ette chronique fut faite par autorité publique, soixante ans après la
mort
d’Alexandre, pour servir aux Athéniens, dans la q
i compta par olympiades ; il n’écrivait que soixante-six ans après la
mort
d’Alexandre. Les marbres de Paros sont donc le mo
chrétienne, dit Bossuet , que Codrus, roi d’Athènes, se dévoua à la
mort
pour le salut de son peuple, et lui procura la vi
Œnomaüs, roi de Pise. Il monta sur le trône de son beau-père après sa
mort
, et donna son nom à la péninsule qui, depuis lui,
déjà dit que les Égyptiens étaient dans l’usage de juger, après leur
mort
, les rois, les généraux et toutes les personnes c
us les hommes célèbres. L’ancienne philosophie enseignait qu’après la
mort
des grands hommes leurs âmes allaient habiter le
put le sauver de l’accomplissement de l’oracle : Persée lui donna la
mort
de la manière que nous dirons. Cette partie de la
harmes de Méduse. Cette tendresse de Neptune ne put la garantir d’une
mort
funeste : Persée la surprit pendant le sommeil, e
ain ; des serpens formaient leur chevelure, et leur regard donnait la
mort
. Pindare dit que les Gorgones pétrifiaient ceux
milieu de son égide. Ovide ajoute à ces fables que Persée, après la
mort
de Méduse, prit son vol par-dessus les plaines de
alet, qu’il atteignit son grand-père Acrise à la tête, et le renversa
mort
. Persée ne pouvant se pardonner ce meurtre involo
nutiles, et ne pouvant plus soutenir sa honte, s’empoisonna. Après la
mort
de Bellérophon, les poëtes le placèrent parmi les
frères Rhadamanthe et Sarpédon. Il régna sur l’île de Crète après la
mort
d’Astérius. Ce prince épousa Ithone, dont il eut
ond ; aventures du Minotaure, et commencemens de Thésée. Après la
mort
de Minos premier, Lycaste son fils lui succéda. S
èces qui manquaient, qu’il existait encore près de mille ans après la
mort
de Thésée. Depuis l’instant où le grand-prêtre av
uite, publièrent que Dédale s’était formé des ailes, et peignirent la
mort
d’Icare en disant que, malgré les conseils de son
it étouffer. Cocalus affecta de montrer les plus grands regrets de la
mort
de Minos, il rendit son corps à ses soldats, qui
heurs domestiques ne lui laissèrent pas un instant de repos. Après la
mort
de Minos second, Deucalion monta sur le trône, et
à l’immortaliser. Histoire de Phèdre et d’Hippolyte. Après la
mort
de Minos second, Deucalion, son fils, monta sur l
trice. L’indifférence et les mépris d’Hippolyte lui firent désirer la
mort
: la honte et le désespoir d’une déclaration inut
tait peint comme le plus coupable des hommes, et la seule cause de sa
mort
. Thésée, pénétré d’horreur à la vue de cet écrit,
ênes, et il perdit la vie. Quelques auteurs racontent différemment sa
mort
. Ils disent que ce prince arriva près de son père
x d’Hippolyte, qu’ils l’entraînèrent sur les rochers, et causèrent sa
mort
de la manière dont nous l’avons dit plus haut. Th
dieu de la médecine, l’avait ressuscité. Les Athéniens, témoins de la
mort
du jeune prince, ont toujours rejeté cette fable.
ndit les honneurs divins. Les Trézéniens assurèrent qu’il n’était pas
mort
, et qu’il avait été placé dans le ciel parmi les
me fut découvert ; et l’Aréopage, après avoir prononcé sa sentence de
mort
, changea la peine en un bannissement perpétuel. C
il passa le reste de ses jours. On ignore le temps et le genre de sa
mort
. Pour témoigner sa reconnaissance à Cocalus, il f
assommait les passans avec une massue de cuivre. Thésée lui donna la
mort
, et conserva toujours cette massue comme la marqu
Thésée sut défendre son père et sa couronne. Pallas fut vaincu, mis à
mort
, et ses partisans périrent avec lui. Après cette
fut ainsi que périt l’un des plus illustres héros de l’antiquité. Sa
mort
arriva pendant la treizième année du règne de Mne
endant la treizième année du règne de Mnesthée. Ce ne fut qu’après la
mort
de ce roi que les enfans de Thésée retournèrent à
t l’univers de conserver le souvenir de la gloire de Thésée. Après sa
mort
, on se rappela ses actions et sa grande piété env
e épouse ne put soutenir les douleurs de l’absence ; elle se donna la
mort
. Les poëtes publièrent qu’elle avait été changée
iolence de leurs persécuteurs, de sorte que, long-temps même après sa
mort
, Thésée fut encore le bienfaiteur de l’humanité e
ta le plus gros à Eurysthée ; ce prince crut qu’il n’était pas encore
mort
: il en eut une telle frayeur, qu’il alla se cach
t les Enfers, on publia qu’Hercule était descendu dans le royaume des
morts
pour délivrer Thésée, qu’il avait enchaîné Cerbèr
accepté, et Alceste venait d’être immolée lorsqu’Alcide rencontra la
Mort
, et la combattit ; il trouva moyen de la vaincre
re sa liberté qu’à la condition qu’elle rendrait Alceste à la vie. La
Mort
fut contrainte de céder à la force d’Hercule, et
oupable. Il est plus facile d’expliquer le combat d’Hercule contre la
Mort
, et la délivrance d’Alceste. L’histoire rapporte
conçut pour Iole, fille d’Eurite, une violente passion, qui causa sa
mort
et celle de Déjanire, qu’il avait épousée dans l’
nt Œta, près de la ville que par la suite on nomma Herculie. Après la
mort
de ce héros, les poëtes le prirent pour l’objet d
r modèle, il fut si touché qu’il rendit le trépied. Hercule, avant sa
mort
, avait fait jurer à son ami Philoctète que jamais
prince, était gouverneur de Mycène ; il se fit déclarer roi après la
mort
d’Eurysthée. Les Héraclides allèrent s’établir da
, voulut se rendre auprès d’eux ; il fut pris pour un espion et mis à
mort
. La peste recommença, et pour la faire cesser, on
barquer secrètement et les envoya dans la Grèce. Elle avait appris la
mort
d’Ino ; elle espéra qu’Athamas se ressouviendrait
nom de Jason) était dangereusement malade ; ensuite ils publièrent sa
mort
; on fit même la cérémonie de ses funérailles. Al
le sur le mont Dindyme. Clité, femme de Cysicus, ne put survivre à la
mort
de son époux ; elle mourut de douleur et de regre
de Thessalie d’où ils étaient partis. Pélias, dit Pausanias , était
mort
pendant leur absence ; son fils Acaste engagea se
s’autorise, démontre que Médée ne fut point le criminel auteur de la
mort
de Pélias ; le même auteur rapporte, au contrair
nées avant la guerre de Troie. Les anciens historiens assurent que la
mort
d’Absyrthe eut lieu dans le combat naval qui se d
e Médée, est un fait entièrement dénué de vérité. Ce prince fut mis à
mort
par Éson, qui lui fit avaler du sang de taureau :
’histoire apprend l’origine de cette fable. Elle rapporte qu’après la
mort
de Pélias et d’Éson, Acaste et Jason se disputère
x de Médée. Une tradition constante assurait que, soit pour venger la
mort
de Créon, dont Médée était soupçonnée, soit pour
s dans la basse Asie ; qu’on l’y honora comme un dieu, et qu’après sa
mort
, Médus, son fils, bâtit la ville de Médée en l’ho
es corsaires qui l’infestaient. Ce service les fit placer, après leur
mort
, parmi les divinités favorables aux nautoniers. O
ls se succédaient alternativement sur la terre et dans le royaume des
morts
. Cette fable est fondée sur ce qu’après leur mort
ans le royaume des morts. Cette fable est fondée sur ce qu’après leur
mort
on les représenta par le signe des Gémeaux ; et c
rendait ses réponses, et prétendait avoir la puissance d’évoquer les
morts
. Orphée crut effectivement revoir Eurydice, et l’
ement pour la revoir ; le désespoir s’empara alors de son cœur, et la
mort
le rejoignit bientôt à son épouse. D’autres auteu
oignit bientôt à son épouse. D’autres auteurs content différemment sa
mort
. Ils disent que les femmes de Thrace, outrées de
femmes. Quelques auteurs, d’accord avec Plutarque sur le genre de sa
mort
, prétendent qu’il fut massacré en Macédoine ; l’o
econde fois Eurydice. Du temps d’Orphée, la magie et l’évocation des
morts
étaient fort en usage ; telle fut sans doute l’or
ais une seconde maladie, qui survint peu de temps après, lui donna la
mort
, et fit imaginer la fable d’une rechute dans les
ri de ses coups. Ce fut dans l’un de ces combats sanglans qu’il mit à
mort
les deux frères de sa mère Althée. Cette reine, d
orribles imprécations, elle conjure Proserpine et Pluton d’envoyer la
Mort
pour la venger de son propre fils. La Discorde fé
; rien ne peut résister à la force de ses coups ; partout il porte la
mort
et l’effroi ; les Curètes ne songent plus qu’à la
éagre apporta la dépouille du sanglier de Calydon, cause fatale de la
mort
de ses deux oncles Plexippe et Toxée. Ovide et l
transports, ne put soutenir cet horrible spectacle : elle se donna la
mort
, et les deux sœurs de Méléagre moururent aussi de
t été changées en oiseaux, que l’on nomma Méléagrides. Œnée, après la
mort
d’Althée, épousa Péribée, dont il eut Tydée, père
uta le premier sur le rivage de Troie, quoique l’oracle eût prédit la
mort
de celui qui descendrait le premier sur ce rivage
e font entendre ; il enfonce le glaive dans son propre sein, et tombe
mort
au pied de l’autel. Callirhoé, reconnaissant à ce
tendresse de Corésus, ne voulut point lui survivre ; elle se donna la
mort
auprès de la fontaine de Calydon, et, depuis ce t
evé ; Polydore, déchiré par des bacchantes ; Labdacus, enlevé par une
mort
prématurée, ne laissant qu’un fils au berceau et
nrent effrayer les deux époux. Jocaste termina ses infortunes par une
mort
violente. Œdipe, à ce que rapportent quelques aut
fut tué quelques années après, en allant au siége de Troie. Après sa
mort
, deux princes de la même famille régnèrent à Thèb
tueux et sanguinaires, ces bruits avant-coureurs des combats et de la
mort
, éclatent et se répandent de toutes parts. Les na
t rien. « Les jours suivans, la flamme du bûcher dévorait ceux que la
mort
avait moissonnés ; on honorait leur mémoire par d
combattre, parce qu’il faut, dans tous les temps, savoir affronter la
mort
pour mériter de vivre. On réservait l’indulgence
même char, l’un guidait les coursiers, tandis que l’autre écartait la
mort
et la renvoyait à l’ennemi. La perte d’un guerrie
elle était plusieurs jours à se remettre de ses fatigues. Souvent une
mort
prompte était la peine ou le prix de son enthousi
les Dumivirs ne pouvaient les laisser voir à personne, sous peine de
mort
. Ce premier recueil d’oracles sibyllins périt dan
es mystères de la rédemption, les miracles du Sauveur, sa passion, sa
mort
, la création du monde, du paradis terrestre. Dans
on combattait nu. On prit cet usage, parce que Callipatire, après la
mort
de son mari, s’habilla à la façon des maîtres d’e
s où il a vécu, ainsi que les autres circonstances de sa vie et de sa
mort
, sont autant de choses incertaines, sur lesquelle
rocher sa fin, il ne voulut pas attendre des suites d’une maladie, la
mort
qu’il avait tant de fois bravée dans les combats.
ux qui, après s’être intrépidement exposés dans les combats, seraient
morts
les armes à la main. Dès qu’il eut rendu le derni
agnificence. Telle fut la fin de cet homme, aussi extraordinaire à sa
mort
que pendant sa vie. Quelques savans ont supposé q
u’il disposait de l’air, des tempêtes ; qu’il pouvait ressusciter les
morts
, prédire l’avenir, se transformer à sa volonté ;
vent l’existence : le loup Fenris, le serpent Migdard, et Héla, ou la
Mort
. Tous les trois sont ennemis des dieux, qui, aprè
estera jusqu’à ce qu’il soit vaincu par le dieu Thor ; et Héla, ou la
Mort
, est reléguée dans les demeures inférieures, où e
lons à présent développer leurs dogmes sur l’état de l’homme après la
mort
, et sur les dernières destinées de ce monde.
ées de ce monde. Dogmes des Celtes sur l’état de l’homme après la
mort
, et sur les dernières destinées de ce monde.
ais d’Odin, nommé Valhalla, où ce dieu recevait tous ceux qui étaient
morts
d’une manière violente, depuis le commencement du
ser le courage et la violence que la vertu. Ceux-là seuls qui étaient
morts
dans les combats avaient droit au bonheur qu’Odin
ts avaient droit au bonheur qu’Odin préparait dans le Valhalla. Toute
mort
qui n’était point ensanglantée laissait la craint
vé à tous ceux qui mouraient de maladie ou de vieillesse. Héla, ou la
mort
, y exerçait son empire ; son palais était l’angoi
caractères, assurait que, par leur moyen, il pouvait ressusciter les
morts
. Il y avait des lettres runiques pour obtenir la
r ministère si consolant et si nécessaire. On ne croyait point que la
mort
pût rompre les liens du sang et de l’amitié. Les
ruit des torrens leur faisaient croire qu’ils entendaient la voix des
morts
; et lorsque le sommeil venait les surprendre au
ent jamais que pendant la nuit, au milieu des orages et des vents. La
mort
ne détruisait pas le charme des belles ; leurs om
yait avoir son ombre tutélaire qui le suivait sans cesse ; lorsque sa
mort
approchait, l’esprit protecteur se montrait à lui
ituation où il devait mourir, et il poussait des cris plaintifs. A la
mort
des grands personnages, on était persuadé que les
ort des grands personnages, on était persuadé que les âmes des bardes
morts
chantaient pendant trois nuits autour de son fant
s bardes, c’étaient les ombres qui, par ce tact léger, prédisaient la
mort
d’un grand personnage. Un chef ou un roi ne perda
c’était la seule persuasion de ce dogme qui leur faisait regarder la
mort
comme un moyen assuré de parvenir à une vie plus
cérémonie, sans éloges, sans les chansons composées en l’honneur des
morts
. On croyait que les guerriers se survivaient à eu
s les Gaules. De temps immémorial ils avaient l’usage d’ensevelir les
morts
ou de renfermer les cendres dans des urnes. Ils p
cendres dans des urnes. Ils plaçaient dans les tombeaux les armes des
morts
, leurs meubles précieux, et les cédules de l’arge
avaient prêté. Ils écrivaient même des lettres à leurs amis, quoique
morts
. L’une de leurs maximes était que toute lettre je
aussi ranger au nombre de leurs superstitions leur persuasion qu’à la
mort
des grands personnages leurs âmes excitaient des
t violens de la nature, tous les météores, annonçaient, selon eux, la
mort
d’un grand personnage. Les druides se plaisait à
s sont immortelles. 8°. Les âmes passent dans d’autres corps après la
mort
de ceux qu’elles ont animés. 9°. Si le monde péri
ui qui arrivera le dernier à l’assemblée des états, doit être puni de
mort
. 14°. Les enfans doivent être élevés jusqu’à l’âg
utre monde. 16°. Il y a un autre monde, et les amis qui se donnent la
mort
pour accompagner leurs amis y vivront avec eux. 1
famille sont rois dans leurs maisons ; ils ont puissance de vie et de
mort
sur leurs femmes, leurs enfans, et leurs esclaves
imes sublimes celle qui donne aux pères de famille droit de vie et de
mort
sur leurs femmes, leurs enfans et leurs esclaves
ignore en quel lieu de la Grèce il vit le jour. Aussi révéré après sa
mort
qu’il avait été méconnu pendant sa vie, sept fame
faux et le sable à la main ! Il semble aussi vieux que le monde ; La
Mort
en désastre féconde, Le suit d’un pas ensanglanté
e génie, l’esprit, l’adresse et l’agilité. Il conduisait les ames des
morts
dans les Enfers, et avait le magique pouvoir de l
eprésente avec une couronne d’ébène sur la tête, la clé du séjour des
morts
à la main, et sur un char traîné par des chevaux
aux : Mars agite son casque, et Pallas son égide, Et la
mort
ses flambeaux. Français, reconnaissez le char
entiers dans les champs de la Gloire, Le triomphe ou la
mort
. Celui que Mars couronne au bout de la carri
s en des spectres livides. Tout ce peuple souffrant, lassé de tant de
morts
, Voyant que l’art humain se perd en vains efforts
; Et la terre et le ciel, et la foudre et les flots, Tout présente la
mort
aux pâles matelots. Virgile. — Delille 53. T
; Et le feu des éclairs, et l’abîme des flots, Montraient par-tout la
mort
aux pâles matelots. Voltaire 54. Zéphire .
oulent plus sur la terre durcie. Par-tout un long silence image de la
mort
… Roucher 59. L’Hiver a ses beautés. Que j’a
des autres Fleuves des Enfers. Il passait dans sa barque les ames des
morts
qui avaient reçu la sépulture, et qui lui payaien
ment ses vêtemens ; Et sous ce conducteur de la barque infernale, Les
morts
épouvantés passent l’onde fatale. Ils en couvrent
le monarque. Virgile. — Lefranc 63. Restier, excellent comédien,
mort
à Lyon en 1803, à ses amis. Sur le théâtre on
ations et des sacrifices. On donne aussi le nom de Mânes aux ames des
morts
. Cérémonies pieuses en l’honneur des Morts. L
nom de Mânes aux ames des morts. Cérémonies pieuses en l’honneur des
Morts
. Les tombeaux ont leur culte. O vous, parens p
rande. Ce sont des dons légers que la tombe demande. Pour honorer les
morts
le cœur est riche assez, Et leurs Dieux ne sont p
se Les premiers sentimens du cœur, O ma bienfaitrice ! ô ma Mère ! La
mort
n’a pu nous séparer, Et le besoin de te pleurer E
r lui l’annonce de son sort, Chaque arbre un ennemi, chaque ennemi la
mort
. Alors, las de traîner sa course vagabonde, De la
de Phaon. De leurs célèbres bagatelles Le monde encor est occupé. La
mort
, de l’ombre de ses ailes, N’a point encore envelo
ble contrainte ; L’Amour, en soupirant, renverse son flambeau ; Et la
Mort
, sous nos pieds, creuse notre tombeau, O bien
d’Hygie, Au médecin, vainqueur du. Sort ; D’autres nous livrent à la
mort
; Gonnelle nous donne la vie111. Renommée.
rcueil pour dernière espérance. Vois-tu sous ce parvis cette foule de
morts
? Le sein des hôpitaux les rejette au dehors. Ent
Cléopâtre . Enfin, graces aux Dieux, j’ai moins d’un ennemi ; La
mort
de Séleucus m’a vengée à demi ; Son ombre en atte
ans vont d’un seul coup du sort Recevoir l’hyménée, et le trône et la
mort
; Poison, me sauras-tu rendre mon diadême ? Le fe
toutefois cent portes au dehors Ouvertes en tout temps à la foule des
morts
. Ils arrivent sans cesse, et jamais ne l’emplisse
aux, Font des festons, bien plutôt que des chaînes. Bernard 123.
Mort
. Divinité cruelle et inexorable, sourde aux v
r la colère de la Déesse inflexible, on lui sacrifiait un coq. La
Mort
, reine du monde, assembla certain jour, D
’Enfer et toute la Terre Rendaient justice à leurs talens. La
Mort
leur fit accueil. La Peste vint ensuite : On ne p
va la visite, Et l’on ne sut alors qui devait l’emporter : La
Mort
même était en balance ; Mais les Vices ét
balance ; Mais les Vices étant venus, Dès ce moment la
Mort
n’hésita plus, Elle choisit l’Intempéranc
hésita plus, Elle choisit l’Intempérance. Florian 124. La
Mort
de mon Fils. La Mort a fermé ta paupièr
it l’Intempérance. Florian 124. La Mort de mon Fils. La
Mort
a fermé ta paupière. Aimable Enfant, tes jo
ours des larmes à ton sort : Toujours j’aurai présent le moment de ta
mort
, Où ta langue, déjà captive, En so
rémonies funèbres ; ainsi qu’un regître où l’on inscrivait le nom des
morts
. Virgile va nous offrir un tableau des derniers d
t les yeux, Approchent du bûcher le flambeau résineux. Un ministre de
mort
y verse l’huile sainte, Et l’encens et les dons.
templer ces monumens antiques Que l’orgueil des vivans éleva pour les
morts
! Hélas ! pour conserver d’inutiles reliques,
t le dernier séjour d’un enfant vertueux. Il aurait fait le bien : La
Mort
, de son jeune âge Trancha le fil h
te d’y mettre le feu. Ainsi finit Alcide. Placé dans le Ciel après sa
mort
, il y épousa la jeune Hébé. On le représente sous
Jusqu’au fond laissa voir, sous sa voûte effroyable, Ce palais de la
mort
, ce séjour de terreur, Et de ses noirs cachots la
Et, dans l’ombre éternel envoyant ses clartés, Le jour éblouirait les
morts
épouvantés : Tel, effrayé du jour qui malgré lui
ède le fit précipiter du haut d’un rocher. Thésée fut déifié après sa
mort
, et les Athéniens lui dressèrent des autels. Hi
is Accompagnait les chœurs des Nymphes de ces bois : Elles vengent sa
mort
; toi, fléchis leur colère : On désarme aisément
res cris Y feront redire Aux bois attendris Les regrets qu’inspire La
mort
de Daphnis. Toujours ta mémoire Vivra dans nos ch
’Alcimède. Son oncle Pélias voulant l’écarter du trône, après la
mort
de son père, flatta son humeur guerrière. Il lui
a l’orgueil d’Agamemnon, chef des rois ligués de la Grèce ; vengea la
mort
de Patrocle, son ami ; défit le vaillant Hector,
e Clytemnestre. La sensible Électre, sa fille, ne cessa de pleurer sa
mort
; Oreste, son fils, le vengea par le sang de l’am
nourrie, Vos yeux ne virent point ce parricide impie, Ces vêtemens de
mort
, ces apprêts, ce festin, Ce festin détestable, où
s l’île de Lemnos, où il souffrit long-temps d’horribles douleurs. La
mort
d’Achille ramena les Grecs auprès de lui. Philoct
Homère. — Villard 148. Patrocle tué par Hector. La
Mort
a fermé sa paupière ; La Gloire a terminé sa bril
us pur que le fond de mon cœur. Racine 150. Théramène annonçant la
mort
d’Hippolyte à Thésée. J’ai vu, Seigneur, j’ai,
« Le Ciel, dit-il, m’arrache une innocente vie. Prends soin, après ma
mort
de la triste Aricie. Cher ami, si mon père un jou
e leur Empire. Penthésilée vole du secours des Troyens, et venge la
mort
d’Hector. Les Troyens avaient vu sous la lanc
troublant la paix des ombres, A fait pâlir d’effroi le noir tyran des
morts
. C’est peu : la mer profonde a resserré ses bords
es revers et des faveurs du sort. Du vaillant Androgée, il y grava la
mort
, Des enfans de Cécrops le barbare supplice, L’urn
tombe aux pieds de sa mère. A ce spectacle affreux, quoique sûr de la
mort
, Priam ne contient plus son douloureux transport,
ng. Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée Marqua par cent malheurs sa
mort
infortunée. Il périt, en voyant de ses derniers r
plus qu’un tronc sanglant, qu’un débris déplorable, Dans la foule des
morts
tristement confondu, Hélas ! et sans honneur sur
conseils guident ma destinée ; Votre voix m’a souvent appelé chez les
morts
. De Cume en ce moment ma flotte voit les bords. A
ns qui maîtrisaient son corps, Avec elle nourris, la suivent chez les
morts
: Leur germe la pénètre et corrompt son essence.
’une voix lamentable ; Ce présent vient des Grecs, c’est le don de la
mort
. » A ces mots, de sa main qu’anime un noble effor
reux lendemain. Mais du cheval fécond le flanc s’ouvre, et soudain La
mort
avec les Grecs dans nos murs est vomie. Leur fer,
eux : Tel, au palais des rois, affamé de carnage, Sur des monceaux de
morts
Pyrrhus s’ouvre un passage, Là, malgré quarante a
vir un si juste transport, Va porter dans ses murs et la flamme et la
mort
. Euristhène. Ainsi, loin d’épargner l’infortu
enfance aux bergers du Mont Ida, et présenta à Priam un autre enfant
mort
. Pâris devint si beau, que Jupiter le nomma juge
us menace, il apprête sa foudre. A combien de Héros vois-je donner la
mort
, Et combien de palais vois-je réduire en poudre ?
s’avance appuyé sur le fils de Laërte : La terreur le devance, et la
mort
suit ses pas ; De corps ensanglantés la campagne
es. Punissez mon forfait ; venez me déchirer ; Mais c’est craindre la
mort
que de la desirer. Il dit, prend le tissu, ga
doux nom, soulève avec effort Ses yeux déjà chargés des ombres de la
mort
, La voit, soupire, et meurt, content de l’avoir v
t l’on ne dira pas Que Thisbé, sans te suivre, a causé ton trépas. La
mort
qui seule, hélas ! t’a pu séparer d’elle, La mort
ausé ton trépas. La mort qui seule, hélas ! t’a pu séparer d’elle, La
mort
va la rejoindre à son amant fidèle…… Soudain
endre la justice au tribunal des Enfers ; c’était le premier juge des
morts
. Rhadamante et Eaque en étaient les seconds.
