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1 (1850) Précis élémentaire de mythologie
s ineffaçables. Il portait encore une couronne surmontée d’étoiles et tenait quelquefois un sceptre de fer, comme emblème de s
issement de la croyance primitive en un Dieu qui gouverne tout et qui tient tout sous ses lois. Seulement, au lieu d’admettre
tours énormes, emblèmes des villes placées sous sa protection ; elle tenait des clefs dans ses mains pour marquer les trésors
ête est couronnée d’épis ou de pavots, ses cheveux sont blonds ; elle tient une faucille d’une main ou une gerbe de blé, et d
ec eux du salaire ; mais, lorsque l’ouvrage fut terminé, il refusa de tenir sa promesse. Alors Neptune appela les eaux de la
evelure blonde. A ses pieds étaient les emblèmes de tous les arts. Il tenait à la main sa lyre d’or dont les sons charmaient l
esprits et tous les cœurs. Comme divinité tutélaire des marchands, il tient une bourse d’une main et de l’autre un rameau d’o
il avait la figure d’un jeune homme, la taille svelte et dégagée, et tenait à la main le merveilleux caducée. 6. On lui donna
à la cité nouvelle que Cécrops venait de fonder en Attique. Les dieux tinrent conseil à ce sujet. Ils décidèrent entre eux que
Elle avait un casque sur la tête, une égide sur la poitrine, et elle tenait d’une main sa lance et de l’autre son bouclier. A
abreuvé de fiel, Plus digne de régner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les dieux du ciel. 2. Cette colè
fide habileté. Plus tard, il montra sa cruauté dans la conduite qu’il tint envers Alectryon, un de ses gardes. Il l’avait ch
le visage couvert de lie et la tête couronnée de pampres de vigne. Il tient à la main une coupe qu’il vide sans cesse et qui
qui se remplit toujours, et il a pour monture un âne sur lequel il se tient à peine et qui supporte le poids de son ventre. B
la chevelure flottante ; il est couronné de pampres ou de lierres, et tient d’une main des grappes de raisin ou une coupe, ta
gues. On les représentait ornées de guirlandes de fleurs. La première tient ordinairement une rose, la seconde un dé, et la t
écrevisse, sans doute pour montrer qu’il ne lâche jamais sa proie. Il tenait une pique à la main, et avait un monstre à ses cô
vaient lieu tous les trois ans. On les appelait ainsi parce qu’ils se tenaient dans l’isthme de Corinthe. La Grèce entière y acc
Elles étaient occupées à filer nos destinées. Clotho, la plus jeune, tenait la quenouille, Lachésis tournait le fuseau, et At
d’un sceptre à deux pointes ou d’une large fourche, et de l’autre il tient la clef qui ferme la porte de l’infernal séjour.
e et hérissée d’une jeune lionne qu’il avait tuée dans les forêts. Il tenait dans sa main une houlette courbée et noueuse. Sa
près de la même manière que le dieu Pan, avec cette différence qu’il tenait une branche de pin à la main. On donne généraleme
cette saison que les fruits parviennent à leur maturité. Cette déesse tient dans ses mains une corne d’abondance, en signe de
oint, le visage enluminé par le vin et le front couronné de roses. Il tient , à la main droite un flambeau et s’appuie de la g
’air noble et majestueux, aux yeux étincelants comme des astres. Elle tenait un livre ouvert avec une palme dans une main et d
peut se parer de tous les ornements du langage. On disait qu’elle se tenait cachée au fond d’un puits, sans doute pour faire
vait pour siége un cube de marbre en témoignage de sa solidité ; elle tenait une pique, parce qu’elle n’est possible qu’à la c
résente sous la figure d’une femme au regard terrible et sévère. Elle tient d’une main une balance et de l’autre une épée. Se
e en amazone. D’une main elle embrasse une colonne et de l’autre elle tient un rameau de chêne. 6. La Pudeur avait des temple
ndes, portant dans ses mains des cornes d’abondance. Quelquefois elle tenait un faisceau de joncs qui séparés auraient été fac
ntait-on ? En quel lieu était son temple à Rome ? Pourquoi le sénat y tenait -il ses assemblées ? 4. Qu’était la Victoire ? Que
inistre. Sa tête était couverte de serpents au lieu de cheveux ; elle tenait trois serpents d’une main et de l’autre une hydre
lui donnaient un air hagard, des vêtements déchirés, et lui faisaient tenir d’une main des torches enflammées ou un poignard
uelles des serpents s’agitent. Il avait pour attribut un masque qu’il tenait à la main, des hameçons et des filets. Le Mensong
lotte partit du cap de Magnésie en Thessalie. Tymphis, habile pilote, tenait le gouvernail ; Lyncée, avec sa vue perçante, déc
, Hercule, je parais devant toi ; c’est que je n’ignore pas de qui tu tiens le jour, c’est que ton éducation m’a révélé ton c
chien à deux têtes et par un dragon qui en avait sept. Cette fiction tient sans doute à la forme des Etats de Géryon qui com
? 3. Quelle vision eut-il à l’âge de dix-huit ans ? Quel discours lui tint la Volupté ? Quel discours lui adressa la Vertu ?
vait reçu le jour de Pasiphaé, femme de Minos, roi de Crète. Minos le tenait renfermé dans un labyrinthe où il le nourrissait
hommes célèbres par leur habileté dans l’art de l’équitation. Ils se tenaient si bien à cheval qu’ils semblaient ne faire qu’un
Dans le moment fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenait à la main, Il lui perce le cœur ; et son âme ravi
Déjà ils les avaient vaincus dans plusieurs rencontres, déjà ils les tenaient renfermés dans leurs camps, se montrant sur le po
iam fut tué par Pyrrhus, fils d’Achille, sur l’autel de Jupiter qu’il tenait embrassé. Hécube, son épouse, devint le partage d
sins. On applaudit à son dessein ; le bourg d’Anthela fut choisi pour tenir les assemblées ; on promulgua des lois générales
s, et l’on couronnait de lauriers les vainqueurs. Les jeux néméens se tenaient près de la forêt de Némée ; ils acquirent de l’im
nt tous les trois ans, mais le plus grand nombre croient qu’ils ne se tenaient que tous les cinq ans. Les jeux isthmiques, qui d
’occasion de Zoroastre ; mais, à l’exemple des prêtres égyptiens, ils tenaient secrètes leurs doctrines, et laissaient le peuple
Le conseil des dieux, présidé par ces divinités du premier ordre, se tenait , sous un grand frêne. « Ce frêne, dit M. de Tress
e dont les abeilles composent leur miel. Ces trois vierges ou fées se tiennent toujours sous le frêne ; elles dispensent les jou
uelle nation étaient adorées toutes ces divinités suprêmes ? 5. Où se tenait le conseil des dieux ? Décrivez le lieu de cette
2 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
 ; on érigea des temples, et l’on offrit des victimes à des dieux qui tenaient leur existence de ces deux poètes. Dans les premi
cond roi des Romains, fit bâtir en l’honneur de Janus un temple qu’on tenait ouvert pendant la guerre, et fermé pendant la pai
s les dieux cédèrent la place, et qu’il n’y eut que le Dieu Terme qui tint bon contre tous les efforts que l’on fit pour l’e
était ouverte au-dessus de sa statue ; on regardait comme un crime de tenir le dieu Terme caché, parce que les bornes et les
haleine, l’assommer d’un coup de poing, et le manger le même jour. Il tenait dans sa main fermée, une orange ou une grenade, q
l’on avait répandu de l’huile pour le rendre plus glissant ; et il se tenait si ferme que des hommes qui prenaient leur secous
était représentée sur un char brillant, traîné par deux paons ; elle tenait un sceptre, et son front était couronné de lis et
coq annonce la venue du soleil, comme s’il voulait avertir Mars de se tenir sur ses gardes, de peur de surprise. Mars, débarr
sur le devant du char, Bellone, le regard furieux, les cheveux épars, tenait les rênes d’une main, et de l’autre un fouet ensa
tête, tenant un fléau ou une verge teinte de sang : quelquefois elle tient une torche, et paraît, les cheveux épars, le feu
ette petite figure, faite des os de Pélops, ancien roi du Péloponèse, tenait une pique à la main droite, une quenouille et un
à la vie ; elle pria le dieu de lui accorder autant d’années qu’elle tenait alors de grains de sable dans la main ; mais elle
ppelé Dionysius, qui signifie Jupiter, par allusion au dieu de qui il tenait le jour, ou de la ville de Nisa, où il régna. Éva
tit manteau. Son bonnet et ses talons portent toujours des ailes ; il tient , suivant la circonstance, un caducée, une bourse,
ble, et appuyés sur une urne qui versait leur onde blanchissante. Ils tenaient une ancre ou un gouvernail quand les vaisseaux po
endaient sur leurs épaules et flottaient au gré des vents ; la déesse tenait d’une main un sceptre d’or pour commander aux vag
toutes les noires tempêtes ; les tritons conduisaient les chevaux, et tenaient les rênes dorées : une grande voile de pourpre fl
ourcils épais et pendans ; ses yeux pleins d’un feu sombre et austère tenaient en silence les fiers aquilons, et repoussaient to
nt son sommeil, sans cela il s’échappait au moment où l’on croyait le tenir  : tigre, lion, serpent, il prenait toutes les for
’une telle violence, elle s’échappa avec Mélicerte, son fils, qu’elle tenait dans ses bras, et se précipita dans les flots. Ne
cyons. Eole Entre les dieux marins, Eole, arbitre de la mer, tient un rang distingué. Eole, fils d’Hippotas, descend
el vent devait souffler. Le peuple ignorant se persuada que ce prince tenait les vents enfermés dans une île de Sicile où il f
de la Sicile ; les mêmes que celles où les poètes disent que Vulcain tenait ses forges. On donne à Eole six garçons et six fi
egard menaçant ; dans sa main droite est une longue fourche ; l’autre tient une clef : sa couronne est d’ébène, de narcisses
ilent ensemble les destinées des hommes. La plus jeune, nommée Clotho tient la quenouille ; Lachésis tourne le fuseau, Atropo
ude de femmes, de quenouilles et de fuseaux : chacune de ces fileuses tient un fil : ainsi chaque mortel a sa Parque, à laque
s présens considérables ; le père lui accorda sa fille et le somma de tenir sa promesse. Ixion, sous prétexte de l’accomplir,
sur des pavots, ou d’un enfant assoupi qui a des ailes sur le dos, et tient une corne d’abondance, d’où sortent des pavots et
univers, où l’on voit les hommes réunis avec les animaux. On lui fait tenir à la main une sorte de flûte à plusieurs tuyaux,
roupeaux, en mêlant du romarin et du laurier dans leur pâturage. Elle tient une poignée de paille, qui sert de litière aux be
ces jeux, couronnée de guirlandes et couverte d’une draperie qu’elle tenait de la main droite ; de l’autre elle présentait un
des foyers. Les statues des dieux Lares étaient fort petites : on les tenait ordinairement dans un oratoire particulier, appel
tout l’avenir était écrit, et que les autres dieux consultaient ; il tient dans ses mains l’urne qui renferme le sort des mo
bîme où disparaît la vie ; D’un bras de fer courbe le front des rois, Tient sous ses pieds la terre assujétie, Et dit au temp
nous promène à son gré : Le seul remède à ses caprices, C’est de s’y tenir préparé. La Nécessité On regardait la Né
flotte sur ses épaules, et descend à longs plis jusqu’à terre ; elle tient dans ses mains un frein et un compas, l’un pour m
        Devant l’honnête pauvreté. Demoustier. Quelquefois Némésis tient une lance pour frapper le vice, et une coupe remp
oite, et la corne d’abondance de la main gauche. Sur quelques-unes il tient une pique et une branche d’olivier, symbole de la
de ce prince jaloux et défiant, résolut de ne plus lui obéir et de se tenir en repos ; mais l’oracle lui fit entendre qu’il f
à Philoctète, fils de Pœan et son compagnon de voyage, avec ordre de tenir secret le lieu de sa sépulture et celui où ses fl
aure, monstre moitié homme et moitié taureau. Minos, roi de Crète, le tenait renfermé dans le labyrinthe construit par Dédale,
était pas fils de Polybe. Il consulta l’oracle, pour savoir de qui il tenait le jour ; on lui répondit qu’il trouverait son pè
appe : on ouvre, aussitôt Philémon Vient au-devant des dieux, et leur tient ce langage : Vous me semblez tous deux fatigués d
ignez un goût plus sûr que nos suffrages ; Don du ciel, qui peut seul tenir lieu des présens Que nous font à regret le travai
3 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
x et des héros, qui sont placés entre les dieux et les hommes, et qui tiennent des uns et des autres par leur naissance et par l
utres dieux avaient commencé. Le Destin commande à tous les dieux, et tient dans ses mains le sort de tous les mortels ; ses
stucieux Saturne se chargea de cette vengeance. Armé de la faux qu’il tenait de sa mère, il attendit à l’écart le retour d’Ura
qui les inspire ; les poëtes sont ses enfants, et c’est de lui qu’ils tiennent l’enthousiasme qui échauffe leur génie. Disgrâ
rère reverrait la lumière pendant six mois de l’année, et qu’il irait tenir sa place aux enfers. Ainsi ils ne se voyaient plu
représente Minerve avec un air grave et majestueux ; d’une main elle tient la lance, et de l’autre s’appuie sur son bouclier
ésente ornées de guirlandes de fleurs et dansant en rond. La première tient ordinairement une rose, la seconde un dé, et la t
que, emblème des vents que la terre renferme dans ses cavernes ; elle tient aussi une clef. Sa tête est couronnée de tours, e
e vin de la veille. On lui donne pour monture un âne sur lequel il se tient à grand peine, et qui supporte le poids de son ve
à grand peine, et qui supporte le poids de son ventre. La coupe qu’il tient à la main se vide et se remplit toujours. Bacchus
a chevelure flottante, couronné de pampre et de lierre. D’une main il tient le thyrse, baguette surmontée d’une pomme de pin,
sa barbe est touffue ; sa mise négligée et ses jambes cagneuses ; il tient un marteau et des tenailles. Questionnaire.
