Cette expérience était enrichissante, on y voit un aspect des
soins
très différent de l’exercice médical. Les sans-ab
e manque de moyen dont beneficient les infirmiers pour realiser leurs
soins
(pas de possibilité de faire de soins en sterile
infirmiers pour realiser leurs soins (pas de possibilité de faire de
soins
en sterile par example). Les infirmiers m'ont ega
recarité pouvait beneficier aux urgences des hopitaux (renvoyees sans
soins
pour des plaies septiques sur materiel d'osteosyn
ont été pris en charge dans des centres d'hébergement d'urgence et de
soin
. Cependant on constate que l'action du Samu socia
rs uniquement des logements d'urgence à renouveler chaque nuit ou des
soins
d'urgence mais sans régler de façon pereine leur
e paramédical disponible sur le lieu. Cependant, elle avait besoin de
soins
médicaux journaliers notamment infirmiers vis à v
6 mois de rééducation post-chute, l'hôpital l'a fait sortir pour des
soins
à domicile, elle n'a plus de domicile. Suite à so
laisse quand même sortir, étant donné qu'elle ne nécessitait plus de
soins
médicaux particuliers. Et c'est là qu'une dame ay
ffet à l’hôpital la plus grande place est faite pour l'urgence et ses
soins
, l'aspect social étant laissé pour l'après voire
habituellement alcoolisé un soir de garde aux urgences ou en unité de
soins
intensifs, la détresse du quotidien, et l'exclusi
éplorable qui peut être réservé aux sans abris dans les structures de
soin
. Les personnes rencontrées dans la rue étaient po
des démarches administratives et d'orientation vers des structures de
soin
qui sont certes nécessaires mais étaient relative
st important de ne pas se désintéresser de ces gens qui ont besoin de
soins
mais qui parfois ne peuvent pas y accéder.
sants, plus demandeurs d'attention et d'un endroit pour dormir que de
soins
. Mais ça permet de connaitre un peu l'organisatio
n le tour de 22h. Globalement c'est intéressant de voir un service de
soin
infirmier, de connaître le concept (je ne connais
s missions de secours aux plus démunis et la possibilité des premiers
soins
si nécessaire sont parfaitement établies et clair
l’équipe avec qui j’ai beaucoup discuté et ils m’ont laissé faire les
soins
infirmiers. Cette garde m’aura apprit à être beau
is contente de l'avoir fait. Mais pendant la nuit nous avons fait des
soins
d'hygiène à un homme qui ne s'était pas douché de
a picolé") Je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait autant de refus de
soins
, je pense notamment à un homme qui avait tellemen
tructures d'acceuil pour les sans abris et toutes les structures, les
soins
et les services mis a leur disposition. je remerc
pour percevoir l'AME etc... dans le but de leur garantir l’accès aux
soins
et à la santé. Nous mettons en place également de
nir en aide aux femmes SDF: dons de serviette hygiénique, produits de
soin
, vêtements.. avec un temps d'écoute qui est l'un
are de rencontrer des SDFs, même si souvent ils sont réfractaires aux
soins
, leur seule présence à l’hôpital prouve qu'il che
le problème médical et pour une fois ce fut l'occasion d'apporter des
soins
différents, se heurter à des situations ou certai
ulcères aux jambes en pleine rue chez une personne refusant tous les
soins
... je ne pensais pas que certaines personnes avec
ela est bien sûr indispensable sur le plan éthique pour l'égalité des
soins
. Par ailleurs, l'ambiance y est très bonne et l'o
oir une idée de la vie de ses patients est essentiel pour adapter ses
soins
, et on peut affirmer sans trop se tromper qu'aucu
proposait de l'hospitaliser. Ça m'a fait comprendre que la demande de
soin
n'est pas universelle. La santé chez les sans-app
lui avons soigné une plaie. J'ai beaucoup aimé participer à tous les
soins
, l'équipe nous intègre entièrement à la garde! Je
et à comprendre leur détresse dans une perspective autre que celle du
soin
. J'ai beaucoup aimé la rencontre avec les assista
lation avec les malades et notamment les cas où le patient refuse les
soins
proposés car sa vision de la situation diffère de
t m'a permis de comprendre que la santé ne se résume pas à donner des
soins
médicaux. Il faut également considérer l'ensemble
accueils dans des centres d'hébergement d'urgence, de leur donner des
soins
d'hygiène, mais surtout de renouer le contact ave
on arrivée mais l'accueil était chaleureux avec une équipe aux petits
soins
. Pendant la double écoute, chaque terme et action
r aider ceux qui, bien que malades, ne pouvaient pas recevoir plus de
soins
que les soins infirmiers de base (leur état de sa
ui, bien que malades, ne pouvaient pas recevoir plus de soins que les
soins
infirmiers de base (leur état de santé ne semblan
nes, qui appréciaient de bavarder un peu dans les camions ou lors des
soins
infirmiers dans les centres. C'est cette expérien
s conditions de vie de ces personnes vivant dans la rue, soumis à des
soins
médicaux trop peu nombreux. Indéniablement utile
ns nos services en stage ont souvent des rapports très différents aux
soins
, et n’ont pas du tout les mêmes facilités à prend
hors avec toutes leur affaires, des gens qui ont clairement besoin de
soins
medicaux. L'équipe est très professionnelle et ar
ui n'ont plus la force ou la possibilité d'aller dans les filières de
soins
classiques. Certains moments étaient émotionnelle
te pas, ou on ne réalise pas bien que ces personnes qui ont besoin de
soins
conséquents se retrouvent en même temps a la rue,
s étaient très impliquées dans leur travail, et prenaient toujours le
soin
de respecter la décision de la personne, même si
omment se déroule la prise en charge de ces personnes nécessitant des
soins
en dehors du contexte hospitalier qui nous est fa
'a permis de rencontrer des personnes sans abri en dehors du cadre du
soin
auquel cette population est fréquemment soumise.