. Les plaisirs, la santé, la vigueur disparurent ; Et la fièvre et la
mort
en silence accoururent. L’espérance restait dans
franc 176. Didon, Fille de Bélus, Roi de Tyr. Désolée de la
mort
de son malheureux époux Sichée, que l’avare et cr
l’aride sommet semble toucher les cieux, Circé pâle, interdite, et la
mort
dans les yeux, Pleurait sa funeste aven
nglante Recule d’horreur. Dans le sein de la
Mort
ses noirs enchantemens Vont troubler le
orta plus loin l’amour conjugal : Artémise en fut l’héroïne. Après la
mort
de son cher Mausole, elle lui fit élever, par les
sépulture. Elle nous laisse en proie aux plus justes regrets. Par la
Mort
, enchaînée au séjour du silence, Elle n’est plus
voit plus !… tout dort ! Tout semble anéanti… rien n’est mû… tout est
mort
! De ce vaste repos combien l’ame est frappée ! O
prit de lui rendre son épouse ; il descendit aux Enfers, combattit la
Mort
, et ramena Alceste sur la terre. Les adieux d’A
pour un époux que j’aime ; Pour vous sauver le jour, je me livre à la
mort
; Et ma seule tendresse a voulu cet effort. Je po
ignez cette promesse à nos derniers adieux. Il faut nous séparer : la
mort
qui me menace N’admet point de délai, n’accorde p
les coups d’Achille un époux qu’elle adorait ; elle vit dévouer à la
mort
, par les Princes Grecs, l’innocent Astyanax, qui
s, fils du meurtrier de son époux, qui l’emmena dans l’Épire. Pyrrhus
mort
, elle épousa Hélénus, fils de Priam. Quoiqu’attac
Eh bien ! cet avenir, qui menace tes jours, Pousse mon désespoir à la
mort
… et j’y cours. D’Hécube et de Priam, et de toute
e la vengeance Etouffa pour jamais la voix de la clémence. Hélas ! ta
mort
s’apprête, et bientôt sous mes yeux, Précipité du
ée. Tout ce qu’on me répond redouble mon horreur. On s’écrie : il est
mort
, il tombe, il est vainqueur. Je cours, je me cons
e jette en ce palais, éplorée, incertaine, Au milieu des mourans, des
morts
et des débris. Venez, suivez mes pas, joignez-vou
se. Ce Dieu décora sa tête d’une couronne étoilée, qu’il mit après sa
mort
au nombre des constellations. Ariane à Nérine.
as les antres de la Terre : J’irai braver Pluton, j’irai chercher les
morts
A la lueur de ton tonnerre : J’enchaî
! et ne vit pas Un serpent que les fleurs recelaient sur ses pas : La
mort
ferma ses yeux ; les Nymphes, ses compagnes De le
routes, Et perçant ces forêts où règne un morne effroi, Il aborda des
morts
l’impitoyable Roi, Et la Parque inflexible, et le
obile écoutait ses accords ; L’Hydre affreuse oublia d’épouvanter les
morts
; Et Cerbère, abaissant ses têtes menaçantes, Ret
pirante, En vain te cherche encor de sa main défaillante ; L’horrible
Mort
jetant son voile autour de moi, M’entraîne loin d
îner sa misère ? Par quels sons, par quels pleurs fléchir le Dieu des
morts
? Déjà cette ombre froide arrive aux sombres bord
à grands cris dans la lice des airs ; Tel encor dans le cirque où sa
mort
se prépare, Un cerf est entouré d’une meute barba
veux épars. Ses membres dispersés, exposés aux regards, Etalent de sa
mort
le barbare trophée. L’Hèbre reçut la tête et la l
Par qui deux fois Télèphe éprouva cette lance ! Que dis-je, tous ces
morts
l’un sur l’autre entassée Ont tombé sous mes coup
à ma douleur… De mes jours malheureux l’amour sèche la fleur. Déjà la
mort
s’approche, et j’y suis insensible. Elle est pour
excitant leurs efforts, Voulait pour se venger, qu’il souffrît mille
morts
. Ovide. — Desaintange 197. Alphée et Aréthu
e adoucit sa douleur en le changeant en Anémone. L’anniversaire de la
mort
d’Adonis était consacré par des Fêtes lugubres et
ns son sein, Je vois ses yeux éteints languir sous sa paupière, Et la
Mort
qui flétrit les roses de son teint… Comme il est
tant, Elle voit un sang noir couler de sa blessure, Et le froid de la
mort
glacer son corps sanglant. « Arrête, cher époux,
ans mon ame, Qu’il y grave à jamais l’objet que je réclame, Et que la
mort
barbare arrache de mes bras ! » Mais il ne m’ente
; Mais, non, je suis Déesse, et je ne puis mourir. Eh bien, Reine des
morts
, Divinité barbare, Puisque le Ciel cruel fait des
Vois sur un lit pompeux l’époux que tu déplore, Viens à lui, quoique
mort
il est charmant encore, Et le trépas n’a pu défig
x chants d’hyménée. Les Grâces en pleurant plaignent sa destinée ; La
mort
l’a dévoré, c’en est fait, il n’est plus, Disent-
i servit dans la suite à lier son cadavre au char d’Achille. Après la
mort
du fils de Pélée, il disputa ses armes à Ulysse.
de aux horreurs de mon sort, Rend un dernier service à qui cherche la
mort
. O vous ! ô Dieux puissans ! exaucez ma prière. J
nière fois. Pour la dernière fois mon œil voit ta lumière. O Mort ! ô
Mort
! approche et ferme ma paupière ; Approche : ton
Alcyone, Fille d’Eole et femme de Ceyx. Son Epoux désolé de la
mort
de Chioné sa mère, alla demander à l’Oracle de Cl
larmes. Le plus triste des songes lui apprit enfin le naufrage et la
mort
de Ceyx. Désespérée, elle courut au rivage où aya
eu que les lois que tu viens d’interrompre, Appellent sur ton fils la
mort
ou les douleurs ; Le lait, le même lait que récla
reuse : Dans l’onde au loin s’étend sa voûte ténébreuse ; Toujours la
mort
, le deuil habitent dans son sein ; D’horribles os
Des oracles d’Apollon : Sans cesse, dans les ténèbres, Insultant les
morts
célèbres, Ils sont comme ces corbeaux, De qui la
ûlantes froidures, Sécher ces feuilles impures, Dont l’ombre donne la
mort
. Rousseau 222. Chimère. Elle était fille
flots écumeux, Avec un effrayant murmure. On dirait qu’au séjour des
morts
, Brisant l’urne qui les resserre, Par les entrail
endre Sont de ta cruauté les plus doux monumens. La frayeur et la
mort
vont sans cesse à ta suite, Monstre nourri de san
t sait autant jouir que se passer de tout. Il craint moins la
mort
que le crime, Il aime sa Patrie, il aime ses amis
nuits les plus sombres ; Qui n’eût point vu les mers lui présenter la
mort
, Jouirait moins du calme et des douceurs du port.
chérie, Ce tendre objet de tes soins les plus doux ! La
Mort
sur elle a fait tomber ses coups : Rien n’a pu la
re enivrait mes sens, Et j’étais fier de mon ouvrage. Et la
Mort
à seize ans sur elle étend sa rage ! Pleure Mère
plaintifs exhale sa douleur, etc. Chas 253. Vers d’une Mère sur la
Mort
de sa Fille. Elle était mon trésor, ma gloire,
: ta clarté console les victimes Que le Ciel destine à la
mort
. Tu les fuis : quelle horreur de leur ame s’empar
’attend au rivage Lorsqu’il vogue encor sur les flots. La
Mort
se glisse en vain dans sa nef entr’ouverte ; En v
e, et bientôt succède à ce transport Un long accablement, image de la
mort
. Trois fois le jour naissant fait pâlir les étoil
Intéressant délire ! heureux songes d’amour ! « Son amant n’est point
mort
, elle attend son retour ». La douce illusion a co
doux avenir. Ainsi vécut longtemps cette victime aimable, Et quand la
mort
enfin, dix ans impitoyable, A celui qu’elle aimai
êtue d’une tunique, sur la frange de laquelle on lisait ces mots : La
Mort
et la Vie ; sur son front étaient gravés ceux-ci
; Quand on vit, dans Paris, la Faim pâle et cruelle, Montrant déjà la
Mort
qui marchait après elle ; Alors, on entendit des
se. On vit, avec effroi, tous ces voluptueux, Pâles, défigurés, et la
mort
dans les yeux, Périssant de misère au sein de l’o
nt la Nature, Vont au sein des tombeaux chercher leur nourriture. Des
morts
épouvantés les ossemens poudreux, Ainsi qu’un pur
é de l’horreur de son sort, Levait les mains au Ciel, et demandait la
mort
. Voltaire 270. Peste, Fille de la Nuit.
animaux échappent à sa rage, Et l’homme, hélas ! épuise sa fureur. La
mort
la suit : le deuil et la tristesse, Fléaux cruels
joie est muette ; On n’entend plus retentir les travaux : Tout de la
mort
annonce le repos, Tout du malheur semble être l’i
t s’éteint dans les pleurs. Plus de salut, l’espérance est ravie : La
mort
s’avance et frappe. Instant affreux ! Sans soins,
t mourir les troupeaux et les monstres sauvages. Mais quelle affreuse
mort
! d’abord des feux brûlans Couraient de veine en
ng mêlé d’écume, inonder son sillon ? Il meurt. L’autre affligé de la
mort
de son frère, Regagne tristement l’étable solitai
e leur génie, Et la docte Ausonie Compte aussi plus d’un
mort
immortel comme vous. Virgile des Héros étern
? Quel spectacle !… Une illustre et jeune infortunée Des voiles de la
mort
la tête environnée ! Près de l’autel, son père ac
st lui qui de Calchas ouvrant la bouche impie, Demanda par sa voix la
mort
d’Iphigénie. France ! dans tes forêts il habita l
né pour agir. Ramper dans la paresse, C’est être déjà
mort
. Regarde autour de toi ; contemple tout l’Esp
t-il un jour qu’elle pleure ta vie, Loin de pleurer ta
mort
? O honte de l’Europe et du siècle où nous so
C’est d’un vêtement de poussière Qu’elle se dégage à la
mort
. Homme immortel, salut ! jamais ma lyre saint
d’Œta. Non, non, je ne dois point descendre Au noir Empire de la
Mort
. Amis ! épargnez à ma cendre Des pleurs indignes
’échappe à ce globe de fange : Quel triomphe plus solennel ! C’est la
Mort
même qui me venge : Je commence un jour éternel.
Bernard. Portrait de la Nuit. 124. [Table des matières] Florian. La
Mort
, Fable. 125. [Table des matières] Vigée. La Mort
tières] Florian. La Mort, Fable. 125. [Table des matières] Vigée. La
Mort
de mon fils. 126. [Table des matières] Fontanes.
adversité. 253. [Table des matières] Chas. A Mde. G. de Lyon, sur la
mort
de sa fille, fragment. 254. [Table des matières]
fragment. 254. [Table des matières] Anonyme. Vers d’une mère sur la
mort
de sa fille. 255. [Table des matières] Castilhon
ignore en quel lieu de la Grèce il vit le jour. Aussi révéré après sa
mort
qu’il avoit été méconnu pendant sa vie, sept fame
e génie, l’esprit, l’adresse et l’agilité. Il conduisoit les ames des
morts
dans les Enfers, et avoit le magique pouvoir de l
eprésente avec une couronne d’ébène sur la tête, la clé du séjour des
morts
à la main, et sur un char traîné par des chevaux
Mars agite son casque, et Pallas son égide, Et la
mort
ses flambeaux. François, reconnoissez le cha
rs dans les champs de la Gloire, Le triomphe ou la
mort
. Celui que Mars couronne au bout de la carri
Et le feu des éclairs, et l’abîme des flots, Montroient par-tout, la
mort
aux pâles matelots, Voltaire 55. Zéphyre.
oulent plus sur la terre durcie. Par-tout un long silence image de la
mort
… Roucher 59. Fascinus. C’étoit le Dieu d
des autres Fleuves des Enfers. Il passoit dans sa barque les ames des
morts
qui avoient reçu la sépulture, et qui lui payoien
ment ses vêtemens ; Et sous ce conducteur de la Barque infernale, Les
morts
épouvantés passent l’onde fatale. Ils en couvrent
ations et des sacrifices. On donne aussi le nom de Mânes aux ames des
morts
. Honneurs funèbres Rendus par Enée aux Mânes d
se Les premiers sentimens du cœur, O ma bienfaitrice ! ô ma Mère ! La
mort
n’a pu nous séparer, Et le besoin de te pleurer E
de Phaon. De leurs célèbres bagatelles Le monde encor est occupé. La
mort
, de l’ombre de ses ailes, N’a point encore envelo
ble contrainte ; L’Amour, en soupirant, renverse son flambeau ; Et la
Mort
, sous nos pieds, creuse notre tombeau, O bie
rcueil pour dernière espérance. Vois-tu sous ce parvis cette foule de
morts
? Le sein des hôpitaux les rejette au dehors. Ent
léopâ tre. Enfin, graces aux Dieux, j’ai moins d’un ennemi ; La
mort
de Séleucus m’a vengée à demi ; Son ombre en atte
ans vont d’un seul coup du sort Recevoir l’hymenée, et le trône et la
mort
; Poison, me sauras-tu rendre mon diadème ? Le fe
aux, Font des festons, bien plutôt que des chaînes. Bernard 121.
Mort
. Divinité cruelle et inexorable, sourde aux v
iser la colère de la déesse inflexible, on lui sacrifioit un coq. La
Mort
, reine du monde, assembla certain jour, Dans les
; Tout l’Enfer et toute la Terre Rendoient justice à leurs talens. La
Mort
leur fit accueil. La Peste vint ensuite : On ne p
cin arriva la visite, Et l’on ne sut alors qui devoit l’emporter : La
Mort
même étoit en balance ; Mais les Vices étant venu
même étoit en balance ; Mais les Vices étant venus, Dès ce moment la
Mort
n’hésita plus, Elle choisit l’Intempérance. Flor
Mort n’hésita plus, Elle choisit l’Intempérance. Florian 122. La
Mort
de mon Fils. La Mort a fermé ta paupièr
it l’Intempérance. Florian 122. La Mort de mon Fils. La
Mort
a fermé ta paupière. Aimable Enfant, tes jo
ours des larmes à ton sort : Toujours j’aurai présent le moment de ta
mort
, Où ta langue, déjà captive,
rémonies funèbres ; ainsi qu’un regître où l’on inscrivoit le nom des
morts
. Virgile va nous offrir un tableau des derniers d
t les yeux, Approchent du bûcher le flambeau résineux. Un ministre de
mort
y verse l’huile sainte, Et l’encens et les dons.
contempler ces moens antiques Que l’orgueil des vivans éleva pour les
morts
! Hélas ! pour conserver d’inutiles reliques,
t le dernier séjour d’un enfant vertueux. Il auroit fait le bien : La
Mort
, de son jeune âge Trancha le f
te d’y mettre le feu. Ainsi finit Alcide. Placé dans le Ciel après sa
mort
, il y épousa la jeune Hébé. On le représente so
ède le fit précipiter du haut d’un rocher. Thésée fut déifié après sa
mort
, et les Athéniens lui dressèrent des autels. Hi
is Accompagnait les chœurs des Nymphes de ces bois : Elles vengent sa
mort
; toi, fléchis leur colère : On désarme aisément
res cris Y feront redire Aux bois attendris Les regrets qu’inspire La
mort
de Daphnis. Toujours ta mémoire Vivra dans nos ch
’Alcimède. Son oncle Pélias voulant l’écarter du trône, après la
mort
de son père, flatta son humeur guerrière. Il lui
a l’orgueil d’Agamemnon, chef des rois ligués de la Grèce ; vengea la
mort
de Patrocle, son ami ; défit le vaillant Hector,
e Clytemnestre. La sensible Electre, sa fille, ne cessa de pleurer sa
mort
; Oreste, son fils, le vengea par le sang de l’am
nourrie, Vos yeux ne virent point ce parricide impie, Ces vêtemens de
mort
, ces apprêts, ce festin, Ce festin détestable, où
s l’île de Lemnos, où il souffrit long-temps d’horribles douleurs. La
mort
d’Achille ramena les Grecs auprès de lui. Philoct
Homère. — Villard 145. Patrocle tué par Hector. La
Mort
a fermé sa paupière ; La Gloire a terminé sa bril
urs renversés fermons-lui le passage ; Courons : que la
mort
, le ravage Au sein d’Hector porte enfin l
t pas plus pur que le fond de mon cœur148. Théramène annonçant la
mort
d’ Hippolyte , à Thésée . J’ai vu, Seigneur,
« Le Ciel, dit-il, m’arrache une innocente vie. Prends soin, après ma
mort
de la triste Aricie. Cher ami, si mon père un jou
leur Empire. Penthésilée vole du secours de s Troyens, et venge la
mort
d’ H ector . Les Troyens avoient vu sous la
s étonnés offense la paupière, Et fait pâlir d’effroi le Monarque des
morts
; C’est peu : la mer profonde a resserré ses bord
s revers et des faveurs du sort. Du vaillant Androgée-, il y grava la
mort
, Des enfans de Cécrops le barbare supplice, L’urn
sage, Ses membres affoiblis, déjà glacés par l’âge. Priam marche à la
mort
. Au milieu d’une cour Etoit un grand autel qu’omb
ie : Sa tête est sur le sable, et son corps étendu, Dans la foule des
morts
demeure confondu. Virgile. — D. L. C. 163
conseils guident ma destinée ; Votre voix m’a souvent appelé chez les
morts
. De Cume en ce moment ma flotte voit les bords. A
ns qui maîtrisoient son corps, Avec elle nourris, la suivent chez les
morts
: Leur germe la pénètre et corrompt son essence.
ne voix lamentable ; « Ce présent vient des Grecs, c’est le don de la
mort
. » A ces mots, de sa main qu’anime un noble effor
reux lendemain. Mais du cheval fécond le flanc s’ouvre, et soudain La
mort
avec les Grecs dans nos murs est vomie. Leur fer,
eux : Tel, au palais des Rois, affamé de carnage, Sur des monceaux de
morts
Pyrrhus s’ouvre un passage, Là, malgré quarante a
vir un si juste transport, Va porter dans ses murs et la flamme et la
mort
. Euristhène. Ainsi, loin d’épargner l’infort
enfance aux bergers du Mont Ida, et présenta à Priam un autre enfant
mort
. Pâris devint si beau, que Jupiter le nomma juge
us menace, il apprête sa foudre. A combien de Héros vois-je donner la
mort
, Et combien de palais vois-je réduire en poudre ?
s’avance appuyé sur le fils de Laërte : La terreur le devance, et la
mort
suit ses pas ; De corps ensanglantés la campagne
s. N’épargnez pas mon sang, venez me déchirer. Mais c’est craindre la
mort
que de la différer. » Il dit : prend ce tissu, ga
doux nom, soulève avec effort Ses yeux déjà couverts des ombres de la
mort
, La voit, soupire, et meurt content de l’avoir vu
ienne fera foi, Si j’ai moins de courage et moins d’amour que toi. La
mort
qui pouvoit seule éteindre notre flamme, La mort
d’amour que toi. La mort qui pouvoit seule éteindre notre flamme, La
mort
même à Thisbé va rejoindre Pyrame. Soudain elle s
endre la justice au tribunal des Enfers ; c’étoit le premier juge des
morts
. Rhadamante et Eaque en étoient les seconds.
. Les plaisirs, la santé, la vigueur disparurent ; Et la fièvre et la
mort
en silence accoururent. L’espérance restoit dans
ranc 176. Didon, Fille de Bélus, Roi de Tyr. Désolée de la
mort
de son malheureux époux Sichée, que l’avare et cr
l’aride sommet semble toucher les Cieux, Circé pâle, interdite, et la
mort
dans les yeux Pleuroit sa funeste ave
fureur : La Lune sanglante Recule d’horreur. Dans le sein de la
Mort
ses noirs enchantemens Vont troubler le r
orta plus loin l’amour conjugal : Artémise en fut l’héroïne. Après la
mort
de son cher Mausole, elle lui fit élever, par les
sépulture. Elle nous laisse en proie aux plus justes regrets. Par la
Mort
, enchaînée au séjour du silence, Elle n’est plus
voit plus !… tout dort ! Tout semble anéanti… rien n’est mû… tout est
mort
! De ce vaste repos combien l’ame est frappée ! O
prit de lui rendre son Epouse ; il descendit aux Enfers, combattit la
Mort
, et ramena Alceste sur la Terre. Les adieux d’A
pour un époux que j’aime ; Pour vous sauver le jour, je me livre à la
mort
; Et ma seule tendresse a voulu cet effort. Je po
ignez cette promesse à nos derniers adieux. Il faut nous séparer : la
mort
qui me menace N’admet point de délai, n’accorde p
les coups d’Achille un époux qu’elle adoroit ; elle vit dévouer à la
mort
, par les Princes Grecs, l’innocent Astyanax, qui
s, fils du meurtrier de son époux, qui l’emmena dans l’Epire. Pyrrhus
mort
, elle épousa Hélénus, fils de Priam. Quoiqu’attac
Eh bien ! cet avenir, qui menace tes jours, Pousse mon désespoir à la
mort
… et j’y cours. D’Hécube et de Priam, et de toute
e la vengeance Etouffa pour jamais la voix de la clémence. Hélas ! ta
mort
s’apprête, et bientôt sous mes yeux, Précipité du
ée. Tout ce qu’on me répond redouble mon horreur. On s’écrie : il est
mort
, il tombe, il est vainqueur. Je cours, je me cons
e jette en ce palais, éplorée, incertaine, Au milieu des mourans, des
morts
et des débris. Venez, suivez mes pas, joignez-vou
se. Ce Dieu décora sa tête d’une couronne étoilée, qu’il mit après sa
mort
au nombre des constellations. Ariane a Nérine.
as les antres de la Terre : J’irai braver Pluton, j’irai chercher les
morts
A la lueur de ton tonnerre : J’
! et ne vit pas Un serpent que les fleurs réceloient sur ses pas : La
mort
ferma ses yeux ; les Nymphes, ses compagnes De le
routes, Et perçant ces forêts où règne un morne effroi, Il aborda des
morts
l’impitoyable Roi, Et la parque inflexible, et le
obile écoutoit ses accords ; L’Hydre affreuse oublia d’épouvanter les
morts
; Et Cerbère, abaissant ses têtes menaçantes, Ret
xpirante, Envain te cherche encor de sa main défaillante ; L’horrible
Mort
jetant son voile autour de moi, M’entraîne loin d
îner sa misère ? Par quels sons, par quels pleurs fléchir le Dieu des
morts
? Déjà cette ombre froide arrive aux sombres bord
à ma douleur. De mes jours malheureux l’amour sèche la fleur. Déjà la
mort
s’approche, et j’y suis insensible. Elle est pour
e excitant leurs efforts, Vouloit pour se venger qu’il souffrît mille
morts
. Ovide.— Saint-Ange 202. Alphée et Aréthu
e adoucit sa douleur en le changeant en Anémone. L’anniversaire de la
mort
d’Adonis étoit consacré par des fêtes lugubres et
ns son sein, Je vois ses yeux éteints languir sous sa paupière, Et la
Mort
qui flétrit les roses de son teint… Comme il est
tant, Elle voit un sang noir couler de sa blessure, Et le froid de la
mort
glacer son corps sanglant. « Arrête, cher époux,
ans mon ame, Qu’il y grave à jamais l’objet que je réclame, Et que la
mort
barbare arrache de mes bras ! » Mais il ne m’ente
; Mais, non, je suis Déesse, et je ne puis mourir. Eh bien, Reine des
morts
, Divinité barbare, Puisque le Ciel cruel fait des
Vois sur un lit pompeux l’époux que tu déplores, Viens à lui, quoique
mort
il est charmant encore, Et le trépas n’a pu défig
ux chants d’hyménée. Les Grâces en pleurant plaignent sa destinée, La
mort
l’a dévoré, c’en est fait, il n’est plus, Disent-
i servit dans la suite à lier son cadavre au char d’Achille. Après la
mort
du fils de Pélée, il disputa ses armes à Ulysse.
de aux horreurs de mon sort, Rend un dernier service à qui cherche la
mort
. O vous ! ô Dieux puissans ! exaucez ma prière. J
nière fois. Pour la dernière fois mon œil voit ta lumière. O Mort ! ô
Mort
! approche et ferme ma paupière Approche : ton a
Alcyone, Fille d’Eole et Femme de Céyx. Son Epoux désolé de la
mort
de Chioné sa mère, alla demander à l’Oracle de Cl
larmes. Le plus triste des songes lui apprit enfin le naufrage et la
mort
de Céyx. Désespérée, elle courut au rivage où aya
eu que les lois que tu viens d’interrompre, Appellent sur ton fils la
mort
ou les douleurs ; Le lait, le même lait que récla
Des oracles d’Apollon : Sans cesse, dans les ténèbres, Insultant les
morts
célèbres, Ils sont comme ces corbeaux, De qui la
ûlantes froidures, Sécher ces feuilles impures, Dont l’ombre donne la
mort
. Rousseau 228. Chimère. Elle étoit fille
flots écumeux, Avec un effrayant murmure. On diroit qu’au séjour des
morts
, Brisant l’urne qui les resserre, Par les entrail
propres victimes, Et la peur, et la faim qui conseille les crimes, La
mort
et le sommeil image du trépas ; Sur le seuil oppo
es ; Sa nef, que font mouvoir la voile et l’aviron, Traverse avec les
morts
le rapide Achéron. L’ardeur de la jeunesse en so
L’ardeur de la jeunesse en son vieux sang bouillonne, Et la foule des
morts
le presse et l’environne ; Guerriers, femmes, enf
Vingt fois, pour s’échapper, retournent sur leur trace ; Par-tout la
mort
en feu les repousse et les chasse. On voit,
cendre Sont de ta cruauté les plus doux moens. La frayeur et la
mort
vont sans cesse à ta suite, Monstre nourri de san
autant jouir que se passer de tout. Il craint moins la
mort
que le crime, Il aime sa Patrie, il aime ses amis
s nuits les plus sombres Qui n’eût point vu les mers lui présenter la
mort
, Jouiroit moins du calme et des douceurs du port.
fille chérie, Ce tendre objet de tes soins les plus doux ! La
Mort
sur elle a fait tomber ses coups : Rien n’a pu la
enivroit mes sens, Et j’étois fier de mon ouvrage. Et la
Mort
à seize ans sur elle étend sa rage ! Pleure Mère
laintifs exhale sa douleur, etc. Chas 265. Vers d’une Mère sur la
Mort
de sa Fille. Elle étoit mon trésor, ma gloir
: ta clarté console les victimes Que le Ciel destine à la
mort
. Tu les fuis : quelle horreur de leur ame s’empa
’attend au rivage Lorsqu’il vogue encor sur les flots. La
Mort
se glisse envain dans sa nef entr’ouverte ; Envai
êtue d’une tunique, sur la frange de laquelle on lisoit ces mots : La
Mort
et la Vie ; Sur son front étoient gravés ceux-ci
; Quand on vit, dans Paris, la Faim pâle et cruelle, Montrant déjà la
Mort
qui marchoit après elle ; Alors, on entendit des
se. On vit, avec effroi, tous ces voluptueux, Pâles, défigurés, et la
mort
dans les yeux, Périssant de misère au sein de l’o
nt la Nature, Vont au sein des tombeaux chercher leur nourriture. Des
morts
épouvantés les ossemens poudreux, Ainsi qu’un pur
é de l’horreur de son sort, Levoit les mains au Ciel, et demandoit la
mort
. Voltaire 285. Peste, Fille de la Nuit.
animaux échappent à sa rage, Et l’homme, hélas ! épuise sa fureur. La
mort
la suit : le deuil et la tristesse, Fléaux cruels
joie est muette ; On n’entend plus retentir les travaux : Tout de la
mort
annonce le repos, Tout du malheur semble être l’i
t s’éteint dans les pleurs. Plus de salut, l’espérance est ravie : La
mort
s’avance et frappe. Instant affreux ! Sans soins,
t mourir les troupeaux et les monstres sauvages. Mais quelle affreuse
mort
! d’abord des feux brûlant Couroient de veine en
ng mêlé d’écume, inonder son sillon ? Il meurt. L’autre affligé de la
mort
de son frère, Regagne tristement l’étable solitai
eur génie, Et la docte Ausonie Compte aussi plus d’un
mort
immortel comme vous. Virgile des Héros éter
? Quel spectacle !… Une illustre et jeune infortunée Des voiles de la
mort
la tête environnée ! Près de l’autel, son père ac
st lui qui de Calcas ouvrant la bouche impie, Demanda, par sa voix la
mort
d’Iphigénie. France ! dans tes forêts il habita l
ne se rend point complice : S’il vient de te priver d’une trop douce
mort
, C’est qu’il te réservoit aux horreurs du supplic
pour agir. Ramper dans la paresse, C’est être déjà
mort
. Regarde autour de toi ; contemple tout l’Es
un jour qu’elle pleure ta vie, Loin de pleurer ta
mort
? O honte de l’Europe et du siècle où nous s
ge grossière, C’est d’un vêtement de poussière Qu’elle se dégage à la
mort
. Homme immortel, salut ! jamais ma lyre sainte
d’Œta. Non, non, je ne dois point descendre Au noir Empire de la
Mort
. Amis ! épargnez à ma cendre Des pleurs indignes
’échappe à ce globe de fange : Quel triomphe plus solemnel ! C’est la
Mort
même qui me venge : Je commence un jour éternel.
