes d’or, et
lui rendit ensuite en échange d’Amalthée. Plusieurs Géans, plusieurs
Monstres
succombèrent sous ses coups. L’horrible Antée, le
ce héros intrépide, Consolant les mortels de l’absence d’Alcide, Les
monstres
étouffés, et les brigands punis, Procuste, Cercyo
ui que nous voyons, sur ces mers qu’il habite, Atteler à son char les
monstres
d’Amphitrite. Pallène est sa patrie ; et dans ce
Roi de la Contrée, et à laquelle il s’étoit attaché, assoupit, tua le
monstre
, et enleva la Toison. Il emmena Médée avec lui ;
ns ses mains la tête de ma mère ! Quels regards ! où fuirai-je ? ah !
monstre
furieux, Quel spectacle oses-tu présenter à mes y
uel spectacle oses-tu présenter à mes yeux ? Je ne souffre que trop ;
monstre
cruel, arrête ! A mes yeux effrayés dérobe cette
lyte se promenant dans un char sur les bords de la mer de Trézène, un
monstre
marin sorti tout-à-coup du sein des ondes, effray
, Autonoë : Un affreux sanglier désole ces campagnes : Exterminons le
monstre
: accourez, mes compagnes ; Frappez, mes Sœurs, f
ce tyrannie Sait enchaîner les mortels, Et désarmer la furie Des
monstres
les plus cruels. Les élémens t’obéissent : Tu sem
t arrêt des Cieux. La hache cependant porte un coup plus heureux : Le
monstre
est ébranlé. Ses entrailles mugissent ; Sous leur
bes, l’énigme du Sphinx. Jocaste doit être le prix du vainqueur de ce
monstre
; elle devient le sien. Cet affreux hymen excite
te fit dans le flanc cette main criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un
monstre
détesté, D’un monstre qui souilla les flancs qui
ette main criminelle. Punis-moi, venge-toi d’un monstre détesté, D’un
monstre
qui souilla les flancs qui l’ont porté. Approche,
autels, pour s’emparer de son trésor, Didon se déroba à la fureur du
monstre
, et se sauva en Afrique avec Anne, sa tendre sœur
ée du Dieu Glaucus ; et à Picus, Roi d’Italie ; elle changea l’une en
monstre
marin, et l’autre en pivert. Ulysse jeté par la t
jeunes fils. Egiste, sauvé par Narbas, avoit échappé à sa fureur. Le
monstre
faisoit chercher cet enfant par toute la Grèce :
nt moins prompts ; je l’ai vu de mes yeux, Je l’ai vu qui frappoit ce
monstre
audacieux. Meurs, tyran, disoit-il : Dieux ! pren
e son maître a servi tous les crimes, Erox, qui dans son sang voit ce
monstre
nager, Lève une main hardie, et pense le venger.
byrinthe et l’en fit sortir heureusement, après que Thésée eut tué le
monstre
. Le Héros enleva sa tendre Libératrice ; mais bie
ice aux Dieux, mais ils y furent dévorés par un Dragon. Cadmus tua le
monstre
, et en ayant semé les dents, il en naquit des hom
tiède encor ; elle semble y survivre. Ovide.— Saint-Ange 224.
Monstres
fabuleux Sirènes, Filles de l’Océan et d’
Sirènes, Filles de l’Océan et d’Amphitrite. C’étoient trois
monstres
marins, moitié filles, et moitié poissons ou oise
meuses,’ Où les Syrènes dangereuses,
Monstres
de carnage affamés, Dévoroient les Mortels quelle
La Mer a des écueils horribles, Elle a des
monstres
furieux ; Craignez moins ses dang
rs chants sont changés en d’affreux hurlemens, Et ces
monstres
de sang avides, En se précipitant dans leurs gouf
île de Délos, pour lui servir d’asyle. Apollon son fils tua depuis le
monstre
à coups de flèches, et consacra sa victoire sur l
x, Il effraya le Parnasse Par des prodiges nouveaux : Le Ciel vit ce
monstre
impie, Né de la fange croupie, Au pied du mont Pé
la mort. Rousseau 228. Chimère. Elle étoit fille d’Echidna,
monstre
moitié femme et moitié serpent, et sœur du chien
nfer habitent la douleur, Le deuil, la maladie et le remords vengeur,
Monstres
hideux, suivis de leurs propres victimes, Et la p
breux ombrage, Les songes sont cachés sous son léger feuillage ; Cent
monstres
sont auprès : d’aboyantes Scyllas, Gérion aux tro
O toi, victime de l’envie, Ovide, chantre ingénieux… Hélas ! ce
monstre
sur ta vie, Répandit son fiel dangereux !… Vengez
us doux moens. La frayeur et la mort vont sans cesse à ta suite,
Monstre
nourri de sang, cœur abreuvé de fiel, Plus digne
me égarée, et de sang dégoûtante. « Oui, c’est mon propre fils ; oui,
