s lui consacrer un article préliminaire, dans la forme de ceux qui le
suivront
. Homère doit figurer à la tête de ses Dieux, de s
Il semble aussi vieux que le monde ; La Mort en désastre féconde, Le
suit
d’un pas ensanglanté ; Tout tombe sous sa faux cr
de fleuves fameux y terminent leur course ! Tantôt avec effroi vous y
suivez
de l’œil Ces monstres qui de loin semblent un vas
e, Ses courans, ses reflux, ces grands évènemens Qui de l’axe incliné
suivent
les mouvemens ; Tous ces volcans éteints, qui du
d’amour, il vole à ses amantes. Quand je ne le vois plus, mon œil le
suit
encor. Le même 21. Pluton, Frère de Jupiter
comme Faune et Sylvain, avec lesquels on le confond quelquefois. Pan
suivit
Bacchus à la conquête des Indes, et partagea sa g
Vient de fixer ta destinée. Sans contrainte aujourd’hui tu peux
suivre
la loi Du tendre penchant qui t’inspire
monarque des Dieux, Plutus déclare un jour, Que parmi les mortels, il
suivra
sans retour, Et la sagesse, et la scienc
temple. Romains, ne craignez rien ; je quitterai mon temple : Je vous
suivrai
. Voyez se plier en rampant Autour de mon bâton ce
e port. Arrivé sur le môle, il s’arrête ; et d’abord Du peuple qui le
suit
semble bénir la troupe, S’élance du rivage, et mo
de mornes pavots, Des fers de sa prison libre et débarrassée, Mon ame
suit
encor le vol de la pensée. Sur un sol fugitif for
les fleurs, Tantôt triste, pensive et s’enfonçant dans l’ombre, Elle
suit
effrayée, un bois lugubre et sombre. D’un rocher
as ! rien n’adoucit les tourmens qu’il endure. L’impitoyable Hiver le
suit
sous ces lambris, L’attaque à ses foyers d’arbres
peuple encor cette vaste demeure. Telles au premier froid que l’hiver
suit
de près, Les feuilles en monceaux tombent dans le
ois, Reçois nos dons offerts pour la seconde fois. Tu n’as donc pu me
suivre
en ma longue entreprise ; Et du Tibre avec moi vo
71. Chasse . Cependant le cerf vole, et les chiens sur sa voie
Suivent
ces corps légers que le vent leur envoie ; Par-to
Et quelquefois dans les villages ; Vous, que les plaisirs et les ris
Suivent
en secret chez les sages ; Grâces, c’est à vous q
e et vous conduit. Indifférentes et légères, Vous échappez à qui vous
suit
. Venez dans mon humble réduit, Vous n’y serez poi
rois enfans de la jeunesse, N’ont qu’un empire limité, Si vous ne les
suivez
sans cesse… Les Grâces suivent tous les âges, Ell
ont qu’un empire limité, Si vous ne les suivez sans cesse… Les Grâces
suivent
tous les âges, Elles réparent leurs outrages, Et
prit et les talens N’éternisent pas nos merveilles : L’oubli qui nous
suit
à pas lents, Fait périr le fruit de nos veilles.
s’altérer dans l’Age d’Argent, elle remonta au ciel. Sa retraite fut
suivie
des vices de l’Age d’airain et des crimes de l’Ag
t trouver des charmes Aux pleurs que je sens m’échapper ? La Pitié la
suit
gémissante, La Terreur toujours menaçante, La sou
es instrumens, Elle a le même trône et les mêmes amans. L’illusion la
suit
; éloquente et muette, Elle est des passions la m
t l’assistance. Qu’ils nous devaient contre ses noirs desseins. Elles
suivent
par-tout ses traces malfaisantes, On les nomme Lé
et son frère, Peut déjà de ma part les promettre à son père ; Ils le
suivront
de près, et j’ai tout préparé Pour réunir bientôt
nt porter leur hommage. Poëtes, artisans, guerriers, comme autrefois,
Suivent
leurs premiers goûts et leurs premiers emplois :
is jamais, jamais je n’oublîrai L’heure fatale où mon œil égaré
Suivait
dans tes regards ton ame fugitive. Je donnerai to
brigands qui l’infestaient ; tua le Minotaure dans le labyrinthe, et
suivit
Pirithoüs, son ami, jusqu’aux Enfers. Thésée éter
un sacrifice de quatre jeunes taureaux et d’autant de génisses. Ayant
suivi
ses ordres, il vit avec transport sortir des entr
le Lapithe, Qui, d’un pas effrayé, précipitait sa fuite, Et tantôt je
suivais
, d’un élan aussi prompt, Le vol du trait ailé qu’
emin aux Enfers ! Descendons, les Enfers n’ont rien qui m’épouvante ;
Suivons
le noir sentier que le sort me présente ; Cachons
état où tu me vois réduit. Quoi ! jusques dans tes bras la barbare me
suit
. C’en est fait ; je succombe à cet affreux suppli
nstances : il se rendit enfin à l’éloquence artificieuse d’Ulysse, et
suivit
ce héros au camp des Grecs. Une de ces flèches ay
es vœux de Thétis enchaînent ta valeur, Ah ! que ne puis-je au moins,
suivi
de la victoire, Conduire tes guerriers au sentier
eux sont les froides reliques. Je cours, en soupirant, et sa garde me
suit
. De son généreux sang la trace nous conduit. Les
n vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la main, et
suivi
de la malheureuse Créuse son épouse qui se perdit
romit de terminer le cours de mes travaux. Les effets chaque jour ont
suivi
sa promesse, Achate, je dois tout aux soins de sa
oursuit sa fureur. Douze jeunes beautés, indomptables guerrières,
Suivent
Penthésilée, et leurs grâces altières, Sur les pa
moi si la mer t’eût ravie, Ah ! crois que ton époux dans la mer t’eût
suivie
! Fils du grand Prométhée, ô s’il m’était donné D
la Déesse (Minerve.) Vient éclairer tous les humains : La Gloire à la
suivre
s’empresse, Tenant des lauriers dans ses mains ;
Ciel qu’une étincelle » Pénètre les sens endormis. » Viens, la gloire
suit
le courage… » Déjà je vois à ton ouvrage » Applau
ortel. » Tu voulus t’élever sur le char de ton père ; » Si ta chûte a
suivi
ton essor téméraire, » Il est beau de tomber, qua
la vie ; Que l’ours, le loup, le tigre, au bruit de ses chansons, Le
suivaient
, mariant leurs pas à la cadence ; Que la pierre,
ux ; Sur ses pas marche l’envie, Et la cruauté la
suit
; Le flambeau d’une Furie, Es
plé par l’effroi Traverse tout sanglant la longue galerie. Pyrrhus le
suit
: déjà, tout bouillant de furie, Il le presse, il
vices, les penchans qui maîtrisaient son corps, Avec elle nourris, la
suivent
chez les morts : Leur germe la pénètre et corromp
: fruits jumeaux d’un hymen plein d’appas, Tes fils, Laocoon, avaient
suivi
tes pas : Tes fils, portraits vivans d’une mère a
fit trembler les mers de sa voix menaçante : La colère des Dieux
suivra
dans ton palais Hélène qui naquit pour le malheur
ance appuyé sur le fils de Laërte : La terreur le devance, et la mort
suit
ses pas ; De corps ensanglantés la campagne est c
Vieux Satyre, nourricier, précepteur et compagnon de Bacchus. Silène
suivit
ce Dieu à la conquête de l’Inde, monté sur un âne
aient répéter : Les Nymphes, les Sylvains, formant d’aimables danses,
Suivaient
d’un pas léger ces brillantes cadences ; Le rivag
t de sang, le voile de Thisbé : Elle n’est plus, dit-il, Pyrame va la
suivre
; Les deux amans ensemble auront cessé de vivre.
se. Je serai ta compagne, et l’on ne dira pas Que Thisbé, sans te
suivre
, a causé ton trépas. La mort qui seule, hélas ! t
eux, va tu n’es que trop digne. Mais tu me fuis en vain, mon ombre te
suivra
. Tremble, ingrat, je mourrai ; mais ma haine vivr
enture. Là, ses yeux errans sur les flots D’Ulysse fugitif semblaient
suivre
la trace : Elle croit voir encor son volage héros
e mon fils d’Ilion étende aussi la gloire ! Qu’au retour des combats,
suivi
de la Victoire, Il entende le peuple, autour du c
e, incertaine, Au milieu des mourans, des morts et des débris. Venez,
suivez
mes pas, joignez-vous à mes cris. Venez, j’ignore
x frères s’aimaient si tendrement qu’ils ne se quittaient jamais. Ils
suivirent
Jason dans la Colchide, et conquirent avec lui la
s meilleurs. Compagne de ses pas, de ses maux, de sa vie, Hermione le
suit
au fond de l’Illyrie. Surchargés sous le poids de
son impatience. Il tourna la tête pour voir si sa chère Eurydice, le
suivait
, aussitôt Eurydice disparut, (voy. Aristée). Ce m
it sa tendresse : Soudain ce faible amant, dans un instant d’ivresse,
Suivit
imprudemment l’ardeur qui l’entraînait, Bien dign
ain dans les airs s’évapore. Orphée en vain l’appelle, en vain la
suit
encore, Il n’embrasse qu’une ombre ; et l’horribl
que tes chants instruisirent, Les rochers attendris, les bois qui te
suivirent
, Tout s’afflige : les vents murmurent des soupirs
qui que tu sois, Console-toi ; tu meurs par la main d’Éacide. Un dard
suit
sa parole ; et le fer homicide, Lancé d’un bras n
de rage, Il le frappe à la tête, il le frappe au visage, Le joint, le
suit
, le presse, et de coups redoublés Fatigue tous se
se. Aréthuse à Cérès. L’Achaïe autrefois me vit dans ses forêts
Suivre
les daims légers ou tendre des filets. On vantait
poursuit, déjà son ombre me menace. J’entends à pas pressés ses pieds
suivre
ma trace, Son haleine brûlante agite mes cheveux.
