/ 22
1 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
étaient illustrés par des actions héroïques. C’est ainsi que Jupiter, roi de l’île de Crète, qu’on appelle à présent Candie
i qu’Esculape, médecin célèbre, fut honoré comme un dieu. La cour des rois et des princes était regardée comme la demeure de
nait Janus, et où, dans la suite, la ville de Rome fut bâtie. Là, de roi qu’il était, il se fit laboureur, Et sous le chau
sens de cette fable. Numa Pompilius, successeur de Romulus, et second roi des Romains, fit bâtir en l’honneur de Janus un t
plusieurs Pharaons, et en Asie plusieurs Darius. Le plus célèbre des rois qui ont paru sous le nom de Jupiter, était à peu
son fils de la jeunesse, Malgré le temps, a conservé les traits ; Les rois , les dieux, ont connu la vieillesse : Les talens
lade, Alceste, sa femme, alla consulter l’oracle, qui répondit que le roi mourrait, à moins que quelqu’un ne consentit à de
Laomédon lui donnerait les deux plus beaux chevaux de son écurie : le roi y consentit ; mais, lorsque sa fille fut délivrée
core l’ironie à cette action perfide. Outré de fureur, Hercule tua le roi , mit la ville à feu et à sang, et emmena prisonni
les d’Orient adorèrent le soleil sous le nom de quelques-uns de leurs rois . Les Chaldéens et les Phéniciens l’adoraient sous
mps après, il porta son hommage à la belle Leucothoé, fille d’Orchame roi de Babylone. Pour entretenir la belle Leucothoé s
répandre furent converties en grains d’ambre. Cygnus Cygnus, roi des Liguriens, voit du rivage tomber dans le fleu
ger de ses ennemis en les faisant périr. On croit que Circé épousa un roi des Sarmates, et qu’elle l’empoisonna pour régner
fons réjouit le théâtre. La grave Melpomène en la scène fait voir Des rois de qui la mort éprouvent le pouvoir. L’agile Terp
é par ce secret, et ne pouvant parler de peur d’encourir la colère du roi , cet homme fit un trou dans la terre, et s’y ente
vent, faisaient entendre : Le roi Midas a des oreilles d’âne ! Ici ce roi n’avait manqué que de goût ; dans une autre occas
allant faire la conquête de l’Inde, passa par les états de Midas. Ce roi qui avait appris que Silène, père nourricier du d
ut contraint d’y rester. On l’amena à Midas comme un espion ; mais ce roi lui fit le meilleur accueil qu’il pût attendre. B
de Midas et du traitement qu’il avait fait à Silène, qu’il pressa ce roi de lui demander telle grâce qui lui plairait, ave
l’enceinte du temple, cent vingt-sept colonnes dressées par autant de rois , qui avaient voulu renchérir à l’envi les uns sur
le mirent en pièces. Les Thébains regardaient la mort cruelle de leur roi comme une punition de Bacchus. Lycurgue
n doit respecter l’histoire, Mais sitôt que j’aurai le malheur d’être roi ,    Je fais serment de n’y pas croire. Demoustie
ur d’être roi,    Je fais serment de n’y pas croire. Demoustier. Le roi des mers, devenu confiant par faiblesse, ou par n
ui proposait. L’un d’eux grand improvisateur, lui dit : Madame, « Le roi qui vous adore est le maître de l’onde, « De son
our à un fils qui serait plus grand et plus illustre que son père, le roi du ciel renonça à ses prétentions, et Thétis épou
gare pour venger la mort de son fils Androgé. Scylla, fille de Nisus, roi des Mégariens, conçut pour lui un amour insensé.
déroba pendant son sommeil, et le porta triomphante à Minos. Ce sage roi eut tant d’horreur de cette perfidie, qu’il l’aba
ils du titan Astrée et de l’Aurore. Les poètes leur donnent Eole pour roi . Les philosophes se sont figurés que les vapeurs
        Minos soumet aux mêmes lois          Les vils esclaves et les rois , Les mène aux champs heureux ou les livre à Mégèr
artare, où son corps étendu couvre neuf arpens. Ixion Ixion, roi des Lapithes, en Thessalie, voulant obtenir pour
ans les enfers. [Vergile] [Lefranc] Phlégias Phlégias était roi d’un canton de la Béotie nommé de son nom Plégyad
fut, dit-on, changé en pivert par la magicienne Circé. L’usage que ce roi faisait du pivert dans les augures, ou l’allusion
lui vient son nom. Ce poète ajoute qu’elle vivait du temps de Procas, roi des Latins, c’est-à-dire, vers l’an 805 avant J.-
re l’abîme où disparaît la vie ; D’un bras de fer courbe le front des rois , Tient sous ses pieds la terre assujétie, Et dit
furent poussés par les vagues dans l’une des Cyclades, où Polydecte, roi de l’île de Sériphe, leur fit toute sorte de boni
Persée, en revenant de son expédition, passa par ses états ; mais ce roi ne voulut point le recevoir ; il pénétra jusqu’à
dit que, pour fléchir Neptune, il fallait exposer Andromède, fille du roi  ; la princesse fut conduite sur une haute montagn
l amena vivant à Eurysthée le sanglier d’Erymanthe : en le voyant, ce roi pensa mourir de frayeur. 4e. Il atteignit à la co
bles d’Augias, roi d’Argos, qu’il tua à coups de flèches parce que ce roi lui refusa la récompense qu’il lui avait promise.
tôt de riches mines cachées au fond de mont Atlas, dans lesquelles un roi du pays fit fouiller pour enlever ce précieux mét
n affreux serpent, il fut si sensible aux charmes d’Omphale, fille du roi , que, pour lui plaire, il changea sa massue en qu
d’Œnée, roi d’Etolie. Cette princesse, recherchée par les plus grands rois de la Grèce, était promise à Achéloüs ; Hercule e
yrinthe, dans lequel il fut enfermé dans la suite pour avoir déplu au roi . Icare, son fils, partagea sa disgrâce. Dédale, e
victoire fit oublier au pilote les ordres qu’il avait reçus ; le bon roi , en apercevait les voiles noires, crut que son fi
t mort, et il se précipita dans la mer qui porte son nom. Pirithoüs, roi des Lapithes, peuples de Thessalie, dans la Grèce
e de Scyros ; mais un ennemi plus redoutable l’y attendait : Lycomède roi de l’île, le fit massacrer. Dans la suite, les At
fut grand, son courage et son habileté inspirant de la défiance à ce roi soupçonneux, il voulut l’éloigner de ses états. L
oya. Phryxus, continuant sa route, arriva dans la Colchide, où Æétès, roi du pays, l’accueillit favorablement. Phryxus sacr
accueillit favorablement. Phryxus sacrifia le bélier à Jupiter, et le roi suspendit la toison à un arbre, dans une forêt co
eux jouir encor d’une entière vengeance, Je trouve une autre cour, un roi dont la puissance, Pour m’attacher à lui, me rend
, et tua Laïus, sans le connaître, dans une sédition populaire que ce roi cherchait à apaiser ; ensuite Œdipe retourna à Th
ué son père et épousé sa propre mère. Pénétré de douleur, l’infortuné roi s’arracha les yeux et s’exila lui-même, laissant
ans le royaume d’Elide, où il demanda Hippodamie en mariage. Œnomaüs, roi de ce pays, et père de cette princesse, aimait si
isthe tua Atrée, puis il poignarda Agamemnon fils d’Atrée, lorsque ce roi revint de la guerre de Troyes ; Clytemnestre, fem
te de Pâris. Celui-ci alla droit à Sparte, chez Ménélas, qui en était roi . Ce prince, non-seulement l’accueillit avec bienv
tait, pour en prendre un qu’elle avait tissé pendant son absence ; le roi y consentit ; mais ses bras s’embarrassèrent dans
uvernement de ses états. Ulysse Ulysse, fils de Laërte, était roi de deux petites îles de la mer Ionienne, appelées
se sauva sur une planche, et il arriva à l’île de Corcyre. Alcinoüs, roi de ce pays lui donna des vaisseaux qui enfin le c
avec distinction, et lui promit en mariage sa fille Lavinie. Turnus, roi des Rutules, se déclara son concurrent. Junon et
uceurs, errant parmi les bois, Il regarde à ses pieds les favoris des rois  ; Il lit au front de ceux qu’un vain luxe environ
n point sur la fortune, Sur les jeux, sur la pompe et la grandeur des rois  ; Mais sur ce que les champs, les vergers et les
es mets, nous l’avouons, sont peu délicieux : Mais quand nous serions rois , que donner à des dieux ? C’est le cœur qui fait
2 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
ré le plus capable de se défendre. Telle est la véritable origine des rois et des héros que la folie des hommes prétendit pa
our prix de ses services, il fut toujours regardé comme le chef et le roi du pays. Sa mémoire fut tellement respectée, que
té tutélaire de ce fleuve. Le royaume d’Argos eut une longue suite de rois . Les neuf premiers, nommés Inachides, furent Inac
alée, fonda le royaume de Sicyone. Nous ne donnerons pas la liste des rois de ces divers royaumes ; on pourra vérifier leur
ie. Le royaume d’Athènes dura plus de quatre cents ans, sous dix-sept rois  : Cécrops, Cranaüs, Amphictyon, Érichthonius, Pan
s des magistrats perpétuels nommés archontes. L’histoire des premiers rois d’Athènes, jusqu’à Démophoon, est remplie de fabl
mophoon, est remplie de fables ; mais la chronologie de chacun de ces rois est certaine, puisque les marbres en marquent les
par Lélex, qui lui donna le nom de Lélégie. La première dynastie des rois de ce pays était composée de douze. Le premier fu
d’Aristodème, monta sur le trône, et commença la seconde dynastie des rois de Sparte, que l’on nomma des Agides, à cause d’A
domination s’étendit beaucoup plus loin : il fut un des plus puissans rois de la Grèce. Ce prince eut deux enfans, Atrée et
de Troie fut prise pour la première fois sous Laomédon, son troisième roi , et la seconde fois sous Priam, fils de Laomédon,
que les Égyptiens étaient dans l’usage de juger, après leur mort, les rois , les généraux et toutes les personnes considérabl
de l’île de Sériphe, l’une des Cyclades, dans la mer Égée. Polydecte, roi de cette île, reçut favorablement la mère et l’en
l’une des Cyclades, fut recueilli par Dictys, frère de Polydecte. Le roi du pays fit le meilleur accueil à la mère et au j
elle le regarda comme un obstacle à ses desseins ; et, sachant que le roi ne le connaissait pas encore pour son fils, elle
, avant de la saisir, il tira son épée, et la fit briller aux yeux du roi . Dans l’instant même Égée reconnut Thésée, renver
s la partie de leur corps qui excédait la longueur du lit. Pirithoüs, roi des Lapithes, peuple de la Thessalie, devint le m
Malédictions. Thésée s’embarqua pour se rendre à la cour de Lycomède, roi de l’île de Scyros. Ce lâche ami des Athéniens ne
reizième année du règne de Mnesthée. Ce ne fut qu’après la mort de ce roi que les enfans de Thésée retournèrent à Athènes e
, il fut accueilli par Phyllis, reine de Thrace et fille de Lycurgue, roi dans le même pays. Démophoon l’épousa ; mais, l’a
e du bruit de son nom et des monumens de sa gloire. Il descendait des rois d’Argos ; il passait pour fils de Jupiter et d’Al
’Alcide l’ayant vaincu, la déesse l’avait placé parmi les astres. Les rois de Syrie, à l’exemple d’Hercule, se paraient d’un
e monstre marin n’était autre chose que les inondations de la mer. Le roi promit sa fille en mariage à celui qui pourrait g
r combattre un serpent qui désolait le pays, il vit Omphale, fille du roi du pays, et désira de lui plaire. Cette princesse
e et de ses enfans. Céyx, épouvanté, les pria de se retirer. Épalius, roi des Doriens, les reçut favorablement ; il adopta
Hillus ; ce dernier tua lui-même Eurysthée, et toute la famille de ce roi périt dans cette bataille. Telle fut la manière d
e, fils de ce prince, était gouverneur de Mycène ; il se fit déclarer roi après la mort d’Eurysthée. Les Héraclides allèren
rait déjà le jeune prince, osât rien entreprendre contre lui. Phérès, roi d’une partie de la Thessalie, sachant l’arrivée d
détrôner l’usurpateur. Accompagné de sa famille, il vint au palais du roi , demanda la couronne qui lui appartenait légitime
mmes qui restaient. La seule Hypsipyle sauva la vie à son père Thoas, roi de l’île. Cet événement est rapporté par tous les
Cysique, ville située au pied du mont Dindyme, et dont Cysicus était roi . Ils y trouvèrent des géans à six bras et à six j
bras et à six jambes (c’est-à-dire des vaisseaux et des galères). Le roi les reçut favorablement, et leur donna des vivres
Amicus ayant tendu des embûches, Pollux et ses compagnons tuèrent ce roi perfide. En sortant de ses états, un coup de vent
té de l’Asie, et abordèrent au pays des Mariandyniens, où Lycus, leur roi , les reçut très-bien. Ce fut là que mourut le pil
ée l’accompagnait, et il emportait avec lui les richesses d’Éétès. Ce roi fit promptement équiper quelques vaisseaux, dont
uèrent des fêtes en leur honneur, sous le nom d’Anacées, qui vient de roi . Bientôt après ils furent moins sages et moins mo
fectionner, lui obtinrent de joindre la qualité de pontife à celle de roi . On le regardait comme le ministre et l’interprèt
fils. Les frères de Méléagre joignent leurs supplications à celles du roi  ; sa mère elle-même, touchée de repentir, répand
courage des peuples soumis à ses lois, que par ses liaisons avec les rois d’Assyrie, répandait en ce canton de l’Asie le mê
ince troyen, nommé Ganymède. Plus récemment encore, Hercule, issu des rois d’Argos, avait détruit la ville de Troie, fait mo
ions de la Grèce s’agitent comme une forêt battue par la tempête. Les rois dont le pouvoir est renfermé dans une seule ville
Mnesthée, roi d’Athènes, finit ses jours dans l’île de Mélos ; Ajax, roi des Locriens, périt avec sa flotte ; Ulysse, plus
encore aujourd’hui sur le théâtre d’Athènes, devraient instruire les rois et les peuples, et leur faire redouter jusqu’à la
olonnes, qui soutenaient l’édifice, avaient été données par autant de rois , et avaient chacune soixante pieds d’élévation. T
t à sa perfection qu’après un espace de deux cent vingt ans. Tous les rois et tous les peuples de l’Asie s’empressèrent à en
arbre, et dans l’intérieur on voyait un nombre infini de statues. Les rois , les peuples et les artistes les plus célèbres, s
on de ce dernier temple, dit qu’il fut l’ouvrage d’un grand nombre de rois , et qu’il était si considérable, que c’était une
point pendant plusieurs siècles des peuples entiers. Le pouvoir d’un roi , la curiosité d’un homme riche, l’indiscrétion, l
ve Hercine. On sacrifie ensuite à Trophonius, à sa famille, à Jupiter roi , à Saturne et à Cérès Europe, nourrice de Trophon
ut donner encore plus d’éclat à sa puissance, en se faisant proclamer roi . Ses partisans publièrent un oracle sibyllin, par
il était dit que les Parthes ne pourraient être assujettis que par un roi . Le peuple romain se préparait à lui accorder ce
es trois derniers, lui donna la somme qu’elle demandait. Après que ce roi en eut fait l’acquisition, il en confia la garde
e reste du Danemarck, y fit reconnaître son fils Sciold en qualité de roi , titre que personne n’y avait encore porté (selon
es, et déférèrent d’un consentement unanime le titre et le pouvoir de roi à son fils Yngue et à sa postérité. De là les Yng
les Ynglingliens, nom qui a servi long-temps à désigner les premiers rois de Suède. Gylphe mourut ou fut oublié. Odin gouve
ient ceux qui se faisaient à Upsal, à chaque neuvième année. Alors le roi , le sénat et tous les individus distingués, devai
a bienveillance divine. L’histoire du Nord est féconde en exemples de rois et de pères qui ont fait taire la nature pour obé
où l’on déployait toute la magnificence connue dans ces temps-là. Les rois et les principaux seigneurs portaient les premier
ant ceux des chefs que l’on nommait Vergobrets (titre égal à celui de rois ), rendit leur pouvoir plus indépendant des druide
se retirer pour se livrer à leurs méditations ; et les vergobrets, ou rois , s’emparèrent seuls de toute l’autorité. Cependan
brets, ou rois, s’emparèrent seuls de toute l’autorité. Cependant les rois et les chefs des tribus, pour affermir leur pouvo
peinture de toutes les vertus et de tous les sentimens héroïques. Les rois s’empressèrent de prendre pour modèles les héros