monstres
inhumains, C’est vous qui dans son sang avez trem
ur elle enfonce. De crainte, à ce spectacle, et d’horreur agités, Ces
monstres
confondus courent épouvantés. Ils n’osent regarde
les dans l’ombre de la nuit, et les infectant de son venin mortel. Ce
monstre
habite les Enfers : c’est la plus horrible compag
Grèce lui sacrifioit des victimes humaines. Du fond des bois un
monstre
destructeur, L’affreuse Peste, exerce son ravage
sonna les lacs, infecta les herbages, Fit mourir les troupeaux et les
monstres
sauvages. Mais quelle affreuse mort ! d’abord des
daim si léger, s’étonnoit de languir. — La Mer ne sauva pas ses
monstres
du ravage ; Leurs cadavres épars flottent sur le
dont la bercent à l’envi l’Intérêt et le Mensonge. Long-temps un
Monstre
affreux, qui, du milieu des nues Tenoit sur l’Uni
glantant la Terre, et chérit la Religion en lui déchirant le sein. Ce
monstre
a un poignard d’une main, et un flambeau de l’aut
rs du supplice. L’horloge n’avoit pas sonné minuit trois fois, Que le
monstre
, encor teint du sang de ses victimes, Est saisi,
et tragique dans ce volumineux recueil. On y trouve une multitude de
monstres
affreux : les Furies, les Gorgones, les Harpies,
les. La Mythologie a multiplié près de leurs bords les écueils et les
monstres
, Charybde, Scylla, les Simplegades, etc. Le corai
ntemplation des cieux n’offre pas de plus doux souvenirs. On voit des
monstres
parmi les astres, le Cancer, le Dragon des Hespér
le corps couvert de sang. Les Mormolycies et les Striges étoient des
monstres
de ce genre. On ne peut terminer cette noire énum
s mains de Caron pour les conduire devant les juges infernaux. Campé,
monstre
épouvantable, étoit geôlière du Tartare : Jupiter
ction fut, aux yeux des Romains, le plus grand crime qu’eut commis ce
monstre
. Voici les noms des vestales condamnées qua nous
r et portèrent Vénus et l’Amour au-delà du fleuve. Ce Typhon étoit un
monstre
, fils de la Terre et du Tartare. Il avoit cent tê
s l’île de Lemnos, et se fit aider dans ses travaux par les Cyclopes,
monstres
qui n’avoient qu’un œil au milieu du front. On av
m de volcans à toutes les montagnes qui jettent du feu. Les Cyclopes,
monstres
qui n’avoient qu’un œil au milieu du front, étoie
’obscurité. Tant de mystère persuada à Psyché qu’elle avoit épousé un
monstre
, et voulant s’en assurer, elle alluma une lampe e
trois Harpies, qu’on appelle Aello, Ocypète et Celeno. C’étoient des
monstres
toujours affamés, qui, avec un visage de femmes,
le salaire qu’il leur avoit promis ; Neptune fit sortir de la mer un
monstre
qui porta la désolation dans toute la Phrygie ; L
2. Dans le premier volume des Souvenirs de Félicie. 3. Sybaris,
monstre
affreux qui habitoit une caverne du Parnasse, et
de Diomus ; mais Eurybate entra à sa place dans la caverne et tua le
monstre
. En mémoire de cet événement les Locriens d’Itali
D’autres disent que ce fut Charlemagne. 10. Typhon, géant. Échidna,
monstre
moitié femme et moitié serpent, et mère du chien
serpent, et mère du chien Cerbère, de l’Hydre de Lerne et de tous les
monstres
de la fable. 11. Claudien, poëte latin, floriss
Dieu couvrit son bouclier. D’autres prétendent que c’étoit la peau du
monstre
Égis, vaincu par Minerve. Ce monstre, né de la te
rétendent que c’étoit la peau du monstre Égis, vaincu par Minerve. Ce
monstre
, né de la terre, vomissoit feu et flamme avec des
d’immenses forêts et désola l’Égypte et la Lybie. Pallas combattit ce
monstre
et le tua. Elle fit de sa peau une cuirasse, et p
oît à l’occident, peu après le coucher du soleil. 24. Les Centaures,
monstres
moitié hommes et moitié chevaux, naquirent d’Ixio
is sœurs, Thelxiope ou Parthénope, Molpadie et Pisinoë. C’étoient des
monstres
, d’abord moitié femmes et moitié poissons, et qui
orgones aux cheveux de serpents, la Chimère, les Harpyes, et d’autres
monstres
non moins hideux. Là, depuis des milliers d’année
ur les ondes, et qui tient une pique dans sa main. Près de lui est un
monstre
marin d’une forme bizarre et fantastique. — Téthy
