trées (en tout cas durant ma garde) ne demandaient rien de plus qu'un
café
ou une soupe, parfois un duvet ou des chaussettes
s pouvions allègrement leur procurer. Finalement en discutant avec un
café
et pas grand chose d'autre, ces personnes étaient
s études de médecine et non pas pour distribuer des couvertures et du
café
toute la nuit. Cette garde devrait être organisée
nt pour la nuit, mais juste que le SAMU SOCIAL passe le voir, pour un
café
peut être, ou une soupe, ou juste discuter. On dé
eiller, mais il finit par lever les yeux vers nous. Il ne veut pas de
café
, pas de soupe. On le convainc tout de même à pren
e trottoir mais au contraire abordent les gens dans le besoin pour un
café
, une soupe ou bien un hébergement. Il est bien qu
camion dans Paris et rendre visite aux plus démunis, discuter, offrir
café
, bonnet, endroit pour dormir ... C'était génial !
cordiale avec les SDF qui nous remerciaient chaleureusement pour les
cafés
et soupes que nous leurs apportions. Enfin, j'ai
ns abri déjà connus par les équipes, toujours contents de partager un
café
. Une heure de double écoute suffirait. C'est très
. Voir les SDF reconnaître les personnes du Samu et demander un petit
café
! On a notamment transporter un SDF depuis le 105
touchantes mais souvent assez brèves: on discute un peu, on donne du
café
, de la nourriture mais il s'agit que d'une aide t
de la maraude, nous nous sommes arrêtés plusieurs fois pour proposer
café
, bouillon, chaussettes, etc... mais le plus impor
e et leur ressenti; ça semblait les réconforter plus encore qu'un bon
café
bien chaud par temps de pluie.
arde, on a ramené un sdf dans un centre d accueil et proposé quelques
cafés
dans la rue. Voilà. Je suis rentrée à 5h du matin
ait très froid et il pleuvait. On a distribuer pas mal de soupe et de
café
sur une grande place et le reste de la nuit on a
et sont rester dans le froid et la neige avec comme seul réconfort un
café
et un duvet.
AMU social manque de moyens : très peu de sacs de couchage, soupes et
cafés
limités... Cela m'a permis de comprendre les enje
t la maraude, l'essentiel des intervention se limitaient à offrir des
cafés
et/ou des soupes aux sans abris, sans pouvoir leu
ster à un briefing d'une heure sur l'intêret de compter les sticks de
café
. Le SAMU social, devant faire un bilan sur leur c
re d'affaire avait besoin de retour sur la consommation des sticks de
café
; j'ai assisté à un débat d'une heure sur qui deva
Ensuite, les SDF qui interpellaient le camion de la rue pour avoir un
café
ou une soupe, étaient complètement ignoré, accomp
d'1 an que nous avons rencontré dans la nuit, qui se voit proposer un
café
à la place d'un hébergement, la mère en pleurs de
coup d'eux, nous en avons eut l'exemple avec un homme qui plus que le
café
chaud appréciait surtout de pouvoir discuter, cel
nous avons pu amener du réconfort, tant au niveau de l'alimentation (
café
, soupe), qu'au niveau du moral aux personnes renc
gatoire ou un examen clinique, mais une vraie discussion, autour d'un
café
. Incroyable. Une des meilleures initiatives de la
perdait sa place dans une cabine téléphonique, il a juste accepté un
café
et une couverture. La garde au Samu social était
s gens peuvent être reconnaissants lorsqu'on leur donne simplement un
café
;.. C'était donc une expérience vraiment intéressa
e nous voir, même si c'était uniquement pour un serrage de main et un
café
. Aussi la bienveillance et la gentillesse de l'éq
uation dans le camion, contexte flou... Sinon nous avons partager des
cafés
et soupes avec des personnes réticentes d’habitud
s besoins souvent très simples comme une nuit de sommeil au chaud, un
café
, un repas ou des habits propres. C'est bouleversa
e pour la nuit, à qui on donne les quelques ressources limitées (thé,
café
...) que l'on disposait pour la nuit entière. Je p
20 ans, et avec qui chaque équipe s’arrête pour discuter, prendre un
café
, ou simplement s’assurer que “tout va bien” lors
: une personne, qui tenait mal sur ses deux jambes, nous a demandé un
café
. Le temps de se faire servir, une seconde personn
e autre... nous nous sommes retrouvés avec quatre hommes réclamant un
café
. Ce qui m'a embêté c'est que l'un de ces hommes é
bituels et les gens du 115, ils se retrouvent, discutent, prennent un
café
... et au final c'est peut être ça qui est le plus
qu'ils souhaitent juste de temps en temps discuter et boire un petit
café
. Cette garde au samu social permet d'avoir un reg
onfort face au sourire et remerciement lorsqu'on leur offre un simple
café
instantané,sentiment d'accomplissemnt lorsqu'on e
