aturne et de Cybèle. Le plus grand et le Souverain des Dieux. Sa
mère
le déroba à la cruauté de Saturne, en le faisant
Son courage égaloit son génie. Il tua le Serpent Pithon, ennemi de sa
mère
, et les Cyclopes qui avoient forgé la foudre, par
et de Sémélé. La furieuse et implacable Junon avoit persécuté sa
mère
; elle voulut aussi le faire périr lui-même. Mais
ce difforme, odieuse à son père. Et bientôt dérobée aux regards de sa
mère
, Qui le lance du Ciel dans le sein de Thétys. On
être aimable, intéressant ! Vois, le fils bien aimé sur le sein de sa
mère
: Que son repos est doux ! la fraîcheur printanni
els invoque la puissance. Virgile. — Chabanon 65. Aux Mânes de ma
Mère
. Objet sacré de ma tendresse, Qui me fais ai
s sans cesse Les premiers sentimens du cœur, O ma bienfaitrice ! ô ma
Mère
! La mort n’a pu nous séparer, Et le besoin de te
aime et révère, Sera mon seul consolateur ; Et du moins, auprès de ma
Mère
, Je pourrai retrouver mon cœur. Doigni 66.
Cybèle ou Rhéa, Fille du Ciel et de la Terre, femme de Saturne et
Mère
des Dieux. On la représente avec une tour su
que, des Dieux qu’on révère, De l’homme, de la brute, on la nomma la
Mère
. Mère tendre ! Les Grecs, dans leurs doctes chans
des Dieux qu’on révère, De l’homme, de la brute, on la nomma la Mère.
Mère
tendre ! Les Grecs, dans leurs doctes chansons, L
s dents de ton barbare père, Pour épargner des pleurs à ta tremblante
mère
, D’un horrible combat présentant le tableau, Folâ
Cerbère, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa
mère
! Belle Proserpine, à tes yeux, Déjà la moisson e
le toit où tu vis la lumière, S’assied près d’une amante à côté d’une
mère
; Et par ces doux tableaux, à ton pays rendu, Ton
sentir le prix de tes faveurs !. Roman, d’Avignon 107. O toi,
mère
des biens qui rendent l’homme heureux, Fille de l
s point à regretter un fils, Tu n’auras point à consoler sa
mère
, Vigée 123. Libitine, Déesse des Funérai
périrent toutes. Le Berger désolé courut implorer la protection de sa
mère
. Cyrène partageant la douleur de son fils, lui co
fleuve repose Il arrive, il s’arrête, et, tout baigné de pleurs, A sa
mère
en ces mots exhale ses douleurs : Déesse de ces e
en ces mots exhale ses douleurs : Déesse de ces eaux, ô Cyrène ! ô ma
mère
! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père, H
n’as-tu formé ton fils Que pour l’abandonner aux destins ennemis ? Ma
mère
, qu’as-tu fait de cet amour si tendre ? Où sont d
ns qui charmoit ma misère, Mes essaims ne sont plus ; et vous êtes ma
mère
! Achevez : de vos mains ravagez ces côteaux, Emb
elle Cymodoce à la taille légère, Cydippe, vierge encor, Lycoris déjà
mère
; Vous, Aréthuse, enfin, que l’on vit autrefois P
actives, Du malheureux Berger la gémissante voix Parvient jusqu’à sa
mère
une seconde fois. Cyrène s’en émeut ; ses compagn
gné de ses larmes, Paroît au bord des eaux accablé de douleurs, Et sa
mère
est, dit-il, insensible à ses pleurs : Mon f
canal. Le jeune Dieu descend, il s’étonne, il admire Le palais de sa
mère
et son liquide empire : Il écoute le bruit des fl
llant palais Que les flots ont creusé dans un roc toujours frais ; Sa
mère
en l’écoutant sourit et le rassure ; Les Nymphes
bientôt l’amour des combats, et devint le premier des héros Grecs. Sa
mère
lui donna le choix, ou d’une vie immortelle, mais
festin, Ce festin détestable, où le fer à la main, Clytemnestre ! ma
mère
! ah ! cette horrible image Est présente à mes ye
p, il faut qu’à ma colère… Que vois-je ? Dans ses mains la tête de ma
mère
! Quels regards ! où fuirai-je ? ah ! monstre fur
monstre cruel, arrête ! A mes yeux effrayés dérobe cette tête. Oh, ma
mère
! épargnez votre malheureux fils. Ombre d’Agamemn
, chère ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa
mère
; Prends pitié de l’état où tu me vois réduit. Qu
ur ordonna de jeter par-derrière et par-dessus la tête les os de leur
mère
, c’est-à-dire, des pierres. Ces pierres sortant d
llir les divers ossemens. Ainsi d’hommes sans nombre une femme est la
mère
… Nés des cailloux, nos cœurs en ont la dureté ; E
erre dans sa famille, et en le faisant mettre en pièces par sa propre
mère
et par ses tantes. Au haut du Cithéron s’élè
ire ; Un seul lui reste encor : mais Ino le déchire. Aux genoux de sa
mère
il tombe tout sanglant, Il l’implore : Agavé le r
ls, Laocoon, avoient suivi tes pas : Tes fils, portraits vivans d’une
mère
adorée, Comme toi, revêtus de la robe sacrée. Le
rtu n’osa point lutter contre les Dieux, Je m’arrachai des bras d’une
mère
éplorée ; Je partis, je courus de contrée en cont
ses soins les plus doux ;. Ses enfans, à nos yeux, font revivre leur
mère
. Aimable et digne Epouse ! Ombre fidelle et chère
orte à la suite de ses couches. Contemplons, dans ces traits, des
mères
le modèle : Gardons-nous de pleurer s
mon trépas vous étiez destiné. Le Ciel, à mes enfans, veut ravir une
mère
. O vous ! pour qui je meurs, écoutez ma prière :
il croîtra près d’un père. Mais, à ma fille, ici, qui tiendra lieu de
mère
? Fille trop chère, hélas ! s’il falloit quelque
appartint toute entière, Fut la plus tendre épouse, et la plus tendre
mère
. Euripide. — Laharpe.184 Andromaque, Fem
. Ce fut la plus tendre et la plus malheureuse des femmes et des
mères
. Elle vit tomber sous les coups d’Achille un épou
le peuple massacré, Thèbes, sa capitale, aux feux abandonnée ; Et ma
mère
, à son char, en esclave traînée ! Hector, mon ch
plus une tête si chère ; Prends pitié de ton fils, prends pitié de sa
mère
; Ou, si tu veux encor te joindre à nos guerriers
son passage à la fois s’écrier : Il est plus grand qu’Hector ! que sa
mère
le voie, S’enfle d’un juste orgueil, et tressaill
essaille de joie. » A sa chère Andromaque, à ces mots, il le rend. La
mère
le reçoit, et sourit en pleurant ; Hector en est
mon amour. O doux embrassemens ! ô baisers pleins de charmes, Qu’à ta
mère
éperdue, ils vont coûter de larmes ! Sauve-toi da
vie et le jour dans mon sein. Pour la dernière fois embrasse encor ta
mère
. Près de joindre au tombeau les mânes de ton père
rope alloit l’égorger sans le connoître. Polifonte promettoit à cette
mère
infortunée, de sauver Egiste, et de lui servir de
vu couler les flots. Déjà la garde accourt avec des cris de rage. Sa
mère
… Ah ! que l’amour inspire de courage ! Quel trans
spire de courage ! Quel transport animoit ses efforts et ses pas ! Sa
mère
… Elle s’élance au milieu des soldats. C’est mon f
ils, arrêtez, cessez, troupe inhumaine ; C’est mon fils ; déchirez sa
mère
et votre Reine, Ce sein qui l’a nourri, ces flanc
ng leurs débris dispersés ; Les enfans écrasés dans les bras de leurs
mères
: Les frères méconnus, immolés par leurs frères ;
de.— Saint-Ange 193. Castor et Pollux, Fils de Léda. Leur
mère
eut le premier de son époux Tyndare, et le second
soir ténébreux, Rassemble par milliers dans les bocages sombres ; Des
mères
, des héros, aujourd’hui vaines Ombres, Des vierge
mens. O combien ce récit, va frapper sa vieillesse ! O qu’il va de ma
mère
affliger la tendresse ! J’entends ses cris perçan
’Eole et Femme de Céyx. Son Epoux désolé de la mort de Chioné sa
mère
, alla demander à l’Oracle de Claros de la rendre
s soins maternels. On peut la regarder comme le modèle de ces tendres
mères
qui se font un devoir sacré d’allaiter les fruits
le à ceux de la campagne. à une Amie, Sur l’obligation où sont les
mères
d’allaiter leurs enfans. Tu connois les devo
e, Combien d’infortunés, moissonnés dès l’aurore, Que le sein de leur
mère
eût sauvé du tombeau ! Mais c’est peu que les loi
Dans notre enfant par toi-même allaité, Je reconnois le bouquet d’une
mère
. Tu t’es choisi cette douce parure ; Elle es
dmon étoit son père. Humble épouse, assortie à cet époux vulgaire, Sa
mère
n’étoit plus. Leur fille, toute-fois, Sut de la r
ces mots : Jeune, on fuit la vieillesse On a tort ; la vieillesse est
mère
du bon sens. Ecoutez mes avis : Vantez-vous, j’y
nsée de son orgueil, l’en puni de la manière la plus cruelle pour une
mère
. Elle fit tuer ses fils par Apollon, et ses fille
les nombreux enfans, fruits de son hyménée. Sans son orgueil, hélas !
mère
trop fortunée. Manto, qui, du Ciel même inte
et bercé par les flots ? Là, sept fois moins que moi digne du nom de
mère
, Deux jumeaux, en naissant, consolent sa misère…
que l’on a pu me faire, O ma fille ! ô mon fils ! suis-je encor votre
mère
? Hélas ! moi qui faisais ma gloire de ce nom, Fi
Saint-Ange 222. Regardez Niobé, cette femme orgueilleuse, Cette
mère
superbe et bien plus malheureuse ; Quel spectacle
cours, auroit été renfermé dans l’écorce du Lotos avec sa malheureuse
mère
. Iole raconte les malheurs de sa S œu r Dryope.
urs de sa S œu r Dryope. Unique et cher espoir de la plus tendre
mère
, (Une autre fut la mienne, et nous n’avions qu’un
d naissant qui l’ombrage à mes yeux. Son fils, pressant le sein de sa
mère
chérie, Appelle envain des sucs dont la source es
qu’il plaigne ma misère ; Et qu’il dise : autrefois cet arbre fut ma
mère
; Mais que jamais par lui des rameaux arrachés,
re, du lion Némée, et du Sphinx. La Chimère, aussi monstrueuse que sa
mère
, vomissoit sans cesse feu et flamme : elle ravage
os concerts ; Ainsi s’élevant de son aire, L’aiglon sous l’aile de sa
mère
, Apprend à planer dans les airs. Vous fuyez,
te mes lois257. Nature. La Fable l’appelle indifféremment, la
Mère
, la Femme ou la Fille de Jupiter. C’est elle qui
un peuple ému les flots impétueux ; C’est Bayard, dans les bras d’une
mère
plaintive, Sans tache et sans rançon remettant sa
itié défaillante, Et du vieillard courbé la marche chancelante, Et la
mère
qui croit dérober au trépas Son fils, unique espo
r ne s’offre à sa misère. Comment nourrir, hélas ! ses enfans et leur
mère
? Ira-t-il secouer le gland dans les forêts ? Mai
aix ! tranquille Paix ! secourable Immortelle, Fille de l’Harmonie et
mère
des Plaisirs, Que fais-tu dans les Cieux, tandis
es champs ravagés, vois ces temples brûlant, Ces peuples éplorés, ces
mères
fugitives, Et ces enfans meurtris entre leurs bra
ndort doucement pour renaître à la vie. Léonard 262. Bonheur d’une
Mère
. La Providence veut, c’est un de ses bienfait
éris, fixer ses destinées ; … De combien de talens l’Infortune est la
mère
? C’est peut-être à ses coups que nous devons Hom
et un poignard à la main, A la plus sensible et la plus tendre des
Mères
. Elle n’est plus cette fille chéri
; sa barbare furie A détruit pour jamais le charme de ta vie. Pleure,
Mère
sensible, ah ! pleure, et que ton cœur En longs a
n regard te peignoit son amour. Tu t’enivrois alors du bonheur d’être
mère
; Alors tu me vantois son esprit, sa douceur,
e mon ouvrage. Et la Mort à seize ans sur elle étend sa rage ! Pleure
Mère
sensible, ah ! pleure, et que ton cœur En longs a
ngs accens plaintifs exhale sa douleur, etc. Chas 265. Vers d’une
Mère
sur la Mort de sa Fille. Elle étoit mon trés
r et du plaisir ; un pied sur une roue, et un autre en l’air comme sa
mère
. L’Envie est ordinairement à sa suite. Au se
s vieillards pourtant l’allèrent visiter ; Une ou deux
mères
de famille, Et même, à ce qu’on dit, une assez je
la force et la santé. On devine aisément où tend cet apologue. O
mères
de famille ! ô bons instituteurs ! Je ne m’érige
ndoit les bras ; Son enfance, sa voix, sa misère et ses charmes, A sa
mère
, en fureur, arrachent mille larmes ; Elle tourne
r mes maux et ta misère ; Rends-moi le jour, le sang que t’a donné ta
mère
; Que mon sein malheureux te serve de tombeau, Et
nhumains, C’est vous qui dans son sang avez trempé mes mains : Que la
mère
et le fils vous servent de pâture. Craignez-vous
se ! C’est l’Imagination. Reine aimable des mensonges, Viens-tu,
mère
des erreurs, De l’ivresse où tu nous plonges, Me
doit les descendans du malheureux Ammon, Quand à Moloc leur Dieu, des
mères
gémissantes, Offroient de leurs enfans les entrai
e 305. Patrie. Elle préside aux lieux qui nous ont vu naître.
Mère
tendre, elle nous inspire pour elle un amour sacr
e l’Immortalité qui enfante et crée l’héroïsme : l’Immortalité est la
Mère
des Grands Hommes. Oui, sans cesse exister ;
n. Enéide. liv. VI. 66. [Table des matières] Doigni. Aux Mânes de ma
Mère
. 67. [Table des matières] Leblanc de Guillet. Lu
ignon. Epître sur la Santé. 108. [Table des matières] Anonyme. O toi
mère
des biens, etc.. 109. [Table des matières] Paul.
5. [Table des matières] Julie Laurencin. Sur l’obligation où sont les
Mères
de nourrir leurs enfans. 216. [Table des matière
es de nourrir leurs enfans. 216. [Table des matières] Jossaud. A une
Mère
qui se propose de nourrir son enfant. 217. [Tabl
r la mort de sa fille. 266. [Table des matières] Anonyme. Vers d’une
mère
sur la mort de sa fille. 267. [Table des matière
aturne et de Cybèle. Le plus grand et le Souverain des Dieux. Sa
mère
le déroba à la cruauté de Saturne, en le faisant
Son courage égalait son génie. Il tua le Serpent Pithon, ennemi de sa
mère
, et les Cyclopes qui avaient forgé la foudre, par
et de Sémélé. La furieuse et implacable Junon avait persécuté sa
mère
; elle voulut aussi le faire périr lui-même. Mais
ce difforme, odieuse à son père. Et bientôt dérobée aux regards de sa
mère
, Qui le lance du Ciel dans le sein de Thétys. On
être aimable, intéressant ! Vois, le fils bien aimé sur le sein de sa
mère
: Que son repos est doux ! la fraîcheur printanni
els invoque la puissance. Virgile. — Chabanon 66. Aux Mânes de ma
Mère
. Objet sacré de ma tendresse, Qui me fais aime
s sans cesse Les premiers sentimens du cœur, O ma bienfaitrice ! ô ma
Mère
! La mort n’a pu nous séparer, Et le besoin de te
aime et révère, Sera mon seul consolateur ; Et du moins, auprès de ma
Mère
, Je pourrai retrouver mon cœur. Doigni. Dée
Cybèle ou Rhéa, Fille du Ciel et de la Terre, femme de Saturne et
Mère
des Dieux. On la représente avec une tour su
que, des Dieux qu’on révère, De l’homme, de la brute, on la nomma la
mère
. Mère tendre ! Les Grecs, dans leurs doctes chans
des Dieux qu’on révère, De l’homme, de la brute, on la nomma la mère.