connu par lui-même que par sa progéniture. Il donna le jour à divers
monstres
de la fable, et principalement aux trois Gorgones
’a pas plus tôt mis les pieds dans l’eau, qu’elle se voit entourée de
monstres
qui aboient et qui semblent faire partie d’elle-m
Une hydre effroyable désolait tout le pays de Lerne près d’Argos. Ce
monstre
avait sept têtes, et quand on en coupait une, il
ule obéit à cette injonction, descendit au sombre empire, enchaîna le
monstre
, et le traîna, malgré son opiniâtre résistance, h
tre, d’où il ne sortait que pour désoler le pays par ses brigandages,
Monstre
demi-homme et demi-satyre, d’une taille colossale
et lui commande de travailler… Des mêmes mains dont il terrassait les
monstres
, Hercule file de la laine pour amuser une maîtres
s, et tint à côté de lui le bouclier où se réfléchissait la figure du
monstre
qu’il n’osait regarder en face. D’un seul coup la
roi Céphée, enchaînée au bord de la mer, allait y être dévorée par un
monstre
marin. Du haut des airs il la découvre, descend j
le supplice injuste qu’elle va subir. Elle parlait encore, lorsque le
monstre
approcha pour la dévorer. Elle pousse un cri d’ef
e, ou je périrai comme vous ! » Aussitôt d’une main ferme il lance au
monstre
son javelot, l’atteint à l’épine du dos, lui trav
ndre l’ordre de la déesse, laboure la terre, et y répand les dents du
monstre
. Trois jours après, les mottes de terre commencen
arçons et autant de jeunes filles pour servir de pâture au Minotaure,
monstre
moitié homme et moitié taureau, enfermé dans le l
e ses pas dans les obscurs sentiers de cette inextricable demeure. Le
monstre
fut tué, et Thésée retrouva aisément sa route au
e Trézène. A peine est-il parvenu au bord de la mer, qu’un effroyable
monstre
marin envoyé par Neptune épouvante les chevaux, q
e Déidamie par quelques auteurs). Les Centaures, peuple de Thessalie,
monstres
demi-hommes et demi-chevaux, furent invités aux n
gé par Minerve et monté sur le cheval Pégase, Bellérophon terrassa le
monstre
, et le mit en pièces. Alors Iobatès, reconnaissan
es éloges dont il était l’objet, il se vanta qu’il n’y avait point de
monstres
dans les forêts, ni sur les monts, ni dans les dé
fils d’Œnée, dirigeait les chasseurs. Échion lança le premier dard au
monstre
, et le manqua43 ; Jason ne fut pas plus heureux ;
mité d’un genre inouï désola toute la contrée : c’était le Sphinx. Ce
monstre
avait la tête, le visage et les mains d’une jeune
Œdipe, dont la sagacité égalait l’amour de la gloire, se présenta au
monstre
, écouta l’énigme et répondit sans hésitation « qu
t victimes de l’amour ; Pasiphaé sa femme, mit au monde le Minotaure,
monstre
moitié homme et moitié taureau, qui se nourrissai
les murailles qu’il venait de construire, et fit sortir de la mer un
monstre
affreux qui dévorait les habitants sur le rivage,
it envoyé par Neptune, qui exigeait des Troyens qu’ils exposassent au
monstre
celui de leurs enfants sur lequel tomberait le so
e lui conta sa peine, il brisa ses liens, et s’engagea même à tuer le
monstre
, si Laomédon lui promettait pour prix du combat l
ongue javeline dans la charpente qui forme le ventre et les flancs du
monstre
. Le dard s’y attache, et fait entendre un bruit s
tre de chacune d’elles et s’v cramponnent. Au point du jour, quand le
monstre
, placé à l’ouverture de sa caverne, fit sortir un
age, pâlit, frissonne, quand elle voit les flots entr’ouverts, et les
monstres
marins qui bondissent à ses côtés. Occupée naguèr
osé franchir la vaste étendue des mers !… Ah ! si l’on me livrait ce
monstre
exécrable ! dans la fureur qui me possède, je tro
et de vertu. Térée la menace : Philomèle ne peut plus se contenir. «
Monstre
! s’écrie-t-elle, ne crois pas m’effrayer par tes
ous si cet amant qui se cache et craint le grand jour, n’est point un
monstre
, un vampire, qui, après s’être familiarisé auprès
i : « Dieux immortels ! Quoi ! l’Amour est mon amant ! Et c’est là le
monstre
que je redoutais, et que mes sœurs m’avaient pein
sa poursuite les Harpyes. Les Harpyes, filles de Neptune, étaient des