Bernard. Portrait de la Nuit. 122. [Table des matières] Florian. La
Mort
. Fable. 123. [Table des matières] Vigée. La Mort
tières] Florian. La Mort. Fable. 123. [Table des matières] Vigée. La
Mort
de mon Fils. 124. [Table des matières] Chabanon.
es de l’Adversité. 265. [Table des matières] Chas. A M. de G. sur la
mort
de sa fille. 266. [Table des matières] Anonyme.
sa fille. 266. [Table des matières] Anonyme. Vers d’une mère sur la
mort
de sa fille. 267. [Table des matières] Castilhon
mythologues entendent les lieux souterrains où alloient les ames des
morts
, pour être punies ou récompensées. Les enfers con
de Télémaque, décrit ainsi cette cour : « Au pied du trône étoit la
Mort
, pâle et dévorante, avec sa faux tranchante, qu’e
ns espérance ; les spectres hideux, les fantômes qui représentent les
morts
pour épouvanter les vivants ; les songes affreux
ble, et des Anges haïe, Dieu n’a point répandu le germe de la vie. La
Mort
, l’affreuse Mort, et la Confusion, Y semblent éta
haïe, Dieu n’a point répandu le germe de la vie. La Mort, l’affreuse
Mort
, et la Confusion, Y semblent établir leur dominat
Le jour blesse ses yeux dans l’ombre étincelants : Triste amante des
morts
, elle hait les vivants Elle aperçoit Henri, se dé
e ses lois, et sur-tout son équité, qui lui ont fait donner, après sa
mort
, la fonction de juge souverain des enfers. Il ne
rpents. Elles ont pour compagnes la Terreur, la Rage, la Pâleur et la
Mort
. Leur ministère ne se-borne point à châtier les o
nombre des divinités infernales ? R. Ce sont la Nuit, le Sommeil, la
Mort
et les dieux Manes. D. Qu’est-ce que la Nuit ? R
épis des guérets. ( Ovide , trad. de Saintange.) D. Qu’est-ce que la
Mort
? R. La Mort est fille de l’Érèbe et de la Nuit.
seau semble troubler le silence qui doit régner dans les tombeaux. La
Mort
est une divinité inexorable, sourde aux vœux et a
égard aux rangs et aux talents, Malherbe a dit, d’après Horace : La
Mort
a des rigueurs à nulle autre pareilles :
dans son épître au peuple, s’exprime ainsi : Sur l’univers entier la
Mort
étend ses droits ; Tout périt, les héros, les min
s ? R. Les anciens donnoient le nom de Manes à l’ombre, à l’ame d’un
mort
, Ainsi, l’on dit que Polixène fut sacrifiée aux m
aux Dieux Manes, comme pour recommander à leurs soins la sépulture du
mort
. On immoloit des brebis noires aux dieux Manes, e
ter, pour le punir de cette perfidie, le précipita dans le séjour des
morts
. Son onde devint bourbeuse et amère. D. Dites un
exhalaisons infectes. Les oiseaux qui voloient au-dessus, y tomboient
morts
. D. Qui gardoit la porte des enfers et du palais
x qui vouloient sortir, ou qui se présentoient pour entrer avant leur
mort
. Hercule l’enchaîna, lorsqu’il retira des enfers
les Grecs et les Romains mettoient une obole dans la bouche de leurs
morts
. Ceux qui n’avoient pas reçu, sur la terre, les h
Sa barque, qu’en roulant noircit la vague impure, Va transportant les
morts
sur l’avare Achéron ; Sans cesse il tend la voile
et en particulier de son père. Il conduisoit aux enfers les ames des
morts
, et les en ramenoit. Il présidoit à l’éloquence e
r, Le glaive haut, L’œil fier, l’ame rassise, Porte en touts lieux la
mort
qu’elle méprise. Du char d’acier, chef-d’œuvre de
n nom. Le père et la mère d’Hyacinthe voulurent venger sur Apollon la
mort
de leur fils. Apollon s’enfuit dans la Troade, où
par Achille, au siége de Troie. Jupiter, pour consoler l’Aurore de la
mort
de ce fils chéri, lui promit que quand on brûlero
précipite dans l’Éridan. Ses sœurs, les Héliades, inconsolables de la
mort
de leur frère, furent changées en peupliers, et l
Le culte de ces dieux est venu de ce que l’on enterroit autrefois les
morts
dans les maisons. Les anciens crurent que les ame
; Le jour blesse ses yeux dans l’ombre étincelant ; Triste amante des
morts
, elle hait les Vivants. ( Voltaire.) La Disco
Et la foudre en éclats qui gronde sous ses pieds, Semble annoncer la
mort
aux peuples effrayés. Bellone. D. Qu’étoit Bello
preuve de son adresse au jeu de palet, atteignit Acrise, et l’étendit
mort
sur la place. Il eut tant de chagrin de cet accid
moins fort que son bras. ( La Motte.) D. Pourquoi Cacus fut-il mis à
mort
par Hercule ? R. Cacus, fils de Vulcain, demi-ho
t être prise, d’après l’arrêt du Destin. Quand Déjanire eut appris la
mort
d’Hercule, elle en conçut tant de regret, qu’elle
elle se tua elle-même. D. Quels honneurs rendit-on à Hercule après sa
mort
? R. Philoctète recueillit les cendres de son am
mont Taygète. Pollux vengea son frère, et fut tellement affligé de sa
mort
, qu’il conjura son père Jupiter de lui permettre
as les antres de la terre : J’irai braver Pluton, j’irai chercher les
morts
, A la lueur de ton tonnerre : J’enchaîne
é par Jupiter, pour avoir ressuscité Hippolyte. Peu de temps après sa
mort
, il reçut les honneurs divins. Son culte fut étab
! et ne vit pas Un serpent que les fleurs recéloient sous ses pas. La
mort
ferma ses yeux, les nymphes ses compagnes, De leu
utes : Et, perçant ces forêts où règne un morne effroi, Il aborda des
morts
l’impitoyable roi, Et la Parque inflexible, et le
obile écoutoit ses accords ; L’Hydre affreuse oublia d’épouvanter les
morts
; Et Cerbère, abaissant ses têtes menaçantes, Ret
xpirante En vain te cherche encor de sa main défaillante ; L’horrible
Mort
, jetant son voile autour de moi, M’entraîne loin
îner sa misère ? Par quels sons, par quels pleurs fléchir le dieu des
morts
? Déjà cette ombre froide arrive aux sombres bord
is Accompagnoit les chœurs des nymphes de ces bois : Elles vengent sa
mort
; toi, fléchis leur colère ; On désarme aisément
tion de la Crète ? R. Il perdit son père dont il dut se reprocher la
mort
. Thésée avoit mis des voiles noires au vaisseau s
Le ciel, dit-il, m’arrache une innocente vie, » Prends soin après ma
mort
de la triste Aricie. » Cher ami, si mon père, un
it et jour, ses terribles regards » Portoient l’effroi, l’horreur, la
mort
de toutes parts. » Farouches défenseurs de la for
e fils nommé Penthée ; Autonoé, sa quatrième fille, eut à déplorer la
mort
funeste de son fils Actéon. Cadmus, pour n’être p
ut permis de toucher encore une fois sa lyre avant que de recevoir la
mort
. Il l’obtint, se retira sur la poupe du vaisseau,
rendit à Corinthe. Périandre fut ravi de le revoir ; il fit punir de
mort
les pirates, et éleva un cénotaphe au dauphin qui
ui seroit son vainqueur ; mais elle se réservoit le droit de mettre à
mort
ceux qui seroient vaincus. Plusieurs perdirent la
ince : admirez votre sort ! Le prince vous adopte au lieu de son fils
mort
. Et, par ce coup adroit, sa politique heureuse Af
roit satisfait à sa question. Créon, frère de Jocaste, qui, depuis la
mort
de Laïus, tenoit les rênes du gouvernement à Thèb
er. Ils s’entre-tuèrent l’un l’autre, en présence des deux armées. La
mort
même ne put éteindre leur haine implacable. Car,
a poussière, Et pour le désarmer il avance le bras Le roi, qui semble
mort
, observe touts ses pas ; Il le voit, il l’attend,
derniers soupirs. Près de rendre la vie, il en cache le reste, Et sa
mort
au vainqueur est un piége funeste : Et dans l’ins
dans les airs, Et son ame en courroux s’enfuit dans les enfers. Tout
mort
qu’il est, Madame, il garde sa colère ; Et l’on d
ère ; Et l’on diroit qu’encore il menace son frère : Son visage où la
mort
a répandu ses traits, Demeure plus terrible et pl
raconte-t-on d’Antigone, sœur d’Étéocle et de Polynice ? R. Après la
mort
d’Étéocle et de Polynice, Créon, leur oncle, succ
La plongent-ils vivante en une grotte obscure ? C’est qu’à son frère
mort
donnant la sépulture, Sa main religieuse à la tom
le vaincroit à la course, mais à condition que le vaincu seroit mis à
mort
. Il vainquit, et tua jusqu’à treize concurrents.
deux fils, de son commerce avec Erope. Atrée fit mettre ces enfants à
mort
, et en servit les membres à son frère. Les poëtes
ps d’un sacrifice pour l’assassiner. Egisthe, dans la suite, donna la
mort
à Agamemnon, fils d’Atrée, lorsque ce prince reve
ur dessein, Ils massacrent la garde, ouvrent toutes les portes, Et la
mort
dans nos murs entre avec leurs cohortes. (Énéide
? Quel débris parle ici de votre résistance ? Quel champ, couvert de
morts
, me condamne au silence ? Voilà par quels témoins
Agamemnon ? R. La sensible Electre, sa fille, ne cessa de pleurer la
mort
de son père. Elle sauva son frère Oreste de la fu
e de la fureur d’Egysthe qui vouloit le faire périr. Oreste vengea la
mort
de son père Agamemnon, en tuant Egysthe, et même
les assiégés. Mais Hector s’avança pour le combattre, et lui donna la
mort
. Achille, pour venger son ami, retourna au combat
lèche. Polyxène fut inconsolable d’avoir été la cause innocente de la
mort
d’un guerrier qu’elle aimoit. Après la prise de T
Achille et de Déidamie, fut élevé à la cour du roi Lycomède. Après la
mort
d’Achille, les Grecs, qui avoient appris de l’ora
use Hermione, fille de Ménélas et d’Hélène. Cet amour fut cause de la
mort
de Pyrrhus. Car ce prince étant allé à Delphes, p
s servie : Pyrrhus rend à l’autel son infidelle vie. Hermione. Il est
mort
! Oreste. Il est mort !Il expire ; et nos Grecs
à l’autel son infidelle vie. Hermione. Il est mort ! Oreste. Il est
mort
!Il expire ; et nos Grecs irrités Ont lavé dans s
dans le temple. Madame ; et vous pouvez justement vous flatter D’une
mort
que leurs bras n’ont fait qu’exécuter. Vous seule
. D. Comment Philoctète fut-il tiré de l’île de Lemnos ? R. Après la
mort
d’Achille, les Grecs, voyant qu’ils ne pouvoient
e, arrivé au camp, blessa Pâris d’une de ses flèches, et lui donna la
mort
. Bientôt Ilion fut réduit en cendres. Machaon et
nemi, à le suivre au siége de Troie, avec les flèches d’Hercule. A la
mort
d’Achille, les armes de ce héros furent adjugées
sse, fut instruite de la perfidie du roi de Thrace. Voulant venger la
mort
de Polydore, elle feignit d’avoir encore un autre
onstre hideux, l’horreur des monstres des forêts, Que sans trouver la
mort
nul n’aborda jamais, Cet ennemi des dieux que son
illant des Grecs. Mais il étoit, comme lui, brutal, emporté. Après la
mort
d’Achille, Ajax et Ulysse se disputèrent les arme
is, étoit roi de Pylos. Il échappa seul au fer d’Hercule qui donna la
mort
à touts ses frères, parce qu’ils avoient pris par
t, sur les eaux répandue, Déroba tout à coup les objets à ma vue ; La
mort
seule y parut. Le vaste sein des mers Nous entr’o
de sa femme et au milieu de ses dieux. Énée raconte ainsi à Didon la
mort
de Priam. J’ai vu Pyrrhus, j’ai vu les féroces A
tombe aux pieds de sa mère. A ce spectacle affreux, quoique sûr de la
mort
, Priam ne contient plus son douloureux transport
ng. Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée Marqua par cent malheurs sa
mort
infortunée. Il périt, en voyant de ses derniers r
plus qu’un tronc sanglant, qu’un débris déplorable, Dans la foule des
morts
tristement confondu, Hélas ! et sans honneur sur
ie d’Hector, par Luce de Lancival, Polydamas raconte ainsi à Pâris la
mort
du héros troyen. Dans les champs Phrygiens, l’or
atteint !… il tombe… Troie entière descend avec lui dans la tombe… La
mort
d’Hector n’a point désarmé le vainqueur ; Tournez
age à ce même Pyrrhus, fils du meurtrier de son mari, et auteur de la
mort
de son fils. Pyrrhus l’emmena en Épire, et l’épou
poux Hélénus, frère de son premier mari, qui régna en Epire, après la
mort
de Pyrrhus. Elle regretta toujours Hector, auquel
ants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur touts mes frères
morts
se faisant un passage, Et, de sang tout couvert,
n fils. Elle déclare à Céphise le dessein où elle est de se donner la
mort
, après avoir engagé sa foi à Pyrrhus. Andromaque
le Pût trahir un époux qui croit revivre en elle ; Et que, de tant de
morts
réveillant la douleur, Le soin de mon repos me fi
i. Fais-lui valoir l’hymen ou je me suis rangée : Dis-lui qu’avant ma
mort
je lui fus engagée ; Que ses ressentiments doiven
le jeune prince à un de ses serviteurs, et lui ordonna de le mettre à
mort
. Mais le serviteur, touché de la beauté de Pâris
oir été défait par un berger, le poursuivit, et vouloit lui donner la
mort
. Mais Pâris se fit reconnoître de son frère qui l
blessa Diomède, Machaon, Antilochus, Palamède, et donna lâchement la
mort
à Achille. Philoctète le perça d’une de ses flèch
ne voix lamentable ; » Ce présent vient des Grecs, c’est le don de la
mort
. » A ces mots, de sa main qu’anime un noble effor
reux lendemain. Mais du cheval fécond le flanc s’ouvre, et soudain La
mort
avec les Grecs dans nos mars est vomie. Leur fer,
eux : Tel, au palais des rois, affamé de carnage, Sur des monceaux de
morts
Pyrrhus s’ouvre un passage. Là, malgré quarante a
squ’Énée l’eut quittée, elle s’abandonna au désespoir, et se donna la
mort
. Tel est le récit de Virgile, qui a donné lieu à
sort ? L’un, en mourant cause ta fuite ; L’autre, en fuyant cause ta
mort
. D. Récitez-nous les beaux vers dans lesquels le
nteuse paix suive une guerre affreuse ; » Qu’au moment de régner, une
mort
malheureuse » L’enlève avant le temps ! qu’il meu
mon peuple, et toi, prends son peuple en horreur : » Didon au lit de
mort
te lègue sa fureur ; » En tribut à ta reine offre
nes de ses maximes : — Honore les vieillards. — Ne médis jamais des
morts
. — Sois plutôt jaloux d’être estimé que craint.
s funérailles sont pour les vivants, les prières seules soulagent les
morts
. Discours d’Énée à ses compagnons pour célébrer l
. Discours d’Énée à ses compagnons pour célébrer l’anniversaire de la
mort
de son père. Troyens, l’année entière a terminé
i bien sans lui la faim le viendroit faire : Genre de
mort
qui ne duit pas A gens peu curieux de goûter le t
ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse. Le père
mort
, les fils vous retournent le champ, Deçà, delà, p
point de caché. Mais le père fut sage De leur montrer avant sa
mort
, Que le travail est un trésor. (Liv. 5, fa
qu’à la Fable. On a surchargé de prodiges sa naissance, sa vie et sa
mort
. Sémiramis naquit à Ascalos, ville de Syrie, vers
D’autres disent qu’il se contenta de la forcer d’abdiquer ; après sa
mort
les Assyriens l’honorèrent comme une divinité, et
siné par Mégapenthe dont il avoit tué le père appelé Prætus. Après sa
mort
, les Dieux placèrent ce Héros dans le ciel parmi
ux mêmes arbres. L’Oracle consulté répondit que l’on devoit venger la
mort
d’Icare et d’Érigone. On fit périr tous les meurt
erre se referme, se raffermit, et le ciel redevient serein4. Après la
mort
d’Œdipe, Etéocle et Polynice se disputèrent la po
derniers devoirs. Le barbare Créon qui commande dans Thèbes depuis la
mort
d’Etéocle, fait arrêter et mettre à mort Antigone
mmande dans Thèbes depuis la mort d’Etéocle, fait arrêter et mettre à
mort
Antigone ; Hémon, fils unique de Créon, qui aimoi
t encore enfans, devinssent en un moment hommes faits, pour venger la
mort
de leur père, ce qu’ils firent en tuant, non-seul
érita, il le donna à Éryphile ; et ensuite, comme on l’a vu, après la
mort
d’Alcméon, l’on consacra le collier dans le templ
s dieux. Il laissa trois filles, Aglaure, Hersé et Pandrose. Après la
mort
de Cécrops, Cranaüs monta sur le trône, ensuite E
ipponome, et petit fils de Persée. Il promit à Electrion de venger la
mort
de ses fils. Il acheta de Polyanus les bœufs que
à Thèbes où il fut expié par Créon. Alcmène, le pressant de venger la
mort
de ses frères, il demanda des secours à Créon qui
et qui profitoit de sa trahison, n’avoit pas le droit de la punir de
mort
. Ce fut pendant cette guerre que Jupiter, amoureu
du Sanglier de Calydon. Lorsqu’Hercule porta à Euristhée ce Sanglier
mort
qu’il avoit mis sur ses épaules, Euristhée eut un
que lorsque ce Prince toucheroit à son heure dernière il éviteroit la
mort
si quelqu’un s’y dévouoit pour lui. Admète fut at
donna sa fille Glaucé en mariage et le nomma son successeur. Après la
mort
de Glaucé, Télamon épousa Péribée, fille d’Alcath
de Thèbes. Pendant la descente d’Hercule aux enfers, on crut ce héros
mort
, Lycus usurpa le royaume de Thèbes, et voulut con
transporté de fureur qu’il tua ses deux oncles. Althée pour venger la
mort
de ses frères, jeta au feu le tison fatal auquel
Althée se tua de désespoir. Les sœurs de Méléagre pleurèrent tant sa
mort
, que les Dieux touchés de compassion les changère
érit le grand Alcide, environ trente ans avant la guerre de Troie. La
mort
d’Hercule forme le sujet des Trachiniennes 12, be
roit un habitant des enfers. Mon sort est accompli, c’est le Centaure
mort
qui m’ôte le jour ». Hercule, reçu dans l’Olympe
scité par l’odeur d’une caille. Sénèque a fait deux tragédies sur la
mort
d’Hercule, sous les titres d’Hercule furieux et d
s coups d’Achille. Après cet événement les Amazones voulant venger la
mort
de leur Reine, firent en Thessalie une expédition
et morales qui peuvent affliger la nature humaine. Cependant après la
mort
d’Achille, les Grecs voyant qu’il étoit impossibl
nu depuis parce que l’on y entendit un Oracle. Il fut honoré après sa
mort
comme un Dieu. Orphée, Arion, Amphion.
craignit pour les jours du jeune Prince, on fit courir le bruit de sa
mort
, on prépara ses funérailles et on l’envoya la nui
reprise. L’emploi de pilote du vaisseau fut donné à Typhis ; après sa
mort
, Ancée lui succéda. Zéthès et Calaïs commandoient
lle avoit le pouvoir de rajeunir les vieillards et de ressusciter les
morts
; et pour le prouver, elle reprit à leurs yeux sa
eux qui voltigèrent autour de leur tête les firent placer, après leur
mort
, au nombre des Dieux tutélaires des nautoniers. C
une fiction qui auroit anéanti toute la gloire de son héros. Après la
mort
d’Achille il s’éleva une querelle pour savoir à q
et sur l’éducation d’Achille un poëme intitulé l’Achilléïde, mais la
mort
l’empêcha de l’achever. Une île du Pont-Euxin app
phobe fut, après Hector, le plus vaillant des fils de Priam. Après la
mort
de Pâris il épousa Hélène qui le trahit, comme on
le les lui prodigua vainement, et tous s’accordent à dire qu’après la
mort
de Pâris elle se tua. Hélène épousa Déïphohe, fil
. On le nomma Egisthe parce qu’il fut nourri par une chèvre. Après la
mort
d’Erope empoisonnée par Atrée, ce dernier, vit Pé
lésus27. Il eut en outre de Cassandre sa captive, deux fils. Après la
mort
d’Agamemnon, Clytemnestre et son amant tuèrent Ca
envoyèrent des assassins chargés de le tuer, et enfin le bruit de sa
mort
se répandit ; Egisthe et Clytemnestre en conçuren
leur protection. Cependant Oreste, guidé par le dessein de venger la
mort
de son père, étoit entré secrètement avec Pylade
e souffrir une fois le trépas, je me sens trop foible pour une double
mort
». Dans cette même situation, un auteur moderne30
asile, Si, de concert avec le destin ennemi, Tu m’ôtois à la fois la
mort
et mon ami ?… Oreste s’étant fait connoître à sa
er avec son trident et l’engloutit sous les eaux. Virgile attribue sa
mort
à Pallas sans y faire intervenir Neptune. Ajax s’
après l’avoir tué, le traîna autour des murailles. Ensuite, après la
mort
d’Achille, Ulysse et Ajax se disputèrent ses arme
raison. Teucer, frère d’Ajax fut déshonoré pour n’avoir pas vengé sa
mort
; mais dans l’Ajax furieux, de Sophocle, il joue
nt de l’eau du Xante ; la cinquième et la sixième fatalité étoient la
mort
de Troïle, un des fils de Priam, et la destructio
les épouses de ces Princes, pour leur apprendre ou l’infidélité ou la
mort
supposée de leurs époux. Ces nouvelles portèrent
cile se réveilla fort embarrassé, car les lois du pays, sous peine de
mort
, lui défendoient ce qu’ordonnoit le Dieu, c’est-à
que sa main embellissoit de tableaux lorsqu’on vint lui annoncer la
mort
d‘Hector, la Reine Areté, femme d’Alcynoüs ayant
d’un habit simple, sur la frange duquel étoient écrits ces mots : la
mort
et la vie ; sur son front étoit cette autre devis
soient et bonnifioient la terre qui les produit. Ils consacroient aux
morts
ces mêmes légumes, peut-être aussi parce qu’elles
e peut fléchir le Destin pour son fils Sarpédon, ni le garantir de la
mort
. Les ministres du Destin étoient les trois Parque
na Di se stesso il vizio e pena47. Issipile. — Métastase. La
Mort
. Elle étoit fille de la Nuit. Hésiode fixe so
’on n’avoit aucune connoissance anatomique. Les anciens peignoient la
Mort
, pâle, livide, d’une taille gigantesque, planant
représente avec des habits noirs parsemés d’étoiles. Le temple de la
Mort
(The Temple of death), par le Duc de Buckingham,
ans Athènes. On lui dédia dans Rome un temple et des autels, après la
mort
de Jules-César. La Fidélité. Horace dit qu
mpense Castor et Pollux lui rendirent beaucoup d’honneurs et après sa
mort
les Lacédémoniens en ravageant l’Attique, épargnè
nnoit aux hommes illustres qu’on honoroit comme des Dieux, après leur
mort
, dans le pays où ils étoient nés. 25. On trouver
vaient mérité par des actions d’éclat d’être admis au ciel après leur
mort
. Section première. Dieux supérieurs. § 1
autel de la déesse ; les esclaves n’osaient y paraître, sous peine de
mort
. § 4. Jupiter. Devenu maître du monde par l
estales : leur chasteté, leur innocence devaient être exemplaires. La
mort
était le châtiment réservé aux coupables : et que
plaires. La mort était le châtiment réservé aux coupables : et quelle
mort
! La Vestale était plongée vivante dans un tombea
ers. On appelle Enfers les demeures souterraines où vont les âmes des
morts
pour y être jugées, et y recevoir la peine de leu
che, repousse durement à grands coups de rame les malheureux qui sont
morts
sans sépulture, et tous ceux qui ne peuvent lui p
e Élysée ou Champs élysées le séjour destiné aux bienheureux après la
mort
. Des bosquets toujours verts, l’haleine embaumée
adies, la Misère vêtue de haillons, la Guerre dégouttante de sang, la
Mort
, les Gorgones aux cheveux de serpents, la Chimère
ire ; « la nuit de l’Érèbe, » en style poétique, c’est le tombeau, la
mort
, l’enfer. Orcus, un des surnoms de Pluton, a été
descendre dans l’Orcus » est l’équivalent de descendre au séjour des
morts
. § 9. Cérès. Cérès, déesse des blés et des
r ce qu’on avait vu et entendu était un crime odieux et punissable de
mort
. Une autre fête, appelée Thesmophories, fut insti
prolongeait la vie des mortels et leur procurait le bonheur après la
mort
. Toutes ses promesses avaient leur exécution ; to
re le dos, l’attacha au tronc d’un sapin, et l’y écorcha tout vif. Sa
mort
causa un deuil universel. Les Faunes, les Satyres
enne fameuse ; Linus, qui fut le maître d’Orphée, et Phaéton, dont la
mort
tragique mérite d’être détaillée. Phaéton, fils
el farouche, et se portait sans scrupule à des actes d’inhumanité. La
mort
d’Actéon en est un exemple mémorable. Actéon, fi
cependant qui avait le soin de conduire jusqu’aux enfers les âmes des
morts
, et d’assister à leur jugement définitif devant l
gesse. Protecteur de l’agriculture, il mérita d’être associé après sa
mort
aux dieux champêtres, et d’obtenir un temple et d
Aristée épousa Autonoé, fille de Cadmus, dont il eut Actéon. Après la
mort
cruelle de ce fils, il se retira dans l’île de Co
La Nuit, fille du Chaos, était la mère du Destin, du Sommeil et de la
Mort
. — Les anciens poètes la représentent couronnée d
s, vrais et prophétiques, sortent par une porte de corne. § 31. La
Mort
. La Mort, fille de la Nuit, habitait le seuil
prophétiques, sortent par une porte de corne. § 31. La Mort. La
Mort
, fille de la Nuit, habitait le seuil du Tartare.
cyprès et l’if lui étaient consacrés. — Les modernes représentent la
Mort
sous la figure d’un squelette couvert d’un mantea
raignant sans doute de réveiller des idées pénibles, ne peignirent la
Mort
que sous des emblèmes gracieux. Tantôt c’est un A
sons, en effet, Laissons au vulgaire des hommes Redouter de la
mort
les piéges imprévus : Elle n’est point tant
sept furent mariées à des dieux ou à des héros, et placées après leur
mort
dans le firmament, où elles sont groupées, et for
tlas et d’Æthra, étaient, comme les Hespérides, au nombre de sept. La
mort
de leur frère Hyas, tué à la chasse par une lionn
ntre Junon et contre Déjanire. Quand il voit le mal sans remède et sa
mort
approcher, il coupe des arbres sur le mont Œta, y
eur de cette victoire à Hyllus, fils d’Hercule et de Déjanire.) Cette
mort
d’Eurysthée, qui fait époque dans l’histoire, eut
arque, et les exposa ainsi pendant un orage au milieu des flots. Leur
mort
paraissait inévitable ; mais un dieu veillait sur
disque, qu’il atteignit au front son aïeul Acrisius, l’étendit raide
mort
, et vérifia ainsi la prédiction de l’oracle. §
ux annoncèrent à l’usurpateur qu’il serait à son tour chassé ou mis à
mort
par un fils d’Éson. Dès que Jason vint au monde,
ouveau-né était dangereusement malade, et, bientôt après, qu’il était
mort
; et fit célébrer les funérailles de cet enfant a
à son fils Absyrthe. Le combat s’engage ; Absyrthe vaincu périt d’une
mort
cruelle32. Jason rentré glorieusement à Iolchos,
Ainsi périt misérablement cet illustre chef des Argonautes. Après sa
mort
, on lui éleva des statues et on l’honora comme un
entièrement cette prière, consentit que Pollux habitât le séjour des
morts
tout le temps que Castor passerait sur la terre.