Mère
tendre ! Les Grecs, dans leurs doctes chansons, L
s dents de ton barbare père, Pour épargner des pleurs à ta tremblante
mère
, D’un horrible combat présentant le tableau, Folâ
t depuis, et son destin diffère. Junon, comme Cérès, devint épouse et
mère
. Vesta, vous le savez, ne connut point d’époux. F
Cerbère, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa
mère
! Belle Proserpine, à tes yeux, Déjà la moisson e
le toit où tu vis la lumière, S’assied près d’une amante à côté d’une
mère
; Et par ces doux tableaux, à ton pays rendu, Ton
r le prix de tes faveurs !. L’abbé Roman, d’Avignon 109. O toi,
mère
des biens qui rendent l’homme heureux, Fille de l
auras point à regretter un fils, Tu n’auras point à consoler sa
mère
, Vigée 125. Au général Desaix, tué à la batail
périrent toutes. Le Berger désolé courut implorer la protection de sa
mère
. Cyrène partageant la douleur de son fils, lui co
fleuve repose Il arrive, il s’arrête, et, tout baigné de pleurs, A sa
mère
en ces mots exhale ses douleurs : Déesse de ces e
en ces mots exhale ses douleurs : Déesse de ces eaux, ô Cyrène ! ô ma
mère
! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père, H
n’as-tu formé ton fils Que pour l’abandonner aux destins ennemis ? Ma
mère
, qu’as-tu fait de cet amour si tendre ? Où sont d
ns qui charmait ma misère, Mes essaims ne sont plus ; et vous êtes ma
mère
! Achevez : de vos mains ravagez ces coteaux, Emb
elle Cymodoce à la taille légère, Cydippe, vierge encor, Lycoris déjà
mère
; Vous, Aréthuse, enfin, que l’on vit autrefois P
actives, Du malheureux Berger la gémissante voix Parvient jusqu’à sa
mère
une seconde fois. Cyrène s’en émeut ; ses compagn
gné de ses larmes, Paraît au bord des eaux accablé de douleurs, Et sa
mère
est, dit-il, insensible à ses pleurs : Mon fi
canal. Le jeune Dieu descend, il s’étonne, il admire Le palais de sa
mère
et son liquide empire : Il écoute le bruit des fl
llant palais Que les flots ont creusé dans un roc toujours frais ; Sa
mère
en l’écoutant sourit et le rassure ; Les Nymphes
nt vu de Créon les palais embrasés ; Médée, épouse impie, impitoyable
mère
, Sur ses propres enfans se venge de leur père. So
bientôt l’amour des combats, et devint le premier des héros Grecs. Sa
mère
lui donna le choix, ou d’une vie immortelle, mais
festin, Ce festin détestable, où le fer à la main, Clytemnestre ! ma
mère
! ah ! cette horrible image Est présente à mes ye
p, il faut qu’à ma colère… Que vois-je ? Dans ses mains la tête de ma
mère
! Quels regards ! où fuirai-je ? ah ! monstre fur
monstre cruel, arrête ! A mes yeux effrayés dérobe cette tête. Oh, ma
mère
! épargnez votre malheureux fils. Ombre d’Agamemn
, chère ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa
mère
; Prends pitié de l’état où tu me vois réduit. Qu
ur ordonna de jeter par derrière et par dessus la tête les os de leur
mère
, c’est-à-dire, des pierres. Ces pierres sortant d
un seul homme est le père. Et de femmes sans nombre une femme est la
mère
. De là nous sommes nés durs et laborieux, Dignes
erre dans sa famille, et en le faisant mettre en pièces par sa propre
mère
et par ses tantes. Sur le mont Cythéron s’éte
Le déchire ; il tend l’autre ; Ino l’arrache encore. Aux genoux de sa
mère
il tombe tout sanglant ; Il supplie : Agavé le re
ide aux autels de Bacchus ; Et de ce nouveau Dieu, les vierges et les
mères
, Célèbrent à l’envi le culte et les mystères. Ov
d les bras à son père, Hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa
mère
. A ce spectacle affreux, quoique sûr de la mort,
ls, Laocoon, avaient suivi tes pas : Tes fils, portraits vivans d’une
mère
adorée, Comme toi, revêtus de la robe sacrée. Le
rtu n’osa point lutter contre les Dieux, Je m’arrachai des bras d’une
mère
éplorée ; Je partis, je courus de contrée en cont
Énée, enfant de notre amour, Qui, charmant comme toi, tendre comme sa
mère
, Par ses traits seulement me rappelât son père ;
e ses soins les plus doux ; Ses enfans, à nos yeux, font revivre leur
mère
. Aimable et digne épouse ! ombre fidèle et chère
mon trépas vous étiez destiné. Le Ciel, à mes enfans, veut ravir une
mère
. O vous ! pour qui je meurs, écoutez ma prière :
il croîtra près d’un père. Mais, à ma fille, ici, qui tiendra lieu de
mère
? Fille trop chère, hélas ! s’il fallait quelque
appartint toute entière, Fut la plus tendre épouse, et la plus tendre
mère
. Euripide. — Laharpe. Andromaque, Femme d’
. Ce fut la plus tendre et la plus malheureuse des femmes et des
mères
. Elle vit tomber sous les coups d’Achille un épou
le peuple massacré, Thèbes, sa capitale, aux feux abandonnée ; Et ma
mère
, à son char, en esclave traînée ! Hector, mon che
plus une tête si chère ; Prends pitié de ton fils, prends pitié de sa
mère
; Ou, si tu veux encor te joindre à nos guerriers
son passage à la fois s’écrier : Il est plus grand qu’Hector ! que sa
mère
le voie, S’enfle d’un juste orgueil, et tressaill
ille de joie. » A sa chère Andromaque, à ces mots, il le rend. La
mère
le reçoit, et sourit en pleurant ; Hector en est
mon amour. O doux embrassemens ! ô baisers pleins de charmes, Qu’à ta
mère
éperdue, ils vont coûter de larmes ! Sauve-toi da
vie et le jour dans mon sein. Pour la dernière fois embrasse encor ta
mère
. Près de joindre au tombeau les mânes de ton père
rope allait l’égorger sans le connaître. Polifonte promettait à cette
mère
infortunée, de sauver Egiste, et de lui servir de
vu couler les flots. Déjà la garde accourt avec des cris de rage. Sa
mère
… Ah ! que l’amour inspire de courage ! Quel trans
spire de courage ! Quel transport animait ses efforts et ses pas ! Sa
mère
… Elle s’élance au milieu des soldats. C’est mon f
ils, arrêtez, cessez, troupe inhumaine ; C’est mon fils ; déchirez sa
mère
et votre Reine, Ce sein qui l’a nourri, ces flanc
ng leurs débris dispersés ; Les enfans écrasés dans les bras de leurs
mères
: Les frères méconnus, immolés par leurs frères ;
de. — Desaintange 189. Castor et Pollux, Fils de Léda. Leur
mère
eut le premier de son époux Tyndare, et le second
soir ténébreux, Rassemble par milliers dans les bocages sombres ; Des
mères
, des héros, aujourd’hui vaines Ombres, Des vierge
mens. O combien ce récit, va frapper sa vieillesse ! O qu’il va de ma
mère
affliger la tendresse ! J’entends ses cris perçan
’Eole et femme de Ceyx. Son Epoux désolé de la mort de Chioné sa
mère
, alla demander à l’Oracle de Claros de la rendre
s soins maternels. On peut la regarder comme le modèle de ces tendres
mères
qui se font un devoir sacré d’allaiter les fruits
ille à ceux de la campagne. A une amie, sur l’obligation où sont les
mères
d’allaiter leurs enfans. Tu connais les devoir
e, Combien d’infortunés, moissonnés dès l’aurore, Que le sein de leur
mère
eût sauvé du tombeau ! Mais c’est peu que les loi
vois rien qui puisse honorer la vertu. Julie Laurencin 208. A une
Mère
qui se propose de nourrir son Enfant. Oui, ce
enfant à son sein suspendu. Oui, ce fruit de l’hymen, ce trésor d’une
mère
, Même à ses propres yeux est sa beauté première.
rter un péril trop certain, Qu’une bouche fidèle aspire le venin. Une
mère
ose tout ! Isaure est déjà prête : Ses charmes, s
Idmon était son père. Humble épouse assortie à cet époux vulgaire, Sa
mère
n’était plus. Fille d’humbles parens, Elle ennobl
e ainsi : Jeune on fuit la vieillesse : On a tort : la vieillesse est
mère
du bon sens. Ecoutez mes avis. Vantez-vous, j’y c
nsée de son orgueil, l’en puni de la manière la plus cruelle pour une
mère
. Elle fit tuer ses fils par Apollon, et ses fille
e et battu par les flots. C’est-là que, moins que moi digne du nom de
mère
, Deux jumeaux lui sont nés, enfans de sa misère…
que l’on ose me faire, O ma fille ! ô mon fils ! suis-je encor votre
mère
? Hélas ! moi qui faisais ma gloire de ce nom, Fi
u récit de l’affront ; Apollon indigné l’arrête et l’interrompt. O ma
mère
! cessez ; la plainte de l’offense Retarde les mo
cours, aurait été renfermé dans l’écorce du Lotos avec sa malheureuse
mère
. Iole raconte les malheurs de sa sœur Dryope.
malheurs de sa sœur Dryope. Dryope, unique fruit de l’hymen de sa
mère
, (Une autre fut la mienne, et nous n’avions qu’un
t, espérance aussi tendre que chère, A son cou suspendu souriait à sa
mère
. Là, s’élève un lotos, dont les boutons en fl
qu’il plaigne ma misère, Et qu’il dise en pleurant : Cet arbre fut ma
mère
! Mais qu’il craigne les lacs, instruit par mon m
re, du lion Némée, et du Sphinx. La Chimère, aussi monstrueuse que sa
mère
, vomissait sans cesse feu et flamme : elle ravage
os concerts ; Ainsi s’élevant de son aire, L’aiglon sous l’aile de sa
mère
, Apprend à planer dans les airs. Vous fuyez,
te mes lois244. Nature. La Fable l’appelle indifféremment, la
Mère
, la Femme ou la Fille de Jupiter. C’est elle qui
un peuple ému les flots impétueux ; C’est Bayard, dans les bras d’une
mère
plaintive, Sans tache et sans rançon remettant sa
aix ! tranquille Paix ! secourable Immortelle, Fille de l’Harmonie et
mère
des Plaisirs, Que fais-tu dans les Cieux, tandis
es champs ravagés, vois ces temples brûlans, Ces peuples éplorés, ces
mères
fugitives, Et ces enfans meurtris entre leurs bra
ndort doucement pour renaître à la vie. Léonard 250. Bonheur d’une
Mère
. La Providence veut, c’est un de ses bienfaits
éris, fixer ses destinées ; … De combien de talens l’Infortune est la
mère
! C’est peut-être à ses coups que nous devons Hom
et un poignard à la main, A la plus sensible et la plus tendre des
Mères
. Elle n’est plus cette fille chérie,
; sa barbare furie A détruit pour jamais le charme de ta vie. Pleure,
Mère
sensible, ah ! pleure, et que ton cœur En longs a
n regard te peignait son amour. Tu t’enivrais alors du bonheur d’être
mère
; Alors tu me vantais son esprit, sa douceur,
e mon ouvrage. Et la Mort à seize ans sur elle étend sa rage ! Pleure
Mère
sensible, ah ! pleure, et que ton cœur En longs a
ongs accens plaintifs exhale sa douleur, etc. Chas 253. Vers d’une
Mère
sur la Mort de sa Fille. Elle était mon trésor
Voit autour de son lit sa famille assemblée, Ses frères attendris, sa
mère
désolée, S’étonne, veut savoir la cause de leurs
r et du plaisir ; un pied sur une roue, et un autre en l’air comme sa
mère
. L’Envie est ordinairement à sa suite. Au sei
ques vieillards pourtant l’allèrent visiter ! Une ou deux
mères
de famille, Et même, à ce qu’on dit, une assez je
la force et la santé. On devine aisément où tend cet apologue. O
mères
de famille ! ô bons instituteurs ! Je ne m’érige
ndait les bras ; Son enfance, sa voix, sa misère et ses charmes, A sa
mère
, en fureur, arrachent mille larmes ; Elle tourne
r mes maux et ta misère ; Rends-moi le jour, le sang que t’a donné ta
mère
; Que mon sein malheureux te serve de tombeau, Et
nhumains, C’est vous qui dans son sang avez trempé mes mains : Que la
mère
et le fils vous servent de pâture ! Craignez-vous
sse ! C’est l’Imagination. Reine aimable des mensonges, Viens-tu,
mère
des erreurs, De l’ivresse où tu nous plonges, Me
dait les descendans du malheureux Ammon, Quand à Moloc leur Dieu, des
mères
gémissantes, Offraient de leurs enfans les entrai
e 288. Patrie. Elle préside aux lieux qui nous ont vu naître.
Mère
tendre, elle nous inspire pour elle un amour sacr
e l’Immortalité qui enfante et crée l’héroïsme : l’Immortalité est la
mère
des grands hommes. Oui, sans cesse exister ;
matières] Julie Laurencin. A une amie, sur l’obligations où sont les
mères
d’allaiter leurs enfans. 209. [Table des matière
es d’allaiter leurs enfans. 209. [Table des matières] Jossaud. A une
mère
qui se propose de nourrir son enfant. 210. [Tabl
Le bonheur. 251. [Table des matières] Julie Laurencin. Bonheur d’une
mère
. 252. [Table des matières] d’Arnaud. Les avantag
de sa fille, fragment. 254. [Table des matières] Anonyme. Vers d’une
mère
sur la mort de sa fille. 255. [Table des matière
ut encore Titan, qui étoit l’aîné. Mais celui-ci, pour complaire à sa
mère
, céda l’empire du monde à Saturne, son cadet, à c
elle étoit principalement honorée. Elle étoit aussi appelée la grande
mère
, parce qu’elle est la mère de la plupart des dieu
onorée. Elle étoit aussi appelée la grande mère, parce qu’elle est la
mère
de la plupart des dieux. On la nommoit encore Ops
Cerbère, De retrouver le monde heureux Par les seuls bienfaits de sa
mère
! Belle Proserpine, à tes yeux Déjà la moisson es
te. R. Eaque étoit fils de Jupiter et d’Égine. Il donna le nom de sa
mère
à l’île dans laquelle il régna, et qui s’appelle
ut attenter à l’honneur de Latone. Apollon et Diane, pour venger leur
mère
, le tuèrent à coups de flèches. Les poëtes ont fe
dentes. Le culte que l’on rendoit à ce dieu, lui étoit commun avec sa
mère
. D. Vénus eut-elle des enfants de Bacchus ? R. O
t Cythéron, par les bacchantes, au milieu desquelles se trouvoient la
mère
et les parentes de ce prince. Les Minéides, ou fi
fils du Soleil, comme il s’en vantoit. Phaéton alla se plaindre à sa
mère
, qui le renvoya au Soleil pour apprendre de sa pr
condité, elle se préféra à Latone. Diane et Apollon, pour venger leur
mère
, tuèrent à coups de flèches touts les enfants de
ère, tuèrent à coups de flèches touts les enfants de Niobé ; et cette
mère
infortunée, changée en rocher, conserva, pour son
e Thémis, est regardée comme la justice, et souvent confondue avec sa
mère
. Elle descendit du ciel, dans l’âge d’or, pour ha
Acrise ordonna que cet enfant fût exposé à la merci des flots avec sa
mère
dans une méchante barque. La nacelle fut jetée su
mmes. Hercule le terrassa trois fois, mais en vain : car la Terre, sa
mère
, lui rendoit des forces nouvelles, chaque fois qu
stor et Pollux étoient-ils fils ? R. Ils eurent touts deux Léda pour
mère
; mais Jupiter fut père de Pollux ; et Tyndare, r
s abeilles d’Aristée. Dans sa désolation, il implora le secours de sa
mère
. Cyrène, partageant la douleur de son fils, lui c
euve repose, Il arrive ; il s’arrête, et, tout baigné de pleurs, A sa
mère
en ces mots exhale ses douleurs : Déesse de ces e
en ces mots exhale ses douleurs : Déesse de ces eaux, ô Cyrène ! ô ma
mère
! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père, H
n’as-tu formé ton fils Que pour l’abandonner aux destins ennemis ? Ma
mère
, qu’as-tu fait de cet amour si tendre ? Où sont d
ns qui charmoit ma misère, Mes essaims ne sont plus ; et vous êtes ma
mère
! Achevez ; de vos mains ravagez ces coteaux, Emb
fidelles. Du malheureux berger la gémissante voix Parvient jusqu’à sa
mère
une seconde fois. Cyrène s’en émeut ; ses compagn
né de ses larmes, Paroît au bord de l’eau, accablé de douleurs, Et sa
mère
est, dit-il, insensible à ses pleurs. Mon fils !