monstres
ailés, qui avaient le visage d’une vieille femme,
rre Andès, Anitus, Anax, Ostase, de Syrie, Inceste, Etna, Evonyme, le
monstre
Campé, Encelade, Mimas, Phaéton, Porphirion, Rhœt
quelques-uns, Proserpine. Enfin l’on y ajoute Briton, Diophore et les
monstres
Alcida et Egide. Maintenant que nous connaissons
et que l’on connaît plus généralement sous le nom du centaure Chiron,
monstre
à buste d’homme, porté sur un corps et des jambes
nfin, arrivant au dernier des rivaux de Jupiter, nous trouvons TyphŒ,
monstre
particulier, dont l’histoire fut à tort confondue
positaires de la justice, parlons de ces Hécatonchires ou Centimanes,
monstres
effroyablement contrefaits, ayant chacun cinquant
ainsi que les Cyclopes, au fond du Tartare, sous la garde de Campée,
monstre
femelle, née de la Terre et probablement d’Uranus
Zaberne, en Libye. Cette dernière version harmonisant les goûts de ce
monstre
avec les formes de l’insecte qui porte son nom, s
ntanément, dans le Tartare. Rien de curieux ne se rattache plus à ces
monstres
que nous ferions suivre des Cyclopes, si, plus ta
rimo et Méthone. Nous n’avons point parlé, en citant les Géans, d’un
monstre
, fils de la Terre, auquel on attribue sa naissanc
èvre Amalthée ; de celle du géant Pallas ; puis de celle d’Égiéis. Ce
monstre
est tout symbolique, et représente la personnific
nfidence. Malheureusement on ne pouvait plus empêcher la naissance du
monstre
; il venait de paraître au jour dans la Cilicie,
le passion, n’arriva sur les bords de l’Euphrate qu’à l’instant où le
monstre
allait la saisir, et ne lui échappa qu’en se lais
ls trouvèrent sur la rive. Jupiter resta donc seul à lutter contre le
monstre
, sur lequel il lança inutilement sa foudre fatigu
e épouvanté, jusque sur le mont Casius, en Syrie. Mais tout-à-coup le
monstre
se retourne, arrive d’un bond aux pieds du maître
ainsi haché, au fond de son antre, et le confie à la garde d’un autre
monstre
appelé Delphyne, à tête de femme et à corps de dr
coups de tonnerre, jusqu’au mont Nysa, où, trompé par les Parques, ce
monstre
dont les forces diminuaient, est encore affaibli
a beaucoup été agrandie par les poètes. Pindare place le corps de ce
monstre
sous l’Etna, sa poitrine sous les eaux de la mer
s droit, le Pachyne le bras gauche, et le Lilybée ses deux jambes. Ce
monstre
, personnification sensible des volcans, et que l’
rincipe du mal, passait comme lui pour amant ou mari d’Echidna, autre
monstre
anguipède à tête et à torse de femme, fille de Ch
Orcus, l’Hydre de Lerne, la Chimère, le Sphinx, le Lion de Némée, le
monstre
Scylla, le Dragon des Hespérides, celui de Colcho
la faire cesser qu’en exposant Andromède, sa fille, à la fureur d’un
monstre
marin, tué, comme nous le verrons plus tard, par
lodore raconte sa mort d’une manière particulière : il prétend que ce
monstre
gardait l’antre où Thémis rendait ses oracles, et
. Aussitôt ils s’en vengèrent, Neptune en faisant sortir de la mer un
monstre
marin qui ravageait toutes les campagnes et enlev
le, qui répondit que les deux fléaux ne cesseraient qu’en exposant au
monstre
, suivant Diodore, celui des enfans troyens que le
t ses liens et la ramena au roi son père en lui promettant de tuer le
monstre
. A cette offre généreuse, Laomédon promit de son
nt au conte de l’historien Lycophron, qui fait dévorer Hercule par le
monstre
auquel Hésione était exposée, et fait demeurer ce
les lettres de son gendre, il ordonna à son hôte d’aller combattre un
monstre
appelé la Chimère, né d’un autre monstre, que nou
on hôte d’aller combattre un monstre appelé la Chimère, né d’un autre
monstre
, que nous avons vu paraître au jour, à la suite d
a moitié du corps d’une belle nymphe et l’autre d’un serpent, affreux
monstre
auquel on attribue pour enfans Orcus, Cerbère, l’
cheval Pégase, que Minerve lui donna, il s’avança hardiment contre le
monstre
, le combattit et le tua. Dans ce combat, Bargyte,
d’Apollon. Quelquefois pourtant elles étaient effrayées par Sybaris,
monstre
qui habitait dans une caverne du Parnasse. Les Mu