et les plus désespérées, il s’appliqua et réussit à rendre la vie aux
morts
: Glaucus35, Capanée, Tyndare, Hippolyte, bien d’
e trop habile médecin. Des honneurs divins lui furent rendus après sa
mort
: son culte s’établit à Épidaure, sa patrie ; de
ne craignit pas de descendre aux enfers, pour y implorer le dieu des
morts
et lui redemander sa chère compagne. Il fit enten
a tête pour la regarder, jusqu’à ce qu’elle ait quitté le royaume des
morts
. Eurydice avait déjà franchi tous les obstacles q
ur, Orphée tenta vainement de pénétrer une seconde fois au séjour des
morts
. La barque de Caron lui fut refusée, et il demeur
airs palpitantes. Son désespoir éclate, et il s’écrie : « Amis, votre
mort
sera vengée, ou je périrai comme vous ! » Aussitô
pe désolée ! Déposez sur son mausolée Votre lyre qu’il inspirait : La
mort
a frappé votre maître, Et, d’un souffle, a fait d
e Devin par excellence, le Prophète sublime, l’Augure infaillible. Sa
mort
eut lieu après la guerre dite des Épigones ; et,
hes, en se relevant, écartelaient ces malheureux. Thésée lui donna la
mort
. Mais un plus grand triomphe l’attendait dans l’î
olyte (ou Antiope), qu’il épousa et qui fut la mère d’Hippolyte. A la
mort
d’Antiope, il demanda en mariage Phèdre, fille de
de Diane, reine des forêts. Vénus, irritée de ses mépris, résolut sa
mort
. Elle inspira à Phèdre une telle passion pour lui
at s’engage avec fureur, et en peu d’instants la terre est jonchée de
morts
. Les Centaures y périrent presque tous, par la va
tre lui, l’accusa faussement de plusieurs crimes, et enfin demanda sa
mort
. Prœtus, qui ne voulait pas violer les droits sac
scita contre ce géant un simple scorpion, dont la piqûre lui donna la
mort
, inconsolable de la perte du plus dévoué de ses c
entrailles, à mesure que la flamme du foyer consumait le tison. Cette
mort
répandit le deuil dans la ville de Calydon. Althé
celui des amants qui le vaincrait à la course des chars, mais que la
mort
serait le partage infaillible des vaincus. Treize
couronne de Thèbes à celui qui délivrerait la Béotie de ce fléau. La
mort
du Sphinx dépendait de l’explication d’une énigme
ce duel. Créon, devenu chef du gouvernement, défendit sous peine de
mort
à tous les Thébains d’accorder la sépulture aux e
it jurer à son fils Alcméon de tuer Ériphyle dès qu’il apprendrait sa
mort
. Amphiaraüs perdit en effet la vie au commencemen
Thèbes, en prit possession, et l’occupa sans contestation jusqu’à sa
mort
. § 23. Minos II. — Dédale. Minos II, roi d
nourrissait de chair humaine ; Androgée son fils, fut enlevé par une
mort
prématurée. Androgée, doué d’une rare habileté d
cri d’effroi, il appelait Dédale à son secours, il tombe et trouve la
mort
dans cette mer qui fut appelée de son nom icarien
atale. Enchaînée sur le rivage, l’infortunée princesse y attendait la
mort
, lorsque Hercule, qui naviguait vers la Colchide,
nfuir avec sa mère. Mais bientôt, réfléchissant aux triomphes dont sa
mort
sera suivie, elle se résigne au trépas, fait elle
était la neuvième année du siége de Troie.) Œnone, trop sensible à la
mort
d’un mari volage, se laissa consumer de tristesse
ù elle avait eu la faiblesse d’écouter et de suivre un étranger. A la
mort
de Pâris, elle épousa Déiphobe, autre fils de Pri
nna, et la ramena en Grèce, où de nouveaux chagrins l’attendaient. La
mort
lui enleva Ménélas, son dernier appui : elle fut
sifflent, les javelots volent dans les airs, la terre est couverte de
morts
. Dans cette confusion générale, Patrocle perd son
stingua à la tête des Mégariens et des habitants de Salamine. Achille
mort
, Ajax et Ulysse se disputèrent les armes de ce hé
aquelle on voit, dit-on, les deux premières lettres du nom d’Ajax. Sa
mort
eut lieu avant la prise de Troie. Les Grecs lui é
e. Pyrrhus surtout déployait une fureur qu’irritait le souvenir de la
mort
d’Achille ; il tue le jeune Politès, fils de Pria
ande-Grèce, où il bâtit la ville d’Argyrippe (aujourd’hui Arpi). A sa
mort
, ses compagnons le pleurèrent si amèrement, que l
son père n’existait plus, soit pour ne pas revoir les lieux où était
mort
Hercule, son ami. Il alla donc avec un corps de T
r sa vaillance en diverses rencontres. Son dévouement filial causa sa
mort
. Voyant son père engagé dans le plus fort de la m
empara des chevaux de Rhésus, roi de Thrace, et tua leur maître. A la
mort
d’Achille, les armes de ce héros lui furent adjug
vaisseau, s’éloigna au plus vite de ces côtes barbares, déplorant la
mort
ignominieuse de tant de braves compagnons. Avec u
finis, quand un nouvel orage, fracassant son navire, lui présenta une
mort
inévitable. L’abîme allait l’engloutir : une frêl
le de prétendants qui cherchaient à lui persuader que son époux était
mort
, et qu’elle devait se remarier. Pénélope éludait
t pourquoi me presser ainsi ? Attendez encore, je vous en conjure. La
mort
d’un héros tel qu’Ulysse fait du bruit ; la nouve
facile de se figurer le désespoir d’Andromaque, lorsqu’elle apprit la
mort
de son mari tué par Achille, et l’outrage fait à
formé de cette perfidie, jura de punir les coupables à son retour. La
mort
le prévint dans ce projet : il fut assassiné par
omplice, comme envoyé de Strophius, et leur annonça « qu’Oreste était
mort
. » Il ajouta même toutes les circonstances de sa
une parent. Égisthe et Clytemnestre souhaitaient trop ardemment cette
mort
, pour ne pas ajouter une foi aveugle au récit qui
conduits devant le roi Thoas, qui prononce contre eux la sentence de
mort
et un prompt supplice. Iphigénie, fille d’Agamem
riompha, épousa la princesse, et partagea avec elle le trône après la
mort
de Latinus. Ce petit royaume fut le berceau de l’
z-vous ; il y arrose de larmes le voile de son amante, et se donne la
mort
d’un coup d’épée. Cependant Thisbé, revenue de sa
, près du voile fatal qui a causé son erreur. « Je te suivrai dans la
mort
, dit-elle, et ne te quitterai point ; nos parents
t si bien gagner l’amour de ses peuples qu’ils lui rendirent après sa
mort
des honneurs divins. Ses fils, Minos, Rhadamanthe
ents, en approchant de ses lèvres, se changeaient en or, et il serait
mort
de faim au milieu de ses richesses, si Bacchus, t
larmes ; l’autre demeure interdit d’effroi ; celui-ci craint moins la
mort
que la privation des honneurs funèbres ; celui-là
son lit, lui disait : « Ma chère Alcyone, reconnaissez-vous Céyx ? La
mort
l’a-t-elle assez changé pour le rendre méconnaiss
écumeuse pour y terminer son existence ; elle s’y précipite ; mais la
mort
ne veut pas d’elle ; les flots la déposent mollem
n amant, elle ne put modérer l’excès de son désespoir, et se donna la
mort
. — Cette aventure a été le sujet de plusieurs tab
u’un bras dont tu ne redoutes rien ne te plonge dans le sommeil de la
mort
. Trompe la fureur de ton beau-père ; échappe à me
hariot attelé de six chevaux. Trop de confiance en ses forces hâta sa
mort
. Un jour que, dans une grotte, il buvait avec que
nare, en Laconie. Il se rendit de là chez Périandre, qui fit mettre à
mort
les matelots, et éleva un monument de bronze au d
n retour d’un tel accueil, Hercule descendit aux enfers, combattit la
Mort
, la vainquit, et rendit Alceste à son époux. §
it plusieurs jours à se remettre de ses fatigues. Souvent une prompte
mort
suivait son enthousiasme convulsif. L’oracle parl
sang des crapauds, la moelle des jeunes garçons et les ossements des
morts
. De toutes ces matières, elles composaient des br
ou l’avait étouffé. Hypsipyle fut jetée en prison par Lycurgue, et la
mort
allait être la punition de sa négligence ; mais l
des navires, et facilita de cette manière les voyages sur mer74. A sa
mort
, les Égyptiens reconnaissants la placèrent au ran
is était frère d’Horus. Dans les cérémonies funèbres qui suivirent la
mort
d’Osiris leur père, ce fut Anubis qui embauma les
t nourris avec soin pendant leur vie, ils étaient embaumés après leur
mort
, et enterrés honorablement dans les catacombes qu
it en si grande vénération chez les Égyptiens, qu’il y avait peine de
mort
pour quiconque tuait un ibis, même par mégarde. C
incarnat, et les yeux étincelants comme des étoiles. Quand il voit sa
mort
approcher, il se construit un nid avec du bois ré
rcisse nous peint la sotte vanité, et l’amour exagéré de soi-même. La
mort
tragique d’Icare est une leçon donnée aux fils dé
une tradition bien différente, Ariane, trahie par Thésée, se donna la
mort
. Racine y fait allusion dans ces vers de la tragé
lles lettres, perfectionna la tactique militaire, et fut mis après sa
mort
au rang des dieux. 55. Ogygie, petite île que l
, étoit situé entre cette ville et le lieu destiné à l’inhumation des
morts
, de sorte qu’il falloit le traverser dans une bar
dans une barque pour y arriver. Afin d’être admis à la sépulture, le
mort
devoit avoir dans la bouche une petite pièce de m
les prêtres d’Egypte refusoient le passage du lac à ceux qui étoient
morts
sans payer leurs dettes ; la pièce de monnoie, pl
es changèrent l’un en safran, l’autre en if ; Apollon, pour venger la
mort
de Leucothoë dénoncée par Clitie, métamorphosa ce
t le pin lui étoient consacrés. Les fêtes de Cybèle, en mémoire de la
mort
d’Atis, n’étoient, pendant les premiers jours, qu
sa fille aux bêtes féroces, un oncle qui dévoue tous ses neveux à la
mort
, un père qui dévore ses enfans, un enfant qui dét
gée par Proserpine, en la plante de ce nom. On consacroit au Dieu des
morts
, l’ébénier, le Satyrion ; le capillaire étoit con
. On croyoit que le cheveu fatal coupé à chaque homme au moment de la
mort
, étoit consacré à Proserpine, comme à la reine de
Les Larves étoient les ames des hommes vicieux, condamnés après leur
mort
à errer long-temps sur les bords du Styx ou de l’
jeté sur le cou du malheureux pâtre, celui-ci en fut étranglé. Cette
mort
fit donner le nom de Cithéron à la montagne où le
voir l’expiation ; on enfonçoit en terre le glaive qui avoit donné la
mort
, l’expiateur faisoit immoler un jeune pourceau ou
lle13. Pallas, épouvantée recula, dans ce moment, Minerve la blessa à
mort
; elle en eut tant de regret, qu’elle fit une ima
’une vestale laissoit éteindre ce feu, la vestale étoit punie, non de
mort
, mais sévèrement. Si une vestale manquoit à son v
tice, mais elles n’y pouvoient être contraintes : il y avoit peine de
mort
pour quiconque se jetteroit sur leur char ou sur
s, on les entendoit elles-mêmes plusieurs fois, et lorsque l’arrêt de
mort
étoit rendu, on ne le leur signifioit point d’abo
sœurs de la maison des Ocellates la liberté de choisir leur genre de
mort
. Le jour terrible de l’exécution d’une vestale ét
e prolonger son supplice ! Au fond de la tombe étoit dressé le lit de
mort
, où, privée de tout espoir et de toute consolatio
space de temps, il n’y eut environ que vingt vestales condamnées à la
mort
. Sous le consulat de Pinarius et de Furius, le pe
res le prévinrent, trouvèrent le moyen de s’évader ou de se donner la
mort
. Caparonia se pendit, Floronia se poignarda. On c
fit périr par la peste un grand nombre de Thessaliens, pour venger la
mort
de la courtisane Laïs qu’on avoit tuée dans son T
orsure d’un serpent que les princes tuèrent. Licurgue voulut punir de
mort
la négligence de la nourrice, mais les Argiens la
rveilleuse, étoit fille de Salmonée et d’Alcidice. Salmonée, après la
mort
d’Alcidice, épousa Sidero, qui fut une cruelle ma
e immortel qui s’exhale avec la vie. C’est pourquoi, pour exprimer la
mort
et l’immortalité de l’ame, ils ont gravé sur un g
n grand nombre de pierres précieuses un papillon posé sur une tête de
mort
. Une chose assez singulière, c’est que les Grecs
érir d’une passion malheureuse (car on avoit l’espoir d’échapper à la
mort
), ce qui a rendu ce promontoire fameux sous le no
Leucade, on précipitoit du haut de la montagne un criminel condamné à
mort
. C’étoit un sacrifice expiatoire que les Leucadie
r la roche Leucadienne. On disoit aussi que Vénus, inconsolable de la
mort
d’Adonis, recourut à la science d’Apollon comme a
croyoit plus belle que cette déesse. Arganthone fut si touchée de la
mort
de Rhésus son époux, tué au siége de Troie, qu’el
le de Mars. Le Dieu irrité tua le ravisseur. Neptune, désespéré de la
mort
de son fils, fit appeler Mars en jugement devant
dité choquante. Mercure étoit chargé du soin de conduire les ames des
morts
aux Enfers. En y conduisant Lara, par ordre de Ju
ble dit que Mercure portoit un roseau d’or pour conduire les ames des
morts
aux Enfers. Outre Mercure, Dieu des voleurs, il y
de tous les animaux qu’il tueroit à la chasse ; un jour, ayant mis à
mort
un monstrueux sanglier, il n’offrit à la Déesse q
Apollon avec sa lyre ; les Muses furent les juges du combat. Après la
mort
de Marsyas, son corps fut remis à son élève Olymp
leuve dut son origine aux larmes que les nymphes répandirent après sa
mort
. Apollon, le plus beau des immortels, malgré les
es sœurs, Phaétuse, Lampétie et Lampétuse, furent inconsolables de sa
mort
; les dieux les changèrent en peupliers et leurs
he, qui fit courir après les pirates, dont la plupart furent punis de
mort
. Les Musées étoient des fêtes instituées en l’hon
’épousa et en eut deux fils, Émathion et Memnon, roi d’Ethiopie. Leur
mort
lui causa tant de douleur que l’abondance de ses
et des troupeaux. Faune ou Faunus, fils de Picus, fut honoré après sa
mort
comme un Dieu champêtre, que les Romains appeloie
, et lui consacroient une partie du butin fait sur l’ennemi. Après sa
mort
elle fut révérée comme une divinité, et les Germa
a Picus, fils de Saturne et roi d’Italie. Elle fut inconsolable de sa
mort
, sa douleur la consuma sur les bords du Tibre, so
médecine. Esculape acquit bientôt une grande réputation, et après sa
mort
on lui rendit des honneurs divins. On dit que Jup
aignoit qu’Esculape diminuoit sa puissance en diminuant le nombre des
morts
. II étoit surtout adoré à Epidaure, où l’on dit q
char et le conduisit dans sa tente, Machaon voulut ensuite venger la
mort
de Nirée et fut tué par Eurypyle, fils de Télèphe
e de l’inquiétude posséderoit l’homme tant qu’il vivroit, qu’après sa
mort
son corps retourneroit à la Terre, et que son ame
les jaunies et desséchées, désignant la fin de l’automne, une tête de
mort
, des branches de cyprès, symbole du deuil, ont pa
ple, lorsque les Romains disoient : il a vécu, au lieu de dire il est
mort
. Mais l’euphémisme ne fut pour eux qu’un usage ét
ls de Jupiter et d’Électra, fille d’Atlas. Le chagrin qu’il eut de la
mort
de son frère Jasion, foudroyé par Jupiter, parce
ée, fils d’Apollon et de Cyrène, devint amoureux d Euridice. Après la
mort
de cette dernière, les nymphes, touchées de ce ma
trailles desquels il sortit des essaims d’abeilles. Aristée, après sa
mort
, fut révéré des bergers comme un Dieu. 36. Juno
s têtes de l’Hydre à mesure qu’Hercule les coupoit. Parvenu, après la
mort
d’Hercule, à une grande vieillesse, il fut tout-à
tes), aux hommes illustres qu’on honoroit comme des Dieux, après leur
mort
, dans le pays où ils étoient nés. 42. Dans cet A
it ensuite et on lui faisoit des obsèques magnifiques, Quand il étoit
mort
, le peuple le pleuroit comme s’il eut perdu récem
rimaient en le représentant avec deux visages. On lui rendit après sa
mort
les honneurs divins, et Numa Pompilius, deuxième
aissance envers Janus ? Quels honneurs furent rendus à Janus après sa
mort
? Quelle remarque y a-t-il à faire sur le temple
en Egypte, où elle reprit sa première forme, et fut adorée, après sa
mort
, sous le nom d’Isis. Junon n’était pas moins orgu
justesse de leur critique, et jeta la flûte de dépit, en vouant à une
mort
funeste celui qui la trouverait. Le satyre Marsya
Comment Minerve se vengea-t-elle d’Arachné ? Comment causa-t-elle la
mort
de Marsyas ? 32. Quel différend Minerve eut-elle
un cerf qu’il nourrissait, en conçut tant de regret qu’il se donna la
mort
. Apollon le changea en cyprès, et voulut que cet
e Midas, celle du satyre Marsyas, la punition du parjure Laomédon, la
mort
et la métamorphose d’Hyacinthe, de Cyparisse, de
s, d’éclairer le monde pendant la nuit, et de surveiller les âmes des
morts
. Elle eut, pour ses trois emplois, trois séjours
one, qui, trompée par Bacchus, se pendit de désespoir en apprenant la
mort
de son père, tué par des bergers enivrés. 7° L
e chargeait de leurs messages ; il conduisait aux enfers les âmes des
morts
, présidait aux jeux et aux assemblées publiques,
sa fille Alcippe, enlevée par Allyrothius, fils de Neptune, donna la
mort
à ce jeune audacieux : cité pour ce meurtre par l
dans tous ses voyages. 60. Exploits et conquêtes de Bacchus. La
mort
de Sémélé n’avait pas satisfait la haine de Junon
da. Il fit fleurir l’agriculture, et fut adoré comme un dieu après sa
mort
. Son nom fut donné aux Faunes, divinités champêtr
Ils doivent, dit-on, leur origine à l’usage fort ancien d’inhumer les
morts
dans les maisons. On croyait que les âmes continu
Laomédon. L’infortunée princesse, enchaînée à un rocher, attendait la
mort
, lorsque le vaisseau des Argonautes vint à passer
rbe, et succombe à une blessure mortelle. Les Nymphes, pour venger sa
mort
, font périr les abeilles d’Aristée, qui, dans sa
les habitudes matinales de ceux qui se livrent à cet exercice, et la
mort
de Procris est un exemple des périls qu’offre la
esse, la Peur, la Faim aux affreux conseils, la hideuse Indigence, la
Mort
et le Sommeil, frère de la Mort. Là paraissent le
nté par les pleurs des méchants. Sur la rive se pressent les âmes des
morts
, attendant que le nocher infernal, le vieillard C
; le Lethé, ou fleuve d’oubli, dont les eaux enlevaient aux âmes des
morts
le souvenir des maux qu’elles avaient endurés sur
t la Calomnie n’y pouvaient pénétrer. Là comparaissaient les âmes des
morts
, conduites par Mercure. Minos présidait la cour i
la justice et la douceur de son gouvernement, d’être appelé après sa
mort
, parmi les juges des Enfers. Il avait sous sa jur
sa mort, parmi les juges des Enfers. Il avait sous sa juridiction les
morts
de l’Europe. Rhadamanthe était chargé de ceux de
dieux Mânes, comme pour mettre sous leur protection la sépulture des
morts
. On leur immolait des brebis noires, et le cyprès
leur était consacré. On entendait quelquefois par Mânes les âmes des
morts
(n° 68). On offrait aux Mânes de ses amis du lait
rgé de transporter dans sa barque, au delà de l’Achéron, les âmes des
morts
que lui amenait Mercure. Le prix exigé pour ce pa
urs de la sépulture. Aussi avait-on soin de mettre dans la bouche des
morts
une pièce de monnaie, qu’on appelait le denier de
cils. Cette fable est empruntée aux Egyptiens, qui transportaient les
morts
au delà d’un lac, dans un lieu où les hommes vert
ment de cœur où est une mère qui voit son cher fils qu’elle avait cru
mort
; et cette joie, qui échappe bientôt à la mère, n
vêtue d’une tunique sur la frange de laquelle on lisait ces mots : la
mort
et la vie ; sur son front étaient ceux-ci : hiver
vèrent des temples. Sœur du Sommeil, qui suspend nos peines, et de la
Mort
, qui les termine, elle est représentée avec une c
corde était fille de la Nuit et sœur de Némésis, des Parques et de la
Mort
. Jupiter la chassa du ciel à cause des dissension
Le jour blesse ses yeux dans l’ombre étincelants : Triste amante des
morts
, elle hait les vivants… Auprès d’elle est l’Orgue
la ville de Mycènes, dont il fit sa capitale. On lui rendit, après sa
mort
, les honneurs divins. Il eut un temple à Athènes,
olontaire d’Acrisius ? Quels honneurs furent rendus à Persée après sa
mort
? Chapitre XXIV. Bellérophon et la Chimère.
n et la Chimère. 108. Naissance de Bellérophon, ses exploits, sa
mort
. Bellérophon était fils de Glaucus, roi d’Ephy
omède ; 8° la défaite des Amazones ; 9° les étables d’Augias ; 10° la
mort
de Géryon ; 11° les pommes d’or des Hespérides ;
oule d’autres exploits qu’il serait superflu de rapporter ici. 112
Mort
d’Hercule ; il est admis au nombre des dieux.
en Espagne, en Afrique et en Italie ? 112. Racontez l’histoire de sa
mort
. Que devint Hercule après sa mort ? Comment est-i
ie ? 112. Racontez l’histoire de sa mort. Que devint Hercule après sa
mort
? Comment est-il représenté ? Chapitre XXVI.
’avaient fait assassiner. L’infortuné roi de Crète, afin de venger la
mort
de son fils, avait exigé par la force des armes q
5. Thésée, roi d’Athènes. — Ses derniers exploits ; ses malheurs ; sa
mort
. Thésée, devenu roi d’Athènes par la mort de s
oits ; ses malheurs ; sa mort. Thésée, devenu roi d’Athènes par la
mort
de son père, s’appliqua à donner au gouvernement
’Hercule vînt le délivrer. Quand il reparut à Athènes, le bruit de sa
mort
s’y était répandu. Phèdre avait sollicité Hippoly
duite à l’égard des deux filles de Minos ? Comment fut-il cause de la
mort
de son père Egée ? Comment fut conservé à Athènes
it à sacrifier ses deux enfants. Phryxus et Hellé, pour échapper à la
mort
qui les menaçait, s’élèvent dans les airs, s’il e
édition fameuse. 119. Vengeance de Médée. — Malheurs de Jason ; sa
mort
. Jason, de retour à Iolchos, réclama de Pélias
i déjà avait rajeuni Eson, détermina les filles de Pélias à donner la
mort
à leur père, leur promettant de le faire renaître
e, une poutre s’en détacha et lui brisa la tête. Jason reçut après sa
mort
les honneurs réservés aux héros. En dépouillant c
ils, périt misérablement ; Labdacus, fils de Polydore, enlevé par une
mort
prématurée, ne laissa qu’un petit-fils au berceau
ent son héritage, le fer à la main, et se donneraient mutuellement la
mort
. Devenus maîtres du trône, Etéocle et Polynice co
poussière, Et pour le désarmer il avance le bras : Le roi, qui semble
mort
, observe tous ses pas ; Il le voit, il l’attend,
Racontez les malheurs d’Œdipe ; sa fuite avec sa fille Antigone ; sa
mort
au bourg de Colone, près d’Athènes. 122. Comment
t à l’autel, Pâris le frappe d’une flèche au talon66, et lui donne la
mort
. Pyrrhus succède à son père, sous le nom de Néopt
le à nos jeunes lecteurs, en mettant sous leurs yeux le tableau de la
mort
de Priam : Tout à coup de Pyrrhus fuyant la main
tombe aux pieds de sa mère. A ce spectacle affreux, quoique sûr de la
mort
, Priam ne contient plus son douloureux transport
ang. Ainsi finit Priam ; ainsi la Destinée Marqua par ses malheurs sa
mort
infortunée. ( Virgile, Enéide, trad. de Delille.)
Argos, trouve son trône et son lit souillés par Egisthe, et reçoit la
mort
de la main de Clytemnestre, son épouse. Cassandre
Chemnis, située sur le Nil, non loin de Thèbes, lorsqu’elle apprit la
mort
tragique de son époux. Aussitôt elle part avec so
elle fait élever des tombeaux et des temples. Isis partagea, après sa
mort
, les honneurs rendus à Osiris. Cependant Orus, le
onneurs rendus à Osiris. Cependant Orus, leur fils, voulant venger la
mort
de son père, lève une armée, poursuit Typhon, et
eur vie, l’objet d’un soin et d’un culte particuliers, et, après leur
mort
, on les embaumait et on les déposait dans des lie
ands honneurs et du culte le plus solennel. Ils croyaient qu’après la
mort
d’Osiris l’âme de ce prince était entrée dans l’u
e le bœuf Apis ? Quel dieu représentait-t-il ? Que se passait-il à sa
mort
? Quelles conditions devait se réunir le bœuf ado
ordonne de tendre un arc gigantesque, dont la vertu est de donner la
mort
à quiconque le touchait. Crichna le brise en se j
touchait. Crichna le brise en se jouant, et d’un coup d’œil frappe de
mort
tous ceux qui osent l’arrêter. Kansa, saisi d’épo
pesantes une foule de victimes qui se précipitent au-devant de cette
mort
, dont ils attendent une éternelle félicité, d’aut
lais d’Odin, séjour des bienheureux, où sont reçus les héros qui sont
morts
en combattant. Là, ils sont servis par des vierge
pencher la victoire où il lui plaît. Les lâches et tous ceux dont la
mort
n’a point été sanglante sont précipités dans un l
un mot latin qui signifie pousser, parce que ce dieu poussait vers la
mort
. La foule des humains est un faible troupeau Qu’
La foule des humains est un faible troupeau Qu’effroyable pasteur la
mort
pousse au tombeau. [Legouvé] 40. Prononcez Car
aut lire, dans la tragédie de Phèdre, par Racine, ce beau récit de la
mort
d’Hippolyte : A peine nous sortions des portes d
la Nécessité, les Hespérides, les Songes, la Discorde, le Destin, la
Mort
, Momus, la Fraude et encore les Parques ; à la Nu
tre infidèle, et pour dénouement de ce drame, effémination et souvent
mort
de l’individu. Que le jeune Atys ait reçu après s
on et souvent mort de l’individu. Que le jeune Atys ait reçu après sa
mort
le privilége de l’incorruptibilité ou qu’il ait v
anisée celle d’Atys. Une autre tradition prétend que Cybèle, après la
mort
de son amant, fut saisie d’un accès de démence, p
de Canente, fille de Janus ou de Circé, et père de Famie et de Faune,
mort
très jeune à la chasse. Il fut métamorphosé en pi
la partie occidentale, composée de l’Espagne et des Gaules. Après la
mort
de Pluton, ce gouvernement fut donné à Mercure, q
égende assure que la femme et la chèvre ayant eu leurs os, après leur
mort
, renfermés dans la peau de celle-ci, à la suite d
Erato, Eriphie, Bromia et Polyhimno. On dit que leur frère Hyas étant
mort
à la chasse, par suite de la piqûre d’un serpent,
près de Jupiter reprend courage, imite ce héros, que la crainte de la
mort
n’arrête pas, et, se souvenant du vieil oracle, i
éans ; seulement nous ferons observer que ceux dont la présence ou la
mort
ne furent point constatées dans ce combat, ne son
re une guerre sérieuse à Bacchus ; Damyse, être encore utile après sa
mort
; Gration, s’exposer à la colère de Diane ; Itymo
mains ; il fut tué dans un combat par Thésée, roi d’Athènes. Après sa
mort
, dit-on, il fut plongé dans les enfers, non pas s
Cependant il est probable qu’il fut puni aussi pour avoir enchaîné la
Mort
et l’avoir retenue jusqu’à ce que Mars fût venu l
n effet, sage et prudent il devait aimer la paix et éloigner ainsi la
Mort
qu’il tenait par conséquent enchaînée dans ses ét
e seulement ; les femmes en étaient sévèrement exclues, sous peine de
mort
quand elles enfreignaient le règlement. Cependant
ête, suffisait pour tuer un homme ; aussi souvent c’était un combat à
mort
; ainsi Arrachion, après avoir vaincu tous ses ad
son vainqueur, et telle fut la force de la contraction nerveuse de la
mort
, qu’il le coupa. Cette blessure inattendue fut si
statue, celle-ci finit par tomber sur lui et l’écrasa. Les enfans du
mort
citèrent devant le juge la statue homicide ; elle
ympiques resta prisonnier dans un désert, et vit la plus horrible des
morts
arriver ; car, sans pouvoir se défendre, il devin
elles revenaient aux anniversaires des naissances, du mariage, de la
mort
; les Hératélées étaient le sacrifice des cheveux
dieu. Les Cyclopes tombèrent percés par Apollon qui vengea sur eux la
mort
de son fils Esculape que le maître des dieux avai
Mavors ou le producteur de grands changemens, Necys ou le dieu de la
mort
en Ibérie, et en Grèce le guerrier à bouclier, la
igure du troyen Acamaïs un grand nombre de héros grecs pour venger la
mort
d’Ascaphale, immolé par Déiphobe, il fut grièveme
alyrothius, fils de Neptune ; mais le dieu de la guerre ayant puni de
mort
ce jeune audacieux, fut alors seulement traduit d
attit contre Hercule, monté sur le cheval Arion, il fut vaincu, et sa
mort
courrouça tellement son père, qu’il voulut se bat
; elle fut insensible aux efforts d’Apollon, et épousa Capané dont la
mort
lui fut si pénible qu’elle se retira d’Argos à El
temps postérieurs ont adoucie : elle était spécialement messagère de
mort
. Elle seule, disait Virgile, devait aller couper
’avoir plus à revenir sur ce Géant, nous ajouterons qu’on explique sa
mort
comme ayant été causée par les remords de sa cons
t comme ayant été causée par les remords de sa conscience, ou par une
mort
violente ou prématurée, vu que l’on attribuait à
prématurée, vu que l’on attribuait à Latone et à son fils toutes les
morts
accidentelles. Après sa mort, Titye fut précipité
buait à Latone et à son fils toutes les morts accidentelles. Après sa
mort
, Titye fut précipité dans le Tartare, où un vauto
es enfans, elle ne pardonna plus, et leur fit punir instantanément de
mort
la plus petite offense qu’elle reçut ; ainsi, Nio
e son père, qui pour y échapper tue ses enfans et se donne ensuite la
mort
; c’est une peste qui fait disparaître toute cett
te dont la ville de Thèbes était ravagée, et à laquelle Niobée dut la
mort
de tous ses enfans ; ensuite comme on attribuait
jours ]sans sépulture, on les considère comme les habitans de Thébes
morts
de la peste, auxquels personne n’osa touche jusqu
ce massacre, devint une puissance crainte et redoutée, une déesse de
mort
, une Diane Lucifer, adorée par la peur. On la rep
ime ou imprudence envers la divinité de son pays. Cependant, après sa
mort
, les Orchoméniens l’ayant mis au rang des héros,
r toujours sans être sujet ni aux atteintes de la vieillesse, ni à la
mort
. C'était pendant ce sommeil que la lune, éprise d
quelques écrivains, il mourut de la piqûre d’un taon, et fut après sa
mort
placé par sa maîtresse dans la constellation du s
magiques ; enfin, c’était aussi une vraie Proserpine, présidant à la
mort
et aux enfers ; ne donnant entrée de suite dans c
trois grandes époques de l’homme, savoir la naissance ; la vie et la
mort
. De Délos, où Diane prit le nom de Délia, comme e
-on, de la Terre après le déluge de Deucalion. Appollodore raconte sa
mort
d’une manière particulière : il prétend que ce mo
e habileté, le foudroie et lui fait subir le pouvoir invincible de la
Mort
. Apollon, à cet acte d’injustice, ne peut conteni
adie mortelle ou du moins s’étant trouvé dans la position de subir la
mort
, Apollon trompa les Parques et le déroba de leurs
à rendre de brillans services au roi de Thessalie. Ainsi Pélias étant
mort
on ne sait trop comment, Alceste fut accusé par s
enfers ; à peine avait-il passé le fleuve Achéron, qu’il rencontra la
Mort
conduisant la princesse, l’attaqua, la vainquit,
illes ainsi qu’à tous les devoirs funèbres que les vivans rendent aux
morts
. Clio ou la gloire présidait à l’histoire si prop
e ennemi des belles-lettres. Adonis ne fut pas plus heureux ; car sa
mort
, disait-on, fut la punition de quelque audacieuse
de Lucifer, frère de Céyx et père de Chioné : il fut si affligé de la
mort
de cette fille chérie qu’il se précipita de déses
nom de Sepsa. Enfin Hyacinthe est l’un des favoris d’Apollon, dont la
mort
causa à ce dieu le plus de regrets. Il avait pour
Euphémée et le favori des Muses qui le firent placer au ciel après sa
mort
. Pendant l’hiver le soleil passait dans le signe
en mémoire de la douleur que le dieu du Parnasse avait éprouvée à la
mort
de son favori Hyacinthe. Les Lycées se célébraien
était placé. Melanippe était prêtre d’Apollon à Cyrène, et fut mis à
mort
par le tyran Niocrate. On connaît aussi quelques
èbes. Amphiloque, fils d’Amphiaras qu’il accompagna devant Thèbes, et
mort
devant Troie. Amphiloque, fils d’Alcméon et de Ma
ole, le petit-fils d’Hercule, qui le tua. Une peste ayant suivi cette
mort
, on la fit disparaître en élevant à Apollon un te
es livres, dits Sibyllins, ne pouvaient être consultés, sous peine de
mort
, que lors des malheurs publics. Ils subsistèrent
Platon assure que les Dieux le punirent pour avoir voulu feindre à la
mort
d’Eurydice une douleur qu’il ne ressentait pas. O
urydice une douleur qu’il ne ressentait pas. On dit enfin qu’après la
mort
de sa femme il se retira sur le mont Rhodope où,
am, roi de Troie, elle l’enleva, l’épousa et en eut deux fils dont la
mort
lui fut si pénible, que ses larmes abondantes se
tira si juste qu’Orion fut atteint d’une de ses flèches meurtrières,
mort
que l’on attribuait encore à Apollon. Diane, fâch
son enfant, ou peut-être même l’habile Chiron, immédiatement après sa
mort
, retira-t-il, au moyen de l’opération césarienne,
abeilles. Amant d’Eurydice, Aristée fut, comme on l’a vu, cause de sa
mort
en la poursuivant le jour de ses noces avec Orphé
il soit attribué à Apollon ; il était tellement ami de Phaéton que la
mort
étant venue frapper celui-ci, Cycnus abandonna se
d’une partie de sa population, se plaignit à Jupiter que l’empire des
morts
ne tarderait pas à être considérablement diminué,
n fils bien aimé, perça, comme nous le savons, les Cyclopes. Après sa
mort
arrivée, soit par un coup de foudre, soit autreme
fut aussi l’Hynodoter ou dieu apportant le sommeil, par allusion à la
mort
considérée comme repos bienfaisant. D'autres idée
asque en Arcadie, Catanensis ou de Catane. Aucun homme, sous peine de
mort
, ne pouvait toucher ou regarder sa statue, Chamyn
fils l’immortalité qu’il était si près d’obtenir, d’autres disent la
mort
qu’elle lui a causée, la déesse n’ayant pu ensuit
rrêta Carnobuta dans ses actes de jalousie en le faisant se donner la
mort
, au milieu d’un accès de demence. Cependant les D
tier présomptif de sa couronne ; effectivement quelque temps après la
mort
du roi Thrace, Eumolpe fut investi de l’autorité.