ginés par les bardes. Les chefs des tribus s’efforcèrent d’égaler les rois  ; et cette noble émulation, se communiquant à tou
tact léger, prédisaient la mort d’un grand personnage. Un chef ou un roi ne perdait jamais la vie sans que les harpes des
me parmi les druides. Les uns et les autres gouvernaient l’état ; les rois les consultaient. Leur habit blanc se ressemblait
saient les coupables, et pouvaient déposer les magistrats et même les rois , lorsqu’ils n’observaient pas les lois du pays. L
ces magistrats jusqu’à la dignité de vergobret, qui égalait celle des rois  ; mais ce prétendu roi ne pouvait rien faire sans
a dignité de vergobret, qui égalait celle des rois ; mais ce prétendu roi ne pouvait rien faire sans l’avis des druides. Eu
l ne soit reçu dans aucun emploi. 19°. Tous les pères de famille sont rois dans leurs maisons ; ils ont puissance de vie et
3 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
âtrie moins excusable. Vers l’an du monde 2700, Ninus, fils de Bélus, roi des Assyriens, fit élever, au milieu de Babylone,
l’exemple des Assyriens, les nations voisines adorèrent ceux de leurs rois , de leurs guerriers, de leurs grands hommes, qui
tc. Enfin, la quatrième classe contenoit les héros, c’est-à-dire, les rois et les guerriers illustres que les anciens poëtes
vre l’abyme où disparoît la vie, D’un bras de fer courbe le front des rois , Tient sous ses pieds la terre assujettie, Et dit
el. D. Où se réfugia Saturne ? R. Il se réfugia en Italie, où Janus, roi du pays Latin, l’accueillit, et partagea son trôn
egardé comme le plus grand et le plus puissant des dieux : c’étoit le roi du ciel et de la terre. Une voie en tout temps p
Troyens l’emporteroient, dit-elle ! » Et de ces fugitifs le misérable roi » Pourroit dans l’Italie aborder malgré moi !… »
d de Pyrame, Le ver à soie ourdit sa trame, Qui pare les dieux et les rois  : Les fraises parfument les bois, L’épine enfante
Mélicerte, Glaucus, Scylla et Charybde. D. Qu’étoit Éole ? R. Éole, roi des vents, est mis au rang des dieux de la mer, p
assa des rochers sur cet affreux séjour, Et leur donna pour maître un roi qui, tour à tour Irritant par son ordre, ou calma
ntôt lâcher les rênes. Devant lui la déesse, abaissant sa hauteur : «  Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, » V
Myrmidons par allusion aux fourmis. Quoi qu’il en soit, Eaque fut un roi si bon et si juste, qu’il obtint une place parmi
veille aux barrières du Louvre,                  N’en défend pas nos rois . Thomas, dans son épître au peuple, s’exprime a
la Mort étend ses droits ; Tout périt, les héros, les ministres, les rois . Rien ne surnagera sur l’abyme des âges ; Ce glob
 ? L’on n’y distingue point l’orgueil du diadème ; De l’esclave et du roi , la poussière est la même, D. Qu’appelle-t-on Ma
ent avec des serpents à une roue qui tournoit sans cesse. Ixion étoit roi des Lapithes ; il refusa à Déionée les présents q
d’éclairs, Brise, en passant, les sceptres, les couronnes, Frappe les rois écrasés sous leurs trônes, Lance la foudre, ébran
. Bacchus eut pour père Jupiter, et pour mère Sémélé, fille de Cadmus roi de Thèbes. Junon, toujours jalouse, imagina ce mo
le roi Midas, a des oreilles d’âne. ( Ovide, trad. de Saintange.) Le roi ne put cacher sa honteuse difformité à son barbie
s : Clio, des temps passés conservant la mémoire, Des peuples et des rois nous raconte l’histoire. Calliope, en ses vers n
e enseveli dans l’ombre ; Le jour, il veille assis sur les palais des rois  ; Et, de là répandant son effrayante voix, A l’un
les côtes de la petite île de Sériphe, l’une des Cyclades. Polydecte, roi de cette île, reçut favorablement Persée, et prit
e fit-il encore de la tête de Méduse ? R. Andromède, fille de Céphée roi d’Éthiopie, et de Cassiopée, avoit été exposée su
 ? R. C’est Hercule, fils de Jupiter et d’Alcmène femme d’Amphitrion roi de Thèbes. Jupiter vint se présenter à Alcmène, s
es forêts où règne un morne effroi, Il aborda des morts l’impitoyable roi , Et la Parque inflexible, et les pâles Furies Que
ésée. Demande. Qui étoit Thésée ? Réponse. Thésée, fils d’Egée, roi des Athéniens, fut parent et contemporain d’Hercu
se ralentit : Ils s’arrêtent non loin de ces tombeaux antiques Où des rois ses aïeux sont les froides reliques. J’y cours en
l’accusa auprès de son époux devoir voulu attenter à son honneur. Le roi , pour ne pas violer les lois de l’hospitalité, en
envoya le jeune héros en Lycie, avec des lettres adressées à Iobalte, roi de cette contrée, et père de Sthénobée. Proetus a
dans ces lettres, à son beau-père. Mais il informoit au contraire le roi de l’injure qu’il prétendoit en avoir reçue, et l
Quel accueil Bellérophon reçut-il à la cour du roi de Lycie ? R. Le roi Iobalte lui fit un accueil hospitalier. Les neuf
arrivée se passèrent en fêtes et en festins. Mais le dixième jour, le roi décacheta les lettres dont son hôte étoit porteur
roupes. Bellérophon revint victorieux, contre l’attente d’Iobalte. Le roi l’exposa à d’autres dangers dont le héros se tira
tres dangers dont le héros se tira pareillement avec gloire. Enfin le roi lui ordonna d’aller combattre la Chimère. D. Qu’é
n, et avoit voulu faire périr Jason. Elle persuada donc aux filles du roi , de couper leur père par morceau, et d’en jeter l
ensorcelées. Le feu prit à la cassette et consuma la princesse et le roi son père avec elle. Médée reprocha ensuite à Jaso
passa ensuite dans l’Asie supérieure. Elle épousa un des plus grands rois de ce pays-là. Elle en eut un fils appelé Médus q
eux jouir encor d’une entière vengeance, Je trouve une autre cour, un roi dont la naissance, Pour m’attacher à lui, me rend
s D. De qui Cadmus étoit-il fils ? R. Cadmus étoit fils d’Agénor, roi des Phéniciens. Jupiter, transformé en taureau, e
épris. La Sibylle jeta dans le feu trois de ses livres en présence du roi , puis elle demanda le même prix pour les six volu
rois volumes. Quand la Sibylle eut reçu son argent, elle conseilla au roi de garder ces œuvres avec soin, parce qu’ils cont
et l’attacha à un arbre sur le mont Cithéron. Icare, berger de Polybe roi de Corinthe, ayant conduit par hasard son troupea
mettre sous vos lois, Voulut que tour à tour vous fussiez touts deux rois . A ces conditions vous daignâtes souscrire, Le so
a rage, (De Polynice.) Et bientôt le combat tourne à son avantage. Le roi , frappé d’un coup qui lui perce le flanc, Lui cèd
uleur, et les Grecs à la joie ; Et le peuple, alarmé du trépas de son roi , Sur le haut de ses tours témoigne son effroi. Po
sujet. » En achevant ces mots, d’une démarche fière, Il s’approche du roi couché sur la poussière, Et pour le désarmer il a
roi couché sur la poussière, Et pour le désarmer il avance le bras Le roi , qui semble mort, observe touts ses pas ; Il le v
bonne foi avec elle, et la ramena à Sparte. D. Quel chef élurent les rois Grecs, ligués contre la ville de Troie ? R. Ils
apaisée que par le sang d’une princesse de la famille d’Agamemnon. Le roi hésita long-temps, et accorda enfin sa fille aux
le savez, Seigneur, Une mère, un amant, attachoient leur bonheur. Un roi digne de vous a cru voir la journée Qui devoit éc
te soif de régner, que rien ne peut éteindre, L’orgueil de voir vingt rois vous servir et vous craindre. Touts les droits de
t d’Egysthe, qui en étoit l’amant. … Agamemnon, vainqueur de tant de rois , Revenoit triomphant jouir de ses exploits. Egyst
ine, De ses amours furtifs appréhendant la peine, Au sein de ce grand roi , digne d’un sort plus beau, Inspira Clytemnestre
ses douleurs. Il se détourne, il voit, les yeux baignés de pleurs, Ce roi jadis heureux, ce vieillard vénérable, Que le far
touts mes ennemis je déclare les siens, » Et je le reconnois pour le roi des Troyens. » A ces mots, qui du peuple attiroie
D. Qui étoit Ulysse ? R. Ulysse, fils de Laërte et d’Anticlée, étoit roi de deux petites îles de la mer Ionienne, dont l’u
alement connu. Le premier essai qu’elle fit de ses talents fut sur le roi des Sarmates, son mari. Ce crime la rendit si odi
ieurs guerriers nommés Ajax ? R, Oui. Le premier étoit fils d’Oïlée, roi des Locriens. Il étoit renommé pour sa valeur, et
son vœu. Les Crétois, saisis d’horreur pour l’action barbare de leur roi , le chassèrent de ses états. Il se retira sur les
, et rends-nous au rivage ! » Le premier des sujets rencontré par son roi , » A Neptune immolé satisfera pour moi. » Mon sac
e déesse le suit par-tout. C’est par son secours, qu’il tue plusieurs rois de sa main, qu’il soutient des combats singuliers
R. Palamède, fils de Nauplius, et arrière-petit-fils de Bélus, étoit roi de l’île d’Eubée. Ce fut lui qui découvrit la fei
de grossièretés et d’injures, et ne parloit d’Agamemnon et des autres rois , qu’avec une insolence cynique. Achille, piqué de
hus fuyant la main cruelle, A travers mille dards, un dernier fils du roi S’échappe, et du palais dépeuplé par l’effroi Tra
us qu’après tout ses manes en rougissent ; Qu’il méprisât, Madame, un roi victorieux Qui vous fait remonter au rang de vos
Hector, De l’espoir des Troyens seule dépositaire, Songe à combien de rois tu deviens nécessaire. Veille auprès de Pyrrhus ;
ais Pâris se fit reconnoître de son frère qui le présenta à Priam. Le roi reçut son fils avec joie, oublia les fatales préd
ier, et de ses crins battant ses flancs poudreux : Tel, au palais des rois , affamé de carnage, Sur des monceaux de morts Pyr
ie, fille du roi Latinus. Cette princesse avoit été promise à Turnus, roi des Rutules, qui fit la guerre à Énée, fut vaincu
oient petits-fils de Numitor, roi d’Albe. Tullus-Hostilius, troisième roi des Romains, détruisit la ville d’Albe, et en tra
née. Il feint qu’après le départ du héros troyen, Junon va trouver le roi des vents, et lui demande d’exciter une tempête p
dans la ville d’Halycarnasse, capitale du royaume, entre le palais du roi et le temple de Vénus. Ce tombeau fut appelé Maus
D. Par qui les pyramides d’Égypte furent-elles élevées ? R. Par les rois d’Égypte. Ce sont des colosses d’architecture, qu
ramides subsistent depuis 4000 ans ; elles servoient de sépulture aux rois d’Égypte. Il y en a trois qui étonnent l’imaginat
it que l’on trouvât remède à la vieillesse. Alléguer l’impossible aux rois , c’est un abus.             Celui-ci parmi chaque
t se tient clos et coi. Le Loup en fait sa cour, daube, au coucher du roi , Son camarade absent. Le prince tout à l’heure Ve
vira,             S’il vous plaît, de robe de chambre.             Le roi goûta cet avis-là :             On écorche, on ta
uillons de perdre leur outil, Et de crier pour se le faire rendre. Le roi des dieux ne sait auquel entendre. Son fils Mercu
er, dit-il, jeté par la tempête dans une île inconnue, y fut proclamé roi . Étonné d’abord de sa brillante fortune, il se fa
l’orgueil goûtoit peu la leçon Que reçoit dans ses vers l’orgueil du roi lion, Dédaigna La Fontaine, et crut son art frivo
au-dessus de Rome 16. Eridan ou le Pô. Les anciens l’appeloient le roi des fleuves. Il naît au Mont-Viso, et se jette da
4 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
out dans l’île de Crète, donnant pour père à Uranus et à la Terre, un roi scythe appelé Acmon, fils lui-même de Manès. Mais
la Terre, un roi scythe appelé Acmon, fils lui-même de Manès. Mais ce roi , qui enfanta des immortels, mourut pour s’être si
çoivent qu’un homme dans Atys, on le voit vers l’an 1657 avant J.-C., roi vivement épris, et chez les autres simple berger,
galement éprise de son propre fils, arrive furieuse dans le palais du roi , et se jette au col d’Atys en lui faisant connaît
une et éperdument amoureuse d’Atys. Mais cet amour ne plaisant pas au roi , il finit par tuer ce tendre amant et força la pr
fie encore Saturne de plusieurs enfans : ainsi on lui attribue Picus, roi des Latins, mari ou de Canente, fille de Janus ou
Auxète, ou qui fait grandir ; Bagée, ou de Phrygie ; Basileus, ou le roi des législateurs ; Bénélicius, Biennos, ou de Crè
le supérieur à tout ; Maleus, ou de Malée en Laconie ; Marinus, ou le roi des eaux ; Martius, ou le guerrier ; Méchanéen, o
 ; Méchanéen, ou le favorable d’Argos ; Melichios ou Milichius, ou le roi législateur doux comme le miel ; Mélissœos, ou qu
ois cents ; chose facile à concevoir, en admettant que la plupart des rois des temps primitifs de la Grèce prenaient ce titr
’application que l’on fit en Crète du mot Jupiter, que l’on donna aux rois de Crète, comme on donna celui de Pharaon et de P
fils. Cependant, les siècles historiques n’ont laissé de connus comme rois de Crète, que ceux appelés Astérius, Minos 1er, L
c plus probable que les poètes réunirent les hauts faits de plusieurs rois , par eux-mêmes fort anciens, les groupèrent sur u
rgonautes ; Périphète et Cercyon, succomber sous les coups de Thésée, roi aussi brave que le fameux Hercule, et Télégone, s
s la mer de Sicile ; déjà il touchait le sol de cette île, lorsque le roi des Dieux l’écrase sous le mont Pithécune, ou, d’
une sœur appelée Pancratin, qui fut enlevée par Butès, fils de Borée, roi des vents, que nous retrouverons en parlant de Ne
ires. Lycaon, rejeton des Titans et de la Terre, est probablement le roi primordial de l’Arcadie, passant, suivant les uns
s tard les Grecs civilisés supposèrent que Jupiter étant venu chez ce roi pour y recevoir l’hospitalité, Lycaon, qui probab
urent point exempts d’encourir sa vengeance ; voici à quel sujet : ce roi des Cieux, dont les amours furent très-nombreuses
orcé d’en faire un autre en précipitant Ixion aux enfers : c’était un roi des Lapithes, peuple de la Thessalie ; il était,
supposer qu’un prince appelé Jupiter ayant accordé l’hospitalité à un roi des Lapithes, probablement l’an 1061 av. J.-C., p
e il est difficile de trouver un sens allégorique. Mylius ou Mylinus roi de Crète, fut aussi tué par Jupiter on ne sait tr
l exemple le prouvera suffisamment : Périphas, l’un des deux premiers rois d’Athènes, même avant Cécrops, son civilisateur,
n bataille ; le second était Nemrod, roi d’Egypte, le troisième, Odin roi des Thraces ou le Mars hyperboréen, le quatrième
ème est le Mars Grec, le cinquième est le Mars des Latins, ou Amulius roi d’Albe, frère de Numitor, et père de Romulus et d
tait fils également de Mars et de la béotienne Chrysé, fille d’Halme, roi des Scythes. Rémus et Romulus, fils de Rhéa Silvi
ent elles arrivèrent à Athènes avant d’avoir pu être rejointes par le roi des Thraces. Pour donner plus de charme à ce fait
victoire à ses protégés, guidant les navigateurs et les conseils des rois , et présidant à l’accouchement, à la conservation
ut brûlé le 6 juin, jour de la naissance d’Alexandre-le-Grand, par le roi éphésien Erostrate, dans le dessein d’immortalise
ndition de simple mortel, visita la Thessalie et se fixa chez Admète, roi des Phèses, peuple de cette contrée. Il prit soin
héros les plus célèbres de la Grèce antique. Apollon fut reçu chez ce roi comme un propre fils ; aussi il lui rendit les pl
igné. Les noms de tous ayant été écrits, celui d’Hésione, la fille du roi , sortit de l’urne. Laomédon fut obligé de livrer
fortune de cette jeune princesse, il rompit ses liens et la ramena au roi son père en lui promettant de tuer le monstre. A
gonautes, lui ayant envoyé Télamon en ambassade pour les réclamer, le roi refusa de tenir sa parole et fit mettre l’ambassa
os, vers l’an 1270 avant J.-C. Bientôt Antée ou Sténobée, femme de ce roi , s’étant éprise d’un coupable amour pour le jeune
eph, et l’accusa, devant son mari, d’avoir voulu la séduire. Alors le roi , pour ne pas violer les lois de l’hospitalité, ga
ais envoya Bellérophon en Lycie, avec des lettres closes pour Iobate, roi de cette contrée, et son beau-père, lettres dans