Quoi ! tu descends déjà vers les royaumes sombres, Que ne puis-je t’y
suivre
, errante avec les ombres ? De nos tendres amours
avec les ombres ? De nos tendres amours j’irais t’entretenir ; Là, je
suivrais
tes pas, mon ombre voltigeante Sans cesse irait c
ortir leurs hôtes. De ce bourg, dit Jupin, je veux punir les fautes ;
Suivez
-nous. Toi, Mercure, appelle les vapeurs. O gens d
œurs, Il dit : et les Autans troublent déjà la plaine. Nos deux époux
suivaient
ne marchant qu’avec peine, Un appui de roseau sou
it le premier en chant les hymnes sacrés. Il fut aimé de Cybèle et la
suivit
dans ses voyages. Arrivé avec elle à Nisa, le tém
oi ce redoutable écueil, Peins-toi tous les dangers dont ta faute est
suivie
; Tremble qu’un poison lent ne consume ta vie, En
ue jour sa beauté213 croissait avec ses ans, Et trois fois cinq étés,
suivis
de deux printems, Avaient développé la fleur de s
rix de tes ruses, Tu parleras si peu, que jamais tu n’abuses. L’effet
suit
la menace. Echo, depuis ce jour, Ne peut plus qu’
l’aspect de Narcisse, Echo de ses attraits S’étonne, et pas à pas le
suit
dans les forêts : Elle approche, elle cède au pen
des cieux embrasse l’étendue, La teinte qui commence et la teinte qui
suit
, Telle, en se confondant, échappe à l’œil séduit
Seul plaisir qui lui reste en ses horribles maux. Son troupeau réuni
suit
sa marche pesante : Nous remarquons sa flûte à se
lui chasse les mers profondes ; Mais en vain dans leur course il veut
suivre
les ondes, En vain étend vers nous ses gigantesqu
Un berger les menait sans chiens et sans houlette ; Ces troupeaux le
suivaient
au son de sa musette ; Ainsi Pan, par son souffle
e : Ainsi Thèbes s’élève aux accords d’Amphion, Et le Dauphin charmé,
suit
et sauve Arion. L’Age d’or… oui, j’en vis renaîtr
gne sa voix, Ou frémit sous l’archet, ou parle sous ses doigts. L’œil
suit
les plis mouvans de sa robe flottante, L’oreille
errant paisiblement ; Des armes et des chars le noble amusement, Ont
suivi
ces guerriers sur cet heureux rivage ; Et de la v
nt la lyre d’Ausonie, Rend des sons plus majestueux. Je veux vous
suivre
, Ombres charmantes, Ah ! j’envie un sort aussi do
son cœur ; Et par un sentier peu pénible, La nature qu’il
suit
le conduit au bonheur. En vain près de
au sein de la richesse ; Non, non, le sentiment de l’éclat ennemi, Ne
suit
point ce bonheur dont on est ébloui ; Son orgueil
is au Malheur fut lié. Il connut tes douceurs, flatteuse rêverie ; Il
suivit
tes détours, solitude chérie ; Il aima le silence
. Toujours attachée à ses pas dans le triste cours de la vie, elle le
suit
et le soutient jusqu’au tombeau. Les Grecs et les
e fardeau de la vie ; Et près de nous la voir ravie, Elle nous
suit
encor sur les bords du tombeau. C’est l’espoi
di, cherchant de nouveaux mondes, Prend les Astres pour guide, et les
suit
dans leur cours ; Sans crainte du naufrage, au ca
; Sur le chemin désert rien ne paraît encore : « Il devait cependant
suivre
de près l’aurore ; » Sa lettre le disait ; qui pe
aille brûlante, Du plomb, des coins et du fer. L’Espérance te
suit
, compagne plus propice ; Et la Fidélité, Déesse p
t préparés pour vous. » Ce discours insensé que sa rage prononce, Est
suivi
d’un poignard qu’en son cœur elle enfonce. De cra
échappent à sa rage, Et l’homme, hélas ! épuise sa fureur. La mort la
suit
: le deuil et la tristesse, Fléaux cruels, s’empr
e du Ciel. Pourquoi la faible humanité, triste jouet des passions, ne
suit
-elle pas toujours ce Guide céleste ? Pourquoi son
que je voie à ton côté L’amabilité, l’indulgence ; Fais-toi
suivre
, en un mot, par l’aimable Gaîté, Et pré
, le second le mal. De-là vient l’expression latine, Genio indulgere,
suivre
son goût, son inclination. L’Abeille et le Serp
jeunesse Pour moi sont hors de saison : Laisse en repos ma vieillesse
Suivre
à la fin la Raison. Léonard 280. Gaîté. C
sage, De prêcher la vaillance et de gagner pays. Les voleurs sans les
suivre
, entourent l’Immortelle ; Elle portait ses
s lui consacrer un article préliminaire, dans la forme de ceux qui le
suivront
. Homère doit figurer à la tête de ses Dieux, de s
comme Faune et Sylvain, avec lesquels on le confond quelquefois. Pan
suivit
Bacchus à la conquête des Indes et partagea sa gl
Vient de fixer ta destinée. Sans contrainte aujourd’hui tu peux
suivre
la loi Du tendre penchant qui t’i
de mornes pavots, Des fers de sa prison libre et débarrassée, Mon ame
suit
encor le vol de la pensée. Sur un sol fugitif for
les fleurs, Tantôt triste, pensive et s’enfonçant dans l’ombre, Elle
suit
effrayée, un bois lugubre et sombre. D’un rocher
as ! rien n’adoucit les tourmens qu’il endure. L’impitoyable Hiver le
suit
sous ces lambris, L’attaque à ses foyers d’arbres
peuple encor cette vaste demeure. Telles au premier froid que l’hiver
suit
de près, Les feuilles en monceaux tombent dans le
çois Reçois nos dons offerts pour la seconde fois. Tu n’as donc pu me
suivre
en ma longue entreprise ; Et du Tibre avec moi vo
Et quelquefois dans les villages ; Vous, que les plaisirs et les ris
Suivent
en secret chez les sages ; Grâces, c’est à vous q
e et vous conduit. Indifférentes et légères, Vous échappez à qui vous
suit
. Venez dans mon humble réduit, Vous n’y serez poi
rois enfans de la jeunesse, N’ont qu’un empire limité, Si vous ne les
suivez
sans cesse… Les grâces suivent tous les âges, Ell
ont qu’un empire limité, Si vous ne les suivez sans cesse… Les grâces
suivent
tous les âges, Elles réparent leurs outrages, Et
prit et les talens N’éternisent pas nos merveilles : L’oubli qui nous
suit
à pas lents, Fait périr le fruit de nos veilles.
s’altérer dans l’Age d’argent, elle remonta au ciel. Sa retraite fut
suivie
des vices de l’Age d’airain et des crimes de l’Ag
trouver des charmes Aux pleurs que je sens m’échapper ? La Pitié la
suit
gémissante, La Terreur toujours menaçante, La sou
es instrumens, Elle a le même trône et les mêmes amans. L’illusion la
suit
; éloquente et muette, Elle est des passions la m
s la Douleur la Pitié te conduit, Le Calme te précède, et la Santé te
suit
. Paul 109. Renommée. Toujours errante, t
t l’assistance. Qu’ils nous devoient contre ses noirs desseins. Elles
suivent
par-tout ses traces malfaisantes, On les nomme Lé
et son frère, Peut déjà de ma part les promettre à son père ; Ils le
suivront
de près, et j’ai tout préparé Pour réunir bientôt
brigands qui l’infestoient ; tua le Minotaure dans le labyrinthe, et
suivit
Pirithoüs, son ami, jusqu’aux Enfers. Thésée éter
un sacrifice de quatre jeunes taureaux et d’autant de genisses. Ayant
suivi
ses ordres, il vit avec transport sortir des entr
emin aux Enfers ! Descendons, les Enfers n’ont rien qui m’épouvante ;
Suivons
le noir sentier que le sort me présente ; Cachons
état où tu me vois réduit. Quoi ! jusques dans tes bras la barbare me
suit
. C’en est fait ; je succombe à cet affreux suppli
nstances : il se rendit enfin à l’éloquence artificieuse d’Ulysse, et
suivit
ce héros au camp des Grecs. Une de ces flèches ay
es vœux de Thétis enchaînent ta valeur, Ah ! que ne puis-je au moins,
suivi
de la victoire, Conduire tes guerriers au sentier
eux sont les froides reliques. Je cours, en soupirant, et sa garde me
suit
. De son généreux sang la trace nous conduit. Les
n vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la main, et
suivi
de la malheureuse Créuse son épouse qui se perdit
romit de terminer le cours de mes travaux. Les effets chaque jour ont
suivi
sa promesse, Achate, je dois tout aux soins de sa
ursuit sa fureur. Douze jeunes beautés, indomptables guerrières,
Suivent
Penthésilée, et leurs grâces altières, Sur les pa
moi si la mer t’eût ravie, Ah ! crois que ton époux dans la mer t’eût
suivie
. O savant Prométhée ! ô s’il m’étoit donné. D’ani
la Déesse (Minerve.) Vient éclairer tous les humains : La Gloire à la
suivre
s’empresse, Tenant des lauriers dans ses mains ;
Ciel qu’une étincelle « Pénètre les sens endormis. « Viens, la gloire
suit
le courage… « Déjà je vois à ton ouvrage « Applau
épaisse fumée ; Et ses yeux, dans l’amas de ces noirs tourbillons, Ne
suivent
plus du char les écarts vagabonds. Alors, du ciel
est un autel. Il guida le char de son père. Si sa chûte a
suivi
son essor téméraire, Il est beau de to
: Et les oiseaux sont allarmés De voir que les humains
suivent
les mêmes routes. Volez, volez, ne
nage échauffée, Elle enlève sa tête, et la porte en trophée ; Chacune
suit
sa rage, et bientôt leurs, efforts En lambeaux dé
le un poison dangereux ; Sur ses pas marche l’envie, Et la cruauté la
suit
; Le flambeau d’une Furie, Est l’astre qui la con
vices, les penchans qui maîtrisoient son corps, Avec elle nourris, la
suivent
chez les morts : Leur germe la pénètre et corromp
: fruits jumeaux d’un hymen plein d’appas, Tes fils, Laocoon, avoient
suivi
tes pas : Tes fils, portraits vivans d’une mère a
fit trembler les mers de sa voix menaçante : La colère des Dieux
suivra
dans ton palais Hélène qui naquit pour le malheur
ance appuyé sur le fils de Laërte : La terreur le devance, et la mort
suit
ses pas ; De corps ensanglantés la campagne est c
Vieux Satyre, nourricier, précepteur et compagnon de Bacchus. Silène
suivit
ce Dieu à la conquête de l’Inde, monté sur un âne
oît l’écharpe encor sanglante. « Thisbé n’est plus ! eh bien, l’amant
suivra
l’amante. Hélas ! la même nuit nous a perdus tous
ïeux, va tu n’es que trop digne. Mais tu me fuis envain, mon ombre te
suivra
. Tremble, ingrat, je mourrai ; mais ma haine vivr
venture. Là ses yeux errans sur les flots D’Ulysse fugitif sembloient
suivre
la trace : Elle croit voir encor son volage héros
e mon fils d’Ilion étende aussi la gloire ! Qu’au retour des combats,
suivi
de la Victoire, Il entende le peuple, autour du c
e, incertaine, Au milieu des mourans, des morts et des débris. Venez,
suivez
mes pas, joignez-vous à mes cris. Venez, j’ignore
x frères s’aimoient si tendrement qu’ils ne se quittoient jamais. Ils
suivirent
Jason dans la Colchide, et conquirent avec lui la
s meilleurs. Compagne de ses pas, de ses maux, de sa vie, Hermione le
suit
au fond de l’Illyrie. Chargés d’ans et d’ennuis,
it sa tendresse : Soudain ce foible amant, dans un instant d’ivresse,
Suivit
imprudemment l’ardeur qui l’entraînoit, Bien dign
dain dans les airs s’évapore. Orphée envain l’appelle, envain la
suit
encore, Il n’embrasse qu’une ombre ; et l’horribl
e. Aréthuse à Cérès. L’Achaïe autrefois me vit dans ses forêts
Suivre
les daims légers ou leur tendre des rets. On vant
hemins écartés ; Je franchis des ravins, des rocs infréquentés. Il me
suit
, et déjà son ombre me menace. J’entends à pas pre
suit, et déjà son ombre me menace. J’entends à pas pressés ses pieds
suivre
ma trace, Et je sens son haleine agiter mes cheve
Quoi ! tu descends déjà vers les Royaumes sombres, Que ne puis-je t’y
suivre
, errante avec les Ombres ? De nos tendres amours
ortir leurs hôtes. De ce bourg, dit Jupin, je veux punir les fautes ;
Suivez
-nous. Toi, Mercure, appelle les vapeurs. O gens d
it le premier en chant les hymnes sacrés. Il fut aime de Cybèle et la
suivit
dans ses voyages. Arrivé avec elle à Nisa, le tém
chant ! Pardonne, Dieu des vers ; mon crime est-il si grand ? On
suit
malgré ses cris, l’arrêt impitoyable. Tout son co
oi ce redoutable écueil, Peins-toi tous les dangers dont ta faute est
suivie
; Tremble qu’un poison lent ne consume ta vie, En
es lâches ruses, Il sera tel au moins que jamais tu n’abuses. L’effet
suit
la menace. Elle dit : désormais ; Echo répond tou
ême interprète les Lois, Fait ouir à grand cris sa prophétique voix :
Suivez
-moi ; de lauriers couronnez votre tête ; Latone,
aits d’un orgueil irrité. Ses cheveux, par dédain rejetés en arrière,
Suivent
les mouvemens de cette Reine altière. Quoi !
e : Ainsi Thèbes s’élève aux accords d’Amphion, Et le Dauphin charmé,
suit
et sauve Arion. L’Age d’or… oui, j’en vis renaîtr
douleur, Le deuil, la maladie et le remords vengeur, Monstres hideux,
suivis
de leurs propres victimes, Et la peur, et la faim
t la lyre d’Ausonie, Rend des sons plus majestueux. Je veux vous
suivre
, Ombres charmante, Ah ! j’envie un sort aussi dou
cœur ; Et par un sentier peu pénible, La Nature qu’il
suit
le conduit au bonheur. En vain prè
au sein de la richesse ; Non, non, le sentiment de l’éclat ennemi, Ne
suit
point ce bonheur dont on est ébloui ; Son orgueil
is au Malheur fut lié. Il connut tes douceurs, flatteuse rêverie ; Il
suivit
tes détours, solitude chérie ; Il aima le silence
. Toujours attachée à ses pas dans le triste cours de la vie, elle le
suit
et le soutient jusqu’au tombeau. Les Grecs et les
deau de la vie ; Et près de nous la voir ravie, Elle nous
suit
encor sur les bords du tombeau. C’est l’espo
di, cherchant de nouveaux mondes, Prend les Astres pour guide, et les
suit
dans leur cours ; Sans crainte du naufrage, au ca
ille brûlante, Du plomb, des coins et de fer. L’Espérance te
suit
, compagne plus propice ; Et la Fidélité, Déesse p
préparés pour vous. » Ce discours insensé, que sa rage prononce, Est
suivi
d’un poignard qu’en son cœur elle enfonce. De cra
échappent à sa rage, Et l’homme, hélas ! épuise sa fureur. La mort la
suit
: le deuil et la tristesse, Fléaux cruels, s’empr
e du Ciel. Pourquoi la foible humanité, triste jouet des passions, ne
suit
-elle pas toujours ce Guide céleste ? Pourquoi son
que je voie à ton côté L’ainabilité, l’indulgence ; Fais-toi
suivre
, en un mot, par l’aimable Gaîté, Et précé
, le second le mal. De-là vient l’expression latine, Genio indulgere,
suivre
son goût, son inclination. L’Abeille et le Serpe
jeunesse Pour moi sont hors de saison : Laisse en repos ma vieillesse
Suivre
à la fin la Raison. Léonard 296. Gaîté.
sage, De prêcher la vaillance et de gagner pays. Les voleurs sans les
suivre
, entourent l’Immortelle ; Elle portoit ses
touts les cœurs par l’auteur de la nature : ce premier égarement fut
suivi
d’une idolâtrie moins excusable. Vers l’an du mon
serpentoient dans les plaines. D. Quels noms donna-t-on aux âges qui
suivirent
le siècle d’or ? R. On les appela l’âge d’argent
yez les portes de l’abyme Creusé par la justice, habité par le crime.
