lement 7 places pour homme au centre Romain Rolland par exemple). Une
femme
enceinte appelait pour pouvoir dormir dans un cen
re, l'écoutante lui a proposé une place dans un centre, mais la jeune
femme
préférait dormir dehors plutôt que d'être séparé
ièrement marqué, il montre la détresse psychologique majeure de cette
femme
qui doit vivre sa grossesse sans lieu de vie fixe
sans lieu de vie fixe, dans des conditions de vie difficile qu'aucune
femme
ne devrait subir.
AMU social mais membre de l'association ADSF " Agir pour la santé des
femmes
" je sais à peu près à quoi ressemble une maraude
nt : visite dans des hôtels sociaux/bidonvilles pour sensibiliser les
femmes
à l'importance de prendre soin de le leur santé:
les aident à se libérer, ayant pour la plupart un passé assez lourd (
femmes
battues, réfugiées, victimes de mutilation...). D
. De plus des maraudes sont faites dans la rue pour venir en aide aux
femmes
SDF: dons de serviette hygiénique, produits de so
des objectifs premier de ces maraudes. Nous agissons aussi auprès des
femmes
prostituées au bois de Vincennes en collaboration
DES: nous mettons en place des consultations gynécologiques avec sage
femme
présente.
es années ils avaient observé une part grandissante de familles et de
femmes
enceintes dans leurs bénéficiaires. Effectivement
ement j'ai pu faire ce triste constat par moi même hier en ayant eu 3
femmes
enceintes durant les 2h d'appel, dont une qui ava
nces par jour. Pendant la maraude nous avons croisé un couple dont la
femme
était enceinte et une femme avec un bébé, heureus
raude nous avons croisé un couple dont la femme était enceinte et une
femme
avec un bébé, heureusement ces deux familles ont
e sur les raisons de ce triste constat, on m'a expliqué que plusieurs
femmes
migrantes subissaient des violences sexuelles dur
migratoire et se retrouvaient enceinte à leur arrivée. Pour d'autres
femmes
on constate que les pères les abandonnent quand e
inte car le couple est trop précaire pour assumer un enfant, mais les
femmes
n'ont pas le choix et se retrouvent dans une préc
pendant notre nuit. Nous étions chargés de récupérer 3 personnes, une
femme
et son fils, et une autre femme seule. Tous étaie
chargés de récupérer 3 personnes, une femme et son fils, et une autre
femme
seule. Tous étaient recueillis pour passer la nui
ueillis pour passer la nuit au chaud dans cette période hivernale. La
femme
seule a vécu une histoire horrible. En Afrique, s
au 115. D'un autre côté, le fait qu'un seul centre d'hébergement pour
femmes
soit disponible est inquiétant surtout du fait qu
isponible est inquiétant surtout du fait que les dangers auxquels les
femmes
peuvent être exposés dans la rue sont plus nombre
a rue sont plus nombreux. Un appel m'a particulièrement marquée : une
femme
qui appelait pour la première fois au samu social
nterventions. l'équipe est très accueillante. Nous avons rencontré un
femme
qui venait du Congo qui nous a raconté l'histoire
et plus sombre que tout les films que j'ai vu sur le sujet. Une autre
femme
SDF qui était atteint de gangrène humide de l'ava
personnes rencontrés dans la rue. Nous avons été à la rencontre d'une
femme
enceinte de 7 mois qui dormais dans la rue. Malgr
ocial, l'infirmière et le travailleur social ont essayé d'aider cette
femme
du mieux qu'ils pouvaient.