e et hérissée d’une jeune lionne qu’il avait tuée dans les forêts. Il tenait dans sa main une houlette courbée et noueuse. Sa
pinces d’écrevisse, pour indiquer qu’il ne lâche jamais sa proie ; il tient une pique à la main. A côté de lui on voit un mon
e, dont l’apparition déjoua le complot des dieux contre Jupiter. Cela tient sans doute à la confusion qu’on a faite trop souv
t sur un char en forme de conque et traîné par des chevaux marins. Il tient à la main un trident. Les Tritons et les Néréides
seuil des Enfers, paraissent la Douleur et le Chagrin ; près d’eux se tiennent la Maladie, la Vieillesse, la Peur, le Travail, l
Sa main droite est armée d’un sceptre à deux pointes ; quelquefois il tient une verge destinée à chasser les ombres, ou une é
la cour infernale, et décidait souverainement du sort des ombres. Il tenait un sceptre à la main, et agitait l’urne fatale qu
naçant : des serpents entrelacés sifflent autour de leur tête ; elles tiennent d’une main une torche enflammée et de l’autre un
aissance et à la vie des hommes. La plus jeune d’entre elles, Clotho, tenait la quenouille, Lachésis faisait tourner le fil, e
perçants, ombragés d’épais sourcils. Il est debout dans sa barque, il tient une rame à la main. Némésis. Némésis, terri
our exprimer la sûreté et la rapidité de sa course ; d’une main, elle tient un flambeau qui éclaire les consciences : des ser
its d’une vierge, sans vêtements et retirée au fond d’un puits : elle tient un miroir à la main. La Pudeur avait des temples
ne main une balance dont les plateaux n’inclinent d’aucun côté ; elle tient de l’autre une épée. La Victoire avait à Rome des
incre dans un combat singulier. Le roi vaincu par Hercule refusait de tenir sa promesse : celui-ci le précipita du haut d’une
de ce héros, qu’on représente sous les traits d’un homme robuste ; il tient à la main la redoutable massue, instrument de ses
vre. Au bruit de ce rapt insolent, Ménélas somma les princes grecs de tenir leur parole et de s’armer contre le ravisseur. Le
veille sur la santé des dieux et des hommes. Le conseil des dieux se tenait sous le frêne Ygdrasil, dont les racines pénètren
hologie des Scandinaves ? — Quel est l’emploi des Walkyries ? — Où se tenait le conseil des dieux ? — Quel est le nom du parad
4 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
les attributions. On l’appelait souvent Jupiter Olympien, parce qu’il tenait , disait-on, sa cour sur le sommet du mont Olympe7
t ses bonnes grâces et la conduite du char du soleil qu’après l’avoir tenu pendant plusieurs années exilé parmi les hommes.
globe. Clio, la muse de l’histoire, est couronnée de laurier ; elle tient une trompette dans la main droite, et dans la gau
it une jeune fille couronnée de lierre et chaussée de brodequins, qui tenait d’une main un masque, emblème de la comédie de ca
eux et sévère ; elle est chaussée de cothurnes, et l’une de ses mains tient des sceptres et des couronnes, tandis que l’autre
rchet. Euterpe, déesse de la musique, est couronnée de fleurs ; elle tient dans les mains un cahier de musique, des flûtes,
cheveux noués derrière la tête et un croissant sur le front ; sa main tient un arc, et un carquois est attaché à son épaule ;
eur ne pouvait être supporté par de simples mortels ; la foudre qu’il tenait en main mit le feu au palais de Sémélé, qui périt
place des cornes sur la tête ; il est couvert d’une peau de bouc, et tient à la main une coupe et un thyrse ; il est assis s
er dans les airs : il porte des ailes aux talons et à son bonnet ; il tient d’une main son caducée et une bourse dans l’autre
t négligée ; sa tête est couverte d’un bonnet, sa poitrine nue, et il tient à la main des tenailles et un marteau. Question
ne douce majesté ; son front est couvert d’un casque ; sa main droite tient une lance, sa main gauche s’appuie sur un bouclie
représente Mars avec des traits menaçants et armé de pied en cap ; il tient une lance d’une main et un bouclier de l’autre. Q
; il est coiffé d’un bonnet conique orné de fleurs ; une de ses mains tient un flambeau renversé, tandis que l’autre s’appuie
t les épaules chargées d’un carquois plein de flèches ; d’une main il tient un arc et de l’autre un flambeau allumé. Questi
e, et l’extrémité inférieure du corps semblable à celle d’un bouc. Il tient à la main la flûte à sept chalumeaux, dont il est
et une corne d’abondance. Pomone porte une couronne de fruits ; elle tient une serpette à la main, et a près d’elle des corb
our de la mer à la recherche de leur compagne disparue. L’une d’elles tient habituellement une lyre, la seconde des tablettes
 ? Éole. Éole, fils de Jupiter, était le Dieu des vents, qu’il tenait enchaînés dans les antres des îles Éoliennes38. S
ibles tempêtes et bouleverserait le monde. Les principaux vents qu’il tient sous ses ordres sont Borée ou le vent du nord, Eu
a voix menaçante les aquilons furieux qui s’agitent autour de lui. Il tient en main un sceptre de fer. Questions. Qu’éta
pour celle qui devait être courte et orageuse. Clotho, la plus jeune, tenait la quenouille ; Lachésis tournait le fuseau ; et
eil et de la Nuit, et la plus implacable des divinités infernales, se tenait à la porte du Tartare. On lui sacrifiait un coq ;
échirés ; d’une main elle agite une torche ardente, dans l’autre elle tient une couleuvre et un poignard, Questions. Com
er. On la représentait avec des mains de bronze, dans lesquelles elle tenait de longues chevilles et de grands coins. Questi
ire à la cruelle exigence de la Déesse ; mais, au moment où le prêtre tenait le couteau levé sur la princesse qu’il allait fra
x du Styx, mais elle négligea d’y tremper le talon par lequel elle le tenait , et c’est pourquoi son fils pouvait être blessé d
tait Philoctète, et quel serment fit-il à Hercule mourant ? — Comment tint -il ce serment ? — Fut-il puni de son parjure ? — 
ale, il fut égorgé par Pyrrhus79 au pied de l’autel de Jupiter, qu’il tenait embrassé. Questions. Quel événement principa
on suspendit au chêne qu’elle avait consacré une statue d’airain qui tenait un fouet dans sa main et qui, lorsqu’elle était a
Solon, Périandre, Cléobule et Chilon.   Thalès, né à Milet, en Ionie, tient la première place parmi les sages de la Grèce. En
d’Apollon le don de lire dans l’avenir ; mais, comme elle n’avait pas tenu la promesse qu’elle avait faite au Dieu pour en o
5 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
une faux, qui signifie que le temps détruit tout ; il a des ailes et tient une sorte d’horloge, pour indiquer la fuite des a
tête indiquent les villes qui sont sous sa garde ; et la clef qu’elle tient à la main désigne les trésors que le sein de la t
t son nom) ne la perdait pas un instant de vue pendant le jour, et la tenait pendant la nuit étroitement liée à une colonne. J
nte vêtue d’une longue robe et le front voilé. De la main droite elle tient une lampe ou un flambeau, et de la gauche un jave
ée : mais Minos, plus éclairé que ses collègues, a la prééminence, et tient en main un sceptre d’or. Quand la sentence a été
ite est un sceptre, ou une fourche à deux pointes : dans la gauche il tient une clef qui désigne l’impossibilité de sortir de
n trône d’ébène, ou sur un char traîné par des chevaux noirs. Sa main tient des fleurs de narcisse. Sous le nom d’Hécate, ell
t agite son flambeau ; tantôt il joue devant sa mère avec un luth, ou tient un cygne étroitement embrassé. Quelquefois, le pi
Jeunes, belles et modestes, les cheveux négligemment noués, elles se tiennent par la main dans l’attitude de la danse, ou bien
r un habile orateur enchaîne les volontés de ceux qui l’écoutent ; il tient de la main droite le caducée, emblème d’un minist
présente Janus comme un jeune homme qui a deux ou quatre visages ; il tient de la main droite une clef, parce qu’il inventa l
quer les douze mois de l’année. Numa lui bâtit à Rome un temple qu’on tenait fermé dans les temps de paix, et qui s’ouvrait au
Son costume est riche, son maintien grave, son visage sérieux ; elle tient d’une main un poignard ensanglanté, de l’autre un
puissant et une imagination vigoureuse. Thalie, muse de la Comédie, tient un masque à la main. Elle a l’air vif et le regar
n droite est toujours en action, comme celle d’un orateur ; sa gauche tient un sceptre ou des chaînes, symbole du pouvoir qu’
bole du pouvoir qu’exerce l’éloquence. Uranie, muse de l’Astronomie, tient d’une main le globe du monde, et de l’autre un co
ues Le Destin est un dieu aveugle, fils du Chaos et de la Nuit. Il tient sous ses pieds le globe terrestre, et dans ses ma
qui filent en silence à la lueur d’une lampe. Clotho, la plus jeune, tient une quenouille qui est chargée de fils de toutes
§ 22. Thémis. Thémis ou la Justice, fille du Ciel et de la Terre, tient un glaive d’une main et une balance de l’autre. E
culte ; ses cheveux sont couronnés de laurier et de romarin ; sa main tient une poignée de paille, litière des bestiaux. On c
ries aux flammes ; brûle mes moissons, puisque l’honneur d’un fils te tient si faiblement au cœur ! » Cyrène ne put entendre
nte l’Océan sous la figure d’un vieillard assis sur les ondes, et qui tient une pique dans sa main. Près de lui est un monstr
