s par jour : plus de 3000 ce 30/08/2017 pour seulement 800 environ de
pris
en charge ! Il paraît déjà qu'il y a un décalage
llant au samu social qui font du mieux qu'ils peuvent mais ne peuvent
prendre
autant d'appels. Pendant la maraude nous avons ét
avons emmèné. A d'autres moments certaines personnes ne voulaient que
prendre
un café ou une paire de chaussettes ou un bol de
omplémentaire à notre formation. L'équipe est très accueillante, elle
prend
le temps de nous expliquer son rôle et les différ
ai moins aimé la double-écoute de 18h à 20h car durant ce créneau, on
prend
moins le temps d'échanger avec les personnes qui
pes de maraude. L'atelier double-écoute est un peu difficile, il faut
prendre
du recul sur des situations difficiles pour prend
ifficile, il faut prendre du recul sur des situations difficiles pour
prendre
des décisions très tranchée sur la suite de la pr
de la prise en charge, tout les cas sont différents, donc toutes les
prises
en charge également, il faut savoir prendre du re
ifférents, donc toutes les prises en charge également, il faut savoir
prendre
du recul un moment pour prendre la meilleure déci
s en charge également, il faut savoir prendre du recul un moment pour
prendre
la meilleure décision pour chaque personne que l'
confrontés a la misère et a la détresse qui nous entoure, dont on ne
prend
pas toujours consience a l'hopital lorsqu'on renv
en fermant les yeux sur le fait qu'il ne pourra probablement pas etre
pris
en charge et continuer les soins nécessaires a so
ssibilité de se rendre dans un endroit chaud le soir, où ils pourront
prendre
un vrai repas, prendre une douche, laver leurs af
dans un endroit chaud le soir, où ils pourront prendre un vrai repas,
prendre
une douche, laver leurs affaires. Les places en c
er leurs affaires. Les places en centre d'hébergement sont rapidement
prises
d’assaut, les places supplémentaires sont discuta
par le SAMU social. Je me souviens lors de la maraude que l' équipe a
pris
en charge un jeune tchèque voulant travailler che
pas, présentait une douleur thoracique, et était subfebrile, il a été
pris
en charge au centre Romain Rolland.
garde doit rester obligatoire. J'aimerai avoir l'occasion de pouvoir
prendre
d'autres gardes au samu social.
our. Ils ont tissé des liens, construit des relations de confiance et
prennent
systématiquement le temps de s'arrêter pour discu
nce et prennent systématiquement le temps de s'arrêter pour discuter,
prendre
des nouvelles et passer un peu de temps avec eux.
les demandes d'hébergement dépassent les places disponibles. Mais, on
prend
connaissance de nombreuses autres aides qui sont
t était très disponible pour répondre aux questions. Ainsi nous avons
pris
en charge qu'un seul signalement (du coup excepti
i m'a permis de comprendre la démarche complète. J'ai par ailleurs dû
prendre
mon courage à 2 mains pour ausculter la jambe de
are, même parfois en médecine, et je suis donc très content d'y avoir
pris
part. Sera-t-il possible un jour de faire d'autre
eviennent des habitués, et nous leur rendons j visite simplement pour
prendre
de leur nouvelles, savoir si tout va bien. C'est
ons au final rencontré que peu de monde, je pense qu'ils avaient tous
pris
leurs précautions et contacté le 115 avant la mar
t j'espère plus tard, dans ma pratique médicale, ne jamais oublier de
prendre
le temps d'écouter et de regarder chacun "comme d
ne nous encadrant très enrichissante. la découverte des lieux où sont
pris
en charge les personnes défavorisés intéressante
ait ma première expérience dans le domaine sociale. Elle m a permi de
prendre
véritablement conscience des problèmes du quotidi
essante et vraiment très enrichissante! Se rendre auprès des usagers,
prendre
le temps de discuter avec eux et des les écouter
à nous apprendre.. Cette garde n'a pas été facile tout le temps : je
prends
pour exemple un jeune homme d'une trentaine d'ann
nalement mais j'ai fait ce qu'ils appellent une pure. Nous avons donc
pris
le camion et à l'aide d'un plan, nous devions par
te et je remercie chaleureusement toute l'équipe du samu social qui a
pris
le temps de me fournir toutes les explications né
raude à faire des allers-retour vers les centres, alors qu'on pourrai
prendre
tout le monde d'un coup dans le camion.