de Jupiter. Pendant l’été il passait dans le signe du Cancer ou juin,
monstre
que Junon enverra lutter contre Hercule quand il
’Apollon du Belvéder : elle représente le dieu tuant de ses traits le
monstre
qui désolait le territoire de Delphes. Dans les b
rcée qui, au moyen d’un poison, avait métamorphosé cette Scylla en un
monstre
épouvantable ; Médée, dont nous verrons l’histoir
de Thyades. Centaure, fils de Stilbia, fut le père originaire de ces
monstres
fabuleux habitant près des monts Pélion ou Ossa e
rudence d’un novice, l’ajuste et le perce d’un trait ; tout-à-coup le
monstre
furieux se retourne, fond sur le téméraire qui vi
erçant de ses traits et qu’il ferait soupirer cette téméraire pour le
monstre
le plus terrible de l’univers. A peine l’Amour a-
montagne déserte, de l’y abandonner, et de la laisser attendre là le
monstre
qui doit être son époux. Les vœux et les prières
oit à chaque instant voir sortir du fond de ces antres redoutables le
monstre
qu’elle attend pour époux. Fatiguée par ces pensé
t, pensait-elle ; car elle n’osait parler. Pendant ses réflexions, le
monstre
lui prodiguait de brûlantes caresses, aussi elle
ntes, le danger qui la menace ; et, dans ses transports, elle jure au
monstre
que Psyché est sensible à son amour, tant elle ét
nvisible. Psyché l’entendant s’approcher lui dit : Si vous m’aimez, ô
monstre
adorable, prouvez-le moi en vous montrant à mes r
tunée, dit-il en partant, ma mère m’avait ordonné de vous livrer à un
monstre
pour époux, je me suis donné moi-même, maintenant
naissance : Narcisse, fils ou petit-fils de Céphise qui fut changé en
monstre
marin, et de la nymphe océanide Liriope, avait mé
oique par suite des importunités du dernier elle ait donné le jour au
monstre
Erichthonius. Minerve prit les arts sous sa prote
t de Pallas, fille de Triton ; ou bien enfin, c’est la dépouille d’un
monstre
terrible que nous appellerons dragon. Né de la te
petit-fils d’Alcée, Alexicacus ou le secourable ou le destructeur des
monstres
, Amicus ou l’ami protecteur des réussites, Amphit
andre, en mémoire de la défaite de Cacus ; Victor ou le vainqueur des
monstres
. Hercule est encore un de ces personnages multipl
e animal à Mycènes aux yeux d’Eurysthée. 2° L'Hydre de Lerne était un
monstre
épouvantable, né de Tiphoé et d’Echidna, qui rava
paules et fut le présenter à Eurysthée ; mais à la vue du héros et du
monstre
, le roi eut tellement peur, qu’il fut se cacher s
roces de la contrée. 10° Hésione, fille de Laomédon, fut exposée à un
monstre
marin, Hercule brisa ses chaînes, tua le monstre,
on, fut exposée à un monstre marin, Hercule brisa ses chaînes, tua le
monstre
, et emmena la princesse de la Troade en Grèce. Dé
et sa fille à Hercule ; qu’il les lui refusa après la destruction du
monstre
marin ; qu’Hercule à son retour de l’expédition d
ien ou ministre à deux têtes, et Orthos, dragon à deux ou sept têtes,
monstre
, moitié femme et moitié serpent, que l’on disait
érophon détruisit. Hercule, par ordre d’Eurysthée, combattit ces deux
monstres
, tua Géryon, et conduisit ses bœufs à Tirynthe. G
dant encore Pirithoüs et Thésée, combattre également plusieurs de ces
monstres
auxquels on donnait le nom de Centaures. Après ce
a suite de ce commerce infâme, Pasiphaé finit par mettre au monde, un
monstre
épouvantable, que l’on appela Minotaure, dont le
s parts, et dans lequel on enfermerait pour jamais et l’artiste et le
monstre
, qui ne voulait pour nourriture que de la chaire
tassent, et ne les leur rendit qu’après avoir appris la résidence des
monstres
qu’il voulait combattre. Aussitôt, il part, arriv
vait inhumainement exposee toute nue sur un rocher, aux attaques d’un
monstre
marin. Cette exposition cruelle d’Andromède, étai
les états de Cassiopée aux ravages d’une affreuse Inondation et d’un
monstre
marin épouvantable. Persée, dès son arrivée, prop
epte, et Persée aussitôt monte dans les airs avec Pégase, fond sur le
monstre
et le tue. Peu de jours après, les noces des deux
des portes de l’Enfer, avec les Centaures, les Harpies et les autres