Suivez
-moi ; les chemins en sont toujours ouverts. Ils m
et d’Eurynome. Elles sont les compagnes inséparables de Vénus. Elles
suivent
aussi assez ordinairement la cour des Muses. On l
l’aima si passionnément, qu’elle quitta l’Olympe et les dieux pour le
suivre
. Elle l’accompagnoit dans les forêts. Mars, jalou
suite instruit par les Muses, et par Silène, vieux satyre, qui depuis
suivit
son nourrissent à la conquête des Indes. Silène é
son infidélité. Elle alla cacher sa honte dans les bois. Céphale l’y
suivit
, ne pouvant vivre sans elle. Procris devint jalou
ne des deux tâcha de le gagner par ses promesses. Hercule se décida à
suivre
le parti de la vertu. D. Que fit Hercule après av
g des dieux marins, et, par la suite, invoquer dans les tempêtes. Ils
suivirent
Jason dans la Colchide, et eurent beaucoup de par
it sa tendresse : Soudain ce foible amant, dans un instant d’ivresse,
Suivit
imprudemment l’ardeur qui l’entraînoit, Bien dign
soudain dans tes airs s’évapore. Orphée en vain l’appelle, en vain la
suit
encore Il n’embrasse qu’une ombre ; et l’horrible
et les prend pour des dieux. ( Ovide, trad. de Saintange.) D. Icare
suivit
-il exactement les avis de Dédale, son père ? R.
eux sont les froides reliques. J’y cours en soupirant, et sa garde me
suit
; De son généreux sang la trace nous conduit ; Le
eçurent. Pour les récompenser, le maître des dieux leur ordonna de le
suivre
au haut d’une montagne. Lorsqu’ils y furent arriv
ants en chantant la conduit, Et se plaît à toucher les câbles qu’elle
suit
. Elle entre enfin, elle entre en menaçant la vill
Glissent le long d’un câble Ulysse avec Thessandre, Ils sont bientôt
suivis
de Pyrrhus, de Thoas, Du savant Machaon, du bouil
emin aux enfers ! Descendons, les enfers n’ont rien qui m’épouvante ;
Suivons
le noir sentier que le sort me présente ; Cachons
l’état où tu me vois réduit Quoi ! jusque dans tes bras la barbare me
suit
! C’en est fait ; je succombe à cet affreux suppl
x dames. Achille se saisit des armes, et se trahit ainsi lui-même. Il
suivit
Ulysse avec joie, et Thétis fut contrainte de le
amour le détestable fruit : Tu m’apportois, cruel, le malheur qui te
suit
. C’est toi dont l’ambassade, à touts les deux fat
qui sifflent sur vos têtes ? A qui destinez-vous l’appareil qui vous
suit
? Venez-vous m’enlever dans l’éternelle nuit ? Ve
tombeau de Laomédon ; qui força Philoctète, quoique son ennemi, à le
suivre
au siége de Troie, avec les flèches d’Hercule. A
L’intérêt dans son cœur faisant taire la gloire, Oublia l’amitié pour
suivre
la victoire. Le cruel (que ne peut l’ardente soif
par une autre olive, et la figue ridée fait place à une autre qui la
suit
. La vigne y porte des raisins en toute saison ; p
omère représente ce prince comme le favori de Pallas. Cette déesse le
suit
par-tout. C’est par son secours, qu’il tue plusie
plé par l’effroi Traverse tout sanglant la longue galerie. Pyrrhus le
suit
; déjà, tout bouillant de furie, Il le presse, il
casque renversé, Et Jupiter entr’eux n’avoit point prononcé, Lorsque,
suivi
d’Hélène accourut votre père ; Il s’écrie : à sa
haut des murs de la ville, au lieu d’Astyanax, et que ce jeune prince
suivit
sa mère en Épire. C’est cette tradition, que Raci
e prince suivit sa mère en Épire. C’est cette tradition, que Racine a
suivie
dans sa belle tragédie d’Andromaque. Le poëte a f
puisse survivre… Andromaque. Non, non, je te défends, Céphise, de me
suivre
; Je confie à tes soins mon unique trésor : Si tu
: fruits jumeaux d’un hymen plein d’appas, Tes fils, Laocoon, avoient
suivi
tes pas ; Tes fils, portraits vivants d’une mère
» De ses plus chers amis il pleure le trépas ! » Qu’une honteuse paix
suive
une guerre affreuse ; » Qu’au moment de régner, u
arpillons. Prenez garde, mes fils, côtoyez moins le bord,
Suivez
le fond de la rivière ; Craignez la l
faut qu’un instant : Ne vous éloignez point, et, de peur d’accident,
Suivez
, suivez toujours le fond de la rivière. — Bah ! d
’un instant : Ne vous éloignez point, et, de peur d’accident, Suivez,
suivez
toujours le fond de la rivière. — Bah ! disent le
de morale, nous dit : « Écoutez, enfants, les avis de votre père, et
suivez
-les, afin que vous soyez sauvés : car Dieu a rend
brer sa mémoire. Il dit, et ceint son front du myrte maternel. Chacun
suit
son exemple : ensuite vers l’autel Il marche envi
lles lois étant forcé de vivre, Le sage n’est jamais le premier à les
suivre
, Ni le dernier à les garder. ( Pavillo
ne foiblesse errante Ternit de ce miroir la glace transparente, Il la
suit
sourdement de détour en détour, L’annonce avec éc
u’elle coûte, on ne l’achette jamais trop cher. Les avantages, qui la
suivent
sont d’un prix inestimable. « La parole douce, di
La Fontaine nous recommande la douceur dans l’apologue ingénieux qui
suit
: Phébus et Borée. Fable. Borée et le Soleil vi
’autre, et que l’autre est détruit Sans interruption par celui qui le
suit
; Que le temps que l’on perd jamais ne se répare
r d’ici, dans le peu de jours peut-être qui vous restent. Le monarque
suivit
un si sage conseil, et vécut heureusement dans la
entent que des pensées fausses, des maximes qu’il seroit dangereux de
suivre
dans la pratique, et des exemples qu’on se repent
a nature, et dans les exercices des beaux arts : ce séjour invitait à
suivre
ce genre de vie. Les terrasses des jardins, ornée
les en Italie ; et cet espace de temps est appelé l’âge d’or, qui fut
suivi
de l’âge d’argent, et enfin de 1’âge de fer, qui
épondit : « Vous trouverez dans un champ voisin une génisse ; vous la
suivrez
, et vous bâtirez une ville dans le pâturage où el
e celui des fleurs de cette époque brillante de l’année. Lorsque nous
suivrons
Hercule dans le cours de ses aventures héroïques,
thérée y montant disparaît a sa vue. C’est en vain que des yeux il la
suit
dans les airs ; Rien ne s’offre à ses sens que l’
c’est l’Amour que l’on appelle aussi Cupidon. Il est impossible de le
suivre
dans tous ses mouvements et dans toutes ses actio
ls de Minos roi de Crète, et à Tyndare, roi de Sparte. Esculape avait
suivi
les Argonautes à la conquête de la toison d’or, e
sirs purs qui fuient les palais dorés. Les Jeux, les Ris, les Grâces,
suivaient
par-tout les innocentes bergères. Tous les jours
que rocher, ou les chansons que les Muses inspiraient aux bergers qui
suivaient
Apollon. Ce dieu leur enseignait à remporter le p
nt les rigueurs, Pour un tendre prélude il prépare les cœurs. L’Amour
suit
de ses sons les volantes merveilles, Et, porté su
ur jouir de la divine harmonie. Les Nymphes des eaux et des forêts le
suivaient
en tout lieu pour l’entendre, et le desiraient po
nait sa tendresse. Soudain ce faible amant, dans un moment d’ivresse,
Suivit
imprudemment l’ardeur qui l’entraînait, Bien dign
soudain dans les airs s’évapore. Orphée en vain l’appelle, en vain la
suit
encore, Il n’embrasse qu’une ombre ; et l’horribl
une foule de nymphes, libres comme elle de toute chaîne amoureuse, et
suivie
d’une meute de chiens, aussi rapides que les vent
s mystères. Un thyrse à la main, et le front couronné de lierre, elle
suivait
le dieu des vendanges, qui la regardait comme sa
de Crète, après que Thésée l’eut abandonnée dans l’île de Naxos pour
suivre
Phèdre sœur de cette princesse. Le fils de Sémélé
’Érymanthe devint bientôt l’objet d’un des travaux d’Hercule, qui fut
suivi
de la tâche difficile de nettoyer l’étable d’Augi
Philoctète de l’allumer. Alcide, souriant au feu qui l’environne, En
suit
d’un œil serein le cours impétueux ; Et le
nce au fond de l’antre sombre : Et lui, d’un pas hardi, marche, et la
suit
dans l’ombre32. Sous le vestibule de ces tristes
nt une si grande terreur qu’à peine on osait prononcer leur nom. Mais
suivons
Énée dans son périlleux voyage. A peine a-t-il av
s quittons enfin ces tristes tableaux du sombre royaume de Pluton, et
suivons
Énée et la Sibylle dans leur voyage au milieu des
ne sa voix, Ou frémit sous l’archet, ou parle sous ses doigts : L’œil
suit
les plis mouvants de sa robe flottante ; L’oreill
e errant paisiblement, Des armes et des chars le noble amusement, Ont
suivi
ces guerriers sur cet heureux rivage, Et de la vi
ité hideuse, dont nous avons vu l’image effrayante lorsque nous avons
suivi
Énée dans les Enfers. Cet homme impie, ayant mang
yre éludé la poursuite : L’Amour avec douleur la voyait dans les bois
Suivre
les daims, léger, et mépriser ses lois. O Diane !