st représentée assise sur un char qui a la forme d’une coquille. Elle tient d’une main un sceptre d’or, pour commander aux va
ils d’Hippotas, habitait au centre des îles éoliennes. C’est là qu’il tenait les Vents enchaînés dans un antre profond, et les
e. — Les Grecs représentent Plutus sous la figure d’un vieillard qui tient une bourse à la main. Il arrive à pas lents et en
des bons mots. Sa tête est surmontée d’un bonnet orné de grelots : il tient d’une main un masque, et de l’autre une marotte,
i tourne rapidement. Quelquefois elle a des ailes ; plus souvent elle tient dans ses bras une statue de Plutus ou un gouverna
pour montrer avec quelle promptitude la punition suit le crime. Elle tient une lance dont elle frappe le vice, et une coupe
ieds repose sur une roue rapide, l’autre est en l’air. Sa main droite tient un rasoir. Ces emblèmes signifient que l’occasion
modernes la représentent comme une femme ailée qui fend les airs, et tient une trompette à la main. § 28. La Paix. Tou
journée. 6° Des oiseaux monstrueux, qui vivaient de chair humaine, se tenaient près d’un lac nommé Stymphale (en Arcadie) ; leur
ibre, à l’endroit même où plus tard la ville de Rome fut bâtie. Il se tenait au fond d’un antre, d’où il ne sortait que pour d
euvres de sa tête dormaient aussi. Minerve guida la main du héros, et tint à côté de lui le bouclier où se réfléchissait la
Son premier exploit fut sa victoire sur le brigand Périphète, qui se tenait en embuscade dans les environs d’Épidaure, et ass
la royale captive, à condition que celui à qui elle resterait, serait tenu de procurer une autre femme à son ami. Hélène éch
e d’un serpent, les ailes d’un oiseau et les griffes d’un lion. Il se tenait sur une colline, près de Thèbes, arrêtait de là t
t partir. Alors s’adressant à Icare : « Vole prudemment, mon fils, et tiens un juste milieu dans les airs. Si tu t’élèves tro
, et s’élance vers les hautes régions de l’éther. Alors les liens qui tenaient ses ailes, se relâchent ; la chaleur du soleil fo
dédaigne de fuir, et ne rentre point avec les autres généraux. Il se tient devant la porte de Scée, attendant Achille, et im
ses compagnons se cachent pour esquiver ses longs bras étendus, et se tiennent blottis parmi les brebis, qui étaient, comme leur
e ; mais lorsque Apollon lui eut accordé ce privilège, elle refusa de tenir sa parole ; et ce dieu irrité lui déclara, pour l
Pour s’en éclaircir, elle s’avisa de le suivre secrètement, et de se tenir cachée dans les taillis. Céphale, épuisé de fatig
e autre fois il saisit un taureau par un des pieds de derrière, et le tint si bien que cet animal, malgré toute sa fureur et
de Polydamas qu’en lui laissant la corne du pied par lequel il était tenu . D’un seul coup il assommait un homme ; d’une mai
it Dia en mariage. Mais, après la célébration des noces, il refusa de tenir sa promesse ; et le beau-père frustré vola à son
res de Thessalie étaient les plus renommées de toute la Grèce : elles tenaient de Médée leurs connaissances magiques. Némésis, P
re. § 26. Mythologie Égyptienne. Les divinités égyptiennes qui tiennent le premier rang, sont Osiris et Isis ; celles d’u
e de vache à la place d’une tête de femme ; tantôt elle est assise et tient un enfant sur ses genoux. b) Horus. Horus,
e tour bâtie à l’entrée d’un port ou aux environs, et sur laquelle on tient des feux allumés pendant la nuit, pour guider les
lithye, lorsqu’elle présidait à la naissance des enfants. 8. L’ombre tenait le milieu entre l’âme et le corps ; elle était im
6 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
ous les êtres. Il porte des ailes, qui indiquent sa marche rapide. Il tient à la main un sablier, dont les anciens se servaie
e servaient comme d’horloge, pour mesurer les heures : quelquefois il tient un serpent arrondi en cercle, emblème de l’éterni
. On le représente assis sur un trône d’or ou d’ivoire. D’une main il tient la foudre, et de l’autre un sceptre ; à ses pieds
ple et majestueux. Sa tête est couverte d’un casque ; d’une main elle tient une lance, de l’autre son égide ou bouclier. On p
n des chefs-d’œuvre qui nous restent de la sculpture antique. Le dieu tient son arc tendu, et vient de lancer ses flèches mor
présentées dansant en cercle et ornées de guirlandes de fleurs. L’une tient à la main une rose, l’autre une branche de myrte,
ure d’une femme robuste, pour indiquer la fertilité de la terre. Elle tient dans ses mains une gerbe et une faucille, sa tête
ayant voulu aussi faire cesser, dans son royaume, les orgies qui s’y tenaient en l’honneur de Bacchus, ce malheureux prince en
é à demi nu, la barbe et la chevelure négligées. De la main gauche il tient des tenailles, et de la droite un marteau. Le lio
hien ou d’âne, et une couronne de feuilles de vigne ou de laurier. Il tient à la main une baguette pour écarter les oiseaux e
médon et sa famille, excepté Priam, qui avait conseillé à son père de tenir sa parole. Hercule mit ce jeune prince sur le trô
out sur un char en forme de conque, traîné par des chevaux marins. Il tient à la main un trident : les Tritons et les Néréide
es des Enfers. Proserpine est à sa gauche, et Cerbère à ses pieds. Il tient de la main droite tantôt un sceptre à deux pointe
es morts, conduites par Mercure. Minos présidait la cour infernale et tenait à la main un sceptre, emblème de son autorité sou
idaient à la naissance et à la vie des hommes. Clotho, la plus jeune, tenait une quenouille chargée de laine et de soie, qui s
nte le nocher des enfers sous la forme d’un vieillard robuste, qui se tient debout dans une barque, une rame à la main. Sa ba
roue et le gouvernail avec lesquels on la représente. D’une main elle tient un flambeau qui éclaire les consciences, et de l’
forme carrée était chez les anciens l’emblème de la perfection.) Elle tient à la main une couronne de laurier. Un poëte a dit
aits d’une Amazone, qui d’une main embrasse une colonne et de l’autre tient un rameau de chêne. A ses côtés est un lion, son
corne d’abondance, de l’autre une branche d’olivier. Quelquefois elle tient un caducée, un flambeau renversé, des épis de blé
ente quelquefois plus simplement sous la figure d’une femme ailée qui tient une trompette à la main. Voici le portrait qu’en
n chemin jonché de fleurs, sous lesquelles s’agitent des serpents. Il tient d’une main un masque riant, de l’autre un hameçon
n de sa fille à celui qui le vaincrait dans cet art. Mais n’ayant pas tenu sa promesse à l’égard d’Hercule, le héros le préc
Dans le moment fatal que ce frère inhumain Lui veut ôter le fer qu’il tenait à la main, Il lui perce le cœur ; et son âme ravi
dépouilles si chères, « II me renvoya libre au palais de mes pères. «  Tiens , cruel ! » A ces mots, au vainqueur inhumain Il j
coursier rapide, ayant huit pieds, d’une agilité merveilleuse. Il se tient au-dessus des champs de bataille, animant les gue
t la déesse des sciences et des bonnes mœurs. Le conseil des dieux se tient sous le chêne d’Idrasil ; les racines de cet arbr
e. La ville de Dreux (Eure-et-Loir) indique par son nom un lieu où se tenaient leurs assemblées. Chartres et tout le pays enviro
est l’homme. Dans l’enfance il marche sur les pieds et les mains, se tient droit dans la jeunesse et l’âge mûr, et s’appuie
lle était invulnérable par tout le corps, excepté au talon, par où le tenait Thétis, sa mère, lorsqu’à sa naissance elle le pl
7 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
abyme où disparoît la vie, D’un bras de fer courbe le front des rois, Tient sous ses pieds la terre assujettie, Et dit au Tem
assise, parce que les anciens regardoient la terre comme stable. Elle tient un disque ou un tambour, symbole des vents que la
elles étoient enterrées toutes vives. Jupiter. D. Quel rang tient Jupiter parmi les dieux ? R. Jupiter, fils de Sa
de noirs sourcils, son menton est couvert d’une barbe majestueuse, il tient le sceptre d’une main ; de l’autre, il lance la f
rageuse patrie, Précipite son char. Là, sous de vastes monts, Le dieu tient enchaînés dans leurs gouffres profonds Les vents
ou de cyprès. Sa main droite est armée d’une longue fourche ; l’autre tient la clef qui ferme la porte de l’éternité. D. Décr
r tribunal. Mais l’enfer ne voit point de jugement injuste : Minos y tient ouvert son tribunal auguste ; Il tient l’urne ter
de jugement injuste : Minos y tient ouvert son tribunal auguste ; Il tient l’urne terrible en ses fatales mains, Et jugé san
Tisiphone et Mégère. On leur donne des couleuvres pour cheveux. Elles tiennent une torche d’une main, et de l’autre un fouet arm
qu’elle méprise. Du char d’acier, chef-d’œuvre de Vulcain, L’Activité tient les rênes en main ; Fiers tourbillons, ses coursi
. Enfin, elle aperçoit son père lui-même, qui, de sa main immortelle, tient les rênes étincelâmes. A cette vue, la fille du j
représente avec des ailes de papillon, pour exprimer sa légèreté ; il tient à la main une plante de pavots, dont touche ceux
nimés, Il reprend ses travaux, ses jeux accoutumés. Le berger endormi tient encor sa houlette, Le poëte son luth, le peintre
égorique est représentée sous la figure d’un homme ou d’une femme qui tient un doigt sur la bouche. Thémis, Astrée D
e nous promène à son gré. Le seul remède à ses caprices, C’est de s’y tenir préparé. ( Rousseau.) Némésis ou Adrastée.