monstres
. Quant à Méduse, la principale des Gorgones, elle
ea les champs Troyens, gouvernés par Laomédon, pourquoi il suscita un
monstre
marin qui ravagea cette malheureuse contrée ; et
i ravagea cette malheureuse contrée ; et comment Hercule, en tuant le
monstre
marin, délivra Hésione, fille de ce roi, que l’on
one, fille de ce roi, que l’on avait exposée pour être dévorée par ce
monstre
, afin de sauver la contrée. Neptune disputa à Jun
et les fontaines. Homère le fait sortir du sein des eaux, entouré de
monstres
marins, et franchir l’horizon en trois pas. Il su
fille de Léna ou Pitanie, eut Janus avec Apollon ; Harpyes, espèce de
monstres
qui passaient généralement pour filles de Neptune
patrie, qu’il trouva désolée par les cruelles dévastations du Sphinx,
monstre
né de Typhon et d’Echidna ou d’Orthos et de la Ch
ailes d’un aigle et la queue terminée par un dard des plus aigus. Ce
monstre
, envoyé par Junon pour punir la famille de Cadmus
couronne et la main de sa fille à celui qui délivrerait le pays de ce
monstre
. Déjà de nombreux Thébains avaient été victimes d
son adolescence et la vieillesse, en était le sujet ; à ces mots, le
monstre
se précipite sur les rochers et tombe dans les fl
aussi qu’Égeste fille du prince Troyen Hippotès, ayant été exposée au
monstre
pour expier le parjure de Laomédon envers Neptune
ès qu’elle se plongea dans cette eau perfide, fut métamorphosée en un
monstre
épouvantable qui avait douze griffes, six gueules
s autour de sa ceinture, de manière que la vue et les hurlemens de ce
monstre
frappaient d’effroi voyageurs. Cependant, ce mons
hurlemens de ce monstre frappaient d’effroi voyageurs. Cependant, ce
monstre
n’était pas représenté de même par tous les écriv
ira plus que l’honneur de suivre les traces d’Hercule en domptant les
monstres
, et en punissant les tyrans des crimes qu’ils com
Il précipita dans les flots comme peine du talion également, Scyron,
monstre
qui engraissait ses tortues avec de la chair huma
mis à mort par une troupe de héros. Pendant que Thésée combattait ces
monstres
divers, son cœur fut sensible aux graces naïves d
our être une des quatorze victimes qui devaient servir de pâture à ce
monstre
; alors, Égée le laisse aller, en lui recommandan
un char pour s’éloigner ; mais à peine est-il sorti de Trézène, qu’un
monstre
marin sort des flots et l’arrête. Ses chevaux, à
un violent démêlé entre les Etoliens et les Curètes, pour la peau du
monstre
; les premiers restèrent long-temps vainqueurs, m
s d’écrevisses, portant une pique à la main et ayant auprès de lui un
monstre
marin de forme inconnue. On le prenait quelquefoi
emé de tours de fer et d’airain, de fournaises ardentes, et peuplé de
monstres
et de furies acharnées à tourmenter les coupables
en prenant les formes de lion, de tigre, de serpent ou de tout autre
monstre
, il effrayait souvent les pauvres mortels. Quant
ire, des dents bianches et des griffes immenses. A la suite de ces
monstres
, nous placerons : Eurynome, qui n’en diffère en r
meurtre d’Atrée, et à qui il avait confié sa femme et ses enfans. Ce
monstre
, d’accord avec Clytemnestre, assassina Agamemnon,
ême n’échappa qu’en crevant avec un tison enflammé l’œil unique de ce
monstre
, qui venait, pour se réjouir de sa capture, de s’
om générique signifie chaîne ou petit oiseau, avaient été changées en
monstres
moitié femme et moitié oiseau, par Cérès, pour n’
ut conjurer ces fléaux qu’en livrant chaque jour une jeune fille à un
monstre
marin, sorti des flots par ordre de Neptune : le
sione, sa propre fille que le troyen Phénodamas le força d’exposer au
monstre
, mais Laomédon ayant promis à celui qui délivrera
édon ayant promis à celui qui délivrerait sa fille et la Troade de ce
monstre
, deux beaux chevaux, et sa fille en mariage, Herc
le en mariage, Hercule se présenta, délivra Hésione, et fit tomber le
monstre
sous ses coups ; cependant Laomédon refusa ce qu’
ups ; cependant Laomédon refusa ce qu’il avait promis au vainqueur du
monstre