à été une expérience très intéressante et très enrichissante. J'ai pu
prendre
le temps d'écouter les histoires des personnes re
ticulièrement marqué par une personne ,connue de l'équipe ,que l'on a
pris
en charge tard le soir . Il venait de finir de tr
m'a fait sortir de mon confort. Expérience intéressante mais en D3 ça
prend
beaucoup trop de temps, ça m'a fait fait rater un
ous avons
pris
en charge un SDF à Romain Rolland pour asthénie f
: le garder et lui donner une chambre ou le mettre dehors pour ne pas
prendre
sa responsabilité. Une chambre lui a donc évidemm
u SAMU Social a été pour moi un moment d'humanité. Elle m'a permis de
prendre
le temps de discuter avec des personnes pour qui
ndre le temps de discuter avec des personnes pour qui je n'aurais pas
pris
le temps dans d'autres circonstances, et simpleme
tages d'externat à la pitie ou SA cela aurait été un enfer Or la j'ai
pris
du plaisir à rester jusqu'à 3h30, on a un contact
ate à tout le monde car par exemple spontanément je n'aurai pas voulu
prendre
jne date si elle n'était pas imposée.
é également impressionné par la patience des travailleurs sociaux qui
prennent
les appels. Je garde un très bon souvenir de l'éq
maraudeurs, était très agréable. J'ai été touchée du temps qu'ils ont
pris
à m'expliquer le fonctionnement du centre et de l
retrouver dans la rue. L'equipe est très sympa et nous aide pas mal à
prendre
nos marques
é cette expérience. Il n’y avait pas d'infirmière ce soir là, j’ai du
prendre
ce rôle au sein de l'équipe. Très bonne ambiance
é que 3 familles que l’on a amené dans des centres d’hébergements. Ça
prenait
plus l’allure d’un taxi que d’une véritable aide
nne de notre entourage qui a eu les mêmes soucis. Il est difficile de
prendre
du recul au premier abord. Personnellement j’ai u
e alcoolisées qu’il faut aider est très difficile car il faut savoir
prendre
de la distance avec ce qu’on a vécu et les préjug
vergences en interne, ont un réel sens de l'accueil et m'ont d'emblée
pris
en charge et mis à l'aise. Les divers intervenant
individus auquel je ne prête d'ordinaire pas attention, avec qui j'ai
pris
le temps de discuter de leur vie, leur état d'âme
J ai passe la nuit dans le camion a recherche des gens qui avaient
pris
rendez vous dans la journee. Les histoires des ge
nt l'occasion de croiser en pratique à l'hôpital. Cela nous permet de
prendre
en considération des points auquels on ne pense p
s à disposition pour accueillir et aider les plus démunis. J'ai aussi
pris
conscience de ce qu'était le milieux de la "rue"
l par les membres du SAMU social était bon, les membres de l'EMA nous
prennent
bien en charge, on ne se sent pas exclu, c'est ag
ute. Et c'est en entendant cette dame raconter son histoire, que j'ai
pris
conscience des limites de notre système. Après 6
Cela m'a vraiment ouvert les yeux, sur les multiples visages que peut
prendre
cette précarité. Et que les moyens donnés pour la
turne. C'est donc avec cette mission de chevalier noir que nous avons
pris
le large en direction des Champs Elysées, armés d
randes mais de verroterie. A la rencontre de cet univers caché, on se
prend
alors à penser que c'est un tout autre pays que l
n jeune qui a été signalé par des passant et qui ne souhaite pas être
pris
en charge. Au final, ce fut une expérience humain
tif est le temps trop long passé dans le camion par rapport aux temps
pris
pour discuter avec les personnes.