elle grince des dents, et distille de sa langue un venin infect. Elle tient à la main un poignard ou un flambeau. D. Quel por
de se repaître, Sous le fer de Thésée enfin perdit le jour. Le héros tient le fil qui trace son retour ; Tandis qu’un peu pl
e sang répandu, Du roc s’élança en bas et s’écrasa lui-même. La reine tint parole, et j’eus le diadème. ( Corneille.) D. Co
vinrent, les armes à la main, redemander Hélène devant Troie, qu’ils tinrent assiégée pendant dix ans, et qu’ils détruisirent
rival que j’abhorre ? Percé de tant de coups, comment t’es-tu sauvé ? Tiens , tiens, voilà le coup que je t’ai réservé. Mais q
ue j’abhorre ? Percé de tant de coups, comment t’es-tu sauvé ? Tiens, tiens , voilà le coup que je t’ai réservé. Mais que vois
dépouilles si-chères, » Il me renvoya libre au palais de mes pères. » Tiens , cruel !… » A ces mots, au vainqueur inhumain Il
ouvrant un nuage, Du désordre prochain fait briller le présage ; Elle tient un fruit d’or, où ces mots sont écrits : « Le sor
ité,         Pourquoi vous montrer toute nue ? Cela n’est pas adroit. Tenez , arrangeons-nous ;         Qu’un même intérêt nou
ui fut esclave aussi-bien qu’ Ésope ; parmi les modernes, La Fontaine tient le premier rang. On peut placer après lui, mais à
ter l’avantage ;         Prétendoit que tout homme sage         Étoit tenu de l’honorer. C’étoit tout homme sot : car pourqu
ant,         Vous vous croyez considérable ;         Mais, dites-moi, tenez -vous table ? Que sert à vos pareils de lire inces
votre rang et votre état, pour honorer leur mémoire ; mais ne vous en tenez pas là. Les magnifiques funérailles sont pour les
es discours et des actions blâmables. Sur quoi, dit Locke, vous devez tenir pour une vérité constante, que quelques instructi
u’elle n’est pas très-bien exécutée. Ne vaudroit-il pas mieux nous en tenir à notre écriture ? « II faudroit aussi qu’une fi
pas mieux, cultiver davantage la voix, qui est l’instrument que nous tenons de la nature ? Qu’une jeune personne sache ensuit
à une jeune personne d’être belle ? La beauté ne peut-elle point lui tenir lieu d’instruction et de talents ? R. Non ; et l
oit en son bec un fromage.    Maître Renard, par l’odeur alléché, Lui tint à peu près ce langage :       Hé ! bonjour, Monsi
est une juste modération de l’esprit et du cœur, une sage retenue qui tient les passions en bride, qui arrête les saillies de
       Dans les visites qui sont faites, Le Renard se dispense, et se tient clos et coi. Le Loup en fait sa cour, daube, au c
gnée ! ô ma pauvre cognée ! S’écrioit-il ; Jupiter, rends-la-moi ; Je tiendrai l’être encore un coup de toi. Sa plainte fut de l
pu sans peine y puiser à toute heure. A toute heure, bons dieux ! ne tient -il qu’à cela ?            L’argent vient-il comme
vu            Que je saurai souffler de sorte, Qu’il n’est boulon qui tienne  : il faudra, si je veux,            Que le mantea
leuri ; d’une belle espérance    Voilà déjà mon maître régalé. Je lui tiendrai parole ; il peut compter d’avance Qu’au nombre de
e de lui-même, et le mépris d’autrui, Comment peut-on savoir ce qu’on tient avec lui ? Jamais ce qu’il vous dit n’est ce qu’i
8 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
iait l’antique, parce qu’ils croyaient la lune éternelle. Ils ne s’en tinrent pas là : dès que l’on a fait le premier pas dans
des arts, nous allons principalement faire connaître les détails qui tiennent à la mythologie des Grecs et des Romains ; le res
ussi les fonctions et les généalogies des dieux. Par exemple, Vulcain tenait le premier rang parmi les dieux d’Égypte. Les Gre
baguette dans sa main, parce qu’il présidait aux chemins publics ; il tenait aussi une clef, parce qu’il avait inventé les por
ennemis, s’il pouvait mettre en liberté ceux des Titans que son père tenait renfermés dans le Tartare, et s’il pouvait les en
ui représente ce dieu avec la foudre, symbole du dieu du ciel ; il la tient dans sa main droite ; dans sa gauche il tient un
du dieu du ciel ; il la tient dans sa main droite ; dans sa gauche il tient un trident, symbole du dieu de la mer, et l’on vo
vec de la barbe. Un trône lui servait de siége ; de sa main droite il tenait la foudre, et dans sa main gauche on remarquait u
Domiducus. Histoire de Cérès. L’histoire et la fable de Cérès tiennent à celles des dieux des enfers ; mais nous croyons
’autre. On peint toujours Apollon sous la figure d’un jeune homme qui tient un arc ou une lyre à la main, tandis que le solei
qui les conduisait : ils s’écartèrent du juste milieu qu’ils devaient tenir dans leur course ; ils embrasèrent le ciel et la
ou la céleste, est l’inventrice de l’astronomie et des sciences. Elle tient un globe dans sa main ; quelquefois ce globe para
accompagnée par les étoiles, environnée d’un grand voile noir ; elle tenait un flambeau renversé, comme si elle voulait l’éte
errer long-temps dans le désert pour se rendre dans la Palestine, qui tenait , ainsi que les Indes, au continent de l’Asie. La
. On voit sur sa tête un casque surmonté d’un hibou. Une de ses mains tient une pique, et l’autre l’égide, espèce de bouclier
peinture et de sculpture variaient autant que les fables. Lorsqu’elle tient un globe dans sa main, elle représente la Vénus c
Le dessin représente Vénus victorieuse. L’histoire du saut de Leucate tient trop à celle de Vénus, pour ne pas la rapporter.
rs (Fig. 28). On voyait à Élis trois statues des Grâces : la première tenait une rose, la seconde un myrte, et la troisième un
ces sont vierges et non pas courtisanes. Dans leurs danses, elles se tenaient par la main, pour apprendre aux hommes qu’ils dev
essus des genoux ; il porte un bonnet rond et pointu ; sa main droite tient un marteau, et sa gauche des tenailles. (Fig. 29.
assemblées où l’on traitait les affaires les plus graves de l’état se tenaient dans le temple de Vulcain. Parmi les peuples anci
bornerons à donner les fables les plus essentielles parmi celles qui tiennent à cette partie de la mythologie. Histoire d’Oc
une conque à laquelle sont attelés deux chevaux marins. D’une main il tient son trident, et de l’autre il s’appuie sur un dau
aux coteaux. Tous ces dieux avaient été imaginés par les Latins ; ils tenaient leurs noms des emplois qu’ils avaient, et jamais
nges. On ne leur trouve aucune autre origine raisonnable. Le dieu Pan tenait le premier rang parmi les dieux antiques. Les poë
as, malgré son amour pour les richesses, ne négligeait rien de ce qui tenait à la religion, aux bonnes lois et au bonheur de s
me de Satyre. On croyait qu’il rendait des oracles ; mais cette fable tient à l’étymologie de son nom. (Phonein en grec, et f
funèbres. Le sceptre de Pluton était une fourche à deux pointes ; il tenait dans ses mains les clefs de son empire, pour anno
approcher. La supériorité de Minos était marquée par un sceptre qu’il tenait à sa main, et l’on voyait près de lui l’urne qui
les jours et les destinées des hommes. La plus jeune, nommée Clotho, tenait la quenouille ; Lachésis tournait le fuseau ; et
une couronne de sept étoiles, et avait à la main une quenouille, qui tenait au ciel et touchait à la terre. La robe de Lachés
le avait près d’elle une infinité de fuseaux. Atropos, vêtue de noir, tenait des ciseaux ; et l’on voyait autour d’elle un nom
dant qu’elle s’approchait de la terre pour éteindre la torche qu’elle tient à la main. (Fig. 43.) Le Sommeil, fils de la N
nte sous la figure d’un enfant dormant profondément. Une de ses mains tient des pavots, qui servent aussi à reposer sa tête,
ure d’une femme, avec une légende qui portait son nom, Éternité. Elle tenait à la main une tête de soleil rayonnant, ou une tê
la vie. Sur son front on lisait : L’hiver et l’été. Une de ses mains tenait une légende, sur laquelle était écrit : De loin e
9 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
abîme où disparoît la vie, D’un bras de fer courbe le front des rois, Tient sous ses pieds la terre assujétie, Et dit au Tems
hangemens où son humeur l’engage, A la nature humaine il s’en vouloir tenir  :         Mais de voir Jupiter taureau,         S
ne combustion prochaine : Roi des dieux ! armez-vous ; il n’est plus tenu d’attendre :              Tout l’empire qui suit
ui couvre les épaules : il porte une couronne de laurier sur la tête, tient une lyre à la main ; et auprès de lui sont tous l
stueux, couronnée de lauriers, et parée de guirlandes de fleurs. Elle tient dans la main droite une trompette, et un livre da
sérieux ; elle est chaussée d’un cothurne, et superbement vécue. Elle tient d’une main des sceptres et des couronnes, et de l
il plaindre ? Ciel ! quel est le sang qui doit teindre Le fer qu’elle tient suspendu ? Lamotte. Thalie préside à la comédie
uronnée de perles. Elle a la main droite en action pour haranguer, et tient un sceptre dans la gauche : les anciens la représ
but : De tous nos mouvemens es-tu donc la maîtresse ?                 Tiens -tu notre cœur dans tes mains ? Tu feins le désesp
nte avec un air enjoué. Elle est couronnée de myrte et de roses. Elle tient une lyre d’une main, et de l’autre une sorte d’ar
ne robe couleur d’azur. Elle soutient un globe céleste d’une main, et tient de l’autre une baguette avec laquelle elle paroît
s voûtes Elevant ses hardis regards, Parcourt les inégales routes Que tiennent les astres épars, Prévoit quel corps dans leur ca
haînes d’or qui lui sortent de la bouche, et par lesquelles il semble tenir ses auditeurs enchaînés. On le regardoit comme le
ouvrant un nuage, Du désordre prochain fait briller le présage : Elle tient un fruit d’or, où ces mots sont écrits :        L
. Minerve est représentée avec un air de douceur et de majesté. Elle tient à la main une branche d’olivier ; et des instrume
abreuvé de fiel, Plus digne de régner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les dieux du ciel. Ce portrait de
qu’elle méprise. Du char d’acier, chef-d’œuvre de Vulcain, L’activité tient les rênes en main ; Fiers tourbillons, ses coursi
par la même voie Ne font les planètes leurs cours. Malherbe. Clotho tient la quenouille, Lachésis tourne le fuseau, Atropos
attributs avec lesquels on le représente : il démasque un visage, et tient une marotte à la main. La Nuit est la déesse des
allégorique, réprésentée sous la figure d’un homme ou d’une femme qui tient un doigt sur la bouche. Thémis, fille du Ciel et
nous promène à son gré : Le seul remède à ses caprices, C’est de s’y tenir préparé. Rousseau. Némésis, fille de Jupiter et
e de la Fable. Les Demi-Dieux et les Héros. [Persée.] Persée tient un des premiers rangs parmi les héros et les demi
de se repaître, Sous le fer de Thésée enfin perdit le jour, Le héros tient le fil qui trace son retour ; Tandis qu’un peu pl
sang répandu ; Du roc se lance en bas, et s’écrase lui-même, La reine tint parole, et j’eus le diadême. Corneille. Œdipe,
e de Troie. Il promit à Achille de lui faire épouser Polixène, et lui tint parole. On étoit à peine assemblé dans le temple