ou plus. J'ai eu l'occasion d'écouter un "premier appel" d'une jeune
femme
isolée qui arrivait tout juste sur Paris sans log
u cours de la maraude pour l'emmener dans un foyer d'hébergement pour
femme
où elle a pu passer la nuit. Dans ce foyer, ambia
e a pu passer la nuit. Dans ce foyer, ambiance très chaleureuse : une
femme
me prend sous le bras et me montre ses cahiers d'
trop occupée. Nous sommes donc allés à la rencontre de ces hommes et
femmes
pour discuter, leur proposer une boisson chaude o
marquée est un SDF qui avait tout dans la vie (un super travail, une
femme
) mais du jour au lendemain il a tout perdu à caus
l, une femme) mais du jour au lendemain il a tout perdu à cause de sa
femme
. Lui est dans la rue, et sa femme habite à Neuill
emain il a tout perdu à cause de sa femme. Lui est dans la rue, et sa
femme
habite à Neuilly-sur-seine. Il était en costume d
Une histoire, durant cette double écoute, m’a réellement marqué : une
femme
venant de Mayotte pour faire soigner son fils de
n détresse avec son fils de 32 ans, elle m’a raconté le viol de cette
femme
devant son fils, un soir, qui n’a rien fait puisq
n sévère retard mental. J’ai donc eu un aperçu de la violence que les
femmes
encouraient dans la rue. Une violence qui est rée
discutant avec mon écoutante, j’ai appris que nous étions passés de 1
femme
pour 9 hommes à 1 femme pour 4 hommes dans la rue
ante, j’ai appris que nous étions passés de 1 femme pour 9 hommes à 1
femme
pour 4 hommes dans la rue, et que les centres ne
prise qu’il n’y ait pas plus de moyens mis en œuvre pour protéger ces
femmes
qui sont vulnérables. Il existe des centres d’acc
ndalisée d'apprendre qu'il n'y avait pas de structure accueillant les
femmes
la nuit, l'été à Paris. Seules des structures pou
ant les femmes la nuit, l'été à Paris. Seules des structures pour les
femmes
battues et les prostituées sont prévues, les autr
samu social était très enrichissante. Nous avons été appelés pour une
femme
et son bébé de huit mois, dans la rue sous une pl
son bébé de huit mois, dans la rue sous une pluie torrentielle. Cette
femme
venait de fuir les coups de son mari avec lequel
ercher le siège pour bébé à la base du samu social, et en revenant la
femme
semblait alcoolisée et se réveillait difficilemen
lles-ci parfois. Les deux premiers signalement de la nuit ont été des
femmes
, le nombre de femmes vivant dans la rue étant fra
deux premiers signalement de la nuit ont été des femmes, le nombre de
femmes
vivant dans la rue étant frappant, puis un homme
Lors de la double écoute nous avons eu un appel, d une
femme
d'une trentaine d'année d'origine Africaine, viva
chassé de chez lui car il avait le projet de se marier avec une autre
femme
. Elle se retrouvait donc a la rue avec ses 2 enfa
permis avant tout de passer au-delà de mes préjugés sur ces hommes et
femmes
qui n'ont pas d'autres choix que de vivre dans la
le 115. Cette nuit la, nous sommes allé à la rencontre d'hommes ou de
femmes
que l'équipe connaissait bien, car ceux sont souv
très intéressant qui nous permet de prendre conscience de ces hommes,
femmes
et familles qui vivent au quotidien dans la rue i
rendre conscience des conditions dans lesquelles vivent ces hommes et
femmes
.
Nous avons reçu un signalement pour une
femme
d’une quarantaine d’années afin de l'accompagner
ccompagner jusqu'à un centre d’hébergement pour la nuit unique. Cette
femme
est atteinte d’une insuffisance chronique termina
ait d’être dialysée deux fois par semaine de manière pérenne... Cette
femme
doit attendre d'être en France depuis trois mois
ce humaine. Mais parfois difficile moralement. Par exemple, laisser 2
femmes
dont une enceinte de 7 mois dormir dans la rue ca
La maraude a commencé avec un signalement pour une
femme
isolée qu'on nous avons ramené pour la nuit au ce
our la nuit au centre d'hébergement de nuit de porte d'Orléans. Cette
femme
nous a ensuite raconté sa situation qui était trè
personnes qui vivent dans les rues... J'ai eu l'occasion de voir une
femme
sans domicile fixe passer du calme au referme men
it... J'ai aussi pu voir ce qu'étaient la fidélité et le courage, une
femme
ne voulant se loger que si sa consœur de l'autre
p apprécié, 2 témoignages m'ont particulièrement marquée. Celui d'une
femme
fuyant un mari violent de l'âge de son grand père
de violences physiques et sexuelles. Et celui rempli de menaces d'une
femme
dont la demande de logement n'avait pas été pourv
Dans la journée du 07/09/16 le SAMU avait reçu l'appel d'une
femme
qui était à la rue et qui avait subit une agressi
lièrement utile et qu'on avait vraiment apporté quelque chose à cette
femme
. J'ai trouvé cette garde très intéressante. L'équ
ent, recueil de personnes principalement immigrées dont de nombreuses
femmes
seules. Visite des foyers d'hébergement. Assistan
ent Je trouve dommage cependant qu'il manque autant de place pour les
femmes
que l'on doit laisser dans la rue !
J'ai commencé la garde par une intervention a Pigalle avec une
femme
très touchante. Puis on est allé au centre porte
ent trois, allongés au pied d'une agence bancaire, deux hommes et une
femme
. Le camion s'arrête, les regards se croisent. Que
mps déjà. Un éclat de rire puis soudain voici qu'elle fond en larmes.