. Alors Hercule assiégea la ville, la prit d’assau
pour savoir de l’oracle quels étaient les moyens de se débarrasser du
monstre
qui ravageait ses états ; plus tard il fut chargé
de la balance, c’est un personnage discocéphale, placé au-dessous du
monstre
à corps de laie, à pattes de lion et à queue de s
te Bhavani souvent sous la forme de son incarnation en Bhadrakali, ou
monstre
femelle que nous allons faire connaître dans le p
un cercle d’or, et la quatrième, une fleur. Sous ses pieds expire un
monstre
qui semble un génie funeste. A Osaka, ce dieu a u
rent un cable énorme qui tenait au rocher Gelgia, et y attachèrent ce
monstre
. Ils lui mirent ensuite dans la gueule une épée,
abite la forêt de Iarnvidour. Elle eut un grand nombre d’enfans géans
monstres
, mais les principaux furent ceux qu’elle eut de F
n regard de la page 295 montre Hippolyte, fils de Thésée, poussant au
monstre
que viennent de faire naître pour son malheur les
. Scotia, 84. Scotius, 21. Scorpion, 102, 378, Scaith, 489 Scylla (le
monstre
), 5, 29, 38, 235, 238, 257, 280, 282. Scyllurtès,
de l’Amour même. Un oracle avait prédit qu’elle serait l’épouse d’un
monstre
, tyran des dieux et des hommes, et avait ordonné
as, allume une lampe, et s’approchant du lit, reconnaît, au lieu d’un
monstre
, le fils de Vénus. Tandis qu’elle se penchait pou
Soleil. La Renommée. Virgile a représenté la Renommée comme un
monstre
ailé, qui a autant d’yeux, d’oreilles, de bouches
ens du honteux tribut qu’ils payaient à Minos, en tuant le Minotaure,
monstre
moitié homme, moitié taureau [Fig. 92], et trouva
d’Éthiopie, qui était exposée sur un rocher pour être dévorée par un
monstre
marin [Fig. 93]. Après avoir épousé cette princes
mains du sang de son hôte, le pria de délivrer le pays de la Chimère,
monstre
terrible, qui avait la tête d’un lion, le corps d
s périrent dévorés par un dragon. Cadmus vengea leur mort en tuant le
monstre
, dont il sema les dents à terre par le conseil de
. Arrivé à Thèbes, Œdipe trouva la ville désolée par le Sphinx 38. Ce
monstre
, qui avait la tête et le sein d’une jeune femme,
es deux jambes, et qui, dans sa vieillesse, s’appuie sur un bâton. Le
monstre
, vaincu par cette explication, se précipita du ha
pagnons, dans l’œil unique que Polyphème avait au milieu du front. Le
monstre
, réveillé par la douleur, pousse d’épouvantables
Pyrame arrive ensuite ; il reconnaît le voile, aperçoit les traces du
monstre
, et, croyant que Thisbé a été dévorée, il se perc
là il se fit transporter dans l’Éthiopie, où il délivra Andromède du
monstre
qui était prêt à la dévorer, il se servit aussi d
ser leur colère, il fallait exposer Andromède à devenir la proie d’un
monstre
marin. La malheureuse princesse fut attachée sur
tre marin. La malheureuse princesse fut attachée sur un rocher, et le
monstre
était prêt à la dévorer lorsque Persée, monté sur
té sur Pégase, l’aperçut du haut des airs, vint à son secours, tua le
monstre
, brisa ses chaînes et la rendit à ses parens. (Fi
les constellations, sous les noms de Persée, Cassiope, Andromède. Le
monstre
qui devait dévorer Andromède fut représenté par l
mutuellement. Ces vaisseaux avaient des proues qui représentaient des
monstres
. Persée les rencontra dans ses voyages, les comba
t être lui-même le meurtrier de Bellérophon, il l’envoya combattre un
monstre
épouvantable qui désolait le pays, et que l’on no
e qui désolait le pays, et que l’on nommait la Chimère. (Fig. 71.) Ce
monstre
était de race immortelle, il avait la tête d’un l
imère. Le nom de cet animal fabuleux est devenu général pour tous les
monstres
créés par l’imagination. Les poëtes ajoutaient qu
the construit par Dédale, et là ils devenaient la proie du Minotaure,
monstre
moitié homme et moitié taureau, enfanté par Pasip
tié homme et moitié taureau, enfanté par Pasiphaé, femme de Minos. Ce
monstre
n’eut jamais d’existence. L’histoire nous apprend
na au courroux de Neptune. Ce dieu fit sortir des abîmes de la mer un
monstre
horrible : sa vue effraya tellement les chevaux d
il fallait exposer une jeune fille et la faire servir de pâture à un