Lune ;                  J’ai le Soleil pour père,              Et je tiens de lui ce grand art              Qui, dans tous l
talie, 194 Enéide, poëme de Virgile, 51 Enfers, 98 — Quels dieux y tiennent le premier rang, 11 Enigme proposée par le Sphin
atrocles, 181 Mer, (la) confondue dans le chaos, 16 — Quels dieux y tiennent le premier rang, 11 Mère, (la grande) nom donné
consacre à Vesta un feu perpéuel, 27 Nymphes, 92 — Le rang qu’elles tiennent parmi les dieux, 11 — Leurs danses, 14 — Elles
10 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
fut, comme on le sait déjà, fort infidèle au Ciel ; mais elle ne s’en tint pas là, et, donnant libre carrière à son goût pou
st une espèce de houlette de berger ou de sceptre royal, tandis qu’il tient dans la droite une flûte à sept tuyaux. Son cou s
de cette corporation, et leur chef suprême, appelé Archi-Galle, était tenu de pratiquer sur lui-même la castration, pratique
t, afin d’assurer ainsi à ses neveux l’héritage de son trône. Saturne tint ponctuellement sa promesse. Rhée accouchait-elle,
tion qu’il détruirait tous les fils que sa femme mettrait au jour, il tint sa promesse, parce qu’il savait, dit-on, en outre
devoir arriver à de l’histoire positive ; mais nous le répétons, cela tient à l’application que l’on fit en Crète du mot Jupi
ceux d’Égypte, ou de César aux empereurs romains. Cependant, si l’on tient à en trouver un tant soit peu historique, c’est a
s, jeune, mais plein de courage, oubliant que son père avait voulu le tenir dans une dure captivité, sort de l’île de Crète,
s une dure captivité, sort de l’île de Crète, où sa mère Rhéa l’avait tenu caché, et où elle l’avait fait élever en secret p
fance de Jupiter, et montrent ou le Dieu assis sur une chèvre dont il tient une corne, ou une nymphe lui donnant à boire dans
terons donc pas pour l’instant, et nous expliquerons seulement ce qui tient à quelques autres personnages alliés au parti de
ntenir l’union des familles. Quant à la Paix qui, chez les Athéniens, tenait Plutus, dieu des richesses, sur ses genoux, elle
Aloé eut la complaisance d’élever comme les siens. Leur caractère ne tint en rien de la douceur de celui de leur père putat
nes. Nous allons citer quelques exemples propres à prouver combien il tenait à ne point laisser les mortels usurper les prérog
plaques métalliques sur lesquelles il faisait rouler un char où il se tenait majestueusement, en lançant sur les malheureux pl
ge et prudent il devait aimer la paix et éloigner ainsi la Mort qu’il tenait par conséquent enchaînée dans ses états. Mais d’u
liens sacrés du mariage, ils avaient l’un et l’autre scrupuleusement tenu leur serment, et ils avaient ainsi vécu depuis lo
, qui lui-même était un Dactyle idéen sorti de l’île de Crète. Ils se tenaient à Olympie, ville du Péloponèse, en Élide, près de
i n’était plus. Après le ceste, venait le disque, jeu consistant à se tenir d’un pied en équilibre sur la pointe d’un cône, e
e noirs sourcils ; son menton est couvert d’une barbe majestueuse. Il tient un sceptre d’une main, et lance la foudre de l’au
auprès d’eux ; du reste, elle était toujours couronnée de laurier, et tenait une branche de palmier à la main ; elle avait à R
dame, ou la terre prise dans son sens le plus large, Henniocha ou qui tient les rènes, Hippie ou la cavalière, Hyperchirias o
de Mars, le dieu de la guerre. On dit encore que sa vengeance ne s’en tint pas là et qu’en absorbant une autre fois dans son
nce du soleil est d’environ 92,051,500 lieues. Chez les anciens, elle tenait déjà au système astronomique ; car, faisant parti
ement traduit devant le grand conseil des douze Dieux qui, dit-on, se tint près d’Athènes, dans une localité à laquelle on d
; ils étaient armés d’une épée ou d’une pique dans la main droite, et tenaient le bouclier avec la gauche. Pour les aider, ces p
e et d’un casque, son bras est chargé d’un large bouclier, et sa main tient , ou une lance, ou une pesante épée : il est vêtu,
rtait pour la guerre. Habituellement elle avait les cheveux épars, et tenait un flambeau d’une main et un fouet de l’autre. Qu
onservait son ancienne rancune. C'était encore auprès de Junon que se tenait la brillante Iris, sa messagère, afin d’exécuter
Lucine, également appliqué à Diane considérée alors comme Lune, cela tient à ce que chez les anciens, comme chez nous encore
un instant leur histoire détaillée, mais pour le moment, nous nous en tiendrons à dire que le serpent Python ayant voulu attaquer
ayant envoyé Télamon en ambassade pour les réclamer, le roi refusa de tenir sa parole et fit mettre l’ambassadeur en prison.
Laomédon avec les Dieux nous enseigne qu’il ne faut jamais balancer à tenir ses promesses. Après les deux années d’exil, A
sidait à la poésie épique ; elle avait le front couronné de lauriers, tenait une trompette d’une main et un poème de l’autre.
et des grands hommes ; elle avait également une couronne de laurier, tenait une trompette dans une main et un livre dans l’au
un livre dans l’autre ; mais, pour mieux la dessiner, on lui faisait tenir un plectre ou un luth en place de la trompette. O
myrtes et de roses avec une lyre en main. Auprès d’elle l’amour ailé tenait une torche allumée, et elle avait à ses pieds des
de guirlandes et dansant en cadence ou aux sons, d’une harpe qu’elle tenait sur le bras gauche, ou au bruit d’un tambour de b
ou dansant en rond, pour prouver que tous les arts et les sciences se tiennent . C'est ainsi qu’on les voit sur le Parnasse dans
i lui rendaient un culte pompeux et solennel. Devant lui on jurait de tenir avec fidélité ses engagemens, et rarement on y ma
après la défaite de Marsyas ; tantôt comme on le voyait à Lesbos, il tient une branche de myrte à la main ; tantôt comme on
e branche de myrte à la main ; tantôt comme on le voyait à Lesbos, il tient une branche de myrte à la main ; tantôt comme il
té sur un char brillant attelé de quatre chevaux lancés au galop ; il tient d’une main un fouet ou un sceptre, et dans l’autr
et au regard sinistre, sa tunique était de couleur feuille morte, il tenait dans la main droite un bâton augural entièrement
u par de simples devins, espèce de ministres religieux qui semblaient tenir le second rang. Voici le nom des devins les plus
née de grains de sable et demanda de vivre autant d’années qu’elle en tenait dans la main seulement elle oublia malheureusemen
ile sur la tête qui toujours est couronnée de fleurs. D'une main elle tient , nous le savons, un flambeau, et de l’autre elle
; Canacé, fille d’Eole, épousa son propre frère Macarée. Elle ne s’en tint point à cet inceste ; elle eut encore plusieurs e
r, ce qu’Apollon lui accorda aussitôt ; mais Cassandre ne voulut plus tenir sa promesse et força le Dieu à se venger en faisa
ns voile, tenant d’une main un serpent, buvant dans une coupe qu’elle tient de l’autre main. Hygie à Rome s’appelait Salus, e
t des oracles en montrant ses arrêts en images sur une glace que l’on tenait avec un fils suspendu à la surface de l’eau, Pédo
eine elle n’a plus d’épis ni bouquets, c’est alors un sceptre qu’elle tient dans les mains et un diadème oriental qui la cour
ronne, couronnée de guirlandes de fleurs, drapée d’un manteau qu’elle tenait de la main droite, en même temps que de la gauche
donner un nouveau relief, se mirent à marcher sur des brasiers, et à tenir dans leurs mains des barres de fer rouges de feu,
eur d’avoir à Rome un Flamine Pomonal ou prêtre spécial. Seulement il tenait le dernier rang dans la troupe sacerdotale. On re
se mit lui-même à l’abattre ; aussitôt, suivant les uns, le fer qu’il tenait se tourna contre lui et le tua, pour le punir de
nser cette bizarre alliance, par un bon nombre d’infidélités. Elle se tint parole comme nous le verrons dans un instant, et
, et dans la suite, les pronostics météorologiques et astronomiques y tinrent le premier rang. Les fêtes de Vénus se composaien
bras s’appuyent sur les épaules des deux voisines ; quelquefois elles tiennent en main des fleurs, des dés ou du myrte ; alors c
t-il pas un moyen sûr de le savoir sans lui faire tant de questions ; tenez , prenez cette lampe ; cachez-la près de votre lit
ains, pour montrer sa puissance sur les ames. Quelquefois pourtant il tient une torche allumée, ou porte un casque et une lan
, car il ne voit jamais de défauts dans l’objet aimé ; puis tantôt il tient une rose d’une main et un dauphin de l’autre, ou
ons modernes, ils sont représentés de diverses manières : le Citaride tient un luth ou guitare ; celui de la Gloire est un en
iers, et tenant en ses mains plusieurs couronnes ; celui de la patrie tient une couronne civique ou de chêne ; l’amour dompté
mbeau est éteint, et il foule aux pieds son arc et ses flèches, il ne tient plus qu’un sablier dans la main droite et un plon
jeune femme portant une besace, qu’elle ferme de la même main qu’elle tient une baguette, tandis que de l’autre elle porte un
nt un phalle énorme, souvent aussi haut que lui. Habituellement il le tient dans sa main droite, et porte dans l’autre, soit
e et une couronne de feuilles de vigne ou de laurier. Quelquefois, il tenait encore une bourse de la main droite, une clochett
survécut à Hercule et eut la cruelle joie, quoique bien naturelle, de tenir dans ses mains la tête d’Eurysthée, son persécute
plus ancien roi de la Grèce et fils de Neptune ; mais ces versions se tiennent et s’expliquent par l’histoire de Britomartis. M
ros chez les Indiens. Dans les cultes mystérieux de la Grèce, Sémélée tenait une des premières places : aussi disait-on qu’imm
r tout ce qui se rapporte à sa personne ; pour l’instant nous nous en tiendrons à dire que sa mère fut probablement quelque jeune
ctrice, qu’en lui promettant de lui ériger un temple. Serment qu’elle tint comme le premier en lui faisant élever le temple
e science, c’est en parlant de lui que nous avons indiqué tout ce qui tient aux oracles. Fortune. Déesse des richesses, des
ivier, la haste, le sceptre ou le caducée dans l’autre. Ailleurs elle tient une corne d’abondance, ou un bouquet d’épis, ou u
c son père. Minerve avait en outre tant soit peu de coquetterie, elle tenait à la régularité de ses traits. Aussi après avoir
u écailleuse d’un serpent monstrueux dont elle délivra la Libye. Elle tient ordinairement un large disque ou bouclier, au mil
uérirai. Erigone, baissant les yeux en rougissant, soupira, promit et tint sa promesse. Quant à Icarius, ayant eu l’impruden
its et le blé. On y plaçait encore un ceps de vigne et un figuier. Il tenait dans la main droite un thyrse, et il avait pour s
ou vieux, ou jeune et efféminé, ou tout à fait enfant ; d’une main il tient une coupe et de l’autre un thyrse ou baguette for
able grecque et romaine mais nous verrons que Pan chez les Egyptiens, tenait un rang plus important car ils le rangeaient au n
tion du jeune Dieu, il le change en pierre de touche. Mercure ne s’en tint pas à ce premier larcin, car il vola ensuite le t
près sa victoire, Myrtile ayant eu l’imprudence de venir le sommer de tenir sa parole, Pelops, indigné, le jeta dans la mer.