corps d’une chèvre. On disait qu’elle avait été élevée par Amisodar, roi d’une partie de la Lycie, pour avoir une défense
nom à la fontaine Cassotide, Castalie, fille de Castalius, géant, et roi des environs du Parnasse. Cette Castalie fut, com
it par la découverte de nombreuses mines d’or et d’argent. Il fut élu roi par suite d’une prédiction faite à son père, pauv
idas lui consacra le charriot sur lequel il était venu en Phrygie. Ce roi avait pour ami le dieu Pan. Celui-ci, s’applaudis
mpagnon pour ainsi dire de la tombe. On connaît encore Epyte, fils du roi arcadien Elate, tué à la chasse par un serpent ap
habilement profiter de ses connaissances. Anius passe pour avoir été roi et grand prêtre d’Apollon. Ils furent peut-être d
ine à la disparition de Trophonius, fils d’Epicaste, femme d’Erginus, roi des Orchoméniens. Ce Trophonius, ainsi que son fr
re par son art et par sa piété. Nannac ou Nannap, un des plus anciens rois de la Grèce ou plutôt de la Thessalie, vers l’an
ipolte conduisit, avant la guerre de Troie, de Thessalie en Béotie le roi Ophelte et ses peuples. Phrasios de Cypre fut sac
rquin le superbe neuf livres de prédictions sur le destin de Rome. Le roi n’ayant pas voulu les acheter, elle en brûla troi
retourna à Corinthe instruire Périandre de cet événement. Aussitôt ce roi fit punir les matelots. C'est depuis ce service r
Thamyris tant de progrès dans son art, que les Scythes en firent leur roi et qu’il osa défier les Muses au combat du chant,
ogie greco-égyptienne à réunir les pouvoirs influens de pontife et de roi . Aussi, comme dit Horace, c’était le ministre et
on voulut épouser et même, dit-on, séduisit Mérope, fille d’OEnopéus, roi de l’île de Chio ; mais ce roi ne voulant pas de
on, séduisit Mérope, fille d’OEnopéus, roi de l’île de Chio ; mais ce roi ne voulant pas de lui pour gendre, l’enivra et, p
Cyrène : Apollon eut deux maîtresses de ce nom, l’une fille d’Hypsée, roi des Lapithes, ou, suivant d’autres, du fleuve Pén
Apollon Delphique pour père sans dire quelle était sa mère, il était roi des environs du Parnasse et avait pour fille Cast
ie, femme de Sténélé, roi de Ligurie, passe souvent pour enfant de ce roi , quoique généralement il soit attribué à Apollon 
ble de tous ceux consacrés à ce dieu, construit peut-être par Ascèle, roi du pays, était entouré d’un bois sacré dans l’enc
yes ou Lygures, on a donné aussi le nom d’Héliades aux fils d’Hélius, roi de l’île de Rhodes. Si nous continuons la liste d
èrent, ensuite il fut en Carie où il épousa Idothée, fille d’Eurytus, roi de cette contrée ; un autre Milet était fils de D
ette Méganire est donné aussi pour femme à Hippothoon, un des anciens rois de l’Attique, qui avant l’arrivée de Cécrops, gou
s contrées appelées Scythie. Arrivé dans la capitale de cet état, son roi , nommé Lyncus, jaloux des connaissances de Tripto
un sillon ; Mylès, l’inventeur des meules de moulins, fils de Lélex, roi des Lélégues, probablement la plus ancienne de to
s, et qu’il fut tour-à-tour conspirateur, exilé, héritier présomptif, roi , guerrier, vainqueur et tué dans les combats ; vo
e l’autel, et figurant la lune ; puis venait en sous-ordre l’Archonte roi , chargé des prières et de l’ordre, quatre Épimelè
d’Égypte, après avoir été reçue dans le Péloponèse par Pélasgus leur roi , ou du moins avoir été introduite par Danaüs dans
on fait remonter l’introduction de son culte à Rome, jusqu’à Tatius, roi des Sabins, du temps de Romulus. Cependant, pour
ivant quelques légendes, le fruit d’un commerce incestueux de Cynire, roi de l’île de Cypre, ou de Phénix avec Smyrne, ou d
figure de la belle Lycaste, épouse de Butès le Bébryce, descendant du roi des Bébrices Amycus, que nous verrons combattre c
s de Thémis et de Capys et par conséquent petit fils de Tros, premier roi et fondateur de la ville de Troie, et en eut Enée
’Hypsipyle, dont la beauté fixa auprès d’elle Bacchus qui montra à ce roi l’art de cultiver la vigne, et lui donna les roya
beauté ou son pouvoir exercèrent sur Pâris. Ce mortel, fils de Priam roi de Troie et d’ Hécube, ayant été confié par sa mè
Lycurgue, roi de Némée. Alors cette reine devint nourrice du fils du roi , le jeune Ophelte, qu’elle laissa mourir de la mo
up émerveillé de la danse de Ctésycle fille de Ioulis et d’ Alcidamas roi de Céos, il fait serment de n’être qu’à elle, pui
ance. Le culte des Grâces, institué pour la première fois par Etéocle roi d’ Orchomène en Béotie, fils d’Andrès et d’ Evipp
de leur origine et l’attribuaient à Lacédémon, le quatrième de leurs rois . On suppose qu’elles restèrent toujours vierges ;
peuple de la terre lui comparait une nommée Psyché ou ame, fille d’un roi inconnu, fut outrée de colère, et pour la perdre,
îtresses de son nourrisson. Elara, fille d’Orchomène, fils de Mingas roi de Beotie ; elle fut aimée de Jupiter qui pour la
r Myrmidon. Garamantie ou Garamantide passait pour fille de Garamas roi de Libye ou du pays des Saramantes, et fils d’Apo
up varié sur sa naissance : quelques-uns la font naître d’un Dardanus roi Scythe, qui à son instigation poursuivit avec ach
a cette nymphe sous la forme d’un cygne et la rendit mère de Colaxès, roi des Bisaltiens lesquels, en mémoire de l’origine
urope, furent frappés de sa beauté et l’enlevèrent pour Astérius leur roi , sur un vaisseau dont la proue était décorée d’un
inée, il épousa dans la Thrace, Cléobule ou Cléopâtre fille de Borée, roi des Vents et d’Orithye. Il en eut deux fils Plexi
piter, méritent en outre quelques mots ; car Phoronée, fils d’Inachus roi d’Argos, réunit et poliça les habitans épars et s
Apis, roi d’Argos, surnommé Jupiter, comme le fut autrefois plus d’un roi célèbre. Cette préférence ayant excité la jalousi
leva sa rivale, et la mit sous la garde d’un geôlier vigilant dont le roi se défit ; mais craignant pourtant quelque vengea
a. Quant à Io elle resta en Égypte, et paraît y avoir épousé Télégone roi de cette contrée. Ce fut après cette aventure, lo
Junon voulut rompre avec Jupiter par un divorce public. Mais Cithéron roi de Béotie, qui passait pour l’homme le plus sage
une réconciliation, on récompensa ce service en appelant du nom de ce roi une montagne de la Béotie, qui fut depuis consacr
é de se transformer. Elle était femme de Tindare et fille de Thestius roi d’Étoile, fils d’Agénor ; sa mère était Pantidye
On dit encore que Minerve Métamorphosa Dircée deuxième femme de Lycus roi de Thèbes, en poisson ; mais cet acte est fort ob
ttique, et l’on ajoute qu’il aurait laissé à Pedias la plaine et à un roi du nom d’Actée la côte, qui ne devint Attique qu’
oyaume d’Athènes dura près de 400 ans et qu’il eut dans cet espace 17 rois , savoir : Cécrops, Cranaus, Amphictyon, Erechthée
, était fils de Jupiter et d’Antiope, fille de Nyctée épouse de Lycus roi de Thèbes, qui la répudia, lorsqu’il eut appris q
rsqu’il eut appris qu’elle avait été la maîtresse d’Epopée ou Epaphus roi de Sicyone. C'est à cette époque que Jupiter, épr
s de Jupiter et de Sémélée, petite fille de Thyoné et fille de Cadmus roi de Thèbes et d’Hermione. Les Orphiques donnaient
au milieu d’elles. On dit que le Dieu lui-même les excita, quoique le roi l’eût pris et jeté dans une prison et chargé de f
ranus. Lorsque Bacchus fut de retour des Indes, Silène alors, dit-on, roi de l’île de Nysa, s’établit dans l’Arcadie, où il
’il prenait bravement son parti, il fut un autre jour à la cour de ce roi , dans un état peu conforme à la philosophie qu’il
ifice ; Eurymédon, Maïa, femme de Vulcain ; Latinus, époux d’Amate et roi des Arborigènes dans le Latium, où nous verrons E
mbulii ou les protecteurs de la vie ou les promeneurs ; Anaces ou les rois ou les bienfaiteurs et conservateurs ; Aphésiens
tte expédition que Pollux vainquit au combat du ceste, et tua Amycus, roi des Bébrices, fils de Neptune, et le plus redouté
n souvenir de cette clémence, leur donnèrent le surnom d’Anaces ou de rois bienfaiteurs, et les initièrent aux mystères de C
mauvaise fortune. Colaxès, fils de Jupiter et de la nymphe Ora, fut roi dans la Bisaltide, petite province de Thrace ; se
Corinthe. Crès, fils de Jupiter et de la nymphe Idée, fut le premier roi de l’ile de Crète, qui prit son nom ; il fut l’in
de Calyce, qui le rendit père d’Endymion. Il fut, dit-on, le premier roi des Eléens. Gargare, fils de Jupiter, naquit en
ils d’Alcée et petit fils de Persée, ayant tué par accident Electryon roi de Mycènes son oncle, fut obligé de s’éloigner de
nce, il affranchit les Thébains d’un tribut qu’ils payaient à Erpinus roi d’Orchomène. En effet, ayant rencontré les envoyé
Erpinus roi d’Orchomène. En effet, ayant rencontré les envoyés de ce roi , qui allaient réclamer aux Thébains ce tribut de
t le présenter à Eurysthée ; mais à la vue du héros et du monstre, le roi eut tellement peur, qu’il fut se cacher sous une
s trente ans. Ayant appris l’arrivée d’Hercule sur son territoire, ce roi lui proposa le 10e de son troupeau s’il voulait e
le salaire qu’il avait promis ; alors Hercule voulant se venger de ce roi parjure, se mit à la tête de quelques Eléens, tua
siphaé, l’épouse du roi Minos. 9° Diomède, fils de Mars et de Cyrène, roi des Bistones en Thrace, avait des chevaux furieux
ans rien craindre, se transporte encore par ordre d’Eurysthée chez ce roi barbare, l’attaque, le soulève et le fait dévorer
harybde en Scylla. Ce fut encore en Sicile qu’il fut provoqué par le roi d’une partie de cette île, par Erix fils de Butès
ignait plus spécialement : Ambrosie ou l’immortelle, Astérie, mère du roi de Pise OEnomaüs, Céléno, Clie, Esile, Eudora, Ha
tue Sarpédon, fils de Neptune, pour s’être emparé du trône de Cotys, roi voluptueux de la contrée ; près du Rhône, il perc
que Pélias de Neptune et de Tyro, femme de Créthée, roi d’Iolchos. Ce roi étant mort, son fils légitime Eson, voulut faire
u’il ne faut pas confondre avec celui de Némée. Thespius ou Thestius, roi de ces contrées, fut tellement charmé du courage
janire, fille d’OEnée, roi de Calydon, né de Parthaon et d’Euryte. Ce roi avait eu d’un premier mariage avec Althée, plusie
ui-ci furieux fait seul le siége d’OEchalie, tue à coups de massue le roi , son fils Molion et quatre-vingt-seize hommes, pu
dement rappeler les noms suivans : Aleines simple guerrier ; Amyntor, roi des Dolopes, dans l’Epire, qui lui refusa le pass
ls d’Amycus, fut tué pour avoir voulu secourir son ami Lycus ; Phinée roi Thrace, fils d’Agénor, épousa Cléobule ou Cléopât
endu de continuer une intrigue qu’il avait avec sa fille ; Théodamas, roi des Dryopes, avait refusé de donner quelque nourr
Hercule, et enfin les nombreux enfans de Chrysonoé, fille de Clitas, roi des Sidoniens, qui les avait eus de Protée ; la m
vaincre tous ces ennemis, Hercule souvent se fit aider, soit par des rois auxiliaires, soit par des amis qui le suivaient t
dition ; Diome, fils de Colyte, obtint les honneurs divins ; Egimius, roi des Doriens, fut secouru par Hercule, contre les
e Bellérophon, fut mère d’Echmagoras. Phégia ou Psophis, fille d’Erix roi Siciliote et fondatrice de Psophis en Arcadie, et
ué à une suivant d’Omphale, ou à la Thesp. Argela, il fut la tige des Rois de Lydie. Créonuadès, fils de Mégare, fut tué par
t Iarbas de Virgile soit le même que celui porté par l’histoire comme roi des Numides, l’an 888 av. J.-C. Lacédémon, fils
mariages et accouchemens heureux, fille de Daunus et sœur de Turnus, roi des Rutules, celle-ci, pour lui échapper, se sauv
Mercure, Apollon, Bacchus et Hercule ; les lares publics étaient les rois et princes divinisés, que l’on chargeait d’être l
cyone, vers l’an 1243, av. J.-C., maria sa fille Lysianasse à Talaüs, roi des Argiens, et il eut pour successeur Adraste, a
des enfers où nous le retrouverons avec Eaque et Rhadamanthe. Mais le roi du nom de Minos le plus remarquable par ses avent
e minos II. était roi de Crète et mari de Pasiphaé ; chaque année, ce roi sacrifiait le plus beau taureau de ses troupeaux
es eaux inspira, dit-on, une horrible passion à Pasiphaé, femme de ce roi , pour ce même taureau ; et Dédale, mécanicien hab
n disant que Pasiphaé eut un amour criminel pour Taurus, courtisan du roi , que les rendez-vous des deux amans eurent lieu d
uritanie, demande l’hospitalité comme fils de Jupiter au géant Atlas, roi de cette contrée, lequel la lui ayant refusée, es
oponèse avec Andromède et Danaé. En route, il s’arrête chez Teutamias roi de Larisse, pour assister à des fêtes funèbres qu
divinités mystérieuses analogues dans l’Attique aux Cabires, prêtres rois , originaires de Samothrace, dont on adorait les p
eur, Asphalion et Asphaliée ou qui affermit la terre ; Basileus ou le roi chez les Trézéniens ; Ceruleus Frater ou le frère
tre ou le cavalier ; Erechthée et Erichthonius ou le père d’Orithyie, roi et dieu originaire d’Athènes avant Minerve ; Géao
ment Hercule, en tuant le monstre marin, délivra Hésione, fille de ce roi , que l’on avait exposée pour être dévorée par ce
5 av. J.-C. dans la Libye, après avoir débarqué à Sidon, où on le fit roi . Les uns le prétendent frère jumeau de Bélus, et
s voulaient le chasser ; mais Antigone intercéda pour lui Thésée leur roi , auquel OEdipe prédit que la victoire resterait f
ôt ils arrivent sous les murs de Thèbes. Adraste députe Tydée vers le roi , pour lui faire des propositions, mais Etéocle le
s de Talas le Biantide et de Lysimaque ou Lysianasse, fille de Polybe roi de Sicyone, avait pour frères Parthénopée, Pronax
uelquefois à traîner le char du dieu de la mer, qui le donna à Caprée roi d’Haliarte, lequel en fit présent à Hercule pour
les cieux et de poussière sur la terre ; suivant Pindare, il était le roi des vents, il résidait dans la Thrace, contrée si
ès, qui fut obligé de se sauver des états d’Amycus, son père putatif, roi des Brébyciens, lequel refusa de le reconnaître.
les avait eues sous la forme d’un cheval des cavales de Dardanus. Ce roi des vents avait des fêtes à Athènes, appelées Bor
entaure était le même que Triton ; Lamos était fondateur de Formie et roi des Lestrigons, d’où les Lamia de Rome prétendaie
atrie d’Hésiode. Ogygès, fils de Neptune et d’Alicra, fut le premier roi connu d’un plateau dont une partie était Béotienn
leur méprise ; alors ils firent de magnifiques obsèques à l’infortuné roi leur ami, offrirent un sacrifice à la mère des Di
vers l’est, ils abordèrent en Bébrycie ou Bithynie, dont Amycus était roi . Ce prince défia les Argonautes au pugilat ; Poll
nt sous les murs d’Aea, pendant la nuit, à l’embouchure du Phase ; le roi de ces contrées, instruit à l’avance du dessein d
et au moyen des conseils et du secours qu’il reçut de Médée, fille du roi , nous allons le voir surmonter tous les obstacles
les sillons le reste des dents du dragon de Cadmus, que possédait le roi  ; détruire les guerriers armés qui jailliraient d
mbattre et tuer le dragon qui gardait la toison d’or. Médée, fille du roi , étant devenue éperdument amoureuse de Jason, lui
s, Jason soumit au joug les deux redoutables taureaux, en présence du roi et du peuple assemblé, et leur fit labourer l’emp
agnons et de brûler leur vaisseaux. Instruit par Médée des projets du roi , le héros se hâte de monter sur son vaisseau avec
it cessé de les poursuivre, et dont le chef voulut exiger d’Alcinoüs, roi du pays, que Jason livrât Médée. Ce roi y consent
hef voulut exiger d’Alcinoüs, roi du pays, que Jason livrât Médée. Ce roi y consentit, à la condition toutefois qu’elle ne
chassa la coupable Médée, qui s’enfuit en Phénicie, où elle épousa le roi de cette province et en eut un fils nommé Midas.