anal. Le jeune dieu descend ; il s’étonne, il admire Le palais de sa
mère
et son liquide empire ; Il écoule le bruit des fl
illant palais Que les flots ont creusé dans un roc toujours frais. Sa
mère
en l’écoutant sourit, et le rassure ; Les nymphes
soir ténébreux Rassemble par milliers dans les bocages sombres ; Des
mères
, des héros, aujourd’hui vaines ombres, Des vierge
sa trace, Et d’un vol inquiet craint pour sa jeune audace. Comme une
mère
instruit l’oiseau novice encor A régler les écart
de ces femmes guerrières : il en eut un fils qui porta le nom, de sa
mère
. Phèdre, fille de Minos, que Thésée prit depuis p
mère n’étoient autre chose que les pierres, parce que la terre est la
mère
commune de touts les hommes. Ils en ramassèrent d
aste sa femme, d’ôter la vie à l’enfant qu’elle mettroit au monde. La
mère
eut horreur de ce crime, et en confia l’exécution
tte réponse : « Œdipe sera le meurtrier de son père, et l’époux de sa
mère
, et mettra au monde une race détestable. » Pour é
a voulu éviter. Il apprend qu’il a tué son père, et qu’ils épousé sa
mère
. Le voilà donc rempli cet oracle exécrable, Dont
s, s’arracha les yeux, et s’exila lui-même. Jocaste, son épouse et sa
mère
, se pendit de désespoir. Antigone, fille, d’Œdipe
aller retirer, sous quelque prétexte spécieux, d’entre les bras de sa
mère
. On disposa tout pour le sacrifice ; mais Diane,
temps à paroître, il vient lui-même la demander. Il la trouve avec sa
mère
, qui l’avoit retenue auprès d’elle. Ne croyant po
obéissance, Paroît digne à vos yeux d’une autre récompense ; Si d’une
mère
en pleurs vous plaignez les ennuis, J’ose vous di
uvenir si tendre Mais à mon triste sort, vous le savez, Seigneur, Une
mère
, un amant, attachoient leur bonheur. Un roi digne
s me l’aviez permis ; Il sait votre dessein, jugez de ses alarmes. Ma
mère
est devant vous, et vous voyez ses larmes. Pardon
; Bourreau de votre fille, il ne vous reste enfin Que d’en faire à sa
mère
un horrible festin. Barbare ! c’est donc là cet h
nce en son lit ; Et qu’il en eut pour gage une jeune princesse Que sa
mère
a cachée au reste de la Grèce. Mais non, l’amour
rbare époux qu’impitoyable père, Venez, si vous l’osez, la ravir à sa
mère
. D. Par quels exploits les Atrides se signalèren
son père Agamemnon, en tuant Egysthe, et même Clytemnestre, sa propre
mère
. Depuis ce parricide, il fut tourmenté par les Fu
p, il faut qu’à ma colère… Que vois-je ! dans ses mains la tête de ma
mère
! Quels regards ! où fuirai-je ? ah ! monstre fur
onstre cruel, arrête ! A mes yeux effrayés dérobe cette tête. Oh ! ma
mère
! épargnez votre malheureux fils. Ombre d’Agamemn
, chère ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa
mère
; Prends pitié de l’état où tu me vois réduit Quo
vé par le centaure Chiron qui ne le nourrit que de moëlle de lion. Sa
mère
le plongea dans le Styx, pour le rendre invulnéra
fils une amitié de père, ; » J’en atteste les dieux, je le jure à sa
mère
; » Pour touts mes ennemis je déclare les siens,
d les bras à son père, Hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa
mère
. A ce spectacle affreux, quoique sûr de la mort,
eut cinquante fils, qui périrent presque touts sous les yeux de leur
mère
. Après la prise de la ville, on la chercha long-t
urs de la ville, au lieu d’Astyanax, et que ce jeune prince suivit sa
mère
en Épire. C’est cette tradition, que Racine a sui
s jours des vertus de son père ; Et quelquefois aussi parle-lui de sa
mère
. Mais qu’il ne songe plus, Céphise, à nous venger
fils de Priam et d’Hécube, fut aussi appelé Alexandre. Pendant que sa
mère
le portoit dans son sein, elle rêva qu’elle accou
. Mais le serviteur, touché de la beauté de Pâris et des larmes de sa
mère
, le donna à des bergers du mont Ida, qui l’élevèr
s, Laocoon, avoient suivi tes pas ; Tes fils, portraits vivants d’une
mère
adorée, Comme toi, revêtus de la robe sacrée. Le
oir. Thalès mourut à quatre-vingt-dix ans, sans avoir été marié. Sa
mère
le pressa en vain de prendre une femme. Il lui ré
C’est le déluge universel. — Ne croyez pas cela, répond la vieille
mère
; Pour que l’eau se retire il ne faut qu’un insta
le sais trop, hélas ! C’est qu’on se croit toujours plus sage que sa
mère
, C’est qu’on veut sortir de sa sphère
ervation duquel il ait attaché une récompense dès cette vie. Père et
mère
honoreras Afin que tu vives longuement. Rien n’e
père vénérable aux enfants, et il a affermi sur eux l’autorité de la
mère
. Celui qui honore sa mère, est comme un homme qui
s, et il a affermi sur eux l’autorité de la mère. Celui qui honore sa
mère
, est comme un homme qui amasse un trésor : celui
our de sa prière. Celui qui craint le Seigneur, honore son père et sa
mère
, et il servira comme ses maîtres les auteurs de s
; et Dieu vous récompensera pour avoir supporté les défauts de votre
mère
. Il vous établira dans sa justice ; il se souvien
renom ! et combien est maudit de Dieu celui qui aigrit l’esprit de sa
mère
! » D. Récitez le joli conte de Philippon de la
e de Philippon de la Madeleine sur l’amour filial. R. Le voici. La
Mère
et ses deux fils. Écoutez un mot, mes amis, Qui m
caractère ? — Non ; mais vous avez deux enfants ; Moi, je n’ai qu’une
mère
! D. Nos obligations envers nos parents se termi
telles et à des préceptes. » Madame de Lambert, dans les Avis d’une
mère
à sa fille, s’exprime ainsi : « On a dans touts
t la société les ont destinées. Elles sont appelées à être épouses et
mères
. Or, l’instruction leur est également nécessaire
doit lui rester de temps pour s’instruire, lorsqu’elle sera épouse et
mère
, plus elle doit s’occuper de son instruction dans
oit s’occuper de son instruction dans sa jeunesse. L’ignorance est la
mère
du vice. Une femme instruite connoîtra toujours m
es cette première éducation peut-elle être confiée qu’aux mains d’une
mère
? Un père, entraîné par le soin de ses affaires,
les devoirs de son emploi, ne peut s’en occuper. Il faut donc qu’une
mère
soit en état de le suppléer à cet égard. Les femm
soin d’être instruites pour devenir des épouses vertueuses, de bonnes
mères
de famille. D. Puisque vous avez établi d’une man
dent ainsi eux-mêmes incapables de les bien élever. Figurons-nous une
mère
idolâtre de ses enfants, qu’elle aime pour elle-m
e, ornées de toutes les fades interprétations d’une gouvernante ; une
mère
toujours aux expédients pour se faire obéir, anim
e révolter contre les châtiments, et à dédaigner les caresses ; cette
mère
ne gagnant auprès d’eux d’un côté que pour perdre
nt au point de ne plus rien trouver qui puisse les satisfaire ; cette
mère
n’exigeant presque rien en genre de devoir, et su
ique. A mesure que l’éducation des demoiselles se perfectionnera, les
mères
deviendront plus propres à élever leurs enfants,
s est plus favorable aux progrès de l’instruction. L’émulation est la
mère
des talents. Elle féconde le génie, et porte l’am
à bien parler sans aucune étude. On sait que dans l’ancienne Rome, la
mère
des Gracque contribua beaucoup, par une bonne édu
enfans, les premiers Titans. Un jour donc qu’Uranus allait la rendre
mère
de nouveau, elle appelle Chrone, autrement dit Sa
quand on connut la déesse suprême des Crétois, on la considéra comme
mère
des Dieux, et on l’appela Rhéa ou Silvia, en lui
anière des Phrygiens, pour Calligénie, ou la grande génératrice et la
mère
nourricière des hommes, elle devint Cybèle, ou Cy
ge ou la Mangeuse de béliers, Fauna ou la Favorisante, Pasithée ou la
Mère
des Dieux. Sous cette forme de grande génératrice
en lui faisant connaître en même temps et son amour et sa qualité de
mère
. A cette nouvelle, Atys tombe en démence et se mu
s le fait se passe à l’opposé, car alors Sangaride, qui n’est plus la
mère
, mais la maîtresse d’Atys, meurt par suite des in
et que les Phrygiens regardaient comme la plus antique effigie de la
mère
des Dieux et la plus sainte, parce qu’elle était
Corybantes, par ceux d’Agidies, Agyrtes, Métragyrte ou nomades de la
mère
; dont le premier fut tué en initiant les Athénie
r se faire de méprisables jongleurs. Ce fut alors que pour honorer la
mère
des Dieux, ils pratiquèrent leurs danses dévergon
e qui doivent être véritablement considérée comme femme de Saturne et
mère
des grands Dieux de la Grèce. Car la Cybèle de Ph
Saturne, après avoir mutilé Uranus, à la demande de Gê ou la Terre sa
mère
, et après avoir épousé Rhée sa sœur, se fit céder
: leurs ancêtres en réalité sont inconnus, quoiqu’on leur donne pour
mère
la reine Mélissa dont le nom grec signifie abeill
de la religion de Jupiter, et voués au culte particulier de Rhée, sa
mère
, qui au fond n’est que la Terre, comme le seront
ses. Ces arbres, ces rochers, ne rassurant pas encore suffisamment sa
mère
, elle voulut qu’il fût toujours entouré de Curète
ait avoir mérité la déification, soit à cause de leur père ou de leur
mère
, soit à cause de leurs propres actions ; ainsi Es
au Soleil de paraître, de peur de découvrir ses desseins à la Terre,
mère
des Géans, qui cherchait à les secourir ; puis il
ue Clytius ; Cybèle, change en rocher Diophore, qui, méconnaissant sa
mère
, avait osé la défier au combat ; Minerve, après a
guisement ; pourtant le danger était tellement pressant, que Vénus sa
mère
, pour qui TyphŒ s’était épris tout-à-coup d’une b
leurs ceintures, de se voiler et de jeter derrière eux les os de leur
mère
. Cette réponse obscure, à la manière de toutes ce
terprétée, et le fut par Deucalion et Pyrrha, qui décidèrent que leur
mère
était la Terre, et que ses os étaient les pierres
ur père Mars lui-même, ou Phlégyas, fils de Mars, ou Léontée, et pour
mère
, ou Pisidice, maîtresse de Mars, ou Pisione, femm
l ose tout auprès de ce simulacre, et dans son erreur il rend la nuée
mère
des Centaures, race sur laquelle nous reviendrons
ur son fils ou pour celui de Tmole, fils de Mars. On lui donnait pour
mère
la nymphe Pluto ou Plote. Il régnait dans la vill
terre ; il était même si furieux, que Vulcain ayant voulu délivrer sa
mère
, fut culbuté d’un coup de pied. Cependant Jupiter
es, appelées encore Hérésides à Argos, étaient au nombre de deux, une
mère
et une sœur. Le temps de leur sacerdoce avait cel
s prêtres se mirent à les unir ensemble, et à en faire des pères, des
mères
, des enfans, des frères et des sœurs ; plus tard,
on d’Argos, n’ayant pas trouvé de bœufs pour conduire le char de leur
mère
au temple, les remplacèrent ; ils furent récompen
vait pratiqué dans ce trône des ressorts secrets pour se venger de sa
mère
, qui s’y laissa prendre ; elle ne put même être d
r maîtresses, Aglaé ou Charis, l’une des Graces, Pienesta, Cabira, la
mère
des Cabires, et même on dit qu’il obtint les fave
Alcon et les Cabirides, de la nymphe Cabira ; Cercyon et Corynète, de
mère
inconnue ; Cupidon, de la belle et brillante Vénu
sanguinaires des Corybantes. Cependant on lui donne aussi Théro pour
mère
ou nourrice. Dans la guerre des Géans Mars se dis
rs. Aphneusou Eropus, fils d’Érope, reçut le premier nom parce que sa
mère
étant morte dans les douleurs de l’enfantement, l
fut si pénible qu’elle se retira d’Argos à Eleusine. Évannès, fils de
mère
inconnue ; Évènus, fils de Stérope, fut roi d’Éto
unes des positions dans lesquelles se trouve exposée durant sa vie la
mère
de famille. Sous le nom d’Ilithye ou Eleutho, ell
e, la grande fécondatrice, soit la matière, soit la nature passive et
mère
universelle. Comme l’acte de la maternité renferm
t encore de cette influence d’imprimer la crainte ou l’espérance à la
mère
qui vient de recevoir leurs secours. Plus tard, I
ine est une Junon ou une Diane Ilithye, présidant à la délivrance des
mères
et à la naissance des enfans. Cependant on la fai
parce qu’après avoir été mise au jour elle avait aussitôt délivré sa
mère
d’un second enfant, que nous connaîtrons sous le
r, elle y accouche d’abord de Diane, qui bientôt remplit auprès de sa
mère
les fonctions d’Ilithye, et la délivre d’Apollon.
i toutes passent pour avoir été femmes de Tantale. Quelle que soit sa
mère
, Niobée épousa Amphion de Thèbes, à son retour de
s tombèrent également sous les traits invisibles de Diane. Enfin leur
mère
étant accourue, outrée de douleur et de désespoir
cre restèrent sans sépulture pendant neuf jours sous les yeux de leur
mère
. Mais une autre légende n’approuvant pas la métam
ses enfans dans les flammes ; de sorte que la malheureuse Niobée leur
mère
, désolée, se précipita du haut d’un rocher. Plusi
cher. Plusieurs variantes existent sur ce massacre : c’est une propre
mère
, poursuivie par l’amour criminel de son père, qui
eur d’être déesse de la chasse et des forêts. Après avoir secours sas
mère
pour l’aider à mettre au jour Apollon, elle fut t
de Jupiter et de Latone ; et la troisième avait Glauca ou Glaucé pour
mère
et Upis ou Oupis pour père ; mais la plus honorée
Arcas son fils, à l’instant que celui-ci en chassant alalit percer sa
mère
à coups de flèches, les plaça au ciel pour y form
ut dévoré à la chasse par un lion, Perdicca qui devint amoureux de sa
mère
et mourut de consomption, Saron, ancien roi de Tr
ent percée d’une flèche que Diane lançait contre une bête sauvage. Sa
mère
fut si affligée de sa perte, que la déesse la cha
piter et de Latone. Nous l’avons vu naître dans l’île de Délos, où sa
mère
fut obligée de se retirer pour se soustraire à la
de Saturne et de Rhée. Jupiter, sous la forme d’un berger, la rendit
mère
des neuf Muses. Ces filles de Mnémosyne portaient
ra aussitôt une passion amoureuse, à la suite de laquelle elle devint
mère
du poète Linus. Érato, ou la muse des amours, pré
ment au nombre de neuf. Chacune à sa naissance avait mis la vie de sa
mère
en danger. On remarquait surtout parmi elles Acal
ollon, dont la mort causa à ce dieu le plus de regrets. Il avait pour
mère
, ainsi que son frère Cynorthès, la belle Diomède,
destinées des nouveaux nés. Elle était même tellement révérée que les
mères
de famille célébraient tous les ans le 11 et le 1
fit partie la nymphe Cratéis, déesse des sorciers et des enchanteurs,
mère
de la fameuse Scylla que nous trouverons auprès d
n lui attribue, comme à cette dernière, la naissance de Milet dont la
mère
était en outre appelée Acacallis qui, de ses amou
le d’Hyamus, fils lui-même de la nymphe Evadne. Apollon rendit Céléno
mère
de Delphus que l’on fait souvent aussi naître ou
intement, il porta ses désirs vers Climène, la séduisit, et la rendit
mère
de trois filles appelées Héliades : Phaétuse, Lam
ue l’on confond avec elle parce qu’on les prend l’une et l’autre pour
mères
d’Esculape, paraît ce pendant, comme nous l’avons
à la sagesse. Déione passe encore chez les mythologues pour une des
mères
de Milet. Dryope, fille d’Euryte et d’Œchalie, ét
fils de la mer. Néère était une déesse aimée du soleil, qui la rendit
mère
de deux filles, Phaétuse et Lampétie, déjà indiqu
eut avec le soleil ou Phorbas, un fils appelé Augias. Othréis devint
mère
avec Apollon de Phagrus, puis cette nymphe eut un
ou Phytia, fille de Niobé, fut aimée d’Apollon, et devint, dit-on, la
mère
originaire au moins du premier Corybante, qu’Aris
es diverses intrigues nous trouvons parmi ses fils : Acréphée dont la
mère
est restée inconnue, et qui donna son nom à une v