. Les Saisons et les Heures entouraient le char d’Apollon. Les Heures
suivaient
aussi le char de la Nuit, qui traversait les airs
e, scandinave, slave, irlandaise et celtique. Nous tâcherons de faire
suivre
cette foule de divinités fabuleuses le plus métho
tte marche tortueuse de la mythologie purement historique. Nous ne la
suivrons
qu’autant qu’elle voudra bien s’y prêter ; seulem
n cueillit un et le mit dans son sein. Alors un fait plus merveilleux
suivit
cette imprudence, car le fruit disparut, la jeune
l’île de Crète. Ne nous arrêtons donc pas davantage sur ce point, et
suivons
leur histoire. Rhée, dans la Mythologie composite
peuples gouvernés par des prêtres divisèrent les temps primitifs qui
suivirent
la création de l’univers en grandes époques savam
s piéges tendus par son père, le força à sortir de l’île de Crète, le
suivit
dans le Péloponèse, le battit une seconde fois, e
par une autre beaucoup plus fabuleuse, et que nous allons maintenant
suivre
en détail. Un oracle, que le ciel et la terre ava
e sommet d’une montagne où était construit son observatoire, afin d’y
suivre
la marche des astres. Ce fut lui qui découvrit le
. Rien de curieux ne se rattache plus à ces monstres que nous ferions
suivre
des Cyclopes, si, plus tard, nous ne devions pas
re des cieux, ce vieillard impuissant. Pendant les jours de repos qui
suivirent
la guerre des Titans, la peuplade de l’empyrée s’
les vit arriver ; mais Styx, fille de l’Océan, accourut la première,
suivie
de ses enfans la Valeur, la Force, l’Emulation et
Dieux l’écrase sous le mont Pithécune, ou, d’après la version la plus
suivie
, sous le mont Etna. Sa force gigantesque ne put l
ue Prométhée pourrait bien avoir animée. Pourtant, la légende la plus
suivie
prétend que ce Prométhée, dont le nom signifie pr
Lycaon I. C'était un impie, il fut métamorphosé en loup. Maintenant,
suivons
les légendes vulgaires. Lycaon, rejeton des Tita
ux de les apprécier par lui-même, voulut les visiter. Il se fait donc
suivre
par Mercure, descend sur la terre et entre avec l
rotection, lui fait accorder grâce et dit à ces bons vieillards de le
suivre
jusque sur une montagne voisine ; une fois au som
, qui leur ordonna de repêcher et de rétablir le monument perdu ; ils
suivirent
ce conseil ; et depuis Théagène fut mis au rang d
s après, sur la demande générale des Dieux. Junon se faisait toujours
suivre
de quatorze nymphes, connues sous le nom génériqu
des Sabins ; Philonomé était une fille de Nyctime et d’Arcadie, elle
suivait
Diane à la chasse, et se laissa aimer de Mars don
Borée. Bellone, sa sœur les conduit, Palior le précède, et Phygale le
suit
. On voit de beaux tableaux de Mars au musée sous
e la Grande-Ourse, ou Hélice, ou le Charriot, composé de sept étoiles
suivies
d’une hutième, ou Arétophyle ; c’est Bootès, ou l
aient inconnues au vulgaire, s’exerçait particulièrement à la chasse,
suivie
de soixante nymphes ou Océanies, filles de l’Océa
carquois, et les pieds couverts de brodequins ; quelquefois elle est
suivie
d’une meute de chiens, ou tenant un lion d’une ma
du jour et des beaux arts, portait les différens noms et surnoms qui
suivent
: ainsi on l’appelait Abœus d’Aba en Phocide, Ace
s n’ayant jamais séparé l’histoire du soleil de celle d’Apollon, nous
suivrons
leur exemple ; seulement nous ferons remarquer av
une, conspiré contre lui. Neptune ayant subi le même sort qu’Apollon,
suivit
celui-ci en Troade. Là ils offrirent tous deux le
. Hercule ayant rempli la promesse, on laissa la liberté à Hésione de
suivre
son libérateur suivant qu’elle en avait le désir.
t des couronnes, et de l’autre un poignard. Elle était habituellement
suivie
ou de la Terreur, fille de Mars et de Vénus, touj
yrénée, à cette vue, monta sur le haut d’une tour et crut pouvoir les
suivre
en essayant de voler après elles ; il se lance do
à beaucoup d’esprit une sagesse et une continence à toute épreuve. Il
suivait
Cybèle dans tous ses voyages. Le hasard leur fit
le, c’était Elaïa. Ayant imploré Bacchus pour ne pas être obligées de
suivre
Agamemnon au siège de Troie, ce dieu les métamorp
lontés sacrées. Enfin l’on connaissait encore plusieurs oracles assez
suivis
. Tels étaient ceux de Vaticanus et d’Aius-Locutiu
ce fut Hippole, le petit-fils d’Hercule, qui le tua. Une peste ayant
suivi
cette mort, on la fit disparaître en élevant à Ap
amps. Chloré était bien un devin ; mais il était prêtre de Cybèle, il
suivit
Énée en Italie, et fut tué par Turnus. Echine ; E
e, fils de Mastor. Idmon, devin d’Argos, passant pour fils d’Apollon,
suivit
Jason et ses compatriotes en Colchide, quoiqu’il
i ôter la vie, en appelant Thestor par son nom et en lui criant de la
suivre
. A ces mots, Théonoé se présente elle-même, se fa
l’immortaliser en plaçant son nom dans ses poésies et en lui faisant
suivre
Pénélope à Ithaque. Scaphisias fut le premier qui
ant venu la réclamer, elle lui fut refusée. Cependant une peste ayant
suivi
ce refus, Ulysse fut chargé de la reconduire chez
ne auréole brillante dont il le vit entouré ; mais la légende la plus
suivie
, celle d’Epidaure, se contente de lui donner cett
lle portant sur un char la corbeille sacrée de la déesse. Ils étaient
suivis
par une troupe de femmes appelées Cistophores à c
même de serpens et de grenades dont elles étaient chargées. Le peuple
suivait
cette procession en criant : salut, ô Cérès ! pui
uittant Athènes par la porte dite Hierâ pylè ou porte sacrée, puis on
suivait
la Hierâ hodos ou voie sacrée, et après avoir fai
à pleine voix pour imiter Cérès cherchant sa fille ; d’autres femmes
suivaient
en poussant également des hurlements affreux, la
ouronnes de comosandale ou espèce d’hyacinthe. Cette procession était
suivie
d’une génisse n’ayant pas encore porté le joug, q
vergers, des saisons et des moissons ; Vacuna présidait au repos qui
suit
les moissons ; on célébrait en son honneur, vers
eux talisman, fut donc présentée par les Heures au conseil des dieux,
suivie
, dit-on, à tort probablement d’Eros ou l’amour et
union purement politique, eut dans le ciel les tristes résultats qui
suivent
souvent de pareils mariages sur la terre. Vénus a
-même pendant les quatre autres mois. Décision qui fut ponctuellement
suivie
, à cela près que le bel adolescent, préférant l’a
Cinyre, de Pharnacé, et des Cinyrades, dynasties sacrees, mais encore
suivre
les Tamiras et les Tamirades, familles sacerdotal
es en rocher. Ces Propétides présentent la transition allégorique que
suit
toute femme qui se livre à ses penchans : d’abord
rence, elle essaya de l’oublier. Ce fut inutilement, car son image la
suivait
partout ; enfin elle voulut aussi faire le saut d
uitté la terre en même temps que Némésis. Compagne de la beauté, elle
suivait
toujours Vénus pudique, et on la représentait ave
, ou même de Junon ou du soleil et d’Eglée. Mais la tradition la plus
suivie
les porte toujours comme filles de Vénus ; elles
trouver une mort qu’elle désirait, s’abandonne enfin à sa destinée et
suit
au hasard le premier chemin qui se présente devan
ette jeune nymphe était tellement éprise du beau Narcisse, qu’elle le
suivit
long-temps, sans pourtant se laisser voir. Puis b
de l’Amour, était la personnification du mariage ; habituellement il
suivait
l’Amour dans le cortége de Vénus. Il passait quel
nce fort élevée à laquelle il n’osait déclarer sa passion, mais qu’il
suivait
partout où elle allait. Un jour, se trouvant trav
cousin se présenta, mais il fut obligé de fuir à Thèbes où Alcmène le
suivit
. Malgré tout son amour pour son mari, elle fut tr
our une allusion à la Néoménie ou nouvelle lune du printemps. Si nous
suivons
cette fable, nous voyons qu’Inachus était un fils
s, cédant aux pressantes sollicitations de Pâris, elle consentit à le
suivre
en Asie. Tous deux errèrent long-temps sur les me
Dieu du vin et de la joie, portait les différens noms et surnoms qui
suivent
: Acratophore et Acratopote ou qui porte ou boit
des peuples qu’il avait conquis. Dans ce voyage, comme dans ceux qui
suivirent
, l’on remarqua plusieurs compagnons de Bacchus, t
es, et de préférence sur les montagnes et les rochers. Les bacchantes
suivaient
portant des corbeilles d’or pleines de fruits, de
us, et un troisième à l’injure. Quant aux mystères qui précédaient ou
suivaient
ces processions, ils étaient analogues à ceux des
au fur et à mesure que l’occasion se présenta. Ainsi, continuons à le
suivre
au milieu de ses hauts faits : Pendant qu’il étai
se fit aider, soit par des rois auxiliaires, soit par des amis qui le
suivaient
toujours et formaient son escorte. Parmi ces comp
pour obéir aux ordres d’Eurysthée ; Myscélus d’Argos, fils d’Alémon,
suivit
Hercule, et s’établit ensuite en Italie ; OEnonc
moire de l’amitié dont Hercule le favorisait ; Sténèle, fils d’Actor,
suivit
Hercule contre les Amazones ; Stichios, Etolien,
du héros qui le tua dans ses accès de fureur ; Zacinthe, Béotien, qui
suivit
Hercule en Espagne et mourut dans l’ile de la mer
et le soir après le coucher du soleil, un sacrifice que l’on faisait
suivre
d’un grand repas ; lors du premier sacrifice, les
peuples heureux, moyen qu’il put emprunter à Moïse, et qui depuis fut
suivi
par Numa. Du reste, la sagesse du gouvernement de
l avait autant avec Minos qu’avec Taurus. Quoi qu’il en soit, si nous
suivons
la fable, nous trouvons que Minos, informé de cet
lancèrent tous deux dans les airs. Malheureusement Icare, n’ayant pas
suivi
assez exactement les recommandations de son père,
daient sur les contestations relatives aux paiemens, étaient toujours
suivis
de la mort de celui qui ne les exécutait pas. On
és par les enfans de la terre, se retirèrent en Égypte, Neptune les y
suivit
sous la forme d’un cheval. Ensuite, revenu dans s
on lui avait érigé une statue d’airain haute de sept coudées. Si nous
suivons
les fêtes de Neptune, nous trouvons que les Consu
ussitôt, il voit une vache des troupeaux de Pélagon, il l’achette, la
suit
, et arrive en Béotie. Ayant besoin d’eau, il envo
sa femme, qui lui donna le nom d’OEdipe ou aux pieds enflés. Si nous
suivions
simplement l’histoire, nous dirions avec les hist
éviter de retourner à Corynthe, il se laissa guider par les astres et
suivit
la route de la Phocide. Bientôt, dans un chemin é
, Mécistée ou Tydée ; de plus, ils avaient avec eux Lycurgue, qui les
suivait
en simple volontaire. Ces princes, sous les ordre
vin et roi d’Argos était fils d’Apollon, d’autres disent d’Oïclée qui
suivit
Hercule contre le roi Troyen Laomédon et d’Hyperm
xpédition, fit prêter serment de fidélité à tous les guerriers qui le
suivaient
; puis ils levèrent l’ancre, dirent adieu à Iolch
hers, ils lâchèrent, d’après le conseil de Phinée, une colombe qu’ils
suivirent
à la force de rames, tandis qu’Orphée pinçait de
olchos, Médée s’y rendit célèbre par le meurtre de Pélias ; puis elle
suivit
Jason à Corynthe, et eut de lui deux fils, Phérès
e, enflamma tellement son âme, qu’il ne respira plus que l’honneur de
suivre
les traces d’Hercule en domptant les monstres, et
’avons dit, eut deux fils de son alliance avec Phèdre, l’un Démophon,
suivit
Eléphénor chef des Eubéens, au siége de Troie, co
one ou esclave de Téthys. Sperchius, dieu-fleuve, auquel Pelée, pour
suivre
une coutume de tous les Grecs, lui consacra la ch
agnes, filles d’Hécate et de Phoronée, ou, dit-on, de Jupiter ; elles
suivaient
Diane à la chasse ou quelquefois Palès, quand il
egardée comme sa fille, comme sa mère ; pourtant la tradition la plus
suivie