; Polyphème d’Elate ; Priassus d’Oenée ; Staphyle de Bacchus ; Talaüs roi d’Argos ; Télamon d’Éaque ; Thésée d’Égée ; Tiphy
u des Argonautes, était fils de Phryxus et de Chalciope fille d’Éétès roi de Colchide. Asterion, fils de Comètès et d’Anti
eu de Jason ou qu’elle espérait avoir avec Égée, persuada à ce vieux roi que ce jeune voyageur était un assassin, et le dé
servi, tira son épée comme pour couper les viandes ; mais à peine le roi voit-il cette lame, qu’il renverse la coupe empoi
questions ; aussitôt il est étroitement serré dans les bras du vieux roi , qui fait convoquer le peuple en assemblée généra
ent comblés de joie en pensant qu’ils auraient un si grand héros pour roi , à l’exception pourtant de Médée, qui, pour évite
Déion, fille de Dia et femme d’Ixion. Cette alliance avec Pirithoüs, roi des Lapithes, peuples de la Thessalie, descendans
’enlever ; mais tous les Laphithes, ayant à leur tête Pirithoüs, leur roi , Hercule et Thésée, en prirent la défense, et bie
ite ce tison précieux, l’éteignit et fut le cacher en terre ; mais le roi son mari ayant oublié Diane ou Cérès, dans un sac
itter sa patrie. Alors, Télamon fils d’Endeis se réfugia chez Cychrée roi de Salamine, dont il épousa Glaucé, sa fille chér
t obligé de s’éloigner de Pythie et de s’exiler à Iolchos, où Acaste, roi de cette ville, le purifia. Mais, comme Hippolyte
montagne d’Arcadie. Euphrate, fleuve fils de Pontos. Eurotas, un des rois les plus anciens de la Laconie, fils de Lelex et
ître des Dieux, ensuite on vit Argos gouverné par une longue suite de rois appelés Inachides, parmi lesquels on distingue Ar
coupable amour qu’il avait inspiré à Créthéis ou Hippolyte, femme du roi , celle-ci l’accusa faussement auprès de son mari,
les enfans. Voici les noms de quelques Naïades : Botée, femme d’Œbule roi de Sparte ; Éphidatie, amante d’Hylas ; Ériphe ou
re des échanges, prirent les mineurs pour des êtres infernaux et leur roi pour le dieu des enfers. Pluton offrit souvent se
uvrit à Jupiter la conjuration des Titans réunis pour le détrôner. Le roi du ciel prévint leur complot, et la Victoire le s
1550 ou 1510 avant J.-C., le trône, au détriment de Gélanor, fils du roi décédé, en profitant d’un évènement, que le peupl
ils de Polydore et l’un des capitaines servant sous Achille ; Mentès, roi des Cicones ; Mérione, fils de Mole et de Melphis
des Eubéens ; Pandion, suivant de Teucer ; Patrocle, fils de Ménesce, roi des Locriens et de Sthénèle, ami d’Achille et tué
l y fut suivi par sa femme Philozoé, et fut tué par Sarpédon ; Ulysse roi d’Ithaque. Faisons connaître actuellement plus en
ls adultérin de Thyeste et d’Erope, femme d’Atrée, ensuite, Agamemnon roi de Mycènes, dont elle eut plusieurs enfans. Penda
e fit passer en Phocide, chez Strophius, son oncle, fils de Crisus et roi de cette contrée ; Oreste se lia à cette cour d’u
ait à immoler son frère Oreste, mais la prêtresse plus adroite que le roi , quitta ses états, emmenant avec elle Oreste, Pyl
yndarée, et fut un des plus célèbres prétendans d’Hélène, fille de ce roi . Cette jeune et belle princesse, donna la préfére
Pollux la constellation des gémeaux. Achille était fils de Pélée, roi des Myrmidons, en Thessalie, et de Thétis, fille
dans laquelle il entra, grace à l’amour de Pisidice, fille de Pélias, roi du pays, qui trahit son père pour Achille ; mais
retirer dans sa tente, en nourrissant une haine implacable contre le roi des rois. Ni les dangers des Grecs, ni les offres
dans sa tente, en nourrissant une haine implacable contre le roi des rois . Ni les dangers des Grecs, ni les offres et les p
l’on peut en dire : Patrocle, petit-fils d’Actor et fils de Ménèce, roi d’une contrée de la Locride, et de Sthénélé ou Ph
ruauté. Ajax succéda de bonne heure à son père ; il fut du nombre des rois qui furent au siége de Troie, où il conduisit dou
de Patrocle contre les Troyens qui voulaient s’en emparer ; força le roi thrace Polymnestor, à lui livrer la priamide Poly
ur les rivages troyens, fut ravagée par une peste, se leva devant les rois assemblés et annonça que la main d’Apollon cesser
fortune. D'abord, il tomba entre les mains de Lycus, fils de Mars et roi d’une portion de l’Italie, qui sacrifiait en l’ho
. A la prise de Ténédos, il eut en partage Hécamède, fille d’Arsinoüs roi de cette île. Palamède, fils du roi d’Eubée Naup
il fut porté par un naufrage en Carie, où il épousa Syrna, fille d’un roi du pays ; elle lui apporta en dot la Chersonèse D
e voyagea dans le Péloponèse, et revint dans Ithaque, où il fut salué roi par les habitans. Il épousa Pénéloppe, fille d’Ic
e, chercha de toutes les manières à éviter l’obligation de suivre les rois ligués contre Troie : ainsi, pour ne point quitte
es de ce héros. Ajax les lui disputa. La cause fut plaidée devant les rois assemblés, et Ulysse remporta la victoire. C'est
Plusieurs de ses compagnons en mangèrent, oublièrent Ithaque et leur roi , et ne voulurent plus revenir aux vaisseaux ; cep
it bien vite à la voile et fut ensuite dans les îles Éoliennes, où le roi des vents les lui donna tous, renfermés dans des
ysse arriva sur la côte des Lestrigons, dont le géant Antiphate était roi  : ces hommes sauvages, qui se nourrissaient de ch
ur femmes et maîtresses, Pénélope, Circé, maîtresse aussi de Calchus, roi des Dauniens, Calypso, Evippe, Actoris et Polymèn
fut tué pendant le pillage par Diomède ; Itymonée, fils d’Hypéroque, roi des Lybiès, fut tué par Nestor ; Laocoon, s’oppos
e, fils de Laomédon frère de Priam, vit sa femme tuée par ordre de ce roi et se vengea en conseillant aux Troyens de recevo
Cet Erichthonius devint le père de Tros, dont le nom semble signifier roi ou seigneur. Ce Tros qui donna le nom de Troie à
environs de la ville et une peste les dépeupla presqu’entièrement. Ce roi ne put conjurer ces fléaux qu’en livrant chaque j
la ville de Troye. Il épousa jeune encore Andromaque, fille d’Eétion, roi d’une des contrées de la Cilicie ; il en eut Asty
, il oublie les devoirs dus à l’hospitalité, séduit Hélène, épouse du roi , et l’emmène avec lui en Asie. Ils abordèrent, on
e, roi de Libye, et y mourut. Il avait épousé Théano, fille de Cissé, roi d’une des provinces de Thrace, et sœur d’Hécube :
outes les conditions exigées ; cependant on découvrit que la fille du roi , Augé, était mère de ce héros ; elle fut donc rem
s plaines de Laurente, où régnait le vieux Latinus, époux d’Amate. Ce roi le reçut on ne peut plus favorablement, et lui do
ui fit naître une guerre terrible, excitée par la jalousie de Turnus, roi des Rutules, auquel Lavinie avait été précédemmen
Evandre. Il suit cet avis et arrive à Pallantée, ville capitale de ce roi , qui le reçoit avec distinction et lui donne quat
uée par Arnus ; Chorinée, tué par Asylas ; Cissé, par Énée ; Clausus, roi sabin, auxiliaire de Turnus ; Clytius, jeune Rutu
scagne ; Rhœtus, Rutule, tué par Euryale ; Tanaïs, par Enée ; Turnus, roi rutule, fils de Daunus et de Vénilie et chef de l
par Enée ; Méon, blessé, et Niphe et Ortygios tués par Enée ; Rhœcus, roi des Marrubes, Théron, tué par Enée ; Ufence, chef
plus ou moins historiques de Sylvius ; du reste, voici le tableau des rois d’Albe, après Ascagne, dressé par M. Parisot, dan
ur toi, et maintenant tu me laisses seule en proie à la vengeance des rois dont j’ai refusé l’alliance ; mais va, tes maux n
Camille, l’héroïne ou l’amazone de l’Italie, était fille de Métabe, roi des Volsques et de Camille. Métabe, forcé de fuir
; Patulcius, ou l’ouvreur. Janus, avait pour frère Camèse ou Camises, roi également d’une partie de l’Italie, et pour sœur
te, épousa sa sœur Isis, dont il eut Haroeri et Harpokrat ; il fut le roi le plus célèbre de l’Egypte, et montra l’usage qu
i fit bâtir la ville de Thèbes, où il éleva un temple magnifique à un roi divinisé du nom de Jupiter, et régla tout le céré
ès. En revenant dans ses états, il traversa la Thrace, dont il tua le roi , parce qu’il voulait s’opposer à ses desseins ; p
de la perte d’Osiris, se met à la recherche du corps de ce malheureux roi , et finit, avec l’aide d’Anubis, par le retrouver
anétaire grec, était une transition de Piromi à Amoun. Ce dernier des rois planétaires eut pour femme la dynaste Nefté ou Na
eux égyptiens, mais n’en indique aucun spécialement. Enfin, entre ces rois planétaires divinisés et ces déesses élémens, que
éologie des Egyptiens ; on l’avait personnifié par une statue que les rois d’Egypte avaient placée sur les bords de la mer R
s Phéniciens et les Carthaginois, il ne signifiait encore que maître, roi , seigneur. Plus tard, ne Phrygie et dans tout l’O
ers. Makemba, au Congo, est un dieu chargé de présider à la santé du roi . La paix, la guerre, sont sous l’invocation de ce
qu’on lui rend, consiste dans une aspersion faite par un Ganga sur le roi et toute la noblesse ; la sainte liqueur qui sert
morceau et la première coupe de vin, qui sont servis sur la table du roi . On lui consacre les jeunes gens de douze ans aux
dieux de l’Assyrie et de la Phénicie ; on le regardait même comme le roi des dieux, car il venait immédiatement après Chrô
dieu-prophète des Assyriens, prit la forme humaine pour remettre les rois et les peuples dans la voie de la vérité. Il enjo
ssyrie d’adorer les sept planètes et les douze signes du zodiaque. Ce roi impie l’ayant fait expirer dans les tortures les
ieux Assyriens, nous rappellerons qu’Abad passait pour le plus ancien roi d’un empire embrassant dans ses limites l’Assyrie
i et de desservir les autels des Dieux ; les Radjahs ou Razeputes, ou rois nés de ses bras ou épaules. Les Banians ou Vaicih
trinité hindoue ; seulement alors Brahmâ accapara le nom de Radja, ou roi  ; Siva, celui de Tama, et Vichnou, celui de Salto
t père de Naréda, dieu de la sagesse, de Dakcha, et de six Radjas, ou rois  ; Saraçouati, préside à la science, à l’harmonie,
ou grands Richis, de Devarchis ou Divins Richis, et de Radjarchis, ou rois Richis ; ils se nomment Kaciapa, Atri, Vacichtha,
l’Ether, les souargas, le jour et enfin les cieux visibles ; c’est le roi des bons génies ; c’est le maître des nuages. Il
des actes des ames. Daçaratha ou Daçaraden, Deçaraden, ou Açaraden, roi hindou, possesseur d’un vaste empire, habitait la
s Dourouvaça, furieux, proféra d’épouvantables malédictions contre le roi des Vaçous qui perdit bientôt le trône des cieux.
ge les morts, tandis que son frère Manou est le Dharma-Radscha, ou le roi de la justice, et gouverne et juge les vivans, au
nné d’épines. Sous le nom de Radjahs, on révère dans l’Inde plusieurs rois divinisés ; quoique ce nom soit celui qui génériq
oique ce nom soit celui qui génériquement indique la qualification de roi . Voici quelques uns de ces Rois-Dieux : Aritchau
’avait pas voulu partager l’empire avec son frère, en était cause. Le roi offrit alors à Devadi la moitié de ses états que
Açouras et le suivit à la cour de Djanaka ; bientôt Sita, fille de ce roi , ayant été promise au plus adroit et au plus vigo
un passe-droit contraire aux intérêts de son fils Kéi-Keii, exige du roi l’exil de Rama, au nom d’un serment qu’il lui a f
victoire, Dévaki, craignant avec raison pour son enfant, le confia au roi pasteur Nanda et à son épouse Iachoda, qui l’empo
olennel à la grande Bhavani, et Iouddhichthira leur frère est déclaré roi . Kalki, dont nous avons dit un mot, sera la dixi
monde. Hanouman, ou Hanoumanou ou Annouma, ou Pavana ou Marouta, ou roi des vents, ou vaïou, ou air pur. Cet hanouman éta
r pur. Cet hanouman était un dieu-singe. Il fut ministre de Sougriva, roi des singes, et marcha conjointement avec lui cont
riva, roi des singes, et marcha conjointement avec lui contre Ravana, roi usurpateur de Lanka ; il se distingua beaucoup su
chapelle dans toutes les pagodes de Vichnou. Nanda était un célèbre roi pasteur, ayant pour épouse Iachoda. Lorsque celle
, ou Adicéchen, Sécha, Ananta, Anarden, Vacoudji et Sarparadja, ou le roi des serpens. Il n’avait dans le principe que cinq
un sacrifice préférable à cent mille vaches. Dharma, d’Harmaradjah, roi sage, issu du sang des Tchandrapontes, était fils
ion de ce temple, tous les Dieux furent invités et conduits auprès du roi par Brahmâ. Le lieu où fut bâti le temple se nomm
mbha l’apparition de la plus éclatante beauté qui eût encore paru. Le roi désira l’avoir au nombre de ses femmes et la fit
est le grand seigneur des funestes génies que l’on nomme Açouras. Ce roi à tête de buffle attaque quelquefois les Dieux et
Mogol, ou de Siddharta en Samskrit, dans une eau divine, par un autre roi appelé Khourmousta-Tingri chez les Mogols, ou inc
ieu avec neuf têtes s’élevant en forme de pyramide. Péroun, était un roi d’une île située près de celle de Formose. Les ha
le odieuse, lorsqu’il verrait une tache rouge sur deux idoles. Ce bon roi en avertit ses sujets et les engagea à changer de
de Gouannon, est, d’après les Bonzes ou prêtres Japonais, le suprême roi des cieux et des régions de la Félicité. Il réuni
enfance fut merveilleuse et exemplaire par sa piété ; plus tard, les rois eux-mêmes vinrent le visiter et lui présenter leu
e Amchasfand, ou le premier après Ormuzd ; il est le régulateur et le roi du monde et de la lumière, le dieu de la paix, ch
d ou génie de la parole divine. Nériocengh, Ized du feu, animant les rois  ; Ized aussi de la paix, de la justice, et le gar
t au troisième jour complémentaire ; Fohou-Khéchétré, c’est-à-dire le roi ou plutôt la reine de l’abondance, présidant au q
seul, il récapitule tout le règne végétal. Il a un œil d’or, c’est le roi des astres ; c’est lui qui a créé l’oiseau divin
d’un hippopotame. Dchemchid ou Djemchid, fils de Vivengham, premier roi et civilisateur de l’Irran ou Perse, régna six ce
’Iran, paradis terrestre, créé par Ormuzd. Féridoun en fut ensuite le roi . Féridoun fit régner sur ses sujets la paix et la
, surnommé Pahlvan, était fils de Afret, roi du Kaboulistan ; premier roi de la dynastie Kaïanide, Gouerchasp se souilla en
lle et temporelle ; aussi le pouvoir du grand prêtre égalait celui du roi . Voici quels étaient la plupart de leurs Dieux et
t des animaux et même des prisonniers. On la suppose fille de Silabe, roi des Gots. Simzerla était, nous l’avons vu, la dé
endant dix ans, ensuite il eut une lutte fameuse à soutenir contre un roi appelé Gifle. Il habitait le superbe palais Valho
ruction du monde. Aussitôt il brisera ses fers et engloutira Odin, le roi des dieux et le père de tout. Puis, à son tour, i
es et du monde, les personnages qui suivent : Agnar fils de Geirrod, roi inhospitalier, qui eut l’audace de faire charger
’empire, elle leur fit bâtir un palais qui fut ensuite la demeure des rois . Cette déesse est la seule femme qui ait gouverné
mme qui ait gouverné l’Irlande. Elle adopta encore enfant Ugainemore, roi puissant, qui porta ses armes jusque dans la Gaul
sur les bords de l’Irlande, qu’ayant été pris pour arbitre par trois rois Tuathadaniques, il eut l’imprudence de vanter bea
fut Fionn Sneachta, fils d’Ollam et frère de Fâchtna-Fathach, père du roi Qonnor. Il sortit de sa province, et sous sa domi
, et le siége principal du culte Druidique y résidait. Plus tard, les rois et les pontifes suprêmes y firent leur résidence.