étonnée du manque de moyens dans les centres, je me souviendrais d'un
soin
infirmier d'une plaie du pied, avec un infirmier
n infirmier consciencieux qui ne pouvait malheureusement pas faire un
soin
de la qualité qu'il aurait voulu : manque de maté
e dégoût des passants ne l'étaient pas moins. La plupart refusait des
soins
médicaux, pourtant indispensables, faute de senti
qu'il ne pourra probablement pas etre pris en charge et continuer les
soins
nécessaires a son retablissement. De meme, il est
. Un point intéressant est de mieux pouvoir appréhender le système de
soins
dans sa globalité et de comprendre les conditions
nombre de gens en difficulté se rendent à l'hôpital pour recevoir des
soins
. On a pu ainsi découvrir une petite partie de leu
des personnes en isolement social et défavorisées hors le contexte de
soins
que nous avons à l'hôpital. Même si nous avons pe
ssionnels de santé travaillant aux urgences ou dans les structures de
soins
ont souvent des préjugés et des réactions de recu
r des aides aussi bien de confort, réconfort, alimentaire, et même de
soin
grâce au samu social aux personnes qui sont le pl
r un lit infirmier pour un patient en détresse social nécessitant des
soins
au décours de sa sortie de l'hôpital). Un événeme
ter avec un SDF de mon âge qui m'a exposé ses difficultés d'accès aux
soins
dont certaines ne me seraient pas venues à l'idée
inistratives nécessaires pour obtenir le droit d'asile ou l'accès aux
soins
, ect. Je pense que c'est un stage très intéressan
effet dans un premier temps, j'ai beaucoup apprécié cette approche du
soin
médical. Soigner des patients sans domicile fixe
arge des personnes en détresse sociale et l'organisation du réseau de
soin
. J'ai trouvé les échanges avec les intervenants f
ces, je vois régulièrement des patients SDF nécessitant à la fois des
soins
, mais aussi une aide sociale. À l'hôpital, nous n
. Une travailleuse sociale, une infirmière et un chauffeur aux petits
soins
avec les sans domicile fixe rencontrés. Prompts à
é confrontés à des personnes refusant une aide plus poussée comme des
soins
médicaux en centre et qui d'une certaine manière
trent un réel désir d'échange meme s'ils n'acceptent pas toujours les
soins
et les aides qu'ont leur proposent. c'était instr
ge est la relation humaine, l'écoute, le repas, l'hébergement ... Les
soins
infirmiers sont en complémentaire de deuxième lig
qui avait une plaie douloureuse au pied. L'infirmière lui a fait les
soins
nécessaires. Elle nous a raconté que son chien lu
on apprend à prendre en compte un contexte, à revoir les objectifs de
soins
, etc...). L'équipe était formidable, pédagogue et
r avec eux, de comprendre leur mode de vie, pourquoi ils refusent les
soins
parfois ou même l'hébergement, de visiter les foy
ur lieu de vie. A la rencontre de "patients", refusés des systèmes de
soins
conventionnels, car jugés comme n'ayant pas de pr
e, des gâteaux, quelques petites fournitures pour leur quotidien, des
soins
médicaux de base mais aussi une écoute, du soutie
une place au chaud et un endroit correct pour dormir et réaliser ses
soins
d'hygiène. Globalement, c'était une très bonne ex
s les pans du travail des équipes toujours dans la bonne humeur : les
soins
d'hygiène, de santé de première nécessité, la pri
ons. Et aussi, on voit l'impact de l'AME et la CMU pour le recours au
soin
, surtout en écoutant ceux qui n'en ont pas. C'est
Social, j'ai fait ma garde à l'ancien Hospice Saint Michel (Lit Halte
Soins
Santé) situé près du métro Saint Mandé dans le 12
lui-même qui fait que certains sans-abri qui pourraient accéder à des
soins
refusent. J'ai beaucoup aimé le fait qu'il y ait
our qu'un grand exclu (terme employé par les infirmières) accepte les
soins
. Il a refusé d'être conduit à l'hôpital (plaie in
istribuant gratuitement des denrées alimentaires, - leur apporter des
soins
médicaux de premiers secours et les orienter si b
d'abord des humains comme les autres et méritent à ce titre les mêmes
soins
de notre part, sans discrimination.