urs de Bacchus, et de cette nymphe, fut élevé par les compagnes de sa
mère
qui lui apprirent les travaux d’économie rurale,
e tuèrent toutes les mouches d’Aristée qui, inconsolable, fut avec sa
mère
consulter Protée, dont l’ordre fut d’offrir des s
igna aux Arabes auxquels il donna son nom ; Augias ou Augeas, dont la
mère
est restée inconnue, était un des Argonautes, nou
ier à Cercaphe, son oncle ; Candale, fils d’Hélios ou le soleil et de
mère
inconnue, fut obligé de quitter l’île de Rhodes,
nt on lui donne Apollon Delphique pour père sans dire quelle était sa
mère
, il était roi des environs du Parnasse et avait p
t même, dit-on, Agrius ou Latinius ; Climène, fils du Soleil et de la
mère
inconnue, fut, suivant Hygin, l’amant de Mérope,
d’après les Crétois, était fils d’Acacalis et de Mercure, mais cette
mère
ayant été l’une des maîtresses bien connues d’Apo
Neptune, il donna son nom à une ville de Béotie ; Erymanthe, dont la
mère
est inconnue, eut le malheur de surprendre Vénus
e d’Adraste, roi d’Argos ; Euripide ou Euripidice avait Cléobule pour
mère
; Galée ou Galéote était né de Thémisto. Les Hybl
llement choqué de cette injure, qu’il fut s’en plaindre à Clymène, sa
mère
. Celle-ci le renvoya auprès d’Apollon. Ce dieu, p
nt quelques auteurs ce soit Lapithe, fille d’Apollon qui soit devenue
mère
des Lapithes, par suite de ses amours avec Eole ;
ut pour fils Augias, père d’Agamède et d’Actor, lequel rendit Molione
mère
des Molionides ; Ctéatus et Euryte que nous verro
t son aïeul ayant trouvé sa naissance équivoque et coupable, punit sa
mère
en la faisant mourir ; le second, Linus, était né
qu’il possédait ; Pamphila avait, dit-on, inventé l’art de broder, sa
mère
est restée inconnue ; Parthenos était né de Chrys
rthenos était né de Chrysotémis, il mourut jeune et fut placé avec sa
mère
, par Apollon, dans la constellation de la vierge
en rochers et les précipita au fond des flots. Telmesse n’a point de
mère
connue, il donna son nom à une ville maritime de
e, Da, et Dea, et Dio ou la divine, chez les Pélasgues, Damater ou la
mère
, Damia ou la maîtresse à Egine, à Epidaure et à T
ou la nourrice universelle et aux nombreuses mamelles, Materès ou la
mère
, Mélœna ou la noire, à cause du deuil qu’elle por
souvent confondues avec Rhée, on les lui donne aussi quelquefois pour
mères
. Cérès était donc sœur de Junon et de Vesta, ain
ux des succès de son frère, fatigua Cérès de ses prières et la rendit
mère
d’une fille nommée Hira. D'autres disent que voul
elle éprouva l’un des plus grands malheurs qui puissent arriver à une
mère
: elle perdit sa fille chérie, Proserpine, elle l
naissance de Plutus, ou la Richesse, et de Coryte ou Corybas, dont la
mère
pourtant passait pour être Cybèle. Ce Jasion étai
retirèrent en Phrygie pour y fonder le culte de Cérès ou de la grande
mère
, cependant la légende la plus ordinaire et parais
est toujours la terre, si on la considère dans son ensemble de Cérès,
mère
, et de Proserpine, sa fille, c’est la terre éclai
-elle enlevée, les moissons disparaissent ; revient-elle auprès de sa
mère
au bout de six mois, alors paraît une nouvelle ré
de Proserpine pendant le temps de la moisson, et les recherches de sa
mère
à l’instant des semailles. La plupart de ces fête
comme Vénus, lascive et courtisane ; Pélasgie ou maritime ; Phila, ou
mère
de l’amour ; Philomneis, ou reine du rire ; Placi
une déesse ; mais Vénus le rassura en lui disant qu’elle deviendrait
mère
d’un fils qui, pendant cinq ans serait élevé parm
un fils, lui avait fait jurer de répondre à tous questionneurs que la
mère
de ce fils était une nymphe du mont Ida, mais cin
tel, fils de Priam roi de Troie et d’ Hécube, ayant été confié par sa
mère
aux soins des bergers du mont Ida, se fit telleme
ette perversité, quand Mars les sauva en métamorphosant en oiseaux la
mère
et les enfans. L'action influente de Vénus sur Pa
upiter et de Thémis ou de Junon, ou du Soleil et d’une Eglé, ou d’une
mère
inconnue, ou bien enfin d’Etéocle et d’une nymphe
me précieux aux hommes sages ; dès lors, on lui reconnut un père, une
mère
, et il fut fils de Jupiter et de Vénus. Plustard
forêts, en suçant le lait des bêtes sauvages, et rarement celui de sa
mère
, l’Amour resta fort long-temps enfant ; à la fin
ème de l’inconstance, son caractère distinctif. Un jour étant avec sa
mère
dans une prairie parsemée de fleurs et se confian
ser. Cupidon aussitôt courut de fleur en fleur, et voltigea devant sa
mère
; déjà il allait peut-être gagner la gageure, mai
sa force et conquis sa divinité, il devint le premier ministre de sa
mère
et souvent l’exécuteur de ses vengeances. Ainsi V
tre le plus terrible de l’univers. A peine l’Amour a-t-il promis à sa
mère
de la venger, qu’un oracle vient épouvanter la co
le éplorée furent stériles et ne purent protéger Psyché. Son père, sa
mère
, le peuple, les yeux noyés de larmes, la conduise
accablé sous le poids de la douleur lui fait ses derniers adieux ; sa
mère
l’embrasse pour la dernière fois, et le morne sil
’éveille et s’enfuit à tire d’aile. Infortunée, dit-il en partant, ma
mère
m’avait ordonné de vous livrer à un monstre pour
ma tendre amie, lui dit-il, allez promptement porter cette boîte à ma
mère
, et moi je vais supplier Jupiter de vous élever a
on le voit à genoux, tantôt il est représenté voltigeant autour de sa
mère
. Cependant comme dans les temps postérieurs à l’o
es et des sacrifices qu’il recevait seul, ou qu’il partageait avec sa
mère
. Ces fêtes s’appelaient les Eleuthéries chez les
fant que Vénus portait dans son sein. A peine fut-il au monde, que sa
mère
fut effrayée de sa difformité et de l’énorme déve
u moment de sa naissance, et ne voulut jamais avouer qu’elle était sa
mère
; elle le fit même élever loin d’elle à Lampsaque
ut jamais la découvrir. Euryméduse que nous avons vue désignée comme
mère
des trois Graces Aglaé, Thalie et Euphrosine, éta
n, Dieu des bergers, dont la naissance est réclamée par deux ou trois
mères
au moins. Ora. Jupiter trompa cette nymphe sous
une nymphe Sicilienne, fille de Vulcain ; Jupiter l’aima et la rendit
mère
des deux Paliques ou Palices, frères jumeaux qui
de son fils. Un silence profond enveloppe le reste de la vie de cette
mère
du plus grand des héros grecs. Son corps, suivant
t à la tuer, quand Jupiter, pour prévenir ce parricide, transporta la
mère
et le fils dans les cieux, où ils forment les con
t aperçu la barque l’amena à la côte, ouvrit le coffre et y trouva la
mère
et le fils encore vivans ; alors il les conduisit
qu’Angélo lui donna après l’avoir volé à la toilette de la déesse sa
mère
, le teint lui devint aussi blanc et aussi brillan
e à sa personne ; pour l’instant nous nous en tiendrons à dire que sa
mère
fut probablement quelque jeune imprudente princes
emme de Tindare et fille de Thestius roi d’Étoile, fils d’Agénor ; sa
mère
était Pantidye princesse de Lacédémone. Jupiter s
e. Cette Némésis ayant pondu un œuf le remit à Léda, qui devint ainsi
mère
des deux frères jumeaux. Selon quelques-uns, Léda
gie par le cadeau qu’elle fit à Europe son amie du fard dont Junon sa
mère
se servait à sa toilette et qu’elle lui déroba.
Thésée, épris de ses charmes, l’enleva, et la mit sous la garde de sa
mère
, et en eut un fils dont le nom n’est pas parvenu
rsé. Thébée, fille de Jupiter et d’Iodamé, fut la femme d’Ogygès, et
mère
de plusieurs enfans dont on ignore le nom. La Vér
trième avait encore ce même Dieu pour père et l’océanide Coryphe pour
mère
. Alors cette Minerve était la Corie des Arcadiens
de Vulcain et de Minerve. Ceux qui donnaient à Cécrops la terre pour
mère
, l’avaient en conséquence appelé Gègénès. On le s
t obscure, ou au moins toute symbolique à l’égard de Minerve comme sa
mère
, dont il fut simplement inspiré dans ses travaux
de temps après, accompagné de son frère, il vint à Thèbes, délivra sa
mère
et la vengea des outrages de Lycus en le faisant
nous avons vus périr victimes de l’imprudence et de l’orgueil de leur
mère
. Amphion ne pouvant survivre à ce désastre, se pe
de Callisto ; à peine fut-il au monde que la jalouse Junon changea sa
mère
en ourse, Jupiter alors s’empara d’Arcas et le co
rmes, jeune ou vieux, triste ou gai ; Bimater et Dimater, ou aux deux
mères
; Botryochète ; Briseus ou le nourrisson de Brisa
e lui-même avait des cornes ; Cadmée ou fils de Cadmus par Sémélée sa
mère
; Calydonius ou de Calydon en Étolie ; Cantor ou
ltor, Digénès et Digonos ou aux deux naissances ; Dimator ou aux deux
mères
; Dimorphos ou aux deux formes ; Diogenès ou le f
iter ; Dionysios et Dionyoes ou le Bacchus grec ; Diphyès ou aux deux
mères
; Dithyramhus et Dithyrambogénès, ou qui avait sé
yrambogénès, ou qui avait séjourné alternativement dans le sein de sa
mère
et dans la cuisse de Jupiter, en raison de quoi l
lé le Bacchus Thébain, avait encore Jupiter pour père et Sémélée pour
mère
. Cicéron bouleversant cette opinion, indique cinq
oi de Thèbes et d’Hermione. Les Orphiques donnaient encore Misée pour
mère
à Bacchus. Il perdit sa mère Sémélée avant le ter
laça dans sa cuisse, d’où vint à Bacchus son nom de Bimater ou à deux
mères
. Quelques historiens pensent qu’il faut entendre
vie, le sauvèrent des flots, sur lesquels il avait été exposé avec sa
mère
, dans une corbeille, par ordre de Cadmus. Pourtan
mpire des ombres celle qu’il pleurait, ou suivant d’autres Sémélée sa
mère
, alla visiter Proserpine ; mais devenu amoureux d
ncore plusieurs belles, et les rendit sensibles à son amour, Alexirée
mère
de Carmon ; et la nymphe Chronophile mère de Phli
ibles à son amour, Alexirée mère de Carmon ; et la nymphe Chronophile
mère
de Phlias, il fut aussi l’amant d’Hypsypile, fill
stitua des sacrifices en l’honneur de son père, et donna le nom de sa
mère
à un chœur de musique des fêtes de Bacchus. Phlia
e figurant qu’il était un jeune lion elles le déchirèrent, quoique sa
mère
et ses tantes se trouvassent au milieu d’elles. O
ils lui reprirent cet enfant et emmenèrent captive la vieille Oetra,
mère
de ce héros, mais ils épargnèrent les autres habi
yge ou aux fesses noires : nom bizarre qui lui fut donné parce qu’une
mère
ayant menacé ses deux enfans, Achemon ou Achmon e
lcmène, après l’avoir terrassé trois fois, s’aperçut que la Terre, sa
mère
, lui rendait de nouvelles forces à chaque fois qu
s on désignait plus spécialement : Ambrosie ou l’immortelle, Astérie,
mère
du roi de Pise OEnomaüs, Céléno, Clie, Esile, Eud
première femme Théoné, et lorsqu’il y fut pour en ramener Alcmène, sa
mère
, ou quand il y descendit pour y secourir son ami
riage ses cinquante ou cinquante-deux filles, que le Demi-Dieu rendit
mère
d’un garçon dans une seule nuit, ou suivant d’aut
ou Mégamène fille d’Arnée, Laophonte, fille de Pleuron et de Xantippe
mère
d’Althaca et Léda. Ces Thespiades s’appelaient :
rathé, mère de Polylaüs ; Dynaste ; Endéis, mère de Ménipie ; Entétis
mère
d’Entétidès ; Eone, mère d’Amestrius ; Epilaïs, m
également eu cette dernière ; Iphis, mère de Celeustanor ; Laonomène,
mère
de deux fils, Ménippe et Télès ou Célès, et deux
on prétend alors que ce furent ses cinquante filles qu’Hercule rendit
mères
dans une seule nuit. Arrivé en Grèce, Hercule dev
de Glanus, de Médebronte et de Ophite ; Melita, fille du fleuve Egée,
mère
d’un Hyllus ; Midée, fille de Phylas, et mère d’A
ie, et mère d’Agélaüs, d’Atys et de Lamos. Panope, fille de Thésée et
mère
d’une autre Panope, dont le nom se rapporte quelq
ium ; Brettus de Balétie ; fondateur de Brette en Etrurie ; Boius, de
mère
inconnue ; Bucole de la Thesp. Marsé ; Camire d’I
zonète, Halocrate de la Thesp. Olympuse ; Hannus et Helvétik, fils de
mère
inconnue et frères de Boïus, le second donna son
ndateur de Crotone en Italie. Nephos, Nicodrome de Nicé ; Noricus, de
mère
inconnue et frère de Boïus ; OEstroblès de la The
ne. Mélitée, fils de Jupiter et d’Otréis, fut exposé par ordre de sa
mère
au milieu d’une forêt où il fut nourri par des ab
e forêt où il fut nourri par des abeilles ; son frère Phrague, que sa
mère
avait eu avant lui de Jupiter, le découvrit et le
re, dont le nom signifiait qui hait les hommes, fille de Mênéchus, et
mère
des deux argonautes, Echion et Eurytus ; Carmenta
métamorphosa en un rocher. Hiéra, mère d’Ischenus ; Ipthime néréide,
mère
des Satyres ; Lara ou Laranda ou Lalaria ou Muta
mais nous allons le faire connaître plus en détail : Angélia, dont la
mère
est restée inconnue, était chargé de la pénible b
aux morts ce que faisaient les vivans ; Antias, fils obscur, dont la
mère
est inconnue ; Aptale, né de Chionée ; Autolycus,
colonie d’Ibériens, qui vint habiter la Sardaigne ; Palestre, née de
mère
inconnue et donnée aussi pour fille à Hercule, av
e aussi pour fille à Hercule, avait inventé la lutte ; Pan avait pour
mère
, nous le savons, Dryope ou Pénélope ; Pharis ou P
rendit père d’un fils nommé Minyas, et d’une fille appelée Élara. Sa
mère
le fit périr on ne sait pour quel motif. Palices
. A peine sorti de l’enfance, ce fils du maître des Dieux protégea sa
mère
contre le tyran de Seriphe, Polydecte, qui, après
e arrivait-il dans l’île de Sériphe, qu’il vit le tyran poursuivre sa
mère
, et celle-ci se réfugier dans le temple de Minerv
ce prince insolent, et met sur son trône Dictys, le protecteur de sa
mère
; puis il rend aux Dieux les armes qu’ils lui ava
is, frère aîné de Mélitée ; ce fut lui qui découvrit son frère que sa
mère
avait fait exposer dans une forêt. Philée ; on i
ù l’on supposa qu’il sortit de la terre, qu’on lui donna ensuite pour
mère
. Il voulut, on s’en souvient, faire violence à la
supposée, ainsi que Pisidice, mère de Taphius ou Taphis ; Iphimédie,
mère
des aloïdes Ephialte ou Iphialte et Otus ; Lariss
chiré en morceaux à la suite d’un délire bacchique qui s’empara de sa
mère
et de ses deux tantes. Mais presque toujours on l
endrait parricide et incestueux en passant dans les bras de sa propre
mère
; alors, pour éviter de si grands malheurs, Laïus
ns sa patrie et deviendrait le meurtrier de son père et l’époux de sa
mère
, il se crut en effet né de Polybe et de Péribée,
en même temps il reconnaît qu’il est l’époux incestueux de Jocaste sa
mère
. Aussitôt, de désespoir il s’arrache les yeux et
re, fille du roi Thestius ou Thespius, mais comme on donne aussi pour
mère
à Amphiaras Clytemnestre fille de ce même Thespiu
Chthonius, fils de Neptune et de Symé ou Zyma, imposa le nom de sa
mère
à une île. Cromus, qui donna le nom de Cromyon à
de la nymphe Idothea, fut père de Térambe ; Gereste, est un enfant de
mère
inconnue. Glaucos ou Glaucus, Dieu marin et prop
pothéon ou Hippothous, fils d’Alope, fut abandonné tour à tour par sa
mère
et par Cercyon son aïeul ; puis, fut nourri par d
e lui ou Megareus, fils d’Apollon, avait donné son nom ; Melas, né de
mère
inconnue, est confondu quelquefois avec la fille
essénie, demande à être connu plus en détail. Nélée fut exposé par sa
mère
et recueilli par des bergers. Plus tard, Pélias,
bergers. Plus tard, Pélias, son frère jumeau, ayant immolé Tyro leur
mère
, sur l’autel de Junon, ils partagèrent les états
éno et frère de Lycus. OEolus, fils d’Ascra, bâtit en l’honneur de sa
mère
, la ville d’Ascra en Béotie, la patrie d’Hésiode.
