ue des questions sociales et éthiques qu'elle peut nous amener à nous
poser
. Ce qui m'a le plus marqué cependant fut la doubl
points quoiq'un peu J'ai pu y écouter les problématiques sociales que
posent
certaines personnes malades, que l'on ne s'imagin
ravail social en france. La double ecoute egalement est bien, j'ai pu
poser
plein de questions à la standardiste. Bonne garde
équipe est très sympathique et prompte à répondre aux questions qu'on
pose
. Permet de beaucoup mieux appréhender les milieux
brûlure à cause de l'air chaud des métros qui sortent par les grilles
posées
sur le sol des rues. Quand les températures desce
and les températures descendent, pour se réchauffer les sans-abris se
pose
sur ces grilles. La peau directement au contact d
e durant cette soirée, de la part des passants. Encore ce jour, je me
pose
encore la question du comment du pourquoi.
us d'assistance. J'étais assez intimidé au début, je n'osais pas trop
poser
de questions ni trop rentrer en contact avec les
euillante et informative face aux nombreuses questions que je me suis
posé
. Bonne expérience!
nti, mon opinion ou si je connaissais une solution au problème qui se
posait
.
lles assistent et répondant à toutes les questions que l'on peut leur
poser
. Les missions sont souvent compliquées car les pl
avec des personnes sans abris. Au cours de la double-écoute, j'ai pu
poser
de nombreuses questions. La présentation à toute
uche n'importe qui. Je n'oublierai pas cette soirée qui m'a permis de
poser
un regard différent sur cette population marginal
lement à l'infirmière de s'immiscer ensuite dans la conversation pour
poser
quelques questions de santé auxquelles ces person
re leurs parcours de vie, leurs ambitions et motivations permet de se
poser
quelques questions sur la société. D'autres fûren
: la question de la nécessité d'emmener un usager aux urgences s'est
posée
plus d'une fois. La difficulté également de devoi
vivent les personnes sans logement et les problèmes pratiques qui se
posent
pour leur offrir un toit. Heureusement que le SAM
aux personnes qui au quotidien vivent dans la rue. Nous avons pu nous
poser
pendant une bonne trentaine de minutes pour discu
et celle des maraudes, ont été très chaleureuses envers moi. J'ai pu
poser
toutes les questions qui me passaient par la tête
ateurs quant aux missions du SAMU SOCIAL de Paris, aux problématiques
posées
ainsi qu'à leur évolution au cours du temps, des
ndes difficultés. Le tour de " maraude " a été pour moi l'occasion de
poser
beaucoup de questions et d'avoir un réel échange
e qu'en France l'exclusion social soit si forte et si présente? Je me
posais
déjà toutes ces questions avant, mais le fait d'a
st honorable. L'équipe était très impliquée, passionnée et je pouvais
poser
toutes les questions que je voulais. Nous avons v
amion). N'ayant qu'une très vague idée de son fonctionnement, j'ai pu
poser
toutes mes questions et découvrir une organisatio
ent se faisait le 1er contact avec une personne au 115, les questions
posées
et l'envie de trouver la meilleur solution pour l
n voit Paris d'un autre oeil, un oeil tellement différent que l'on se
pose
par moment pendant la garde si c'est vraiment à p
smission infirmier, temps de préparation du tour de 22h qui permet de
poser
les questions sur l'activité du centre et enfin l
soit réparti en 2 parties, double-écoute puis maraude, m'a permis de
poser
toutes les questions sur l'organisation et la log
soins dans leur hébergement pour la nuit. Dans le camion nous pouvons
poser
toutes les questions que nous voulons au chauffeu
ion d’un travail de nuit avec des situations parfois difficiles. A la
pose
vers deux heures du matin le repas (très bon) nou
evant prendre un traitement lourd) puissent vivre dans la rue et cela
pose
la problématique : comment soigner correctement s
C'est une nuit où notre rôle d’observateur est clairement
posé
. La double écoute est le moment où on tente d'ima
faire. Les maraudes avec l’équipe (très accueillante) m’ont permis de
poser
un regard nouveau sur ces personnes que nous voyo
La question m'a été
posée
lors de la garde entre deux sorties au moment de
des personnes peuvent en arriver là? C'est la question que je me suis
posé
toute la nuit. On découvre également le métier de
ibé d'urine tout ça à coté d'un centre d'accueil, un fauteuil roulant
posé
à coté de lui, nous l'avons donc réveillé pour le
r, mais aussi l'implication de l'assistante sociale qui à chaque fois
posait
des dizaines de questions, parvenait à se faire u
ma grande surprise; même si nous restons observateurs cela permet de
poser
un regard différent (moins de jugement, plus d'em
e métier est tellement chronophage qu'on ne prend plus le temps de se
poser
pour lire un livre, méditer, penser à autre chose
ont besoin d'une chambre d'hotel, avec toutes les difficultés qui se
posent
quand il n'y a plus de place. Puis petite réunion
je dirai qu'elle m'a permis d'ouvrir les yeux, en me permettant de me
poser
des problématiques qui jusqu'alors m'étaient inim
cette nuit. Seul point négatif : l'horaire de fin, le SAMU peut vous
poser
a Paris vers 3h du matin et quand on habite pas P
u'on porte à ce qu'ils font et ce qu'on pense, aux questions qu'on se
pose
. 1er appel, un SDF qui avait froid. Nous arrivons
nt des équipes qui ont conscience de ne pas sauver le monde et qui se
posent
parfois des questions quant à l'intérêt réel de l
es réservés à certains médecins? Ce sont des questions que je me suis
posée
à la suite de cette garde...