n chapeau ou le pétase, est orné d’ailes, ainsi que son caducée qu’il tient d’une main. On le représente souvent le doigt sur
thène ; s’il avait le buste humain terminé en colonne carrée, et s’il tenait une massue d’une main et une dépouille de lion de
voiles aux vaisseaux, pour seconder la rame. Alors les marins ne s’en tinrent plus au cabotage le long des côtes, ils furent sa
u diadème. D’une main, il calmait les flots agités, et de l’autre, il tenait le trident ou fourche à trois dents, symbole de s
i avait douze griffes, six gueules et six têtes ; une foule de chiens tenaient en outre à son corps et étaient rangés autour de
jusque sur la poitrine, appuyés sur une urne versant leurs ondes. Ils tenaient une ancre ou un gouvernail quand les vaisseaux po
u’il obtint, excepté au talon, par où sa mère avait été obligée de le tenir . Nommé d’abord Ligyron ou Piryroüs, Achille que n
e Nymphes aux jeunes filles issues des dieux et des mortelles ; elles tenaient le milieu entre la divinité et l’humanité, elles
ortant des roseaux, des coquilles ou des vases ; quelquefois elles se tiennent par la main ; leurs traits sont brillans de jeune
la partie supérieure de leur corps est toujours sans vêtement. Elles tiennent une hache à la main, et la partie inférieure de l
illage et de l’autre une urne dont l’eau s’échappe ; souvent elles se tiennent par la main ; d’autres fois, elles ont près d’ell
Proserperine, encore jeune fille, jouaient ensemble, mais une oie que tenait Hercyne s’échappa de ses mains et fut se cacher s
enfers, région appelée Tartare ou lieu des tourmens : à son entrée se tenait le tribunal terrible, où Minos, Eaque et Radamant
puis il s’en retournait en jetant derrière lui des fèves noires qu’il tenait dans la bouche, tout en répétant neuf fois à voix
et précédée des constellations, ses messagères ; d’autres fois, elle tient entre ses bras deux enfans ; l’un, noir, emblème
évoquer les esprits ; elle présidait à la naissance des hommes ; elle tenait une quenouille descendant du ciel jusque sur la t
rpre. On les plaçait au-dessus l’une de l’autre, de manière que l’une tenait une quenouille, image du passé, l’autre un fuseau
t ornée d’un flambeau, d’un fouet et d’un poignard ; de l’autre, elle tenait une clef et une coupe funèbre. C'est elle qui éta
s déesses vengeresses, alors confondues avec les Dires, furies qui se tenaient au ciel près de Jupiter avec Némésis, Manès ou l’
es, dont l’une est armée d’un fouet de couleuvres, tandis que l’autre tient une torche enflammée : c’est avec ces armes effra
ccompagnées de la Terreur, de la Rage, de la Pâleur et de la Mort, se tenaient toujours assises autour du trône de Jupiter, atte
découvrir et venger avec justice les crimes, et de l’autre main elle tenait un scrutin dans lequel les juges avaient coutume
a grave insulte que lui avait faite le perfide Pâris, et les somma de tenir le serment qu’ils avaient fait de se liguer contr
e qui le rendit invulnérable, excepté au talon par où sa mère l’avait tenu en le plongeant dans le fleuve. Pélée privé du se
t, cet enfant saisi de crainte à la vue du casque de son père, qui le tenait dans ses bras, fut se cacher dans le sein de sa n
gide de la déesse. On représente Laocoon au moment où les serpents le tiennent enlacé ainsi que ses fils ; ce qui forme le group
as d’Enée, sa tête est coiffée d’un piléus en forme de calotte, et il tient à la main une béquille. Énée va donc nous appara
lement aux pieds ailés, mais dont la pointe portait sur un globe ; il tenait une bride à la main et n’avait de longs cheveux q
long manteau, sa chaussure lui monte jusqu’à mi-jambe d’une main, il tient un sistre, et de l’autre, un caducée avec deux ép
es de taureau, entre lesquelles s’élève une espèce de mitre, et il ne tient qu’un simple bâton à la main ; il correspond aux
et porte le bâton augural, et dans les deux zodiaques, sa main droite tient le van mystique, et le pcheut décore sa tête ; il
, elle est couronnée de fleurs de lotos ou de feuilles de palmier, et tient un sceptre à fleurs de lotos dans ses mains ; on
oyer, car ces peuples sont peu attachés aux pratiques religieuses, et tiennent peu à avoir ou n’avoir pas de culte. Noh et Hing
abie en Assyrie, nous rencontrerons une foule de dieux dont plusieurs tenaient un rang important dans l’ancienne religion de ce
dait comme le premier homme, et on le supposait issu de ces êtres qui tiennent le milieu entre la divinité et l’humanité ; aussi
dans une autre de ses mains, il porte un vase recouvert ; souvent il tient mollement sa sœur-fille-épouse, Saraçouati, ou bi
ciper sous ses ordres à la création et à l’ordonnance des mondes. Ils tiennent le premier rang après les quatorze Menous et ont
ant nommé Iravat, qui semble fier de ce divin fardeau, quelquefois il tient à la main une fleur de lotos. Quant à Dévani, fil
illes, aux bras, au nez, au cou, aux pieds, et autour du corps ; elle tient à la main la fleur appelée Tchankarinirpou. Son i
serviteur de la divinité. Cintra-Poutrin est un dieu de la mort, qui tient registre des actes des ames. Daçaratha ou Daçara
i, qu’il enlace dans ses bras. Son teint est bleu et ses quatre mains tiennent tantôt le Padma, ou Lotos, tantôt le Sankha ou es
ix mille ans, promesse, disent les hindous, qu’il continue toujours à tenir . Smourianaka ou Chmourianaka, était sœur de Rava
nue, la tête coiffée d’une mitre et la main chargée d’un lotos. Elle tient quelquefois un enfant dans ses bras et lui donne
ois yeux à sa tête principale. Il est porté sur le taureau Nandi ; il tient d’une main le trident, de l’autre le Padma ; l’ea
es dansantes, des clochettes garnissent ses pieds et ses quatre mains tiennent la tchankra, ou roue flamboyante, le tidi, une co
emière caste des Hindous. Ce Soutadanni, chef de la maison de Chakia, tenait à cette époque le sceptre de l’empire de Magadha,
insecte, ou de manger un morceau de vache, animal sacré dont il faut tenir la queue en mourant, pour monter suivant eux au K
’une mitre, et les deux autres d’un petit bonnet rond. Sa main gauche tient un sceptre couché, et sa droite un cœur enflammé.
s la paume de la main, puis le troisième à la plante des pieds ; elle tient d’une main une fleur sur laquelle est un enfant.
t les voyageurs ; deux énormes statues sont sous le vestibule ; l’une tient un serpent et une lance ; l’autre, armée d’un gla
rsemé d’étoiles brillantes, le corps armé de quatre bras ; le premier tient un enfant, le second un sabre, le troisième un se
bout sur un rocher, enveloppé d’une large robe à grandes manches ; il tient un éventail dans sa main ; il a la barbe longue e
es vieillards. On le représente avec quatre faces et quatre bras ; il tient d’une main un sceptre terminé par un brillant sol
illante de pierreries, son corps est armé de quatre mains, dont l’une tient un sceptre ; l’autre une tête de dragon ; la troi
iffées d’une espèce d’étoffe, et monté sur un cheval à sept têtes. Il tient dans ses mains un anneau d’or, qu’il serre entre
cercle d’or, est une coquille remplie à moitié de grains de riz ; il tient un sceptre dans sa main gauche. Les Japonais ont
vengeait la mort d’Iérir, ce qu’il fît ; mais Gouchtasp ne voulut pas tenir sa parole. Long-temps après il fut mis dans les f
longue chevelure. Il était ceint d’une bande de toile, sa main gauche tenait une roue, et sa droite un panier rempli de fruits
avait en outre un visage sur la poitrine et tandis que sa main droite tenait son menton, de la gauche il touchait aux étoiles.
chez les Varingues, était la divinité tutélaire de leur capitale. Il tenait une lance de la main gauche ; sur sa tête était u
iendraient à hauteur d’homme. La personne qui le consultait devait se tenir debout, un pied en l’air, et c’était un mauvais p
personne ; elle siégeait avec son mari sur le trône Hlidskialf, elle tenait aussi une assemblée des Dieux dans le palais Ving
e de Karll, de sorte qu’il devint aussi la tige des hommes libres, et tint le milieu entre Aï, tige des esclaves, et Eadit t
eaux qu’il ne put briser ; alors les Ases prirent un cable énorme qui tenait au rocher Gelgia, et y attachèrent ce monstre. Il
ronnée de nouvelles victoires. Rava, dieu suprême des Finnois. Il ne tient l’être de personne ; il n’existe que par lui-même
11 (1823) Mythologie des dames
grandeur colossale, et l’aigle reposait sur le bout du sceptre qu’il tenait à la main. Tous les peuples de l’univers accourai
’eurent point de divinité appelée la Mode, il est probable qu’elle en tenait lieu. Il faut remarquer que les vêtements chez le
ontrer que les services ne doivent point se faire attendre ; elles se tiennent par la main, pour montrer que nous devons nous un
présent. Quelquefois il aime à se couvrir les yeux d’un bandeau, et à tenir un flambeau dans sa main. Il est craint de tous l
mant des êtres ! Elle laisse échapper le poignard. Sa main tremblante tient la lampe qui lui montre tant de charmes ; mais hé
èle, tantôt son mortel ennemi ; il s’appelle Hymen. Comme l’Amour, il tient un flambeau sa figure est riante ; des cheveux bl
Sa tête est souvent couronnée de fleurs, sur-tout de marjolaine : il tient quelquefois dans sa main un voile de couleur jaun
nt la couleur des boutons de la rose, elle écarte les nuages, et elle tient les rênes des chevaux qui conduisent son char bri
rcure lui avait fait jurer de n’en rien dire ; mais Battus n’ayant pu tenir sa promesse, Mercure le changea en pierre de touc
ée. La Minerve de la ville de Troie, connue sous le nom de Palladium, tenait la pique de la main droite et une quenouille de l
ion, l’autre de chèvre, la troisième de dragon, et dont tout le corps tient de ces trois animaux différents. Ce monstre vomit
ible celui qui le portait, et ils en firent présent à Pluton. Ce dieu tient en main un sceptre à deux pointes, et quelquefois
onnurent aussi les malheurs dont la cruelle Vénus est la cause. Minos tient dans les Enfers l’urne dans laquelle sont déposés
èce de chevelure d’un vert d’ache de marais, et tous leurs cheveux se tiennent , de manière qu’on ne peut les séparer. Le reste d
pendaient sur leurs épaules, et flottaient au gré du vent. La déesse tenait d’une main un sceptre d’or pour commander aux vag
toutes les noires tempêtes. Les tritons conduisaient les chevaux, et tenaient les rênes dorées. Une grande voile de pourpre flo
urcils épais et pendants, ses yeux pleine d’un feu sombre et austère, tenaient en silence les fiers Aquilons, et repoussaient to
ole, dieu des Vents, un des descendants de Prométhée. Ce roi puissant tenait ses turbulents sujets enfermés dans des cavernes
dèrent un rivage,         Où la fille du dieu du jour,         Circé, tenait alors sa cour.         Elle leur fit prendre un b
. « Il ne peut plus se répandre sur la terre ; il est contraint de se tenir dans son lit, et la vapeur de Vulcain le dévore46
rd des ruisseaux ; sa tête est couronnée de fleurs ; quelquefois elle tient dans ses mains des guirlandes, ou une corne d’abo
épouse est assise sur une grande corbeille de fleurs et de fruits, et tient un rameau d’une main, et quelques pommes de l’aut
it couronné de fleurs ; l’Été avait le front chargé d’épis de blé, et tenait dans ses mains un faisceau d’épis et une faucille
12 (1845) Mythologie de la jeunesse
iquer que tout lui était soumis : le ciel, la terre et les enfers. Il tenait en main un livre ou une urne qui renfermait le so
our épouvanter ceux qui rapprochaient. Mais, si l’on persévérait à le tenir bien lié, il reprenait sa première forme, et répo
a vie et à la mort. Elles filaient les jours de chaque mortel. Clotho tenait la quenouille, Lachésis tournait le fuseau, et At
har, et couverte d’un voile noir parsemé d’étoiles [Fig. 44]. Sa main tenait un flambeau renversé. [Fig. 44] Elle avait enf
était la muse de la poésie héroïque. Le front ceint de lauriers, elle tenait d’une main une trompette, et de l’autre un livre.