tiquité reculée enveloppait d’un voile trop obscur. Oncheste, fils de
mère
inconnue, et fondateur de la ville d’Oncheste en
ippide ; Pheax, fils de Cercyra, fut père d’Alcinoüs ; Phocus dont la
mère
est inconnue, fut époux d’Antiope et père de Pano
Gorgones, les Grées, Ento, Batthyllas et Thoosa. Phthios n’a pas de
mère
bien connue : Polyphème, né de Thoosa, était le p
olonie à l’île de Taphos, à laquelle il donna son nom. Taras, dont la
mère
était une nymphe restée inconnue, passait pour le
ques obsèques à l’infortuné roi leur ami, offrirent un sacrifice à la
mère
des Dieux et instituèrent des fêtes et des jeux f
ait souvent appelé Érechthéide par les poètes, et il fut élevé par sa
mère
à la cour du roi Pitthée. Il n’était encore âgé q
ant su que dans la même nuit où il avait été reçu dans les bras de ta
mère
, elle avait reçu les embrassemens de Neptune, par
ruie qui infestait les environs de Crommyon, en Corinthie, et qui fut
mère
du sanglier de Calydon, que nous verrons dans peu
es naïves de la jolie Pérygone, fille du géant Sinis, et il la rendit
mère
d’un fils nommé Ménalippe. Après que les Phytalid
succombés sous leurs armes, loi barbare que Thésée, à la demande des
mères
et veuves de ces guerriers, fit révoquer, en marc
re qu’il remporta sur le Minotaure. Arrivée à Athènes, elle le rendit
mère
de deux fils, Acamas et Démophon, puis Phèdre, in
s ses coups ses deux oncles maternels Plexippe et Toxée. Alors Althée
mère
de Méléagre, désolée de la perte de ses frères s’
où elle l’avait caché, puis dans son désespoir, oubliant qu’elle est
mère
, elle dévoue ce fils aux furies et jette au feu c
g-temps vainqueurs, mais leur chef Méléagre, outré de ce qu’Althée sa
mère
désespérée de la mort de ses frères, le dévoue au
it dévoué, abrègent sa vie : alors son épouse meurt de chagrin, et sa
mère
, cause de sa mort, se pend de désespoir. Pélée e
e Simoïs n’est plus qu’un faible ruisseau, il eut pour fille Astioche
mère
de Tros, et Hieromnème. Soloon, dieu fleuve de
aphyre fut une nourrice de Neptune ; Clymène fut la femme de Japet et
mère
des trois frères Atlas, Prométhée et Epiméthée ;
ène ; Ephyre fut la femme de Prométhée ; Ethra était femme d’Atlas et
mère
des Atlantides ; Idyia, femme du roi Colque Cètes
is, avait été l’épouse du soleil ; Pléione fut aussi femme d’Atlas et
mère
des Pléïades ; Rhodé, fut femme d’Apollon, dont e
Phaéton ; Téthys était, nous le savons, fille et femme de l’Océan et
mère
de toutes les océanides ; Tyché, était l’une des
dre invulnérable, privilége qu’il obtint, excepté au talon, par où sa
mère
avait été obligée de le tenir. Nommé d’abord Ligy
aïades ou Abarbarées nymphes des eaux fluviales, filles de Jupiter et
mères
des Satyres. On les voit souvent figurer à la sui
ne ; Asie, fille de l’Océan et de Thétys, épousa Japet, qui la rendit
mère
de quatre fils, Prométhée, Epiméthée, Atlas, Mécè
de Colchide Eète ; Aula ou Aura, nymphe de la suite de Diane ; Balte,
mère
du célèbre Thaumaturge Épiménide ; Calliphée, une
angarius et mère d’Hécube, et peut-être la même que la fille de Ladon
mère
d’Asope. Midée, que Neptune rendit mère d’Asplédo
à la main, et en son honneur, ils célébraient une fête le 17 août. Sa
mère
fut changée par les Dieux en une déesse marine, c
a ou la jeune fille des Siciliens ; Libitina ou des funérailles et la
mère
des Euménides et d’Eubulée ; Militta ou l’accouch
de Jupiter, elle était quelquefois regardée comme sa fille, comme sa
mère
; pourtant la tradition la plus suivie en fait un
galement connue chez les Celtes et les Gaulois, qui l’appelaient leur
mère
, et les Arcadiens l’invoquaient pour retrouver le
de leur tendresse : ainsi là se rencontraient l’audacieuse Pasiphaé,
mère
du minotaure, la jalouse Procris, femme de Céphal
e nom, suivant quelques-uns, de la déesse Mania, que l’on disait leur
mère
, ou suivant d’autres du vieux mot manis, signifia
u des bois et des prairies, et baignait les plus rians domaines de sa
mère
, éclairé par la lumière de son père ; mais il abu
Égine, et régna dans l’île d’Europe, à laquelle il donna le nom de sa
mère
. Quant à Rhadamanthe, troisième juge du sombre sé
eil, Momus. On lui donne beaucoup d’autres enfans dont elle seule fut
mère
, ce sont : le Sort, les Kères, la Mort, le Sommei
iscorde. La Nuit, souvent, était considérée par les anciens, comme la
mère
des dieux et des hommes, ou comme le principe de
n lui sacrifiait des brebis noires, comme reine des ténèbres ou comme
mère
des furies et des coqs, parce qu’ils annoncent pe
lugubres, mais nobles ; on la voit aussi dans les bras de la Nuit sa
mère
, feignant de dormir. L'on consacrait à la Mort l’
i Curœ ou les Soucis, ou l’ Inquiétude et Mœror, se trouvait comme sa
mère
, la Mort, à la porte des enfers, sous le nom de M
es. Quant à Momus, nous avons déjà vu qu’il réclamait la Nuit pour sa
mère
et le soleil pour son père ; aussi, préférant la
ations de maux auxquels déjà plusieurs auteurs ont donné la Nuit pour
mère
. Le premier des enfans de la Discorde portait le
fatales ; Librariæ Deûm ou les archivistes des dieux ; Matres ou les
mères
, et Matrones ou qui favorisaient les accouchemens
ivantes à Proserpine quand elle retournait passer six mois près de sa
mère
. Les travaux journaliers des Parques, étaient ass
is, le brillant Chrysippe qu’Hippodamie, jalouse de ne pas en être la
mère
, fit tuer par son mari ; et, à cette liste, Apoll
x filles, Lysidice, d’Electryon, et Nicippe, dont il n’indique pas la
mère
; Strabon y joint Trézène, et d’autres auteurs no
avec cette même épée qu’Egisthe retire toute sanglante du sein de sa
mère
, pour courir massacrer Atrée, qui déjà rendait gr
vé des mains d’Égisthe et de Clytemnestre, revint à Mycènes et tua sa
mère
et son beau-père dans le temple et sur l’autel d’
es traits les plus effrayans ; il croyait toujours voir l’ombre de sa
mère
accompagnée des furies, dont les serpens affreux
s lorsqu’il fut poursuivi par les Euménides, à cause du meurtre de sa
mère
. Sur le bruit de la mort d’Oreste répandu dans l’
taqué par Pylade pendant qu’Oreste plonge son épée dans le sein de sa
mère
. Si pour suivre la guerre de Troie avec détails n
Grecs qui suivirent Agamemnon en Asie. A peine fut-il au monde que sa
mère
après l’avoir frotté d’ambrosie, l’exposa sur des
ux du Styx, ce qui le rendit invulnérable, excepté au talon par où sa
mère
l’avait tenu en le plongeant dans le fleuve. Pélé
i découvert, il ne put refuser de suivre les autres Grecs en Asie. Sa
mère
lui donna en pleurant des armes forgées par Vulca
née princesse fut, comme on vient de le voir, arrachée des bras de sa
mère
, pour apaiser jusqu’au de-là du trépas, les manes
a flotte. Il avait prédit, à la vue de neuf jeunes oiseaux et de leur
mère
dévorés par un dragon, que le siége de Troie ne s
lysse et de Circe ; mais sa femme ne lui pardonnant pas la mort de sa
mère
, elle finit par le tuer. Du moins, c’est ainsi qu
euses, au milieu desquelles on distinguait Arisbe, fille de Mérops et
mère
d’un autre Mérops, Castyanire, mère de Gorgythion
-ci, trop grand et trop brave pour être attendri par les larmes de sa
mère
et par les pressantes sollicitations de son père,
e dans les combats, les Grecs résolurent de le faire mourir ; mais sa
mère
ayant connu leur résolution, le cacha dans le tom
tour. D'autres disent qu’il fut tué par Ménélas, dans le moment où sa
mère
voulait l’emporter. Auprès de la figure mâle et c
trois fils, Agane, Bunichus et Idée, et une fille du même nom que sa
mère
. On représente Pâris, berger de Priam, tenant dan
ls d’Hercule et d’Augé, fille d’Alée, roi Arcadien, fut exposé par sa
mère
sur le mont Parthénius en Arcadie et nourri par u
ons exigées ; cependant on découvrit que la fille du roi, Augé, était
mère
de ce héros ; elle fut donc remplacée par Laodice
non qui, suivant la coutume, lui fit partager sa couche, et la rendit
mère
de deux jumeaux. Agamemnon la conduisit ensuite à
mement Eryopis ou Hippodamie dont il eut une fille du même nom que sa
mère
, et qui épousa Alcathoüs. Il eut aussi un autre f
ût indubitablement succombé sans le secours d’Apollon et de Vénus, sa
mère
, qui le sauvèrent. Ensuite il revint au combat, t
e avoir été doué de la vie ; car, dans cet intervalle, il rendit Isis
mère
d’un fils que l’on nomma Harpokrat et enseigna de
is, sœur et épouse d’Osiris, lui avait été unie dès le ventre de leur
mère
, il en résulta qu’Isis se trouva enceinte d’Haroé
et le fit prisonnier ; puis, après s’être fâché et raccommodé avec sa
mère
, il fut mis en pièces par les Titans. Isis, sa mè
accommodé avec sa mère, il fut mis en pièces par les Titans. Isis, sa
mère
, ayant trouvé son cadavre dans le Nil, le ressusc
s, et à l’aide de quelques chiens, elle le trouva dans les bois où sa
mère
l’avait abandonné ; elle le prit, l’emmena avec e
l’éducation première d’ Haroéri ; elle se confond quelquefois avec sa
mère
, dont elle n’est qu’une émanation : les Grecs ont
ns cette divinité la fille de Latone, car, disaient-ils, elle aida sa
mère
dans l’éducation de son frère ; elle présidait au
vrai synonyme de Sakti, épouse de Brahm. Maïa-Sacti-Paraçacti, est la
mère
de la trimourti ou trinité indienne, la mère univ
-Sacti-Paraçacti, est la mère de la trimourti ou trinité indienne, la
mère
universelle. C'est elle qui produit les mondes, c
r l’oreille de cette jeune beauté de la liqueur prolifique, la rendit
mère
du célèbre dieu-singe Hanouman. Arddhanari, die
avait égorgé sept. Enfin Vichnou vint au jour, mais de cette fois sa
mère
s’y prit si bien, qu’elle le déroba à la fureur d
résente à nous, c’est : Lakchmi, appelée aussi Sri ou la fortunée et
mère
du monde ; Kamala ou Padma, ou la fleur de lotos
Bavhani. Moudévi, ou Sakti, ou Kali, ou la noire, ou Rondrani, ou la
mère
des larmes, seconde femme de Vichnou, et rivale d
elle d’un jeune homme ; son cou est orné d’un collier blanc. Aditi sa
mère
, et épouse de Kaciapa, devint enceinte de deux œu
erme que plusieurs siècles après. A peine fut-il né qu’il protégea sa
mère
contre les géans funestes, et lui apporta l’Amrit
tées, Brahmâ, Vichnou et Siva ; or, souvent on admet donc une Bhavani
mère
et antérieure au monde, à la création des trois g
éunies de Siva et de ses alliés, et brisa le trident de l’époux de sa
mère
. Un jour qu’il voulait connaître ceux qui lui ren
séide de son maître, et se déclara contre Bhavani et contre sa propre
mère
à laquelle il trancha la tête, ainsi qu’à Ganeça,
quit les Kchatriias qui étaient cause de la mort de son père et de sa
mère
. Plus tard les Kchatriias l’ayant forcé à quitter
ieux ; aussi, pendant le Tirounnal ou fête du chariot, des pères, des
mères
, tenant en leurs bras leurs enfans, se précipiten
s œufs dans un four ; chaque œuf produisit un enfant. Plus tard, leur
mère
les reconnut publiquement, et témoigna la joie qu
ne et au Japon. Sotoktais naquit à la cour de l’empereur Fintats. Sa
mère
avait été prévenue de son avenir par une voix div
ribles embrassemens, le père avec la fille, le frère avec la sœur, la
mère
avec le fils. Aniran, Ized présidant à la lumièr
, ou le guerrier des dieux ; Seunour Niou Maedra, ou le fils aux neuf
mères
; Goullintani, ou le dieu aux dents d’or ; aussi
d’une puissance temporelle inflexible. Néhallénie, espèce de déesse
mère
, présidant à la lune, à la navigation, et dont on
ement la mort : au contraire, les flots s’empressaient de rendre à la
mère
fidèle le fruit de ses chastes amours. On représe
t la grande et unique déesse des Miléadhs Irlandais, dont elle fut la
mère
; elle est aussi regardée quelquefois comme une r
e de Tuatha-Dadans ou d’un peuple auquel ils donnèrent le nom de leur
mère
. Luighaidh-Lamhfada, de la race Tuathadanique, é
e frères qui moururent sans postérité. Un jour d’ivresse, il viola sa
mère
et devint par là père de Qormaq. Qonnor sauva les
urut. Qormaq Qonlingios, fruit de l’inceste de Qonnor avec Néaça, sa
mère
, restait à la cour de l’Ulster. Son père l’ayant
es cabanes, et leurs idoles des figures hideuses. Attabéira était la
mère
de l’être suprême chez les habitans de l’île d’Ha
mal à la Floride. Quand on célébrait quelque fête en son honneur, les
mères
déchiraient cruellement leurs filles et en offrai
plus jeune et le plus beau des trois fils de Niparaia ; il avait pour
mère
la belle Anaikondi qui le mit au monde sur les mo
s femmes. Cihuacoahuati, ou le serpent-femme, était regardé comme la
mère
des humains, et en raison de cela fort révérée et
pour être la lune. Joalticitl était la déesse du berceau ; aussi les
mères
lui recommandaient-elles leurs enfans pendant la
bouquet de plumes qui volait dans les airs. Les fils de cette pieuse
mère
, excités par leur cruelle sœur Koïolkhhaouqui, se
et que nous longions l’isthme de Panama, nous apercevons : Dabaiba,
mère
des dieux chez les habitans de Panama ; elle vint
inité polynésienne, était fille de Ti et d’Osira. Après la mort de sa
mère
, elle épousa Ti, et le rendit père de trois fils,
abitent la Polynésie, le plus ancien des êtres, la source du tout, la
mère
des dieux ; aussi les nomment-ils Fampô, ou enfan
e de la publicité a été complétement favorable à cette tentative. Des
mères
de familles et des membres du clergé nous ont fél
x habitants de la terre durait cent ans. Les soins efféminés de leurs
mères
amollissaient leurs corps et leurs âmes, et lorsq
e les dieux avaient nommée Pandore, devint l’épouse d’Epiméthée et la
mère
du genre humain. « Telle fut, dit Hésiode, l’ori
tte fable le souvenir altéré de la formation et de la chute d’Ève, la
mère
du genre humain. Tels sont les faits généraux que
rne se chargea de cette vengeance. Armé de la faux qu’il tenait de sa
mère
, il attendit à l’écart le retour d’Uranus, et, lo
udice de Titan, l’aîné de ses frères. Celui-ci céda aux prières de sa
mère
; mais il fut convenu entre les deux frères qu’à
épousa ensuite Eurynome, la plus belle des filles de l’Océan, qui fut
mère
des trois Grâces : Aglaé, Euphrosyne et Thalie. C
mme, lui donna une fille nommée Proserpine. La belle Mnémosyne fut la
mère
des neuf Muses. Enfin, Apollon et Diane, les plus
une enclume à chacun de ses pieds. Vulcain, qui essaya de délivrer sa
mère
, fut précipité du ciel et tomba dans l’île de Lem
ut le châtiment de Junon ? — Vulcain n’essaya-t-il pas de délivrer sa
mère
? — Quels étaient les membres du conseil de Jupit
Apollon l’aurait alors tué dans la force de l’âge, non pour venger sa
mère
, mais pour délivrer la terre. Quoi qu’il en soit,
on, fille de Jupiter et de Latone, témoin de la triste destinée de sa
mère
, fit vœu de virginité. Son père lui donna un nomb
u plaisir de la chasse, et il allait lancer un trait mortel contre sa
mère
, lorsque Jupiter, pour prévenir ce parricide, le
sque Jupiter, pour prévenir ce parricide, le métamorphosa en ours. La
mère
et le fils allèrent de compagnie former, dans la
bles que causerait le fils de Vénus, voulait le faire périr ; mais sa
mère
le cacha dans les forêts, où il suça le lait des
Elle avait plusieurs surnoms, entre autres ceux de Bonne Déesse et de
Mère
des dieux. Cybèle choisit pour son prêtre, Atys,
a fille. Le maître des dieux décida que Proserpine serait rendue à sa
mère
, si toutefois elle n’avait pris aucune nourriture
s vengeances. Penthée, roi de Thèbes, fut mis en pièces par sa propre
mère
et ses tantes, pour avoir refusé de prendre part
reçut dans le partage du monde l’empire de la mer. A sa naissance, sa
mère
le cacha dans une bergerie d’Arcadie, et fit croi
e la mer. On attribue à Neptune un très-grand nombre d’enfants nés de
mères
différentes. Cette fécondité repose principalemen
beilles du perfide Aristée. Celui-ci dans sa douleur, va consulter sa
mère
, qui lui conseille d’interroger Protée, dont les
és Mélicerte, fils d’Athamas, roi de Thèbes, et d’Ino. Fuyant avec sa
mère
les fureurs d’Athamas, il se précipita dans les f
ortumnus, et qui protége l’entrée des vaisseaux dans le port. Ino, sa
mère
, fut adorée par les Grecs sous le nom de Leucotho
ils de Neptune et père des Gorgones. Thoosa, l’une de ses filles, fut
mère
du cyclope Polyphème. On regardait Phorcys comme
Aurore, fille de Titan et de la Terre, et, selon quelques poëtes,
mère
des Vents, sort du sein des flots pour annoncer l
tes ? — N’y avait-il pas plusieurs races de vents ? — Quelle était la
mère
des Vents ? — Quelles étaient les fonctions d’Aur
e. Il régna dans l’île d’Énopie, qu’il nomma Égine en l’honneur de sa
mère
. Aux Enfers, c’était lui qui prononçait leur sent
in de son petit-fils. Ayant pris la résolution de faire périr avec la
mère
l’enfant qui devait lui ravir un jour la couronne
is son espoir fut trompé, la protection de Jupiter sauva Persée et sa
mère
; la nacelle aborda sur les côtes de Sériphe, une
le de Sériphe, apportant le trophée qu’il avait promis ; il trouva sa
mère
exposée aux violences de Polydecte, mais protégée
n voyage. De Sériphe, il s’embarqua pour le Péloponèse avec Danaé, sa
mère
, et Andromède, son épouse ; il prit part aux jeux
du roi de Trézène. Il fut élevé à la cour du sage Pitthée, père de sa
mère
. Encore enfant, il montra son courage en s’armant
ait de leur alliance serait le meurtrier de son père et l’époux de sa
mère
. Lorsque cet enfant fut né, les auteurs de ses jo
le ressentiment de l’amitié ; il jura de venger Patrocle. Thétis, sa
mère
, vint le consoler, et lui apporta de nouvelles ar
rappa au talon, seule partie de son corps que les eaux du Styx, où sa
mère
l’avait plongé, n’avaient pas rendue invulnérable
Typhon, et Horus, dans un moment de colère, arracha de la tête de sa
mère
le diadème que remplacèrent des cornes de vache q
e du jeune héros s’éteignit lorsque le tison fatal fut consumé, et sa
mère
se tua bientôt après de regret et de désespoir. D
a Terre portèrent le nom générique de Titans, de celui de Titea, leur
mère
. Celle-ci donna encore naissance aux Cyclopes Bro
aîné, renonça à ses droits au trône par égard pour les prières de sa
mère
, mais à la condition que Saturne dévorerait, dès
il lui tendit des embûches. Alors Jupiter, excité secrètement par sa
mère
, conspira contre Saturne, le chassa du ciel et ré
e nue et aride, tandis que Cybèle fut l’emblème de la fécondité et la
mère
des plus grands dieux. En effet, elle donna le jo
13. Qu’était-ce que Cybèle ? En quoi diffère-t-elle de Tellus, sa
mère
, qui représentait aussi la terre ? Quelle fut, d’
plus grand des dieux, le maître souverain du ciel et de la terre. Sa
mère
, pour le dérober à la voracité de Saturne, le cac
uvrez-vous la tête d’un voile, et jetez derrière vous les os de votre
mère
: vous repeuplerez ainsi la terre. » [Ovide] Int
e] Interprétant le sens obscur de l’oracle, ils comprirent que cette
mère
était la terre, et ses ossements, les pierres qu’
Questionnaire. 17. De qui Jupiter était-il fils ? Comment sa
mère
le déroba-t-elle à la voracité de Saturne ? Où et
é, était aimée de Jupiter. Junon, ayant appris qu’elle allait devenir
mère
, ne cessa de la poursuivre de sa haine jalouse. E
jour Apollon et Diane. Le premier soin du jeune dieu fut de venger sa
mère
: il tua à coups de flèches le serpent Python, et
omme Apollon, fille de Jupiter et de Latone. La triste destinée de sa
mère
lui inspira une profonde aversion pour le mariage
urse. Arcas, fils de Calisto, étant un jour à la chasse, rencontra sa
mère
sous sa nouvelle forme, et, ne la reconnaissant p
r prévenir un parricide, le changea lui-même en ours et transporta la
mère
et le fils au ciel, où ils forment la grande et l
userait sur la terre, voulut le faire périr dès sa naissance. Mais sa
mère
le cacha dans les bois, où il suça le lait des bê
Pluton pour gendre ; alors il déclare que Proserpine sera rendue à sa
mère
, à la condition qu’elle n’aura pris aucune nourri
reux. Penthée tomba sous les coups de ses tantes, de ses sœurs, de sa
mère
elle-même, qui le mirent en pièces. Lycurgue, roi
ampagnes. On le croyait fils de Mercure et de Pénélope, qui en devint
mère
avant son mariage avec Ulysse. Pan naquit avec de
font périr les abeilles d’Aristée, qui, dans sa douleur, consulte sa
mère
. Cyrène conseille à son fils d’aller interroger P
icerte était fils d’Athamas, roi de Thèbes, en Béotie. Fuyant avec sa
mère
, Ino, les fureurs de son père, il se précipita da
Aurore, fille de Titan et de la Terre, était, selon quelques auteurs,
mère
des Vents, parce que, en effet, ils naissent ordi
de Jupiter, gouverna l’île d’Œnopie, qu’il appela Egine, du nom de sa
mère
. On raconte qu’une famine, suivie d’une peste cru
tone. Apollon et Diane le tuèrent à coups de flèches pour venger leur
mère
, et il fut précipité dans le Tartare. Là un insat
uption, à chaque moment, dans le même saisissement de cœur où est une
mère
qui voit son cher fils qu’elle avait cru mort ; e
fils qu’elle avait cru mort ; et cette joie, qui échappe bientôt à la
mère
, ne s’enfuit jamais du cœur de ces hommes » 44.