monstre
marin. Le sort tomba sur Hésione, fille de Laoméd
on, tua Laomédon, et donna la couronne à Podarce, frère d’Hésione. Le
monstre
marin n’était autre chose que les inondations de
rètes ; excités par la déesse, se disputent entre eux la dépouille du
monstre
; rien ne peut terminer ce violent différent ; la
ies et des ruses. Il a eu plusieurs enfans de Signie, sa femme. Trois
monstres
aussi lui doivent l’existence : le loup Fenris, l
’aucun été les tempère. Alors il arrivera des prodiges étonnans ; les
monstres
rompront leur chaîne et s’échapperont, le grand d
e morceau de Bérose que nous allons donner. « Un homme, ou plutôt un
monstre
moitié homme et moitié poisson, sorti de la mer É
t semblables à celles d’un homme : on conserve encore son image. « Ce
monstre
, selon l’auteur chaldéen, demeurait le jour avec
x : une de ces parties forma le ciel, et l’autre la terre ; alors les
monstres
de formes irrégulières disparurent. Bel partagea
dit que les ténèbres couvraient alors la terre mêlée avec l’eau. Les
monstres
dont on vient de lire la description ne sont qu’u
teignait le ciel ; il était demi-homme et demi-serpent ; la vue de ce
monstre
épouvanta tellement les dieux qui étaient venus a
porta dans la Cilicie et l’enferma dans un antre, sous la garde d’un
monstre
moitié fille et moitié serpent. Mercure et Pan ay
p plus vraisemblable : les Égyptiens le peignaient sous la forme d’un
monstre
horrible, qu’ils disaient avoir été produit par l
ita contre sa rivale un effroyable serpent, que l’on nomma Python. Ce
monstre
, disent les poëtes, avait été formé avec le limon
que Junon avait suscité contre Latone et contre lui. La défaite de ce
monstre
donna lieu à l’établissement des jeux Pythiens, s
r une jeune fille troyenne sur les rochers, pour servir de pâture aux
monstres
de la mer. Le sort tomba sur Hésione, fille de La
fallut obéir à l’oracle ; mais Hercule vint à son secours, et tua le
monstre
. L’avare Laomédon osa refuser les deux beaux chev
phée, Thamiras et Hercule. Ce dernier, plutôt propre, à combattre les
monstres
qu’à cultiver les arts agréables, fut tellement i
ient la Terreur et la Crainte. Sur sa cuirasse, on remarque plusieurs
monstres
; les poëtes ajoutent que la fureur et la colère
igure d’un vieillard tenant une pique ; et près de lui on remarque un
monstre
marin d’une forme inconnue. Le second est une pie
devint furieuse, et se précipita dans la mer, où elle fut changée en
monstre
marin très-redoutable pour les vaisseaux. Telle e
es couleuvres tressées avec des bandelettes ensanglantées. Près de ce
monstre
sont posés les lits de fer des Furies : cent autr
rès de ce monstre sont posés les lits de fer des Furies : cent autres
monstres
assiégent l’entrée de ce fatal séjour. Tel est l’
orte sert d’entrée au palais de Pluton ; elle est gardée par Cerbère,
monstre
à trois têtes, dont l’une veille toujours. Parven
avait disparu. Je me trouvai seul au milieu d’une effroyable armée de
monstres
, et dans un tel péril que je frissonne encore d’y
elure Et montas botté sur son dos. Les Centaures étaient des
monstres
moitié hommes, moitié chevaux. On les croyait ori
rait. Nulle force vivante ne semblait pouvoir délivrer la terre de ce
monstre
. Hercule avait pensé d’abord à le surprendre dans
de Procuste. Au temps où la Grèce était peuplée de brigands et de
monstres
(car tous les pays ont eu leur moyen âge), un châ
i rongeait le foie, qui, renaissant la nuit, renouvelait la pâture du
monstre
et le supplice de la victime. Le demi-dieu suppor
ang du misérable. Ulysse l’avisé avait entrevu le ventre écailleux du
monstre
sous la belle poitrine de la nymphe ; aussi le Gr
soi-même ? Sphinx. A l’est de sa seconde pyramide de Gizeh, un
monstre
de granit, aux formes colossales, élève sa tête d
masure (Je ne sais plus lequel des deux), De petits
monstres
fort hideux, Rechignés, un air triste, une voix d
, sans doute à cause des fourrures dont ils étaient couverts. 5. Ces
monstres
étaient les hideuses personnifications des vents
▲