Qonnor et conduisit en Écosse, d’où il fut obligé de sortir ; car le roi des Scots voulait lui enlever sa maîtresse ; alor
nor, roi d’Irlande, la permission de rentrer dans ses états ; mais le roi , tout en ayant consenti, donna secrètement ordre
a tour où elle habitait, l’enleva et la conduisit en Écosse. Alors le roi de ces contrées voulut la lui ravir ; ensuite Qon
fleurs, des fruits, au milieu de fêtes somptueuses où les Caciques ou rois étaient obligés d’assister. Leurs temples étaient
uviens comme les enfans des fils du soleil. Du reste, le culte de ces rois pontifes était doux et pastoral. Ils regardaient
5 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
e. Ses prêtresses, appelées Vestales, furent d’abord choisies par les rois et ensuite par les pontifes. Elles devaient être
nt la justice au nom et en présence de Pluton : ce sont Minos, ancien roi de l’île de Crète ; Éaque, ancien roi de l’île d’
Pluton : ce sont Minos, ancien roi de l’île de Crète ; Éaque, ancien roi de l’île d’Égine, et Rhadamanthe, frère de Minos 
de la nymphe Aréthuse le nom de cet audacieux amant ; c’était Pluton roi des enfers. A cette nouvelle, Cérès monte sur un
r la mer et sur la terre, dans le tartare et dans les cieux. Peuples, rois , magistrats, guerriers, invoquaient son nom, soll
mène qu’il trompe sous les traits d’Amphitryon. On y voyait encore le roi des dieux s’introduire en pluie d’or dans la tour
uient la clarté du jour, et ne volent que pendant la nuit. Lycurgue, roi des Édones en Thrace, ami de Bacchus, l’avait aid
es sentiments d’amitié qui l’avaient uni à Lycurgue, il fit saisir ce roi , l’entraîna violemment au sein des forêts du mont
énomination élégante dont voici l’origine : Érigone, fille d’Icarius roi de Laconie, était sœur de Pénélope, et avait, com
uite, tombe, et se tue. Une autre fois les Piérides, filles de Piérus roi de Macédoine, fières du talent qu’elles croyaient
neige et les orages. Épris des charmes d’Orithyie, fille d’Érechthée roi d’Athènes, il la demanda en mariage ; mais Érecht
inhumains. Ses châtiments étaient rigoureux, mais équitables, et les rois mêmes ne pouvaient s’y soustraire. — On la représ
aux par un chien à sept têtes. Hercule eut ordre d’aller combattre ce roi , de lui ravir ses troupeaux, et de les conduire e
lieu environ trente ans avant la guerre de Troie. Atrée, gendre de ce roi , lui succéda sans opposition, et occupa le trône
poussa tous les jeunes princes qui la demandèrent en mariage. Mais le roi des dieux, qui l’aimait, voulant s’introduire prè
ie pour s’y reposer jusqu’au matin. Atlas, géant redoutable, était le roi de cette contrée. Ses nombreux troupeaux couvraie
la prédiction de l’oracle. § 5. Jason. Jason était fils d’Éson roi d’Iolchos, en Thessalie. Éson ayant été détrôné p
tempête qui les obligea de relâcher à Lemnos, où Hypsipyle, fille du roi , leur fit une magnifique réception, et où ils res
e leur navigation. Rien n’était plus difficile que d’enlever à Éétès, roi de la contrée, cette toison d’or que Phryxus y av
de prendre la fuite ; ils se retirèrent à Corinthe, auprès de Créon, roi de la contrée, et y vécurent dix ans dans une uni
cela des rubans et des bijoux qu’elle offrit en présent à la fille du roi . Cette princesse n’eut pas plus tôt touché à ces
ut l’antagoniste de Calchas. § 12. Thésée. Thésée, fils d’Égée roi d’Athènes, fut élevé et instruit par son aïeul ma
. § 13. Pirithoüs. Pirithoüs, fils d’Ixion et de la Nue, était roi des Lapithes, peuple de Thessalie. Frappé de surp
rrivée se passèrent en fêtes et en réjouissances. Le dixième jour, le roi décacheta la lettre dont son hôte était porteur ;
incelantes du firmament. § 16. Méléagre. Méléagre, fils d’Œnée roi de Calydon, et d’Althéa, n’était âgé que de trois
e était alors faible et appauvri, se trouva en butte aux attaques des rois voisins. Il quitta donc la Lydie avec Niobé sa sœ
üs, et le corrompit par des présents. Myrtile scia en deux le char du roi , et en rejoignit si bien les deux portions, que l
et lui dit : « Va, et fais mourir cet enfant. » Quoique dévoué à son roi , cet homme recula devant une injonction si odieus
e vieillard était Laïus ! Après cette catastrophe, qui privait de son roi la ville de Thèbes, une calamité d’un genre inouï
était interdite aux profanes. Quelques habitants, surpris d’y voir ce roi criminel, voulurent le contraindre d’en sortir ;
raüs, ils livrèrent près du bourg de Glisas un combat sanglant, où le roi ennemi, Laodamas, fils d’Étéocle, fut tué de la m
lotte, et vient mettre le siége devant Mégare. Scylla, fille de Nisus roi de cette ville, apercevant du haut de la citadell
ouvertures ; il accepte la proposition, et vient aux appartements du roi , où il est reçu avec les plus grands honneurs. Ma
nages de l’Iliade, de l’Odyssée et de l’Énéide 48. § 1. Premiers rois de la ville de Troie. Teucer, le véritable pè
s et Ganymède, ont laissé tous trois un nom dans l’histoire. Ilus fut roi après son père ; Assaracus fut l’aïeul d’Anchise,
aboureurs dans les campagnes voisines. A la vue de cette calamité, le roi consulta l’oracle, et apprit que ce fléau était e
; Priam lui-même, par son mariage avec Hécube, devient le gendre d’un roi puissant de la Thrace : ce roi s’appelait Dymas.
ge avec Hécube, devient le gendre d’un roi puissant de la Thrace : ce roi s’appelait Dymas. Les plus célèbres des fils de P
ce. A sa voix éloquente, tous les capitaines, tous les princes et les rois voisins, brûlant de venger une si sanglante offen
e, Thétis l’envoya, sous un vêtement de femme, à la cour de Lycomède, roi de l’île de Scyros. Cependant, comme la ville de
En ce moment, des bergers phrygiens avec de grands cris amenaient au roi , les mains liées derrière le dos, un jeune inconn
, fils de Sisyphe. Quand on l’eut présenté à Priam, il convainquit ce roi , par un discours artificieux et qui avait tous le
lle de Padoue. § 9. Ajax, fils d’Oïlée. Ajax, fils d’Oïlée, et roi des Locriens, équipa quarante vaisseaux pour l’ex
es, appelés Lestrigons. Ulysse députa trois de ses compagnons vers le roi  : il était absent. La reine, sorte d’ogresse auss
 : les deux autres s’enfuirent à toutes jambes vers les vaisseaux. Le roi , nommé Antiphate, rassemble à grands cris ses Les
ntervinrent : Mercure le rappela à ses devoirs de père, d’époux et de roi . Parti de chez Calypso, il voguait vers sa patrie
st temps, belle Pénélope, de faire un choix, lui disaient-ils ; si le roi votre époux existait encore, il serait de retour 
r, dit-il en regardant le peuple stupéfait, reconnaissez Ulysse votre roi , l’époux de la chaste Pénélope. » Puis, ramassant
tre, sa sœur, ne l’eût envoyé clandestinement à la cour de Strophius, roi des Phocéens, et beau-frère d’Agamemnon. Strophiu
u’on ne peut les conduire à l’autel avant de les avoir purifiés. » Le roi accorde aisément un délai, dont Iphigénie profite
mbeau d’Anchise ; de là il navigua vers l’Italie, où régnait Latinus, roi des Latins. Lavinie, fille unique de Latinus et
de Latinus et d’Amata, était alors recherchée en mariage par Turnus, roi des Rutules et neveu de la reine ; mais les dieux
t se résoudre à violer la foi jurée à Sicharbas, son premier mari. Le roi des Gétules, piqué du refus de cette princesse, r
instant d’un noir pourpré. § 3. Europe. Europe, fille d’Agénor roi de Phénicie, et sœur de Cadmus, était d’une beaut
te le nom d’Acis. § 6. Périphas. Périphas, un des plus anciens rois de l’Attique, se fit tellement aimer de ses sujet
Apollon, qui l’abandonna pour s’attacher à Leucothoé, fille d’Orchame roi de Babylone. Clytie inconsolable des froideurs du
ent et habitent la fange. § 12. Niobé. Niobé, fille de Tantale roi de Lydie, épousa Amphion, roi de Thèbes, et en eu
Niobé, la ville de Thèbes fut envahie par la peste. Les sept fils du roi et ses sept filles en furent atteints et succombè
re. § 14. Progné, Térée et Philomèle. Progné, fille de Pandion roi d’Athènes, épousa Térée roi de Thrace, et en eut
t Philomèle. Progné, fille de Pandion roi d’Athènes, épousa Térée roi de Thrace, et en eut un fils appelé Itys. Il y av
ostume de bacchante, et arrive en même temps que sa sœur au palais du roi . Pendant que Progné roule dans son esprit un proj
époux. § 4. Atalante et Hippomène. Atalante, fille de Schénée roi de Scyros, était si passionnée pour la chasse, qu
ent. Au moyen de ce talisman, Gygès entra inaperçu dans la chambre du roi , le tua, épousa sa veuve, et monta sur le trône d
cupait mystérieusement le soir à en exprimer les sucs malfaisants. Un roi des Sarmates eut la folie de la rechercher en mar
cien de l’île de Lesbos, vécut quelques années à la cour de Périandre roi de Corinthe ; il passa ensuite en Sicile et en It
aladies pestilentielles. § 18. Ixion. Ixion, fils de Phlégyas, roi des Lapithes, épousa Dia, fille de Déjonée. Ixion
nance, brûle trois des cahiers, et s’adressant encore au monarque : «  Roi des Romains, dit-elle, vous ne sauriez acquérir à
é l’agriculture. Quand il mourut, le peuple s’imagina que l’âme de ce roi avait passé dans le corps d’un bœuf, animal indis
ans la dépense qu’ils faisaient pour la somptuosité de l’ouvrage. Les rois de l’Asie contribuèrent tous à la construction et
es par les anciens monarques de l’Égypte pour servir de sépulture aux rois , à la famille royale et aux grands dignitaires de
sant, dans son roman de Psyché. 69. Procris était fille d’Érechthée roi d’Athènes, et sœur d’Orithyie, dont nous avons pa
6 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
l’exemple des Assyriens, les nations voisines adorèrent ceux de leurs rois , de leurs guerriers, de leurs grands hommes, qui
vre l’abîme où disparoît la vie, D’un bras de fer courbe le front des rois , Tient sous ses pieds la terre assujétie, Et dit
ie où Rome fut bâtie : il y reçut un bon accueil de la part de Janus, roi de cette contrée, qui fut lui-même honoré dans la
que Saturne lui donna, par reconnoissance, toutes les vertus d’un bon roi , avec le talent de ne point oublier le passé, et
vec elle Les vertus de l’Age d’or. Rousseau. Numa Pompilius, second roi des Romains, avoit consacré à Cybèle, sous le nom
it un culte plus particulier. On le nommoit communément le Père et le Roi des Hommes et des Dieux, le Souverain de l’Univer
offrir leurs services à Laomédon, qui bâtissoit la ville de Troie. Ce roi ayant refusé de remplir les conditions dont il ét
près de la terre, qu’il lui fait craindre une combustion prochaine : Roi des dieux ! armez-vous ; il n’est plus tenu d’att
les secrets des dieux. Des empires divers Clio chante la gloire, Des rois , des conquérans assure la mémoire. Calliope, acc
ble un choix ingénieux, Fait des guirlandes immortelles, Ornement des rois et des dieux ? Elle chante, au gré de son zèle, L
ent je vais te contenter. La Grange-Chancel. D’autres disent que le roi avoit oublié Diane dans ses sacrifices : quoi qu’
sept colonnes qui étoient des monumens de la magnificence d’autant de rois . Erostrate, Ephésien, voulant faire parler de lui
d’Egypte : monumens célèbres de la magnificence et de la grandeur des rois de l’Egypte, et qui étoient destinés à leur servi
de porphyre. Quarante statues d’or renfermoient les corps d’autant de rois  : elles environnoient un trône sur lequel la stat
s tems si éloignés de celui où on éleva les pyramides, que le nom des rois qui en exécutèrent le dessein, étoit entièrement
mont Ida, dans la Phrygie : Là, ce berger aimable, issu du sang des rois , Juge les trois beautés soumises à son choix : Vé
d’éclairs, Brise, en passant, les sceptres, les couronnes, Frappe les rois écrasés sous leurs trônes, Lance la foudre, ébran
: Un vaste globe, élevé jusqu’à moi, Est le séjour dont je l’ai nommé roi . Entre les Dieux nés pour lui rendre hommage, Tro
du partage que Jupiter avoit fait du royaume de leur père : Je suis roi des enfers, Neptune est roi de l’onde ;       Nou
t fait du royaume de leur père : Je suis roi des enfers, Neptune est roi de l’onde ;       Nous regardons avec des yeux ja
rnit une proie éternelle A l’avide faim du vautour. Lamotte. Ixion, roi des Lapithes, étoit attaché avec des serpens à un
chille au siège de Troie. Ces deux juges avoient été sur la terre des rois judicieux, équitables ; et on les crut dignes de
et de Minos son frère, De Jupiter tous deux fils adorés, Et tous deux rois sur la terre honorés. Rousseau. Rhadamante, roi
        Minos soumet aux mêmes lois         Les vils esclaves et les rois , Les mène aux champs heureux, ou les livre à Mégè
êts. On le représente avec un cyprès à la main. Faune, fils de Picus, roi des Latins, fut mis au nombre des dieux champêtre
ivra la terre de deux tyrans très-cruels : le premier, nommé Diomède, roi deThrace, faisoit dévorer par des chevaux furieux
s supérieur à tous les dangers. [Thésée.] Thésée, fils d’Egée, roi des Athéniens, fut tout à la fois parent et conte
Aricie échappa seule au massacre de sa famille : Reste du sang d’un roi , noble fils de la Terre, Je suis seule échappée a
s de Priam, et le livra à Ménélas pour rentrer en grace avec lui : ce roi la ramena en triomphe à Sparte ; mais il mourut p
u pure et des herbes sans force, Redouble le sommeil des gardes et du roi  : La suite, au seul récit, me fait trembler d’eff
eux jouir encor d’une entière vengeance, Je trouve une autre cour, un roi dont la puissance, Pour m’attacher à lui, me rend
ujours : Heureux et malheureux Orphée ! Ne pouvois-tu de ton trophée roi T’assurer un moment plus tard ? L’enfer te rendoi
es avoit été le théâtre de plusieurs scènes bien tragiques. Un de ses rois , nommé Laïus, avoit appris de l’Oracle qu’il péri
ureux ; et les Thébains se félicitoient que le sort leur eût donné un roi si vertueux et si sage : Hélas ! nous nous flatt
à mettre sous vos lois, Voulut que tour-à-tour vous fussiez tous deux rois . A ces conditions vous daignâtes souscrire. Le so
in l’un de l’autre ils cherchent un passage. ……………………………………………………… Le roi , frappé d’un coup qui lui perce le flanc, Lui cèd
, en Phrygie, l’emporte infiniment par le nombre et la qualité de ses rois , par la durée d’un siège de dix ans, qui fut très
ue lui file, A vu naître trois fois un nouveau peuple à Pile, Et qui, roi du troisième élevé sous ses yeux, Commande à des
e Troie. Ce Palamède dont on vient de parler, étoit fils de Nauplius, roi de l’isle d’Eubée : on dit qu’il inventa les jeux
L’armée des Grecs étoit conduite par quatre-vingt-quinze capitaines, rois , princes ou héros déjà célèbres par de grands exp
de Thrace, que nous appelons le détroit de Constantinople. Le premier roi qui y ait régné, s’appeloit Teucer. Il eut pour g
t, ma douleur en augmente. Cher Œnone, j’apprends que je suis fils du roi . Fontenelle. Tandis que les Grecs faisoient les
épousé pendant la guerre de Troie : Agamemnon, vainqueur de tant de rois , Revenoit triomphant jouir de ses exploits. Egist
ine, De ses amours furtifs appréhendant la peine, Au sein de ce grand roi , digne d’un sort plus beau, Inspira Clytemnestre
des jours malheureux : Esclave dans les lieux d’où le plus grand des rois A l’univers entier sembloit donner des lois, Qu’a
ilade, son ami fidèle. Tous deux furent arrêtés par l’ordre de Thoas, roi de cette contrée, qui faisoit immoler à Diane les
-je, et rends-nous au rivage. Le premier des sujets rencontré par son roi , A Neptune immolé satisfera pour moi…… Mon sacril
ntat par une peste cruelle, qui ravagea la Crète jusqu’au tems où son roi se retira dans la Calabre, et y fonda un nouvel e
et Carthage. Enée aborde en Iralie, soutient la guerre contre Turnus, roi des Rutules, et le tue dans un combat. Il épouse
tules, et le tue dans un combat. Il épouse Lavinie, fille de Latinus, roi du pays Latin, fonde l’Empire Romain ; et, après
poëmes, 51 Honneurs divins, rendus au Soleil et à la Lune, 9 — Aux rois et aux héros, 10-11 — Aux vertus et aux vices, 1
res d’Apollon, 47 Prêtresses d’Apollon, 46-47 Prétus, 38-39 Priam, roi deTroade, 176-177 — Relève les murs de sa capita
7 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
ts. Bientôt la reconnaissance ou la flatterie déifia les héros et les rois  ; enfin, on alla jusqu’à adorer les animaux et le
er à leur place une pierre emmaillotée. C’étaient Jupiter, qui devint roi du ciel, Neptune, souverain des mers, et Pluton,
l reçut de Janus et la prudence dont il le gratifia signifient que ce roi profita des leçons du temps et de l’expérience po
inct, observa l’innocence ; Et sans que le pouvoir des consuls et des rois Eût gravé sur l’airain la menace des lois, Sans q
consacré, parce qu’il est, par sa hauteur, sa force, et sa durée, le roi des arbres et l’emblème de la puissance. Parmi se
les mortels avec d’égales lois, Et du haut de son trône interroge les rois . …………………………………………………… Que peuvent contre lui tous
erroge les rois. …………………………………………………… Que peuvent contre lui tous les rois de la terre ? En vain ils s’uniraient pour lui fa
et le secret des cieux, Des empires divers Clio chante la gloire, Des rois , des conquérants assure la mémoire. Calliope, acc
sa fille chérie. Arrivée dans l’Attique, elle s’arrêta chez Elensius, roi du pays, qui la reçut avec bonté. Pour reconnaîtr
le trouvèrent, et l’ayant paré de guirlandes, le conduisirent à leur roi . Ce prince le retint pendant dix jours, qui se pa
l’autre de leur salaire par Laomédon, ils se liguèrent pour punir ce roi parjure. Apollon envoya la peste, et Neptune un m
n corps, et le porta sur le rivage de Corinthe. Sisyphe, fondateur et roi de cette ville, fit inhumer Mélicerte, puis, chan
Sicile, appelées d’abord Vulcanies et ensuite Eolies, du nom de leur roi . Lorsque Ulysse eut été jeté par la tempête dans
me de son autorité souveraine. Ces juges avaient été sur la terre des rois renommés par leur sagesse et leur justice. Minos,
e Tartare. 90. Phlégyas. — Ixion. Phlégyas, fils de Mars, était roi des Lapithes, peuple de la Thessalie, habile à ma
eil ne ferma sa paupière : Le jour il veille assis sur les palais des rois  ; Et de là répandant son effroyable voix, A l’uni
da à l’île de Sériphe, une des Cyclades, dans la mer Egée. Polydecte, roi de cette île, accueillit avec bonté Danaé et son
les Amazones ; mais il revint triomphant, et défit les soldats que le roi avait apostés pour l’assassiner. Des succès aussi
le cours de l’Alphée, qui emporta toutes les immondices. 10° Gérion, roi des îles Baléares, près de l’Espagne, était un gé
Thésée, elle voulut le faire périr par le poison dans un repas que le roi devait lui offrir. Mais Egée reconnut son fils à
ictoire, Thésée quitte la Crète, emmenant avec lui les deux filles du roi , Ariane et Phèdre. Mais, par une odieuse ingratit
tit pour de nouvelles aventures. S’étant lié d’amitié avec Pirithoüs, roi des Lapithes, ils allèrent sur les bords du Therm
les Athéniens ne cessèrent de le révérer comme un de leurs meilleurs rois . Questionnaire. 115. De qui Thésée était-il
auquel il devait son salut, et il en conserva la riche toison. Eétès, roi du pays et parent de Phryxus, le reçut avec joie