l’or, et Danaé donna le jour à Persée. Acrisius furieux fit mettre la
mère
et l’enfant dans une frêle barque et les abandonn
le jeune prince, dont la présence gênait ses desseins à l’égard de sa
mère
, il ordonna à Persée d’aller lui chercher la tête
ocher, pour être la proie d’un monstre marin, parce que Cassiopée, sa
mère
, avait osé dire que sa fille était plus belle que
ec le trophée qui avait été exigé de son courage, il trouve Danaé, sa
mère
, en butte aux violences de Polydecte et défendue
he, Persée s’embarqua pour revenir à Argos, sa patrie, avec Danaé, sa
mère
, et Andromède son épouse. Il apprend à son arrivé
oncle de cette princesse. Quelle fut la conduite de Persée envers sa
mère
et envers Polydecte, lorsqu’il fut de retour dans
marcher sur les traces d’Hercule, et à imiter ses exploits. Ethra, sa
mère
, lui découvrit le secret de sa naissance : elle l
ira, disait un oracle, sera le meurtrier de son père et l’époux de sa
mère
. » Aussitôt qu’il fut né, le roi ordonna de le fa
t fut roi. ( Voltaire, Œdipe.) L’union incestueuse d’un fils avec sa
mère
attira de nouveau les vengeances célestes. Thèbes
rtir. Ulysse remplit le même message auprès d’Achille, que Thétis, sa
mère
, avait envoyé, sous des habits de femme, à la cou
et succombe. Achille, dans sa douleur, jure de le venger. Thétis, sa
mère
, vient le consoler et lui apporte de nouvelles ar
d les bras à son père, Hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa
mère
. A ce spectacle affreux, quoique sûr de la mort,
te parce qu’elle est regardée comme le principe de la fécondité et la
mère
de tout ce qui existe. Gna est la messagère de Fr
able par tout le corps, excepté au talon, par où le tenait Thétis, sa
mère
, lorsqu’à sa naissance elle le plongea dans le St
, soit du côté paternel (soit du côté maternel, ou dont le père ou la
mère
avoir cet avantage ; comme Persée, Hercule, Thésé
ibles, Faisoient nos plaisirs les plus doux ; Et l’égalité naturelle,
Mère
de l’amitié fidelle, Sous ses loix nous unissoien
, épouse du Ciel, mère de Saturne, étoit la déesse de la terre, et la
mère
de tous les dieux ; c’est pourquoi on l’appelle l
et la mère de tous les dieux ; c’est pourquoi on l’appelle la grande
mère
. On lui attribue la fécondité de terre : J’y voi
in d’impatience de l’emporter sur son rival, il va trouver Climène sa
mère
, qui le confirme dans son projet : Mon dessein s
frémis ! que vois-je ? ô dieux ! Tremblez pour votre fils, ambitieuse
mère
! Où vas-tu, jeune téméraire ? Tu d
s Graces, l’Hymen, Priape et Enée. Ils ajoutent qu’elle est encore la
mère
des Ris, des Jeux et des Plaisirs, qu’ils représe
pillon. Le culte que l’on rendoit à ce dieu, lui étoit commun avec sa
mère
. Il avoit cependant des autels et des temples où
ille qui fut, dans la suite, si célèbre, et que l’on regarde comme la
mère
des sciences et des beaux-arts. Pallas, ou Bellon
roit la haîne de Junon ; Puisses-tu, comme moi, sur ton fils, sur sa
mère
, Porter, sans les connoître, une main sanguinaire
lir des fleurs dans les campagnes de Sicile : O mes compagnes ! ô ma
mère
! O vous, maître des dieux, mon père !… Cris impu
oit déjà accoutumée dans ce sombre royaume ; elle refusa de suivre sa
mère
. Cérès ne pouvant la persuader, eut recours à l’a
e, épouse de Céphée, roi d’Egypte. Heureuse épouse, heureuse
mère
, Trop vaine d’un sort glorieux, Je n’ai p
nestes : Noble et brillant auteur d’une triste famille, Toi, dont ma
mère
osoit se vanter d’être fille, Qui peut-être rougi
doit le dragon de Mars ; En vain son haleine enflammée, Et ses dents,
mères
d’une armée, En étoient les affreux remparts. La
le avoit eus de Jason : Livrée à tes fureurs, impitoyable Amour, Une
mère
à ses fils a pu ravir le jour ! Méconnois-tu ton
t d’avoir. Il ordonna à Jocaste, son épouse, d’égorger cet enfant. La
mère
, ayant horreur de ce crime, en remit l’exécution
e, et j’eus le diadême. Corneille. Œdipe, sans le savoir, épousa sa
mère
, et monta sur le trône de son père qu’il avoit tu
t célèbres au siège de Troie. Il étoit fils de Thétis et de Pélée. Sa
mère
l’avoit plongé dans le Styx, afin de le rendre in
le nourrit que de moëlle de lions. II étoit encore enfant, lorsque sa
mère
lui proposa le choix de vivre long-tems sans gloi
tendoit le moment de sa perte certaine. Là des femmes en foule, et sa
mère
et ses sceurc Embrassoient un autel arrosé de leu
the et de Clytemnestre : Errant et malheureux, De haïr une
mère
il eut le droit affreux. Né pour souiller sa main
eureuse fille ? Quel crime contre Electre arme enfin sa famille ? Une
mère
en fureur la hait et la poursuit ; Ou son frère n
des accès de fureur, pendant lesquels il s’imagine voir l’ombre de sa
mère
accompagnée de Furies : Mais quelle épaisse nuit
nger le trépas de son père, Ayant trempé ses mains dans le sang de sa
mère
, Tourmenté, déchiré de ce crime odieux, Egalement
échappa à la ruine de Troie, par les ordres et avec le secours de sa
mère
. Il chargea son père sur ses épaules, prit son fi
e Chiron, 89 — Préfère la gloire aux années, 174 — Est caché par sa
mère
, et découvert par Ulysse, 175 — Se brouille avec
ndoient des oracles, 48 Doris, fille de l’Océan, épouse de Nérée, et
mère
des Nymphes, 90-92 Dragon, qui gardoit la Toison
de la Thessalie, ibid. Lapria, nom donné à Diane, 60 Lara, nayade,
mère
des dieux domestiques, 126 Lares, dieux domestiq
ndue dans le chaos, 16 — Quels dieux y tiennent le premier rang, 11
Mère
, (la grande) nom donné à Cibèle, 26 Mercure, fil
07 Minotaure, monstre fameux, 142 — Tué par Thésée, 143 Mnémosyne,
mère
des Muses, 49 Moineaux, consacré à Vénus, 74 Mo
père, 163 — Devine l’énigme proposé par le Sphinx, 164 — Epouse sa
mère
, ibid. — Se crève les yeux, et s’exile, 165 —
n, 172 — Et de Clyremnestre, 148 — Est soustrait à la cruauté de sa
mère
, 187 Oreste venge la mort de son père, 148-188
des dieux, 11 — Est enlevé par Pluton, 98-99 — Refuse de suivre sa
mère
, 99 — Thésée et Pirithoüs entreprennent de l’enl
e, 53 — De Neptune, 91. De Pluton, 100 Sciences et Beaux-Arts, leur
mère
, 82 Scorpion, signe du Zodiaque, 89 Scylla, cha
es, 96 — Ecueils fameux, 95 Scyros, île où Achille fut caché par sa
mère
, 174 Scyrron, fameux brigand puni par Thésée, 14
60 — De Jupiter Olympien, une des merveilles du monde, 62 Sténobée,
mère
des Prétides, 39 Sténobée, Reine d’Argos, épouse
naé fut le héros célèbre sous le nom de Persée. Acrise fit exposer la
mère
et l’enfant dans une méchante barque, qui alla he
on moins pesante. On ajoute que Vulcain ayant voulu secourir Junon sa
mère
et tâcher de rompre ses douloureux liens, fut pré
ne de Vénus ! ô fatale colère ! Dans quels égarements vous jetâtes ma
mère
… Ariane, ma sœur, de quel amour blessée, Vous mou
des hommes, mais que la joie d’Anchise divulgua. Énée, protégé par sa
mère
, fut un héros. Après avoir fait d’inutiles exploi
; car elle voulait venger sur le fils le triomphe que la beauté de la
mère
avait obtenu sur la sienne dans le jugement de Pâ
s à faire preuve de sa puissance. Souvent il se montre obéissant à sa
mère
, et demeure auprès d’elle pour servir ses dessein
accorder d’asile, non plus qu’aux deux enfants dont elle allait être
mère
. Elle fit sortir d’un limon impur qu’avait laissé
ui inspirèrent tant d’orgueil qu’elle osa mépriser Latone qui n’était
mère
que de deux enfants. Apollon et Diane furent char
it mère que de deux enfants. Apollon et Diane furent chargés par leur
mère
de la venger des mépris de Niobé, et ils percèren
é, et ils percèrent de traits ses quatorze enfants. Cette malheureuse
mère
devint immobile de désespoir, et fut changée en r
nier qu’il dût le jour au fils de Latone. Phaéton ne put cacher à sa
mère
la douleur qu’il ressentait de ce doute ; et la b
soir ténébreux, Rassemble par milliers dans les bocages sombres ; Des
mères
, des héros, aujourd’hui vaines ombres, Des vierge
jalousie ! ô passion amère ! Fille du fol amour, que l’erreur a pour
mère
! Ce qu’on voit par tes yeux cause assez d’embarr
allait la percer de ses traits, lorsque Jupiter changea le fils et la
mère
en étoiles. Mais Junon, toujours ennemie, pria le
e d’Hermaphrodite, mot qui renfermé le nom de son père et celui de sa
mère
; car Mercure était souvent appelé Hermès, et Vén
r l’y laisser autant de temps qu’il aurait dû être dans le sein de sa
mère
. Le jeune Bacchus fut nourri dans l’île de Naxos,
Bacchus. Bientôt ce dieu descendit dans les enfers pour en retirer sa
mère
, qui fut admise dans l’Olympe. Pour se soustraire
e Bacchus, appelées Dionysiaques ou Orgies, fut déchiré par sa propre
mère
et par ses tantes, dont le dieu troubla tellement
late en sanglots, Comme si dans l’instant de sa perte cruelle’, Cette
mère
eût appris la première nouvelle ; Vingt fois dans
s que Proserpine était devenue l’épouse du monarque des enfers. Cette
mère
, encore effrayée sur le sort de sa fille chérie,
me, sa patrie, se laissa fléchir par les prières de sa femme et de sa
mère
. Mais revenons à Cérès, Les habitants des campagn
eux, qui firent l’admiration des habitants de l’Olympe. On dit que sa
mère
l’ayant raillé sur sa figure bizarre, il fit un f
l acharnement elles poursuivirent Oreste meurtrier de Clytemnestre sa
mère
. Elles inspiraient une si grande terreur qu’à pei
ors près de Vénus, sur le mont Éryx, l’aperçut, et, par l’ordre de sa
mère
, lui lança ses traits les plus puissants. Non lo
tremble, se désespère ; Elle appelle à grands cris ses compagnes, sa
mère
; Sa mère, hélas ! sa mère… et la moisson de lis
se désespère ; Elle appelle à grands cris ses compagnes, sa mère ; Sa
mère
, hélas ! sa mère… et la moisson de lis Que renfer
le appelle à grands cris ses compagnes, sa mère ; Sa mère, hélas ! sa
mère
… et la moisson de lis Que renferme sa robe échapp
e demeurerait chaque année six mois avec son mari et six mois avec sa
mère
. Pirithoüs, accompagné de Thésée son ami, entrepr
et une extrême précision. Si cet essai obtient le suffrage des jeunes
mères
, et si ma santé me le permet, je donnerai l’année
eurs forces : eux qui ont représenté, d’une manière si admirable, une
mère
mourante (Niobé), voyant expirer ses filles percé
éralement reçue, l’empêche de prononcer ces paroles qu’à sa place, la
mère
la moins tendre, n’oseroit proférer. Combien de f
us renferma dans le Tartare les Gentimanes et les Cyclopes. Ghé, leur
mère
, pour les délivrer, révolta, contre Uranus, les T
s étoient une dépendance des Saturnales. Cybèle, femme de Saturne. Sa
mère
aussitôt après sa naissance la fit exposer dans u
ie. Cette seconde page n’offre pas des images plus gracieuses : une
mère
qui expose sa fille aux bêtes féroces, un oncle q
c Téthys, fille d’Uranus et de Ghé, elle épousa l’Océan qui la rendit
mère
de 3000 filles, appelées Océanides. Océan, ou Pon
t leur nom de Nérée ou l’Océan, leur père, mais qui eurent Doris pour
mère
. Les nymphes des fleuves et des rivières, se nomm
Penthée15 pour la même raison. Il inspira une telle fureur à Agavé sa
mère
, et à Autonoë sa tante, qu’elles le massacrèrent
moyen, à l’insçu de Cynire, de se substituer la nuit à la place de sa
mère
. Cynire, en connoissant ce crime exécrable, voulu
irs avec deux fortes enclumes aux pieds, que Vulcain vint délivrer sa
mère
, que Jupiter le précipita dans l’île de Lemnos, e
rps étoit cachée. Vulcain eut encore un autre fils nommé Cœculus : sa
mère
, assise à côté de la forge de Vulcain, fut frappé
ôté de la forge de Vulcain, fut frappée d’une étincelle qui la rendit
mère
d’un enfant auquel elle donna le nom de Cœculus,
ondité, elle se préféra à Latone ; Apollon et Diane, pour venger leur
mère
, tuèrent à coups de flèches tous les enfans de Ni
u’elle chargea de poursuivre sa vengeance. Mais Apollon en délivra sa
mère
et le tua à coups de flèches. Apollon fit couvrir
e, mais par un artifice, en la séduisant sous la figure d’Eurinome sa
mère
. Clitie, sœur de Leucothoë et sa rivale, découvri
l lui avoit demandé, se précipita dans le lac Canopus. Sa malheureuse
mère
, ne pouvant lui survivre, s’y jeta après lui. Apo
es deux jeunes princes, instruits par la suite, de l’histoire de leur
mère
, eurent la férocité d’attacher Dircé à la queue d
ers cris des enfans. Alemona, qui les protégeoit dans le sein de leur
mère
. Déverra, Déesse du balayage. Robigo ou Rubigos q
0. Typhon, géant. Échidna, monstre moitié femme et moitié serpent, et
mère
du chien Cerbère, de l’Hydre de Lerne et de tous
u nombre des astres, et sa fonction étoit d’annoncer le jour, dont sa
mère
ouvroit les portes. C’est la planète de Vénus lor
eur, tuèrent toutes les abeilles d’Aristée, qui, par le conseil de sa
mère
, ayant consulté Protée, sacrifia aux mânes d’Euri
Dieux inférieurs. Enfin, il y avoit les demi-Dieux ; ceux qui, nés de
mères
mortelles ou de pères mortels, tiroient leur orig
un croissant blanc sur le flanc droit. Il falloit que la genisse, sa
mère
, l’eut conçu d’un coup de tonnerre. Les prêtres d
ères, mais Titan, comme l’aîné de la famille, prétendait régner. Leur
mère
, qui avait une prédilection pour Saturne, mit en
paraissait cruel ; mais bientôt, réfléchissant que la Terre est notre
mère
commune, et que les pierres qu’elle renferme peuv
emps Proserpine sa fille, que Pluton avait enlevée. Un jour que cette
mère
infortunée voyageait en Attique sous la figure d’
t à vue d’œil, et d’une manière si prodigieuse que la curiosité de la
mère
en fut éveillée : elle voulut savoir ce qui se pa
oursuit un papillon, et agite son flambeau ; tantôt il joue devant sa
mère
avec un luth, ou tient un cygne étroitement embra
le Soleil même. Il naquit dans l’île de Délos, une des Cyclades ; sa
mère
fut Latone ; sa sœur Diane. Le premier usage qu’A
être pas le fils du Soleil. « On connaît ton origine, lui dit-il ; ta
mère
facile n’a imaginé des amours divines que pour mi
sance, s’écrie-t-il d’un ton pénétré ; on attaque votre honneur, ô ma
mère
! Vengez votre fils, vengez-vous, ou dites-moi ce
us, ou dites-moi ce qu’il faut faire. » Le plan est bientôt conçu. La
mère
conseille à Phaéton de demander au Soleil la cond
queur, dont il ignorait l’effet, il tomba dans l’ivresse, outragea sa
mère
et frappa son fils. Dès ce moment, ennemi déclaré
souvent prise pour la déesse de la justice, et elle ne forme avec sa
mère
qu’une seule et même divinité. Section deuxiè
Dans la douleur que lui causait cette perte, il va trouver Cyrène, sa
mère
, au fond de la grotte qu’elle habitait près de la
rès de la source du fleuve Pénée, et le cœur gonflé de soupirs : « Ma
mère
, lui dit-il, à quoi me sert d’être issu des dieux
s travaux et de soins assidus, je les perds aujourd’hui ! et tu es ma
mère
!… Eh bien ! achève ; arrache, détruis toi-même d
e son agitation, et lui dit : « Dans ta triste position, mon fils, ta
mère
ne peut rien pour toi : ses lumières ni son bon v
t par cet horrible géant, le terrassa, mais en vain ; caria Terre, sa
mère
, lui donnait des forces nouvelles toutes les fois
, où elle fut recueillie par un pêcheur nommé Dictys. Il conduisit la
mère
et l’enfant au roi Polydecte, qui reçut Danaé ave
ssé ou mis à mort par un fils d’Éson. Dès que Jason vint au monde, sa
mère
, pour le dérober aux poursuites du tyran, publia
t Pollux, héros grecs, étaient fils d’une étolienne nommée Léda. Leur
mère
eut deux maris : Jupiter, qui fut le père de Poll
lus célèbre devin des temps héroïques, naquit à Thèbes en Béotie : sa
mère
, la nymphe Chariclo, était une des suivantes de M
nommé Mopsus, vécut à l’époque du siége de Troie, prophétisa comme sa
mère
et son aïeul, et fut l’antagoniste de Calchas.