la représentait avec une lyre. Euterpe présidait à la musique ; elle tenait à la main une flûte. Uranie, muse de l’astronomi
nent la joie des festins. Jeune, gras, la tête couronnée de roses, il tenait un flambeau de la main droite, et de la gauche s’
fruits dans les plis de sa robe. Vertumne était couronné d’herbes, et tenait à la main des fruits et une corne d’abondance [Fi
éir. Horace la dépeint avec des mains de bronze, dans lesquelles elle tenait de longues chevilles, des crampons et des coins d
e bouches et de langues que de plumes. La Victoire. La Victoire tenait d’une main une couronne, une palme de l’autre, et
à la Liberté. Ils la représentaient sous la figure d’une femme qui se tient debout, et qui a dans sa main un bonnet, symbole
es exploits. Tandis qu’Omphale, couverte de la peau du lion de Némée, tenait la massue, Hercule, habillé en femme, filait à se
éros avec sa sandale, pour le punir de la maladresse avec laquelle il tenait la quenouille et le fuseau. Cependant Hercule s’a
aîne sur ses pieds et sur ses mains ; qui, dans la force de l’âge, se tient debout sur ses deux jambes, et qui, dans sa vieil
ieu, il l’amenuisa par le bout, le cacha dans un tas de fumier, et se tint tranquille jusqu’au soir. Lorsque Polyphème eut r
e et prudent Ulysse que Mercure lui avait autrefois annoncé. Elle lui tient , pour le fléchir, les discours les plus touchants
13 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
tour d’airain qu’Acrisius, roi d’Argos, avait fait construire pour y tenir renfermée Danaé sa fille. Ce prince espéra, par c
or et le cheval Pégase. Chrysaor tirait son nom d’une épée d’or qu’il tenait à la main au moment de sa naissance. Il épousa Ca
héros à Argos et dans l’île de Sériphe. Explication des fables qui tiennent à l’histoire de Persée. Persée, de retour dan
en état de lui opposer des forces. Nisa, ville voisine d’Athènes, qui tenait son nom de Nisus, frère d’Égée, fut la première à
rent cacher la cause de leur défaite, en publiant que le sort de Nisa tenait à un cheveu fatal que portait Nisus. Ils dirent q
r auprès du soleil ; mais que la chaleur fondit la cire qui servait à tenir ses ailes. La mer dans laquelle il se noya se nom
errible ; mais Thésée, âgé seulement de sept ans, saisit la hache que tenait un esclave, et s’avança croyant combattre l’anima
contrer. Son premier exploit fut son combat contre Périphétès, qui se tenait en embuscade dans les environs d’Épidaure, et ass
it à l’autre ; déguisée en vieille, et sous le nom de Lucine, elle se tint assise à la porte d’Alcmène, et prononçait des pa
rre, sa mère ; mais le héros, l’ayant saisi dans ses bras nerveux, le tint élevé au-dessus de la Terre, et l’étouffa. Cet An
vue des côtes. On consulta le célèbre centaure Chiron sur la marche à tenir  ; on le pria de faire un nouveau calendrier et de
bras invincible. » Dans ce récit d’ Homère, l’intervention de Diane tient seule à la fable, Le reste des événemens est conf
alors que sa bouillante fureur, elle jeta dans le feu le tison auquel tenaient les jours de Méléagre ; et ce prince périt en peu
ls reléguèrent Œdipe au fond de son palais, et convinrent ensemble de tenir , chacun à son tour, les rênes du gouvernement pen
rd à la vérité ? Quel est donc ce concert inconnu jusqu’à présent qui tient contre l’intérêt personnel, et réunit tant de fou
t quelques chaudrons de cuivre auprès d’une statue de même métal, qui tenait un fouet à la main, et qui était également suspen
u portaient sa statue sur leurs épaules, dans un navire doré ; ils ne tenaient aucune route certaine, et laissaient croire que l
les. Une seconde caverne se présente ; il faut se coucher à terre, et tenir dans chaque main une composition de miel nécessai
ande qu’elle lui ferait. Elle désira de vivre autant d’années qu’elle tenait de grains de sable dans sa main ; elle oublia, ma
e furent conservés par les Romains avec le plus grand soin, et furent tenus sous le secret. Un collége de quinze personnes, n
omme une divinité. On croyait généralement que la nature des Sibylles tenait une espèce de milieu entre la divinité et les hom
dans la Grèce, qu’ils firent établir une loi par laquelle il fallait tenir à cette famille par les liens du sang, pour être
ue qui revenait d’elle-même dans la main qui l’avait lancée, et qu’il tenait avec des gantelets de fer, il possédait une ceint
i que la victoire, qu’à la seule volonté d’Odin. La cour des dieux se tient ordinairement sous un grand frêne ; c’est là qu’i
dont les abeilles composent leur miel. Les trois vierges, ou Fées, se tiennent toujours sous le frêne ; elles dispensent les jou
. On les y voyait caractérisées par leurs symboles particuliers. Odin tenait une épée dans sa main. Thor, à la gauche d’Odin,
tc. etc. Un esprit juste retranchera toujours de ces récits ce qui ne tient qu’au merveilleux, mais tout cœur noble et valeur
si souvent entre les mages et les druides, et prouve que les Gaulois tenaient leur religion des Perses, ou du moins des peuples
res certains arbres, même lorsqu’ils tombaient de vétusté. Ce respect tenait à la grande idée qu’ils avaient de la divinité ;
14 (1866) Dictionnaire de mythologie
e assez solide pour porter de loin en loin une ombre de poëte ! Il ne tient à rien que je ne vous donne un bon coup d’aviron
tueras point , tu ne voleras point , la loi ait dû ajouter : Tu te tiendras propre  ? Le Lévitique est plein de prescriptions
on dans les âmes faibles. Néanmoins les partisans des Centaures ne se tenaient pas pour battus ; ils avaient pour eux la traditi
né par les mêmes bœufs ; même Cérès agitant la même gerbe. Bacchus se tenait auprès d’elle, assis sur un tonneau de bière, et
Je range parmi les fables l’histoire de cette épée, non parce que je tiens pour faux tout ce qui est invraisemblable, mais p
e de jeunes esclaves, choisis parmi les plus beaux, ont l’ordre de se tenir debout, prêts à le servir et attentifs à ses moin
nvoitise, l’ambition, la crainte, l’espérance, sont les tyrans qui la tiennent attachée ; les hasards de la vie forment le fil i
hasards de la vie forment le fil imperceptible qui la supporte et la tiendra suspendue sur vos têtes, toujours menaçante, touj
éternue : Dieu vous bénisse ! ou : Dieu vous assiste ! ou : Dieu vous tienne en joie ! ou : Dieu vous fasse sage ! ou : Que vo
gre, la bête de l’Apocalypse, étaient des dragons. Le dragon français tient de ses fabuleux ancêtres par son extérieur redout
immortelle. Aux pieds du dieu veillaient un coq et un chien. Lui-même tenait en main un bâton où s’enroulaient deux serpents.
toute la famille, les esclaves comme les hommes libres ; le défunt y tient la première place, en attendant que le foyer reço
era rien d’admettre qu’il se promène sur terre un sapin à la main. Je tiens d’un pèlerin qu’entrant sous le portail de Saint-
acher ? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ? Mon père y tient l’urne fatale ; Le sort, dit-on, l’a mise en se
la mort fermées sur elles, la magie seule pouvait les évoquer. Elles tenaient des esprits par cette forme vaporeuse, diaphane,
s existences et des formes, mais le sentiment n’y est plus. » Elles tenaient des corps par une foule d’autres points. Elles bu
t de son ombre, il s’en moque avec eux en famille. Ce n’est pas qu’il tienne à cet épouvantail dramatique, mais il veut réform
ues avant de prendre leur forme définitive. On dirait que la nature a tenu en réserve ces êtres inférieurs pour manifester s
la poudre brillante de ses ailes tombe sous vos doigts ; vous croyez tenir une fleur ailée, vous ne tenez plus qu’une chenil
es tombe sous vos doigts ; vous croyez tenir une fleur ailée, vous ne tenez plus qu’une chenille. Si vous rencontrez d’aventu
15 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
nie où régnoit le fameux Atlas. Ce Prince, averti par un Oracle de se tenir en garde contre un fils de Jupiter, refusa de ren
dion roi d’Athènes, épousa Ethra, fille du sage Pithée ; mais voulant tenir cette union secrète, lorsqu’Éthra mit au jour Thé
de l’enlèvement de Ganimède ; mais Laomédon, incorrigible, refusa de tenir sa parole. Hercule fit le siége de Troye, s’en em
ns l’île de Scyros, en habit de fille sous le nom de Pyrrha, pour l’y tenir caché ; étant ainsi caché, il devint amoureux de
s qu’ils étoient encore si effrayés de l’apparition d’Achille, qu’ils tinrent un conseil debout et tout armés, n’osant s’asseoi
l’esprit de prophétie, lorsqu’elle l’eut obtenu, elle ne voulut plus tenir sa parole, et ce Dieu lui déclara qu’on n’ajouter
use. La Nécessité ou le Destin. Platon dit que la Nécessité tient un immense fuseau de diamans, qui, d’un bout, tou
es yeux égarés, le teint livide, elle est coëffée de couleuvres, elle tient trois serpens d’une main, un hydre à sept têtes d
ributs sont ceux des furies : elle est coiffée avec des serpens, elle tient une torche ardente d’une main, une couleuvre et u
riche chevelure Est le jouet des zéphirs, Ce beau feu qui l’environne Tient de sa vivacité, Et tout l’air de sa personne Marq
nt son degré de force, en varie les couleurs. Le Désespoir. Il tient une branche de cyprès, il a un poignard dans le s
he portée sur sa poitrine en signe d’assurance, et par l’épée qu’elle tient de la main droite et dont la pointe est baissée v
statue         Du Dieu d’Épidaure enchaîné. La Clémence. Elle tient d’une main une brandie de laurier, et de l’autre,
sphère où sont les douzes signes du Zodiaque et une petite figure qui tient une palme d’une main, et de l’autre, une guirland
lance a pour symboles une flèche, une lampe et une grue. La Diligence tient un sablier et un éperon. La Bienveillance, la
ut jamais briller. Elle est couronnée d’une guirlande de rue59 ; elle tient un pélican dans ses bras, elle est debout, parce
ui par la suite, devint célèbre par les écoles de philosophie qui s’y tinrent et qui furent appelés Académies du nom d’Académus
16 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
hangemens où son humeur l’engage, A la nature humaine il s’en vouloit tenir  ;               Mais de voir Jupiter taureau,    
haînes d’or qui lui sortent de la bouche, et par lesquelles il semble tenir ses auditeurs enchaînés. On le regardoit comme le
re d’un enfant, avec un sourire malin, et un bandeau sur les yeux. Il tient un arc à la main et quelquefois un flambeau. Il p
abreuvé de fiel, Plus digne de régner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les Dieux du ciel ! De la Noue a
pres à son caractère satyrique et bouffon : il démasque un visage, et tient une marotte à la main. La Nuit. D. La nuit
allégorique, représentée sous la figure d’un homme ou d’une femme qui tient un doigt sur la bouche. Thémis. D. Qu’étoit
le nous promène à son gré. Le seul remède à ses caprices C’est de s’y tenir préparé. (Rousseau.) Némésis. D. Comment n
de se repaître, Sous le fer de Thésée enfin perdit le jour. Le Héros tient le fil qui trace son retour ; Tandis qu’un peu pl
ang répandu ; Du roc se lance en bas, et s’écrase lui-même : La reine tint parole, et j’eus le diadême. (P. Corneille.) D.