en fait une fille épouse de ce dieu ; c’est-à-dir
immolaient des brebis noires, comme aux furies dont nous allons faire
suivre
la fable dans quelques lignes ; mais auparavant,
e plusieurs de ces Danaïdes, quelques auteurs dont la légende est peu
suivie
, mettent ceux-ci : Acamanthis, femme d’Echonyme ;
é à celui qui le vaincrait à la course. Déjà, tous les prétendans qui
suivent
, avaient succombé. Aristomaque, Capet, Chalcodon,
s entrons dans quelques détails, et pour mieux nous faire comprendre,
suivons
mot à mot la légende rapportée par M. Parisot. Le
ers les plus célèbres de ces deux armées ennemies, et nous les ferons
suivre
de quelques détails sur ceux d’entre eux qui se f
s, comptaient dans leurs rangs : Acamas, fils de Thésée et de Phèdre,
suivit
Eléphénor ; Agamemnon ; Achille, fils de Pélée et
nus ; Démolée combattit Epée ; Demophon, fils de Phèdre et de Thésée,
suivit
en amateur Eléphénor ; Dexius, tué par Glaucus ;
s ; Phénix, fils d’Amyntor, aveugle qui, malgré son infirmité, voulut
suivre
à ce siège Achille, son élève ; Phidippe, de la r
t mari de Prolyxo, fut à Troie avec neuf vaisseaux rhodiens, il y fut
suivi
par sa femme Philozoé, et fut tué par Sarpédon ;
hef de cette expédition ; quant aux autres guerriers, nous les ferons
suivre
par ordre alphabétique. Agamemnon, roi de Mycène
un terme à ses maux. Aussitôt il court à Athènes, mais les furies l’y
suivent
; cependant, protégé par Apollon et par Minerve,
aborde chez les Taures, peuple sauvage et farouche. Partout Pylade le
suit
: ils se présentèrent donc à Thoas, roi de Taurid
de pendant qu’Oreste plonge son épée dans le sein de sa mère. Si pour
suivre
la guerre de Troie avec détails nous passons aux
qu’il la décida à quitter son époux, sa patrie et sa couronne pour le
suivre
en Asie. Dans leur voyage, ils abordèrent à l’île
aussi Philomèle ou Polymèle ; Achille fut le plus brave des Grecs qui
suivirent
Agamemnon en Asie. A peine fut-il au monde que sa
les admira. Son sexe ayant été ainsi découvert, il ne put refuser de
suivre
les autres Grecs en Asie. Sa mère lui donna en pl
ent la fuite : une partie se précipite dans le Xanthe, où Achille les
suit
; il fait douze prisonniers qu’il doit immoler su
é par Chiron. Il se lia de l’amitié la plus tendre avec Achille qu’il
suivit
dans les combats, et à Scyros ; il reçut de lui l
qui le reçut avec bonté. Il fut un des prétendans à la main d’Hélène,
suivit
Nestor à Troie et se lia d’amitié avec Achille. I
ls de Thestor, célèbre devin, était de Mycènes et habitait Mégare, il
suivit
les Grecs au siége de Troie, en qualité de pontif
ne possédaient les flèches d’Hercule, ils engagèrent Philoctète à les
suivre
, ce qu’il fit, chargé des flèches d’Alcide, à la
t de venir à Troie ; d’abord il refusa, puis enfin il consentit à les
suivre
et blessa mortellement Pâris. Après la prise de l
u du fleuve Scamandre et d’Idée, était très-habile à manier l’arc. Il
suivit
son frère Ajax au siége de Troie ; là, il fit tom
riam. Ulysse, chercha de toutes les manières à éviter l’obligation de
suivre
les rois ligués contre Troie : ainsi, pour ne poi
memnon et Ménélas, présens à cette expérience, forcèrent Ulysse à les
suivre
avec ses troupes et douze vaisseaux. Il se distin
ent quand et de quelle manière il mourut. Cependant, la fable la plus
suivie
, prétend que, dans sa vieillesse, il s’éloigna un
qui fournissait du vin à l’armée grecque ; Épipole, jeune héroïne qui
suivit
les Grecs sous un habit d’homme, et que Palamède
-trois fils, et les divers guerriers dont nous allons faire également
suivre
les noms : Fils de Priam : Agave ou le radieux,
ût venue s’y opposer. Andromaque, après la mort de Néoptolème, se fit
suivre
d’Hélénus, fonda un petit royaume en Chaonie, et
s de Troye sans Philoctète. Quelque temps après la ruine de Troye, il
suivit
Néoptolème en Épire, et lui rendit de très-grands
ver : aussi, par reconnaissance, les Grecs respectèrent sa maison. Il
suivit
, après la destruction de Troye, Ménélas et Hélène
aocoon, fils, ou de Priam et d’Hécube, ou, suivant la légende la plus
suivie
de Capys et de Thémis, était un Troyen qui devint
raves, de femmes, d’enfans et de vieillards. Sa femme seule ne put le
suivre
, se perdit au milieu des flammes, et fut enlevée,
re conseille alors à Enée d’aller en personne à la cour d’Evandre. Il
suit
cet avis et arrive à Pallantée, ville capitale de
partie de ses compagnons sauvés des ruines de Troie et qui l’avaient
suivi
; ils étaient fort nombreux ; on remarquait parmi
encore enfant lorsqu’il fut obligé de fuir la la ville de Troie et de
suivre
la destinée de son père. Après la mort d’Enée, As
oth fut l’intelligence divine qui leur suggéra tout ce qu’ils firent.
Suivons
donc maintenant ces civilisateurs égyptiens dans
. Haroéri, ou Orus, était le principal fils d’Osiris et d’ Isis ; il
suivit
son père en Éthiopie et aux Indes. Lors de l’assa
son propre fils, et plus tard en fit son compagnon et son gardien. Il
suivit
son père dans l’expédition qu’il fit pour conquér
us appelerons les analogues par la suite du nom de Cinocéphale ; elle
suivit
Typhon, mais finit par déserter sa cause pour s’a
7, 18 et 35e dynastes. Ptébiou 1e, troisième décan des poissons ; il
suit
Aseu, auquel il est lié par une suite de 11 à 12
egbuo, ou Erébiu, de Firmicus, est le premier décan du sagittaire, il
suit
dans les deux zodiaques le décan apocéphale Siémé
n, elle fut chercher ce secours dans les cieux, et aussitôt, pour l’y
suivre
, son père éleva une cinquième tête au-dessus des
’Emyde ou carapace de tortue, qui servit de premier vina, et elle est
suivie
de quatre Raginis. Après les nymphes musicales, B
e avant qu’elle arrive dans les bras de son époux. Si maintenant nous
suivons
les divinités subalternes échelonnées après celle
uit régions du monde. Arouna siége à la partie antérieure du char, et
suivi
de milliers de dieux et de génies bienfaisans qui
nt le fluide resplendissant qu’il lançait. Rama, arrivé à la puberté,
suivit
, malgré son père, le célèbre Brahmane Viçouamitra
ra victorieux à Lanka. Il délivra aussi Viçouamitra des Açouras et le
suivit
à la cour de Djanaka ; bientôt Sita, fille de ce
n fils pour douze ans. Rama se retira dans l’immense forêt de Dandaka
suivi
de son frère Lakchmana. Là, il extermina les géan
rêter plus long-temps sur ses origines incertaines, nous allons faire
suivre
la fable dont on a entouré ce personnage ; fable,
il se fondit. Puisque nous venons de parler du Thibet, commençons par
suivre
le Bouddhisme dans cette contrée. Thibet.
s et d’un grand nombre de peuple. Ensuite viennent deux chevaux gras,
suivis
des prêtres et des grands. Toute cette troupe se
ne ; le grand prêtre avait la tête ceinte d’un diadème, les assistans
suivaient
, en célébrant leur joie par des danses armées, co
Amschasfands. Ces sept princes ou chefs des Devs portent les noms qui
suivent
: Achmogh est opposé à Bahman, le second Amschas
prophéties, dont personne n’osait douter. Ce sacrifice horrible était
suivi
d’un grand festin qui se terminait par des danses
légendes de ces peuples, est un génie funeste qui doit venir un jour,
suivi
des génies du feu, envahir le ciel, briser le pon
entre Aï, tige des esclaves, et Eadit tige des hommes nobles. Si nous
suivons
la liste des Ases nous trouvons : Niord, ou Nior
rtenant aux dieux ennemis des hommes et du monde, les personnages qui
suivent
: Agnar fils de Geirrod, roi inhospitalier, qui
’or et d’ambre avec lesquels il attirait les hommes qui semblaient le
suivre
volontairement. Onouava, déesse celte dont on re
en jetait le contenu par-dessus sa tête ; ensuite, tous les assistans
suivaient
son exemple. Esterelle, déité des Voconces ou de
me punit celui qui le commet, et que la vertu récompense celui qui la
suit
. Aussitôt que cette grande vérité fut admise, la
développer les fictions. Des tombeaux rappellent, par des traditions
suivies
, le souvenir des grands hommes dont ils renfermen
dale. Thésée s’en servit pour échapper après sa victoire : Ariadne le
suivit
, et tous les deux arrivèrent heureusement à l’île
Dédale, en faisant ses statues, prit le corps humain pour modèle, et
suivit
exactement ses proportions. Il forma des jeux, pa
éservé que la surveillance des lois ; il ne pouvait plus forcer à les
suivre
. Ce bienfait imprudent détruisit sa puissance. Va
épondit que son mal était sans remède. Alors il alla sur le mont Œta,
suivi
de son ami Philoctète ; il dressa lui-même un bûc
ent léger que Phinée avait donné pour indiquer la route qu’il fallait
suivre
. Cet essai des Argonautes fit connaître ce nouvea
les femmes de Thrace, outrées de voir leurs maris les abandonner pour
suivre
Orphée, lui tendirent des embuscades et le déchir
ns la guerre de Thèbes, on vit des projets concertés avec prudence et
suivis
avec fermeté ; des peuples différens, renfermés d
e troyen réunissait le désir de plaire. Hélène abandonna tout pour le
suivre
. « Les Atrides voulurent en vain obtenir par la d
rt de la navigation, les Grecs n’avaient pu établir une communication
suivie
entre la Grèce et l’Asie. Les subsistances commen
jours au hasard le soin d’un succès qu’ils ne savaient ni préparer ni
suivre
; les troupes se heurtaient et se brisaient avec
omède et Sthénélus, Idoménée et Mérion, tant d’autres héros dignes de
suivre
leurs traces, combattaient souvent l’un près de l
ever ce magnifique ouvrage. D’autres architectes leur succédèrent, et
suivirent
leurs dessins ; il ne parvint à sa perfection qu’
portique, et l’enfoncement est contenu par huit autres colonnes. On a
suivi
par tout l’ordre corinthien. Du temps du pape Eug
perçut un essaim d’abeilles ; il les vit voler vers un antre ; il les
suivit
, et découvrit ainsi l’oracle.Trophonius, dit Pau
mme dix Sibylles ; il cite les auteurs anciens qui en ont parlé. Nous
suivrons
l’opinion de Varron, et l’ordre qu’il se prescrit
ns d’Odin, ou du dieu suprême. Après avoir soumis autant de peuples à
suivre
les rites du culte de sa patrie, Odin prit la rou
entreprendre de soumettre la Norwège. Son bonheur et son habileté l’y
suivirent
; ce royaume obéit bientôt à un fils d’Odin, nomm
e passages des anciens historiens prouve que beaucoup de guerriers ne
suivaient
pas cette croyance et ne reconnaissaient d’autres
famille, par le moyen d’une barque ; ce renouvellement des mondes qui
suit
le déluge ; ce premier homme, cette première femm
aux et de ses yeux ; il dévorera le soleil, et le grand dragon qui le
suit
vomira sur les eaux et dans les airs des torrens
monde jusqu’à ce bouleversement général de la nature, qui devait être
suivi
d’une seconde génération. La seconde était le pal
un point imperceptible au milieu de l’éternité qui les précède et les
suit
. Sans prétendre indiquer le temps où l’Angleterre
pas apercevoir. Chaque homme croyait avoir son ombre tutélaire qui le
suivait
sans cesse ; lorsque sa mort approchait, l’esprit
osaient la première ; ils étaient les chefs suprêmes, et ceux qui les
suivaient
étaient tellement leurs inférieurs, que, par resp
s. Un héraut, portant un caducée, venait après eux ; trois druides le
suivaient
, et portaient les instrumens nécessaires pour le
e. Après l’avoir reçu, l’on immolait deux taureaux blancs ; un festin
suivait
, et lorsqu’il était terminé, on adressait des pri
t jamais plusieurs femmes à la fois, et souvent les épouses déguisées
suivaient
le héros à la guerre. Dans les temps brillans de
ontées isolément, frappent davantage l’imagination. Enfin, nous avons