Femme
d'ici et de là-bas, amie d'un jour ou pour toujou
it j'ai appris ce qu'était le samu social de Paris. J'ai vu une jeune
femme
ancienne toxicomane totalement désoeuvrée, un hom
un homme complètement soûl et agressif nous insultant violemment, une
femme
alcoolique vivant dans le bois de Meudon, un jeun
usagers n'étant pas les grands isolés, mais un groupe hétéroclite de
femmes
, d'hommes , d'enfants voire même de familles enti
un travail ou non, avec ou sans papiers. Je me souviendrais de cette
femme
de 60 ans de bonne classe sociale, finissant dans
rêt. Elle complète notre formation, comme l'ont fait la double-écoute
femmes
violées et l'info sida, en nous faisant voir asse
monde. Tous incarnent l’âpreté de la condition humaine. Le nombre de
femmes
qui n’ont pas de toit est le fait le plus révolta
qui n’ont pas de toit est le fait le plus révoltant. Dans la rue, une
femme
est une cible. Les hordes de vautours en tout gen
de ces proies faciles. Malgré leur vulnérabilité patente, beaucoup de
femmes
, parfois très jeunes, ne bénéficient d’un héberge
galité formelle entre les sexes, et conduire à protéger davantage les
femmes
, qui en ont indiscutablement plus besoin. Enfin,
Une chose qui ma particulièrement marqué c'est une jeune
femme
qui avais arrêté notre camion à notre passage, le
marchais seule avec un petit sac. Jeune et habillée comme beaucoup de
femmes
de son âge, je n'avais pas réalisé qu'elle nous d
ergement. Puis vers 2h du matin, on a reçu le signalement d'une jeune
femme
, d'origine Algérienne, enceinte de 6 mois. Arrivé
, celui-ci étant à la rue également ne peut pas l'aider. Ainsi, cette
femme
était sans abris, sans personne pour l'aider, et
accouchement prématuré. J'ai été très touchée par l'histoire de cette
femme
. Finalement le SAMU social a réussi à lui trouver
utre vision des gens sans abris, et nous montre que des hommes et des
femmes
ne changent pas de trottoir mais au contraire abo
eillante. Cette maraude nous a permi de trouver un toit à 6 hommes et
femmes
qui auraient dormi dehors sans l’aide de cette éq
personnes qui n'ont rien et qui survivent malgré tout. Ces hommes et
femmes
dans la rue ne sont pas que des "clochards" dans
e sont pas que des "clochards" dans la rue, ce sont des hommes et des
femmes
comme tout le monde, qui méritent d'être écoutés
avait non seulement des hommes sans abris mais également beaucoup de
femmes
que nous avons rencontré, dont une avec un bébé d
atoire car elle nous met face à la triste réalité. J'ai rencontré des
femmes
et des hommes avec une étonnante gentillesse, hon
en commençant par la double écoute, un appel m’a marqué : celui d’une
femme
de 18 ans à la rue avec son bébé sans aucune ress
j'ai été accueillie par une ambiance très chaleureuse, par des jeunes
femmes
désireuses de nous intégrer et de nous intéressée
lé peu entre eux aussi. La travailleuse sociale de l'équipe était une
femme
d'une cinquantaine d'année qui me donnait l'impre
on pour ces gens. Des situations comiques parfoirs au téléphone : une
femme
ou un homme débitant des propos incohérents dans
ard au cours de la soirée, j'ai découvert ces gens, pour beaucoup des
femmes
en situations irrégulières qui souriaient en mont
s là les plus durs. Je n'oublierai jamais le regard de détresse d'une
femme
enceinte que l'on a du laisser.
abus de faiblesse, chez une population déjà fragilisée, notamment les
femmes
, sont les appels qui m'ont le plus marqués. Merci
e humaine intéressante et c'est rassurant de voir tant d'hommes et de
femmes
dévouées à rendre le quotidien d'autrui moins pes
Des gens de tout type sont aidés par le samu social : jeunes,
femmes
, personne en grande détresse, handicapés ... Le c
es et de prendre vraiment le temps de discuter avec des hommes et des
femmes
vulnérables que l'on ne sait pas forcément commen
t par le nombre incalculable d'appels mais également par les profils:
femmes
enceintes, immigrés... L'équipe était très profes
nombre de place d'hébergement très limité, surtout pour l'accueil des
femmes
. Pendant la maraude, l'essentiel des intervention
t au long de la nuit. Quelle surprise de rencontrer ces hommes et ces
femmes
qui paraissent invisibles dans notre quotidien !