. L’ignorance est également honteuse et funeste pour tous. Les femmes tiennent un rang distingué dans la société ; faites pour c
gnorant qui s’égaye aux dépens d’un savant en ces termes : ……………………… Tenez -vous table ? Que sert à vos pareils de lire inces
prudemment écouté cette funeste passion. Amour, amour, quand un nous tiens , On peut bien dire : adieu prudence. (La Font., L
rpion en offre un exemple frappant. Ecoutons le langage que la Tortue tient à ce dernier. C’est donc ainsi que tu me remerci
17 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
tu vois le troupeau de tes imitateurs Ramper au pied du Mont dont tu tiens les hauteurs. De ce Mont où Virgile, où le Tasse
u retentit : L’antre enflammé vomit le fer de ses entrailles. Le Dieu tient d’une main ses mordantes tenailles, De l’autre il
nimés. Il reprend ses travaux, ses jeux accoutumés. Le berger endormi tient encor sa houlette, Le poëte son luth, le peintre
absolu de ses fougueux sujets, enfans de l’Air et de la Terre, il les tenait renfermés dans les antres les plus profonds des I
s honte au plus noir attentat, Outrage les Dieux même en ceux dont il tient l’être, D’âge en âge, en sa race, il ne doit poin
emps au front jeune, aux riantes couleurs ; L’Été, qui, les bras nus, tient des gerbes dorées ; L’Automne, le front ceint de
t un salon peint en vermeil Et tout éclatant de lumière, Où les Dieux tiennent leur conseil. Trois cent soixante-cinq croisées Q
si vifs et si doux, Dont le front innocent déploie La candeur qu’ils tiennent de vous, Et tous les rayons de la joie. Vous aime
il plaindre ? Ciel ! quel est le sang qui doit teindre Le fer qu’elle tient suspendu ?    Mais tes ris, aimable Thalie, Me d
de ! Tu rappelles l’objet qui consacra ton nom ; Ses bienfaits et les tiens animent ce canton, Et son ame est toujours pure c
Leur nom était Clotho, Lachésis et Atropos. La première garnissait et tenait la quenouille ; la seconde tournait le fuseau ; l
rrière, Lui fait un dôme émaillé de saphyrs. De ses chevaux, une main tient les rênes, L’autre répand des moissons de pavots,
ccens,         Voler au temple de la Gloire !    Que sont auprès des tiens , ces prodiges d’Argos, Qu’orna de ses récits la G
ne aimable fierté, S’élève un casque d’or d’aigrettes surmonté ; Elle tient dans ses mains la hache redoutable Dont Bellone a
l’une et l’autre carrière ; Il hésite s’il doit retourner en arrière, Tient les rênes encor mais ne les régit plus, Et ne sai
mes mains suppliantes, Me laissa librement retourner sous mes tentes. Tiens , cruel ! » A ces mots, au vainqueur inhumain Il j
e entouré de lierre ; Un doux jus, bu la veille aux fêtes de Bacchus, Tenait encor ses sens assoupis et vaincus, Quand deux je
cacher ? fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ? mon père y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise en ses s
tristesse, Tremblante, et l’œil en pleurs, embrasse le Héros, Et lui tient ce discours, mêlé de longs sanglots : « Je vais v
est là mon désespoir ; pour avoir trop parlé, Je perds ce que déjà je tenais immolé ; Je l’ai portée à fuir ; et par mon impru
and vers toi je m’élance, Lorsque je tends les bras, je rencontre les tiens , Et tes prompts mouvemens sont l’image des miens.
rappe ; on ouvre, aussitôt Philémon Vient au-devant des Dieux et leur tient ce langage : Vous me semblez tous deux fatigués d
eillis, Debout, et revêtu d’une robe à longs plis, Apollon d’une main tient sa lyre d’ivoire, Et de l’autre l’archet, instrum
ses premiers concerts soient ceux de Philomèle ; Et pour hochet qu’il tienne une rose nouvelle. D’objets toujours rians entour
enfoncée, De mousse, de glayeuls, et de joncs tapissée ; Là, le Dieu tient sa cour, et gouverne en repos, Et les eaux de son
nité du sentiment… Il vient brillant comme l’Aurore, Et d’une main il tient encore Le foudre puissant des Césars ; De l’autre
inités allégoriques. Destin ou Destinée, Fils du Cahos. Il tenait sous ses pieds le Globe Terrestre, et dans ses ma
abîme où disparaît la vie, D’un bras de fer couvre le front des Rois, Tient sous ses pieds la Terre assujettie, Et dit au Tem
abreuvé de fiel, Plus digne de régner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les Dieux du Ciel,    Ah ! lorsqu
iche chevelure Est le jouet des Zéphyrs : Ce beau feu qui l’environne Tient de sa vivacité ; Et tout l’air de sa personne Mar
Mensonge.    Long-temps un Monstre affreux, qui, du milieu des nues, Tenait sur l’Univers ses ailes étendues, La Superstition
18 (1800) Cours de mythologie pp. -360
tu vois le troupeau de tes imitateurs Ramper au pied du Mont dont tu tiens les hauteurs. De ce Mont où Virgile, où le Tasse
u retentit : L’antre enflammé vomit le fer de ses entrailles. Le Dieu tient d’une main ses mordantes tenailles, De l’autre il
nimés. Il reprend ses travaux, ses jeux accoutumés. Le Berger endormi tient encor sa houlette, Le Poëte son luth, le Peintre
s honte au plus noir attentat, Outrage les Dieux même en ceux dont il tient l’être, D’âge en âge, en sa race, il ne doit poin
mps au front jeune, aux riantes couleurs ; L’Eté, qui, les bras nus, tient des gerbes dorées ; L’Automne, le front ceint de
un sallon peint en vermeil Et tout éclatant de lumière, Où les Dieux tiennent leur conseil. Trois cent soixante-cinq croisées Q
si vifs et si doux, Dont le front innocent déploie La candeur qu’ils tiennent de vous, Et tous les rayons de la joie. Vous aime
il plaindre ? Ciel ! quel est le sang qui doit teindre Le fer qu’elle tient suspendu ?     Mais tes ris, aimable Thalie, Me
de ! Tu rappelles l’objet qui consacra ton nom ; Ses bienfaits et les tiens animent ce canton, Et son ame est toujours pure c
rrière, Lui fait un dôme émaillé de saphyrs. De ses chevaux, une main tient les rênes, L’autre répand des moissons de pavots,
ns,           Voler au temple de la Gloire !     Que sont auprès des tiens , ces prodiges d’Argos, Qu’orna de ses récits la G
ne aimable fierté, S’élève un casque d’or d’aigrettes surmonté ; Elle tient dans ses mains la hache redoutable Dont Bellone a
une et l’autre carrière : Il hésite, s’il doit retourner en arrière ; Tient les rênes encor, mais ne les régit plus, Et ne sa
g ruisseau de pleurs versé sur sa blessure, Lave ce sein chéri quelle tient embrassé ; Et couvrant de baisers son visage glac
cacher ? fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ? mon père y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise en ses s
tristesse, Tremblante, et l’œil en pleurs, embrasse le Héros, Et lui tient ce discours, mêlé de longs sanglots : « Je vais v
est là mon désespoir ; pour avoir trop parlé, Je perds ce que déjà je tenois immolé ; Je l’ai portée à fuir ; et par mon impru
and vers toi je m’élance, Lorsque je tends les bras, je rencontre les tiens , Et tes prompts mouvemens sont l’image des miens.
rappe ; on ouvre, aussitôt Philémon Vient au devant des Dieux et leur tient ce langage : Vous me semblez tous deux fatigués d
ses premiers concerts soient ceux de Philomèle ; Et pour hochet qu’il tienne une rose nouvelle. D’objets toujours riras entour
enfoncée, De mousse, de glaïeuls, et de joncs tapissée ; Là, le Dieu tient sa cour et gouverne en repos, Et les eaux de son
nité du sentiment… Il vient brillant comme l’Aurore, Et d’une main il tient encore Le foudre puissant des Césars ; De l’autre
abyme où disparoît la vie, D’un bras de fer couvre le front des Rois, Tient sous ses pieds la Terre assujettie, Et dit au Tem
la mère qui croit dérober au trépas Son fils, unique espoir, qu’elle tient dans ses bras. Inutiles efforts ; les vagues irri
abreuvé de fiel, Plus digne de régner sur les bords du Cocyte, Que de tenir ta place entre les Dieux du Ciel,     Ah ! lorsq
iche chevelure Est le jouet des Zéphyrs : Ce beau feu qui l’environne Tient de sa vivacité ; Et tout l’air de sa personne Mar
19 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
ui l’attache et qui l’attriste ; son indifférence pour tout ce qui ne tient pas au souvenir et aux regrets qui l’occupent, lu
ie des Muses et des poëtes ; enfin elle est couronnée de fleurs, elle tient de la main gauche un flambeau, et de l’autre elle
20 (1833) Classic tales : designed for the instruction and amusement of young persons
nds of thee a cosmetic that shall revive the bloom of her cheek; that tint which is more beautiful than all the fruits and f
21 (1883) A Hand-Book of Mythology for the Use of Schools and Academies
. He is also the child of the dawn (Jocasta), whose soft, violet hues tint the clouds of early morning. When the evening com
22 (1897) Mitologia classica illustrata
        … immanis Triton… caerula concha Exterrens freta, cui laterum tenus hispida nanti Frons hominem praefert; in pristini
23 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
éte se cherchaient : … Déjà ils se voient l’un l’autre, et Philoctète tient en main une de ces fléches terribles qui n’ont ja
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