suivi
le conseil de Rollin en rejetant dans des notes e
se vêtir, à bâtir des maisons et à cultiver la terre [Fig. 7]. Il fut
suivi
de l’âge d’airain, où commencèrent les crimes et
er à Jupiter qu’il lui apparût dans tout l’éclat de sa gloire. Sémélé
suivit
ce perfide conseil, et Jupiter, qui avait juré pa
, il fit la conquête des Indes, accompagné de son père nourricier, et
suivi
d’une multitude d’hommes et de femmes, portant, a
, il avait dévoué à la vengeance de Neptune. La perte de son fils fut
suivie
de la révolte des Athéniens. Le malheureux Thésée
ar leur amitié, et par leurs exploits sur mer contre les pirates. Ils
suivirent
Jason à la conquête de la toison d’or. Pollux exc
uosité avec laquelle il se jeta sur les armes, et ne put se refuser à
suivre
Ulysse au siège de Troie. Après l’arrivée de ces
vait devenir un spectacle tragique par le carnage dont il allait être
suivi
. Tous les princes font de vains efforts pour tend
r la douceur de ses chants. La reconnaissance d’Ulysse et de Pénélope
suivit
le meurtre des princes. On peut se figurer la joi
céleste ; Lui montre encore sa route, et, du plus haut des cieux, Le
suit
, autant qu’il peut, de la voix et des yeux. Va pa
mploré Apollon, prirent des ailes et s’envolèrent. Pyrénée voulut les
suivre
, et monta sur le haut d’une tour, croyant pouvoir
nnés. Procris, qui n’était point guérie de la jalousie, s’avisa de le
suivre
secrètement. Un jour, épuisé de fatigue, Céphale
e cabane [Fig. 115]. Pour les récompenser, Jupiter leur ordonna de le
suivre
au haut d’une montagne. Arrivés au sommet, ils re
[Fig. 116]. Je cours à travers les bois et les campagnes ; le dieu me
suit
toujours. Enfin, ne pouvant plus marcher, j’implo
représentent les faux plaisirs et les regrets dont ils sont toujours
suivis
. 19. Proserpine, passant alternativement six moi
ns tous les cœurs par l’Auteur de la nature. Ce premier égarement fut
suivi
d’une idolâtrie plus marquée, et, dans un sens, m
Boileau. Les Poëtes ne méritent ce titre honorable qu’autant qu’ils
suivent
les différens sentiers tracés par la Fable : s’il
uvoir est très-bien exprimée. Jupiter parle ainsi aux autres dieux :
Suivez
-moi donc : venez, troupe choisie, Goûter en paix
ivrer ses biens à la faulx. Lamotte. L’Age d’airain est le tems qui
suivit
le règne de Saturne : les hommes, devenus méchans
vous ; il n’est plus tenu d’attendre : Tout l’empire qui
suit
vos lois Bientôt ne sera plus qu’un vain monceau
t trouver des charmes Aux pleurs que je sens m’échapper ? La pitié la
suit
gémissante, La terreur toujours menaçante La sout
A tes gestes choisis une vue attentive De tes desseins
suivroit
le cours ; Et dans ton action, aussi juste que vi
llent les graces ; Si la danse n’amuse et ne charme les yeux, L’ennui
suit
les plaisirs, et vole sur leurs traces. Fuselier
d’autres prétendent qu’il fut élevé par Silène, vieux satyre, qui le
suivit
à la conquête des Indes, monte sur un âne. Il s’e
festons couronnant mes cheveux, En tous lieux je prétends te
suivre
. Rousseau. Les sacrifices que l’on faisoit en s
séjour plein d’horreur. La sombre Jalousie, au teint pâle et livide,
Suit
, d’un pied chancelant, le soupçon qui la guide :
rfide, Applaudit, en passant, à leur troupe homicide. Le repentir les
suit
, détestant leurs fureurs, Et baisse, en soupirant
rpine s’étoit déjà accoutumée dans ce sombre royaume ; elle refusa de
suivre
sa mère. Cérès ne pouvant la persuader, eut recou
entoient pour entrer avant leur mort. Hercule l’enchaîna, et s’en fit
suivre
jusques sur la terre, quand il retira des enfers
son royaume fussent changées en hommes, et les appela Myrmidons : ils
suivirent
Achille au siège de Troie. Ces deux juges avoient
remparts, Contre qui tout l’effort de la valeur humaine Ne peut être
suivi
que d’une mort certaine. P. Corneille. Deux ta
se détruisirent eux-mêmes. Jason emporta la Toison d’or ; et Médée le
suivit
dans la Thessalie, ou il l’épousa. Aëte avoit le
ridicc. Gresset. Pluton la lui rendit ; mais à condition qu’elle le
suivroit
, et qu’il ne la regarderoit point qu’elle ne fût
ptre, et la reine son lit. De cent cruelles morts cette offre est tôt
suivie
. J’arrive ; je l’apprends ; j’y hasarde ma vie. A
emple de ces crimes affreux, et des châtimens sévères donc ils furent
suivis
. Lycaon, roi d’Arcadie, fut changé en loup par Ju
e puis choisir, dit-on, ou beaucoup d’ans sans gloire Ou peu de jours
suivis
d’une longue mémoire ; Mais, puisqu’il faut enfin
es héros. La Grange-Chancel. Achille ne respiroit que la gloire. Il
suivit
Ulysse avec joie, et quitta en héros Déïdamie, fi
s qui siflent sur vos têtes ? A qui destinez-vous l’appareil qui vous
suit
? Venez-vous m’enlever dans l’éternelle nuit ? Ve
et en retire Alceste, 106-137 Hercule enchaîne Cerbère, et s’en fait
suivre
, 106-137 — Punit Carybde, 96 — — Antée, 135 —
se au rang des dieux, 11 — Est enlevé par Pluton, 98-99 — Refuse de
suivre
sa mère, 99 — Thésée et Pirithoüs entreprennent
robe est parsemée de fleurs. Quand Saturne fut exilé du ciel, Rhéa le
suivit
en Italie, où elle seconda ses vues de bienfaisan
is chemins. — On représente Diane armée d’un carquois et d’un arc, et
suivie
d’une meute de chiens ; ses jambes et ses pieds s
Silène, les Satyres, les Corybantes, et Aristée, l’inventeur du miel,
suivaient
ses pas. Sa conquête ne coûta point de sang : les
tapissaient les coteaux de son territoire, et intima à ses sujets de
suivre
son exemple. Bacchus ne put envisager froidement
r les obstacles : la lutte tournera enfin à leur profit, et le succès
suivra
leurs efforts. (Le nom de protée, dans le langage
ente avec des ailes, pour montrer avec quelle promptitude la punition
suit
le crime. Elle tient une lance dont elle frappe l
se passe. Dès le jour même, Jason fait les préparatifs de son départ.
Suivi
de Médée, il regagne de nuit son navire, y appell
peine quitté l’antre de la pythie, qu’il rencontra la génisse. Il la
suivit
, elle s’arrêta, et dans l’effusion de sa joie, il
une étranger, lui avoua qu’elle l’aimait, et qu’elle était prête à le
suivre
. Bellérophon, qui n’éprouvait aucune affection po
ur ta faiblesse. Évite l’un et l’autre extrême, et ne cesse pas de me
suivre
. » En disant ces mots, Dédale ajuste les ailes au
uva ainsi de l’île de Crète, en devançant les navires de Minos qui le
suivaient
à force de rames. Le navire d’Icare mal gouverné
é seul auprès d’Hélène, Pâris lui ouvre son cœur, et la conjure de le
suivre
à Troie. Elle ne résiste que faiblement à celui q
sa mère. Mais bientôt, réfléchissant aux triomphes dont sa mort sera
suivie
, elle se résigne au trépas, fait elle-même les pr
le maudissait l’instant où elle avait eu la faiblesse d’écouter et de
suivre
un étranger. A la mort de Pâris, elle épousa Déip
es amis, ne purent le déterminera sortir de cette inaction. Patrocle
suivit
l’exemple de son ami, partagea son ressentiment,
? Où sont les cendres de ton frère ?… » Et un bannissement perpétuel
suivit
cette accablante réception. Teucer se soumit sans
rs de ce traître fit une impression profonde dans les esprits, et fut
suivi
d’un événement qui leva toutes les irrésolutions.
e ? Beaucoup d’obscurité règne sur ce point. Les uns prétendent qu’il
suivit
Ménélas et Hélène, et qu’ayant fait avec eux nauf
n vaisseau pour continuer sa navigation. (Voyez les deux articles qui
suivent
.) § 16. Nausicaa. Du temps de la guerre de
e présents. Nausicaa lui fit naïvement un touchant adieu, et ses yeux
suivirent
longtemps la trace du navire sur les flots. §
javelots : « Amis, ajouta-t-il, en s’adressant toujours à ses sujets,
suivez
-moi ; exterminons cette engeance d’insolents et d
n vieux père sur ses épaules, tenant son fils Ascagne par la main, et
suivi
de Créuse, son épouse, qui disparut dans l’obscur
nanimé de Pyrame, près du voile fatal qui a causé son erreur. « Je te
suivrai
dans la mort, dit-elle, et ne te quitterai point
nche main, et ose enfin s’asseoir sur son dos. Ses compagnes allaient
suivre
son exemple ; le perfide taureau ne leur en laiss
. Écho, fille de l’Air, aimait si éperdument Narcisse, qu’elle le
suivait
dans les bois, à la chasse, au bord des fontaines
n ne peut résister ; il cède, mais à regret ; une vague inquiétude le
suit
. Aussitôt que le navire est en pleine mer, Térée
dans une mélancolie profonde ; le souvenir de tant de séparations le
suivait
partout, l’assiégeait partout, dans la solitude c
lle la voix des tempêtes. Renoncez à partir, ou permettez que je vous
suive
. Éloignée de vous, mon esprit sera en proie à de
’aimer, le calme et le bonheur. Quel fut le mortel qui osa le premier
suivre
l’exemple de Vénus ? On l’ignore ; mais on sait q
sse seule captivât ses goûts. Pour s’en éclaircir, elle s’avisa de le
suivre
secrètement, et de se tenir cachée dans les taill
usieurs jours à se remettre de ses fatigues. Souvent une prompte mort
suivait
son enthousiasme convulsif. L’oracle parla d’abor
bis. Anubis était frère d’Horus. Dans les cérémonies funèbres qui
suivirent
la mort d’Osiris leur père, ce fut Anubis qui emb
que les poëtes ont célébrée sous le nom de l’âge d’or. Les temps qui
suivirent
furent successivement appelés l’âge d’argent, l’â
oussière ; Lycaon parvint à s’échapper, mais le courroux des Dieux le
suivit
dans les bois où il avait cherché un refuge, et i
tait constamment les bois, accompagnée d’une troupe de nymphes qui la
suivaient
sans cesse. On la considère aussi comme la divini
arc, et un carquois est attaché à son épaule ; une meute de chiens la
suit
en courant. Quelquefois aussi on la montre sur un
eur enseigna l’art de faire le vin. Dans toutes ses courses, il était
suivi
de Pan, de Silène et des satyres. On dit que les
, les Ris et les Plaisirs, qui, sous la forme de petits génies ailés,
suivaient
partout leur mère, et faisaient l’ornement de sa
Les Génies étaient des divinités attachées à chaque homme, qui le
suivaient
depuis sa naissance jusqu’à sa mort, et qui prési
’un gâteau préparé par la Sibylle ; et Hercule l’enchaîna et s’en fit
suivre
quand il alla arracher Alceste des enfers. Ques
, etc. On la représente avec des ailes, pour indiquer que la punition
suit
de près le crime ; elle est armée de flambeaux et
chaudière ; mais les malheureuses princesses, après avoir fidèlement
suivi
ses instructions, attendirent vainement l’effet d
impatience, tourna un instant la tête pour s’assurer si son épouse le
suivait
. Ce regard suffit pour lui faire perdre à jamais
isaient-ils pas des miracles ? — Qui épousa-t-il, et quels événements
suivirent
cette union ? — Comment mourut Orphée ? VII.
mus trouva en effet un bœuf qui se mit à marcher devant lui, et il le
suivit
jusque dans une contrée à laquelle il donna le no
chants guerriers, n’eut pas de peine à déterminer le jeune héros à le
suivre
vers les lieux où l’attendaient la gloire et les
pargner son fils, et, voyant ainsi sa ruse dévoilée, il fut obligé de
suivre
les autres capitaines grecs devant Troie. Une foi
on père et ses Dieux Pénates, tenant par la main son fils Ascagne, et
suivi
de sa femme Créuse, qu’il perdit dans l’obscurité
er les airs. Ce ne fut qu’en tremblant qu’il encouragea son fils à le
suivre
dans cette route nouvelle ; et en effet, le jeune
ues les plus remarquables des temps fabuleux. 70. Célèbre devin qui
suivit
l’armée des Grecs à Troie. Après la chute de cett
r aboyer et gémir sur la tombe de son maître. Érigone qui n’avoit pas
suivi
son père, se mit en route pour l’aller rejoindre.