de, d’une autre vie, ainsi que des peines et des récompenses après la
mort
. Plusieurs prêtres figuraient spécialement dans c
usage aussi fort que la loi écrite, devait se faire initier avant sa
mort
, et, s’il tardait trop à remplir ce devoir sacré,
t aux Chrétiens, et l’on raconte que deux Arcananiens furent punis de
mort
pour avoir pénétré jusque dans ce sanctuaire redo
ressort dans les affaires capitales. Eschyle risqua d’être condamné à
mort
, et Aristote fut obligé de se sauver de l’Attique
emmes de haute naissance pouvaient seules y assister ; car être mis à
mort
ou privé des yeux, au moins, était la punition de
ui célébraient ces fêtes, et l’on ne pouvait y paraître sous peine de
mort
, sans être initié. Mais elles subsistèrent jusqu’
nde, il serait allé à Délos construire un temple à Apollon, et serait
mort
sans enfans ou pendant son retour au milieu des f
chauffer, peine inutile ! Adonis n’est plus ; c’est la froideur de la
mort
qui le glace pour toujours, et rien ne peut dorén
jour la belle et séduisante Vénus, descendre jusque dans l’empire des
morts
et venir avec le plus gracieux sourire, confier à
vait du ressentiment contre Vénus, dont les caprices avaient causé la
mort
d’Hippolyte, l’un de ses protégés. Vénus, après c
ait les cheveux en se frappant la poitrine, et l’on pleurait enfin la
mort
d’Adonis. Cet aphanisme était la portion de la fê
oie et le bonheur avec son amant, avant de le voir disparaître par la
mort
. Ici finit l’histoire fabuleuse d’Adonis, mais en
lui donna les royaumes de Byblos et de Cypre dans lesquels, après la
mort
de sa femme, il institua en son honneur des fêtes
toire dans les flots. Souvent moins heureux que Vénus, on trouvait la
mort
avec la fin de ses peines. Ainsi Deucalion, le po
solée de ne pouvoir quitter une vie aussi malheureuse, ni trouver une
mort
qu’elle désirait, s’abandonne enfin à sa destinée
egarder encore dans les eaux du Styx ; mais suivant d’autres après sa
mort
il fut changé dans la fleur qui porte son nom. Ce
teur, devinrent pâles et languissantes, et seraient incontestablement
mortes
, sans la présence de leur aimable protecteur. A s
urimède ; elle ne voulut donner sa main qu’au prince qui vengerait la
mort
de ses frères immolés par les fils de Ptérélas ch
on fuseau. Elle était alors à Athènes où elle s’était rendue après la
mort
et la divinisation de son fils. Un silence profon
opée, roi de Sicyone, et l’épousa. Lycus, ayant reçu l’ordre avant la
mort
de son père Nyctée, de reprendre Antiope sa sœur
qu’elle réservait à sa victime. On ajoute que Bacchus pour venger la
mort
de Dircée sa protégée, frappa Antiope d’un accès
Atymne revint à Gortys en Crète, où il fut honoré comme Dieu après sa
mort
; quant à Phinée, il épousa dans la Thrace, Cléob
attiré l’estime et l’amitié de tous les Crétois, fut honorée après sa
mort
comme une divinité. On institua même en son honne
Cinna, fut s’établir en Égypte où il se rendit si fameux qu’après sa
mort
il fut mis au rang des Dieux sous le nom de Sérap
une des premières places : aussi disait-on qu’immédiatement après sa
mort
elle monta dans les cieux, et fut s’asseoir à la
vait que deux de ces yeux qui se fermaient à la fois. Junon, après sa
mort
, prit ses yeux et les répandit sur la queue du pa
e, et, par son travail, mérita la protection de Cérès, qui lors de sa
mort
, l’enleva au Ciel et le placa dans la constellati
a même des charmes qu’elle n’avait pas avant son enlèvement. Après la
mort
de Ménélas, elle fut élevée aux cieux où elle bri
s Gorgones, chez les Cyréniens ; Hellotide ou qui punit à Corynthe la
mort
de sa prêtresse Hellotis, réfugiée dans son templ
et si hideuse que de colère elle jeta son instrument en promettant la
mort
à qui le trouverait : ce fut, nous le savons, le
s hommes et leur procurait quand elle le voulait le bonheur, après la
mort
. Ses promesses, fussent-elles mêmes indiquées par
lle de Triton confiée aux soins de Minerve, laquelle un jour blessa à
mort
sans le vouloir son élève dans un combat singulie
re. Alors elle le joint près des monts Cérauniens, l’arrête, le met à
mort
et couvre aussitôt sa poitrine de sa peau impénét
rons comment Persée, l’un des fils de Jupiter, la combattit, la mit à
mort
et lui coupa la tête pour en faire présent à Mine
et à un roi du nom d’Actée la côte, qui ne devint Attique qu’après la
mort
d’Athis fille de Cranaüs. Cécrops semble donc êtr
ois fils, Aphidas, Azan, Elate, qui se partagèrent ses états après sa
mort
, et desquels naquirent Cyllen, Egyptus, Ischys, P
phisbène ou serpent à deux têtes que le dieu, réveillé à temps, mit à
mort
de ses propres mains ; une autre fois, elle le fr
Bacchus porta à danser avec les satyres, jusqu’à ce qu’il soit tombé
mort
de fatigue ; ce dieu le récompensa, en le métamor
tant de fois représentée sous le titre d’Ariadne abandonnée. Après la
mort
d’Ariadne, Bacchus, pour se distraire, parcourut
siris, fut d’abord introduit dans la Thrace par Orphée, qui, après la
mort
d’Eurydice, ne voulut pas se laisser séduire par
our punition de son impiété, il aurait été frappé d’aveuglement et de
mort
par Jupiter, ou bien Bacchus lui aurait inspiré u
me tellement heureux et s’en fit tant aimer, que les Eléens, après sa
mort
, lui élevèrent un temple, et qu’il fut ensuite ad
le grand chasseur Crottus, qui sous le nom de Sagittaire fut après sa
mort
élevé au ciel par Jupiter ; les Egipans ses fils
t Palatin, fit un dieu de son père, et fut divinisé lui-même après sa
mort
, comme protecteur des forêts, et sa femme aussi,
œthée, nymphe de Sicile, eut de la première, Tarquitus, qu’Énée mit à
mort
, et de la seconde, le berger Acis, amant heureux
t les plus tristes résultats pour les deux familles, car Lyncée étant
mort
de la main de Castor, celui-ci fut tué par Idas q
Ménasine et Mnésilas. Leur apothéose eut lieu quarante ans après leur
mort
ou peu d’années après l’enlèvement d’Hélène par P
de Jupiter et d’Electre, fille d’Atlas, naquit en Tyrrhénie. Après la
mort
de son frère Jasius, qu’il aimait tendrement, il
us le savons, avec Hésione, devint père d’Ajax et de Teucer. Après sa
mort
on mit Eaque au nombre des juges des enfers, char
de Diomède, 10° la délivrance Hésione, 11° la défaite d’Antée, 12° la
mort
de Géryon. 1° Le Lion de Némée ravageait les fo
ui régnait à Irasa, en Libye. Habile lutteur, il défiait et mettait à
mort
tous ceux qui passaient par ses états, afin, disa
ne peut résister à la force d’Hercule, il se défait d’Œlla, frappe à
mort
Prothoé et Philippie ; puis fait prisonnières Ant
lui-même, qui était reste simplement occupé à rendre la sépulture aux
morts
, s’étant blessé avec une des flèches empoisonnées
d’Italie en Sicile, il tue le vorace Scylla et plus tard, il donne la
mort
aux brigands Termère et Cycnus. Mais revenons à
de Neptune et de Tyro, femme de Créthée, roi d’Iolchos. Ce roi étant
mort
, son fils légitime Eson, voulut faire valoir ses
flèches empoisonnées avec le sang de l’hydre de Lerne et le blesse à
mort
; mais Nessus avant d’expirer, remet à Déjanire s
spect d’une figure humaine. Puis se persuadant qu’il n’y avait que la
mort
qui pût mettre un terme à ses pénibles souffrance
Argée fut emmené par Hercule, sous la promesse de le ramener, mais sa
mort
força le héros de faire brûler son corps et d’en
t mourut dans l’ile de la mer Ionienne, qui portait son nom. Après la
mort
d’Hercule, Philoctète déposa ses cendres dans un
d chassés de Mycènes et de tout le Péloponèse par Eurysthée, après la
mort
de leur père, les Héraclides se réfugièrent chez
ène, la Messénie, à Cresphonte et Lacédémone aux enfans d’Aristomène,
mort
pendant l’expédition ; mais bientôt les descendan
et commanda sur la Lydie, pendant vingt-deux générations, jusqu’à la
mort
de Candaule avec lequel elle s’éteignit. Les noms
terrible entre les Gétules et les Carthaginois, guerre à laquelle la
mort
volontaire de cette princesse mit enfin un terme.
s Lacédémoniens, et on dit qu’il fut l’auteur de leur culte. Apres sa
mort
, ses sujets lui élevèrent une chapelle Héroïque.
indiquant les routes ; Ennios à Chio ; Epactius ou le conducteur des
morts
aux enfers ; Epimelius ou le protecteur des troup
Myagre et Myagorus ou chasse-mouches, Necropompe ou le conducteur des
morts
, Nomios ou qui fit paître les troupeaux de Jupite
r et de Maïa, il aida son père dans la guerre des Titans, et après la
mort
de ce Jupiter, il eut en partage l’Espagne, les G
contrées sur lesquelles il régna en maître absolu, après toutefois la
mort
de son oncle Pluton ; puis il eut encore la Mauri
ieu qu’ils invoquaient tous ; puis on le supposait encore messager de
Mort
, chargé de détacher entiérement les âmes des corp
six ans avant la guerre de Troie, par Faunus, roi du Latium. Après sa
mort
, elle fut admise parmi les Dieux indigètes, elle
restée inconnue, était chargé de la pénible besogne de rapporter aux
morts
ce que faisaient les vivans ; Antias, fils obscur
ster la moitié du temps parmi les vivans, et l’autre moitié parmi les
morts
, avec la vertu, vif ou mort, de toujours savoir c
les vivans, et l’autre moitié parmi les morts, avec la vertu, vif ou
mort
, de toujours savoir ce qui se passait sur la terr
res ou blanches, suivant qu’il est messager céleste ou conducteur des
morts
; par une chaîne d’or sortant de sa bouche, on in
is qu’il retournait à Thèbes, sa patrie ; alors Minos, pour venger la
mort
de son fils, se mit à la tête d’une flotte, débar
ulement d’instituer des fêtes appelées Androgéonies, en mémoire de la
mort
d’Androgée, mais d’envoyer chaque année en Crète,
de Minos ; du reste, ce roi de Crète, on le sait, trouva également la
mort
chez ce roi Sicilien, mais on ignore si le fait e
s contestations relatives aux paiemens, étaient toujours suivis de la
mort
de celui qui ne les exécutait pas. On leur sacrif
; et le chef Éthiopien, Zacore, venu au secours de Persée, est mis à
mort
par Argus. Mais du coté de Phinée la perte fut bi
r assister à des fêtes funèbres que l’on célébrait en l’honneur de la
mort
de ce prince. Persée veut prendre part à ces jeux
rs auteurs le fassent tuer par Mégapenthe, sous prétexte de venger la
mort
d’Acrisius. Quelle que soit l’époque de cette mor
texte de venger la mort d’Acrisius. Quelle que soit l’époque de cette
mort
, il fut bientôt placé au rang des Dieux, puis des
s efforts réunis d’Ajax et de Teucer ; puis enfin, lui-même trouve la
mort
malgré l’appui de Jupiter son père ; et il tombe
nthus, ensuite revêtu d’habits immortels et confié au sommeil et à la
mort
qui le transportèrent en Lycie. Spartée, fils de
t Brontée, Pelops et Niobé. Nous savons quels furent ses crimes et la
mort
et les tourmens qui furent ses crimes et la mort
ent ses crimes et la mort et les tourmens qui furent ses crimes et la
mort
et les tourmens qui furent sa punition. Taygète,
confia le royaume de Thèbes et son fils à Nyctée, qui les remit à sa
mort
sous la tutelle de Lycus son frère, lequel, plus
lui abandonner un libre passage. A ces mots, OEdipe furieux, frappe à
mort
Polyphonte, le seul hérault ou écuyer du voyageur
que cette énigme serait devinée. Créon, le père de Jocaste, après la
mort
de Laïus, ayant pris les rênes du gouvernement Th
er chez Adraste, roi d’Argos, dont il épousa la fille ; mais après la
mort
de son père, il vint réclamer la part de sa succe
essure mortelle à ce jeune enfant, et Hypsipyle, de retour, le trouva
mort
. Les guerriers témoins de son malheur établissent
ition, monte alors avec courage sur le char qui doit le conduire à la
mort
, embrasse son fils pour la dernière fois, lui fai
’armée des assiégeans fut obligée de se retirer. Tous les chefs étant
morts
sous les murs de la ville, Adraste seul, le chef
u’il célébra sur les bords de l’Asope, en l’honneur de ses compagnons
morts
sous les murs de Thèbes, suivant que l’oracle le
Albion, d’Amphitrite ; Alébius, voleur que nous avons vu être puni de
mort
par Hercule, pour lui avoir volé quelques-uns de
t avec Zéphyre, et alors on lui prête d’avoir, causé par jalousie, la
mort
d’Hyacinthe, fils d’Amyclas et de Diomède, qu’Apo
et à l’autre, et causa comme on l’a vu, en lisant l’article Lycus, la
mort
de Dircé sa seconde femme. Cet Épopée, fut père d
es prix de la course à pied et en char, aux jeux funèbres, lors de la
mort
de l’argonaute Pélias, et fut le pilote de ces gu
ort de l’argonaute Pélias, et fut le pilote de ces guerriers après la
mort
de Tiphys ; Eurypyle, roi de Cos, dont les brigan
ix cous et six têtes, et à chaque tête six rangs de dents recelant la
mort
; d’autres, comme Virgile, en faisaient une fille
des jumens, recueilli par des bergers, et régna sur Eleusis après la
mort
de son aïeul, tué par Thésée. Il épousa Méganire
ns une chaudière ; ce que ces malheureuses filles exécutèrent ; cette
mort
fit passer la couronne sur la tête d’Eson, rival
s des brigands redoutables, furent tués par Hercule ; mais avant leur
mort
, ils forcèrent Protée à s’enfuir en Égypte par un
était donc si précieuse que chacun voulait la posséder, même après la
mort
de Chrysomallon : aussi Éétès, roi de Colchide, c
ur ce fameux bélier, dont il était alors le possesseur. Dès qu’il fut
mort
, Éétès s’empara de ce riche trésor, mais Phrixus
de rendre la couronne à Jason, aussitôt que celui-ci aurait vengé la
mort
de Phrixus en enlevant la toison d’or à Éétès, co
e et bâtit sur la côte Orientale la ville qui porte son nom. Après la
mort
de son père, il retourna dans le Péloponèse, part
de Calydon, que nous verrons dans peu de lignes être chassé et mis à
mort
par une troupe de héros. Pendant que Thésée comba
is de ses aïeux, qu’il trouve dans le plus grand deuil, à cause de la
mort
d’Égée ; car Thésée, impatient de revoir sa patri
it vivre Socrate vingt-neuf jours après le prononcé de sa sentence de
mort
. Thésée se trouva bientôt souverain absolu de tou
vec joie et le précipita du haut d’un rocher dans les flots. Après sa
mort
, les enfans de Thésée remontèrent sur le trône d’
ce héros n’assista à aucune des deux guerres de Thèbes, car il était
mort
lors de la seconde, et ne prit aucune part à la p
perdu, puis elle vécut avec Bacchus en bonne intelligence, jusqu’à sa
mort
. Dès qu’elle eut cessé de vivre, Bacchus la trans
r ses trois premiers vœux, et, sans plus de réflexion, il souhaite la
mort
de son fils. Neptune ne l’exauça que trop vite, c
n terrible de l’innocent dont elle venait de causer si cruellement la
mort
. Esculape, dit-on, à la prière de Diane, rendit l
à celles d’un éléphant, et une haleine pestilentielle qui frappait de
mort
quiconque avait le malheur de la respirer. Les pr
is leur chef Méléagre, outré de ce qu’Althée sa mère désespérée de la
mort
de ses frères, le dévoue aux furies, quitte les É
t sa vie : alors son épouse meurt de chagrin, et sa mère, cause de sa
mort
, se pend de désespoir. Pélée et Télamon. Déjà l’
fille chérie, ce qui le fit monter sur le trône de Salamine après la
mort
de son beau-père. Plus tard, il épousa Péribée, f
te fidèle épouse, de chagrin s’était pendue. Il voulut donc venger sa
mort
: et pour cela, il s’allia à une déesse, à Thétis
e à Anétor, son berger. Quelques auteurs faisant vivre Pélée après la
mort
d’Achille, soutiennent qu’il fut défendre Androma
t Telphusse, nymphe et fontaine, dont les eaux glaciales donnèrent la
mort
au devin Tirésias lorsqu’il en but. Méandre, fle
aure Nessus, dont la tunique couverte de son sang empoisonné causa la
mort
d’Hercule. Oaxès ou Oaxus, fleuve de Crète, fils
, était ou le fleuve de Thrace, sur les bords duquel Orphée pleura la
mort
d’Eurydice, ou un fils de Mars ; il fut à peu prè
défendit. Plus tard, à son retour de Colchide, ayant trouvé son père
mort
, il fut avec le secours des Argonautes, ravager l
caste qui le premier célébra ces jeux. Pelée voulut ensuite venger la
mort
de son père sur ses sœurs qui l’avaient égorgé, m
s Chthonii Dei : c’était le Dieu des enfers, des funérailles et de la
mort
; il portait divers noms et surnoms, dont voici l
principaux : Adès et Haïdès et Aïdonée, ou l’obscur ou le dieu de la
mort
et des tombeaux ; Agélaste ou qui ne rit jamais ;
ui dévouaient les criminels qui, après cet acte, pouvaient être mis à
mort
par tout citoyen. Pendant ces jours lugubres, tou
oïncidence. Cependant, Proserpine était toujours censée présider à la
mort
, et personne ne pouvait cesser de vivre avant qu’
on, retenait les mortels à la vie, d’où venait que les chevelures des
morts
étaient offertes à cette déesse. Généralement, on
es cérémonies mystérieuses, que l’on ne pouvait révéler sous peine de
mort
; ainsi le poète Eupolis fut tué par Alcibiade, p
trer la rapidité avec laquelle l’abus des plaisirs nous entraîne à la
mort
. Les Episcires se célébraient pour Proserpine com
t les Grecs et les Romains ; car chez ces deux peuples, le séjour des
morts
n’était pas tout-à-fait le même. Les Grecs qui bo
t Erèbe, disaient les Grecs, était gardé par Cerbère et habité par la
mort
et les furies ; on y voyait les sombres palais de
les pâles maladies et la triste vieillesse, la frayeur et la faim, la
mort
et son frère le sommeil, la guerre et la discorde
sept fractions bien distinctes. Dans la première, étaient les enfans
morts
à leur naissance, sans avoir eu ni peine, ni plai
ition ni récompense ; la deuxième renfermait les innocens condamnés à
mort
; la troisième, les suicides ; la quatrième était
ins formés, savoir : le Corps, que l’on réduisait en cendres après la
mort
; l’Esprit ou ame qui retournait au ciel, et l’om
ens, des Phéniciens, des Perses et des Bithyniens, qui priaient leurs
morts
de ne pas entièrement les abandonner et de reveni
s criminels ; on supposait que ces ombres erraient la nuit après leur
mort
, au milieu des tombeaux ; génies malfaisans, ils
leur étymologie : on croyait à Rome que le couroux de Rémus, après sa
mort
, fut tel contre son frère, que son ombre s’attach
ron, fleuve des enfers, n’avait pas toujours coulé dans le séjour des
morts
. Fils du soleil et de la terre, il promenait le c
t dans une barque légère au-delà du Styx et de l’Achéron les ames des
morts
; aussi, pour faciliter ce passage, on avait l’ha
’oubli, était le fleuve des enfers, dans les eaux duquel les ames des
morts
devaient se baigner, pour perdre le souvenir des
gore, l’enseignèrent publiquement. Ils prétendaient tous, qu’après la
mort
, l’ame passait successivement dans les corps des
, Cerbère, gardien fidèle, qui empêchait les vivans d’y entrer et les
morts
d’en sortir. Ce Cerbère, que l’on surnommait Cent
était chargé de juger les actes commis sur la terre par les ames des
morts
que Mercure lui amenait. Ce tribunal était compos
res enfans dont elle seule fut mère, ce sont : le Sort, les Kères, la
Mort
, le Sommeil, les Songes, Nomos, l’ Affliction, la
is, elle tient entre ses bras deux enfans ; l’un, noir, emblème de la
Mort
ou de la Nuit ; l’autre, blanc, emblème du Sommei
t portée sur un char traîné par des chauves-souris ; le Sommeil et la
Mort
, disait-on, planaient à ses côtés, cachés sous le
s nombreux enfans de la Nuit, nous distinguons en première ligne : La
Mort
, appelée aussi Kère par Hésiode, et Libitine par
les bras de la Nuit sa mère, feignant de dormir. L'on consacrait à la
Mort
l’if, le cyprès et le coq ; on donnait la Fraude
La Fraude, que les Romains adoraient comme fille de la Nuit et de la
Mort
, avait pour retraite ordinaire le Cocyte, dans le
les Soucis, ou l’ Inquiétude et Mœror, se trouvait comme sa mère, la
Mort
, à la porte des enfers, sous le nom de Mœror ; on
’était dominée que par celle de Jupiter ; arbitres de la vie et de la
mort
, leurs arrêts étaient irrévocables ; non seulemen
, Décima ou les déesses des neuf ou dix premiers mois, et Morta ou la
mort
. Clotho ou la fileuse, passait souvent pour la p
est elle qui était chargée de retenir pendant cent ans les ombres des
morts
privés de sépulture, sur les bords du Styx, et le
passer en un instant, de la fureur au désespoir, et du désespoir à la
mort
. Les accusés et les témoins qui paraissaient deva
Furies, accompagnées de la Terreur, de la Rage, de la Pâleur et de la
Mort
, se tenaient toujours assises autour du trône de
. Mégère était chargée d’aller tourmenter les ames à l’approche de la
mort
; elle fut déchaînée contre les deux frères Etéoc
de la nuit, que nous devons placer ici. Regardé comme synonyme de la
mort
par Hésiode, il paraît cependant en différer, car
que l’un de ces Kères amène la vieillesse, et que l’autre conduit la
mort
derrière lui. Ces espèces de vampires, qui s’abat
ypermnestre ne survécurent pas long-temps à leur crime, et après leur
mort
, elles furent condamnées à porter éternellement d
Quelques jours après, Atrée donna l’ordre à Égisthe d’aller mettre à
mort
ce prisonnier. Mais à peine ce jeune homme a-t-il
, pour courir massacrer Atrée, qui déjà rendait grace aux Dieux de la
mort
de son frère. Après la mort d’Atrée, Égisthe aida
e, qui déjà rendait grace aux Dieux de la mort de son frère. Après la
mort
d’Atrée, Égisthe aida Thyeste à remonter sur le t
pendant le siège ; Œnomas, tué par Hector ; Oénops, fils d’Hélénus et
mort
devant Troie ; Ophelte, tué par Hector ; Opite, c
qu’un jour Oreste, fils d’Agamemnon et de Clytemnestre ne vengeât la
mort
de son père, voulut aussi faire mourir cet enfant
rent chez Electre. Ils firent répandre alors le bruit qu’Oreste était
mort
; puis, furent se cacher dans le temple d’Apollon
Taures, monte sur le trône d’Argos, y joint celui de Lacédémone à la
mort
de son oncle Ménélas, défait et tue Aristomaque,
par les Euménides, à cause du meurtre de sa mère. Sur le bruit de la
mort
d’Oreste répandu dans l’Argolide, Electre part au
Tauride ; là, on lui dit qu’Iphigénie elle-même a donné le coup de la
mort
à son frère. Soudain, elle s’empare d’un tison en
ns un combat singulier avec Pâris, qu’il aurait indubitablement mis à
mort
, il fut blessé par une flèche lancée par Pandare
concubines. Ses états passèrent donc à Oreste, son neveu, et après sa
mort
Ménélas eut des autels à Thérapné. Quant à Hélène
ue les Arcadiens donnaient aux eunuques le nom de Péritanes. Après la
mort
de Pâris, Hélène epousa Déiphobe, frère de Pâris
exercèrent sur ce malheureux prince avant de lui donner le coup de la
mort
. Alors, Ménélas reprit Hélène et lui pardonna ; p
lui vola, dit-on, une ceinture que Vénus lui avait donnée ; enfin, la
mort
enleva Ménélas et Hélène fut reçue parmi les astr
ublie les torts d’Agamemnon, et n’a plus de colère que pour venger la
mort
de son ami. Il se réconcilie donc avec Agamemnon,
u de la mêlée, cette guerrière, ennemi redoutable des Grecs. Après la
mort
d’Achille, son corps fut enveloppé de laine, par
’Hyllus l’Héraclide, l’épousa et en eut un enfant. Les Grecs après la
mort
d’Achilie, sentant la nécessité d’avoir dans leur
rès Achille : on vante beaucoup sa franchise et sa noble fierté. A la
mort
d’Achille, il réclama les armes de ce héros, et f
ussière à Mydon, Thoon, Absire, Mermère, Atymne, annonça à Achille la
mort
de Patrocle et tomba lui-même sous les coups de M
en sauvant la vie à son père. On le représente annonçant à Achille la
mort
de son ami Patrocle. Calchas, fils de Thestor, c
il passait pour le plus ingénieux des Grecs, qui pourtant le mirent à
mort
après l’avoir à tort pris pour un traitre, par su
le nom de Salamine, où ses descendans régnèrent long-temps. Après la
mort
de Télamon, il chercha à rentrer dans sa patrie,
il fit tomber sous ses coups Molion, Hippodame et Hypéroque. Après la
mort
d’Achille il se mit sur les rangs comme l’héritie
allumer des feux pour attirer ses vaisseaux, afin de se venger de la
mort
de son fils, qu’Ulysse avait fait tuer par jalous
re son peuple rebelle et, lui-même retrouvant ses forces, il frappe à
mort
Eupithe, père d’Antinoüs et le chef de cette révo
e, fils d’Ulysse et de Circe ; mais sa femme ne lui pardonnant pas la
mort
de sa mère, elle finit par le tuer. Du moins, c’e
et d’une nayade, fut le premier Troyen tué par Achille pour venger la
mort
de Patrocle ; Iphidamas, Anténoride, tué par Agam
mbat, l’ayant trouvée devant lui dans les rangs ennemis, la frappa de
mort
et la pleura ; Périphène, tué par Teucer ; Phalcè
re Laomédon, car Hercule, après avoir pris la ville de Troie et mis à
mort
Laomédon, plaça Priam sur le trône afin de le réc
l ne prit véritablement aucune part active à la guerre. Cependant, la
mort
d’Hector réveilla en lui la plus grande énergie ;
t sous ses coups, on distingue Patrocle. A peine Achille connut-il la
mort
de son ami, qu’il jura de la venger dans le sang
Pélée, père d’Achille, ne fût venue s’y opposer. Andromaque, après la
mort
de Néoptolème, se fit suivre d’Hélénus, fonda un
s’opposa à ce qu’on livrât Hélène aux Grecs. Par reconnaissance, à la
mort
de Pâris, elle lui accorda sa main ; mais quand T
el époux, qui fut horriblement mutilé avant de recevoir le coup de la
mort
, puis il resta sans sépulture. Hélénus, fils de
alheureux Sarpédon d’habits immortels et le confia au sommeil et à la
mort
, qui le transportèrent en Lycie où on lui fit éle
; et, le seul qui aurait pu la sauver, Corèbe, son fiancé, trouva la
mort
dans la ville incendiée. Ne sachant au milieu du
nt avec Archiloque et Acamas le quatrième corps d’armée. Il vengea la
mort
d’Alcathoüs, son beau-frère, en faisant mordre la
s du corps. Enée, après avoir rendu les honneurs funèbres aux Troyens
morts
sur le champ de bataille, marcha de nouveau vers
le ou Ascagne ; Ladès, fils d’Imbrase, fut tué par Turnus ; Leucapis,
mort
dans une tempête ; Lircis, tué par Camille ; Lata
Ufence, chef italiote, auxiliaire de Turnus et tué par Gyas. Après la
mort
de Turnus, Enée bâtit une ville en l’honneur de L
r la la ville de Troie et de suivre la destinée de son père. Après la
mort
d’Enée, Ascagne, à peine âgé de seize ans, eut à
t Été, tandis que sur la frange de sa [ILLISIBLE], étaient ceux de la
Mort
et la Vie, et sur le tissu qui se rapprochait le
es Romains le mois des fièvres ou des sacrifices expiatoires pour les
morts
; il était présidé par Neptune et avait pour embl
lui en élevèrent un à Athènes, et un autre fut bâti à Rome, après la
mort
de Jules César. On la représentait avec une branc
ée ; Elpis ou Spes, déesse de l’espérance et sœur du sommeil et de la
mort
; c’est une jeune fille à l’air gai, à la marche
s-Martea, déesse Romaine de l’hérédité, à laquelle on sacrifiait à la
mort
d’un parent. Homonée ou la Concorde. Honneur, Die
de l’air et de la lune, ou pour les larmes que l’aurore versa sur la
mort
de Memnon ; la rosée était aussi divinisée sous l
nhumation jusqu’à l’attentat de Typhon, sortait souvent du séjour des
morts
et semble avoir été doué de la vie ; car, dans ce