ltés qu'ils rencontrent. On a parlé ensemble de chaque appel, j'ai pu
posé
mes questions. Un appel qui m'a particulièrement
r un toit pour dormir ce soir; Nous avons de la chance de ne pas nous
poser
cette question, cependant, et il ne faut pas l'ig
qui pourraient nous en expliquer le déroulement et à qui on pourrait
poser
nos questions et surtout un moment où on pourrait
abord expliqué le fonctionnement du SAMU social en détails et j'ai pu
poser
toutes les questions que je voulais. Je n'ai fina
pe avec qui j'ai maraudé était très sympathique, ce qui m'a permis de
poser
toutes les questions qui me venaient à l'esprit a
r le terrain . La double écoute du 115 au début de la garde permet de
poser
le décor avant d aller dans les camions . Les san
ient la parole que très rarement. Les fois ou j'avais des questions a
poser
, ils répondaient sur un ton nonchalant, et je me
e à l'équipe, tout me fut expliqué dans les détails, sans que j'aie à
poser
la moindre question. Tant de sympathie ne manqua
es sans-abris, discuter avec eux, écouter ce qu'ils ont à dire. On ne
pose
pas de questions indiscrètes. On écoute. Et dans
y a souvent les réponses aux questions personnelles que j'aurais aimé
poser
. Ils racontent leur histoire. Lieux : Camion, Rue
sait très froid et il pleuvait beaucoup et la question que je me suis
posé
en frisonnant alors que j'étais dehors depuis mêm
e seule chaise cassée, des matelas avec des champignons de moisissure
posés
par terre, une odeur nauséabonde, des murs prêts
ent s’exprimer face à des situations de vie très difficiles, de façon
posée
et aidante. Ensuite le débrief avec l’EMA, le coo
liquer quel été leur rôle au sein de cette mécanique, les difficultés
posées
etc etc. Pour la partie organisation, là bas pers
vec lui, afin des les éloigner l'un de l'autre. Une conversation plus
posée
et tranquille put commencer avec la femme. Elle s
rsation plus posée et tranquille put commencer avec la femme. Elle se
posa
sur le matelas, et tout en nous parlant, elle com
d'un endroit où dormir, pour quelqu'un de calme, poli, qui n'a jamais
posé
de problème dans les centres d'accueil. Mais peut
es avaient pu être anticipées avant dans un petit entretien, on ne se
poserait
même pas ces questions. Mon équipe du camion, ext
esse du personnel qui manque de moyen. Mais sur le moment je n'ai pas
posé
cette question au personnel du Samu sur leur poin
ent se rendre le lendemain dans un centre d’accueil sur Paris pour se
poser
un peu et rencontrer une assistante sociale. Elle
t surtout enclins à répondre à toutes les questions que je pouvais me
poser
sur leur travail. Si j'ai un regret quant à cette
précarité. Elles m'ont invité à poser des questions mais lorsque j'en
posais
elles feignaient ne pas avoir entendu, seul le ch
tudiants n'arrivent pas à s'intégrer dans ces équipes.. Ensuite, j'ai
posé
beaucoup beaucoup de questions, je faisais quand
12 c’est un logis pour vivre avec lui. Seulement il n’a nulle part où
poser
ses affaires lorsqu’il part au travail car les co
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