estèrent deux ans dans ce pays. Jason épousa même Hypsipyle, fille du roi  ; mais il l’abandonna afin de poursuivre son entr
e Marmara), puis en Bébrycie (depuis Bithynie), où Pollux tua Amycus, roi du pays, qui l’avait défié au combat du ceste. La
e la toison d’or. Jason déclara à Eétès le sujet de son voyage. Le roi promit de rendre la toison d’or, mais à des condi
itions, comptant sur son courage et sur le secours de Médée, fille du roi , et magicienne puissante. Il était aimé d’elle et
uvelle épouse et avec ses compagnons. Poursuivis par Absyrte, fils du roi , les deux fugitifs ont recours à un moyen barbare
a flotte d’Eétès, qui n’avait cessé de les poursuivre. Les envoyés du roi demandent qu’on leur rende Médée ; mais Jason ref
 ? Quels moyens barbares employèrent-ils pour arrêter la poursuite du roi  ? Dans quels lieux furent-ils jetés par les tempê
l’origine de Thèbes vont nous expliquer lei malheurs de ses premiers rois . Agénor, roi de Phénicie, avait un fils nommé Cad
rtrier de son père et l’époux de sa mère. » Aussitôt qu’il fut né, le roi ordonna de le faire périr. Mais Jocaste obtint de
ieux pleins d’effroi, Vint, vit le monstre affreux, l’entendit et fut roi . ( Voltaire, Œdipe.) L’union incestueuse d’un fi
ipitant leurs bras, Tous deux semblent courir au-devant du trépas. Le roi , frappé d’un coup qui lui perce le flanc, Cède en
sujet. » En achevant ces mots, d’une démarche fière Il s’approche du roi couché sur la poussière, Et pour le désarmer il a
i couché sur la poussière, Et pour le désarmer il avance le bras : Le roi , qui semble mort, observe tous ses pas ; Il le vo
te vive. Ismène ne survécut pas à la perte de sa sœur. Hémon, fils du roi , qui devait épouser Antigone, se tua de désespoir
elle fut l’origine de Thèbes et la cause des malheurs de ses premiers rois  ? De qui Cadmus était-il fils ? Quelle était sa s
, Hercule avait saccagé la ville de Troie et enlevé Hésione, fille du roi . Priam lui-même avait été emmené en Grèce avec sa
s princes de l’Asie Mineure, les plus illustres guerriers et même des rois étaient venus se ranger sous ses ordres : d’abord
de Tithon et de l’Aurore, roi d’Ethiopie ; Sarpédon, fils de Jupiter, roi d’une partie de la Lycie, et beaucoup d’autres. L
aux flammes. Priam est égorgé par Pyrrhus, qui mêle le sang du vieux roi à celui d’un de ses fils. Nous conseillons de lir
rhus fuyant la main cruelle A travers mille dards, un dernier fils du roi S’échappe, et du palais dépeuplé par l’effroi Tra
. Mnesthée, roi d’Athènes, finit ses jours dans l’île de Mélos. Ajax, roi des Locriens, périt avec sa flotte. Idoménée67, é
a puissante main enlevant tous les dieux, Les maîtres du pinceau, les rois de l’harmonie, Tu les suspendis tous à ton puissa
me d’un brahme guerrier armé de la hache, pour combattre les radjahs ( rois de l’Inde), qui opprimaient leurs peuples. 7° Une
tères de leur religion, les aventures de leurs dieux les exploits des rois et des guerriers. Ils vivaient à la cour des prin
t autant de déesses, Odin, le plus ancien et le plus puissant, est le roi de cette cour céleste. Du trône élevé où il est a
la concorde, le conciliateur des querelles, le juge des hommes et des rois . À la tête des douze grandes déesses est Frigga o
enommée, enfin, cette prompte courrière… 48. Ogygès est le premier roi connu de l’Attique. Son pouvoir s’étendait sur la
8 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
u de sa grandeur, Saturne vint chercher un asile en Italie, où Janus, roi du pays latin, l’accueillit avec respect et lui f
, il partagea l’empire du monde avec ses deux frères : Neptune fut le roi des eaux ; Pluton régna sur les enfers, et Jupite
du mal : il vint en Arcadie, et alla demander l’hospitalité à Lycaon, roi de ce pays, que l’on accusait de se plaire à répa
la préférence à Pan, Apollon lui fit pousser deux oreilles d’âne. Le roi cachait avec soin cette difformité sous un grand
t achevé cet immense travail, il réclama vainement son salaire, et le roi , renouvelant sans cesse ses frivoles promesses, d
aient-ils ? — Quels sont ses attributs ? Faune. Faune était un roi des aborigènes qui accueillirent favorablement Év
e telle témérité, précipita cet audacieux dans le Tartare. Phlégyas, roi des Lapithes, ayant mis le feu à un temple d’Apol
èrent sur l’île de Séripho42, où ils furent recueillis par Polydecte, roi de ce pays. Devenu grand, le jeune héros signala
que Prœtus lui avaitécrites ; le héros démontra son innocence, et le roi , après lui avoir donné sa fille en mariage, le re
ans qui la désolaient. C’est ainsi qu’en Égypte il poignarda Busiris, roi de ce pays, qui immolait à ses Dieux tous ceux qu
s dans leur patrie. En quittant la Crète il enleva les deux filles du roi , et, après avoir cruellement abandonné sur l’île
riomphe, le jeune héros oublia les recommandations paternelles, et le roi , voyant du haut d’un rocher le vaisseau qui reven
événement a fait donner le nom de mer Egée 56. Bien qu’il fût devenu roi par la mort de son père, Thésée accomplit encore
mment causa-t-il involontairement la mort de son père Égée ? — Devenu roi , se livra-t-il encore à des entreprises dangereus
rère Absyrte et dispersa ses membres le long des chemins, afin que le roi , s’arrêtant pour les recueillir, ne pût atteindre
vait promise au vainqueur du monstre, c’est-à-dire qu’il fut proclamé roi du pays, et obtint la main de Jocaste, la veuve d
ient que lorsqu’on aurait découvert et puni le meurtrier de Laïus. Le roi lui-même se livra aussitôt aux plus actives reche
Devenu grand, il vint à la cour d’Œnomaüs, roi d’Élide et de Pise. Ce roi avait une fille nommée Hippodamie, et comme il ne
ier les roues du char de son maître ; par suite de cette trahison, le roi fut renversé au milieu de la carrière. Il mourut
la conquête de la Toison d’or, tua le monstre, et délivra la fille du roi . Mais Laomédon l’ayant frustré de la récompense q
récompense qu’il lui avait promise, Hercule saccagea la ville, tua le roi et emmena en esclavage son fils Priam. Ce jeune p
Iphigénie. Élu généralissime de l’armée grecque, il prit le titre de roi des rois, et mit une grande activité dans les pré
ie. Élu généralissime de l’armée grecque, il prit le titre de roi des rois , et mit une grande activité dans les préparatifs
caché sous le déguisement d’un marchand, et alla offrir aux filles du roi des bijoux et des parures, au milieu desquelles i
inerve qui protégeait Troie ; ce fut encore lui qui empêcha Rhésus74, roi de Thrace, de secourir Priam ; lui qui amena au c
els il échappa seul de tous ses compagnons, il dut à la générosité du roi des Phéaciens de revoir enfin son île d’Ithaque.
un carnage terrible, croyant frapper Ulysse, Agamemnon et les autres rois . Revenu à lui et voyant les actes de folie auxque
dresse et sa vigueur sur tous ses concurrents et même sur les fils du roi . Hector, furieux de se voir vaincu par un simple
e sa fille Lavinie. Mais cette princesse était déjà fiancée à Turnus, roi des Rutules, qui prit les armes pour faire valoir
avec faveur par les Grecs, qui se les approprièrent en mettant leurs rois et leurs héros au nombre des Dieux, en leur éleva
t sculptées, et qui avaient été données au temple par cent vingt-sept rois différents. Selon Xénophon, la statue de la Déess
endre les recueils des vers sibyllins, qui formaient neuf livres ; le roi ne lui ayant pas accordé la somme qu’elle demanda
taient. Comme Tarquin hésitait, elle en détruisit trois autres, et le roi s’empressa de sauver le reste en donnant les troi
tres de long. Ces monuments étaient destinés à servir de tombeaux aux rois d’Égypte. Le labyrinthe d’Égypte 92, construit à
s sous terre ; ces constructions étaient destinées à la sépulture des rois , et servaient encore d’habitation aux crocodiles
a Lune. La fable du dieu Mars est composée de l’histoire de plusieurs rois conquérants, dont le plus célèbre est Nemrod. Vul
se. Le Dieu Terme dut sa création à la sagesse de Numa Pompilius ; ce roi législateur, qui feignait d’écrire ses lois sous
s secrets des cieux. Des empires divers Clio chantant la gloire, Des rois , des conquérants illustre la mémoire. Calliope,
le et les murailles de la citadelle. La porte d’Argos par laquelle le roi des rois sortit lors de son départ pour Troie, ex
s murailles de la citadelle. La porte d’Argos par laquelle le roi des rois sortit lors de son départ pour Troie, existe enco
ontenaient des bijoux, des figurines et des médailles de villes ou de rois grecs. 73. Diomède, roi d’Étolie, fut un des pl
9 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
assé et l’autre vers l’avenir ; et Numa Pompilius, le second de leurs rois , lui éleva un temple dont les portes ne se fermai
e Saturne auprès de Janus s’explique aussi facilement. La sagesse des rois consiste à connaître le temps, à le bien prendre
moitié femme et moitié serpent. Mercure et Pan le délivrèrent, et le roi des dieux poursuivit Typhon, le foudroya et le pr
e des nymphes de la mer, avertie du danger, n’eût amené au secours du roi des dieux le terrible Briarée, géant aux cent bra
t remplacée dans ses fonctions d’échanson par Ganymède, fils de Tros, roi des Troyens, jeune homme d’une grande beauté, que
le maître des dieux ; il remplissait au ciel le rôle que les fous des rois ont joué à la cour des princes de l’Europe au moy
contrée le reconnurent à la majesté de son visage ; mais Lycaon, leur roi , prince impie et cruel, doutant de la divinité du
rait voulu être la seule ; mais Jupiter, usant de son privilége comme roi des dieux et des hommes, prit pour femmes plusieu
vait outragée. Jupiter la ramena par un stratagème que lui suggéra un roi béotien nommé Cithéron ; il feignit qu’il allait
s l’Olympe. Cependant la paix ne fut jamais sincère dans le ménage du roi des dieux. Comptons maintenant les principales vi
métamorphosées en génisses furieuses. Le berger Pâris, fils de Priam, roi des Troyens, fut persécuté pendant toute sa vie,
n a dit que Jupiter et Junon faisaient mauvais ménage. Comme femme du roi des dieux, elle était la protectrice des royaumes
ravailler de ses mains pour vivre, il offrit ses services à Laomédon, roi des Troyens, pour rebâtir les murailles de Troie 
t-il du satyre Marsyas ? — Apollon ne fut-il pas trompé par Laomédon, roi des Troyens ? — Quelles furent les autres aventur
de la mer de Sicile qu’on appelait Vulcanies, et qui prirent de leur roi le nom d’Éolies. Jupiter l’avait établi gardien d
eil. Elle eut pour époux Tithon, chasseur renommé, et frère de Priam, roi des Troyens. Tithon, qui avait reçu le don d’immo
culte et ses images. Pluton, que les Grecs nomment Adès, était le roi des Enfers. Frère de Jupiter et de Neptune, il eu
is le nom de Dis et celui d’Orcus. Questionnaire. Quel était le roi des Enfers ? — Quelle était la femme de Pluton ?
Minos, Éaque et Rhadamanthe. Les juges des Enfers avaient été des rois de la terre renommés par leur sagesse. Minos, fil
s, fils de Jupiter et d’Europe, fut le législateur et un des premiers rois de l’île de Crète. La sagesse de son gouvernement
phe, fils d’Éole et d’Énarète, fonda Corinthe, dont il fut le premier roi . Il devint célèbre par ses ruses, sa perfidie et
se retirent, et sa main essaye en vain de les saisir. C’est Tantale, roi lydien jadis puissant sur la terre. Les dieux éta
il fit épouser à Thésée, son compagnon dans cette expédition. Géryon, roi de l’île d’Érithie ou Gadès (Cadix), monstre à tr
sa fille à celui qui pourrait le vaincre dans un combat singulier. Le roi vaincu par Hercule refusait de tenir sa promesse 
? § 5. Thésée. Thésée naquit à Trézène ; il était fils d’Égée, roi des Athéniens, et d’Éthra, fille du roi de Trézèn
otaure. Thésée, après sa victoire, emmena avec lui les deux filles du roi , Ariane et Phèdre ; il abandonna la première dans
s lois sages et populaires. Après s’être lié d’amitié avec Pirithoüs, roi des Lapithes, il reprit avec ce prince sa vie ave
Athéniens mit le comble à ses disgrâces ; il se réfugia chez Lycomède roi de Scyros, qui le fit précipiter du haut d’un roc
a ces dures conditions, et les remplit avec l’aide de Médée, fille du roi et magicienne puissante, qu’il promit d’épouser e
x deux Ajax, l’un fils de Télamon, et l’autre d’Oïlée, et à Idoménée, roi des Crétois. Enfin, touché de la disgrâce des Gre
ouvrage d’Hermès, et c’est de lui que relèvent les prêtres, comme les rois se rattachent à Osiris. Après la conquête de l’Ég
e vitesse ; enfin, Forsate, le conciliateur des disputes, le juge des rois . Parmi les grandes déesses on distingue Frigga, f
10 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
ns la mer, des pêcheurs le recueillirent et le portèrent à Polydecte, roi de l’île de Sériphe, l’une des Cyclades. Le roi l
ortèrent à Polydecte, roi de l’île de Sériphe, l’une des Cyclades. Le roi le reçut avec humanité, prit soin de son éducatio
et que l’un et l’autre trouvèrent un azile à la Cour de Polydecte. Le Roi devint amoureux de Danaé qui résista toujours à u
s si fréquemment employés dans ce temps, par les mauvais pères et les Rois jaloux. Il le chargea d’entreprises extraordinair
fille Andromède. Dans ces désastres qui se renouveloient souvent, les Rois n’hésitoient jamais à sacrifier les personnes les
e des Dieux qui n’ont pas fait l’homme ? Œdipe étoit fils de Layus3, roi de Thèbes, et de Jocaste, fille de Ménécée et sœu
le portèrent à la Reine Péribé, épouse de Polybe, Roi de Corinthe. Le Roi qui n’a voit point d’enfans, non-seulement l’adop
nstant des tempêtes terribles. Thésée. Egée, fils de Pandion roi d’Athènes, épousa Ethra, fille du sage Pithée ; m
leurs filles et les déshonora. Pour avoir enlevé la fille d’Aidonée, Roi des Molosses, il fut long-temps retenu en prison
a ; les sujets de Thésée se révoltèrent, il se réfugia chez Lycomède, Roi de l’île de Scyros, qui, gagné par ses ennemis, l
en trahison, du haut d’un rocher dans la mer. Voici la succession des Rois fabuleux d’Athènes, et la généalogie de Thésée :
qu’il défit par le moyen de la perfide Cométho fille de Ptérélas leur roi . Cette fille dénaturée, passionément éprise d’Amp
rcule avoit un double mérite en obéissant avec tant d’exactitude à un Roi si exigeant et si poltron. Mais c’étoit obéir aux
envoyé par Neptune contre Minos. Diomède, fils de Mars et de Cyrène, Roi des Bistoniens, peuple guerrier de la Thrace, éto
don, il eut encore part à l’expédition des Argonautes. Ce fut chez ce Roi qu’Apollon, réduit à garder les troupeaux se reti
ea les états de Laomédon ; les peuples se révoltèrent et forcèrent le Roi d’exposer au monstre sa fille Hésione ; Hercule d
tre détrôné par Idas, fils d’Apharée, Télèphe vainquit les ennemis du Roi et l’affermit sur le trône, Teuthras reconnoissan
lui refusa, Hercule subjugua l’Œchalie, enleva la Princesse et tua le Roi . Au retour de cette expédition, il chargea Lychas
Déesse sombre et terrible, digne de présider à ces noires amours. Le roi prescrivit à Jason de mettre sous le joug deux ta
oile, se doutant bien qu’il seroit poursuivi : il le fut en effet. Le roi fit mettre à la hâte plusieurs vaisseaux en état,
t de quelques années il devint amoureux de Glaucé ou Creuse, fille du Roi , et il répudia Médée pour l’épouser. Médée dissim
ur, celle-ci fit adroitement suspendre le sacrifice, en persuadant au Roi que ces étrangers étant coupables d’un meurtre, o
use de Calypso. Pendant ce temps, Minerve, sous les traits de Mentor, Roi des Taphiens, conseille à Télémaque, fils d’Ulyss
ent et égorgèrent leurs maîtres ; ils convinrent ensuite d’élire pour roi celui d’entre eux, qui, à un certain jour qu’ils
de faire périr et qui vivoit encore, aussitôt ce même Straton fut élu roi . Bellérophon. Étoit fils de Glaucus roi d’
e même Straton fut élu roi. Bellérophon. Étoit fils de Glaucus roi d’Epire ; ayant tué à la chasse, par malheur, son
asse, par malheur, son frère Pirène, il alla se réfugier chez Proclus roi d’Argos, dont la femme, appelée Sthénobée ou Anté
s mains, et traînant derrière elle un cheval attaché par la bride. Le Roi conçut tant d’estime pour une femme si laborieuse
d’après cette description même, il ne s’agit pas de la faveur que les Rois accordent et qui peut supposer quelquefois de l’a
11 (1800) Cours de mythologie pp. -360
humbles toits, Le dos du laboureur paisible, Et tu rides le front des Rois , Dans leur palais inaccessible ! Du haut de la sp
ameux révèrent ma puissance. Patare, qui long-temps fut le séjour des Rois , Et Delphes et Claros reconnoissent mes lois. Je
ondes, Et chacun de tes pas affermit ta grandeur. Le Chêne audacieux, roi des monts solitaires, Tombe sous les assauts de l
s piquans le firent chasser du Ciel. Le mauvais Ménage.     Jadis le Roi des Dieux, soit ennui, soit caprice,         Char
rier d’un vain bronze affronte le tonnerre. Le Gouvé 53. Éole, Roi des Vents. Souverain absolu de ses fougueux
nt de fois triomphant, Le chêne vigoureux crie, éclate et se fend. Ce Roi de la forêt meurt, avec lui sans nombre Expirent
d de Pyrame, Le ver à soie ourdit sa trame, Qui pare les Dieux et les Rois  : Les fraises parfument les bois, L’épine enfante
délectables Au foible, au puissant respectables, Souveraine même des Rois .     Justice, voilà donc ton Temple ! Injustes,
ur saison ; Des lits de fleurs, un antre pour maison ; Les Dieux pour rois , la vertu pour noblesse ; Point d’indigence ; enc
byme, Que retenir ma main sur la moitié du crime ; Et, te faisant mon roi , c’est trop me négliger, Que te laisser sur moi p
moi seule est funeste.     Régne ; de crime en crime, enfin te voilà Roi . Je t’ai défait d’un père, et d’un frère et de mo
s lois, Et de tant de belles journées, Vous crurent le plus vieux des Rois . Alors des rives du Cocyte, A Berlin vous rendant
au hasard dans les régions sombres, Incertains où trouver la cour du Roi des ombres. La ville a mille accès ; mille chemin
un éternel supplice ? Quand son coupable frère, Athamas, que je hais, Roi , père, époux heureux, régne et me brave en paix,
re, le priva de sa liberté ; il fut jeté dans les fers par l’ordre du roi des Molosses dont il avoit tenté d’enlever la fil
arti pour le siége de Troie, il brava l’orgueil d’Agamemnon, chef des rois ligués de la Grèce ; vengea la mort de Patrocle,
votre père : ah ! je suis plus à plaindre ! A quel plus grand effort, Roi s’est-il vu contraindre ! D’un père malheureux, l
oulevant le poids dont elle étoit chargée, Le Héros tend la main à ce Roi malheureux Dont l’âge et l’infortune ont blanchi
Agamemnon, Roi de Mycène et d’Argos. Il fut mis à la tête des Rois Grecs, ligués contre la ville de Troie. La flotte
ils appellent la foudre et la fassent descendre : Qu’il réveille cent rois indignes de ce nom, Qui n’ont osé venger le sang
leur main sacrilège. Pammène, aux derniers cris, aux sanglots de ton Roi , Je crois te voir encore accourir avec moi : J’ar
e ralentit. Ils s’arrêtent, non loin de ces tombeaux antiques, Où des rois ses aïeux sont les froides reliques. Je cours, en
y fut accueilli et aimé de Didon. Mais, après l’avoir vengée d’Iarbe, roi des Gétules, il l’abandonna pour obéir aux Dieux.