des fêtes très-nombreuses dans toute l’Egypte, tant pour célébrer sa
mort
, le 13 novembre, que sa recherche par Isis vers l
s Dieux. Ses oracles étaient infaillibles et même il ressuscitait les
morts
. Les offrandes abondaient sur ses autels, ses tem
ans ; aussi, lorsque ce temps était arrivé, si le taureau n’était pas
mort
, les prêtres le noyaient avec beaucoup de solenni
r les Egyptiens, à l’instant où ils la croyaient occupée à pleurer la
mort
d’Osiris, instant qui leur était indiqué par la c
on père dans l’expédition qu’il fit pour conquérir le monde. Après la
mort
d’Osiris, il aida Isis à retrouver son cadavre ;
omposition du corps sacré d’Osiris, que Typhon, sans respect pour les
morts
, avait mis en lambeaux. Anubis fut surtout honoré
de ce décan, soit qu’il fût bon ou mauvais, ne l’abandonnait qu’à sa
mort
. D’après Eratosthène, le premier Dynaste ou souve
., jusqu’à Phrouron, comme ayant été divinisé et personnifié après sa
mort
dans le nom de l’un des décans dont voici la list
e celui-ci veut se révolter. On le représente armé d’une massue. A sa
mort
, on fit de ce dynaste un être divin, que l’on app
Illith ou Poubasti, véritable lune, Diane ou Sélène, devint, après sa
mort
, Pooh, ou Ioh, ou Ooh ou Ioh-Nsou. On la représen
Jupiter, était le second dynaste des treize-douze, il devint après sa
mort
le khaméphioide égyptien, ou dieu suprême Amoun,
peuple, leur firent adorer les animaux par respect pour les ames des
morts
, qu’ils pensaient devoir momentanément s’y trouve
ails sur ce Dieu, auquel souvent les Juifs même sacrifièrent après la
mort
de Gédéon, en abandonnant les autels du vrai Dieu
t se justifier devant toi. Si le prévenu est coupable, alors il tombe
mort
à l’instant. Si au contraire il est innocent, il
tiennent le milieu entre la divinité et l’humanité ; aussi, après sa
mort
et en mémoire des grandes choses qu’il avait fait
e l’univers vinrent se réunir dans le temple de Baal, pour pleurer la
mort
de Thammouz ; la statue du soleil se jeta par ter
; qu’il institua, disait-on, quatre castes, et fut divinisé après sa
mort
. Peut-être lui devait-on une partie de la Théogon
hommes ce qui devait leur arriver depuis leur naissance jusqu’à leur
mort
; doctrine fataliste, s’harmonisant fort bien ave
u dogme de la métempsycose. On suppose que l’ame de Brahman, après sa
mort
, passa successivement dans 80 corps différens, et
et dans les enfers, rien n’égale le pouvoir du Brahmane, il dompte la
mort
qui dompte tous les autres humains, et la parole
e dieu accompagne chaque être vivant à sa naissance et se retire à sa
mort
. L'univers ayant été fécondé du souffle de ce feu
va la parole, émanée du verbe, la transporta hors des atteintes de la
mort
, et la parole, ainsi dégagée, devint le feu qui é
is tout-à-coup, derrière ces grands actes de la création, apparaît la
mort
qui dévore tout sur son passage ; aussi, à son ap
l’être sans crainte, c’est-à-dire Brahmâ, se présente et fait fuir la
mort
elle-même. Alors il effulmine les mondes et laiss
ous, commande à la région du Sud, et il est le dieu de la nuit, de la
mort
et des enfers ; c’est lui qui juge les ames sépar
ense, se précipita dans les flammes du sacrifice. Siva instruit de la
mort
de son épouse jura de la venger. Aussitôt il arra
Gandhervas et les Apsaras ; 13° les Pidourdéradégats ou gardiens des
morts
; 14° les Roudras ; 15° les Tchoubdaras ou ouvrie
sans briser l’enveloppe qui le contenait, et donner inévitablement la
mort
à Soukra. Celui-ci, vaincu par les pressantes sol
es formules mystérieuses, et assez puissantes pour rendre la vie à un
mort
, et puis se déchire le sein. A peine Boudha est-i
, fervent serviteur de la divinité. Cintra-Poutrin est un dieu de la
mort
, qui tient registre des actes des ames. Daçarath
e, elle y reçoit les nombreux dévots qui chaque jour courent après la
mort
, en se jetant dans ce fleuve sacré. Dourouvaça,
’Inde meridionale, séjour des démons ; et là, il gouverne et juge les
morts
, tandis que son frère Manou est le Dharma-Radscha
tée debout et toujours devant le Chodeleth, ou lieu où l’on brûle les
morts
. Là, on dépose le cadavre devant cette idole gros
igés de vivre sous les yeux du tyran, qui ne manquait pas de mettre à
mort
tous les enfans mâles de sa sœur ; à la fin, ils
Douriodhana, fit la guerre aux Pandous et aux Kourous, puis arriva la
mort
de ce Krichna, auquel succéda Bouddha, neuvième i
lait corrompu n’était qu’un poison mortel, voulurent se venger de la
mort
de leurs époux, et s’offrirent à cet effet pour n
urs qui commencèrent à peser sur les Hindous, trente-six ans après la
mort
de Krichna. On le représente enfant, ayant une ma
des rêves, du froid, de l’inertie et de la stérilité ; enfin c’est la
mort
. On la représente de couleur verte ; sa monture e
Mahéçouara, ou le grand seigneur ; Mahioudjeia, ou le vainqueur de la
mort
; Madha, ou le guerrier ; Nilakantha, ou qui aval
un Paria lui ayant indiqué le palmier qui avait servi d’instrument de
mort
à son mari, elle combla de bénédictions et de cad
vani. Il combattit et vainquit les Kchatriias qui étaient cause de la
mort
de son père et de sa mère. Plus tard les Kchatrii
énéralement elles y sont forcées par les brahmes ou par les parens du
mort
, et toujours elles sont ivres en allant à ce supp
mme-Dieu apparaîtrait sous le nom de Maidari, mais que, du jour de sa
mort
à cette époque, ses sectateurs seraient persécuté
ïque, vivant l’an 905 ; puis Kchatriia-Ananti vers l’an 879 ; Vaicia,
mort
en 805, et Soudra en 760 av. J.-C. Enfin arriva l
iverselle, autrement dit Adiboudha ou le grand Bouddha. Ce dieu homme
mort
, et monté au ciel tout en venant réhabiliter l’es
vinces, réunit autour de lui un conseil de Lamas supérieurs qui, à la
mort
de ce pontife, nomment entre eux son successeur à
ses miracles. Enfin, fatigué de la vie, il se donna volontairement la
mort
, d’où vient que ses adorateurs se tuent sans diff
s remettre dans le Béhecth. Aussi c’est Dahman que l’on prie pour les
morts
. Din, Ized, génie de la loi, et présidant au dix
de Gouchtasp, qui lui promit de lui céder sa place, s’il vengeait la
mort
d’Iérir, ce qu’il fît ; mais Gouchtasp ne voulut
s les fers par ordre de Barzom, et il n’en sortit que pour trouver la
mort
sous les armes de Roustam. Poeriodekech est le
bog, était le Dieu mauvais principe, l’auteur du mal, du crime, de la
mort
, et l’ennemi du genre humain. Il était opposé à B
iculièrement pris sous sa protection les naissances, les mariages, la
mort
, la guerre, les arts et la magie. Son caractère l
especter les jours de ce radieux Ase. Aucun des dieux n’osa venger sa
mort
, excepté Vidar, fils d’Odin. Presque tous les die
ers. Son épouse, nommée Nanna, mourut de chagrin, à la nouvelle de sa
mort
, et fut, ainsi que son nain, brûlée avec le cadav
r, au milieu de la mer, sur un grand navire appelé Ringhorn. Après sa
mort
, Balder laissa un fils appelé Forsète, dieu de la
d serpent Iormoungandour, que nous connaissons, et Héla, déesse de la
mort
et du monde souterrain. Loke épousa encore la bel
que l’on passe sur un pont d’or. Les femmes, les enfans et les hommes
morts
de maladie, entrent seuls dans la demeure d’Héla.
ndre. Ses taches sont les marques de la suie. Anninga se réjouit à la
mort
des femmes, et leur fait, pendant leur vivant, en
Niflheim, ou enfers, et sur lequel passent par jour vingt-cinq mille
morts
. Perkel, l’esprit du mal, chez les Finnois, est
teur du vent. Les Saivos, esprits des cavernes reçoivent les ames des
morts
que Radien-Atcié dédaigne d’appeler auprès de lui
ion poétique. Plus tard, Suttoung, fils de Kouacer, voulant venger la
mort
de son père, s’empara des deux nains et les préci
se qui connaissait l’avenir, recevait à son service toutes les femmes
mortes
vierges. Houergelmer ou Houergemlir, est l’immen
fié Fréi, ce qui, un jour, disaient les légendes, sera la cause de la
mort
de ce dieu. Soerimner, sanglier énorme servant d
orme servant de nourriture dans le Valholl aux héros admis après leur
mort
dans le palais d’Odin. C'est le cuisinier Andhrim
t par Fenrir, Sounna mettra au monde une fille brillante qui après sa
mort
éclairera l’univers à sa place. Storiounkar, Die
sa domination la terre, les lieux souterrains, le sombre empire et la
mort
. Enfin, il partageait l’empire du monde avec Tara
es humaines ; on l’opposait à Tuiston, dieu du sombre empire et de la
mort
, ou le principe du bien. Rhin, grand fleuve divi
t : alors si l’enfant était adultérin, il trouvait infailliblement la
mort
: au contraire, les flots s’empressaient de rendr
le cinquième siècle et était frère de Vaidevant. Pikollos, dieu des
morts
, apparaissait toujours lorsque la mort voulait pr
idevant. Pikollos, dieu des morts, apparaissait toujours lorsque la
mort
voulait prendre une victime : à sa troisième appa
it que Pikollos était satisfait. On lui consacrait la tête d’un homme
mort
, et l’on brûlait du suif en son honneur. Potrimp
fit fleurir les arts et l’industrie ; ces peuples adoraient aussi la
Mort
, ou Hercule, sous le nom de Nethon. Plius, dieu
ace. Les habitans de cette contrée croyaient qu’il rendait la vie aux
morts
: aussi cette superstition donnait un courage aud
s guerriers. On le représentait par une énorme pierre qui figurait la
mort
couverte d’un long drap, et ayant une peau de lio
successeur, d’après un accord fait avec lui. Aodh-Madh, ou le rouge,
mort
en se noyant, était fils de Badhurn : d’accord av
Irlande eurent lieu dans le temps du meurtre d’Ith, dont il vengea la
mort
; puis il devint le fondateur patronymique de la
at par Konnall, héros de l’Ulster, elle épousa Qonnor, puis, après la
mort
de ce dernier, elle mourut d’une blessure que lui
ons, l’un par les armes, l’autre par la persuasion, et pour venger la
mort
d’Ith. Amhrgin épousa Seine, qui de tout temps fu
nouvelle Angleterre. Il est le créateur du monde ; il reçoit après la
mort
les ames des justes dans son palais, et en écarte
du bon principe. Ataenlsic est la déesse du mal, et elle préside à la
mort
. Elle fut, dit la tradition, chassée du ciel, à c
un grand esprit, à un esprit méchant, à la punition des ames après la
mort
, à leur récompense par leur transmission dans le
ames des coupables, tandis que celles parfaitement pures des soldats
morts
en combattant, ou des femmes mortes en couches, a
les parfaitement pures des soldats morts en combattant, ou des femmes
mortes
en couches, allaient jouir de quatre années de pl
’est le destructeur et le dévastateur de tous les biens ; il donne la
mort
à tous les êtres vivans. Gouénoupillan, ou l’ame
pont de bois, jeté sur un grand fleuve, où se rendaient les ames des
morts
. Là il purifiait les unes avant de les laisser pa
mailles, et une autre à l’instant de la moisson. Goulého, dieu de la
mort
chez les habitans des îles des Amis ; il habite u
-Mouna, divinité polynésienne, était fille de Ti et d’Osira. Après la
mort
de sa mère, elle épousa Ti, et le rendit père de
ffle amoureux de Zéphir. La pl. 17 en regard de la page 167 montre la
mort
d’Adonis, à l’instant de l’arrivée trop tardive d
gion, 65, 65. Morius, 21. Moron, 220, Morphée, 324, 325. Morpho, 158.
Mort
(la), 3, 48, 49, 323, 377. Morta, 327. Morys, 350
; ils se livraient à la joie des festins, mais sans intempérance. La
mort
était pour eux un doux sommeil, et la vie, la jou
rières de sa mère ; mais il fut convenu entre les deux frères qu’à la
mort
de Saturne, Titan reprendrait le trône. Saturne,
t exaucé. Ils désirèrent encore de n’être jamais séparés, même par la
mort
; Jupiter fut également favorable à cette nouvell
ie ; mais, arrivée en Égypte, elle reprit sa première forme. Après sa
mort
, elle fut honorée des Égyptiens sous le nom d’Isi
fleur qui porte son nom. Cyparisse, jeune homme de Céos, se donna la
mort
, désespéré d’avoir tué à la chasse un jeune cerf
upiter, était immortel ; Castor, fils de Tyndare, devait mourir. A la
mort
de Castor, Pollux obtint de Jupiter que son frère
. — Les Hyades ou les Pluvieuses sont les filles d’Atlas, pleurant la
mort
d’Hyas leur frère. — Orion, la plus brillante des
marchands et les voleurs. Il conduisait aussi aux enfers les âmes des
morts
. On le peint sous les traits d’un jeune homme à l
ance de ce dieu et comment se fit-il des armes ? — Que fit Vénus à la
mort
d’Adonis ? — Où Vénus était-elle adorée ? — Comme
ndre le feu sacré, ou qui rompait son vœu de chasteté, était punie de
mort
. Questionnaire. Qu’est-ce que Cybèle ? — Qu
me de Laomédon, Hésione. Hésione, enchaînée à un rocher, attendait la
mort
, lorsque le vaisseau des Argonautes vint à passer
ux qui lui fait une mortelle blessure. Les Nymphes, irritées de cette
mort
, firent périr les abeilles du perfide Aristée. Ce
était fils de l’Aurore et de Tithon. Il fut tué par Achille. Après sa
mort
on lui éleva des statues, dont la plus fameuse es
Phorcys ? — Qu’est-ce que les Sirènes ? — Quelle fut la cause de leur
mort
? — Qu’est-ce que les Harpyes ? — Quel était le d
d’eux se tiennent la Maladie, la Vieillesse, la Peur, le Travail, la
Mort
et le Sommeil, frère de la Mort. La Guerre et la
chéron, fleuve terrible sur les rives duquel se pressent les âmes des
morts
, en attendant que le nocher des Enfers, Charon, l
emeure fortunée. Questionnaire. Comment nommait-on le séjour des
morts
? — Où était-il situé ? — Que voyait-on à l’entré
ers. Frère de Jupiter et de Neptune, il eut pour partage l’empire des
morts
. Dans la guerre des Titans contre Saturne, il com
e. La sagesse de son gouvernement et son équité l’appelèrent après sa
mort
, aux fonctions de juge des Enfers. Il était le pr
de sa mère. Aux Enfers, c’était lui qui prononçait leur sentence aux
morts
de l’Europe. Rhadamanthe avait dans son ressort c
ra avec sagesse. Il épousa, dit-on, Alcmène, mère d’Hercule, après la
mort
d’Amphitryon. Les décisions de ces deux juges éta
evint célèbre par ses ruses, sa perfidie et ses mauvaises mœurs. A sa
mort
, il recommanda à Mérope, sa femme, de laisser son
hé se trouve seule dans un désert. Désespérée, elle veut se donner la
mort
; mais son époux invisible arrête ses transports.
rt de guérir les maladies. Il devint si habile qu’il triomphait de la
mort
même. Jupiter le foudroya. Nous avons vu dans l’h
à la musique, il cassa son instrument sur la tête de Linus, qui resta
mort
sous le coup. Les douze travaux d’Hercule.
ait dévouée à la place de son époux. Cette fois le héros combattit la
Mort
même, et la vainquit. Derniers exploits, mort
e héros combattit la Mort même, et la vainquit. Derniers exploits,
mort
et apothéose d’Hercule. Hercule, enfin délivré
-ils pas ternis par quelques faiblesses ? — Quelle fut la cause de sa
mort
? — Que devint-il après sa mort ? § 3. Persée
blesses ? — Quelle fut la cause de sa mort ? — Que devint-il après sa
mort
? § 3. Persée. Persée était fils de Jupite
chapper à l’oracle, il en préparait lui-même l’accomplissement. Cette
mort
, qui mit Persée au désespoir, le rendit maître d’
a ensuite à Minerve et à Apollon. Minos, roi de Crète, pour venger la
mort
de son fils Androgée que les Athéniens avaient as
it que par le secours d’Hercule. Pendant sa captivité, le bruit de sa
mort
s’était répandu dans Athènes ; Phèdre avait voulu
n char et mis en lambeaux. Phèdre justifia Hippolyte en se donnant la
mort
; mais Thésée eut à pleurer la mort de son fils i
stifia Hippolyte en se donnant la mort ; mais Thésée eut à pleurer la
mort
de son fils innocent et son propre déshonneur. La
ne semées, engendrèrent des guerriers qui s’entre-tuèrent, et dont la
mort
permit à Jason de mettre la main sur la toison d’
t il fut écrasé par une poutre qui s’en détacha. Jason reçut après sa
mort
les honneurs réservés aux héros. Questionnaire.
eur fils, fut déchiré par des Bacchantes, et Labdacus, enlevé par une
mort
prématurée, ne laissa qu’un fils au berceau et en
Lorsque cet enfant fut né, les auteurs de ses jours le vouèrent à la
mort
. L’officier chargé de cette exécution le suspendi
avres se divisa, comme si la haine des deux frères eût survécu à leur
mort
. Créon, frère de Jocaste, se trouva, par cette mo
ût survécu à leur mort. Créon, frère de Jocaste, se trouva, par cette
mort
possesseur du trône des fils d’Œdipe. Il défendit
l fut tué quelques années après en allant au siége de Troie. Après sa
mort
, deux princes de la même famille régnèrent succes
s dieux misent le départ de la flotte assemblée à Aulis au prix de la
mort
d’Iphigénie, sa fille, qui fut ou dut être immolé
ù sa mère l’avait plongé, n’avaient pas rendue invulnérable. Après la
mort
d’Achille les Grecs continuèrent le siége. En vai
règne paisible. Il avait réuni Sparte au royaume de Mycènes après la
mort
de Ménélas, son oncle. Ulysse, dont les conseils
t les suites de la colère d’Achille ? — Achille ne vengea-t-il pas la
mort
de Patrocle ? — Comment Troie fut-elle prise ? —
ngt-huitième année de son âge et de son règne. Lorsque le bruit de sa
mort
se fut répandu, les Pans et les Satyres parcourur
oir. Elle emporta en Égypte ce précieux fardeau. Résolue de venger la
mort
d’Osiris, elle se rendit à la ville de Buto, où H
ts avortèrent, et il fut relégué dans les déserts. On dit qu’après la
mort
d’Osiris, l’âme de ce dieu passa dans le corps du
gyptiens, et qu’ils remplaçaient immédiatement toutes les fois que la
mort
venait leur enlever cet objet de leur culte. Les
s airs, de terribles combats où les blessures sont sans douleur et la
mort
momentanée. Au sortir du combat, les vainqueurs v
le serpent Midgard, dont les anneaux enveloppent la terre, Héla ou la
mort
qui règne aux enfers, et le loup Fenris. Les dieu
i l’insultèrent ; il les tua. Althée, mère de Méléagre, irritée de la
mort
de ses frères, consuma alors un tison auquel étai
ravi ; il commença à adorer comme dieu Celui qui, comme homme, était
mort
auparavant, et il établit parmi ses serviteurs so
rait aucun enfant mâle, et que le souverain pouvoir retournerait à sa
mort
aux Titans. C’est pourquoi Saturne dévorait ses f
dait ses oracles. 2. La joie d’Apollon libérateur fut troublée par la
mort
d’Esculape. Ce fils chéri, auquel le dieu du jour
nt ensemble, Zéphyre détourna le palet qu’Apollon lançait et causa la
mort
de son rival. Le dieu changea son ami en la fleur
s, lorsque Hercule la délivra en combattant le monstre, qu’il étendit
mort
à ses pieds. 5. Après toutes ces aventures, Neptu
théâtre. La grave Melpomène en la scène fait voir Des rois qui de la
mort
éprouvent le pouvoir. L’agile Terpsichore aime su
cendre, Sont de ta cruauté les plus doux monuments. La frayeur et la
mort
vont sans cesse à ta suite, Monstre nourri de san
enir la majesté du maître du ciel et de la terre, et tomba frappée de
mort
. Jupiter sauva le jeune Bacchus. 2. A sa naissanc
sée, la prit pour épouse et lui donna une couronne d’or qui, après la
mort
de cette princesse, devint une constellation. C’e
arais qui répandait des vapeurs si malfaisantes qu’elles donnaient la
mort
à tous les oiseaux qui essayaient de le traverser
nciens avaient grand soin d’accomplir les derniers devoirs envers les
morts
et de leur mettre sur la langue une pièce de monn
lles de l’Achéron et de la Nuit. La Terreur, la Rage, la Pâleur et la
Mort
les accompagnaient. Elles tourmentaient les coupa
ur vie par les remords et par des visions effrayantes, et, après leur
mort
, elles les déchiraient de leur fouet sanglant et
uisirent la rosée du matin. Memnon avait régné sur l’Egypte. Après sa
mort
, les Egyptiens lui élevèrent une statue colossale
Et la foudre en éclats, qui gronde sous ses pieds, Semble annoncer la
mort
aux peuples effrayés. 6. La Paresse était fille
ans pouvoir lui prêter aucun secours. Dans son indignation il jura la
mort
de Médée. Mais cette femme cruelle n’attendit pas
ment se vengea Médée ? Que devint cette femme cruelle ? Quelle fut la
mort
de Jason ? Quels poëtes ont chanté l’expédition d
armes à Philoctète son compagnon et son ami, et se donna lui-même la
mort
. Déjanire, en apprenant la fin tragique d’Hercule
? Comment mourut ce héros ? 8. Quels honneurs lui rendit-on après sa
mort
? Où était le plus célèbre de ses temples ? Quel
ler à petit feu dans un taureau d’airain tous ceux qu’il condamnait à
mort
et se plaisait à entendre leurs gémissements. Scy
le navire qu’avait lui-même monté Thésée. Devenu roi d’Athènes par la
mort
de son père, Thésée se distingua par la sagesse d
ppolyte fut dévoré par des monstres marins. Racine a raconté ainsi sa
mort
: A peine nous sortions des portes de Trézène ;
« Le ciel, dit-il, m’arrache une innocente vie. Prends soin, après ma
mort
, de la triste Aricie... Cher ami, si mon père un
er de leur vivant comme les protecteurs de leur patrie, et après leur
mort
on les mit au rang des dieux marins. Ils étaient
une émeute qui s’éleva à l’occasion de leur mariage, Castor fut mis à
mort
. Pollux en eut un grand chagrin. Il supplia Jupit
rgos et alla fonder Mycènes, où il fut tué par des traîtres. Après sa
mort
les citoyens de Mycènes et d’Argos élevèrent de g
l’accusation portée contre Bellérophon, et le priait de lui donner la
mort
. Iobatès se mit d’abord à célébrer des fêles en l
n mariage sa fille Philonoé et à le déclarer son successeur. Après sa
mort
, Bellérophon fut placé par les poëtes au rang des
à son beau-père Acrisius ? Comment lui donna-t-il involontairement la
mort
? Quelle fut la fin de Persée ? Quels honneurs lu
! et ne vit pas Un serpent que les fleurs recelaient sous ses pas. La
mort
ferma ses yeux, les nymphes ses compagnes De leur
outes, Et, perçant ces forêts où règne un morne effroi. Il aborda des
morts
l’impitoyable roi. A ses chants accouraient du fo
obscurcissent ; Mes bras tendus vers toi déjà s’appesantissent, Et la
mort
, déployant son ombre autour de moi, M’entraîne lo
îner sa misère ? Par quels sons, par quels pleurs fléchir le dieu des
morts
Déjà cette ombre froide arrive aux sombres bords
les Bacchantes ; Labdacus, un de ses descendants, fut enlevé par une
mort
prématurée, et laissa son trône à Laïus, son fils
int de mettre au monde. Il crut prévenir ce parricide en ordonnant la
mort
de ce fils immédiatement après sa naissance. Mais
Œdipe, qui ne le connaissait pas, entra en lutte avec lui et le mit à
mort
. Le malheureux vainqueur était déjà parricide. Jo
s de ces deux frères ennemis. Racine décrit ainsi leur combat et leur
mort
: Polynice, tout fier du succès de son crime, Re
poussière ; Et pour le désarmer il avance le bras. Le roi, qui semble
mort
, observe tous ses pas : Prêt à rendre la vie, il
rve tous ses pas : Prêt à rendre la vie, il en cache le reste ; Et sa
mort
au vainqueur est un piège funeste. Dans le moment
éfendit de rendre les derniers honneurs à Polynice, parce qu’il était
mort
en combattant contre son pays. Cette sévère défen
e de la famille. Antigone voulut inhumer son frère et fut condamnée à
mort
. Le fils de Créon, qui était fiancé à cette princ
l’exception d’Adraste. Mais leurs fils, les Epigones, vengèrent leur
mort
. 9. Dix ans après l’expédition d’Adraste, Alcméon
olynice ? Comment les frères ennemis se donnèrent-ils mutuellement la
mort
? 8. Quel fut le sort des sept chefs ? Que devint
alheur remplit de chagrin le bouillant Achille, qui jura de venger la
mort
de son ami. 7. Tétis, sa mère, lui fit don d’une
nérable, le blessa au talon d’une flèche empoisonnée qui lui donna la
mort
. Thétis vint avec une troupe de nymphes pleurer s
pour s’assurer la possession paisible de son trône usurpé, médita la
mort
d’Oreste, fils d’Agamemnon. Electre, la sœur d’Or
mione, son épouse. Oreste vengea cette princesse outragée et le mit à
mort
. — Diomède, a son retour de Troie, trouva ses Eta
n, après vingt ans d’absence, il revit sa chère patrie. On le croyait
mort
depuis longtemps. Une foule de princes se disputa
el fut le sort de Patrocle ? De quelle manière Achille vengea-t-il la
mort
de Patrocle ? 7. Racontez ses combats contre le X
lles furent ses aventures ? Où est-il allé s’établir ? Comment est-il
mort
? 11. Quels furent les malheurs d’Agamemnon ? Que
e but de leur institution était de rappeler le souvenir des guerriers
morts
pour le salut de la patrie. Celui qui les présida
rahma est créateur, Vischnou conservateur, et Shiva est le dieu de la
mort
et de la destruction. Pour comble d’absurdité, il
e. 4. Shiva, la troisième personne de la Trimourti, est le dieu de la
mort
et de la destruction. C’est l’ennemi de Brahma et
? Quelles sont, d’après les Indiens, les destinées des âmes après la
mort
? 6. Quelles sont les superstitions que ces erreu
fêtes en l’honneur d’Ormuzd. Ils s’attendent à être jugés après leur
mort
selon leurs œuvres. Ils se figurent que l’âme de
ienfaisantes il opposait Typhon, le principe malfaisant, le roi de la
mort
et de la destruction, et Nephtys, sa sœur, la ter
eurs extraordinaires pendant sa vie et de plus grands encore après sa
mort
. L’Egypte alors entrait dans un deuil général. On
qu’on a de la peine à croire. Sous Ptolomée Lagus, le bœuf Apis étant
mort
de vieillesse, la dépense de son convoi, outre le
inquante mille écus. Après qu’on avait rendu les derniers honneurs au
mort
, il s’agissait de lui trouver un successeur, et o
re son frère à son retour ? 6. Que devint Isis, lorsqu’elle apprit la
mort
de son époux ? Qui l’aida dans la recherche de so
peines et aux récompenses dans l’autre vie. Ils disaient qu’après la
mort
les âmes allaient habiter dans les nuages. Ceux q
ondamnés à errer sans cesse avec les vents. Ils savaient aussi que la
mort
ne rompt point les rapports du ciel et de la terr
ardes, c’étaient les ombres qui, par ce contact léger, prédisaient la
mort
d’un grand personnage. Un chef ou un roi ne perda
s l’intérieur des temples, ou faisaient pleuvoir sur elle, jusqu’à la
mort
, une nuée de flèches et de dards. — Le cérémonial
le Valhalla. C’est un lieu de délices où Odin reçoit tous les braves
morts
sur les champs de bataille. Il leur donne pour co
n’ont pas d’autre emploi que de prévenir tous les désirs de ces héros
morts
au champ de l’honneur. Leur enfer s’appelait Nifl
’honneur. Leur enfer s’appelait Niflheim. Tous ceux qui n’étaient pas
morts
de la mort du soldat allaient dans ce dernier séj
ur enfer s’appelait Niflheim. Tous ceux qui n’étaient pas morts de la
mort
du soldat allaient dans ce dernier séjour, où rég
s de la mort du soldat allaient dans ce dernier séjour, où régnait la
Mort
ayant pour palais l’Angoisse, pour table la Famin
les dieux l’avaient créé, sera anéanti avec ses enfants qui sont : la
Mort
, Héla, le Loup, Fenris, et le Serpent, Migdard, d
de Priam, 147. Hegemonius, un des noms de Mercure, 43. Hela, ou la
Mort
, 195. Hélène, fille de Léda, 126 ; enlevée par P
illerie, 83, 84. Mopsus, devin, 159. Morphée, fils du Sommeil, 84.