i de Calydon, et d’Althéa, n’était âgé que de trois jours, lorsque sa
mère
aperçut près du foyer les trois Parques, qui, sem
leur hyménée serait un jour le meurtrier de son père et l’époux de sa
mère
. » L’enfant naquit, et Laïus, pour éviter de plus
c anxiété, à diverses reprises, celle qu’il avait toujours appelée sa
mère
; mais Péribée, qui le chérissait, se gardait bie
tal, s’il voulait éviter de tuer son père et de devenir l’époux de sa
mère
. » Frappé de ces mots terribles, et résolu de ne
rtrier désigné par l’oracle ; que Laïus était son père, et Jocaste sa
mère
. A cette révélation accablante il fit éclater un
e qu’il avait reçu, et trempa ses mains sacrilèges dans le sein de sa
mère
. Amphiaraüs reçut les honneurs divins, et il lui
; elle renonce à sa patrie, elle abjure les sentiments d’épouse et de
mère
! Ménélas revient : il apprend le crime du perfid
pas à Aulis ; elle était restée à Mycènes, auprès de Clytemnestre sa
mère
, avec ses deux sœurs et le jeune Oreste. Pour la
le fléchir ; et, le voyant inexorable, elle songe à s’enfuir avec sa
mère
. Mais bientôt, réfléchissant aux triomphes dont s
la nymphe Thétis et de Pélée, naquit à Phtia, ville de Thessalie. Sa
mère
, qui voulait le rendre invulnérable, le porta aux
des armes. Ce choix le trahit. Obligée de consentir à son départ, sa
mère
obtint pour lui un bouclier, ouvrage de Vulcain,
économie. Sa fille, l’aimable et pudique Nausicaa, partageait avec sa
mère
les soins du ménage, et descendait jusqu’aux moin
au lorsque son père partit pour le siége de Troie. Placé auprès de sa
mère
, le jeune Télémaque y grandit à l’ombre des vertu
, pendant la guerre, son fils Polydore et de grandes richesses, cette
mère
infortunée apprit que ce barbare avait égorgé le
d’un coup mortel ; Oreste plonge l’homicide acier dans le sein de sa
mère
. La foule se presse autour de lui ; il parle, on
du fleuve Céphise et de la nymphe Liriope. Quand il vint au monde, sa
mère
consulta le devin Tirésias sur la future destinée
et en eut quatorze enfants, qui tous répondirent aux soins que cette
mère
attentive avait pris de leur éducation. Ses fils
leur sexe et de leur rang. Niobé pouvait se dire la plus heureuse des
mères
. Mais tout entière à ses devoirs domestiques, ell
et l’on grava cette inscription sur une statue élevée à sa mémoire :
Mères
fécondes, moi aussi j’ai connu vos joies : Puissi
t au rang des dieux sous la figure d’une vache, et la qualifièrent de
Mère
de toutes choses, et de Déesse universelle. Osiri
meurtrier d’Osiris, et périt lui-même de la main des Titans. Isis, sa
mère
, le ressuscita, le rendit immortel, et lui enseig
14. L’Amour n’est pas toujours un enfant jouant dans les bras de sa
mère
; quelquefois il se montre avec la fraîcheur de l
e passa-t-il à Saturne ? R. Titan, pour condescendre aux désirs de sa
mère
, céda le trône à son frère Saturne qui étoit son
Cybèle ? R. Cybèle est femme de Saturne ; elle est regardée comme la
mère
de plusieurs Dieux ; c’est pourquoi ou l’appelle
ie d’or pour Danaé, dont il eut Persée ; et en berger pour Mnémosyne,
mère
des neuf Muses. Molière a dit : Passe encor de l
on ou l’Amour, et les Grâces. On dit encore du premier qu’elle est la
mère
des Ris, des Jeux et des Plaisirs, qu’on représen
i de flèches ardentes. Le culte qu’on lui rend lui est commun avec sa
mère
. Dans une obscurité profonde, Je porte au hasard
éesse le trouvèrent inflexible. Cybèle. O mes compagnes ! ô ma
mère
! O vous, maître des cieux, mon père !… Cris imp
ndamna à l’exil. Jupiter le plaça au ciel avec Andromède et Cassiope,
mère
de la princesse. D. A quoi les Poëtes attribuent-
son fils ; il ordonna à Jocaste, son épouse, d’égorger cet enfant. La
mère
ayant horreur de ce crime, en remit l’exécution à
Œdipe avoit tué Laïus, son père, sans le connoître. Ici il épouse sa
mère
sans le savoir ; il règne, et les premiers momens
horreur qu’il est le meurtrier de son père, et qu’il avoit épousé sa
mère
. Celle-ci se pendit de désespoir. Œdipe se creva
ontez- nous l’histoire d’Oreste et de Pilade ? R. Oreste avoit tué sa
mère
, bientôt il tomba dans des accès de fureur ; il c
entôt il tomba dans des accès de fureur ; il croit voir l’ombre de sa
mère
accompagnée des Furies. Il consulte l’Oracle, qui
ns du Centaure Chiron, qui ne le nourrit que de la moëlle de lion. Sa
mère
le plongea dans le Styx, pour le rendre invulnéra
des enfans ? R. La première attention que doivent avoir les pères et
mères
, c’est de n’offrir à leurs enfans que des exemple
ceux-ci………………………… (La Font., L. 12. F. 10.) Un autre Poëte a dit :
Mère
, crains pour ta fille ; elle examine en toi L’esp
ntagieux ! D. La sagesse de mœurs et de conduite suffit-elle dans une
mère
de famille ? R. Il faut encore d’autres soins de
calme des sens. Dans vos réprimandes, montrez-vous toujours, pères et
mères
, les amis plutôt que les maîtres de vos enfans. S
l’importante, la noble et la sainte tâche imposée à tous les pères et
mères
. Ils se souviendront aussi de marquer à tous leur
urs doivent être attribués à une indiscrète prédilection des pères et
mères
pour certains de leurs enfans ! 3.° Les maîtres o
s personnages aussi ridicules. Une dame Romaine demandait à Cornélie,
mère
des Gracques, de lui faire voir ses bijoux et ses
isage, détachez vos ceintures, et jetez derrière vous les os de votre
mère
. » Deucalion, après avoir cherché pendant quelque
e temps le sens de ces paroles, comprit qu’il s’agissait de la terre,
mère
commune des hommes, et des pierres de la terre, q
a fille. Le maître des dieux décida que Proserpine serait rendue à sa
mère
, si toutefois elle n’avait pris aucune nourriture
ée Cybèle, et avait, entre autres surnoms, ceux de Bonne Déesse et de
Mère
des Dieux. On l’appelait encore Bérécynthie, Dynd
lmier. Le premier usage qu’Apollon fit de ses traits fut de venger sa
mère
du serpent Python, que Junon avait suscité contre
eux et une torche à la main. [Fig. 66] Il épousa Psyché, malgré sa
mère
, qui s’opposait à leur union. Psyché était une je
vents sur les côtes de l’île de Sériphe, où un pêcheur recueillit la
mère
et l’enfant, et les conduisit à Polydecte, roi de
îtrait de leur union serait le meurtrier de son père et le mari de sa
mère
. Aussi fut-il confié, quelques heures après sa na
vant qu’ils eussent vu le jour. Ils se battaient dans le sein de leur
mère
. Après la mort d’Œdipe, ils convinrent de régner
happa à la mort ou à l’esclavage. Protégé dans sa fuite par Vénus, sa
mère
, il alla s’établir en Italie, où il fonda une vil
e nomme Personne, lui répond le héros ; ainsi me nomment mon père, ma
mère
et tous les miens. — Eh bien, lui dit le Cyclope,
beauté, qui fut aimé de plusieurs nymphes. Tirésias avait prédit à sa
mère
qu’il vivrait tant qu’il ne se verrait pas. Reven
’île d’Énopie, à laquelle il donna le nom d’Égine, en l’honneur de sa
mère
. La peste ayant dépeuplé son île, il obtint de so
des sacrifices à cette déesse. Apollon et Diane, à la prière de leur
mère
, descendirent sur la terre et tuèrent à coups de
e ; ce qui fit croire qu’un tourbillon de vent avait transporté cette
mère
infortunée sur cette montagne, et qu’elle avait é
, passant alternativement six mois avec son époux et six mois avec sa
mère
, est l’emblème du grain de blé qui reste d’abord
rs de Babylone et les pyramides d’Égypte. 25. Après le meurtre de sa
mère
, Oreste, fils d’Agamemnon, contraint par les Furi
ériter du royaume ; mais, touché par les représentations de Vesta, sa
mère
; il céda ses prétentions à son frère, à conditio
nibles, Faisaient nos plaisirs les plus doux, Et l’égalité naturelle,
Mère
de l’amitié fidèle, Sous ses lois nous unissait t
Ida, où elle était aussi appelée la Grand’mère, parce qu’elle est la
mère
de la plupart des dieux et surtout des dieux du p
Jupiter avait fait sortir Pallas de son cerveau, voulut aussi devenir
mère
par sa propre puissance : elle alla en chercher l
au nombre de douze. Il fallait être fils de praticiens, ayant père et
mère
, et être jeune pour être admis dans leur collége.
ante ; venue la première, elle ne fut pas plutôt née, qu’elle aida sa
mère
à mettre au jour Apollon. Epuisée de fatigue aprè
ux fardeau ne la fatiguait pas : On devient forte alors qu’on devient
mère
. Demoustier. Les Lyciens changés en grenouill
ollon et Diane d’en tirer vengeance. Partageant l’outrage fait à leur
mère
, ils pénétrèrent dans le palais de Niobé, et tuèr
pour lui au tombeau. Les amis du prince, ses proches, son père et sa
mère
, qui étaient très-vieux, ses sujets, personne enf
Perséis ne fut pas insensible à l’amour du jeune dieu, et elle devint
mère
de la célèbre Circé. Cyparisse Dans le mê
ce que la fable nous apprend d’Orion. Fils des dieux, il naquit sans
mère
. Jupiter, Neptune et Mercure étant en voyage, all
ir la belle Leucothoé sans témoin, le dieu prit la figure d’Eurynome,
mère
de la princesse ; et feignant d’avoir quelque cho
t reproché qu’il n’était pas fils du Soleil, il alla se plaindre à sa
mère
, Clymène, puis à son père dans son palais ; il lu
frémis ! que vois-je ? ô dieux ! Tremblez pour votre fils, ambitieuse
mère
! Où vas-tu, jeune téméraire ? Tu dois trouv
dard ; mais Jupiter voulant prévenir un parricide, enleva Arcas et sa
mère
, et les plaça au ciel, où ils forment les constel
et les Romains célébraient ses fêtes au mois de mai, consacré à Maïa,
mère
du dieu. Ils lui immolaient une truie pleine, que
instruite sans prétentions, amie discrète, épouse vertueuse et bonne
mère
, ce fut là tout ce qu’on exigea d’elle. Sur ces p
omie douce et perfide tout le mal qu’il ferait aux hommes, engagea sa
mère
à l’abandonner. Vénus, pour le soustraire aux des
ables de l’amour. Ses soins étaient plaisirs pour elle ; Les soins de
mère
sont si doux ! Son fils jouait sur ses genoux, Ou
le d’Asope. Il régna dans l’île de Delos, à qui il donna le nom de sa
mère
. Il épousa deux femmes : la seconde, nommée Endéi
a mort de cette princesse. Aussitôt le fils de Cyrène alla trouver sa
mère
dans la grotte profonde qu’elle habitait à la sou
Astrée Astrée, fille de Jupiter et de Thémis, se confond avec sa
mère
la déesse de la justice. Elle habita parmi les ho
un tournoi. Polydecte, à la cour duquel Persée s’était rendu avec sa
mère
, prit un grand soin de son éducation ; mais, quel
u’il était coupable du crime d’avoir tué son père et épousé sa propre
mère
. Pénétré de douleur, l’infortuné roi s’arracha le
lle haine l’un pour l’autre, qu’ils se battaient dans le sein de leur
mère
. On ajoute que quand on brûla leurs corps, la fla
de l’épouser, se tua de désespoir. La mort du fils causa celle de la
mère
, et Créon, ne pouvant survivre à sa femme, la sui
Enée était du sang royal de Troyes. La fable lui donne Vénus pour
mère
. Après la ruine de sa patrie, ce héros fugitif, c
oit eu un fils de Ninus ; ce Prince, nommé Ninias, conspira contre sa
mère
, et suivant l’opinion la plus générale, se défit
Oracle qui lui répondit qu’il tueroit son père et qu’il épouseroit sa
mère
. Cet Oracle affreux décida Œdipe à se bannir de C
uivant la plus commune opinion, naquit d’Echidna et de Typhon père et
mère
de tous les monstres de la fable. Le Sphinx avoit
t s’en fit une parure : aussitôt son fils, saisi des furies, brûla sa
mère
avec sa maison. On rapporta le collier à Delphes,
nymus et Péripnoüs qui vouloient lui faire violence. Hercule eut pour
mère
la belle Alcmène fille d’Electrion8. Alcmène épou
xploit d’Hercule fut la chasse du Sanglier formidable d’Erimanthe. La
mère
de cet animal étoit Phæa ou la Truie de Crommyon
d’Erimanthe. La mère de cet animal étoit Phæa ou la Truie de Crommyon
mère
aussi du Sanglier de Calydon. Lorsqu’Hercule port
rcule invoqué par Augé, préserva Télèphe d’un inceste, il reconnut sa
mère
. Télèphe se distingua par beaucoup d’exploits, il
que quelques-uns nomment Amphinome ; par la suite, cette malheureuse
mère
ne pouvant supporter la longue absence de son fil
es poëtes sous le nom de Dioscures 20 ou de Tindarides parce que leur
mère
étoit femme de Tindare Roi de Sparte. Ils se dist
élée, Roi de la Phthiotide en Thessalie, et de Thétis : on dit que sa
mère
le plongea dans le Styx pour le rendre invulnérab
iron, pour l’adoucir, lui apprit la musique et à jouer de la lyre. Sa
mère
, ayant su de Calchas qu’il périroit au siége de T
e Priam et d’Hécube, fut, dès le berceau, proscrit par ses parens. Sa
mère
étant grosse de lui, consulta l’Oracle, qui lui r
opée lui arracha son épée qu’elle garda. Il eut d’elle un fils que sa
mère
exposa sur une montagne, et qui, ainsi que tous l
elques soldats, tout-a-coup il écarta la garde et tua, de sa main, sa
mère
et l’usurpateur régicide. Dans les Coëphores 28 d
ur régicide. Dans les Coëphores 28 d’ Eschyle, lorsqu’Oreste a tué sa
mère
, il arrive ivre de fureur et de son crime ; il ra
e Laertes, petit fils d’Archius, et arrière petit fils de Céphale. Sa
mère
s’appeloit Anticlée. Comme il montra dès sa jeune
ent et dominateur de Circé, la tua, et que Cassiphone, pour venger sa
mère
, assassina Télémaque. Diomède, long-temps ami d’U
’Ulysse, étoit fils de Tydée et petit fils d’Œnée, Roi de Calydon, sa
mère
se nommoit Déipile, fille d’Adraste Roi d’Argos.