hésée fut reconnu par son père. Thésée résolu d’affranchir sa patrie,
suivi
des jeunes gens désignés pour être envoyés en Crè
s de Jupiter, et Iphiclès fils d’Amphitryon. Cet Iphiclès ou Iphiclus
suivit
Hercule dans ses expéditions et fut tué dans la g
ner Hercule, mais la Vertu qui lui promit la gloire, l’emporta, il la
suivit
en s’arrachant pour jamais des bras de la Molesse
a chasse du Sanglier de Calydon, ensuite il s’attacha à Hercule qu’il
suivit
dans ses expéditions. Laomédon fils d’Ilus Roi de
ymphes l’enlevèrent. Hercule, inconsolable de sa perte ne voulut plus
suivre
les Argonautes. Il les quitta pour aller chercher
son y consentit et Junon excita la plupart des héros de la Grèce à le
suivre
dans cette expédition. Voici l’histoire de cette
étoit fille de Cadmus et d’Hermione. Des dames Thébaines qui avoient
suivi
Ino sur le bord de la mer quand elle s’y précipit
re avec Absyrthe, sous prétexte d’entrer en accommodement ; Médée les
suivit
. Le jeune Absyrthe, sans défiance, se laissa cond
ouvrit de feuilles et d’olives. Alors, Pélias ordonna à ses filles de
suivre
en tout, pour la terrible opération de son rajeun
s de sa suite, elles se sauvèrent toutes, mais Achille au lieu de les
suivre
se jeta de premier mouvement sur les armes, avec
uride où elle étoit prêtresse d’un temple de Diane. Oreste obéit, et,
suivi
de Pylade, il se rendit dans cette contrée barbar
branches de feuillages et courut implorer la Princesse qui lui dit de
suivre
son char. Ulysse fut parfaitement reçu par Alcino
ouré de la Richesse, de la Flatterie, de l’Orgueil, de la Volupté, et
suivi
de l’Envie. Ce cortége lui convient assez bien, d
ompagne et l’erreur la conduit, De faux pas en faux pas la sottise la
suit
. La Discorde ou Eris. Ses attributs sont
ége. Il fut déclaré héros par l’oracle d’Apollon, pour l’aventure qui
suit
. On lui avait élevé après sa mort une statue en m
mer. Peu de temps après, il y eut une grande stérilité dans le pays,
suivie
de la famine. L’oracle étant consulté, répondit :
yeux baignés de larmes, les membres déchirés et couverts de lambeaux,
suivaient
d’un pas chancelant, et fermaient la marche .
s ou Serpentaire. Esculape laissa deux fils, Mochaon et Podalire, qui
suivirent
les Grecs à la guerre de Troyes. Les plus habiles
qui reconnut la métamorphose d’Esculape rassura les Romains. Le dieu,
suivi
des ambassadeurs, traversa la ville aux yeux de t
ttre les écoles publiques, et qu’il mourut misérable pour n’avoir pas
suivi
les bons conseils qu’on lui avait donnés. Apollon
blis, on alla les consulter ; leur réponse passait pour loi, et on la
suivait
religieusement. Les plus accrédités et les plus m
roie. L’enveloppe, l’étouffe, arrache de son flanc D’affreux lambeaux
suivis
de longs ruisseaux de sang. Leur père accourt : t
ane, sur la terre, prenait plaisir à poursuivre les animaux des bois,
suivie
de soixante nymphes, filles de l’Océan, et de vin
emières Bacchantes accompagnèrent Bacchus dans ses voyages ; elles le
suivaient
partout, chantant, criant, sautant, et faisant to
ture Sainte. Selon les poètes, outre ces emplois, Mercure doit encore
suivre
Junon, soit pour lui servir d’escorte, soit pour
lles ! La fille du Chaos plane dans cette enceinte, La nuit, que
suit
partout le mystère et la crainte ; Qui des so
avec la même figure, étaient ses compagnons. Une troupe de nymphes le
suivaient
toujours, il les faisait danser au son de la flût
t éprise de Narcisse, beau jeune homme qui n’aimait que lui ; elle le
suivit
en vain sur les montagnes et dans les forêts. Dés
he de frêne. On la peignait avec des ailes, pour marquer que la peine
suit
de près le crime : elle pose le pied sur une roue
honneur ne peut s’acquérir que par la pratique de la vertu ; et, pour
suivre
le conseil des augures ou donner une leçon d’humi
ns un instant d’ivresse, Dieu digne de pardon, si l’enfer pardonnait,
Suivit
imprudemment l’ardeur qui l’entraînait. Presqu’au
oudain dans les airs s’évapore ; Orphée en vain l’appelle, en vain la
suit
encore. Il n’embrasse qu’une ombre ; et l’horribl
causa celle de la mère, et Créon, ne pouvant survivre à sa femme, la
suivit
au tombeau. Tantale La famille de Tantale
ortir leurs hôtes. De ce bourg, dit Jupin, je veux punir les fautes :
Suivez
-nous. Toi, Mercure, appelle les vapeurs. O gens d
œurs ! Il dit, et les autans troublent déjà la plaine. Nos deux époux
suivaient
, ne marchant qu’avec peine ; Un appui de roseau s
e son immortel Discours sur l’Histoire Universelle. Bornons-nous à le
suivre
, lorsqu’appuyé sur l’Écriture Sainte il s’empare
e lorsqu’il s’était éloigné de sa terre natale. Chaque génération qui
suivit
s’écarta de plus en plus de la lumière ; l’empire
remières générations qui précédèrent le déluge, et sur les dix qui le
suivirent
. Quatre auteurs anciens1 avaient écrit l’histoire
voit déjà mêler à leur religion l’invention des arts utiles. Nous ne
suivrons
pas plus au long le fragment de Sanchoniaton, pui
e que l’écriture fut employée, on n’écrivit pas d’abord des histoires
suivies
. Elle servit à conserver des éloges, des cantique
mieux éclaircir en quel temps les fables ont pris naissance, il faut
suivre
Varron, et distinguer avec lui trois sortes de te
avant l’histoire de ces poëmes. Hésiode et Homère s’étaient bornés à
suivre
les principes de la théologie de leur pays, dont
que de la justice ; il opposa l’image du bonheur à celle des maux qui
suivent
la barbarie ; il contraignit en quelque sorte à d
’Italie. On trouvera que l’idolâtrie et les fables ont presque toutes
suivi
la même marche. Les Romains se distinguèrent extr
mmés par la fable n’appartiennent pas au même Jupiter, nous allons la
suivre
en les faisant connaître, parce qu’on les retrouv
e la Grèce qui, par la suite, porta le nom de Péloponèse. Jupiter l’y
suivit
, le vainquit, et le força d’aller chercher un asi
des jeux olympiques. Un fragment d’histoire rapporte que cet Hercule,
suivi
de trois de ses compagnons, quitta le mont Ida, s
d’autres enfin, par les Heures. Dans le temps des princes Titans, on
suivait
encore quelques usages des premiers patriarches ;
mis, qui sur-le-champ furent métamorphosées en hommes. Les Grecs, qui
suivirent
Achille à la guerre de Troie, prétendaient descen
punir de leur brutale inhumanité. Nous ne donnerons point l’histoire
suivie
de Latone et d’Apollon ; elle se trouve dans tout
rapprochant de l’histoire. Niobé, fille de Tantale et sœur de Pélops,
suivit
son frère lorsqu’il passa dans la partie de la Gr
et n’est point généralement adoptée ; nous devons donc nous borner à
suivre
Hésiode et les poëtes. Ils ne comptaient que neuf
grande Ourse où le Chariot. L’étoile nommée Bootès ou le Bouvier, qui
suit
la grande Ourse, représente le fils de Calisto. P
er une nation idolâtre. Le dieu Pan donne un chien à Bacchus, pour le
suivre
dans ses voyages. Caleb, dont le nom hébreu signi
ène se chargea de l’instruire : il ne voulut plus s’en séparer, et le
suivit
dans toutes ses conquêtes. Nous reviendrons à l’h
le dieu inspira à sa mère Agavé une fureur si aveugle, qu’elle se fit
suivre
par les bacchantes, et déchira de ses mains son m
s de Cythérée, d’où elle passa en Chypre. Presque tous les poëtes ont
suivi
la tradition d’ Hésiode ; cependant Homère, aussi
ut alors qu’il rencontra Proserpine, fille de Cérès. Cette princesse,
suivie
de ses compagnes, se plaisait à cueillir des fleu
les enfers, pour en délivrer Alceste, il enchaîna Cerbère et s’en fit
suivre
. On dit qu’en passant dans la Thessalie, la vue d
nom. Danaüs son frère fut forcé de s’éloigner ; il rassembla ceux qui
suivaient
son parti, et vint du côté d’Argos. Il attaqua Gé
manteau me toucha l’épaule, et, d’un geste impérieux, m’ordonna de le
suivre
. Je me levai machinalement ; il ouvrit une grille
ouvais me croire dans Rome. Pendant les longs siècles de barbarie qui
suivirent
ma mort et la chute de l’Empire, j’errai paisible
sont mortes. » Il pénétra résolûment dans cet étrange musée, et je le
suivis
. Aux premiers pas que nous fîmes, d’horribles fem
de me persuader.” — Et quittant la pierre où elle était assise, elle
suit
le vieillard. « Tout en cheminant, le bon homme c
s, destinés sans doute au sacrifice, traînaient le char emblématique,
suivi
du chœur des paysans. A Amiens, je l’ai revue plu
la forêt sauvage Verse aux pieds du dieu son pâle feuillage. Le loup
suit
au pré la brebis, sa sœur. D’un pied aviné le vig
tambours, Une pauvre petite armée. Il est certain que la nature ne
suit
pas, dans son mouvement de production, des lois r
sé la table, le vin a-t-il coulé ? — Oui. — Voilà où est le mal. Car,
suivez
bien mon raisonnement : les Grecs et les Latins,
nneur de ces idoles. Ils appelaient cela faire des libations. « Donc,
suivez
bien mon raisonnement, si vous vous étiez content
Par conséquent on vous a menés en prison, et on a bien fait Avez-vous
suivi
? » Lit de Procuste. Au temps où la Grèce é
tez cette légende. L’ombre, sûre de n’être point vue, est censée vous
suivre
et recueillir l’offrande. Vous faites de nouvelle
i des breuvages salutaires. Cependant Jupiter, oisif au fond du ciel,
suivait
d’un œil jaloux et inquiet les progrès de la race
éteindre se retirait de la lutte et cédait son rang au coureur qui le
suivait
. Le vainqueur recevait une palme. La légende de P
es constellations, pour servir d’éternelle leçon aux hommes tentés de
suivre
l’exemple de son maître. Ceux qui ont osé travest
etées dans de courtes notes. Pour concilier l’avantage d’une histoire
suivie
avec la commodité d’un dictionnaire, nous avons p
Sans que le châtiment servît de frein au vice, Par amour du devoir on
suivait
la justice. De crainte et de respect un juge envi
ère. 35. Exil d’Apollon sur la terre. La victoire d’Apollon fut
suivie
de cruelles disgrâces. Un fils, qu’il avait eu de
t et se vide sans cesse. Il fut le compagnon fidèle de Bacchus, et le
suivit
dans tous ses voyages. 60. Exploits et conquêt
sements blanchis. Cependant lorsque les Argonautes, dans la fuite qui
suivit
leur expédition, vinrent longer ces rivages, les
pie, qu’il appela Egine, du nom de sa mère. On raconte qu’une famine,
suivie
d’une peste cruelle, ayant dévasté ses Etats, il
ed léger en blessant les hommes et les dieux ; les humbles Prières la
suivent
pour réparer les maux qu’elle a faits. Celui qui
e leurs douleurs. On les voit, d’une marche incertaine et tremblante,
Suivre
de loin l’Injure impie et menaçante, L’Injure au
rs esclaves qu’ils voulaient affranchir. L’Abondance, selon la fable,
suivit
dans le Latium Saturne, détrôné par Jupiter. On l
es soins. Que Thèbes à vos deux fils offre un trône en partage ; Vous
suivre
et vous aimer, voilà mon héritage. (Le même.) E
plé par l’effroi Traverse tout sanglant la longue galerie. Pyrrhus le
suit
. Déjà tout bouillant de furie, Il le presse, il l
urent les Furies qui l’attachèrent. 27. Presque tous les poëtes ont
suivi
cette tradition d’ Hésiode. Voici comment on l’ex
disait-on, la vertu prophétique. 61. Il pourrait être utile de faire
suivre
aux élèves, sur une carte, la navigation des Argo
de 5e, pl. 1. Quant au retour des Argonautes, il est impossible de le
suivre
à cause de l’ignorance des anciens pour ce qui co
a tragédie. 66. Suivant une tradition qu’ Homère ne parait pas avoir
suivie
, Achille était invulnérable par tout le corps, ex
re et de peinture inspirées par le paganisme et ses fictions. 7. Pour
suivre
avec méthode cette étude, nous partagerons ce pet
s avaient été si mal reçus et ordonnèrent à Philémon et Baucis de les
suivre
. Aussitôt un orage affreux éclata, entraînant arb
oix, Eût instruit les humains, eût enseigné les lois, Tous les hommes
suivaient
la grossière nature, Dispersés dans les bois, cou