Mort
, accompagne les Furies, 71. — Pers. de l’enfer Sc
Quinquatria, fêtes de Minerve, 46. R Racine , récit de la
mort
d’Hippolyte, 122, 123. Mort d’Etéocle et Polynice
nerve, 46. R Racine , récit de la mort d’Hippolyte, 122, 123.
Mort
d’Etéocle et Polynice, 139. Sacrifice d’Iphigénie
ttachés â leur sort, Leurs vices, leurs vertus, leur fortune, et leur
mort
. Voltaire. Quelquefois on représente le Destin
de sa prison profonde, Donna des secousses au monde, Dont le dieu des
morts
s’étonna. Lamotte. Quinault célèbre ainsi la v
Hypolite, fils de Thésée, fut foudroyé par Jupiter. Apollon vengea la
mort
de son fils, en tuant les Cyclopes qui avoient fo
mère ! Où vas-tu, jeune téméraire ? Tu dois trouver la
mort
dans la gloire où tu cours. En vain
tes jours. Quinault. Cygnus, ami de Phaéton, fut si touché de cette
mort
, que Jupiter le métamorphosa en cygne. Lampétuse,
pétie et Phaéthuse, appellées communément les Héliades, pleurèrent la
mort
de Phaéton leur frère avec tant de sincérité, que
épousa Atalante. Altée, dans un accès de fureur, prétendant venger la
mort
de ses frères, mit au feu le flambeau qu’elle ayo
usole, roi de Carie. Son épouse Artémise ne pouvoit se consoler de la
mort
de ce prince : Ainsi, quand Mausole fut mort, Ar
uvoit se consoler de la mort de ce prince : Ainsi, quand Mausole fut
mort
, Artémise accusa le sort, De pleurs se noya le vi
t, l’épouvante et l’horreur Devancent leurs flots redoutables ; Et la
mort
remet dans leurs mains Ces tonnerres épouvantable
t Excite une frayeur mortelle. Je porte l’épouvante et la
mort
en tous lieux ; Tout se change en rocher, à mon a
cendre, Sont de ta cruauté les plus doux monumens. La frayeur et la
mort
vont sans cesse à ta suite, Monstre nourri de san
ur, Le glaive haut, l’œil fier, l’ame rassise, Porte en tous lieux la
mort
qu’elle méprise. Du char d’acier, chef-d’œuvre de
ur des Troyens, et fut blessé par Diomède : Telle autour d’Ilion, la
mort
livide et blême Moissonnoit les guerriers de Phry
Erigone, fille d’Icarius, qui se pendit de désespoir, en apprenant la
mort
de son père, La balance d’Astrée, déesse de la Ju
On dit que sa fille Alcyone, et Ceyx son époux, dont elle pleuroit la
mort
, furent changés en Alcyons, oiseaux qui faisoient
ident. Son royaume est communément appelé le séjour des ombres ou des
morts
: Là, règne en an morne silence Ce tyran aux sév
les Grecs et les Romains mettoient une obole dans la bouche de leurs
morts
. Quand les corps n’avoient pas été inhumés, leurs
ernelle dont les affreuses ténèbres rendent si effrayant l’empire des
morts
. Cerbère, chien à trois têtes, gardoit la porte d
x qui vouloient sortir, ou qui se présentoient pour entrer avant leur
mort
. Hercule l’enchaîna, et s’en fit suivre jusques s
, Euménides, Gorgones, Styx, Achéron, Parques et Tisiphones, Terrible
Mort
, effroi de l’univers ; Et si Pluton souffre encor
bles, Ou qui, cherchant la guerre et les hasards, Pour leur pays sont
morts
aux champs de Mars. Rousseau. Les poëtes confon
; Et la foudre en éclat qui gronde sous ses pieds. Semble annoncer la
mort
aux peuples effrayés. Voltaire. Tous les vices,
a fille à Amphitrion. Alcmène promit d’épouser celui qui vengeroit la
mort
de ses frères. Amphitrion remplit cette condition
année, celui que le sort désignoit, ou qui se dévouoit lui-même à la
mort
: Le Ciel pour appaiser sa haine,
us les ans une victime humaine, Jusqu’à ce que l’amour triomphe de la
mort
. La Grange-Chancel. Alceste ayant appris que le
, faisoient tout leur effort Pour me priver du trône en conspirant ma
mort
. Pour les jours de mon fils redoutant leur furie,
ar Pasiphaé, épouse de Minos, roi de Crète. Ce prince, pour venger la
mort
de sou fils Androgé, que les jeunes gens d’Athène
t par le berger Pâris, ce qui occasionna la guerre de Troie. Après la
mort
de Pâris, elle épousa Déïphobe, fils de Priam, et
Egiste qui l’aida à assassiner son premier époux. Oreste vengea cette
mort
, en poignardant Egisthe et Clytemnestre. Pollux é
e qui tout l’effort de la valeur humaine Ne peut être suivi que d’une
mort
certaine. P. Corneille. Deux taureaux indompté
frayant un chemin jusques aux sombres bords, Rendant à ses désirs la
mort
même propice, Et des enfers au jour ramenant Euri
ince : admirez votre sort ! Le prince vous adopte au lieu de son fils
mort
; Et par ce coup adroit, sa politique heureuse Af
it. Le peuple offre le sceptre, et la reine son lit. De cent cruelles
morts
cette offre est tôt suivie. J’arrive ; je l’appre
érilité, sur ce funeste bord, Bientôt, avec la faim, nous rapporta la
mort
. Les dieux nous ont conduits de supplice en suppl
aussi-tôt la flamme se diviser d’elle-même, et faire connoître que la
mort
n’avoit pu éteindre une haine dont on n’avoit poi
coups. Achille reparoît à la tête de ses troupes ; et, pour venger la
mort
de son ami, attaque Hector, le tue, l’attache par
toucher son cœur. Pâris profita de cette circonstance pour venger la
mort
d’un héros qui entraînoit la perte de Troie. Il p
vint, avec un renfort de troupes, se joindre aux Grecs, et venger la
mort
de son père. Son courage fit souvent oublier la p
ute sa famille, au pied d’un autel où il s’étoit réfugié : L’indigne
mort
d’un père excitant mon courroux, Je pars, je vien
j’en poussai les transports. Je courois à travers et la flamme et les
morts
. J’arrive, tout sanglant, aux lieux où Polixène A
urs pleurs. De la Fosse. On regardoit Polixène comme la cause de la
mort
d’Achille. Pyrrhus l’immola sur le tombeau que le
en lui livrant Déiphobe, fils de Priam, qu’elle avoit épousé après la
mort
de Pâris, tué par Pyrrhus dans un combat singulie
impatiente de ne point voir Oreste, et cherchant toujours à venger la
mort
de son père ; C’est peu qu’en d’autres mains la
es que fait Egisthe pour le perdre, arrive enfin à Argos, et venge la
mort
d’Agamemnon, en tuant Egisthe et Clytemnestre. Au
atue. La Grange-Chancel. Oreste étoit le seul dont Thoas désirât la
mort
. Pilade voulut mourir en sa place : ils se disput
vaisseaux. Circé eut en vain recours à son art : Dans le sein de la
mort
ses noirs enchantemens Vont troubler
e de Latinus, roi du pays Latin, fonde l’Empire Romain ; et, après sa
mort
, il est enlevé au ciel par Vénus. On l’honoroit à
hille, ibid. — Est assassiné par Egisthe et Clytemnestre, 186 — Sa
mort
est vengée par Oreste, 188 Age d’or, 22-25-26-27
d’Oïlée, 176 Ajax, fils de Télamon, ibid. Alceste, se dévoue à la
mort
pour Admète, 136 — Est retiré des enfers par Her
e dieu Pan, ibid. Arcas, fils de Jupiter et de Calisto, 35 — Mis à
mort
par Lycaon, 171 Aréthuse, nymphe changée en font
t livré à Ménélas, 185 Déjanire, épouse Hercule, 138 — Lui cause la
mort
, 139 Delos, isle rendue stable, 40 — Lieu de la
esse qui y préside, 51 Elysée, séjour des hommes vertueux après leur
mort
, 109-110 — Il est sous l’empire de Pluton, 100
t Paris, 179 — Ses exploits pendant le siège de Troie, 177-182 — Sa
mort
et ses funérailles, 182 — Homère a célébré sa gl
thoüs, 145 — Par Pâris, 178 — Se réconcilie avec Ménélas, 148 — Sa
mort
, ibid. Hélénus, fille de Priam, 179 Héliades,
r son courage ; file aux pieds d’Omphale ; épouse Déjanire, 138 — Sa
mort
et son apothése, 139 — Est mis au rang des dieux
élops, 169 Œnone, nymphe du mont Ida, 179 Oëta, mont célèbre par la
mort
d’Hercule, 138 Oïle, père d’Ajax, 176 Oiseaux d
e, 148 — Est soustrait à la cruauté de sa mère, 187 Oreste venge la
mort
de son père, 148-188 — Est en proie aux Furies,
n père ; est foudroyé par Jupiter, ibid. — Les regrets que cause sa
mort
, ibid. Phaétuse, sœur de Phaéton, ibid. Phare
Pyrrhus, fils d’Achille, 175 — Arrive devant Troie, pour y venger la
mort
de son père, 183 — Fait périr Priam, 184 — Tue
side, 53 Rhodes, île célèbre, 61 — Hélène s’y retire et y trouve la
mort
, 148 Ris, enfans de Vénus, 73 Rocher de Sisyphe
Il représente les avares, 196 Tartare, séjour des méchans après leur
mort
, 100-103 Taureau dont Jupiter prit la forme, 34-
Titan était de se réserver le moyen de remonter sur le trône après la
mort
de Saturne, ou d’y placer ses enfants. Saturne y
ysse, comme on le verra plus tard, échappa à leurs séductions et à la
mort
, et les Sirènes, de dépit, se précipitèrent dans
e, sur les bords de la fontaine Aréthuse [Fig. 37]. Femme du dieu des
morts
, elle était pâle et stérile. [Fig. 37] Pluton
fers étaient des lieux souterrains, où les âmes se rendaient après la
mort
. Ils se divisaient en deux parties : les Champs-É
Caron, nocher des Enfers, transportait, pour une obole, les âmes des
morts
au delà du Styx [Fig. 39]. Il n’admettait dans sa
es de l’Erèbe et de la Nuit, les Parques présidaient à la vie et à la
mort
. Elles filaient les jours de chaque mortel. Cloth
Parmi les autres divinités infernales, on comptait encore la Nuit, la
Mort
, le Sommeil, les Songes et les Dieux Mânes. La Nu
main tenait un flambeau renversé. [Fig. 44] Elle avait enfanté la
Mort
sans le secours d’aucun dieu. Celle-ci était accr
. [Fig. 45] Les Dieux Mânes étaient pris, tantôt pour les âmes des
morts
, tantôt pour des dieux infernaux ou génies des mo
our les âmes des morts, tantôt pour des dieux infernaux ou génies des
morts
, qui veillaient sur les tombeaux. Aussi trouve-t-
Diis Manibus, aux Dieux Mânes, comme pour leur recommander l’ombre du
mort
. Les Enfers se divisaient, comme nous l’avons vu,
donner le nom de Pythien. La joie de ce triomphe fut troublée par la
mort
de son fils Esculape, dieu de la médecine [Fig. 5
’un affreux désert [Fig. 67]. Dans sa douleur, elle veut se donner la
mort
, mais son invisible époux arrête ses transports.
ur, qui n’avait pas cessé de l’aimer, vint l’arracher à ce sommeil de
mort
, et l’emporta au ciel où Jupiter légitima leur ma
de Picus, roi des Latins, et petit-fils de Saturne, fut mis, après sa
mort
, au rang des dieux. C’est de lui que descendaient
. La Discorde naquit de la Nuit qui l’enfanta en même temps que la
Mort
et le Sommeil. Jupiter la chassa du ciel, parce q
tunique, sur les bords de laquelle on avait gravé cette légende : La
mort
et la vie [Fig. 89]. La Liberté. Les Romain
femme d’Admète, roi de Thessalie, qu’il arracha des bras mêmes de la
Mort
. [Fig. 90] À ces douze travaux il ajouta un gr
u peloton de fil que lui avait donné Ariane, fille de Minos. Après la
mort
de son père, il régna sur l’Attique, et y établit
le territoire de Mycènes. Dans la suite Mégapenthe, voulant venger la
mort
de son père, dressa des embûches à Persée et le f
de son côté, se signala dans l’art de dompter les chevaux. Après leur
mort
, ils furent placés parmi les astres, et on les ap
e Philonoé en mariage, et partagea son royaume avec lui. Iobate étant
mort
sans laisser d’enfants mâles, Bellérophon lui suc
voisine ; mais ils périrent dévorés par un dragon. Cadmus vengea leur
mort
en tuant le monstre, dont il sema les dents à ter
sent vu le jour. Ils se battaient dans le sein de leur mère. Après la
mort
d’Œdipe, ils convinrent de régner chacun une anné
tre-tuèrent [Fig. 100]. Créon, frère de Jocaste, se trouva, par cette
mort
, possesseur du trône. Il fit donner la sépulture
ône. Il fit donner la sépulture à Étéocle, et défendit, sous peine de
mort
, d’ensevelir le corps de Polynice. La pieuse Anti
pas confondre les cendres de ces deux frères, ennemis jusque dans la
mort
. [Fig. 100] [Fig. 101] Adraste, qui était r
l fut tué quelques années après en allant au siège de Troie. Après sa
mort
, deux princes de sa famille régnèrent à Thèbes ;
reçut favorablement, et dont il épousa la fille, Hippodamie. Après la
mort
d’Œnomaüs, il devint roi d’Élide et étendit ses c
uite en cendres [Fig. 104]. Énée fut presque le seul qui échappa à la
mort
ou à l’esclavage. Protégé dans sa fuite par Vénus
ades, Phaétuse, Lampéthie et Phœbé, sœurs de Phaéton, affligées de la
mort
de leur frère, allèrent le chercher au bord de l’
orcha tout vif. Les Nymphes, les Satyres et les Dryades pleurèrent la
mort
de Marsyas, et versèrent tant de larmes qu’il en
ux sujets Myrmidons 43. Cet Éaque est le même qui fut placé, après sa
mort
, parmi les juges des Enfers, parce qu’il avait ét
x de Diane. La malheureuse Niobé quitta le séjour de Thèbes, après la
mort
de ses enfants, et retourna en Phrygie, où elle f
avoir des entretiens secrets avec une nymphe, nommée Égérie. Après la
mort
de ce prince, les Romains allèrent chercher cette
e temple d’Apollon à Delphes, et qui périt dans une caverne. Après sa
mort
, il resta entièrement oublié. Dans la suite, la B
aleine du zéphyr. 45. Le sens de cette fable est facile à saisir. La
mort
de Procris est une punition de sa défiance et de
l cherchait la sûreté, le repos, partout il trouvait la fatigue et la
mort
; et peur combler son malheur, il conservait la m
eur conservation pouvant seule assurer son existence, il menaça de la
mort
quiconque essaierait de les ravir. Ce fut ainsi q
trumens qui servaient à féconder la terre devinrent des instrumens de
mort
; la guerre naquit, et, lorsque ce fléau terrible
us, ont cru que c’était Mysraïm lui-même, fils de Cham, qui, après la
mort
de son père, fut appelé Zoroastre, c’est-à-dire a
s ; cette sorte de culte commença dans l’Égypte peu de temps après la
mort
d’Osiris et d’Isis. L’un et l’autre s’étant extrê
rte, éternisé les fables. La fausse éloquence et l’envie de louer les
morts
ont aussi produit des fables. Si l’on composait a
nieux mensonges à des vérités communes. Si quelque prince pleurait la
mort
d’un fils, la poésie plaçait ce fils parmi les as
tout ce qui l’étonne. Le repos et le silence absolu ressemblent à la
mort
; l’homme s’en effraie, il a besoin de mouvement.
erreurs, on l’accusait d’impiété. Le malheureux Anaxagore fut puni de
mort
pour avoir dit que le soleil n’était point animé,
tions, cérémonie que l’on pratiquait pendant ce mois en l’honneur des
morts
. Le mois de Mars s’appelait ainsi du dieu Mars, d
ue ; il y fut dangereusement blessé ; ce qui causa le désespoir et la
mort
de Sangaride. Les seuls renseignemens de l’histoi
a en Europe. Ils disent que Dardanus, contemporain de Cadmus après la
mort
de son frère Jasion, conduisit Cybèle sa belle-sœ
e d’elles avait manqué à ses vœux, rien ne pouvait la soustraire à la
mort
: on l’enterrait vivante. Ce fut dans une de ces
rma de sa peau. Mercure, qui avait pris le casque de Pluton, donna la
mort
au géant Hippolyte ; Diane tua Gration, et les Pa
fait mourir son père Uranus. C’est à cette dernière victoire et à la
mort
de Saturne que commença le règne de Jupiter. Son
pagne ; ce que nous rappellerons dans l’histoire de ce dieu. Après la
mort
de Pluton, le gouvernement fut donné à Mercure, q
omptait soixante-deux ans de règne depuis la défaite des Titans et la
mort
de Saturne. Les Curètes, ses parens, prirent soin
splendeur survit rarement aux souverains qui les ont créés. Après sa
mort
, il fut divisé en un grand nombre de petits royau
subsista le plus long-temps. Crès, fils de Jupiter, y régna après la
mort
de son père. Les anciens nous apprennent aussi qu
grande idée des Titans, puisque Judith, remerciant le Seigneur de la
mort
d’Holopherne, dit : Ce n’est point un de ces hom
piter, lui fit servir les membres d’un de ses hôtes qu’il avait mis à
mort
. Ce crime horrible fut puni dans l’instant. La fo
berté pour venir passer le reste de ses jours dans la Grèce. Après sa
mort
, on lui accorda les honneurs que l’on rendait aux
ré ; on la représentait souvent sur un char traîné par deux paons. La
mort
d’Argus ne débarrassa point la malheureuse Io des
e, ils allèrent prendre leur repas, et s’endormirent paisiblement. La
mort
vint les surprendre pendant leur sommeil. Depuis
nt leur sommeil. Depuis ce temps, les habitans d’Argos regardèrent la
mort
comme le repos le plus parfait et le plus grand d
rlerons des dieux des enfers. Diodore de Sicile rapporte qu’après la
mort
d’Hypérion, les enfans d’Uranus partagèrent entre
isaient descendre presque tous leurs héros des Atlantides. Après leur
mort
, on les honora comme les déesses, et on les plaça
joignit une bibliothèque. Apollon fut banni du ciel pour avoir mis à
mort
, à coup de flèches, les Cyclopes qui forgeaient l
r reconnaissait un si grand pouvoir, qu’on leur attribuait toutes les
morts
subites. Homère en avait cette opinion, avec cett
subites. Homère en avait cette opinion, avec cette différence que la
mort
des femmes lui paraissait une vengeance de Diane,
ême que la nuit même ne pouvait tempérer, on imagina la fable de leur
mort
, telle que nous l’avons rapportée plus haut. C’es
rme, les ensevelirent eux-mêmes. L’histoire dit que ces princes étant
morts
de la peste, ou fut long-temps sans oser les appr
plus même la force de faire entendre ses plaintes. Jupiter vengea la
mort
des Cyclopes en exilant Apollon du ciel (c’est-à-
beaux chevaux qu’il avait promis à Hercule. Le héros indigné le mit à
mort
, embrasa la ville, et emmena prisonnier Priam, fi
qu’on ne possède pas les dons nécessaires aux poëtes. Cette prétendue
mort
d’Adonis est une allégorie pour peindre un homme
déesse la perça d’une flèche. Dédalion, ne pouvant se consoler de la
mort
de sa fille, se précipita du haut d’une tour. Apo
irent en pièces. Cette dernière circonstance ne peut convenir qu’à la
Mort
d’Osiris, tué par le cruel Typhon son frère. Dio
uronne d’or enrichie de pierreries, chef-d’œuvre de Vulcain. Après la
mort
d’Ariadne, cette couronne fut mise au rang des co
erre, et sa folle témérité lui coûta la vie. Neptune, désespéré de la
mort
de son fils, appela Mars en jugement. Les plus br
i le frappa de son javelot ; mais la blessure ne l’ayant pas renversé
mort
, il lui resta assez de force pour le déchirer ave
ses défenses. Vénus accourut à son secours, mais vainement ; il était
mort
. Inconsolable de sa perte, elle le métamorphosa e
mortelle, fit paraître une douleur si vive, que ses sujets le crurent
mort
; le deuil fut général dans la Phénicie. Le princ
’usage des chars et des attelages à quatre chevaux de front. Après sa
mort
, la fable le plaça dans le ciel, et dit qu’il éta
e Maïa, devint extrêmement célèbre parmi les princes Titans. Après la
mort
de son père, il eut pour son partage l’Italie, le
s Gaules et l’Espagne ; mais il n’en fut le maître absolu qu’après la
mort
de son oncle Pluton. Ce prince, très-habile, très
uette, ou voulait le désigner conduisant dans les enfers les âmes des
morts
. On croyait que lui seul avait le pouvoir de sépa
e la vie, toujours renaissans, ces besoins dont la privation cause la
mort
, portèrent les hommes à croire qu’il existait des
figure, et périt de langueur en se regardant. Écho, désespérée de sa
mort
, se laissa consumer de tristesse ; mais étant imm
i du pays où coule le Pactole. Devenu possesseur du royaume, après la
mort
de Gordius son père, il fit présent au temple de
tre en Satyres, et de ce qu’ils vivaient dans le même temps. Après la
mort
de Silène, on l’honora comme demi-dieu ; son cult
s coutumes que les Égyptiens observaient lorsqu’ils enterraient leurs
morts
. Le Mercure grec, dit-il, conducteur des âmes, é
cteur des âmes, était le prêtre chargé de recevoir le corps d’un Apis
mort
. Il le conduisait à un second prêtre, qui portait
Les juges étaient les premiers avertis, ensuite les parens et amis du
mort
. Son nom se répétait de toutes parts, et l’on ave
ue, la loi permettait à tout le monde d’élever des plaintes contre le
mort
. Les rois n’étaient point exempts de cette coutum
s étaient prouvées, les juges prononçaient la sentence qui privait le
mort
des honneurs de la sépulture ; mais celui qui ne
ur. L’assistance applaudissait, unissait ses éloges, et félicitait le
mort
d’avoir mérité de passer l’éternité dans la paix
souvenir de leurs belles actions. Le respect des Égyptiens pour les
morts
était porté si loin, que souvent ils conservaient
s ténèbres épaisses de ces temps, on croyait généralement qu’après la
mort
le corps matériel était réduit en poudre ou en ce
lesse, la Frayeur, la Faim qui suggère tant de crimes, le Travail, la
Mort
et le Sommeil, frère de la Mort. On y trouve la G
cette affreuse demeure, on, trouve d’abord les âmes de ceux qui sont
morts
presqu’en naissant, ensuite les âmes de ceux qu’u
a fait mourir. En sortant de ce bois, on trouve la demeure des héros
morts
les armes à la main. Près de là s’aperçoit le tri
us vient du latin urgere, pousser, parce que ce dieu poussait vers la
mort
. Februus vient de februare, faire des lustrations
la vie. (Fig. 41.) Némésis, dieux mânes, la nuit, le sommeil et la
mort
. Némésis veillait à la punition des crimes. E
onnus par les anciens. Souvent ils les confondaient avec les âmes des
morts
, et quelquefois avec les dieux lares. Ces divinit
de lui est un vase rempli d’une liqueur assoupissante. (Fig. 44.) La
Mort
, fille de la Nuit et sœur du Sommeil, est représe
age, que l’on plaçait toujours une pièce de monnaie sous la langue du
mort
. Cette pièce s’appelait naulage ; celle des rois
aginée d’après l’usage qu’avaient les Égyptiens de faire garder leurs
morts
par des dogues. L’enfer avait cinq fleuves princi
iens à Memphis. Près du lac Achéruse, au-delà duquel on enterrait les
morts
, des prêtres versaient de l’eau dans une cuve san
et cruel, ayant su par l’oracle qu’un de ses gendres lui donnerait la
mort
, chercha à se venger des mauvais traitemens de so
t la victoire si un des enfans d’Hercule se donnait volontairement la
mort
, Macarie, une de ses filles se tua elle-même. Les
des Argonautes, et leur fut extrêmement utile. Peu de temps après sa
mort
, on lui rendit les honneurs divins. On le plaça d
leurs fables que la science d’Esculape allait jusqu’à ressusciter des
morts
; que Pluton se plaignit à Jupiter de ce qu’il re
jà dit qu’Apollon tua les Cyclopes à coups de flèches, pour venger la
mort
de son fils. A Épidaure, on honorait Esculape sou
d’un habit très-simple, avec ces mots écrits au bas du vêtement : La
mort
et la vie. Sur son front on lisait : L’hiver et l
aisons, pendant l’absence comme pendant la présence, à la vie et à la
mort
; qu’elle s’expose à tout pour servir un ami, et
ale point les expressions de Montaigne, lorsqu’il dit, en pleurant la
mort
de son ami : « Depuis que je l’ai perdu, tout de
conceptions monstrueuses ; l’ignorance de la mythologie frapperait de
mort
les chefs-d’œuvre des beaux-arts, qui font la glo
hes contre les Cyclopes qui avaient forgé la foudre, instrument de la
mort
d’Esculape ; mais Jupiter, pour punir ce meurtre,
Neptune. La laideur de Pluton et l’horreur qu’inspirait le séjour des
morts
dont l’empire lui était échu en partage, empêchèr
’eût pris aucun aliment depuis qu’elle habitait le sombre royaume des
morts
. Mais Ascalaphe affirma qu’il avait vu Proserpine
cérémonies ou qui divulguaient ce qu’ils en savaient étaient punis de
mort
. On lui immolait des porcs. On représente cette d
t accident, qu’il se perça le cœur du même javelot qui avait donné la
mort
à Procris. Aurore épousa Tithon, jeune prince cél
i accueillirent favorablement Évandre en Italie. Il fut mis, après sa
mort
, au nombre des divinités champêtres, en considéra
chées à chaque homme, qui le suivaient depuis sa naissance jusqu’à sa
mort
, et qui présidaient à toute sa destinée. On recon
les Enfers comme un lieu souterrain où les âmes se rendaient après la
mort
pour être jugées suivant leurs œuvres. Les Enfers
vie. Cinq fleuves entouraient de leurs eaux profondes le royaume des
morts
: le Styx était le plus célèbre de tous ; il repa
de l’antiquité avaient coutume de placer une obole dans la bouche des
morts
. Cerbère était un chien monstrueux, à trois tête
uels étaient les fleuves qui entouraient de leurs eaux le royaume des
morts
? — Qu’était-ce que Caron ? — Et Cerbère ? Le
chargés que de vaines illusions passent par une porte d’ivoire. La
Mort
. La Mort, fille du Sommeil et de la Nuit, et l
de vaines illusions passent par une porte d’ivoire. La Mort. La
Mort
, fille du Sommeil et de la Nuit, et la plus impla
Mânes. Les anciens nommaient ainsi les âmes des hommes qui étaient
morts
, et les divinités qui présidaient aux tombeaux. O
les poëtes considéraient-ils la Nuit ? Le Sommeil ? — Morphée ? — La
Mort
? — Qu’étaient les Mânes ? Chapitre sixième.