à l'hôpital où les médecins sont dans un soucis d'efficacité dans le
soin
et donc n'ont pas vraiment le temps de s'intéress
autoritaire à la limite de la violence. Faute de place dans un lit de
soin
médicalisé ce soir là nous avons du la laisser el
de certaines personnes en particulier, qui pouvaient avoir besoin de
soins
spécifiques par exemple. J'ai pu visiter le centr
solement, plutôt que sur un diagnostic scientifique ou une volonté de
soin
comme il est d'usage de nous représenter la médec
entres (violence, vol...) D'autre part, j'ai trouvé la proposition de
soins
infirmiers très faible, lorsque l'on voit toutes
nt est biaisé par le fait qu'il n'y a pas eu de nécessité à faire des
soins
infirmier le soir de ma garde, mais lorsque j'ai
issante d'un point de vu relationnel et pas tellement sur le plan des
soins
ce qui n'était pas le but escompté. Elle montre u
ration de ne pas pouvoir aller au dela de la proposition d'ecoute, de
soins
, d'hebergement, de repas (assistance indispensabl
nctionne. Dans la voiture, l'équipe a été très agréable et aux petits
soins
avec moi; ils étaient clairement contents d'avoir
l'handicap de la barrière de la langue pour d'autres, le recours aux
soins
devenu un luxe pour eux. Ces gens vivent au jour
assurer la meilleure prise en charge à tout individu ayant besoin de
soins
et ce sans discrimination, socio-économique ou au
manque l'essentiel. Ensuite, au cours de la nuit, nous prodiguons des
soins
de premiers secours, nous transportons des hommes
nt plus mais survivent. Ce sont des gens qui ont besoin d'avantage de
soins
et de suivi et qui vont forcement croiser notre c
ous lui avons trouvé une place dans un service spécial prodiguant des
soins
. Tout cela conduisant à l'absence de pause dans l
der à un passant un stylo pour pouvoir noter le numéro d'un centre de
soins
, communiqué par l'assistance sociale à l'autre bo
haussettes. Il faut filer droit! Nous l'avons amené dans un centre de
soins
infirmiers, nous en avons profité pour refaire se
onnel. J'ai vu comment aborder les gens en grande difficulté et quels
soins
leur prodiguer, en première intention. J'ai égale
serait finalement assez fréquent, tandis que certaines personnes sans
soins
à faire occuperaient souvent des places de LHSS (
ans abris des rues de Paris, redirigé un monsieur dans un parcours de
soin
, tenté de convaincre un couple qui avaient une pl
ttes/nourriture aux personnes en demande, informe, donne des premiers
soins
infirmiers. Pour ma nuit nous avons même accompag
prendre les problèmes rencontrés dans la rue (notamment de rupture de
soins
, et de difficultés de réinsertion). Je suis heure
ront pas, mais le lieu de travail d'une personne aussi essentielle au
soin
que le premier labo pharmaceutique : comment soig
cepté un café mais a refusé de parler de sa santé et n'a pas voulu de
soins
. L'habitante qui l'avait signalé ne comprenait pa
al et le fait qu'on ne pouvait pas forcer une personne à recevoir des
soins
. Elles lui ont conseillé d'appeler les pompiers s
onnes contentionnées, quand elles sont trop agitées pour accepter les
soins
, qu'elles arrachent leur perfusions... etc...)
nce de la nécessité de cette assistance sociale, tant sur le plan des
soins
que sur le plan relationnel. Merci encore.
hercher à manger ou s'habiller gratuitement. Parfois aussi donner des
soins
de premier secours. Même si parfois il y a tensio
l'équipe se sépara donc : je restai avec l'infirmière faire les deux
soins
d'hygiène et les deux autres allèrent échanger le
arge me fit visiter les deux centres. Et je fus contente de faire les
soins
d'hygiène avec elle, car en 2 ans de stages hospi
e, et pourtant je pense que c'est important, car cela fait partie des
soins
à apporter au patient. Usagers. Il y aurait tant
..) mais surtout des personnes avec des besoins, souvent en manque de
soins
. J'ai été assez émue à la rencontre d'une jeune f
aient déployés pour intégrer les SDF (lessives, dîner, lits, douches,
soins
...). Le découragement pour faire les démarches so
tes possibilités d'aide sur Paris (logement, vêtements, alimentation,
soins
, insertions...) est également très positif, des p
éritable bénéfice des quelques heures allouées, qui pour recevoir des
soins
une fois au centre, qui pour être orienté vers de