ent prêts à accepter une place en hébergement au prix de laisser leur
femme
dans la rue. Pour éviter cela, certains écoutants
s proposer de place à l'homme si une place n'est pas garantie pour la
femme
. Avant la nuit au Samu Social, j'avais la concept
yant mené à l'errance, comment ne pas souffrir dans les yeux de cette
femme
malade, abandonnée de tous ses proches pour avoir
e les mots quand même, sutout quand on en a peu, celui de cette jeune
femme
forcée- faute de place en halte de nuit -de s'exp
vit aux autorités, et cela parfois plus de 6 mois durant, et avec des
femmes
enceintes souvent, et avec des nourissons parfois
plus de lits d'accueil devraient être ouverts, en particulier. Aucune
femme
ne devrait rester sans protection dehors si elle
u social a été enrichissante. Une rencontre m'a marquée : celle d'une
femme
qui était vraisemblablement battue par son mari.
Je n‘étais non plus pas consciente à quel point le nombre de viol des
femmes
sans abri était important. Je remercie le Samu so
Rencontre avec une jeune
femme
en maraude, épileptique et victime d’un vol (dont
ue les sdf qui arrive soûl aux urgences . On voit aussi la misère des
femmes
et des enfants dans la rue qui grace à la nouvell
j'ai fait cette nuit est celle d'un couple. L'homme avait signalé sa
femme
comme enceinte et vulnérable au 115. Or, lors de
rsonnes. On a également pu trouvé une place en foyer pour la nuit à 2
femmes
. Les profils de personnes nécessiteuses sont très
nombreuses personnes et ce qui m'a choqué c'est de voir le nombre de
femme
seule avec des enfants qui sont d'origine totalem
arquée était la rencontre par hasard en passant en camion d'une jeune
femme
dans la trentaine logeant sur le trottoir. Appare
ppelé la regulation pour trouver une place dans le même centre que sa
femme
qui avait eu une place un peu plus tôt dans la so
l Tenon et qui nous a expliqué que la veille il avait perdu de vue sa
femme
et leur bebe dans le metro et qu’il ne les retrou
ingtaine d'années, Monsieur S. était au volant avec pour passager, sa
femme
et son bébé de 4 mois. Monsieur S. fut l'unique s
raiter. Pour finir on se rend compte de la situation de ces hommes et
femmes
sans abris ce qui changera certainement notre vis
tout c'est que les personnes que l'on rencontre sont des hommes, des
femmes
avec un travail comme nous, une famille une fiert
lé étaient plus jeunes que moi, dont un qui arrivait de Chine avec sa
femme
enceinte de 3 mois. Leur voyage de la Chine à Par
u 105, je me suis rendue compte qu'un grand nombre d'appels venait de
femmes
enceintes, ou avec des enfants qui cherchaient un
tait un appel d'un homme qui dormait dans la rue depuis 2 mois car sa
femme
l'avait mis dehors. Elle était enceinte, et ne le
ations très variées, allant d'un migrant ne parlant le français à une
femme
isolée dans la rue, en passant par tous les habit
On s'est ensuite dirigé vers un spot fréquenté de plusieurs hommes et
femmes
sans abris qui dormaient dans des tentes et des d
osé du café, des soupes. J'ai surtout été touché par la condition des
femmes
(jeunes) qui vivaient dans la rue, elles n'ont pa
une nuit passionnante, avant tout pour la rencontre de ces hommes et
femmes
que je croise toute l'année sans avoir jamais pri
ant notre conversation avec lui et nous avons conduit à l'hôpital une
femme
présentant des troubles psychiatriques suite à un
nions dans le camion. Je n'ai été témoin d 'aucune agressivité. - Les
femmes
qui travaillent le jour et n'ont pas de logement
resse plus globale et la peur du lendemain qu'éprouvent les hommes et
femmes
rencontrées. La maraude nous rappelle que notre c
pas forcément... J'éprouve une sorte d'admiration pour ces hommes et
femmes
qui se battent quotidiennement pour vivre et trou
manque de place dans les différents foyers... un anciens foyers pour
femme
a d'ailleurs fermé près de bastille, or le nombre
oyers pour femme a d'ailleurs fermé près de bastille, or le nombre de
femme
dans la rue augmente et celle ci sont d'autant pl
ses de logement. J'ai été un peu choqué après deux appels: celui dune
femme
retraitée de 70 ans ne touchant que 200 euros par
ans famille, ainsi que celui d'un homme de 22 ans avec son fils et sa
femme
vivant dans une tente (ceci etait du fait de son
ir 45€ pour partir à Londres, où il sera peut être plus chanceux. Une
femme
d'origine malienne enceinte de 8 mois débarquant
ance" comme elle dit. Un "monde" sous terrain... Et des hommes et des
femmes
, dans la rue, plus ou moins forts, que l'on croit
, "on est comme même mieux dedans que dehors" seront ses seuls mots 4
femmes
seront refusées faute de place dans les foyers de
oyer, visite du foyer. Un batiment pour les hommes, un autre pour les
femmes
. Dans le bureau d'acceuil, un journal ouvert trai
ayant fait cette nuit. On voit vraiment toutes les situations : de la
femme
enceinte seule qui n'a plus de personne chez qui
femme enceinte seule qui n'a plus de personne chez qui rester, de la
femme
battue, de la famille qui dort dans la rue, des h
x yeux est qu'il n'y a pas assez de places d'hébergements, et que les
femmes
seules ou avec enfants semblent très vulnérables.