ugés. Nous imposer de passer une nuit dans un camion à distribuer des
cafés
ne nous apporte rien de plus à ce niveau. Je n’ai
oit que souvent c'est un besoin de parler qui s'exprime, l'envie d'un
café
pour se réchauffer. Cela permet de percevoir autr
sif et qui nous a insulté donc nous l'avons laissé sans lui donner de
café
ou autre ... Quand à la double écoute, j'étais en
onnaissent visiblement bien. Mon meilleur souvenir, c'est d'offrir un
café
chaud (à d'offrir d'une place dans un centre pour
samu social n'est pas le même pour tous; certains prendront juste un
café
, une soupe ou un duvet, d'autres ressentiront jus
ud. Certaines situations où le rôle de l'équipe se limite à servir un
café
m'ont paru un peu frustrantes car cela ne permet
à voir des SDF mendier dans le metro, dans les rues, aux terrasses de
café
, donc ces personnes font très vite parties du "pa
habitudes, on échange des sourires, une poignée de main, on prend un
café
. C'est un contact simple et humain, et ça m'a rap
ression d'aider ces gens. Même s'ils apprécient une nuit au chaud, un
café
, ou juste une oreille pour se plaindre, je ne voi
entre. Quand il n'y avait plus de place on leur donnait une soupe, un
café
ou autre.. C'est une expérience humaine et format
: les gens étaient quasi-tous contents de nous voir pouvoir boire un
café
chaud et surtout parler je pense. Je me suis rend
touché de voir ces pauvres gens souriants et reconnaissants du simple
café
ou du simple thé qu'on leur donnait. Je pense que
gnie et très heureux qu’on vienne juste leur parler et leur offrir un
café
.
r le monde avec un homme bulgare dormant sous un porche. J'ai pris un
café
avec un jeune roumain qui vendait des fleurs à la
pu leur apporter en passant 5 minutes avec eux et en leur offrant un
café
. Quelques moments tendus tout de même avec de rar
ai aimé la garde, partager tout simplement une discussion autour d'un
café
, écouter des parcours de vie compliqués. Pendant
r avec eux pour partager quelques minutes de conversation autour d'un
café
. J'ai d'ailleurs décidé de rester toute la nuit,
découvrir des situations très variées, entre signalements et maraude,
café
, logement, problèmes médicaux, problèmes sociaux.
it presque illusoire de vouloir les sortir de la, et qu'une soupe, un
café
ou une nuit dans un hébergement pourri est finale
rs qu'ici on prend le temps de parler avec les SDF, de leur donner un
café
ou un repas chaud. C'est complètement différent d
, dans le froid sans rien, ils refusent un sac de couchage ou même un
café
ou une place dans un centre disant qu'ils ont tou
s contents rien que du fait de pouvoir discuter avec nous autour d'un
café
, alors que d'autres, beaucoup plus exigeants, nou
ogement, a la personne à la rue depuis 15ans qui demande seulement un
café
. Ce qui m’a le plus choqué, c’est de serrer les m
é. A d'autres moments certaines personnes ne voulaient que prendre un
café
ou une paire de chaussettes ou un bol de soupe ma
s'est arrêté il y eut un afflux de personnes qui sont venues réclamé
cafés
, eaux etc et nous avons été à cours très rapideen
ouver un hébergement pour la nuit. Puis les suivants auront un peu de
café
, puis une couverture, mais très rapidement nous n
e soit sur l'échange social de premier abord avec la discussion et le
café
, que ce soit sur les propositions de prise en cha
e à part. On allait de personnes en personnes démunies, distribuer du
café
, parfois que des paroles, s'assurer que tout alla
beaucoup à ces gens, ne serait-ce qu'en leur offrant un bouillon, un
café
ou une poignée de main.
’être hébergées pour la nuit, d’un contact humain, ou simplement d’un
café
. Nous avons d’abord rencontré D., qui avait prévu
qui voulaient plus ou moins d’aide. A certains, nous avons proposé un
café
; à d’autres une soupe, un thé ... Enfin nous all
le plus frappé c'est qu'ils nous attendaient certes pour recevoir du
café
, de la soupe ou des vêtements mais surtout pour d
SDF pour d’abord discuter avec lui puis ils distribuent de l’eau, un
café
ou, si ils en ont, un duvet ou des vêtements de p
le dans l'EMA 7! Et finalement un sentiment de BA accomplie 28 soupes/
cafés
/thés/bolinos ou couvertures distribués en plus de
de places à l'hôtel pour de nombreuses familles. Nous avons donné du
café
chaud à des SDF dont beaucoup préféraient rester
absence de moyens dans le camion : à peine quelques duvets, soupes et
café
! On est très bien accueillie par l'équipe, qui r
uelqu'un de la rue, mais je me rends bien compte que leur apporter un
café
et un sourire est déjà un réconfort pour eux.