pour qui c’était la première fois. Savoir qu’il y a des personnes qui
prennent
le temps de s’intéresser aux plus démunis réchauf
Réveil difficile après cette nuit passée au SAMU social. Des contacts
pris
, des repas donnés, des logements trouvés pour cer
ructure n'existait pour les adultes handicapés mentaux à la rue. On a
pris
un monsieur en charge qui souffrait d'un syndrome
sur les personnes dans domicile. Depuis que j'ai fait cette garde, je
prends
plus le temps de discuter avec ces personnes en a
J'ai vécu cette nuit là une expérience enrichissante me faisant
prendre
connaissance de la rudesse des nuits d'hiver vécu
la chance de tomber sur une équipe très sympa qui m'a permis de vite
prendre
mes marques et mettre la main a la pâte. Je regre
rès sympa et il y a une bonne ambiance. Le rapport avec les clochards
prend
une dimension completement différente que lorsqu'
L'équipe était accueillante. Elle
prend
le temps de nous expliquer. Le contact avec les s
hébergement pour un sdf. Je trouve cependant qu'une garde de ce type
prends
trop de temps dans la semaine d'un externe deja p
se, les personnes rencontrées lors des maraudes me semblent davantage
prises
en charge, même si leurs demandes sont parfois pl
respectifs, m'a fait visité une structure d'accueil et m'a permis de
prendre
pleinement part à la maraude. En raison de la plu
us facile a vivre possible, j'ai parlé au SDF que l'on rencontrait et
pris
des initiative. Je n'ai pas été trop pris de cour
SDF que l'on rencontrait et pris des initiative. Je n'ai pas été trop
pris
de cours ni impressionné par eux, finalement ça r
- interroger des patients, pour établir un diagnostic). J'ai même dû "
prendre
la décision d'envoyer aux urgences" un SDF fiévre
sommes venus pour voir comment travaillent les maraudeurs et non pour
prendre
une n-ième garde d'urgence-réa) 3 - ceci n'est pa
illi par l'équipe du SAMU SOCIAL. L'opérateur m'a justifié toutes ses
prises
de décision concernant les appels. Bonne ambiance
it et qu'elle soit examinée par un médecin et un psychiatre, ce qui a
prit
la moitié du temps de garde. Pendant la maraude d
U social) et soigné. Toutes les plaies ne sont pas hémorragiques et à
prendre
au charge au bloc opératoire, mais elles sont là,
ndant une maraude, lorsqu'un voisin qui le connaissait bien, est venu
prendre
de ces nouvelles. Puis nous fûmes rejoints par un
personnes/familles. Je me suis sentie à l'aise sur le terrain et j'ai
pris
plaisir à échanger avec les différentes personnes
ce genre d ateliers remet rapidement les idées en place et permet de
prendre
du recul sur nos petits problèmes du quotidien. I
mbres du samu social, en particulier les maraudeurs, qui ont l'air de
prendre
un réel plaisir dans leur travail. D'autre part,
La double écoute s'est très bien passée, on a bien
pris
le temps de m'expliquer le fonctionnement du 115.
sont donnés à 100% pour chacune des personnes qu'ils ont aidées. Ils
prenaient
le temps pour chacun et ne lâchaient pas l'affair
t être cela dépasse t'il le cadre du Samu social et leur mission. Qui
prend
le relais?
rsonnes qui se donnent pour ces actions. Personnellement, je n'ai pas
pris
plaisir a faire cette garde, et j'étais content d
onde est bienveillant. C'est l'occasion de faire des rencontres et de
prendre
vraiment le temps de discuter avec des hommes et
ent de la double écoute j'ai pu en apprendre plus sur Les différentes
prises
en charge sociales. En ce qui concerne la maraude
ants, d'autres purement rationnels, la plupart reconnaissant du temps
pris
par les équipes.
r social et l'infirmière. Seule l'infirmière m'a vraiment expliqué et
pris
en charge, je n'étais pas vraiment intégrée dans
au centre, l’équipe était émue de le voir ainsi se prendre en charge (
prendre
rdv avec le médecin, demander s'il pouvait prendr
prendre en charge (prendre rdv avec le médecin, demander s'il pouvait
prendre
une douche avant de le voir...) Le seul point nég
ssante tant sur le plan personnel ( je n'avais sans doute jamais bien
pris
conscience de l'ampleur des difficultés auxquels
avait la patience d'essayer de comprendre son histoire, de l'aider à
prendre
une douche, de lui donner des vêtements propres e
eurs fois : j'ai été surprise de la facilité avec laquelle l'équipe à
pris
contact avec lui et de la gentillesse de leur con
uivi un SDF de la rue j'usqu'à un centre sociale, nous lui avons fait
prendre
une douche et nous lui avons soigné une plaie. J'
e de belles rencontres, tant du côté des maraudeurs que des personnes
prises
en charge. J'ai compris la complexité que représe
pour distribuer ces places . Ce qui est un peu frustrant : de passer
prendre
certaines personnes, d autres juste vérifier qu'
nt un stage d'urgence/Réa déjà surchargé de gardes (repos parfois non
pris
le lendemain pour certains). Peut être serait il
aisse les personnes totalement libres de leur décision. Le but est de
prendre
le temps pour aider au maximum les personnes. Lor
uit a été calme en raison de la pluie. Malgré tout, trois SDF ont été
pris
en charge dans des centres d'hébergement d'urgenc
rendre conscience que notre métier est tellement chronophage qu'on ne
prend
plus le temps de se poser pour lire un livre, méd
à autre chose qu'à la médecine et s'ouvrir l'esprit aux autres arts.