épousa l’Achéron, le fleuve des enfers. On regardait la Nuit comme la
mère
des dieux et des hommes. On lui rendait un culte
t que Cybèle son épouse et sa sœur leur avait donné le jour. 2. Cette
mère
infortunée, ayant mis au monde Jupiter et Junon,
onna naissance à plusieurs dieux. On l’appela pour ce motif la grande
mère
(alma mater). On lui donnait aussi les noms de Bé
des dieux. Questionnaire. 1. Qu’est-ce que Jupiter ? Comment sa
mère
lui sauva-t-elle la vie à sa naissance ? Par qui
e du Titan Cœus et de Phébé. Il vint au monde dans l’île de Délos. Sa
mère
s’y était cachée pour éviter le courroux de Junon
Où vint-il au monde ? Quelle vengeance Junon exerça-t-elle contre sa
mère
? Comment Apollon tua-t-il le serpent Python ? Qu
nts de l’Olympe. Cependant il s’était déclaré un jour contre Junon sa
mère
, parce qu’il ne pouvait lui pardonner sa propre l
tait fils de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus, roi de Thèbes. Sa
mère
ayant désiré que Jupiter lui apparût dans tout l’
les maux que cet enfant devait faire aux dieux et aux hommes. Mais sa
mère
le cacha dans les forêts, où il se nourrit du lai
mme Jupiter, fils de Cybèle et de Saturne. Quand il vint au monde, sa
mère
le déroba à l’avide férocité de son époux et le c
-il fils ? Quelles furent ses destinées ? Quelles furent celles de sa
mère
? 13. Qu’était Charybde ? Pourquoi fut-elle métam
fille du Soleil et de la Terre, et, selon quelques poëtes, elle était
mère
des Vents, des Astres et de Lucifer. Elle eut pou
ut terrible parce que toutes les fois qu’Anthée tombait, la Terre, sa
mère
, lui donnait de nouvelles forces. Hercule s’en ét
isir de jeter du merveilleux dans sa vie et autour de son berceau. Sa
mère
lui donna le jour dans le Péloponèse. Egée, en la
des bois l’orage ténébreux ; Des vierges, des époux, des héros et des
mères
, Des enfants moissonnés dans les bras de leurs pè
e lui répondit qu’il serait le meurtrier de son père et l’époux de sa
mère
, et que de lui sortirait une race détestable. Eff
outien. Le Sphinx vaincu se jeta à la mer. 6, Œdipe épousa Jocaste sa
mère
, et en eut deux fils, Etéocle et Polynice, et deu
n fils, et sa ruse fut découverte. — Achille était fils de Thétis. Sa
mère
l’avait plongé immédiatement après sa naissance d
evait périr sous les murs de Troie. Pour éviter ce malheur, Thétis sa
mère
t’envoya à la cour de Lycomède, roi de Scyros. Le
ouillant Achille, qui jura de venger la mort de son ami. 7. Tétis, sa
mère
, lui fit don d’une armure nouvelle qui sortait de
a une nouvelle, et supplia Ulysse de lui dire son nom. Mon père et ma
mère
, lui dit Ulysse, m’appellent, Personne. Eh bien !
et Biton, deux enfants illustres par leur piété touchante envers leur
mère
; Niobé, qui pleura tellement ses enfants que la
’est-ce que l’oracle avait prédit d’Achille ? Quels moyens employa sa
mère
pour l’éloigner du camp des Grecs ? Comment fut-i
avorisé la révolte de ce génie malfaisant, Horus indigné dépouilla sa
mère
de son diadème, et le remplaça par des cornes de
t le roi des dieux. Les Scandinaves appelaient Fréa la terre-mère, la
mère
des dieux, et son alliance avec Odin était pour e
e, Gorgone, 44. Eurydice, ép. d’Orphée, 70, 132 et suiv. Eurynome,
mère
des Grâces, 58. Eurysthée, roi d’Argos, 112, 113
vertu divinisée, 90. Mithra, div. des Perses, 173, 174. Mnémosyne,
mère
des Muses, déesse de la mémoire, 23, 36. Momus,
n devait hériter de l’empire du monde ; mais, sur les instances de sa
mère
, il abandonna ses droits à Saturne, à la conditio
Jupiter, fils de Saturne et de Cybèle, ayant été soustrait par sa
mère
à la férocité de Saturne, qui s’était engagé à dé
guider le char du soleil. Il était fils de Jupiter et de Latone : sa
mère
eut beaucoup à souffrir de la jalousie de Junon,
rs, qui, sous la forme de petits génies ailés, suivaient partout leur
mère
, et faisaient l’ornement de sa cour. Vénus donna
ion, Cérès changea Ascalaphe en hibou. Cependant, pour consoler cette
mère
désolée, Jupiter ordonna que Proserpine passerait
tait le Dieu des tendres attachements. Le culte que l’on rendait à sa
mère
lui était commun. A peine était-il né, que Jupite
upiter, prévoyant tous les maux dont il serait la cause, ordonna à sa
mère
de le faire périr ; mais celle-ci le cacha dans u
ait plus tard être fatale aux hommes. Il épousa Psyché à l’insu de sa
mère
. Lorsque Vénus fut instruite de cette union, elle
présente-t-on ? Téthys. Téthys37 fut l’épouse de l’Océan et la
mère
de toutes les nymphes Océanides. On la représente
pétrifia tous ses adversaires. Il alla ensuite rendre la liberté à sa
mère
, que Polydecte retenait captive. Enfin il rentrai
, fils de Jupiter et d’Alcmène, naquit à Thèbes. Junon, jalouse de sa
mère
, épuisa sur lui tous les traits de sa vengeance.
t sur un bélier à toison d’or qu’ils avaient reçu en héritage de leur
mère
. Pendant la traversée d’Europe en Asie, Hellé, ef
père sans le connaître, devint, sans le savoir, l’époux de sa propre
mère
. Œdipe jouissait depuis longtemps du pouvoir souv
la Phthiotide, en Thessalie ; pour le rendre invulnérable, Thétis, sa
mère
, alla le plonger dans les eaux du Styx, mais elle
devait montrer plus tard se révéla dès ses plus jeunes années, car sa
mère
lui ayant proposé le choix de vivre longtemps ign
e suivre vers les lieux où l’attendaient la gloire et les combats. Sa
mère
, désolée de le voir échapper à sa tendresse, obti
— Comment fut-il entraîné au siége de Troie malgré les efforts de sa
mère
? — Quels furent ses exploits pendant le siége ?
e jour, à un esclave qui devait le faire mourir ; mais la pitié de sa
mère
lui sauva la vie, et il fut élevé parmi les berge
enfant nommé Archémore, qui fut étouffé par un serpent tandis que sa
mère
était occupée à les guider vers une fontaine. Les
était le père des fleuves, et que la lune, en épousant l’air, devint
mère
de la rosée. Les allégoriques étaient aussi des p
iter, nous croyons devoir parler de Saturne son père, et de Cybèle sa
mère
. Le rang de ces deux divinités était très-inférie
u royaume à Titan ; mais ce dernier, pour condescendre au désir de sa
mère
, céda son droit à son cadet, à la condition qu’il
turne et mère de Jupiter. Cybèle était généralement regardée comme la
mère
de la plupart des dieux ; ce qui lui fit donner l
rt des dieux ; ce qui lui fit donner le nom de Magna Mater, la Grande
Mère
. On lui donna beaucoup de noms ; les plus connus
suite de cet ouvrage), qu’ils devaient honorer Cybèle comme étant la
mère
des dieux, ils envoyèrent une brillante ambassade
s la Phrygie, où ils introduisirent les mystères de la Terre et de la
mère
des dieux. Ils assurent que Cybèle donna son nom
orybas. Voilà ce qui, par la suite, a fait croire que Cybèle était la
mère
des dieux. Ce qu’il y a de certain, c’est que la
mains se distinguèrent extrêmement par le culte qu’ils rendaient à la
mère
des dieux. On donne souvent à Cybèle le nom de Ve
sa Titée ou la Terre, et en eut plusieurs enfans, qui prirent de leur
mère
le nom de Titans : nom si célèbre dans les ancien
n, deux frères célèbres par leur piété, s’attachèrent au char de leur
mère
, un jour où elle devait aller au temple de Junon.
Junon. Ils la traînèrent pendant un trajet de quarante stades. Cette
mère
reconnaissante pria Junon de les récompenser dign
à Biton deux statues, qui les représentaient traînant le char de leur
mère
. Histoire d’Hymen ou Hyménéus et autres dieux
n, et l’autre partie dans le séjour ordinairement habité par Cérès sa
mère
. Nous ne multiplierons point trop les explication
secourut Priam dans la guerre de Troie. Il fut tué par Achille, et sa
mère
fit sortir de son bûcher des oiseaux que, depuis,
ès : elle était fille d’Osiris et d’Isis ; on lui donnait, comme à sa
mère
, le nom de Diane. Elle partageait avec Junon le n
ge pendant lequel on trouve tant de charmes à la chasse, rencontra sa
mère
sans la reconnaître. Calisto, retrouvant en lui t
ébrité à l’oracle situé au pied du Parnasse, que lui céda la Terre sa
mère
. Apollon et Diane partagèrent d’abord cette espèc
le fit donner par la suite à Bacchus le surnom de Bimater, qui a deux
mères
. En recherchant l’origine de cette fable extraord
lle se baignait. Dans l’instant même il fut privé de la vue ; mais sa
mère
obtint qu’il aurait le don de prévoir l’avenir. O
un lieu couvert de fleurs, Cupidon se vanta d’en cueillir plus que sa
mère
. Vénus accepta le défi ; mais l’Amour, en se serv
iens, Astarté ; les Perses, Anaïtis. On lui donnait aussi les noms de
Mère
, de Victorieuse et d’Amie, parce qu’elle présidai
richthonius, ou Érechthée, quatrième roi d’Athènes. On le disait sans
mère
, ou fils de la Terre. Ses jambes étaient torses e
ées, et lorsqu’elles cessèrent de tourmenter Oreste, qui avait tué sa
mère
. Les trois Parques habitaient le royaume des enfe
s Homère, Hector revenant du combat refuse le vin que lui présente sa
mère
. Il ne pourrait le boire sans sacrifier, c’est-à-
en le terrassa, mais trois fois il le vit se ranimer au contact de sa
mère
et reprendre une nouvelle vigueur. Le héros, pour
élabore les semences dans les entrailles de la terre. La malheureuse
mère
se met à la recherche de sa fille, et, déguisée e
eux chèvres : un garçon au berceau restait malade à la maison. « — Ma
mère
, dit la petite fille (et ce nom de mère alla au c
it malade à la maison. « — Ma mère, dit la petite fille (et ce nom de
mère
alla au cœur de la déesse) que fais-tu seule parm
euil ; déjà on croyait l’enfant perdu sans ressource. « Elle salue la
mère
(c’est Métanira qu’on appelait la bonne femme), e
n est dans la joie, toute la maison, dis-je, c’est-à-dire le père, la
mère
et la petite fille, car à eux trois ils composaie
la garderait six mois : le reste de l’année elle appartiendrait à sa
mère
. Fiction charmante, qui explique poétiquement l’é
t des premières lois, principes de sa civilisation. La grasse Sicile,
mère
inépuisable des riches moissons, se vantait d’êtr
on ; c’est aux feux de l’Etna qu’avant de commencer ses recherches sa
mère
avait allumé son flambeau ; c’est près de Syracus
te « assis à côté de dame Pénie (Pauvreté), autrement dite Souffreté,
mère
des neuf Muses, en compagnie de Porus, Seigneur d
Égérie. Livie, l’impure marâtre, fut l’Égérie d’Auguste. Néron tua sa
mère
parce qu’il ne pouvait point souffrir d’Égérie. L
pour elle une tendresse réfléchie, plus profonde peut-être. C’est une
mère
dont l’absence les fait soupirer. Il faut l’étudi
détonations par le fracas de ses foudres. Enfin Saturne, aidé par sa
mère
, l’emporte sur Ciel et le détrône. Il prend sa pl
dans la mer Égée. Polydecte, roi de cette île, reçut favorablement la
mère
et l’enfant ; il prit même grand soin de l’éducat
ctys, frère de Polydecte. Le roi du pays fit le meilleur accueil à la
mère
et au jeune Persée. Il le fit élever dans sa cour
n, il conduisit son épouse à l’île de Sériphe, où il délivra Danaé sa
mère
des poursuites de Polydecte, en le combattant et
echthée, roi de l’Attique et de plusieurs autres pays. Thésée, par sa
mère
, était petit-fils de Pélops, roi du Péloponèse, l
femmes. La première fut Antiope ou Hippolyte, reine des Amazones, et
mère
de cet Hippolyte dont nous avons rapporté l’histo
enait de nouvelles forces toutes les fois qu’il touchait la Terre, sa
mère
; mais le héros, l’ayant saisi dans ses bras nerv
onter l’histoire d’Alcméon, fils d’Amphiaraüs. Ce prince avait tué sa
mère
; il consulta l’oracle, qui lui répondit qu’il ne
jusqu’à l’arrivée de Jason. Ce héros se chargea de les ramener à leur
mère
, et Calciope, par reconnaissance, favorisa la pas
funérailles à Cysicus ; ensuite il offrit un sacrifice solennel à la
mère
des dieux, et lui fit bâtir un temple sur le mont
sa mort, Médus, son fils, bâtit la ville de Médée en l’honneur de sa
mère
, et transmit son nom aux Mèdes. Mais toutes les t
frères de Méléagre joignent leurs supplications à celles du roi ; sa
mère
elle-même, touchée de repentir, répand des larmes
tra, disait un oracle, sera le meurtrier de son père et l’époux de sa
mère
. Ce fils naquit, et les auteurs de ses jours le c
ls Pisidore à Olympie. Le jeune homme ayant été déclaré vainqueur, sa
mère
sauta par-dessus la barrière, et alla le serrer d
la vénération qu’ils avaient pour la terre. Ils l’appelaient la terre
mère
, la mère des dieux. Les Phéniciens adoraient ces
tion qu’ils avaient pour la terre. Ils l’appelaient la terre mère, la
mère
des dieux. Les Phéniciens adoraient ces deux prin
parce qu’elle passait pour être le principe de toute fécondité, et la
mère
de tout ce qui existe. C’était à elle qu’on s’adr
mière se célébrait au solstice d’hiver. Cette nuit s’appelait la nuit
mère
, comme étant celle qui produisait toutes les autr
és jusqu’à l’âge de quatorze ans hors de la présence de leurs père et
mère
. 15°. L’argent prêté en cette vie sera rendu aux
▲