u samu par des habitants des arrondissements visités. La détresse des
femmes
et des hommes en situation de précarité était évi
cette expérience. Lors de la double écoute, un appel m'a marqué: une
femme
de 28 ans avec 2 enfants en bas âge, et en attent
r le plus marquant de cette soirée fut la prise en charge d'une jeune
femme
, mère de 2 enfants ,qui avait été battue par son
s places des foyers d'accueil étaient prises.. Je me souviens de deux
femmes
, seules face aux dangers de la rue, qui désespéra
mi ces familles, des parents avec des enfants de moins de 1 an et des
femmes
qui craignent d'accoucher dans la rue... la misèr
c'était dommage. Une des deux interventions consistait à héberger une
femme
enceinte et son enfant de 5 ans, en voyage depuis
nt le nuit de maraude, nous avons été envoyé sur le signalement d'une
femme
en précarité, Me M., qui venait de quitter un hôp
Lorsque nous nous sommes présentés, nous avons vite réalisé que cette
femme
sentait l'alcool. La cure avait été un succès ! R
ait été un succès ! Rapidement, les choses se sont envenimés entre la
femme
et l'homme, qu'elle présentait comme son "copain"
utre. Une conversation plus posée et tranquille put commencer avec la
femme
. Elle se posa sur le matelas, et tout en nous par
ver au plus vite. Cela nous a un peu fait pensé au comportement d'une
femme
battue. Finalement, impossible de la faire venir.
s important de demande d'hébergement y compris des demandes venant de
femmes
enceintes ou avec enfants ce qui m'a beaucoup att
Une
femme
d'une quarantaine d'années nous a hélé a un feu r
moyen concernant les logements d'urgence, notamment pour les lits de
femme
, et d'autre part je me suis rendu compte à quel p
Un signalement m'a particulièrement marqué. Il s'agissait d'une
femme
qui allait vivre sa première nuit sans toit. Elle
r les familles dans la majorité des cas... Il en est de même pour les
femmes
.
dans la rue et la diversité des profils rencontrés (sdf depuis 20ans,
femme
isolée, demandeurs d'asile, rôles, personne au ch
re compte que beaucoup de personnes demandent à etre logées, même des
femmes
enceintes, sans que le samu social puisse de fait
met de mieux réaliser la précarité dans laquelle vivent ces hommes et
femmes
. Ils sont pour la grande majorité d'entre eux dan
social. Un des événement majeur de cette garde fût la rencontre d'une
femme
et ses deux filles de 8 et 10ans dans la rue. Il
devenu handicapé. Il a fini par perdre son boulot, sa maison, puis sa
femme
est partie. Il s'est finalement retrouvé à la rue
m'a fait prendre conscience que beaucoup de personnes, notamment des
femmes
fuient leur pays, mais une fois en France elles r
lérance pour sourire à un père de famille roms qui préfère laisser sa
femme
(enceinte) et sa fille de 2 ans et demi dormir sur
parce que la manche sur Paris lui rapporte plus par la présence d'une
femme
enceinte et d'un enfant en bas age ... je ne tolè
lement fait par une usager du quartier. Quand nous sommes arrivés, la
femme
nous attendait en dehors de sa voiture, condition
médecin spécialiste de la psychologie, ou de la psychiatrie, mais la
femme
n'a pas souhaité quitter son véhicule... Nous l'a
s'agissait d'une famille dans la rue, leur enfant avait 11 mois et la
femme
était enceinte... ces personnes étaient à la rue
nceinte... ces personnes étaient à la rue depuis plusieurs mois... la
femme
était donc tombée enceinte lors de cette periode.
etc... mais je n'en aurais pas imaginé une telle quantité, hommes ou
femmes
, jeunes et moins jeunes, errant dans un froid mor
▲