Prendre
le temps de faire une pause en quelque sorte. C'e
mmes. L'expression "aller à la rencontre de ceux qui n'ont plus rien"
prend
tout son sens, mais on peut aller plus loin en di
? Peu importe, il semble heureux d'être écouté, heureux que quelqu'un
prenne
le temps de s'intéresser à ce qui le tracasse, he
urs trouvé que discuter avec les sans-abris apporte beaucoup, mais je
prends
rarement le temps de le faire. Je retiens notamme
s tendance à catégoriser les personnes démunies, à les ignorer et les
prendre
pour des bêtes sauvages, mais leur parler et être
es sont éloignés en périphérie et difficile d'accès si on ne peut pas
prendre
. es transports en communs.
c sa femme enceinte de 3 mois. Leur voyage de la Chine à Paris leur a
pris
17 jours en car. Nous avons rencontré environ 30
et frederique les permanenciers qui malgre les appels incessants ont
pris
de leur temps precieux pour m'expliquer la proced
ouvenir de cette garde au SAMU social et remercie ses équipes d’avoir
pris
le temps de m’encadrer le temps d’une nuit.
s médical ainsi qu’à notre enrichissement personnel. Elle nous aide à
prendre
pleinement conscience des gens qui nous entourent
écouvrir le SAMU social, dont je connaissais très peu de choses. J'ai
pris
conscience de la difficultés de certains personne
ulièrement intéressant pour comprendre ensuite la façon dont ils sont
pris
en charge à l’hôpital. En effet, les SDF que l’on
les ressources nécessaires pour faire face à certaines situations. Je
prends
pour exemple un arrêt cardiaque qui survient sans
bitués" du SAMU social et me rendre compte à quel point ce dispositif
prenait
une place énorme dans leur vie. Pour certains, ça
té très touchée par un canadien, venu en France il y a 3 ans et qui a
pris
la décision de repartir dans son pays mais qui s'
peu de duvets ont été distribués. Dédier une équipe pour ramener les
pris
en charge vers les centres d'hébergement de façon
s divergences de points de vue notamment sur la manière d'aborder les
pris
en charge.... une ambiance assez tendue parfois.
de ces hommes et femmes que je croise toute l'année sans avoir jamais
pris
la peine d’établir un vrai échange. J'ai découver
e leur quotidien, le contact verbal avec les personnes dans le besoin
prend
une tout autre tournure avec la veste bleue et no
qu'on me touche"... On m'avait parlé de la solitude tactile avant de
prendre
ma garde ; mais là, c'était réel et devant moi po
Une de mes plus grosse claque humaine, qui m'a
pris
par les tripes de 18h à 5h du mat'. Merci à toute
r moi-même. Les équipes étaient très impliquées dans leur travail, et
prenaient
toujours le soin de respecter la décision de la p
es m'ont marqué: - l'amabilité et la reconnaissance des gens que nous
prenions
dans le camion. Je n'ai été témoin d 'aucune agre
uis plus de 20 ans, et avec qui chaque équipe s’arrête pour discuter,
prendre
un café, ou simplement s’assurer que “tout va bie
des urgences, ou les travailleurs sociaux et les infirmières peuvent
prendre
le temps d'écouter et de comprendre. On découvre
samu social a été enrichissante au niveau social et humanitaire. J'ai
pris
conscience du manque de moyen qui était à disposi
discuter avec eux, d'apporter ce qu'il est possible d'apporter et de
prendre
la mesure de la détresse subie par les uns mais p
lé, faute de place. J'ai également remarqué que certains usagers sont
pris
en charge depuis des années par le 115 sans qu'un
et qui ne sont pas tous des endroits agréables. Nous avons également
pris
en charge, quand il restait des places d'accueil,
gret, celui de n'avoir pas pu échanger un peu plus avec les personnes
prises
en charge dans le camion.
s usagers habituels et les gens du 115, ils se retrouvent, discutent,
prennent
un café... et au final c'est peut être ça qui est
d'un monsieur SDF courageux avec le grand désir de s'en sortir. On a
pris
beaucoup de temps a parler avec lui, l'écouter le
tre futur métier et pour notre vie de tous les jours. J'ai réellement
pris
conscience de la souffrance psychologique des sdf
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