 ».     Emporté d’un essor rapide, Prométhée atteint le séjour Où le Roi des saisons préside Aux mois qui composent sa cou
à laquelle il donna son nom. Le père se sauva en Sicile, ou Cocalus, Roi de cette île, craignant la colère de Minos, le fi
oide Scythie : Mais bientôt, fatigué d’un vol audacieux, A tes pieds, Roi des arts, il rendit grace aux Dieux ; Tu reçus le
ublé par le lâche et infidelle Pâris, qui ravit Hélène à Ménélas. Les Rois Grecs irrités de cet enlèvement, marchèrent contr
bourreaux, Insulter aux vaincus, se souiller de carnage, Et les deux Rois jaloux lui disputer de rage. J’ai vu la Reine en
tendre enfant s’élance ; Il tombe, expire aux pieds de la Reine et du Roi . Priam, déjà mourant de douleur et d’effroi, Ne p
Hector, il respecta sa foi, Et jusqu’à mon palais me fit conduire en Roi . En achevant ces mots, Priam, d’un bras débile L
: Tandis qu’à cet exploit sa gauche est occupée, Sa droite au sein du Roi se plonge avec l’épée. Ainsi finit Priam dont l’A
ier, et de ses crins battant ses flancs poudreux : Tel, au palais des Rois , affamé de carnage, Sur des monceaux de morts Pyr
le sang qui vous unit tous deux, N’est plus qu’un titre vain pour ce Roi malheureux, Songez que rien ne peut mieux remplir
palais en cendre. Horace. —  Izoard de Livani 170. Alcinoüs, Roi des Phéaciens. Prince magnifique et généreux
perçois Qu’aucun jouvençeau ne me passe. Aux banquets je suis souvent Roi , Et je fais honneur à ma place. On dit que je foi
a en Afrique avec Anne, sa tendre sœur. Elle s’y fit céder par Iarbe, roi des Gétules, un terrain, sur lequel elle bâtit Ca
Enchanteresse cruelle, voluptueuse et jalouse. Elle empoisonna le Roi des Sarmates son mari, pour jouir seule du trône.
s ! de mes frayeurs l’augure est trop certain. Vingt peuples et vingt Rois ont conjuré ta chûte : A leurs coups réunis, tes
rères. J’ai vu tomber sous lui mon père déchiré ; J’ai vu de ce grand Roi le peuple massacré, Thèbes, sa capitale, aux feux
 !… Non, je ne verrai point tes bras chargés de fers. Qui, toi ! d’un Roi puissant, la fille, toi, ma femme, Toi qui devois
sang d’Alcide. Abandonnerez-vous ce reste précieux Du plus juste des Rois , et du plus grand des Dieux, L’image de l’époux,
aisonnable et juste, A l’Univers soumis fît respecter ses droits, Et, Roi des animaux, leur imposât des lois. Alors, soit q
es forêts où règne un morne effroi, Il aborda des morts l’impitoyable Roi , Et la parque inflexible, et les pâles Furies, Qu
étoient Eurydice ! Eurydice ! Virgile. —  Dellile 198. Cycnus, Roi des Liguriens. Lié de l’amitié la plus tendre
uceurs, errant parmi les bois, Il regarde à ses pieds les favoris des Rois  ; Il lit au front de ceux qu’un vain luxe environ
n point sur sa fortune, Sur ses jeux, sur la pompe et la grandeur des Rois  : Mais sur ce que les champs, les vergers et les
quis, Terres, châteaux sur l’orphelin conquis ; Chez ses amis un vrai Roi de théâtre, Chez les Phrynés agréable et folâtre,
Mais, et les murs bâtis par les sons d’une lyre, Et les sceptres des Rois , et l’hymen d’Amphion, Flattoient moins de ses vœ
lyre qui résonne et parle sous ses doigts. On voit là rassemblés ces Rois couverts de gloire, Dont l’antique Pergame adoroi
ts impraticables, Son seul aspect vous a rendus charmans : Palais des Rois , vos cours ambitieuses Seroient sans elle une aff
vre l’abyme où disparoît la vie, D’un bras de fer couvre le front des Rois , Tient sous ses pieds la Terre assujettie, Et dit
douleur, mais sans inquiétude, Les Etats se heurter pour la cause des Rois .                Tandis que la veuve éplorée, Aux
er, Fortune impérieuse ! Les conseils, les combats, les querelles des Rois , La course des vaisseaux sur la mer orageuse,    
e ! Près de l’autel, son père accablé de douleurs ! A ses côtés vingt Rois , et leur armée en pleurs ! Le couteau saint caché
persécuteurs. Dans Londre, il a formé la secte turbulente, Qui sur un Roi trop foible a mis sa main sanglante. Dans Madrid,
ordre fatal, il recule d’effroi : Dois-je en obéissant déshonorer mon Roi  ? Dit-il : Roi malheureux que la vengeance égare 
recule d’effroi : Dois-je en obéissant déshonorer mon Roi ? Dit-il : Roi malheureux que la vengeance égare ! S’il faut êtr
es de Capoue, Pour rêver sur les bords des marais de Mantoue ; Et les Rois indigens d’Itaque et de Scyros, Préféroient leurs
12 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
des destins égaux ; Et je confonds dans la poussière L’esclave et les rois de la terre, Dont je dévore les tombeaux. » Laur
humbles toits, Le dos du laboureur paisible, Et tu rides le front des rois , Dans leur palais inaccessible ! Du haut de la sp
ondes, Et chacun de tes pas affermit ta grandeur. Le Chène audacieux, roi des monts solitaires, Tombe sous les assauts de l
ts piquans le firent chasser du Ciel. Le mauvais Ménage.    Jadis le Roi des Dieux, soit ennui, soit caprice,       Charge
rrier d’un vain bronze affronte le tonnerre. Le Gouvé 51. Éole, Roi des Vents. Souverain absolu de ses fougueux
nt de fois triomphant, Le chêne vigoureux crie, éclate et se fend. Ce Roi de la forêt meurt, avec lui sans nombre Expirent
eût reçu le culte de Vesta. C’est toi qui l’établis, pacifique Numa ; Roi plein, envers les Dieux, de respect et de crainte
d de Pyrame, Le ver à soie ourdit sa trame, Qui pare les Dieux et les Rois  : Les fraises parfument les bois, L’épine enfante
délectables Au faible, au puissant respectables, Souveraine même des rois .    Justice, voilà donc ton temple ! Injustes, c
ur saison ; Des lits de fleurs, un antre pour maison ; Les Dieux pour rois , la vertu pour noblesse ; Point d’indigence ; enc
e enseveli dans l’ombre : Le jour, il veille assis sur les palais des rois  ; Et, de là répandant son effrayante voix, A l’un
erre, De Français égorgés couvrait au loin la terre ; Et le sujet des rois , l’esclave des tyrans, De leur sang répandu confo
bîme, Que retenir ma main sur la moitié du crime ; Et, te faisant mon roi , c’est trop me négliger, Que te laisser sur moi p
oi seule est funeste. »    Règne ; de crime en crime, enfin te voilà roi . Je t’ai défait d’un père, et d’un frère et de mo
s lois, Et de tant de belles journées, Vous crurent le plus vieux des rois . Alors des rives du Cocyte, A Berlin vous rendant
un éternel supplice ! Quand son coupable frère, Athamas que je hais, Roi , père, époux heureux, règne et me brave en paix !
re, le priva de sa liberté ; il fut jeté dans les fers par l’ordre du roi des Molosses dont il avait tenté d’enlever la fil
ne conquérant, aidé des enchantemens de la magicienne Médée, fille du Roi de la contrée, et à laquelle il s’était attaché,
arti pour le siége de Troie, il brava l’orgueil d’Agamemnon, chef des rois ligués de la Grèce ; vengea la mort de Patrocle,
ses douleurs. Il se détourne, il voit, les yeux baignés de pleurs, Ce roi jadis heureux, ce vieillard vénérable, Que le far
Agamemnon, Roi de Mycène et d’Argos. Il fut mis à la tête des Rois Grecs, ligués contre la ville de Troie. La flotte
ils appellent la foudre et la fassent descendre : Qu’il réveille cent rois indignes de ce nom, Qui n’ont osé venger le sang
leur main sacrilége. Pammène, aux derniers cris, aux sanglots de ton roi , Je crois te voir encore accourir avec moi : J’ar
e ralentit. Ils s’arrêtent, non loin de ces tombeaux antiques, Où des rois ses aïeux sont les froides reliques. Je cours, en
y fut accueilli et aimé de Didon. Mais, après l’avoir vengée d’Iarbe, roi des Gétules, il l’abandonna pour obéir aux Dieux.
é. »    Emporté d’un essor rapide, Prométhée atteint le séjour Où le roi des saisons préside Aux mois qui composent sa cou
à laquelle il donna son nom. Le père se sauva en Sicile, ou Cocalus, Roi de cette île, craignant la colère de Minos, le fi
oide Scythie : Mais bientôt, fatigué d’un vol audacieux, A tes pieds, roi des arts, il rendit grace aux Dieux ; Tu reçus le
oublé par le lâche et infidèle Pâris, qui ravit Hélène à Ménélas. Les Rois Grecs irrités de cet enlèvement marchèrent contre
ans, De ces cinquante fils les couches nuptiales, Ces dépouilles des rois , ces pompes triomphales, Trésors, enfans, grandeu
rhus fuyant la main cruelle, A travers mille dards un dernier fils du roi S’échappe, et du palais dépeuplé par l’effroi Tra
ier, et de ses crins battant ses flancs poudreux : Tel, au palais des rois , affamé de carnage, Sur des monceaux de morts Pyr
le sang qui vous unit tous deux, N’est plus qu’un titre vain pour ce roi malheureux, Songez que rien ne peut mieux remplir
ur palais en cendre. Horace. —  Izoard de Livani 170. Alcinoüs, Roi des Phéaciens. Prince magnifique et généreux
aperçoi Qu’aucun jouvenceau ne me passe. Aux banquets je suis souvent roi , Et je fais honneur à ma place. On dit que je fai
a en Afrique avec Anne, sa tendre sœur. Elle s’y fit céder par Iarbe, Roi des Gétules, un terrain, sur lequel elle bâtit Ca
! Pour toi, de mes sujets j’ai soulevé la haine ; J’ai bravé tous les rois de la rive Africaine ; J’ai perdu la pudeur, ce t
Enchanteresse cruelle, voluptueuse et jalouse. Elle empoisonna le Roi des Sarmates son mari, pour jouir seule du trône.