lictions. Les Prières, qui sont aussi comme Até filles de Jupiter, la
suivaient
en boitant et réparaient le mal produit par leur
ntait avec des ailes pour exprimer la rapidité avec laquelle la peine
suit
ordinairement le crime. Elle était armée de serpe
; les exploits d’Hercule, de Thésée et de tous les héros qui avaient
suivi
Jason dans la Colchide ; la guerre de Thèbes et l
vertu prophétique, et il engagea tous les guerriers de la Grèce à le
suivre
. Hercule, Thésée, Castor et Pollux, qui devaient
pénibles. Tout sacrifier au bonheur, voilà le privilège de quiconque
suit
mes lois. » La Vertu reprit aussitôt : « Et moi a
nsi dans les airs. Il avait bien recommandé à l’imprudent Icare de le
suivre
dans son vol, et de ne pas s’élever trop haut dan
; ses gardes affligés Imitaient son silence autour de lui rangés. Il
suivait
tout pensif le chemin de Mycènes ; Sa main sur le
ïeux sont les froides reliques. Je cours en soupirant, et sa garde me
suit
; De son généreux sang la trace nous conduit ; Le
rés comme des divinités amies. 3. Ils étaient du nombre des héros qui
suivirent
Jason à la conquête de la Toison d’or, et ils eur
ses accents, et sa chère épouse lui fut rendue à condition qu’elle le
suivrait
et qu’il ne tournerait pas la tête pour la voir,
soudain dans les airs s’évapore. Orphée en vain l’appelle, en vain la
suit
encore, Il n’embrasse qu’une ombre, et l’horrible
n et son ami, qui avait toujours partagé ses revers et sa fortune, le
suivit
dans cette grande expédition. Ils furent faits pr
la plus précieuse de toutes les plantes ? 7. Quel était le cérémonial
suivi
pour couper le gui ? Quelle espèce de victimes im
imaginées et représentées. La beauté parée par les Grâces, les Grâces
suivies
de la Persuasion (Suada), l’Amour, fils de la bea
e par le premier de rester à Lacédémone avec lui, et par Ulysse de le
suivre
à Ithaque, pour toute réponse baissant, en rougis
e jeunes taureaux et dévorer leur chair crue. Suivant la Fable, elles
suivirent
Bacchus dans les Indes. Lorsqu’elles revinrent en
ieu de la marche de son triomphe. La vestale Claudia, sa fille, avoit
suivi
tous leurs mouvemens, elle se jeta dans le char a
stales vivoient dans une grande magnificence : elles étoient toujours
suivies
en public par un nombreux cortége de femmes et d’
e temps dans le mouvement de la plus vive agitation. Le grand-prêtre,
suivi
des autres pontifes, se rendoit au temple de Vest
ouronnes consacrées à Vénus et de les appliquer sur son mal ; Aspasie
suivit
ce conseil et la tumeur disparut. Il me semble qu
me et consolée. On ne sait pas précisément quel mortel osa le premier
suivre
cet exemple des Dieux ; les uns disent que ce fut
pièces : les frères de cette fille tuèrent l’ours. Cet événement fut
suivi
d’une peste qui désola l’Attique. Par l’ordre de
ne coutume générale que même les gens naturellement grossiers eussent
suivie
. Aussi quand la superstition n’exigeoit pas l’eup
pentoient dans les plaines. D. Comment nomme-t-on les trois Ages qui
suivirent
le Siècle d’or ? R. On les appelle l’Age d’argent
’est plus temps d’attendre, Tout l’Empire qui
suit
vos lois Bientôt ne sera plus qu’un vain monceau
R. Le vieux Silène prit soin de son éducation sur le mont Nysa. Il le
suivit
aussi à la conquête des Indes, monté sur un âne.
et Euphrosine. Elles sont les compagnes inséparables de Vénus. Elles
suivent
aussi assez ordinairement la cour des Muses. D. C
emander à Pluton. Celui-ci la lui rendit, mais à condition qu’elle le
suivroit
, et qu’il ne la regarderait pas qu’elle ne fut de
cidé qu’Achille périrait devant Troye ; pour empêcher que son fils ne
suivît
les Grecs ligués contre cette malheureuse ville,
La Grange-Chancel.) P, Que fit Achille reconnu par Ulysse ? R, Il le
suivit
avec joie, et Thétis fut contrainte de le laisser
ormer l’esprit et le cœur doivent l’occuper avant tout. On a trop peu
suivi
jusqu’ici l’éducation des jeunes personnes du sex
n. Ils sont des fléaux de société. Les dissentions, les querelles les
suivent
par-tout. L’entêtement décèle un fond d’amour pro
de faire passer cette connaissance à sa postérité. Ces ordres furent
suivis
, et la connaissance de Dieu et de sa loi se trans
mais Apollon leur donna des ailes pour s’enfuir. Pyrénée, voulant les
suivre
à travers les airs, tomba du haut de la tour d’où
en sorte avec effort lorsque rien ne manque à sa perfection. Si nous
suivions
toujours cette méthode, on ne verrait pas tant d’
part à la guerre des Géants ? — Par qui fut-il délivré ? — Quel parti
suivit
-il pendant la guerre de Troie ? — Comment fut-il
uisit l’enfance de Bacchus, dont il fut le compagnon fidèle, et qu’il
suivit
dans ses voyages et dans ses conquêtes. Il était
a terre, il fit la conquête des Indes. Accompagné du fidèle Silène et
suivi
d’une multitude d’hommes et de femmes armés de th
avait donné le prix de la beauté, séduisit Hélène, qui consentit à le
suivre
. Au bruit de ce rapt insolent, Ménélas somma les
ent le hennissement de son cheval. Les Walkyries, déesses du camp, le
suivent
dans ses courses, la tête couverte d’un casque d’
ge a few words with Hero, declared his love, implored her to view his
suit
kindly, and, above all, to grant him an interview
his name was mentioned. Mars was generally represented in a brilliant
suit
of armour, a plumed helmet on his proud young hea
nerva, who, having sworn never to marry, contemptuously dismissed his
suit
. To console Vulcan for this rebuff, and at the sa
t difficulty that Jupiter, disguised as a mortal, could urge his love
suit
. When he had at last obtained a hearing, he told
; but when the impetuous god, instead of waiting for an answer to his
suit
, rose up out of the water and rushed to clasp her
woo the fair princess, but most of them refrained from pressing their
suit
when they heard what conditions were imposed upon
ur, bestowed upon her the gift of prophecy. For some reason the god’s
suit
had not prospered; and, as he could not take back
s, King of Ithaca, who, to console himself for Helen’s refusal of his
suit
, had married her cousin, Penelope, and had now no
n him to wait until the morrow, when she promised to bring him a full
suit
of armour from Vulcan’s own hand. Rapidly Thetis
ep. Although she made fun of his ’ove, she was not so obdurate to the
suit
of Acis, a very fascinating young shepherd, who h
most exalted rank. The queen, Amata, specially favoured this youth’s
suit
; and the king would gladly have received him for
sought Vulcan’s detested abode, and had prevailed upon him to forge a
suit
of beautiful armour for Æneas. On the shield, whi
hould be greater than his father. Jupiter thereupon desisted from his
suit
, and Thetis was betrothed to Peleus, king of Thes
the gift of prophecy, but as she refused afterwards to listen to the
suit
of that god, he decreed that no one should attach
as upon this occasion that Vulcan fabricated for the hero, the famous
suit
which is described in the Iliad. Arrayed in this
ysses asked the hand of Penelope [Penel′ope], daughter of Icarus. His
suit
was granted; but when he was about to depart with
long life proved rather a burden than a benefit. She had rejected the
suit
of Apollo, and the god refused, therefore, to wit
d his desires on Minerva; the Goddess of Wisdom, however, laughed his
suit
to scorn, and Vulcan is represented as having bee
d as having been very violent at his rejection. Juno then pressed the
suit
of her son on Venus, whose power was already esta
ith, Vertumnus took a thousand shapes to influence the success of his
suit
. “To gain access, a thousand ways he tries Oft i
shore: Here Peleus seized her slumbering where she lay, And urged his
suit
, with all that love could say: The nymph o’erpowe
ill anxious for his preservation, prevailed upon Vulcan to make him a
suit
of armour; but after it was done, she refused to
ride. Will you have the goodness to persuade your sister to favour my
suit
?” Aglauria replied, “those who ask favours of me
woods. Apollo told him, contemptuously, that bows and arrows did not
suit
his weak hands: that he should leave them to the
en shortened and simplified. There have been some omissions, also, to
suit
the immaturity of the pupils, but none have been
now he received her gladly and asked her what she wished., “Make me a
suit
of armor for my son, O Vulcan,” said Thetis, “for
ythes, which they modified by the aid of fiction and forgery so as to
suit
their purposes. About this time, also, the system
rrows. Marpessa, the daughter of Evenos, was beloved by Apollo, whose
suit
was favoured by her father. Idas, another lover,
ld have made little scruple about coining a term if they wanted it to
suit
any purpose. The other interpretation, which make
rank, and his love for her sister, entreating her good offices in his
suit
. These she promised on the condition of receiving
h requires a sleight of ingenuity, like that just noticed, to make it
suit
the West. On surveying the ‘beautiful wonders’ of
hs ; and that Zeus made love to her, but she would not hearken to his
suit
, fearing the anger of Hera, who therefore rewarde
mystery, and like that of Io have been subsequently modified so as to
suit
the new theory of an Egyptian colony at Argos1926
tional supposition of some learned and pious divines, that it did not
suit
the scheme of Providence to give the Israelites m
f the authors of those works, in some instances been adapted by me to
suit
the present purpose. I take this opportunity of r
th; and that, about 1210, a collector, mending some of the ballads to
suit
himself, strung them together on a thread of his
e chase, led the dances of the Dryads, and made love to them. But his
suit
was frequently of no avail, for though good-natur
who should be greater than his father, the Olympian desisted from his
suit
, and decreed that Thetis should be the wife of a
promised, if he would but wait till the morrow, to procure for him a
suit
of armor from Vulcan more than equal to that he h
work and hastened to comply with her wishes. He fabricated a splendid
suit
of armor for Achilles; first a shield adorned wit
fectly adapted to the hero’s form, and of consummate workmanship. The
suit
was made in one night; and Thetis, receiving it,
her nurse, and begged her as she loved her foster-child to favor his
suit
. And then he tried to win her domestics to his si
son who should be greater than his father, Jupiter desisted from his
suit
and decreed that Thetis should be the wife of a m
im, if he would but wait till the morrow, she would procure for him a
suit
of armor from Vulcan more than equal to that he h
work and hastened to comply with her wishes. He fabricated a splendid
suit
of armor for Achilles, first a shield adorned wit
e will divine; The faithful, fixed, irrevocable, sign; This seals thy
suit
, and this fulfils thy vows. — He spoke, and awful
ravages in the neighbouring districts, his person being defended by a
suit
of impenetrable armour, which Thetis had procured
antage of the absence of her friends, Thisbe dressed herself in a new
suit
, and hastened with such warm anticipations of hap
ughter of Time. She was represented as a young virgin, covered with a
suit
of clothes, the whiteness of which equalled that
les succeeded in strangling it with his hands. He then made himself a
suit
of armor of the skin, and a new helmet of the hea
, prendre soin de sa vie ? Armez, avec vos Grecs, tous ceux qui m’ont
suivie
: Soulevez vos amis ; tous les miens sont à vous
échapper ; On plutôt il ne faut que les laisser frapper. Conduisez ou
suivez
une fureur si belle ; Revenez tout couvert du san
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