monstre au moment où celui-ci allait saisir sa proie, et lui donna la
mort
. Pour prix de son courage il épousa celle qu’il a
é, quand, en s’exerçant au jeu du palet, il donna involontairement la
mort
à son aïeul, qu’il ne connaissait pas, et qui ven
ée Sthénobée, accusa Bellérophon de crimes imaginaires, et demanda sa
mort
à son mari ; celui-ci, ne voulant pas violer les
r qui le rendit furieux ; sentant qu’il ne pouvait se soustraire à la
mort
qu’il portait dans son sein, Hercule se précipita
ié taureau. Minos, vainqueur des Athéniens, voulant venger sur eux la
mort
de son fils Androgée54, leur avait imposé l’oblig
a fait donner le nom de mer Egée 56. Bien qu’il fût devenu roi par la
mort
de son père, Thésée accomplit encore plus d’un ex
témoignage à l’innocence du fils de Thésée en se donnant elle-même la
mort
. Cruellement éprouvé par ces chagrins domestiques
’égard des filles de Minos ? — Comment causa-t-il involontairement la
mort
de son père Égée ? — Devenu roi, se livra-t-il en
’engageant dans quelque entreprise périlleuse où il devait trouver la
mort
. Il lui persuada donc que le plus sûr moyen de si
rd par Æètes, roi de Colchos, les Grecs désiraient vivement venger sa
mort
et conquérir la précieuse toison. A peine la réso
reçu en triomphe, et épousa Médée. Eson, son père, que l’on avait cru
mort
, avait reparu, mais il était accablé de vieilless
uelque temps encore une vie misérable et désolée, et fut mis après sa
mort
au rang des Demi-Dieux. Questions. Que racon
’un serpent. Orphée, désespéré, voulut aller l’arracher du séjour des
morts
; arrivé sur les bords des fleuves infernaux, il
la vie pendant six mois, tandis que l’autre habiterait le séjour des
morts
. Ils partagèrent ainsi une seule existence, jusqu
ce dernier, ayant appris de l’oracle qu’il devait un jour recevoir la
mort
de la main du fils que Jocaste, sa femme, allait
ctimes : ils se percèrent réciproquement de leurs épées, et tombèrent
morts
en même temps. Antigone, leur sœur, étant revenue
en même temps. Antigone, leur sœur, étant revenue à Thèbes, après la
mort
de son père, pour rendre les derniers devoirs à s
père, pour rendre les derniers devoirs à ses deux frères, fut mise à
mort
par Créon, qui s’était emparé du pouvoir. Ainsi s
ants qui succombaient dans la lutte devaient être immédiatement mis à
mort
. Déjà treize malheureux avaient payé de leur vie
le d’Apollon pour célébrer ce mariage ; mais Pâris, voulant venger la
mort
d’Hector, lui décocha une flèche qui l’atteignit
tor, lui décocha une flèche qui l’atteignit au talon, et lui donna la
mort
. Les Grecs lui firent de magnifiques funérailles
u fameux cheval de bois auquel les Grecs durent la victoire. Après la
mort
d’Achille, il disputa les armes de ce héros au bo
dont elle était entourée cherchaient à lui persuader qu’Ulysse était
mort
, et qu’il était de son devoir et de l’intérêt de
de Priam donna au guerrier grec une épée avec laquelle il se donna la
mort
de sa propre main. Après la mort d’Achille, Ajax
ne épée avec laquelle il se donna la mort de sa propre main. Après la
mort
d’Achille, Ajax et Ulysse se disputèrent ses arme
et se distingua par plusieurs actions d’éclat, et entre autres par la
mort
de Pâris. Après l’issue du siége, il alla fonder
c sa sœur Hésione. Rendu à la liberté, il monta sur le trône après la
mort
de son père, donna une nouvelle splendeur à sa ca
ir le sacrilége d’Erostrate, les Ephésiens défendirent, sous peine de
mort
, de prononcer son nom, qui n’en est pas moins ven
ns la misère que lorsqu’ils sont heureux. — Ne parlez jamais mal d’un
mort
. — Honorez la vieillesse. — Domptez votre colère.
nier les Dieux reconnus dans la république, et le firent condamner à
mort
. Cette sentence n’altéra pas un seul instant la f
cérémonies que les Égyptiens observaient dans l’enterrement de leurs
morts
. Un prêtre allait prendre le mort, c’est la fonct
vaient dans l’enterrement de leurs morts. Un prêtre allait prendre le
mort
, c’est la fonction que les Grecs ont attribuée à
artiste adapta aux barques qui l’emportaient sur la mer à laquelle la
mort
d’Icare donna son nom. L’expédition des Argonaute
es ; son principal cratère a une lieue de tour. Empédocle y trouva la
mort
en voulant y descendre. 6. Chaîne de montagnes é
idée de l’amour conjugal. Quand une princesse mourait de douleur à la
mort
de son mari ou de ses enfans, les poètes la métam
y faisait marcher devant elle ses douze fils ; comme l’un d’eux était
mort
, Romulus s’offrit pour remplir sa place. Le vin é
ce, il lui fit servir les membres d’un de ses hôtes qu’il avait mis à
mort
. Jupiter, irrité, foudroya la maison de ce prince
agne, où Pluton faisait travailler aux mines, que comme du séjour des
morts
. Les dieux que les poètes ont associés à Jupiter,
atrième olympiade, les juges adjugèrent le prix à Arrachion qui était
mort
, au préjudice de son adversaire qui était vivant,
acle d’Apollon, pour l’aventure qui suit. On lui avait élevé après sa
mort
une statue en mémoire de ses triomphes. Un de ses
les nuits la fustiger, elle tomba sur lui et l’écrasa. Les enfans du
mort
citèrent la statue en jugement, selon les lois de
l’avoir endormi au son de sa flûte, il le tua. Junon, furieuse de la
mort
d’Argus, envoya un faon, qui, piquant sans cesse
s ordres, et s’attira son ressentiment. Voulant tirer vengeance de la
mort
d’Ascalaphus, son fils, tué au siége de Troyes, l
ttentat contre son autorité, le foudroya. Apollon, au désespoir de la
mort
de son fils, et ne pouvant se venger de Jupiter,
du roi Admète, obtint des Parques que ce prince pût s’exempter de la
mort
, en substituant un autre à sa place. Alceste, sa
eut le courage de s’offrir pour sauver les jours de son époux, et la
mort
dévora sa proie. Hercule arriva en Thessalie dans
parisse la place qu’Hyacinthe occupait autrefois dans son cœur, et la
mort
le lui enleva. Cyparisse aimait tendrement un cer
te, on porta cet arbre dans les pompes funèbres ; il fut consacré aux
morts
, sans doute parce qu’il est sans feuilles, et qu’
aissance des astres et du mouvement des cieux ; il l’y enseigna. A sa
mort
, on prétendit, qu’ayant été blessé dans les bois
mbitieuse mère ! Où vas-tu, jeune téméraire ? Tu dois trouver la
mort
dans la gloire où tu cours. En vain le dieu
théâtre. La grave Melpomène en la scène fait voir Des rois de qui la
mort
éprouvent le pouvoir. L’agile Terpsichore aime su
Les Nymphes, les Satyres et les Faunes donnèrent tant de larmes à sa
mort
, qu’elles produisirent un fleuve qui porte son no
le avait eues : souvent même son enthousiasme lui causait une prompte
mort
. La Sybille de Cumes Cumane ou Cumée, et
rgile, dans ses vers immortels, nous offre un effrayant tableau de la
mort
de Laocoon. Prêtre du dieu des mers, pour le ren
eur frère Hyas, déchiré par un lion, elles ne cessèrent de pleurer sa
mort
, et que Jupiter, par compassion, les transporta a
enrichie de pierreries : c’était le chef-d’œuvre de Vulcain, Après la
mort
de cette princesse, sa couronne fut mise au rang
elait Méra. Cet animal courut informer Érigone, fille d’Icarius de la
mort
de son père ; elle la tira par sa robe, jusqu’à c
eur vengeance, elles le mirent en pièces. Les Thébains regardaient la
mort
cruelle de leur roi comme une punition de Bacchus
eure où chacun repose, il allât, une baguette à la main, conduire les
morts
aux enfers et assister à leur jugement. Telle éta
et à la nécromancie, exerçant l’art mystérieux d’évoquer les âmes des
morts
, comme la Pythonisse de l’Écriture Sainte. Selon
inos, roi de Crète, vint mettre le siége devant Mégare pour venger la
mort
de son fils Androgé. Scylla, fille de Nisus, roi
Le nom d’Urgus lui est venu du latin urgere, parce qu’il pousse à la
mort
. Celui de Feubruus est tiré d’un ancien mot latin
On distingue des Mânes de trois espèces différentes : les ombres des
morts
vertueux ; les larves, ou les âmes des méchans ;
ux dieux Mânes, comme pour recommander à leurs soins la sépulture des
morts
. La Mort. Les anciens ont fait de la mort u
s, comme pour recommander à leurs soins la sépulture des morts. La
Mort
. Les anciens ont fait de la mort une divinité,
ins la sépulture des morts. La Mort. Les anciens ont fait de la
mort
une divinité, qu’ils disent née de la Nuit ; elle
es liquides ; et le Léthé, qui, comme le dit Virgile, fait perdre aux
morts
le souvenir du passé. Cerbère Cerbère, c
et les Romains avaient coutume de mettre une obole dans la bouche des
morts
. Les Furies Les furies, Alecto, Mégère et
tout son amour pour la justice, ont fait dire aux poètes, qu’après sa
mort
les dieux l’avaient établi juge dans les enfers.
adamanthe était aussi fils de Jupiter et d’Europe. On dit qu’après la
mort
d’Amphitryon, étant obligé de se sauver en Crète
père était l’Erèbe. On dit qu’elle engendra toute seule le Destin, la
Mort
, le Sommeil, les Songes, la Crainte, l’Obstinatio
corps. Ceux qui adoptaient ce système disaient que les âmes, après la
mort
, s’envolaient, sous la conduite de Mercure, dans
tuèrent toutes les abeilles d’Aristée, qu’elles croyaient cause de la
mort
de cette princesse. Aussitôt le fils de Cyrène al
es rendit industrieux. De si grands bienfaits lui méritèrent après sa
mort
les honneurs divins. Fauna. — Sterculie
ienne latinité, signifiait l’âme de l’homme séparée du corps après la
mort
. Les païens regardaient les Lémures comme des gén
fendez-moi de l’ennuyeux. Ducis. La coutume ancienne d’enterrer les
morts
dans les maisons a donné lieu au peuple de croire
ora sous le nom de dieu. La coutume s’étant introduite d’enterrer les
morts
sur les grands chemins, les Lares en devinrent le
e de la déesse. Les vertus de ce prince égalèrent sa valeur. Après sa
mort
, la reconnaissance des peuples lui érigea des aut
le bon roi, en apercevait les voiles noires, crut que son fils était
mort
, et il se précipita dans la mer qui porte son nom
t si tendrement, que Pollux qui était seul immortel, voyant son frère
mort
et n’ayant pu obtenir de Jupiter qu’il le rendît
e l’oracle que l’enfant dont sa femme était enceinte lui donnerait la
mort
, ordonna à la reine de le faire périr sitôt qu’il
ince : admirez votre sort ! Le prince vous adopte au lieu de son fils
mort
, Et par ce coup adroit, sa politique heureuse Aff
me avec art concertée. Voltaire. Créon, frère de Jocaste, qui, à la
mort
de Laïus, s’était emparé du royaume, fit publier
trouvèrent. Le dévouement de Ménécée, fils de Créon, qui se donna la
mort
, rendit les dieux favorables aux Thébains, et plu
e toute vive, mais elle prévint cet affreux supplice en se donnant la
mort
; Hémon, fils de Créon, qui était sur le point de
e Créon, qui était sur le point de l’épouser, se tua de désespoir. La
mort
du fils causa celle de la mère, et Créon, ne pouv
fit aisément, quoiqu’il eût pris les armes d’Achille. En apprenant la
mort
de son ami, Achille, furieux, chercha Hector, le
’était rendu dans le temple d’Apollon Tymbréen, Pâris, pour venger la
mort
de son frère, le tua d’un coup de flèche, en lui
les Troyens à son égard, puisque Clytemnestre, sa femme, lui donna la
mort
. Un jour, au milieu d’un festin, cette princesse
’occasion de quelque tumulte, une flèche tirée au hasard lui donna la
mort
. Énée Enée était du sang royal de Troyes.
ssa en Sicile pour la seconde fois, et y célébra l’anniversaire de la
mort
d’Anchise. Enfin, après avoir consulté à Cumes la
uelle Enée perdit ses plus fidèles compagnons. Il vengea bientôt leur
mort
par des faits d’armes extraordinaires. Enfin les
Thermes, et là, seul, assis sur un banc, écoutant sous ces murailles
mortes
les bruits joyeux de la vie parisienne, je songea
ire dans Rome. Pendant les longs siècles de barbarie qui suivirent ma
mort
et la chute de l’Empire, j’errai paisible dans le
ait chanté la lyre d’Apollon. Pour la seconde fois le grand Pan était
mort
. Indigné, je me retirai dans ce temple, où j’ai r
n guide m’arrêta : « Que craignez-vous, me dit-il, ces choses-là sont
mortes
. » Il pénétra résolûment dans cet étrange musée,
e mon guide, la lui avait donnée un jour par charité ; mais depuis la
mort
du poëte, elle n’avait pas été remontée. Je fus é
: Ailes du Temps, ailes de l’Amour, ailes de l’Espérance, ailes de la
Mort
, etc. En face du Temps, trois affreuses vieilles
it que forêts et marécages, elle passait déjà sur le lac Achéruse les
morts
égyptiens. Telle que vous la voyez, vermoulue, us
êtres, moins que des ombres, des fantômes d’ombres ; car deux fois la
mort
a passé sur ces tristes images. Depuis plus de qu
renouvelaient tous les jours. Un repas, une fête, une naissance, une
mort
, un voyage, un retour, l’arrivée d’un hôte, d’un
et de lamentations, on rend les derniers devoirs à Adonis, comme à un
mort
, et le lendemain on dit qu’il est ressuscité et o
tre pâlit, il perd ses forces et sa chaleur ; la tiède Vénus le croit
mort
pour jamais, elle s’exile, elle fait place à l’hi
rand inventeur, le bienfaiteur d’une ville, étaient placés après leur
mort
au rang des divinités secondaires. Les peuples im
t vivre, et nous conduisons le nôtre à l’abattoir ; ils pleuraient sa
mort
, et nous achetons sa culotte à la livre ; ils ne
m’a données pour visiter ce Paris dont on fait tant de bruit chez les
morts
. Par Hercule ! je me suis cru dans Rome. Croyez-m
quoi bon, puisque vous avez renoncé au salutaire usage de brûler vos
morts
? — Eh ! reprit mon scribe, ne faut-il pas que no
n écrit cité par Pline, qu’en Thessalie, il en était né un, qui était
mort
le même jour ; et qu’est-ce que pèse le témoignag
l l’avait vu. — Né en Arabie, dit-il, et envoyé en Égypte, il y était
mort
de nostalgie. Le préfet d’Égypte avait fait saler
ortait au logis des glands, des mûres tombées des buissons et du bois
mort
pour son foyer. « Sa fille, une enfant, ramenait
angée de dents aiguës et serrées, d’où ruisselait continuellement la
mort
ensanglantée 1. Plus loin, Scylla, la tête caché
têtes, toujours menaçante, toujours prête à tomber, jusqu’à ce que la
mort
vienne enfin le trancher de ses mains secourables
nuent à une peste qui désola Rome, sous Grégoire le Grand. « Comme la
mort
, disent-ils, s’annonçait par des éternuements et
l devint si habile et fit des cures si merveilleuses, qu’il rendit la
Mort
inquiète et Jupiter jaloux. Si les hommes, par se
impie le bienfaiteur du genre humain, qui retomba sous l’empire de la
Mort
. Les hommes, reconnaissants, élevèrent des temple
riller leur prunelle fauve ; en automne, ils entendaient les branches
mortes
craquer sous leurs pieds agiles ; quand la source
ur, car, si leur influence enrichissait la ferme, leur vue donnait la
mort
. Bons petits dieux des champs, Pans, Satyres et
nnus, Bons petits dieux des champs, qu’êtes-vous devenus ? Êtes-vous
morts
, hardis pourchasseurs de nymphes ? Non, vous avez
l’embrasse en pleurant ; le mourant lui fait ses derniers adieux. La
mort
même ne brise pas cette toute-puissante attache.
danger pour les vivants ; l’expropriation les poursuit jusque dans la
mort
, et la tombe n’est pas pour eux un domicile à per
rs souffrances et ne les quittaient pas plus que leur ombre. Quand la
mort
avait rompu cette mystérieuse union, les génies d
pas troubler les ombres dans leur repas mystérieux. Après la fête des
morts
, venait celle des vivants. On s’invitait entre pa
commune, il n’y avait que des frères. C’était un touchant usage. Les
morts
n’étaient pas oubliés dans ce banquet fraternel :
é d’un culte doublement saint, parce qu’il rattachait les vivants aux
morts
par le lien du souvenir, et les vivants entre eux
ns, ce n’était pas une raison pour en donner une à Guillaume, qui est
mort
en bon chrétien, et qui fut, de son vivant, si j’
un qui rendra le poignard de Melpomène plus tranchant. Mais… je serai
mort
. » — Aujourd’hui que ce quelqu’un-là est venu, qu
faire le poëte, et non pas rendre une vie artificielle à des fictions
mortes
avec les erreurs qui les ont inspirées. Narcis
e leur corps. Car les corps eux-mêmes étaient destinés au bûcher : la
mort
ne leur enlevait que le mouvement, qui pouvait le
« Telle est, lui répond Anticlée, la condition des mortels ; après la
mort
, ils n’ont plus ni chairs, ni os, ni muscles ; l’
t, si l’on peut s’exprimer ainsi, des âmes matérielles. Même après la
mort
, des liens mystérieux les rattachaient à leurs co
s, une fois les rites funèbres accomplis et les portes d’airain de la
mort
fermées sur elles, la magie seule pouvait les évo
ues, l’expression de désespoir ou de férocité qui avait accompagné la
mort
. Elles emportaient des gages matériels de l’affec
’affection des vivants. Ainsi Achille met entre les mains de Patrocle
mort
les boucles de ses cheveux. Enfin elles aimaient
l reçoit des honneurs divins ; — on leur érige des statues après leur
mort
. Quelques interprètes voient en lui la grande per
it l’homme, l’énerve et lui ôte toute activité. Enfin l’âne, après sa
mort
, fut mis au rang des constellations, pour servir
aux dieux l’ambroisie, principe d’immortalité ; l’autre de tromper la
mort
. Jupiter, le gardien jaloux de l’ordre immuable,
lation de la fatale destinée du prince ; Œdipe à Colone, son exil, sa
mort
; Antigone, la destruction de toute sa famille. C
Acrise, roi d’Argos, qui avait appris de l’oracle qu’il serait mis à
mort
par un fils de sa fille. Le fils de Jupiter et de
s dévorés par un dragon qui avait la garde de ce lieu. Pour venger la
mort
de ses compagnons, le fils d’Agénor tua le monstr
la fille d’Inachus. Cependant Jupiter ordonne à Mercure de donner la
mort
à Argus, afin de soustraire son amante à la fureu
outable au son de sa flûte, et son fer tranche la tête d’Argus. Cette
mort
fut pour Junon une nouvelle offense. La déesse fa
Adonis ! c’était le premier de ses amants qui avait été frappé par la
mort
. Jupiter, touché de son désespoir, consentit qu’A
d’Afrique où Didon, qui venait de fuir la terre de Phénicie, après la
mort
de son époux Sichée, cruellement assassiné par Py
ns la cour de son palais, un grand bûcher sur lequel elle se donna la
mort
avec l’épée de son amant, seul objet qui lui rest
e lieu redoutable, et les oiseaux qui y passaient en volant tombaient
morts
sur la terre. Les dieux permirent à Énée d’entrer
e des dieux ; j’étais reine ; j’étais aimée. O trop chers souvenirs !
Mort
, viens finir mes tourments… » Ce fut alors que la
et ne vit pas Un serpent que les fleurs recelaient sous ses pas : La
Mort
ferma ses yeux ; les nymphes ses compagnes De leu
routes, Et perçant ces forêts où règne un morne effroi, Il aborda des
morts
l’impitoyable Roi, Et la Parque inflexible, et le
obile écoutait ces accords ; L’Hydre affreuse oublia d’épouvanter les
morts
; Et Cerbère, abaissant ses têtes menaçantes, Ret
ante « En vain te cherche encor de sa main défaillante ; « L’horrible
Mort
, jetant son voile autour de moi, « M’entraîne loi
îner sa misère ? Par quels sons, par quels pleurs fléchir le dieu des
morts
? Déjà cette ombre froide arrive aux sombres bord
« Excite une frayeur mortelle. « Je porte l’épouvante et la
mort
en tous lieux ; « Tout se change en rocher à mon
Calydon une maladie semblable à l’ivresse, et qui bientôt frappait de
mort
ceux qui en étaient atteints. L’oracle de Dodone
t comme sa conquête la plus chère. Cependant Érigone, ayant appris la
mort
de son père, assassiné par des bergers ; et, par
osa de ses larmes, et ne pouvant vaincre sa douleur, elle se donna la
mort
. Les dieux placèrent cette fille si pieuse parmi
s les dames initiées gardaient un silence rigoureux : on punissait de
mort
quiconque se trouvait à la célébration des mystèr
, Jusqu’au fond laissa voir sous sa voûte effroyable, Ce palais de la
Mort
, ce séjour de terreur, Et de ces noirs cachots la
t dans l’ombre éternelle envoyant ses clartés, Le jour éblouirait les
morts
épouvantés : Tel, effrayé du jour qui malgré lui
fils de Vénus. Énée est le dernier qui, vivant, ait vu le séjour des
morts
; et c’est l’historique de son voyage qui peut do
ont auprès de la Terreur, du pénible Travail, du Sommeil parent de la
Mort
: là, ils voient aussi la cruelle Joie qui résult
Sa barque, qu’en roulant noircit la vague impure, Va transportant les
morts
sur l’avare Achéron ; Sans cesse il tend la voile
prêtresse d’Apollon. A peine eurent-ils mis le pied sur le rivage des
morts
, qu’ils trouvèrent le chien Cerbère qui faisait r
est de garder les Enfers, et d’empêcher aux vivants d’y entrer et aux
morts
d’en sortir. La prêtresse lui ayant jeté un gâtea
age, qui, n’ayant pu supporter la fuite de ce héros, s’était donné la
mort
sur un bûcher. Elle parut insensible aux regrets
fit tellement régner la justice et l’équité, que les dieux, après sa
mort
, le crurent digne d’être juge dans les Enfers. No
Cybèle se vengea cruellement sur son amant et sur sa rivale. Après la
mort
d’Atys, la déesse le métamorphosa en pin. Mainten
héros. Parmi elles, on distinguait Maïa, mère de Mercure. Après leur
mort
, elles furent placées dans le ciel, où elles form
ur ses bords, et ne pouvant souffrir de rouler dans ses ondes tant de
morts
, combattit Achille, qui eût succombé, si Vulcain
s ; il répand ses feux dans le champ de bataille, et consume tous les
morts
dont Achille l’avait couvert. Toute la plaine est
n amante. Égérie, nymphe chérie de Numa, fut changée en fontaine à la
mort
de ce prince. On assure que la fontaine de Salmac
eux domestiques, on plaçait aussi les Mânes, qui étaient les ames des
morts
, ou des Génies familiers, bons ou mauvais, dont o
ande : Ce sont des dons légers que la tombe demande. Pour honorer les
morts
, le cœur est riche assez, Et leurs dieux ne sont
attachés à leur sort, Leurs vices, leurs vertus, leur fortune et leur
mort
. Le Temps, d’une aile prompte et d’un vol insensi
ult.) D. Pourquoi Apollon fut-il banni du ciel ? R. Pour avoir mis à
mort
les Cyclopes, ministres de la colère de Jupiter.
e médecin, qu’il vint à bout de ressusciter le jeune Hyppolite, mis à
mort
par des monstres marins. Jupiter, indigné qu’un m
théâtre. La grave Melpomène en la scène fait voir Des Rois qui de la
mort
éprouvent le pouvoir. L’agile Terpsicore aime su
t, l’épouvante et l’horreur Devancent leurs flots redoutables ; Et la
mort
remet dans leurs mains Ces tonnerres épouvantable
cendre, Sont de ta cruauté les plus doux monumens. La frayeur et la
mort
vont sans cesse à ta suite, Monstre nourri de san
main. Son royaume est communément appelé le royaume des Ombres et des
Morts
. Juges des Enfers. D. Donnez-nous une idée
les Grecs et les Romains mettoient une obole dans la bouche de leurs
morts
. Les corps privés de sépulture erroient cent ans
x qui vouloient sortir, ou qui se présentoient pour entrer avant leur
mort
. Hercule l’enchaîna ; la Sibylle, qui conduisit E
Et la foudre en éclats qui gronde sous ses pieds, Semble annoncer la
mort
aux peuples effrayés. (Voltaire.) Divinités
rueux qui jetoit feu et flammes, et en délivra la Grèce. 9.° Il mit à
mort
le tyran Diomède, roi de Thrace, qui faisoit dévo
de Pasiphaë, épouse de Minos, roi de Crète. Ce Prince, pour venger la
mort
de son fils Androgée, tué par les jeunes gens d’A
e. Castor ayant perdu la vie dans un duel, Pollux fut si touché de sa
mort
, qu’il pria Jupiter de permettre qu’il partageât
frayant un chemin jusques aux sombres bords, Rendant à ses désirs la
mort
même propice, Et des Enfers au jour ramenant Euri
divisa d’elle-même, ce qui qui fit connoître, ajoute la Fable, que la
mort
n avoit pu éteindre une haine, dont on n’a point
contrée, les fit arrêter. Oreste étoit le seul dont Thoas désiroit la
mort
. Mais Pilade voulut mourir en sa place ; ils se d
e sanglante Recule d’horreur. Neptune, pour venger la
mort
de Polyphême son fils, qu’Ulysse avoit tué, soule
désespoir. Cette Princesse malheureuse avoit été obligée de fuir à la
mort
de Sichée son premier mari. Le prince Troyen, qu’
en, qu’elle avoit épouse en secondes noces, fuit, et elle se donne la
mort
. C’est ce qui a donné lieu à cette belle épigramm
ort ? L’un, en mourant, cause ta fuite ; L’autre, en fuyant, cause ta
mort
. D. Quelle fut la fin de ses aventures ? R. Enée
le de Latinus, roi du pays Latin, fonde l’empire Romain ; et après sa
mort
, il est enlevé au ciel par Vénus. On l’honoroit à
l tombe sous les coups du Héros Troyen. D. Qu’arriva-t-il après cette
mort
? R. Achille brûlant de venger la mort de son ami
D. Qu’arriva-t-il après cette mort ? R. Achille brûlant de venger la
mort
de son ami, reprend les armes, attaque Hector, le
roit, Thisbé le vit en cet état, et se doutant bien de la causé de sa
mort
, elle se perça de la même épée. Les mûres qui éto
ole, roi de Carie. Artémise, son épouse, ne pouvoit se consoler de la
mort
de ce Prince. Ainsi quand Mausole fut mort,
voit se consoler de la mort de ce Prince. Ainsi quand Mausole fut
mort
, Artémise accusa le sort, De pleurs se noya
ient destinées à recevoir les corps des Rois et des Reines après leur
mort
. Les Pyramides étoient revêtues de marbre en deho
rsister ; être dans le gouffre et dehors ; reparaître au-dessus de la
mort
, comme insubmersible, il y a une certaine quantit
et le prélude d’une autre qui va naître — La vie est séminaire de la
mort
: la mort est la nourrice de la vie. Frèdol — Le
lude d’une autre qui va naître — La vie est séminaire de la mort : la
mort
est la nourrice de la vie. Frèdol — Le monde de
restarono entrambi vittime della loro inimicizia. Le roi quì semble
mort
, observe tous ses pas ; Il le coit, il l’attend,
derniers soupirs. Prét à rendre la vie, il en câche le reste ; Et sa
mort
au vainqueur est un piege funeste : Et dans l’ins
heology, should also be spinsters, and three in number1007. Κῆρες.
Mortes
. The Keres are personifications of violent de
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