scussion pendant deux heures avec des sans abris Roumains autour d'un
café
. L'échange était interessant. En bref, cette gard
n'est même jamais intervenue. Il s'agissait simplement de donner 2-3
cafés
et 1 couverture à très peu de personnes au final,
qui j'ai pu m'en rendre compte, ne se limite pas à une soupe ou à un
café
mais surtout à un dialogue indispensable à la lut
discussion... un contraste saisissant avec les gens aux terrasses des
cafés
, nous regardant parfois avec des yeux effarés. Un
a maraude : quantité limitee dans un camion de "soupes", "dosettes de
café
"- ce qui implique donc de savoir gérer le stock t
n'avons croisé qu'une dizaine de personne à qui nous avons offert des
cafés
. Nous avons également rendu visite à Mr D. , un v
ement principalement. Nos interventions ont constitué à distribuer du
café
, de la soupe, de l'eau ou des vêtements chauds. C
heureuses de simplement discuter, chanter, rire autour d'une tasse de
café
. Une nuit qui fait prendre conscience de l'import
ès bonne œuvre sociale leur donner a manger, des duvets, de l'eau, du
café
, du té, etc. même si c'est très difficile leur tr
aider. Le plus souvent les gens ne demande rien d'autre qu'un simple
café
et discuter avec quelqu'un cinq minutes. La dimen
etourner maintenant que le maximum a été fait. Chacun repart avec son
café
et sa soupe et nous aussi. L'ambiance s'est déten
la soirée : 5 personnes amenées dans un centre, plus d'une dizaine de
café
distribués et une vingtaine de rencontres et de d
lus découragée d'autant qu'il ne nous reste plus d'eau chaude pour un
café
, une soupe... Heureusement nous lui donnons un de
.... On a réellement l'impression d'aider, le fait de leur donner des
cafés
, des soupes, des couvertures... ils nous ont reme
e, des gens attablés en train de rire. On nous offre immédiatement un
café
, des sourires reconnaissants apparaissent sur les
arfois heurté à leur rétissence à vouloir recevoir ne serait-ce qu'un
café
, ou encore de savoir qu'on ne peut les aider à av
istratives et leur proposer une assistance sociale - distributions de
café
, de duvets, de préservatifs..... -........ Par ai
ants, d'autres très chaleureux désirent simplement parler autour d'un
café
/bolino, ou être hébergé pour la nuit dans un cent
marchait dans la rue. Il nous a demandé des gants, de la soupe et un
café
, nous lui avons en plus proposé des chaussettes e
ueil pour familles, ces personnes ont été finalement hébergées par un
café
qui les a maintenus au chaud en attendant le lend
ticiper à la prise en charge des SDF de façon active (distribution de
café
, de soupe chaude, de couverture de survie, discus
x sont ceux qui nous ont interpeller au détour d'un feu rouge pour un
café
ou un bol de soupe, des chaussettes ou un duvet,
on d'eau fraîche en cette nuit particulièrement chaude, ainsi que des
cafés
, des repas, des duvets... Souvent les gens nous i
yer, une famille dans un centre et distribuerons pas mal de soupes et
cafés
chauds; Au final, une expérience humaine intéress
rquée. Un groupe de 4 garçons nous a interpellé. Nous avons donné des
cafés
/soupes mais nous n’avions qu’une place en CHU pou
it. Bravo et merci au SAMU social d'apporter le sourire en donnant un
café
, une soupe ou des chaussettes en bon état. Merci
C'est aussi ça le samu social, des petites attention toute simple, un
café
, un sourire, une parole, ou tout simplement une o
alcoolisée et se réveillait difficilement. Après un grand gobelet de
café
pour la mère, ils ont pu être mis à l'abri au cha
nous confronte à leurs véritables besoins (qui souvent se résume à un
café
, et un moment pour parler avec nous). Une expérie
de paris la nuit pour proposer une place la nuit, une couverture , un
café
ou tout simplement venir au contact des gens pour
était en train de jouer aux cartes avec un habitué à la terrasse d'un
café
, un autre nous parlait de son ex, de comme c'étai
en sur nous nous arrêtons volontiers sur le chemin pour distribuer un
café
ou tout simplement discuter, prendre des nouvelle
s de cette soirée. Une place dans un logement social pour la nuit, un
café
, une écoute, ou tout simplement un sourire c'est
lui. Il dit être en bonne santé. Pourtant il accepte avec plaisir un
café
. A la suite de notre entretien avec lui on demand
lui. Il dit être en bonne santé. Pourtant il accepte avec plaisir un
café
. A la suite de notre entretien avec lui on demand
lui. Il dit être en bonne santé. Pourtant il accepte avec plaisir un
café
. A la suite de notre entretien avec lui on demand
s puis dans notre pratique future. Une discussion de 10 minutes et un
café
sont parfois les seules choses qu'on peut apporte
oposer aux personnes qui le souhaitent, une couverture, une soupe, un
café
ou une oreille attentive, faute de place en centr
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