s ! de mes frayeurs l’augure est trop certain. Vingt peuples et vingt rois ont conjuré ta chûte : A leurs coups réunis, tes
rères. J’ai vu tomber sous lui mon père déchiré ; J’ai vu de ce grand Roi le peuple massacré, Thèbes, sa capitale, aux feux
 !… Non, je ne verrai point tes bras chargés de fers. Qui, toi ! d’un roi puissant la fille, toi, ma femme, Toi qui devais
sang d’Alcide. Abandonnerez-vous ce reste précieux Du plus juste des rois , et du plus grand des Dieux, L’image de l’époux,
aisonnable et juste, A l’Univers soumis fît respecter ses droits, Et, roi des animaux, leur imposât des lois. Alors, soit q
es forêts où règne un morne effroi, Il aborda des morts l’impitoyable Roi , Et la Parque inflexible, et les pâles Furies, Qu
pirs de sa bouche plaintive. Ovide. —  Desaintange 193. Cycnus, Roi des Liguriens. Lié de l’amitié la plus tendre
ils d’une Néréide, on vante ta naissance ; Je dois la mienne au Dieu, roi des fleuves divers Qui commande à Nérée, et règne
uceurs, errant parmi les bois, Il regarde à ses pieds les favoris des Rois  ; Il lit au front de ceux qu’un vain luxe environ
n point sur sa fortune, Sur ses jeux, sur la pompe et la grandeur des Rois  : Mais sur ce que les champs, les vergers et les
quis, Terres, châteaux sur l’orphelin conquis ; Chez ses amis un vrai roi de théâtre, Chez les Phrynés agréable et folâtre,
re : Mais ni les murs bâtis aux accords de la lyre, Ni le sceptre des rois , ni l’hymen d’Amphion, N’enflaient, ô Niobé ! ta
ts impraticables, Son seul aspect vous a rendus charmans : Palais des Rois , vos cours ambitieuses Seraient sans elle une aff
vre l’abîme où disparaît la vie, D’un bras de fer couvre le front des Rois , Tient sous ses pieds la Terre assujettie, Et dit
douleur, mais sans inquiétude, Les Etats se heurter pour la cause des Rois .            Tandis que la veuve éplorée, Aux pied
er, Fortune impérieuse ! Les conseils, les combats, les querelles des Rois , La course des vaisseaux sur la mer orageuse,    
e ! Près de l’autel, son père accablé de douleurs ! A ses côtés vingt Rois , et leur armée en pleurs ! Le couteau saint caché
ordre fatal, il recule d’effroi : Dois-je en obéissant déshonorer mon Roi  ? Dit-il : Roi malheureux que la vengeance égare 
recule d’effroi : Dois-je en obéissant déshonorer mon Roi ? Dit-il : Roi malheureux que la vengeance égare ! S’il faut êtr
es de Capoue, Pour rêver sur les bords des marais de Mantoue ; Et les Rois indigens d’Itaque et de Scyros, Préféraient leurs
13 (1845) Mythologie de la jeunesse
t Rhadamanthe, juges incorruptibles, qui avaient été sur la terre des rois renommés par leur sagesse et leur justice [Fig. 4
outes et aux chemins. [Fig. 75] Faune. Faune fils de Picus, roi des Latins, et petit-fils de Saturne, fut mis, ap
a vie [Fig. 89]. La Liberté. Les Romains, après l’expulsion des rois , élevèrent des temples et des autels à la Liberté
roi d’Élide, en détournant le cours de l’Alphée. Il terrassa Géryon, roi de l’île de Gadès (Cadix), qui nourrissait ses bœ
en mariage, et la lui avait ensuite refusée. Il prit la ville, tua le roi et emmena la jeune Iole, qui devait, peu de jours
pêcheur recueillit la mère et l’enfant, et les conduisit à Polydecte, roi de cette île. Polydecte les reçut avec humanité,
Arrivé en Colchide, Jason parvint à se faire aimer de Médée, fille du roi et habile magicienne ; avec son secours, il endor
ycie, Iobate son beau-père, avec une lettre par laquelle il priait ce roi de tirer vengeance d’un homme qui avait voulu att
vait apostés pour l’assassiner. Un bonheur si constant convainquit le roi de l’innocence de Bellérophon ; forcé de reconnaî
de Capanée ; Ajax, roi de Salamine, fils de Télamon ; un autre Ajax, roi des Locriens, fils d’Oïlée ; Idoménée, roi de l’î
e Télamon ; un autre Ajax, roi des Locriens, fils d’Oïlée ; Idoménée, roi de l’île de Crète, et le brave Mérion, qui l’avai
ans les îles Éoliennes, où il séjourna un mois. Là, il apprit d’Éole, roi des Vents, la route d’Ithaque, et reçut de lui de
où sa sœur était renfermée, délivre Philomèle et l’amène au palais du roi . Les deux princesses forment alors un abominable
ricier, promit à Midas de lui accorder tout ce qu’il souhaiterait. Le roi lui demanda le pouvoir de convertir en or tout ce
dévorer ses propres membres47. Dryope. Dryope, fille d’Eurytus roi d’Œchalie, se promenait un jour près d’un lac bor
ue son ami Pylade. Ils s’enfuirent tous trois, après avoir tué Thoas, roi du pays, en emportant la statue de Diane. 26. Ny
s fréquentes auxquelles la souveraineté donnait lieu entre les petits rois de l’Argolide. 31. Les Hespérides étaient filles
14 (1823) Mythologie des dames
assure que Junon a quelquefois lancé la foudre contre ses ennemis. Le roi des dieux s’ennuyait quelquefois à la cour célest
barque, qui alla heureusement aborder dans l’île de Sériphe, dont le roi secourut Danaé et fit élever son fils. Nous étudi
ont la main flamboyante étincelle d’éclairs, Oubliant ce haut rang de roi de l’univers, D’un taureau qui mugit emprunte la
ouit des embrassements de son père, qui lui fit connaître la suite de rois et de héros qui devaient descendre de lui, et fai
roi de Mémée, à Ériphyle, femme d’Amphiaraüs, à Glacus, fils de Minos roi de Crète, et à Tyndare, roi de Sparte. Esculape a
es bergers, avec leurs flûtes, se virent bientôt plus heureux que les rois  ; et leurs cabanes attiraient en foule les plaisi
ndroit attire Le berger, le chasseur, la nymphe, et le satyre. Midas, roi du pays, le premier y parut : Pan, d’un buisson v
étaient ces paroles : Midas, le roi Midas, a des oreilles d’âne. Ce roi , célèbre par son mauvais goût et par ses oreilles
es forêts où règne un morne effroi, Il aborda des morts l’impitoyable Roi , Et la Parque inflexible, et les pâles Furies Que
nde ? Ame de l’univers, source immense de feu, Ah ! sois toujours son roi , si tu n’es plus son dieu ! Plaisirs, talents, ve
que toujours en guerre, étaient fiers de compter parmi leurs premiers rois un fils du dieu des combats ; ils élevèrent à ce
ivant un taureau des plus fougueux qui était en Crète ; de dérober au roi des Bistons ses juments qui vivaient de chair hum
piter ; Thésée qui avait tenté d’enlever Proserpine, femme de Pluton, roi des Enfers ; le téméraire Ixion, qui avait osé se
Mais arrêtons-nous un moment pour connaître la demeure et la cour du roi des Enfers. Déjà nous sommes loin de l’horrible T
e étaient fils de Jupiter et d’Europe, fille d’Agénor. Le premier fut roi de l’île de Crète, et le second d’une des îles de
ans les vastes souterrains de cette montagne enflammée que Polyphème, roi des Cyclopes et Cyclope lui-même, faisait sa deme
 A ce grand œil du monde, unique dans les cieux. « Je dois le jour au roi de ton empire humide ; « Il sera ton beau-père, ô
u’y faisait Éole, dieu des Vents, un des descendants de Prométhée. Ce roi puissant tenait ses turbulents sujets enfermés da
ligée de fuir la Colchide, où elle avait fait mourir par le poison le roi son époux, Apollon la transporta sur les côtes d’
15 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
tre un des plus anciens peuples de la terre. Nemrod en fut le premier roi . Il est regardé comme l’auteur du dessein insensé
et Bérose avait promis de révéler ces mystères dans les histoires des rois  ; mais il ne nous en est rien resté. Ce poisson s
emiers règnes un nombre infini d’années, car chacun de leurs premiers rois avait vécu plusieurs sares. Mais l’Histoire Unive
on origine. Les Chaldéens rapportent l’histoire de leurs dix premiers rois , dont le dernier fut Xixutrus. Ils racontent que
ère primitif : il n’y a qu’une seule puissance, un seul dieu, un seul roi universel de tout… » Telles étaient les idées su
ser pour anciens, ils se plaisaient à citer des dieux, des héros, des rois , qui n’avaient jamais existé ; et, lorsqu’ils par
tous les moyens pour remonter sur son trône, il le chassa du ciel. Le roi détrôné vint se réfugier en Italie, auprès de Jan
du ciel. Le roi détrôné vint se réfugier en Italie, auprès de Janus, roi du pays, qui l’accueillit favorablement. La contr
ucun titre, il est vrai, mais qui jouissait de toute la puissance des rois  ; et, lorsque dans les annales du monde on veut c
’élevait jusqu’à trois cents. Dans les premiers temps, la plupart des rois prenaient ce nom auguste. Cet usage ne cessa qu’a
maître d’un vaste empire, épousa Rhéa sa sœur, et prit avec le nom de roi la couronne et le diadème. Uranus, avant de mouri
unir. Il prit la forme d’un aigle pour enlever Ganymède fils de Tros, roi des Troyens, qu’il chargea du soin de verser le n
imus : le très-bon, le très-grand. Homère lui donne le nom de Jupiter roi . Virgile l’appelle le tout-puissant . Aux ides d
itans qui se rendirent redoutables à Jupiter. Forcé de fuir devant ce roi victorieux, il se retira dans la Scythie, et se c
plus belle la pomme jetée par la Discorde. Pâris était fils de Priam, roi des Troyens. Ce titre devint la cause des persécu
du fleuve Amphrise. Dans ces temps reculés, les noms de pasteur et de roi étaient souvent synonymes. La fable peignit Apoll
s acquirent de si grandes richesses, qu’on les comparait à celles des rois de Perse. Nous ne terminerons point cet ouvrage s
fils d’Echion et d’Agavé, voulut empêcher les Thébains, dont il était roi , de célébrer les fêtes de Bacchus ; le dieu inspi
ion pour guide ; ils ne consultèrent que leurs passions ou celles des rois et des grands personnages qu’ils voulaient flatte
ndu le premier hommage, et l’attribuaient à Lacédémon, leur quatrième roi . Les villes de Périnthe, de Bysance, de Delphes,
e l’art de forger les métaux. Le second Vulcain était un des premiers rois des Égyptiens., ou plutôt leur première divinité.
ir des sacrifices. Les descendans d’Éole, après avoir donné plusieurs rois à la Grèce, envoyèrent des colonies dans l’Asie M
et venait souvent méditer ou se reposer auprès d’une fontaine. Midas, roi du pays, connaissant ses grands talens, désirait
la débarrasser de son voile, et lui rendre sa simplicité. Midas était roi du pays où coule le Pactole. Devenu possesseur du
permettait à tout le monde d’élever des plaintes contre le mort. Les rois n’étaient point exempts de cette coutume ; et, si
ie sous la langue du mort. Cette pièce s’appelait naulage ; celle des rois était ordinairement d’or. Il fallait aussi avoir
qui suivaient son parti, et vint du côté d’Argos. Il attaqua Gélanor, roi de ce pays, et le détrôna. Il eut diverses femmes
16 (1850) Précis élémentaire de mythologie
exilé du ciel où l’éternité seule réside, et on l’a fait l’allié d’un roi auquel il apprend la sagesse pour signifier que l
ons réjouit le théâtre. La grave Melpomène en la scène fait voir Des rois qui de la mort éprouvent le pouvoir. L’agile Terp
ne branche d’arbre chargée des fruits les plus appétissants. Quand ce roi criminel essayait de boire, l’eau se retirait à m
de ses mœurs et la pureté de sa vie. Il méditait, loin de la cour du roi son père, dans les forêts du mont Ida, quand Jupi
de la Justice et sœur de la Tempérance. Son symbole était le lion, le roi des animaux. Elle est représentée en amazone. D’u
ais œil le jeune héros et résolut sa perte. Elle le rendit suspect au roi et décida ce monarque à l’empoisonner. Egée était
et de ses exploits. 7. Il s’unit d’une étroite amitié avec Pirithoüs, roi des Lapithes en Thessalie, et combattit avec lui
e ralentit : Ils s’arrêtent, non loin de ces tombeaux antiques Où des rois ses aïeux sont les froides reliques. Je cours en
loin des affaires une vie calme et tranquille. Lycomède, qui en était roi , fut jaloux de la réputation de son hôte et le je
e des Cyclades, où ils furent admirablement accueillis par Polydecte, roi de cette île. Ce prince prit soin tout spécialeme
es forêts où règne un morne effroi. Il aborda des morts l’impitoyable roi . A ses chants accouraient du fond des noirs royau
on sujet. En achevant ces mots, d’une démarche fière Il s’approche du roi couché sur la poussière ; Et pour le désarmer il
i couché sur la poussière ; Et pour le désarmer il avance le bras. Le roi , qui semble mort, observe tous ses pas : Prêt à r
discorde entre les Grecs et les Asiatiques. Tantale, le bisaïeul des rois d’Argos, avait retenu dans les fers Ganymède, un
détruit la ville de Troie et fait mourir Laomédon, qui en était alors roi . Pâris, fils de Priam, le successeur de ces princ
ls enchantements Circé opéra sur les compagnons d’Ulysse ? Comment ce roi rentra-t-il dans ses Etats ? Que faisait Pénélope
e sixième, en brahmane armé d’une hache, pour châtier l’insolence des rois de la race du Soleil ; une septième, en la person
ux affaires publiques, siégeaient dans les tribunaux et le conseil du roi , faisaient l’éducation des princes, et s’ils ne r
e. Daniel avait convaincu d’imposture les prêtres des idoles ; et les rois de Perse, touchés par sa parole et ses miracles,
ivinités bienfaisantes il opposait Typhon, le principe malfaisant, le roi de la mort et de la destruction, et Nephtys, sa s
ntact léger, prédisaient la mort d’un grand personnage. Un chef ou un roi ne perdait jamais la vie sans que les harpes des
use Frigga ou Fréa, la reine des déesses du Nord, comme Odin était le roi des dieux. Les Scandinaves appelaient Fréa la ter
. du Pélop., 23, 76, 139. Arc-en-ciel, métam. d’Iris, 29. Archonte, roi , 161. Aréopage, 48. Arès, un des noms de Mars,
mont, aux frontières de la Thessalie, 36. Pirates, 105. Pirithoüs, roi des Lapithes, 121. Pittée et Pitthèe, roi de Tré
17 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
. D. Que devint alors Saturne ? R. Il se réfugia en Italie, où Janus, roi du pays Latin, le reçut avec bonté. Cette contrée
s services de Janus, il lui donna toutes les qualités qui font un bon Roi . Il enseigna l’agriculture aux hommes ; il leur a
rées vives. Elles doivent leur institution à Numa Pompilius, deuxième Roi des Romains. D. Comment représentoit-on Cybèle ?
le fit si maladroitement, qu’il pensa embraser le ciel et la terre. Roi des Dieux, armez-vous ; il n’est plus temps d’att
ons réjouit le théâtre. La grave Melpomène en la scène fait voir Des Rois qui de la mort éprouvent le pouvoir. L’agile Ter
irs,    Brise, en passant, les sceptres, les couronnes,    Frappe les Rois écrasés sous leurs trônes,    Lance la foudre, éb
l’un de l’autre ils cherchent un passage ; ………………………………………………………… Le Roi , frappé d’un coup qui lui perce le flanc, Lui cèd
ns la Tauride. Pilade, son fidèle ami, voulut l’y accompagner. Thoas, roi de cette contrée, les fit arrêter. Oreste étoit l
il tue dans un combat singulier. Il épouse Lavinie, fille de Latinus, roi du pays Latin, fonde l’empire Romain ; et après s
r se venger du Loup qui lui avoit rendu ce mauvais service, il dit au roi des animaux : Sire, j’ai consulté plusieurs médec
re majesté de la peau toute fumante d’un Loup écorché vif :       Le roi goûta cet avis-là :       On écorche, on taille,
ept colonnes, qui étoient des monumens de la magnificence d’autant de rois . Des tableaux excellens, de superbes statues déco
pte. D. Par qui furent élevées les Pyramides d’Égypte ? R. Par les Rois d’Égypte. D. Combien compte-t-on de ces superbes
eilles de l’art ? R. Elles étoient destinées à recevoir les corps des Rois et des Reines après leur mort. Les Pyramides étoi
18 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
onnoissance des peuples en ont fait des Dieux. Tous les premiers bons rois ont été divinisés chez toutes les nations privées
s les monarchies bien établies, elle est alors parfaite sous les bons rois . Personne n’y craint une révolution, parce que nu
irement enfantées par une première fable. Après avoir déïfié un grand roi , on imagina de lui donner des attributs faits pou
parlé de Xercès, quels chefs vivent encore ? quels sont ceux de ces rois qu’il nous faut pleurer ? Le courrier répondant à
orsqu’il descendit aux enfers. Pirithoüs, fils du téméraire Ixion, et roi des Lapithes, ne fut pas moins audacieux que son
utes les faces des osselets étoient différentes, ce coup déclaroit le roi du festin. C’est à ce sujet qu’ Horace dit, voyo
t à ce sujet qu’ Horace dit, voyons au sort celui que Vénus établira roi de la table . Héro étoit une prêtresse de Vénus ;
dero, qui fut une cruelle marâtre pour la belle Tyro. Salmonée fut un roi très-impie, Jupiter le foudroya. Tyro eut deux en
oade, et se joignit à Neptune pour bâtir les murs de Troie. Laomédon, roi de cette contrée, leur refusa le salaire qu’il le
jouer de la lyre, que les Scythes, séduits par ses talens, le firent roi . Il fut le troisième qui remporta le prix du chan
ter. Elle exerçoit ainsi au loin une puissance supérieure à celle des rois . Les plus illustres guerriers n’entreprenoient ri
19 (1866) Dictionnaire de mythologie
’imagination des courtisans ? Déjà la superstition, en attribuant aux rois le don de guérir les écrouelles, les avait pour a
Feuillade, en entretenant un luminaire au pied de la statue du grand roi , avaient parodié l’apothéose. Déjà Bossuet, qui p
Déjà Bossuet, qui pourtant n’était pas un païen, s’était écrié : « O rois , vous êtes des dieux ! » Il était temps que la R
’écurie. Aussi l’a-t-on toujours interprété dans un sens figuré. — Un roi qui destitue des ministres corrompus ou des juges
ion. A peine eut-il achevé ce grand ouvrage qu’il perdit la faveur du roi et fut condamné à passer le reste de sa vie dans
oile. Il ne suffit pas d’être le chef d’une principauté ni même le roi d’un grand État pour avoir le droit de parler de
un grand isolement. Il eut recours à Jupiter, qui, prenant pitié d’un roi sans sujets, métamorphosa en hommes les fourmis d
ence compare quelquefois la flatterie à un nectar dont s’enivrent les rois . Mais la comparaison est bien passée. Nous n’entr
utent avec une pieuse déférence. Il intervient dans les querelles des rois en arbitre et en conciliateur, et c’est plaisir d
u fleuve. Le même Midas (la Fable est pleine de légendes sur ce brave roi phrygien), le même Midas prouva, dans une autre o
logie de Sophocle consacrée aux malheurs de la maison d’Œdipe : Œdipe Roi , révélation de la fatale destinée du prince ; Œdi
20 (1895) The youth’s dictionary of mythology for boys and girls
lesque of the story of their loves, in “Midsummer Night’s Dream.” Py′ rois [Pyrois] (luminous). One of the four chariot hors
21 (1897) Mitologia classica illustrata
ni profonde dell’ Ades l’ ombra di Tiresia e molte altre di eroi ed e roi ne, fra cui anche sua madre Anticlea che gli dà d
22 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
e fratelli, che restarono entrambi vittime della loro inimicizia. Le roi quì semble mort, observe tous ses pas ; Il le coi
Dans ces paisibles lieux exerçant son empire, Annonçoient le repos du roi de l’univers. DEMOUSTIER — Lettre IV a Émilie sur
/ 22